Chrestomathie ottomane: Précédée de tableaux grammaticaux et suivie d'un glossaire turc-français [Reprint 2021 ed.] 9783112399323, 9783112399316


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Chrestomathie ottomane: Précédée de tableaux grammaticaux et suivie d'un glossaire turc-français [Reprint 2021 ed.]
 9783112399323, 9783112399316

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CHRESTOMATHIE OTTOMANE PRIÓGÉDIÌE DK TABLEAUX GRAMMATICAUX ET SUIVIE

D'UN GLOSSAIRE TURC-Fl! ANC»AIS PAR

FR. DIETERIG I, NU.

EN

FHII

M

PROFESSEUR

A

I'UKIVERSITÌ FRANÇAISE

JIE ET

BKRMM,

MTMENE

DES

ALLEMANDE.

BERLIN. CHEZ G E O R G E REIMER.

1854.

SOCIÉTÎS

ASIATIQUES

Lie petit nombre de livres turcs qui sont à n o t r e portée faisait éprouver depuis longtemps le besoin de posséder u n manuel qui offrît aux commençants les moyens d'apprendre et d'étudier la langue turque, qui a acquis

tant

d'importance de nos j o u r s . Les littératures arabe et persane a y a n t exercé sur la littérature t u r q u e une énorme influence, il s'en est suivi un m a n q u e très sensible d'écrits a y a n t exclusivement le caractère de la nation turque, et en même temps la simplicité d'expression p r o p r e à cette langue.

Il existe p o u r -

tant un certain nombre d'ouvrages destinés au peuple et issus directement de lui.

C'est sur ces documents

que

j'ai spécialement dirigé mon attention. Parmi les manuscrits

de la bibliothèque

royale

de

Berlin, celui de Diez (Q. 57) m'a p a r u r é p o n d r e le mieux à mon but.

Ce manuscrit porte à la fin la date d u 5 e

R a m a d h a n 1180, et contient, sous forme de légende, une description de la vie de l'illustre Mahmoud Pacha. Ce Mahmoud Pacha combattit héroïquement sous Mohammed II, puis tomba en disgrâce et f u i injustement mis à m o r t par la main du bourreau (v. l'histoire authentique de ce grand homme dans: Hamrner.

Gcschichle des Os-

manischen Reichcs I, 4 3 4 - 5 1 3 ) . Les récits de la vie de Mahmoud Pacha se sont formés dans la bouche du peuple et Mr. de Hamnier. dont

II

les lumières ont jeté tant de j o u r sur la littérature turque, a fait surtout ressortir la simplicité d'expression de ces récits. La bibliothèque de la ville de Dresde possède aussi parmi ses manuscrits une description de la vie de Mahmoud Pacha; on a eu la bonté de m'envoyer cet original à Berlin.

Le manuscrit de Dresde n'est guères qu'une

autre leçon du même récit, car, dans les narrations populaires, chaque écrivain prend la liberté de raconter l'histoire à sa manière. Le manuscrit de Berlin contient, tout au commencement, un certain nombre de récits moraux qui, par la simplicité de leur style et par leur contenu intéressant, paraissent tout-à-fait propres à servir de manuel p o u r apprendre la langue turque, d'autant plus que ce style se rapproche beaucoup de la langue usitée dans la narration.

J'ai choisi à cet effet quinze de ces morceaux dé-

tachés (p. 18-31). A ces récits d'un contenu moral, j'en ai ajouté sept autres du spirituel bouffon Nasr-ed-din, tirés d'un m a n u scrit de la bibliothèque royale de Berlin (Diez O. 121). Gomme en France Mr. de la Palisse et le baron de Crac, Nasr-ed-din est devenu chez les Turcs un être imagiinaire sur le compte duquel on met toutes les saillies popullaires. Un autre manuscrit de la même bibliothèque

(Diez

Q. 16) qui contient, sur 23 feuilles, de courtes anec:dotes du même auteur, prouve à quel degré Nasr-ed-din:, qui était en relation avec Timourlenk, vit encore dans le: souvenir du peuple. Le manuscrit dont je viens de parleir renferme aussi quelques-unes des anecdotes ci-jointes, mais plus en abrégé.

III

A ces écrits émanés du peuple je joins quelques fragments d'écrits destinés au peuple. D'abord

quelques

extraits du livre de Mohammed

Ben Pir - Ali el Berkevi, concernant la moeurs.

religion et les

Ce livre a été composé en 970 de l'hégire; je

me suis servi de l'édition de Scutari de l'an 1218.

Il

contient les doctrines fondamentales de la religion Mahométane, et c'est à ce titre que les Turcs apprécient tant son contenu et sa forme *). Pour montrer le contraste qui existe entre le style dogmatique et de morale, et la langue populaire, j'ai cru devoir faire suivre ce morceau d'une adresse aux chrétiens qui a été imprimée en lettres arméniennes, à Malte, en 1828. Cette adresse a été écrite dans la langue du peuple, afin qu'il pût bien la comprendre.

Ce petit livre se trouve

dans la bibliothèque de Berlin sous le titre „Bir jeñi ïurek tchodjouga en eïi cheï". A la page 47 commencent quelques articles puisés dans le Djihan numa (miroir du monde), célèbre ouvrage de Moustafa bcn Abdallah Katib Tchelebi Hadji Khalifa (f 1068 de l'hégire).

Dans ce livre plein d'érudition l'auteur a ré-

uni et élaboré, pour la géographie de l'Asie, tous les matériaux qui existaient de son temps. J'ai tiré de ce trésor les morceaux suivants: 1) p. 4 7 - 5 0 (ol*r) sur le café du Yemen. Mr. S. de Sacy a fait imprimer dans sa Chrestomathie arabe (II. p. 480) une traduction de cette notice par Mr. Armain. 2) p. 50 ( M ) sur la mer Morte. *) Garcin de Tassy, exposition de la loi musulmane 182S.

IV

3) p. 51 ( o T ) sur Aleppo. 4) p. 53 (oIT) sur Hébron. 5) p. 54 (olf) sur Gaza. J'ai ajouté quelques articles tirés du grand dictionnaire turc Lehdjet ul loughat par le cheïkh ul islam Âsad effendi, imprimé à Constantinople l'an 1216 de l'Hégire. L e dernier morceau de cette chrcstomathie est un article extrait du Moniteur Turc (8. Janv. 1842). L'orthographe des manuscrits turcs étant extrêmement arbitraire, d'abord j e m'étais attaché à écrire les lettres de direction, mais dans la suite j'ai jugé convenable de les omettre partout où les voyelles radicales les rendaient évidentes.

Je me suis conformé aussi quelquefois aux ma-

nuscrits qui souvent joignent immédiatement les lettres de la déclinaison à une voyelle finale comme, par exemple: »^¿S, quoiqu'il vaille mieux écrire IU^ÙS. En terminant cette préface, j e me fais un plaisiir de remercier Mr. G u é b h a r d , professeur de langue française à Berlin, de l'empressement avec lequel il a bien voulu revoir la traduction française. B e r l i n , Juillet 1854.

F R . DIETERICII.

TABLEAUX

GRAMMATICAUX.

L a langue turque est une ramification d'une grande souche de langues, qui probablement tira son origine de l'Altaï et des montagnes qui s'y rattachent. Cette souche donna le jour à quatre grandes ramifications ou familles de langues: le T u r c , le Finnois, la langue Mongole et celle des Tongous. * ) Le T u r c est parlé dans une grande partie de l'Asie centrale et occidentale. Cette langue se divise en trois dialectes principaux : 1. le Tchagalaïen

ou dialecte oriental qu'on parle dans le T u r -

kistan. Des livres rédigés dans ce dialecte ont été imprimés à Kazan seulement. 2. !e T a r t a r e proprement, dit dans le Kyptehak et dans la S i bérie. 3. le dialecte occidental,

c ' e s t - à - d i r e l'osmanli,

dans le Sud-

Est de l'Europe et l'Asie mineure. * * ) D e ces dialectes le premier et le dernier ont acquis une importance historique, et ont exercé la plus grande influence sur le développement de la civilisation Mahométane. Dans la plupart des dialectes turcs il est entré un grand nombre de mots arabes et persans, ce qu'il faut attribuer à l'influence des littératures arabe et persane. Les lettres arabes que les Turcs mahométans ont adoptées p o u r écrire leur langue sont bien peu propres à en représenter les sons ; cette observation s'applique surtout aux voyelles. Voici l'alfabet ottoman avec la prononciation. *) cf. Schott tber das altaische oder Finnisch-tartarische Sprachengeschlecht. 1849. **) cmp. Berésin: système des dialectes turcs. Kazan 1848. pag. 26,27. il faut y ajonter A. le dialecte des Yakoutes peuple de la Sibérie orientale, et 5. celui des Tchouvaches parlé dans le gouvernement de Kazan. A

!



7{

MEDIALES.

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J

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CARACTÈRES FRANÇAIS.

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leger hiatus

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VALEUR DES LETTRES EN

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1 2

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60 300 .90

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800

900

un hiatus assez sensible

9

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VALEUR D E S L E T T R E S DE CARACTÈRES F R A N Ç A I S .

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10

R E M A R Q U E S SUR L E S L E T T R E S . I.

1. Les consonnes

CONSONNES.

o » , J b ne se rencontrent que dans les

mots arabes. 2. Le ty ne se trouve qu'au milieu ou à la fin d'un m o t ; il se prononce comme n nasal et quelquefois comme m , mais originairement il avait la valeur de l'articulation ng en allemand ou en anglais. Quoiqu'on ne distingue pas dans les manuscrits turcs

de

on le fait très souvent dans les impressions occidentales pour faciliter l'intelligence du texte. 3. Il n'y a pas de mots Turcs qui commencent par les lettres j ou 4. Le ç^ghaïn entre deux voyelles est très adouci; il a quelquefois la valeur d'un v ou d'un h p. e. j i l ae/z, ^.Lc! ahadj.

Mais à la

fin d'une syllabe on le prononce comme ou p. e. j l b thaou.

se

prononce entre deux voyelles et à la fin d'un mot comme ». 5. Les mots de plusieurs syllabes finissant par ^jj, gent ces lettres en

(£), o chan-



Le j représente aussi oou, ov, euv, at>, ev ; p. e. froid, (J^jS mieux ^jpojjjj qovmaq chasser, vôjï savmaq passer, iiS-^ytM sevmek Rem.

soouq

gueuvdé

corps,

aimer.

Quelques mots écrits de la même manière se distin-

guent par une prononciation différente du^; p. e.

qoul esclave,

iîj5 qol bras. 6. Le

voyelle correspond aux voyelles J, y et u; plus rare-

ment à, ou et aux diphtongues ai", eï, oui.

Le

voyelle radicale

n'est pas autre chose que i , / ou diphtongue ; cf. (jy^* public, ^JÍi-^ï qych hiver, ^j^o^Js qjrmaq parole, j

m , n

trésor

rompre, (jjjj-" seuzu sa

*>'i qaïghou chagrin, H J L J ^ guèik cerf, ^ Jj-A-® qouirou

queue. 7. Le Hè s voyelle a la valeur de a ou de e ; on ne le trouve qu'à la fin des syllabes et des mots; p. e. noir.

deré vallée, 8J qara

Comme voyelle il ne se lie jamais à la consonne suivante;

cf. t_5v>wO&K comme qamady,

gelemedi,

comme ^uX^Lsb ba-

tchechmenin.

