219 75 16MB
German Pages 191 [197] Year 1911
;
I
si
i
ii'!H*v
il
,
'^^^''-
)'V;.'
Digitized by the Internet Archive in
2010 with funding from
Brigham Young University
http://www.archive.org/details/zeitschriftfr48brug
ZEITSCHRIFT FÜR
ÄGYPTISCHE SPRACHE UND
ALTERTUMSKUNDE MIT UNTERSTÜTZUNG DER DEUTSCHEN MORGENLÄNDtSCPIEN GESELLSCHAFT HERAUSGEGEBEN VON
GEORG STEINDORFF
ACHTUNDVIERZIGSTER BAND MIT
39
ABBILDUNGEN IM TEXT,
4
TAFELN UND
1
PORTRÄT
LEIPZIG .1.
C.
HINRlCHS'scHE
BUCHHANDLUNG
1911
Die »Zeitschrift für
Ägyptische Sprache und Altertumskunde
wurde begründet 1863 von Heinrich Brugsch und herausgegeben von: C. R. Lepsius mit H.
C. R.
Brugsch 1864
LEPsms mit H. Brugsch,
A.
H. Brugsch und L. Stern 1885
— 1880,
Erman, L. Stern 1881
— 1888,
H. Brugsch und A.
Erman 1889—1893,
H. Brugsch und A.
Erman
A.
mit G. Steindorff 1894,
Erman und G. Steindorff 1895
G. SrEiNDORFF
seit
1907.
— 1906,
— 1884,
9
Inhalt des 48. Bandes. Seite
Porträt Richard Lepsius, pinx. Reiuh. Lepsius
La
Benedite, G.
Borchardt, L.
Das ägyptische Wort
civiles (a\ec
8
figui'tis)
....
für »Vater., (mit
1
Tabelle)
Gardiner, A. H.
A
Griffiih, F. LI.
Junker, H.
The goddess Nekhbet
La Grande
Gauthier, H.
J\
geschriebenen
Worte Rameses
III
(mit
1
Abbildung)
0.
Zu einem Enkomium auf den
v.
hl.
— 47
—51 52 — 66
47
.
69
d'Abydos
— 6S
67 .
.
—77 77 — 81
81_86
Viktor
Mahler, E.
Der Festkalender von Medinet-Habu
Maspero, G.
La chapelle nouvelle d'Ibsamboul (mit 1 Abbildung und Le role du point diacritique en hierat ique
Montet, P.
—27
.
Meroitic funerary text in hieroglyphic
Die Schlacht- und Brandopfer und ihre Symbolik im Tempelkult der Spätzeit A propos des voyelles redoublees en copte
Lacau, P.
— 17
18
31
at the Jubilee Festival of
Inscription dedicatoire
—
1
9
27—30
Ägyptisches j- der Tonsilbe im Koptischen
Erman, A. Die mit dem Zeichen
Lemm,
murale des toinbes
Altägyptische Soiiiieiiuhreii (mit 2 Blatt Abbildungen)
Burchardt, M. Dyroff, K.
teiiderie daiis la decoration
Frontispiz
91
— 90 — 96
96
— 98
87 Tafel)
1
Die Zeichen für die Bruchteile des Hohlmaßes und das Uzatauge (mit einem Nachtrag von H. Junker)
Möller, G.
Les amulettes du chevet et de la tete (mit 9 Abbildungen) Hanke, H. Zur keilschriftlichen Umschreibung ägyptischer Eigennamen Reimer, G. A. A Scribe's Tablet found by the Hearst Expedition at Giza (mit 4 Abbildungen) Boeder, G. Die Blumen der Isis von Philä (mit 9 Abbildungen) Rusch, A. Zum Bau der Pyramidentexte Naville, E.
.
Schäfer,
(mit
W.
1
B.
Vogelsang, F. Wilcken,
U.
Wreszinski,
Die ägyptischen
Namen und
Der Ka und
Zeichen der Tierkreisbilder
in
Stele der
fi
Sammlungen
nebst einer Textemendation
^
I
— 145
146—151 152
Ein Schwur im Chons-Tempel von Karnak
W. Zur
— 123 — 133
demotischer Schrift
die Grabstatuen
Wort
115
123
134—142
Einige unedierte Saitica in russischen
Ein seltenes
113—114
143
Tafel und 4 Schriftbildern)
Steindorff, G.
Turajeff,
.
Altägyptische Ordensauszeichnungen
Spiegelberg,
— 111
112
.