8. U n Elif au commencement des mots est souvent suivi d'un ^ ou d'un (_5; il résulte de cette combinaison une diphtongue ou quelque chose d'analogue; p. e. ¿1 av chasse, ¿ï ev maison, lune,

eïlemek.

ai

Souvent ! forme une syllabe à elle; p. e. jî^î

avar injustice, jjjU aïaq pied,

èier selle, jJ.Î eïi bon.

Mais si

un mot turc commence par une voyelle, dont le représentant est^ ou

on lui ajoute comme appui un 1 qui précède ; p. e. O j î ot

herbe, (ji-t}! olmaq être, euïle ainsi, ^ L J ! iraq loin,

' ourmaq frapper, jt eud bile, ¡»Jujl itchmek boire.

v n 9. T o u i s fcs signes de r a p p o r t s g r a m m a t i c a u x o n t p o u r voyelles a, e ou y„ i ; a, e est la voyelle du datif et de quelques t e r m i n a i sons du vert):.

Les autres cas du n o m , les p r o n o m s suffixes et la

plupart d « s ¿"fixes du v e r b e o n t

i.

L e choix e n t r e les voyelles

a, y ou ev i ;e décide suivant que la voyelle est f o r t e o u faible. i n e p m t être placé qu'après e o u i ; p. e. J l el, ¿ 5 eli, elinin, ^T^S

rueldim. qylydj,

A p r è s a ou y on m e t

^ ( J ! diaq, ^ L l aïag/iy,

ù&Jt

p. e. g J l ï

^^OJS

qylydj,

aldy.

A p r e s ".u et « on c h a n g e i en u q u o i q u ' o n écrive ^ ; p. e. seuz, seuzum, seuzunu, sunu, ^-i'uXJkj'

utchundju-

^CWWUÇS^AÎJ-JÎ

gu/du-mu?

A p r è s o et ou IV devient o u ; p. e. qorqousounou,

l_£iA/0L\Jji

¿ s J y i qol,

oldourndou

qoloun,

(oldoum-idi).

10. L e premier / c h a n g é exerce son i n f l u e n c e sur t o u t e s les v o yelles suivantes, m ê m e si le m o t devient t r è s l o n g . petits mots ajoutés s ' o p p o s e n t à cette influence. m e n t lieu dans ^

et ^

yelle forte; p. e.

Mais quelques

Cela a principale-

d o n t le k résiste à l'influence d'une voolourken,

(jCiot anynfci.

D ' u n autre c ô t é

la sylhbe qui désigne le t e m p s p r é s e n t s o n n e t o u j o u r s l'o et exige u n e vtyelle forte après elle q u a n d m ê m e u n e voyelle faible p r é c é derait

p. e.

deioroum.

L'influence d'une voyelle sur la suivante est a n n u l é e si u n e voyell: d'une autre espèce se glisse e n t r e les deux ; p. e. j u X o , ^ gurrneiim,

(.Jdjî

olmadym.

11. La voyelle du participe en r , au m o y e n duquel o n f o r m e le p r é s e i t et l'imparfait, est g é n é r a l e m e n t a, e.

S o u v e n t elle est i,

mais cet ï p e u t devenir y, u , ou p o u r se c o n f o r m e r à la voyelle r a dicalequi p r é c é d é ; p. e. _y» sev, ïur, ^ijJ jO deuïurutn ; Jjl,

seoer\

hâyï deui,

o/, olur\ J^J,

jïyï

bout,

deu-

boulour.

VIII qorqar et de u&tjjS'

Cependant de ( j j ï j j i on forme mek, j j j f

12.

gueur-

gueurer.

Quelques

mots de plusieurs

syllabes ne se conforment

pas aux lois de l'harmonie des voyelles; p. e. ui elma pomme, Ojj_c souvent;

avrct femme.

Dans les mots arabes cela a

qalem

p. e .

lieu plus

p l u m e , ^/«¿l adem h o m m e , QLOJ

temps, uSjLfc* mubarek bcni,

LES SIGNES

zeman

muzakker masculin.

ORTHOGRAPHIQUES.

1. Djezm * indique que la consonne, au-dessus de laquelle il est placé, ne doit être accompagnée d'aucune voyelle dans la proo~



n o n c i a t i o n , p . e . [»JS- djezm,

o

J J 3 qatl, I X J I X * Ï a

techdid.

2. Techdid » se place sur une consonne quelconque pour indiquer qu'elle doit être redoublée, p. e.

mohammed, SyS quvvet.

3. Medd — ne se met pour l'ordinaire que sur IV/i/, il indique dans les mots arabes que le son de cet Eli/ doit être prolongé, p. e. jéA

akhyr, QI an.

Au commencement des mots turcs le Medd dé-

signe la prononciation a, p. e. (Jjil almaq, ^J^îLs ï anlamaq. à. L e Hamz * se place: 1) dans les mots arabes au-dessus de tout Eli/ consonne, m p . e. j-oIJ te'écir,

2) le ^ et le ^

« IAAJIJ le'ebid ;

sont munis de ce signe lorsqu'ils remplacent *

VEli/

— *

c o n s o n n e , p . e . J u L w sa'il,

mu'ebbed.

3 ) le Hamz seul sans aucune lettre pour le supporter à la fin des mots tient lieu d'un t, $ ou ^ s u p p r i m é e p . e . s-jiber',

consonne qui est

ty>- djuz', P I L E I i'ia',

A) Après une voyelle finale exprimée par * ou

idjra'.

le Hamz

remplace la voyelle i qui est alors marque d'un génitif exprimé à la persane.

Elle peut designer en outre le

IX rapport entre un substantif et son adjectif si ce dernier est postposé. Enfin il se place quelquefois au lieu d e ^ J ( A c c . ) à la fin des mots terminés par une voyelle. 5. L e Fasle

- se met sur YElif de l'article arabe J l pour indi-

quer que ce I se doit p r o n o n c e r avec la voyelle du mot précédant.

LE

NOM.

Nous donnons d'abord les paradigmes p o u r montrer les lois de l'harmonie des voyelles (de l'euphonie) appliquées à la déclinaison des mots turcs. I.

Noms finissants par une consonne. Singulier.

N.

(j&ls qach

sourcil

G.

qacliyn

D.

bJiAS qacha

y.

tj &ls L ïa

Abl. QtXillî

¿jsJj) dilin

a Î I elé

qachy

A.

eli

qach

J T IJ

qaclidan

dil langue

j ! el main liSjl elin

ib

dilé

¿¿>

dili

^¡ù

ïa el

QLVSS eldeti

IJ

ïa dil

QIAJO

dilden

^Ib

diller

Pluriel. N. G. D.

jUi

w JLiïlî qachlar y n

k a J>J î sJJt

qachlara

(¡JLWIÎ

A. V.

qachlar

jLilï

qachlary JJLILÎ IJ ïa

Abl. QiXiAte

ellerin

comme

eller,

J*

:

elleri

qachlar

qachlar

eller

dan

JILL LJ ïa 0

>Xitî

eller

ellerden

Singulier. N.

qoul esclave

G.

qouloun

D.

V.

qoloun

qoula

IVÎYS

A.

qol bras

qoulou JYJ LJ ïa

Abl. QLVJ ^ S

qoul qouldan

J Y S LJ

^jXlyi

seuz US^JJW

mot

seuzun

qola

seuzé

qolou

seuzu

ïa qol qoldan

LJ ïa

^ùj^yjM

seuz

seuzden

Pluriel. N.

Jljï

qoullar

G . etc.

jJJys

qollar

seuzler

comme

comme

SUS II.

Noms finissants par o et Singulier.

N.

Oj_J3 çour/ loup

G.

qourdoun

D.

qourda

A. V.

¡jôjji

^JjJL

poisson



oq flèche

balyghyn «¿SI

balygha

oqoun 205S oqa

qourdou

j^jAJIJ balyghy

oqou

O j _ j 5 L ia qourt

^jfJL U ia balyq

ia oq

QiAjtiL

oqdan

Abl. Q I y j i j ^ S

qourldan

balyqdan

Pluriel. N.

Xijji

qourtlar

jijijlj

balyqlar

oqlar

III. Noms finissants par des voyelles. Singulier. N. G.

tt^ôljlj

I^SSJ^AÏ

babanyn

D.

&jL>1> babaia

A.

^JIJIJ babaiy

V,

qapy porte

IL baba pcre

JÇS qapy ¡a (jr^*

LL L ia baba

Abl. Q^LL

kedinin Ik^ffjS

kediie ktdiï

W >

L i'O qapy QI^AS

babadan

kedi chat

qapynyn

qapydan

IJ ia kedi Q^XJJWJ^ kediden

Pluriel. N.

j3IjL

qapylar

babalar Singulier, (irrégulier) j o u eau

A.

^çJjJO SOUIOU

V.

l» ia sou

D.

Abl.

souia

kediler

Pluriel.

G. l i & J s o u i o u n

N.

jJL>iXi'

soudan

soular

XI Remarques. 1. O n voit d'abord que les cas des mots se forment par l'addition de différentes lettres : un un

l'accusatif et la syllabe

marque le génitif, un s le datif, l'ablatif.

On y peut ajouter encore un cas que l'on peut appeller le cominoratif ou locatif parcequ'il a la valeur de „ r e s t e r , demeurer dans" et que l'on forme en ajoutant la syllabe main, » l \ J j 3

qolda

dans le bras,

p. e. aiXit e l d é dans la

seuzde

dans le mot.

même formation a lieu dans le pluriel tOJIt e U e r d é

iOJJys

qollarda

La

dans les mains,

dans les bras etc.

2. L e s voyelles au moyen desquelles on j o i n t ces lettres de cas à un mot quelconque, sont choisies selon les règles de l'euphonie que nous avons expliquées p. V I L 3. L e £

et le o

se changent en £ c t à si le mot reçoit des ad-

ditions grammaticales, cf. p. I I I , 5. Cette règle cependant n'est pas applicable à un nombre de mots monosyllabes, tels que ^ y i bvq et

A.

Les mots finissants par une voyelle reprennent au génitif le

N o u n radical de ce cas.

Dans le datif et l'accusatif des mots de ce

genre on évite le hiatus en insérant un

(cf. p. V I , 6.).

5. L e pluriel turc est formé par la "syllabe j i prononcée /ar, si la voyelle radicale est forte et 1 e r , si la voyelle radicale est molle. L e pluriel des noms qui ne sont pas d'origine turque se forme en général d'après la même r è g l e , p. e.

devletler,

J ^ , jhiS

guller.

bablar,

j L J j J

Mais il faut savoir que nous

assez souvent le pluriel original des noms persans.

trouvons

O n en a deux,

l'un pour les mots qui signifient un être humain, on le forme en ajoutant la syllabe

a n , et un autre pour les noms persans qui

signifient un objet inanimé, on le forme en ajoutant la syllabe 1$;

XII p. e. iX/O o ' 1 ^ rnerdan homme,

QJ i j b j femme, J^ LgJLí* gulha

r o s e , ^lys- L^èL^- tcheragha flambeau. Les noms persans d'animaux forment leur pluriel tantôt en

et tantôt en L?.

On trouve

même des noms d'objets inanimés munis de la syllabe QÎ pour le pluriel.