H. Scheinbild oder Wirkhchkeitsbild?
Sethe, K.
99—106 107
/ww«a
(mit 3 Abbildungen)
— 159
160—168 164
— 167
168
— 174
174—176
DER ERINNERUNG AN
RICHARD LEPSIUS - GEBOREN AM
23.
DEZEMBER
GEWIDMET
1810
-
G. Bkneoite: La tenderie daiis
La
decoration murale des tombes civiles.
la
[48.
Band. 1910.]
1
tenderie dans la decoration murale des tombes civiles.
Par Georges Benedite. Avec 8
Une
des scenes les plus attrayantes de la decoration murale des tombes civiles
memphites le
qui sest transmise avec
le
principe de cette decoration ä travers
moyen empire jusquaux tombes de
la
seconde epoque thebaine, est
et
La
la tenderie.
prise au
de lEgypte
regions
des oiseaux aquatiques
filet
en
etait.
meme
comme
meme
dans
un des
cffet,
etroitement lice ä la peche. vocable,
^^T
(2
,
leurs exploits ait ete cette
et
meme
fourres
de
papyrus,
patronage de
Dans
que
plante
l'art
mot de
le
textes
les
(1
c-=^
9
Vi>
¥
Nord du Delta que aux
i=t s'appliquant
mettent parfois sous
religieux
Bouto (Q]? 1 ^ I ^Ml]'tableaux qui nous occupent, cette region marccageuse
le
la deesse
les
aquatiques" et principalement
Leau
par ses epis^.
le
est
dans
le
On y
est liguree
voit aussi d'autres
roseau caracterise non seulement par
retombee de ses longues
l'inclinaison de ses tiges et la
aussi
que dans
plus habituel de
le tlieätre le
par la representation graphique des fourres de papyrus. plantes
un des »sports«
aux oiseaux nous apparait
vaste region lacustre du
designe d"une maniere generique
de
Oiseleurs et pecheurs sont designes par le
semble bien que
il
celle
abondants dans certaines
la litterature
cette chasse
tradition religieuse,
la
si
plaisirs preferes,
Aussi bien dans
habituels des anciens Egyptiens. et
fiffures.
voisinage;
feuilles engainantes,
eile
est quelquefois
mais
meme
figuree en petites flaques au pied de la touffe.
Ces epais fourres abritaient diverses varietes de petits
palmipedes dont ridentification n'est pas
pour nous
echassiers
but de cette notice
Les legendes
pas autrement "^^
de
du
PWrus
plus habituelles de cette scene ne les appellent
les
>r''w=^^^^
C'est sur Foperation
et
et qui resteront
\^\}s'^ ^l^^±\W—=\y %
les
Anastasi IV*.
le
meme
de
'
la
tenderie quil
me
parait utile d'insister.
Comment procedait-on? Disons tout de suite que nous ne le saurons jamais que dune maniere aj^proximative. Prendre au pied de la lettre une representation
meme
agrementee de details precis serait meconnaitre
de lart egyptien ')
*)
qui plus
Brugsch, Dict. Geogr. 92.
PI. 15, 1.5 et 6. Zeitsch.-.
et,
f.
A-vpt. Spr.,
(Select 48,
Band.
Fapyn 1910.
— pl.
est,
le
sens ideograplüque
dans une scene des plus typiques ä ce point
-) LD. XCVI.)
II
9.
—
*)
Capari-,
Une
rue de tomhcaux pl. 39.
1
—
La
tenderie dans la decoration murale des tombes civiles.
2
G. Benedite:
de vue.
Le nombre des
leur
oiseleurs,
taille
Band.
[48.
par rapport ä
et leur distance
Fengin et au gibier, ne visent pas ä reproduire materiellement la realite.
dun
L'equipe varie beaiicoup, quant au nombre,
Sans
tableau ä Fautre.
met en mouvement FappareiP (ce qui nous ramene presque ä Fecriture hieroglyphique) et meine deux hommes, nous voyons ce nombre osciller de quatre^ ä neuf*. le defunt et son fils', Ce
parier de
oü un seul liomme,
ceux,
defunt,
le
On ne
dernier nie parait le plus rapproche de la vralsemblance.
cependant que
1^
la
dimensions et au poids de Fengin.
aux
^^
un
et
saurait nier
composition de l'equipe devait etre avant tout subordonnee
On
guetteur.