Si les noms persans qui devaient former leur pluriel en

QI finissent par un s ils forment leur pluriel au moyen d'un «il g cf. khodjagan,

^ l í s ^ y o murdegan,

^-JftJLSS guchtégan.

Si

les mots de ce genre devaient former leur pluriel en l3> ils perdent généralement le » devant cette syllabe, LgjLs» khanha de ¿úL>. Les mots arabes sont susceptibles de trois nombres grammaticaux, le singulier, le duel et le pluriel; le duel se forme en Q ! an pour le nominatif et en J o ¿ » khatt, SjjO,

éin pour le génitif et l'accusatif; cf.

Q I L í » khaltan, yOjjii

y\Ja¿»

devletan,

khatlein,

-tein.

L e pluriel régulier arabe des noms de forme masculine est en > oun pour le nominatif et en satif;

p . e . jjïô^s

in pour le génitif et l'accu-

Q J J JJ'LX^O, ^jjïô^A

rnezkiouroun,

rnezkiourin.

L e nom féminin arabe finissant en s ou o forme le pluriel régulier par le changement de ce O en O Î , p. e.

khairet pl.

o L ç > khairat. Il y a un grand nombre de formes de pluriels irréguliers pour les mots arabes.

Ces pluriels irréguliers qui cau-

sent beaucoup d'embarras 'aux étudiants sont rangés dans notre glossaire parmi les autres mots selon l'ordre alphabétique. 6. Les Turcs ne distinguent jamais le genre par des terminaisons.

Quelquefois ils emploient des mots signifiant homme ou

femme, mâle ou femelle en les plaçant devant le mot. sont j t ou tíLí^jt er ou erkek homme, ^ ¿ ¡ o p femelle, p. e.(jiliXjJs dSJ

Ces mots

qary femme ou

fille,

erkek qaryndach frère, ( j i î i X j j i j i p

soeur, ^ ^ U i ! ¡^JS qary achdjy cuisinière, Q^LWJ! Ü ^ S S J ! lion, q^LwjI ^»wjii

dichi arslan

lionne.

XIII 7. L e s m o t s arabes de la f o r m e J J Ù ! af'al qui a g é n é r a l e m e n t la valeur du c o m p a r a t i f , f o r m e n t leur f é m i n i n en

fu/a.

Cette

f o r m e est écrite bien s o u v e n t ¡i*9 fu la, p. c. JAAOI asghar

le plus

pelit,

la plus

soughra,

J ^ b t athva! le plus l o n g , ^ b thoula

longue. 8. L e diminutif des m o t s t u r c s est f o r m é p a r l'addition de la syllabe

djik ou J ^ ? " djiguez,

djik, j X ^ j j j j : avrcidjiguez

p. e. O ^ ^ c avret,

avret-

u n e petite f e m m e .

9. L e s p r o n o m s possessifs s o n t a j o u t é s c o m m e suffixes aux n o m s . N o u s en d o n n o n s les paradigmes. Singulier. qachym m o n s o u r c i l u>wàlï qachyn

qoloum m o n bras

ton sourcil

qachymyz qachynyz

t i S J j J qoloun

n o t r e sourcil v o t r e sourcil

jLyi

t o n bras

qoloumouz

n o t r e bras

jJOyS qolounouz

votre bras

^ ¿ L ï oachy son sourcil

qolnu son bras. Pluriel.

fJL&t» qaehlarym

mes sourcils

(¿TjLils qachlaryn

tes sourcils

qollarym

mes bras

qollaryn

tes bras

^oJLillï qachlarymyz

nos sourcils

jA Slyi

qnl/aryrnyz

nos bras

j i ^ J L ï l ï qachlarynyz

VOSSOurciU

jiAlyi

qollarynyz

VOS bras

XùXi qachlary

ses, leur, leurs

f*

ses, leur bras,

sourcils Singulier. - » j d t , valident (¿'»LXJ^ validen

ma m è r e

elim ma main

ta m è r e

elin

y*KLXJIJ validemiz

notre mère

j S » i > J î j valideniz

votre m è r e

^JAUBVAJS^ validesi

sa m è r e

ji\

elimiz

jio!

eliniz ¿ i eli

XIV Pluriel. PJJKIX)!^ validelerim validelerin

valideleri

nos meres

iz v o s m è r e s

jAJL'I

eller'miz

jijJJt

eller'niz. elleii

ses, l e u r , leurs

Singulier. seuzum

Pluriel. seuzlerim

ma parole

iôyyM

seuzun

seuzlerin

jA^y**

seuzumuz

seuzlerimiz

^^ytM

seuzunus

(Jy_JM

mes mains

ellem

tes meres

validelerim.il j i J ï t X J l j validelerin

j^JJt ellerm

nos mères

n é s paroles

seuzlerin iz

^

seuzu



seuzleri

N o m s suivis d e l'affixe d e la t r o i s i è m e p e r s o n n e du s i n g u l i e r , 6) terminé par une voyelle.

a ) terminé par une consonne.

Singulier. ¿ j j 5 qoulou s o n e s c l a v e qoulounoun

^ A U ^ A S qapysy sa p o r t e yXÀjwjjJ

qapysynyn

¿JLÎys qoulouna

tSjMy^i

^Jyj

^çww^jkï qapysyny

qoulounou

Q I A À J ^ Ï qouloundan

QIAJLWJAS

qapysyna

qapysyndan

Pluriel. yi qoullary

qapylary

ses esclaves

iS&UjJJyS qoullarynyn

lÎ&J^O

qoullaryna *) lqoullaryny QLXJjLîyi qoullaryndan

*)

Généralement on trouve ^

ses p o r t e s

qapylarynyn qapylaryna

*) ^ l y ë QIXj^aS

au lieu d e

qapylaryny qapylarynclan

^^JU^Î, ^JH^jS.

XV

L'ADJECTIF. 1. L'ailjcctif turc qui sert à qualifier les n o m s , les verbes et d'autres a d j e c t i f s , suit toutes les règles du substantif qu'il remplace bien souvent.

Il ne s u b i t jamais aucun c h a n g e m e n t car il reste le

m ê m e p o u r tous les g e n r e s , n o m b r e s et degrés d e c o m p a r a i s o n ; cf. eii adam ^Lo!

bon h o m m e ,

eïi qarj

b o n n e f e m m e pl.

^-Lijlï j j j etc.; j^-uyjt l i f J j U i ' kitablerin

eïïsi le meilleur

des livres. 2. P o u r r e n f o r c e r la valeur de l'adjectif on emploie q u a t r e m o t s : ou LSO dakhy ou daha sens du comparatif, cf.

davantage, e n c o r e ; ce m o t a alors le

jJj'-xé

O^JJS qourt itden

QIAJ!

daha

ghairetH dir le loup est plus courageux que le chien, w i en au sup r ê m e d e g r é . 'vi^L; ¡>ck très, ¡^^-rT tchaq b e a u c o u p . Ces trois m o t s donner.t à l'adjectif le sens du s u p e r l a t i f , lerin

^ I ufjLoi

adem-

ci ciisi le meilleur des h o m m e s .

3. La syllabe ^

raq ou u i , rek ajoutée aux adjectifs forma an-

ciennement une espèce de comparatif, p. e.

iechit,

r.hilrek plus vert, ^J^f J! altchaq bas, ^jj yj-S^J! altchaqraq

u i JLia ieplus bas.

h. Le c o m p a r a t i f et le superlatif des adjectifs persans se f o r m e n t en Ji tir e t ^y^ berterin

terin, p. e. ji ber haut, J u berter plus haut,

Q J J J

le plus haut.

5. Les adjectifs d ' o r i g i n e arabe suivent parfois les m ê m e s r è g l e s que le.< n o m s a r a b e s ; ils f o r m e n t g é n é r a l e m e n t leur féminin p a r l'addition de s, p. e. u n due* e t un pluriel.

zahyr p. vJ>Uh zahyra.

O n en p e u t f o r m e r

P o u r les degrés de c o m p a r a i s o n il sera utile

d ' e n savoir q u a t r e formes : J ^ l i fa'il u n h o n m e q u i s a i t ; ^j-uts fa'Tl, t u d e d< savoir, u n savant.

p. e.

simple adjectif, p. e. J>le a'iim u n h o m m e qui a l'habi-

J l * 9 et *Jl*i fa"al

c o m m e pbic

allam

XVI ou

îw^lc

allante très savant et

Jjis!

af'al

comme |«Jlc\a'lam le plus

savant, (cmp. pag. XIII, 7.)

LES NOMS DE

NOMBRE

s'emploient sans subir aucun changement à moins qi'ils ne soient pris substantivement. Les noms de nombres cardinaux simples de la langue ottomane sont les suivants: ji bir un

otouz trente

iki deux g.

Ji qyrq quarante

utch trois

J J ! elli cinquante

Oj^Oi deurt quatre

altmych

bech cinq

^lXj

(ji^klLi ietmich soixante-dix

ally six

qLmXa*

iedi sept

^LwAb dhoqsan

J)LM sekiz huit

j^OjXj

on dix

sehsan

quatre-\ingt quatre-vingt-dix

iouz cent

dhokouz neuf q ^ î

soixante

bin mille « ^ o j ^ j

iiguirmi vingt

q^jjJvO

iouz bin cent mille milioun

million

2. Les noms de nombre cardinaux composés se forment par juxtaposition, p. e. ( ^ j J q j ! douze, vingt-quatre,

q ! » . i w j JJ cent quatre-

j j j ( j i j e & u q ^ I 10533 etc. L e nombre

le plus grand se met toujours le premier. 3. Les noms de nombre ordinaux se forment des noms de nombre cardinaux en ajoutant à la fin ndji ou indji, p. e. le premier, ^^SUjç-j! utchundju

le troisième, ^ S ^ j y i

iouzuridju

ikindji, ^ ^ s u x i ! altyndjy,

iedindji, ^¿f^S^yi

le 400ième. ^ ^ u i î i ellindji.

birindji deurt J

Le mot O j ^ et ses composés font

quatrième en changeant le / final en d.

XVII L ' i n t e r r o g a t i f numéral cardinal ^.lii combien ? forme l'interrogat i f numéral ordinal ^ - S U ^ - l ï i/aic/iyndjy

le c o m b i e n ?

•i. P o u r indiquer la distribution relative on a j o u t e u n ^ aux noms de nombres cardinaux t u r c s , p. e . j ^ J hirer un à c h a c u n , ^ S - j i trois à chacun.

Mais si la dernière lettre du n o m b r e cardinal est une

voyelle on intercale un

entre celle-ci et le r, p. e.

cher deux à chacun, L e m o t ^jyà

iki-

ally char six à chacun.

deurt change son o

en 3 devant le r, p. e.

P o u r les centaines et les milliers, c'est le m o t qui en indique le n o m b r e qui prend le signe du distributif, p. e.

^¿Àjudl alty-

char bin sept mille à chacun. 5. L e s fractions sont généralement formées par deux noms de n o m b r e cardinaux turcs: celui de deux qui indique le dénominateur de la fraction se place le premier et prend la postposition »3 après lui.

L e nombre qui suit est le numérateur: -J

sur d e u x ,

siXi^t trois sur dix.

' . des mots t j > djuz portion, hysca

1

ikidé bir un

O n ajoute assez souvent l'un

pai p a r t ,

qysm

partie, iuas»

l o t , à chaque partie de la proposition f r a c t i o n n a i r e ,

p. e.

O n emploie aussi les nombres fractionnaires arabes jusqu'aux dixièmes pour les dénominateurs et les noms de n o m b r e cardinaux «O I turcs pour les n u m é r a t e u r s : bir nisf une m o i t i é , utch rub'

trois quarts etc.

L e s numératifs fractionnaires depuis un O» 37

tiers jusqu'à un dixième sont des formes et su/us,

(_>AX«I suds

et sudus

J o t i , ex.

un sixième,

sumn et sumun

su/s un

huitième. V o i c i les formes des chiffres que l'on emploie en a r a b e , persan et t u r c :

i

r

1 2

r

f

o

i

v

a

i

.

3

à

.5

6

7

8

9

0

11

XVIII LE

PRONOM.

1. La classe des pronoms comprend les pronoms personnels, les pronoms démonstratifs et les pronoms interrogatifs. Table des pronoms personnels. Singulier. 2. prs.

3. prs.

QJW sen tu, toi

»>\ o il, elle, lui

1. prs.

N.

^jJ ben je, moi

G.

benim

de m o i

D.

bana

A.

beni m o i , m e

Abl.

QI^ÀJ

à moi

^XM

senin

de t o i

IXw sana

benden

seni

à toi

Lif ! ana

toi, te

¿ 1 anj

de

senden

^OJMI

de moi

anyn

QLXJ!

d e lui, d'elle à l u i , à elle le, la

de lui, d'elle

andan

toi Pluriel.

N.

a biz nous

G.

siz vous

bizim de nous

,,

JLi! anlar ils, elles, eux ,,

2. Le pronom réfléchi est représenté dans la langue ottomane p a r le m o t ^LXÀÎ' o u

kendi.

Singulier. 1. p r s .

¡OJS,

^SJS

Pluriel. kendim

ji-SJS

moi-même 2. prs.

o u jaOJS

dimiz nous-mêmes

vu iXij' kendin ken-

Ou

toi-mème 3. prs. ¿iXii',

ken-

kendisi

diniz vous-mêmes .¿¿S OU j J r t X ^ y ,

lui-, elle-même

ken-

diler eux-, elles-mêmes

3. Les pronoms démonstratifs sont en turc:_^J celui-ci, celle-ci; JM chou o u o

celui-là, celle-là.

^jjt in ceci et Q! celui-là; en arabe: ceci et u5\Ja v o y e l l e qui p r é c é d é le r de l'aoriste est un

XXIV Passé. ^/olXjI j j l ] alyr idim

ou ^o^Jt alyrdym j e prenais (habituellement),

n/jr idin

tuOol

lifcJI

je prendrai,

alyrdy

j'aurais pris

^¿J!

alyrdyq

JSòJi\

alyrdynyz

jijpJI

alyrdylar

UÎlXJÎ j JJI a/j-r idiAr / j u î ^ J ! o//r idiniz

alyrdyn

alyr idiler ou

alyrdym

^òj^lj

bil'rdim

et

¿SÓJli bil'.rdin biV.rdi tii^Jb bil'rdik biïrdiniz Parfait aldym aldyn (jjOJi

jLiiJj

bil'.rdiler

bildim

j'ai pris

¿TLXL bildin

aldy

bildi

jjjiXTl aldyq

^ j J u bildik

jitXJt

aldynyz

JkXlb bildiniz s

JujJÎ

aldylar

JjjJb

bildiler

Plusqueparfait. ^XJLXJ)

OU ( Ç J U I

^IXJIAJJ bi,didim

^OJJI

aldydym .¿^jJt

Ju! j i j b

ala alavyz,

bilmeli

idim

biléïim

o;

b ih's in

aJb òi/e

ala'yz

bilrviz, jjCw&Jb

alasynyz

biléiiz

bilêsiniz biléler

alalar

Parfait. .•«AjS ¿ul a/a ¡'¿/m ¿> «JÌ a/a iV/n (^^j! 2>J! a/a «Zi «Jï a/a «¿/A: *JÌ ala idiniz

Jbt\j(

a/a

idiler

&Jb bile idirn

.^«lX-J! alaidym

bileïdirn

u5 JoJI

alaidyn

tu iX^j

bileïdin

^»A-Jî

alaidy

^iXJj

bileïdi

tìS^Xdj

bileïdik

^lX^jÎ

alaidyq

jJlXjJÌ

alaidynyz

JliiXJt

^

alaidylar

Conditionnel (Aoriste.) alsam nis an

si je prends

^•.amJj

.. . bileïdiniz Ju.iXJb

bilsem b ils en

bileïdiler

XXVII Xwj! aliti ^

XvJkj hi/ir

i nlstitj a/sonj

w^LwJb bilsek c

—alsalar

^.wij

//i/svniz

..2wJIj

bilstler

Parfait. ^-oiAaav»! a/saidjrn

si je pris,

•JLVymJ! alsaidjn

j'avais,

(j^X-yoïj! alsaidy

j'eusse pris

alxaidyq

JjiAajwwÌ

bilse'.dim ^ uX^^wJL

bilseïdin bilse'idi

ti5t\A,wJlj

bilsc'idik

alsaidynyz

^vXa^Ij

bihcïdiniz

tihaìdylav

-ljL\-y*Jb

bilse'ìdiler

I n f i n i t i f. jj^éJì atmaq

prendre

iìSUIj bihuck

savoir

Participe. P i . •seni

(J)

Aor.

et J l alyr

Passé Parfait Futur

alati

qui prend

qui premi, p r e n d r a j^jJu e t J b bilir

ahnjih .

( ahlyi/

^¡^>-¡0) aladjaq

qui a pris

Parfait Futur

(ji^Jb

qui a pris

bihnicìl

¿S^XJj bildik

qui va p r e n d r e Noms

Présent

I11'

O*

biUdjek

verbaux.

¡wi) a Ima ( l ' a c t i o n d ' ) o u v r i r (jj 1 -^- " M / ' ì (l'action d')avoir o u v e r t n/adjay

(l'action de) d e v o i r o u v r i r j bilmé tìSAL

( l ' a c t i o n d e ) savoir * )

bildik bilcdjek

* ) Les n o m s v e r b a u x s o n t déclinés t o u t - à - f a i t c o m m e les n o m s , p. e. **Jb g e n . eXiiwJu o u i i Î w J b , en o m e t t a n t ou m e t t a n t le 2.

o u X ^ J u ; q O ì ^ J j ou ^ i X j b

xxvm G é ro nd i fs. prenant, ayant pris

i-J)Jt alyp jj^jxJî /

prenant, en prenant

alaraq alydjaq

^ '

I-JJJJ

1 .

,

bilerek

.

(¿jLsuL

> lorsqu on aura pris

alyndja

_jJiJi

aJb bilé

à cause de prendre.

almaghyn

(js-îCJj

depuis que j'aî (tu etc.) pris

alaly

bilidjek bilindjc

«J! ala prenant

ysjiJT

bilip

bilmeiin biléli

Modèle de l'Aoriste de l'Indicatif d'un verbe négatif. ^MJ! OU

almam,

almazym^»KB,

bilmem,

almazsyn

j*Jt

bilmezem

bilmezsin

almaz

j^Jb


!

kesil

sois ouvert Q^MJLWJ"

tiivL^O'

k e s il in

kesilsin

atchylalym

kesiU'lim

atchylyn

kesilin

j J l j j j * J L ç - l atchylsounlar

kesilsinler Présent.

^Oj jjJLç-!

atchylioroum

j e s u i s o u v e r t ^OJJ^IMS

atchyliorsoun

,-JMIJ

2

kesilioroum

JJJIM*^

J ^ J J ^ J c ^ l atchyliorouz

kesilinrsoun

^ J M Ì J ^ A M S

^ j j l r ^ l atchylior ^

kesilior

^ J J J I M S

atchyliorsounouz

kesiliorouz

jiLmj

atchylior/ar

kesilinrsnunouz kesiliorlar

ÒJJAJMS

Imparfait.

^OIAJ!

atchylior

idim

^OLXJ! J^AMS

etc.

kesilïor

idim

Aoriste.

atchylyrym alchylyrsyn jjJ^H j j j h ?(

je

^Ojji^uS

kesilirim

Î & M J ^ M S

kesilirsiri

suis

ouvert

atchylyr

JJÏLIMS

j j ^ i ^ S

atchylyryz atchylyrsynyz

JÌLHÌJJÌUMS

JhjjbuS

atchylyrlar

kesilir

kesiliriz kesilirsiniz

kesilirler

Passé.

^•oiAjl j jJLç-i

atchylyr

idim

^otVi!

JJÌMIS^

kesilir

idim

XXX Parfait.

^olXJIîj-!

atchyldym

j'ai JLJI

eledidi

idédjek il va faire

li&SfiAjl eïlciedjek

* ) Le verbe ( J f * ^ y//'««'/ peut être employé dans la même signification, mais cela arrive moins souvent dans la langue ottomane que dans le dialecte du Tcliagataï.

XXXIV Futur passé

U^JS-BU^J!

idi il

idédjek

allait faire

(^JLXJ!

eïleïedjek

idi

Nécessitatif. Présent Parfait

itmeli il faut qu'il fasse ^ L X J ! JJU-XJ!

eilemeli

elmeli idi il fallait

qu'il fut

eilémeli idi Optatif.

Présent

idi qu'il fasse

Parfait (^LXJÎ

SLXJ!

eïlcïé

idé idi qu'il fit, qu'il eût fait

^tX-ij

«XJÎ

eilé

idi

Conditionnel. Aoriste Parfait Infinitif

»-wuùi Usé s'il fait ^LXJ-WJJ!

et'lésé

s'il faisait, avait fait

itseïdi

i^fjCJ.Î itmeh (etmek) faire Participes

Présent

iden qui fait

Aoriste

jOwjj ider qui fait, fera

Passé Parfait Futur

idédjek

(jà^Lil

eïieri eïler eïlemich eïledik

qui va faire

eïleïedjek

passifs.

aiiAXil itdik qui est fait (par un agent qui fait)

eïledik

idédjek qui va être fait

eïléïedjek

Noms Présent Futur

JJLJÎ

(¿OJuî itdik qui a fait

Futur

Parfait

actifs.

itmich qui a fait

IS8 itdi eiledi il a fait la division, il a di-

visé ; jJy*,Lij yJsiAjl ( J M j à j

lafriq

idéHm eUételim

nous voulons faire une

séparation, séparons.

olmaq

Conjugaison du verbe auxiliaire

olounmaq.

et de son Passif Indicatif. Jk>t ni sois

Impératif

^yij! olior il est j^yjSl*^

Présent Imparfait

(^VXJÎ

Aoriste

(_5IAJ! Passé

olttunitH-

olior idi il était ^I^JÎ ofounior

idi

oioitr il est, il sera o/ounil avait etc, il eut cte

idi) (^vXilX^Jj!

oloundoudou oloundou

oladjaq

Futur

idi

il va être olounadjaq

Futur passé i^jiXj! ( j f ^ a J j l oladjaq

idi il allait être ^ J ^ i ù J j l olounadjaq

idi

Nécessitatif.

olmaly il faut qu'il soit

Présent

jJLmJj!

olounmaly

Parfait (^gvXit _yJIjt olmaly idi il fallait qu'il f û t , il devait, aurait du jXfcÀjjl olounmaly

être

idi

Optatif. Présent

ai.,! ola qu'il soit

olouna

iùijt

Parfait ^ l V J j ! olaïdy qu'il fut, eût été

olounaïdy

^vXajJj?