faut
11
y ajouter un chef
hommes, qui s'adonnaient
a dejä fait observer que les
non
ä ce genre de chasse, ötaient
d'equipe,
ordinalres fellalis des champs, mais des
les
gars vigoureux, formant une sorte de caste analogue ä celle ä laquelle fait allusion le
passage du Timee^ souvent
et appartenaient probalilement ä ces popula-
citr,
tions riveraines des lacs dont Fune, les Bialmiites
Un
Fattention de Makiette.
implicitement:
()^^^ ^.^.(jn"^ j
tantot
coifies
echeveles
aussi est
lac Menzaleh,
^^
[[iP
^j
et
ronde,
pernique courte
la
guettcMir
le
(1. 1.),
de
quelquefois
tondu,
du
f)
Nous
,^,'-
hommes
exigeait cette mise legere, et
dune
chasse
voyons
les
tantot portor le cräne a
Quand
caracterise.
demi
Dans Paheri ils
ne sont
ont les rcins entoures d'un ceinture de
Leur metier
lamelles de papyrus ou de tiges flexibles de plantes aquatiques.
dans Feau jusqua mi-corps
le dit
|
a la maniere des bedouins'.
un bedouin barbu Inen
pas d'une nuditö absolue, ces
necessites
avait attire
passage d"un texte qui interviendra bientöt,
devait leur arriver bien souvent de s"enfoncer
il
plus pour raljattre le gibier et pour d'autres
et
rcclamait autant de souplesse et de mobilite que
qui
de vigilance.
Les Egyptiens ont connu plusieurs sortes d"engins pour prendre vivants.
Une peinture de Beni Hasan ^ nous montre un
armature
faite
angles.
fait
C'etaient
des
lä
filets
a prendre
les
Mar.. Mon. 130)
II
dune maniere
Leur forme ne presente rien de II
nen
est
pas de meine
teiidu coiitre les oiseaux aquatiques et les reprcsentations qui nous en
filet
quoique
ont etc conservees,
(LD.
et
caillcs
deconcertant, et leur mecanisme est des plus simples.
^)
une
connaitre un autre sans annature et fixe au sol par ses
generale tous oiseaux migrateurs au passage.
du
oiseaux
de deux croisillons en bois; une autre peinture de Drah aboul
Neggah' nous en quatre
les
carre avec
filet
.
T)iv.
pl.l7.
fort
Une
nombreuses, ne concordent
j)as
representation bien connue du tombeau de
toutes et ne
y
donne un certain degre de vraisemblance ä l'hypothese qu'un homnie
manoeuvrer l'appareil ä
la
^^ R seul
p,
poiivait
condition qu'il füt de dimensions tres reduites.
—
^) LT). II 105b; N. dk G. Davies, The rock tambs Newberry, El-Bersheh I pl. 20. ^) Plat., *) Tylor and Grifitih, op.TlW T/ie tomh of Paheri j)l. 4. of Sheikh Said pl. 12. ^) Lepsius, Toth.\b?>, 1. Nevvherry, Beni Hasan II ^) Chabih., Mon.W 185,1. p. 24a.
P. E.
-)
—
—
—
pl. 14.
—
^)
—
Spiegelberg and Nevvberkv, Report on some Excavations
—
'*)
in
the
Theban necropolis
pl. 5.
Cepeiidant
structure.
tenderie dans la decoration murale des toinbes civiles.
rigoureusement
pas
coinpletent
se
La
G. Beneditk:
1910.]
dune
vue
en
parfaite
en existe assez pour se faire
il
Chance d'approcher de tres
de
intelligeiice
une
Sous sa forme
la verite.
])res
3
la
la
qui
o])ini()n
ait
plus simple,
il
comme un hexagone allonge (fig. 1) a l'interieur duquel les oiseaux paisiblement comme en une voliere. Les exemplaires les plus habituels
nous apparait picorent se
ramenent
a
types, qui sont en quelque sorte gradues dans le sens de
trois
Le premier
la precision.
l'hexagone en deux parties
/
\ Fig.
2)
\ Fig. 2.
une forme prismatique
filet
filet,
que
des mailies
du
legerete filet
dont
meme
comme
consideree
c'est
disposö.
On
faisant
Quant ä
plan.
du
ornemental des boites ä fard
4) revele
convient d'ajouter tient k l'extreme
comme
si
que Wilkinson
petit
l'a
etait
bassin par un pur jeu
de ce bassin
faire
de toilette
le
L'hcsitation n'est plus
ideographique du marecage, ou l'engin
et cuillers
une
arrondie^ en forme de ,tort
filet.