Conditionnel. Aoriste

nis a s'il est

Parfait

olsaïdy

olounsa

¿lw^JjÎ

s'il était, avait, olounsaïdy

eût été

Infinitif. P r é s e n t (Jj^jî olmaq

^j^iJji Participes

Aoriste

jj- ^

Passé

(jii-ljî olmouch qui a été

1

o'"*"^

olour qui est, sera

Parfait

oldouq qui a été

Futur

oladjaq

olounan olounour olounrnouch

JJ>vXàJ_j! oloundouq

qui va être

Participes Aoriste

actifs.

olan qui est

Présent

olounmaq

ois»**!!}!

olounadjaq

passifs.

oldouq par, avec, à, de, dans qui on est oloundouq

XXXVII F u t u r v«Jis»&î}t

oladjaq

par, avec, à, de, dans qui on va être

olounadjaq

Noms

Présent Parfait Futur

verbaux.

olma (l'action d')ctre ìwaJjÌ olounma ^ j j ^ J j ! oldouq (l'action d')avoir été ^ A à J ^ I oloundouq (jf^-aJ.,! oladjaq (l'action de) devoir être olounadjaq ¿djl

Gérondifs.

oloub étant, ayant été olounoub ^ y i î j t olaraq étant, en étant (¿J**^ olounaraq oloudjaq (olydiaqYl . . . . . .,, • Iquand je (etc.) suis, ai ete, serai X^jJjt oloundja J OL^WJj! olounjrdjaq f^SU-Jji olounoundja ¿Jjl ola étant iUJjt olouna y y t i j i olmaghyn à cause d'être y^JttÀJ^i olounmaghyn ^ ¡ ¿ J j ! olaly depuis que je (etc.) suis, ai été jJiUJjl olounaly y^j-Sj!

O n f o r m e par moyen de ces verbes une grande quantité de verbes composés, p. e. :

j jjJj!

'

jlaS

làhyr ohnaq être évident, se manifester qatii olounour il est, sera coupé zikr olounour il est, sera mentionné.

Du verbe substantif. II y a deux autres verbes substantifs qui sont très souvent employés comme une espèce d'auxiliaires. fectueux.

ler.

Ces deux verbes sont dé-

L e premier en estjk> d i r c'est, il e s t , au pluriel d i r -

Il sert d'affirmation ou de liaison logique entre le sujet et son

attribut.

L e deuxième de ces verbes : ^ « j J ( ^ ,

de la manière suivante:

s i ) se c o n j u g u e

XXXVIII I m p é r a t i f manque. Indicatif. Présent. S*) im je suis

jjf (

sin tu es

ÇJM

J Î L M

j ) iz nous sommes

siriiz

III. prs. manque

vous êtes

III. prs. manque Parfait.

idim j'étais, je

dim,

(lik,

UÎIAJ!

idik

fus, j'ai été tutViî

din,

idin

j S £ l X j ! diniz,

(_5!c Q ^ j !

B^fjj^î

0

BjJLüJLytols

LìLj ç

j ^ Î ^

(^çJJLW^^zi

lyiîM J

0

JUaoÏ qÍ^JÍ'

üóJLo!

0

^LVJÎ

QiJvj J u i L s -

^JUS'

QiA*L ^Î^LXJÎ

lîaJU

lîlsSl

W

uJjlXjJ' q ^ - S ^ j !

IOJ jJ

L j

c i J I i A c »S

iA^JÓW

JJJJÚJS^

*

0

^ly)

I^Jjw ( ^ J U L ^ ¿U¿>



f

^ j j j u j "•'' : —

¿uJut

sJ^L^J

rGî

Xo

UJyJjl

••

«

£

(Jlc

ß

»S j¿> j j

SiA^LsUi

hJjWj

KÍXÍkXjÓ

¿I

J f J j ^ j uJjjjJa jJ

LO ^ ¿ O J^LXj! j t ^ w

Í-^LM

g^i

jjî

^LLJLW »tXpLi^s *»Í-~Ó l

Vij'i

^IAJL^UÎ

J ^ ^JÄLuww»

stXjJtjl »¿jJjjJ

Vi'-Ví'

j¡>

¡ W ^

gvXj v l ^

xJm

5

i

s

^ i-o^i

(jl^f" jjjlit 1

^J&Lja«-«

2 jIäjIcj J i »

ji ^gJccUjí

oL¿xJ! ¿úíys- J J ^ J ü l j ^

nSjüy^a

q^Xa/

j j J j / O SLXÍUSÍ

xJCÜjmLúo

^iXiíJa

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^yuJaLw QL^SVXÁÍ ÍÚJ_I e

11 —~\ ^Oj^

ÁXXJÜ

Q1

plur. de

qualités du coeur, naturel. a J l ^ s - Î ahval pl. de JL=>, affai-

t Jl

ad

a ^ L X s - ! yhtiadj

besoin; indi-

gence. a I vi»li\s»( yhdas

nom.

eda payement; a i r ,

I htisab compte,

produire, in-

venter.

ma-

nière. a yW

adab pl. de

bonnes

moeurs. a K.bî

idaré circonvention, circulation.

yhsan faveur.

autre, l'autre.

vie.

environner,

a

vieillard, vieux.

res.

odji amer, douleur,

a

libre arbitre.

a OyS»! akhyrat

pl. de ^ t

tous. t

sottise, b ê -

a j ^ M j S » I akhyr ulemr à la fin,

fixée par le destin, t ( J j J ^ t atchlyq

propre

tise.

(plur. de

g r a n d p è r e ) ancêtres. y

udjret

nom

t ( j j l a j ' ! ahmaqlyq

g u e r r e de r e l i g i o n ; une opi-

a

apprê-

d'homme.

idjtihad

edjdad

yhzar

M^cl j L O E - I ter,

vermek

permettre, donner la permis-

a

a

bienfait, g r â c e ,

t lùjô]

edrené

d'Andrinople.

nom de la ville

a JÎM edille

pl. de JSJJÔ a r g u -

ments, preuves,

t

arslan lion,

t

' archoun aune,

t _yJiM adlu nommé,

a tjsjt ars la terre,

a

a ¿Lèjt irghad ouvrier (¿£yaT»jç).

et ¡»M Adam, homme,

t ^>1 adum

t

le pas.

t «jO>l edne nom d'un gouvernement. a

arqa

dos.

a ^JfJ erkian colonnes, soutiens; > pl. de ç f j

izn permission; pag. 21 il o> y a une faute au lieu de

voyez

parvenir at-

teindre. a jfcSôjt urikum je vous montrerai,

a QLM um oreille,

t j ! az peu.

t \j\ ara milieu, intervalle,

t

aram se reposer,

a

erbab possesseurs, doués, pl. de V ; membre du divan, UJIJJI erbabi divan

mem-

bres du divan, conseillers d'état.

t (Jfjjl artyq plus, d'avantage, irtikiab

etmek

faire;

commettre un crime, t (jf-f;! artmaq

a u*L»1 eças base, fondement, pl.

de

Y-***

motifs, instruments, utensiles. t

a ¿Uw! ousiad maître,

cour.

£

seuil,

porte,

—•

acitaneï-sea'det

ce impériale Constantinople. à I-J^LSWI! istidjlabé

désir,

a JLwjl irsal envoi

^LMNÏ csbab

la porte de félicité, larésiden-

an a r r i é r e ,

a QOJ! arden le Jourdain,

yer.

cienne Bithynie.

p a O0>L*«f «JLAAWS

t (J^Tjl aritmaq nettoyer,

p j j j l arzou

t ( J ^ j j ! ' z n j q Nicée ville de l'an-

p ÙLÙN) acitane

croître, aug-

menter, t QOJI ardèn

t (Jf^jl azitmaq pervertir, a ^ j l ezeli éternel,

a

t o , t ou ¿jl derrière, a yl

dim. de j ' p e u ,

un petit peu.

p 5

a

azadjyq

envo-

l'action d'at-

tirer, acquisition, a AÎLSÏÙ«! istihalé

de position.

10

changement

90 istjkhdam

emploi,

a t jl^Olwi isti'mal

a

se servir,

manière, a (W^i ism nom.

faire usage, a UftXwt Ut if ta la demande d'un

a i>Li*vi asnad

fetva, solution d'un cas douteux auprès d'un savant, juge, a QJLt.'rwî istimalet

caresse,

flatterie, t

U5VMLW!

demander,

p

asoud tranquille,

t

issi maitre, possesseur.

istinad

se reposer,

a ^jl^Uwt ishaq n. pr. de es'ar pl. de si'rIsaaq. prix, taxe de denrées (Preistaxe). plus bas, le plus

bas. usgour peït espè-

que.

Aie-

eski vieux. jUas> ^ w ! eski hysar

vieille tour, nom

a f^lwt islam religion mahometane, islamisme. islam yla

fcL^-rt

t

ichtira

acheter,

ou

ichitrnek

entendre, a j l ^ U i t echdjar

pl. de

i—jL^i! ichrab

oloun-

maq être bu. achref zade nom d'un

Cheikh. cf.Djihannuma662/)3. a i j l - A Î achraf

pl. de

\JUJM

a ^ ¿ ¿ i t et ^ ¿ L i t achagha

en

bas ; le dessous, gouv. l'abl. avec la

confession de l'islam, t J j ; obLwt islamboul

OjLiii avertir, no-

les plus nobles, notables,

d'une place,

«XJÎ

a

ÎOÎJ

xandrette en Syrie, t

indice, mar-

tifier.

a t ^Jj t *

iskeleh port, iskenderoun

esir prisonnier,

arbres.

ce de poisson.

a QJJJ^XÀX*»!

isci chaud, chaleur,

a OjLù! icliaret

s'appuyer,

t o^J

LJ-WÎ

a

a t oLx«!

appuis pl. de

sened.

VXÀJW

t

istèmek

a JJLwî esfel

usloub ordre méthode;

achikiar

clair, évi-

dent. pour

J^OULMI Constantinople.

t uiUjlXil! echkiarlemek quer.

expli-

91 t li^dL&ï

ichlenmek

être tra-

p I-Li! achina

achouri

t Loi aça

au de là, de

a

fermement,

içaleten

possesseurs, amis,

t tìJ^H Ubo! y s glia

entendre,

nullement,

t

t ^Lc) aghadj

d'au-

récom-

mander. t

asma

pendant, treille,

a uîLiAai asnaf

pl. de

a i ftlllsi ythala

etmek

alonger,

prolonger, a k_îLb! ethraf

pl. de o i

co-

tés, environs, limites, a tiSLrt

ythlaq

a J j b i athoar

répudier,

pl. de

ac-

tions, mouvements, a

JLJJWC!

appréciation,

ytybar

considération, honneur. a t U c i y'iyna

soin. y

a Luci a'za bres.

aghyrlmaq

pl. de j ^ a c mem-

causer de

t ^ ^ U O - è ! et (^SUOjlcî didji

aghar-

qui blanchit les murs,

badigeonncur. t j ^ A j î - c S eghribouz

Négropont

EVgtTTGÇ.

t j e t aghz bouche, t 0tifi

corporations et jurandes,

arbre, bois,

la douleur.

être pendu,

ysmarlamaq

a'ni je veux dire,

t

cune manière, t ^ J U s i asylrnaq

oeu-

t Ici agha seigneur, maître,

a J ^ i asl cause, origine, a iboi asla

pl. de

vres. provinces,

suspendu.

a b>- pLt eiiam djahiliiet

t ,JvJ iki deux.

les

t

porter.

temps du paganisme, t

èitmek dire,

t

ou lj

cause, auteur,

p t i - ^ c l j baghtcha jardin, monarque

t _jJlcIj baghlu lié, attaché, t oulcL

empereur, t i w i - j l j partcha

baghlamaq

t vJiïL baqmaq

p » j I j para

a ¿ I j baqy

morceau, p i è c e ; p e -

tite pièce de monnaie, paralu

p t

bazar

p

Les

t v J u t f L ) paklamaq

marchand.

écrivent

bouc. a (^jjjjAalIj bizzarouri par force,

bazyrgan.

forcement,

t ( j à L bach t ê t e , chef, chapitre, t « à j ^ j ^ I (jiLi bach uzrineh

a u ^ I j balis n o m d'un g o u v e r -

sur

ma tête, volontiers,

nement, t OtJlj balyq poisson,

t j - U i l j _jJLLj notable, distingué. t LiL

t O L ^ J L baltchyq limon, argile,

ce m o t

ordinairement ^ f t j j ï et p r o noncent

ncttGyer.

t JL bal m i e l .

marché,

Turcs

permanent, éternel,

p ti^Li pak pur, parfait,

profitable,

p q I ^ I j I j bazarguian

regarder,

restant,

bari créateur, dieu,

a ^ I j

lier, atta-

cher.

morceau,

a OjL barid f r o i d ,

titre des grands

a ¿dîlyclj bi'emrillah

gouver-

par la v o -

lonté de Dieu,

neurs des provinces et des pre-

p ( ^ L paï pied, base,

miers dignitaires de l'empire,

p vi^^-O' ( ^ L i paï takht pied du

t O W j i v L bacharmaq

accomplir

finir. t

commen-

cer.

mentaire turc du Qamous par

p

bachlamaq

t UùJUiL

*AmL

t r ô n e ; résidence, p JXJ beter pire, pis.

bachqa

séparément, à

t

bitmek germer, croître.

98 t

biturmek finir, achever.

t

baras lèpre,

a

burqa' voile, cape, capuchon.

bitchaq couteau. bihamdillah

par les

a oky

louanges, par la grâce de dieu, a

bouhaira petite mèr, lac.

p

bakht bonheur, félicité,

a J^S bakhl avarice, parcimonie,

équivalent, échange,

t -i bir un.

a (jy^J

a

berkevi

n o m d'un au-

j} birké bassin, réservoir,

t ALJ birlé avec, ensemble, aussitôt que.

ji ber

moudjib conformément, pur plein, beaucoup,

premier lieu, p B I A J . J perendé

ci, depuis. C'est une postpo-

J

sition qui gouverne l'ablatif,

a (jjjji buraq jument céleste, t OiSt-J et

braqmaq jeter,

t

et

par l'assistance,

t

conserver,

de raisiné,

rel. ar.

a

charge

garder, attendre.

le re-

pentir.

a t^yeJ

t

repentant.

t UiJLjl > > •'•'».; pechimanlyq

des

d'un bcïlerbeï.

7

a

bey

t I ^ L X J - I X J beVtrbcïïik

a -> i o• becher homme, mortel.

a

le

beys, gouverneur général,

a CJjLio becharet nouvelle agrrablc.

bcïhrbci

belki

peutètre,

u5vdLxJj bilenlemek

réveiller

mais, plutôt, t

en sursaut, t

bellu connu, manifeste,

t j+Ju bilmez ignorant, t (¿J\Jj*L bilmeziik ignorance, t t ^ + L bilmek savoir, connaître, regarder, p yiCJL pelenk tigre, léopard, t tiiUjJu bi/inmek être connu.

100 t ¿dj bile ensemble, aussi,

me. u&f Q j i faire des cho-

t tiiL^xL bilézik espèce de bra-

ses méprisables, t J^J écaille de poisson,

celet de verre, balhout nom d'un pois-

a

t

boulouchtourmaq

^ O J X M J ^ Î

procurer une audience.

son fabuleux, a j j beli certes, sans doute,

t ^Jj t

a IÀJ bina édifice,

boulouchmaq

ver ensemble,

a «fc-t Lu bina etrnek bâtir.

t

a UJ benna architecte,

t (Jf-^-J boulmaq

p «J^UJ pendjéré

t

a jiXo

bender

fenêtre,

beuluk division, corps,

boulounmaq

t

beuilédjé

beni israïl les en-

se trou-

J beuile ainsi.

binmek monter sur.

a J^ILM!

trouver,

ver, être présent,

port de mer,

place de commerce, t

se trou-

t

ainsi,

boï taille, stature.

t_jJj_jJ boïlou qui a une grande

fants d'Israël,

taille,

p ¿Lyo buniad base, fondement, t

boioun

t tî^s^J beudjek ver, insecte,

t

boïnouz

t

a ¿u bihi avec lui, en lui.

t b o u

ceci, celui-ci.

bourada

pour

»^jyi

boursa

la

ville

de

p Lgj beha prix, rançon, _jJLfJ cher, précieux.

Brousse. t

bouroun

p^Lgj behar printemps. >

nez.

>

t oU^^J

bozoulmaq

se gâter,

bozmaq

t jlèjJ

boghaz

gâter, violer, gosier, gorge,

t .

boghmaq

QLC^J

buhtan

calomnie,

bàhaq espèce de lèpre,

a o ^ ^ g j bahmout

poisson fabu-

leux, p £ bi sans.

détroit, canal, t

a a

se corrompre, t

corne,

p M bé bon, meilleur,

ici. t

cou.

suffoquer,

boq excrément de l'hom-

P O ^

p

taki afin que.

a O ^ S lï te'ekid confirmation. a jJolï te'emmul

considération,

réflexion, t ! J ^ l ï te'ehul se marier.

102 a t

changer,

labdil

p

être rasé,

altérer, a j+i

t

rafraîchissement,

tebrid

tepè (on écrit plus souvent

a « j j turbé

a!

struction,

renouveler,

tedjessus

a uuiu

taht

a

sous la juridiction, tahtal

a i ^ f t ^ o - j ' tardjih qal'at

la

a C O j ' tereddud

place du château, un quartier de Constantinople. a

tahdis

p tjùji causer

lahrtr

a

a t ( j a j J L S l j tahlis olmaq devenir pur, être délivré, apprêt, prépa-

r a t i f ; ti^i-'i préparer se pourvoir. a (jAUjvXi'/edrw fonction de p r o -

a B-S'iÂj' tezkere a

attourab terre.

augmentation de

terk laisser, abandonner, t

espèce de pois-

turhouz son.

p c j A ^ j ' takht t r ô n e , siège,

fesseur.

parchemin.

tirche

la solde; avancement.

te, collecte,

a uS^kXj tedaruk

irrésolution, r e -

a ^jiLj taraqqy

écrit; lii^rl écrire,

tahsil acquisition, quc-

préférer,

fus.

d'affaires, raconter; annoncer, a

interpréta-

terdjeme tion.

SOUS

a JmlaH

ordre, arrange-

tertib

ment.

prendre des

informations, espionner, a

sépulcre.

a o - o j ' tarbïiet éducation, c o n -

cime, colline, a l X j i X ^ j tedjdid

u^-j-l ( j i i j '

raser, tailler,

tibr or natif en mine,

a

qui r a s e ; ( j & f j -

tirach

enseigner, billet, la poussière,

a î g o ^ j j lezeidj a

marier,

consolation,

teselli

a î jVJ^Lwj' taslim saluer, confier, rendre, r e m e t t r e , a f-^*-1

tesmïé

dénomination,

appellation, a u j ^ m J techerrub

boire,

bois-

son. a î à^wj' honneurs.

leclirif

rendre des

103 a

(jà_>techvich

a

trouble, confusion, a ^ » J u a j * tasadduq

l'action

de

d o n n e r aumône, a !

I_JMOJ

t !

posséder,

séparation.

a !

tajhim faire c o m p r e n dre.

a -JIXSJ taqdlr destin, prédestilaçarrou'

a

t

ta'bir

tc'adjdjub

a

admiration,

tekiallf pl. de JBJ laqrir mémoire,

olmaq ex-

p l i q u e r , décrire, interpréter, a utó^'

nation.

humilité, sup-

plication,

a

tcfryq

t

altération.

a 5 J U S tcfekhur réfléchir,

composer, ré-

diger. a

changement,

a ! ^ o j ^ r j /c/iv'i confier,

taçarrouf j lasnif

rat

mélange,

a ! o i l i ' telef perdre, ruiner, a ! (j-jiLi talqyn

taghaiiu-

enseigner, i n -

former, t J A J t h vite, prompt.

104 p

tlgh ¿pée, sabre,

a

t u & J j j + f r i n. pr. Tamerlan fa-

dieu.

meux conquérant tartare.

temel I^iy

base, fondement. temel kaldm

^UTjj' tevekkulan

a

timsàh le crocodile,

a

confiance en en

confiance,

a ¡»Lr temam complement, entier, a

tevekkul

tehlike péril, lieu périlleux,

a (j>i tin

figue.

texte,

p Q J ¿era corps, personne, a I

tenaooul

a 1

tenbih

manger,

a t> Se la quatrième lettre de l'al-

defendre, or-

donner.

a v ^ o t sabit fixe, constant,

t «J^SUJ tendjere

casserole de

cuivre, chaudière. m a «j*j tenezzuh

M J U

second,

a

(¿yJUdl essalisu

Q J - W J Ï J

ichrouna a

tenechchur

l'imam lave le corps

d'un

mort avant de le porter à la sépulture. a i u~jui'£ tencffus

respirer.

teveddjuh

ner vers, s'acheminer,

a

tevzî'

assuboutiié

constant,

suius le tiers, a Lo sena louange, a vi?-*' sevab récompense d'une bonne oeuvre, a

savrî homme de la ville Thavr. adj. rei.

S 5 a ^ djim la cinquième lettre de

motion. turundj

le vingt troisième.

se t o u r -

a ¡^ff>yi teodjlh conversion, pro-

p

iva'-

inhérant.

table de pier-

re ou de marbre sur laquelle

a

a ¿IJ sani

récréation, ré-

jouissance, aJ

phabet. OJ ç ou s.

l'alphabet rr tche. orange douce,

t (j^-'Uï- tchatmaq

division, distri-

bution. a ^ j j y j tefvyq grâce divine.

se joindre,

bâtir. p

tchadir lon.

tente,

pavil-

105 p t

BjUi- tcharé

boulmaq

a Gabriel.

t r o u v e r du remède, remédier, a

djarié j e u n e fille, jeune

t

t

ler, inviter, temps,

tchaq

travail-

ler, sefforcer.

le passif de

( j f ^ J L ç - être frappé, r o n c e , buisson,

t -J-àULp- tcliamachir

mier rang, p

t J J .^rr tchurpus

t ^ » u l s » - djansyz

sans âme. qui ne sait pas,

djahil

i g n o r a n t , sot, idolâtre, ignorance.

djahilïet C^J

le temps de

l'idolâtrie. rivière,

fleuve,

p

tcliapag

a

djibal pl. de i ) » * ^ m o n tagnes.

(ingenieux) ge-

nialité. p

jir

laid, difforme,

tcherkin

bète de pâ-

turage. animal,

tchai

blessure, plaie,

djirahat

p atAi^s» tcherendé

p j j j l — * djunoer

a

n. pr. le port de

la Mecque,

a u ù l > djanib côté, partie, part,

a

fleur.

tchitchek

a

âme.

djan

stature, port,

djoussei

a «LX=» djiddé

lince.

mosquée du pre-

djami'

a t

battre, frap-

tchalmaq per.

a

petite

resse.

tchalychmaq

t ¿U?- tclialy

Ichataltcha

fourchette, nom d'une f o r t e -

jusque,

m ê m e (ailv.).

t

(tchoubouk)

sarments,

appe-

tcliagliyrmaq

t

ichybouq

baguette, pipe. ^ g S ¿ L Î . A Û T

servante, t

t (jjUî-

l'archangle

djebrail

esturgeon,

viiOjS» djirrit t

» djirri

a s-y>- djuz' a

la carpe. sillure.

volume,

djeza compensation, r é t r i bution, r e c o m p e n s e ,

a

djezan

n. pr. d'un port,

p t i u ^ i j s - tchechmé p

fontaine,

teldft couple, la paire.

t

tchiftlechmek

s'ac-

coupler. t

djiy, tchyq particule 11

106 que les Turcs placent à la fin

a »•••»:> djum'a

des mots pour en former des diminutifs, t

dredi. a t (jrL^

tcliyqmaq sortir,

t OLojlSij- tchyqarmaq

a

tcliekilmek faire retraite. tchekmek tirer, éprouver. yyOjl arba'in faire le

djumté somme, entière,

a

tchene mâchoire inférieure, menton.

djumleten

sommaire-

ment, en somme. a I*.» t"> djemien en tout; généralement.

jeûne pendant quarante jours,

djami'a réunion, le tout. 1 -

a v^* ? djcnab titre qu'on donne a dieu, aux princes et a ses

a ¿"ils- djellad bourreau.

supérieurs: altesse, majesté.

~- Û

t v.B.i.iHaH,'^- tchalqalanmaq

être

a «jLo» djenazé brancard sur lequel on étend le mort, ob-

secoué, être remué,

sèques.

(JWJJJÏ» djulous etmek s'as-

soit, monter sur le trône, djilein est une particule

a ii^-o» djennet paradis. a

qui se place à la fin des noms et qui signifie de manière,

djins genre, espèce, race.

a

djevab reponse, discours,

à l'instar, comme, exemple: (jOLSUj« sendjilein

comme

repondre. a

toi.

djuvaf espèce de poisson.

a

djema'at

rassemble-

ment, assemblée, a

réunion,

universalité.

t

t

djern'iiet

noyau, pé- a

pin.

a

gunu le

rassemblement.

t -1»- hadji beiram nom d'un savant célébré, a ^jls» harr chaud,

qui p r o -

t è g e le m o n d e D i e u m o n a r -

prompt,

hakim j u g e ; administrat e u r ; h o m m e chargé de l'administration

civile

ou de la

justice,

que. Lè-olgjs- djihannuma graphie,

a

prêt,

présent. a

diminutifs,

hazyr

a ^jijls»

a j o u t é e aux noms f o r m e des

a

hacyl résulter,

a OùJjl provenir,

est une particule pers. qui

p

elhaçyl bref, en un m o t .

a

noirâtre.

p Q L o L ^ p - djihanban

hadji pèlerin mahomé-

t

joutée aux adjectifs et aux adverbes elle s i g n i f i e : un peu,

hadjet nécessité,

t

rable, j o i n t e aux substantifs

p. ex. guzeldjé

plus f o r t e m e n t aspiré

que ».

fchun c o m m e , parceque.

p t

voyez

djihet coté, djehl ignorance.

cosmo-

a j l s » liai état situation, fil-hal

tout de suite.

ha/a

actuellement,

sentement.

11°

pré-

108 a

Hebron.

a

a I

liabs emprisonner,

t

t

habech

a

nombre,

Abyssinie.

Habib bien aimé, chéri.

hased

liaddji cherif le no-

a

haçan

hydjab

honte modestie.

a

heuddjet

décret, sen-

tence du juge, a

hadd borne, limite,

a

hadis

nouvelle.

babul-hadaba

une

porte d'AIeppo. a

hazer

précaution,

t OjLs» hararct t

a ^AS^S» haramy a

a

hyçar

fort; forteresse,

a

hysn

forteresse,

a

houçvul acquisition, ré-

harthaf

voleur,

a Owii2S> hazret

présencé, dig-

nité, excellence, altesse, a j j >'n"a- houzour

présence,

plaisir,

contente-

ment. a I

liafr itmek

creuser,

a Jiais» hyfz garde, defense, protection. fclSU"'! Jàto- hyfz

écaille de po's-

son.

it-

mek retenir dans la mémoire,

a (jwOjS» hyrs avidité, grand dé-

a O i s » haqq droit, vérité, Dieu,

sir.

en faveur, envers. harekiat

a

bonté,

sultat.

une chose dé-

fendue par la loi, sacrée,

n. pr. un fils

liousna

a J i s » hazz

son maritime, haram

houçain

a

chaleur,

haras in espèce de pois-

a

n. pr. dun fils

d'Ali. y

)

a

envie, jalousie,

d'Ali Ilaçan

ble pèlerinage.

«

compte,

haceb quantité, mesure,

a

a wàJJ»

a

hyçab

mouvements,

haqqynda

harem épouse, fille,

a v^À^-s- liarif

vidu pour lequel on n'a ni estime ni considération, a Q y > - tiuzn tristesse.

sur son compte. QiXÀiis-

homme, un indi-

guelmek a

»iXÀa»-

haqqyndan

punir, châtier.

hyqd

malveillance, hai-

ne, rancune.

109 a

haqyr

vil, abject, mé-

a K^Z hamla

quer avec impétuosité,

prisé. a

hnqyqat

vérité, droi-

a

ture.

hakm

pâte.

jugement, sentence

h/kmet

a

a

sagesse, s c i e n c e ,

hnukioumet

juridic-

a

Evah. hava/a

nom d'une école

a ^juiys» havaïdj

liâtavet

douceur, agré-

able. c h o s e p e r m i s e , lé-

a

pl.

a

haïat

a J u >

a

Haleb

a

hal'i g o s i e r , g o r g e ,

ville d ' A I e p p o .

a o l o U s » pl. de

liout vie.

liaïf

injustice.

a p jLxLp-

hyltbaz

hammam

a

hin

astucieux,

temps, m o m e n t ,

a Q Î ^ S » haivan

a O J L J " hymaïet

protection, dé-

a

animal, b r u t e ,

haieet

fense.

vie. ô

a

haind éloge, louange, ¿JJ J u l .

elhamdu

g r â c e à dieu q u i

lillah soit

khy

s e p t i è m e l e t t r e de l'al-

phabet arabe, t Q_«jlr>

khatouri

femme,

pouse.

célébré, a 'jJvft

poisson,

rusé.

bains.

ta'ala

choses n é c e s -

hy lé r u s e , f r a u d e ,

gitime.

a

tour-

saires.

à Aleppo.

a Xhu

itmek

£

halnvi

halal

liava

ner, diriger.

médecin,

a

zèle ardeur

zèle a v e u g l e ,

hekitu savant, p h i l o s o p h e ,

a

hamié

a uJU-'!

tion, gouvernement,

a

amertume,

u n e m a t i è r e q u i se

i l . p e u t - ê t r e faut-il lire

juridique, ordre, a

hennir

t r o u v e d a n s la m e r m o r t e p a g .

pl. de

narration, conte,

a

humouzat

a

a o L l X s » hikiaial

a

a t t a q u e y^j-'l a t t a -

hatn!

attribuer.

khadirn

serviteur.

é-

110 a ^ jLi» kharidj

qui est au de-

t QLWLS» khnracan

poudre rou-

g e que l'on o b t i e n t en bro-

hors, extérieur, propre, particu-

yant des tuiles et dont o n fait

lier. ce qui appartient à la

le ciment en la mêlant avec

personne du grand seigneur.

de la chaux et du sable,

a (j£>l=> khass

a khasse

qualité, qualité

a

« ¿ M » khardel a

propriété,

khatyr

a

khalyq

p

kham

verain

vil, méprisé,

l'empereur, le sou-

particulièrement

des

Tartares. p « i l s » khané a jt^*

khaber

a tiXs» khoda a

maison.

cosse, g o u s -

khourouch

p DMJ^

khaiinc

être

p

khasta

trésor, blessé, malade,

t 0-Si-Cwji- khastalyq

maladie

en général, p

khosreoani

t

khasise

royal, n. pr. d'une

ville.

dieu, maître. serviteurs,

p

khychm

a (j«ajLa>

pl. de

colère, dédain,

khaçaïs

propriétés,

qualités, pl. de

a \ ^ x * \ s * k h o u d ' a t fraude, t r o m -

a

perie.

(J>O«JUIÉ»

khouçous

particulari-

té, affaire. w X & y a s » j j dans khydmet

service, o n

p r o n o n c e à présent g é n é r a l e -

cette affaire, a Loy*ac> khousousa

.. . 0 »

ment

kharnoub

p

avis,

khouddam

a

agréable, gai.

dans u n e forte c o m m o t i o n ,

créateur,

cru.

t Q L > khan

khourrem

se, silique.

coeur, esprit,

p JLAMÎ'LS» khaksar

habit de m o i n e .

>

p p

qualité, vertu naturelle,

dépenser.

moutarde.

khyrqa »

a o s A / a l s » khassiïet

r é v e n u , tribut,

a i i £ J u ! ^ j j » khardj

particulière.

a jSolà*

khardj

rement,

khyzmet.

a .L&^oiXs» khydmetkiar

serviteur

particuliè-

a

khyir

St. Elie.

111 a l i a s . khaiha erreur, a V_JLLS» kliylab

répand du sang,

allocution,

a-

t a ^L^s» khyar concombre,

a KAÀS» khafiieien

en secret,

a

liberté,

khalas

son.

déli-

vrance. (jh^s' être délivré.

a -*£> khair bon, bien, a -*£> khair

khallaq créateur,

a J A L > khjllh

a

humeur,

khyl'at

habit,

robe

khalq créatures, hommes.

a

khalal manque, dommage,

a OjJL> khalvet lieu retiré, so-

a JÎO dal huitième lettre de l'alphabet, la lettre ¿> d, a

Abraham; Hebron.

a

kliamir

p

pâte.

rieur,

khodja vieillard, maître.

a y o dar maison, habitation, p

dar qui tient, possède ; partic. pers. qui se lie avec des

khavass

propriétés,

choses belles, t (jjijjS?-

deèb usage, coutume,

p »¿ta dadé donné,

khab sommeil, songe.

a

a

a J - i - t a dakhyl qui entre, inté-

khandaq fossé.

a

douleur maladie pl. edva. e

kha/il ami, l'ami de dieu

a ,.» *

khaïii nombreux, beaucoup.

litude. a

bénédic-

khail chevaux,

p t

d'honneur, a

dou'a

tion.

a ( J f - ^ k h a l a i q créatures,

a

khyané perfidie, trahi-

a

dresse. m m

khor/amaq

noms. t ^jpUèjS^ darghynlyq

abaisser,

dédaigner,

chagrin, t

a i _ i y > khavf crainte, peur, a

khoun sang.

|>

O-}^*

Mmu'ifechaii

colère,

darou millet,

p i j i î o dach compagnon, collègue, qui

a t ^ b da'! affectionné, dévoué,

112 c'est le terme moyen dont se

a

deredjè degré, point,

servent les personnes, qui ne

t p

derd douleur, chagrin,

veulent par trop s'humilier en

a

ders étude, leçon,

parlant d'elles mêmes,

t tiJ^àjvi duruchmek

a « b dafi' qui chasse, détourne, empêche, t ^j^OjOJ!^ daldyrmaq faire plon-

travailler, p MjS derguiàh

porte, cour,

p

intérieur,

deroun

p ( j i x j ^ i i dervîch

p Q-ita damen le bord d'un ha-

métan, pauvre, t

deri peau,

danichrnend

t

diri vivant, vif.

lettré,

p ÎÙ!J> dané grain, pièce. dai'r relatif à, concernant, a « j j b daïré cercle, circonféren-

p [¡jù deria mer, grand fleuve, p ¿jô duzd voleur, assassin, dest main, force.

p

destimal

ce; contour.

p ^y«-»*^ duchmen

« daim continuel, qui dure

t

aussi, en-

ter du bien à quelqu'un,

* rà dou'mous

a

pl. ^ a

poisson semblable à une petite anguille,

3. pers. prélér. de t s ^ f ^

a t jJjfcCiAè^ daghdaghaly

il a dit. der porte, en, sur, selon,

a £¿1) de/'

t ¿à dir il est.

a 5

diraïei discernement.

jugement sain,

com-

pliqué.

a J L s » a u s s i t ô t , sur le champ,

a

souhai-

a O ^ c J da'vet prière, invitation,

dakhjr (daha) core.

p

inimitié,

dou'a prière,

entrée, accès,

revenu. t

ennemi,

haine.

depè sommet, cime, colline,

a ti^È"^ doukhoul

essuie-main,

duchmenlik

toujours,

t

moine maho-

bit, le bas, le pan de la robe, p

t

de-

dans.

ger, t ¡»ta dam toit.

a

s'efforcer,

défit

répulsion, expulsion, chasser, détourner,

empêcher, éloigner.

113 a

defn itmek

cacher,

t

cession,

inhumer, a

t liiLt i di/emek y. ti£-*J_:J>

daqq frapper,

a c^js^ diqqat soin, exactitude, t {ySô

dèïrmen

t jiù

deniz

moulin,

t

t

a être

changé, deïl il n'est pas, non. dinlemnek

se repo-

ser. t _jJlS\> denli particule qui marque la quantité d'une chose,

déni impur, méchant.

a

dunii mondain,

a t p LuJ> dunia monde, a

deva médicament, remède,

a

devam durée perpétuelle,

a j j à devr cercle, circuit, siècle, t o,,0> deurt quatre, t ki^^àj

¿ j combien,

t

venir, valoir.

rester, demeurer, être debout,

dikrnek ficher, clouer,

t j j i i dom uni, égal, plat,

attacher, t Q S ^ dei'n postpos. ajoutée au datif du nom, ou au participe indje jusque, jusqu'à

p C M I ; ^ dost

t

duch songe.

t

a JJ^O détail arguments, preu-

p

douchmen ennemi,

t

ves delil.

dilber qui ravit le coeur,

joli, beau, t

duchmek tomber, se coucher,

t J o dil langue, langage,

p jdô

delik trou.

ami.

duchek lit, matelas,

dil coeur,

pl. de ^ b

ami.

p Q L ^ W J ^ doustan

ce que. p

duruchrnek s'efforcer,

tâcher.

deïmek atteindre, par-

en

dernir fer.

changer,

deïchi/mek

a

p j»J> dem temps, moment,

t QO den postp. de par.

mer.

t u^^ÙrSô deïchmeh

t

dilek désir, prière, inter-

duchunmek

penser,

réfléchir, t ^jpt-Cj^ et ^jjx-Èjia doghourmaq

accoucher, mettre

monde.

au

114 t

doghrou

t « postp. t. en dans,

droit,

t

doghouch

naissance,

a jL^ diar contrée, province,

t

doghmaq

naître,

t

deuimek

frapper, bat-

t

montagne), t

tre. t

dukenmek

p

dirilmek t tjjr.^

dulbend

bandeau de

être vivifié,

diri vif, vivant,

t (jà-O àich dent,

mousseline qui enveloppe le

p

tourban.

t liXJLp dilmek desirer, vouloir,

t {Jy*

dolanmaq

entourer,

tergiverser, chercher des de-

t i^-ià

dimek

mendiant,

dire, appeler.

a QJ>> din religion, foi. t

nement. t

autre,

et ^-Jy-à prt. disant, devlet empire, gouver-

a

à diguer

t ^^SUlLi dilendji

tours.

devlenmek

se tranqui-

divar mur.

a p QÎJJP divan audience publique du monarque.

liser. donanma réjouissances données

flotte, éscadre, publiques

ô

or-

pour une victoire

3 zal neuvième lettre de l'alphabet arabe se prononce en turc

remportée, t

direk poutre, pilier.

être épui-

sé, être fini,

t

dib fond, pied (pied d'une

deundurmek

comme z français et en arabe

faire re-

comme d.

tourner, rendre, restituer, t u¿üjL> deunucli retour,

a o l t i iat

t

a ( ^ t J zatii essentiel, naturel,

deunmek

retourner (se

tourner vers), être changé, t « A J ^ devid encrier, écritoire. t

doïourmaq

t ( j f o ^ douimaq comprendre.

rassasier,

s'apercevoir,

a

essence, nature.

> 3 iakhyra

provision,vivres

a BjlÎJ zekiavet perspicacité, subtilité de l'esprit, a J>i> zikr mention, commémoration.

115 o>

a l i S ô Zacliarie.

a

a XJJ zillet bassesse, honte,

office.

a j»y>j

a J^^wOj

temps, siècle,

zimdjil zumrud zenbil

le tigre, émeraude. espèce de cor-

beille. p

jtrF^j

p ^jl^jj

zendjir

chaîne,

zinhar

prenez

garde à vous.

garde,

117 a

zevvar

visitant, visiteur,

a J l j j zeval déclin, décadence, p

zehr

ziade

venimeux.

a

a u g m e n t a t i o n , ac-

a

ziadeletimek

a

a y u w sabab

a

zeiloun

et XaXa^w

sebet

sebtic

Sabbat. a q L ^ * « et il!! q L ^ v *

olive,

subhan

o dieu saint.

zira car, p a r c e q u e .

^IXo

U" sin

cause, motif, oc-

casion.

visite, pèlerinage,

zeit huile d'olive,

sain, sauf, intact,

s air qui m a r c h e , a u t r e ,

p iuLw sa'iê o m b r e ,

être

augmenté, a u j j l j j ziaret

qui r e p o s e , habi-

empoison- p J L " sal an, a n n e e .

croissement, plus, d'avantage,

a (jy

'ww sakin

a ¿1» salim zeliirli

p

d'en bas, vil, bas.

tant.

ner.

a

a

poison,

t SJiJf»j zehirlcmek

p

a J j L w sa/il

cr

¿Lvaàj

dieu soit loué, lui qui

d o u z i è m e lettre de

m e voit, et c o n n a î t ma place,

l'alphabet arabe ¡j* se p r o -

et e n t e n d mes paroles; qui m e

n o n c e c o m m e le s français

n o u r r i t et n e m'oublie pas.

au c o m m e n c e m e n t des mots

t

et le ç e n t r e deux voyelles, a (JfjL«' sabjri/ p r é c é d e n t , susdit, a

s a h y i côte, rive,

p j L » saz

chemin.

a s^Lsi" seddjade

petit tapis s u r

lequel les m u s u l m a n s se pla-

roseaux,

c e n t p o u r faire leur p r i è r e ,

i n s t r u m e n t de musi-

que.

a «lA^s" sedjdé a

t qÎ^Lw ou ^ y j J L Q^jLw halyghy

seprnek

arroser, asperger, a Jt^-w sebil

a tjLw S a r a , t jLw saz

».»iw p o u r

carpe,

a c i ^ L w s a'at

heure.

sazan

sahar

adoration, aube, a u r o r e , m a -

tin. a J^M

syhr

enchantement,

a ¡»j^Xw n. p r . S o d o m e .

118 a yn

sirr

p

a

le secret,

p a

, çU lais impérial,

p Jiàj"

t I^AJLM

t

t général en

ser'asker

t li^-«.*« sermek étendre par ter-

t

surour

p jïyw serir a

a

QJJ^A« sukiouten

en

repos, signe

soukoun

indiquant que la lettre sur la-

siz l ) vous pron. pers.

quelle il se trouve n'a pas de

2)

voyelle.

postposition qui signifie sans,

selam paix, sûreté, salut.

t ¡j»** ses voix, bruit, a JOM salhr

mouche,

silence, tranquillement,

gaieté, allégresse, trône,

quatre vingt,

sukiout tranquillité, silence.

s cri' prompt, leste,

t y*

seksen

a

re comme la toile, le tapis, a jzy»

pal-

sekiz huit,

t i^isjw sinek

chef.

sautiller,

seïrmek

piter,

serdar commandant, gé-

néral.

course, excur-

sion.

pa-

'amire

arrosement.

t [ s e ï r d i m

seraï maison, palais, sera1

saqi

ligne, rangée,

a X^J-wJt assalbiié

a Bjh«» sathvat domination, puis-

négatif.

a^UiLuisultan dominateur, prin-

sance.

ce, aussi le titre des grands

a oO>L*-w se'adet

bonheur, féli-

cité.

savants. a

a

sa'i

s'efforcer, tâ-

cher.

silmek

essuyer, netto-

yer. a x*LLw sulthanet

a ÀM safar

voyage, guerre.

a JÀM> sefl abaissement, bassesse,

r è g n e , em-

pire. a (_5J_JJLW Siliori

jadis Selibrie

ville de la Thrace.

partie inférieure, a j J b w sefir ambassadeur, envoyé,

a QUJJLW sulèiman

a ¿UAÎUM sefiné bateau, navire,

a •¿y^M semt chemin, contrée,

t

a

J^ÏUSÎM

syqanqour

espèce de lézard.

(du

grec)

Salomon,

pl. u^L^m li^fw poisson.

semek

119 a t l X ^ w diin. de

sumeika

t

petit poisson, t

^ L s a n d j a q

parler

ym seui/emek

dire, par-

ler. a i}^»« sehil plain, plat,

a -!

iwiwUixLcç-i

virindirilmemek (¿JwflS^JjiA^LJ^j

ne pas p o u v o i r ê t r e fait o u -

mamaq

vrir

fait o u v r i r

virichdirémemek LiSv^ioaiJjO-Jj

virdirilérnemek

atchyndyryla-

ne pas p o u v o i r ê t r e

atchychylamamaq

ne pas p o u v o i r ê t r e pourquoi

l'objet

on s ' o u v r e m u t u -

ellement

virinilémemek

atchdyrylamamaq O W U ^ L X À ^ Î

virichdirilmemek

virichilémemek OwU^iXi^j-l mamaq

atchychdyrylan e pas p o u v o i r ê t r e

fait o u v r i r m u t u e l l e m e n t " li&WvwJjiXàjJj virindirilémemek

mek

virichdirilcme-