Ce n'est pas plus surprenant que de
graphique.
(fig.
de l'hexagone
bien ä
ramene aux proportions d'un
le
il
monuments
la figure
c'est
integrante
partie
representation
la
ces figures
superficie
la
cartouche royal qui entoure l'hexagone,
possible:
A
disparition sur les
Ce trace couvre
trait.
tendu sur un
etait
la
troisieme
le
;
^
Fig. 4.
batons se prolongent, k l'interieur du
les
au dela de leur point de croisement.
trace
\/^ '\/
^'
\/
Fig. 3.
particularite importante: k savoir
le
\/
/
1.
qui donne au
ture,
met en evidence un cordage double qui divise egales. Le second (fig. 3) fait apparaitre une arma-
(fig.
le
motif
plus en faveur sous le
le
nouvel empire.
Le fonctionnement de maniere
cet engin n'a pas ete jusqu'a present decrit d'une
Pour Wilkinson",
satisfaisante.
oiseaux se trouvaient pris par
les
rapprochement brusque des deux grands cötes ou chassis dont se pose
le
filet
instantaneous collapse of the two
{the
coupee longitudinalement par un mailies et je
entre
deux
ces
traits;
trait
mais
la
disposition
ne resiste pas a un examen
attentif,
Une
pense qu'il est superflu de m'attarder dans une refutation en regle.
seene de Bersheh^: the rope
itj
^^When
puis dire,
the signal
was suddenly drawn
edges of the net together
ni
hexagonale,
double avec Interruption du reseau des
eile
opinion plus juste est celle qu'exprime Newberry dans
upon
com-
Cette conception derive
sides).
vraisembablement du caractere binaire que presente
serait
and
commentaire de
the
ßock of
thus clos'mg
up
the
enclosing the birds.
plus intuitive que descriptive,
du fonctionnement de
le
that
was given
tightj,
le
eile
loop
birds
ne rend compte ni de
l'appareil et n'ajjporte,
de ce
fait,
est,
la
la
settled
and drawing
Mais cette opinion
^\
tournes vers (Ch. 1536)
donc
C'est
le
!
I
y a des poids,
il
l]j
fl
'
/|
^-^
;
«
.
s
>ü o ° o
I
son emploi nous
penser
fait
au nombre de quatre,
II
est
r i
le
W nom
^
^
a~i i^
AAAA/W
de ses dbSw
le
Ses db^w (de hois) sont -^ '
Dans
terre.«^
le
filet
on n'y mentionne pas de de
filet
de ])eche
A
J
l'oiseleur.
celui de cage, caisse, coffre c'est ä dire tout le
sens derive de naos),
Ces parties etaient vraisemblablement
ciel.
AAAAAA
I
I
I
et
n^^^
des parties
ä
sen rapporte au passage compris dans
l'on
si
"^^
(10
ä une armature en bois plus ou moins carree
ici
ayant des parties dressees vers
_2I
(cf.
I
assemblage en menuiserie de forme rectangulaire (d'oü
I
^
une disposition, qui appartient en propre au
lä
Le sens primitif de ce mot etant
Je connais
M
ft
-^^^^
'
F=q /www
ses poids sont tournes vers la
clelj
1]
du defunt; mais faute de connaitre vague. Suit un j^assage qui soUicite
sens exact du mot, nous restons dans le
plus notre attention
var.
,
X'
peche qu'a
h la
nomenclature se rapporte
la
obstacle aux efforts
faire
designer lengin (]'v\
ä
M
I
de ses poidSj
i/ /JH
J
«*^
_CE>S' JJ
\
ce sont les pieds et les
les lignes
9
Jl
jambes du sphinx.
de toute evidence que cette comparaison n'a pu etre suggeree que par
une disposition, dont un des caracteres essentiels
ou pieds a
Le passage
du sphinx.
la fagon
etait d'avoir
quatre jambages
^
^)
"^""^
(1-
\
^veiUe l'idee
de deux parties allongees et prehensives qui devaient par leur reunion fermer
Lengin
et
auxquelles
signes par le signe
Naville renvoie a exterieurs.
,
et
le
mot
^^-T-"^
du papyrus du Louvre
du
qua
filet.
l'oiseleur
figure dans la nomenclature
Si
^\
du
filet
Substantif vraisemblablement forme
eloigner, retenir:
III
„
m. ä m.
l'objet qui retient,
qui
6 et 7) et
pour lesquels
93, ce sont des accessoires (var.
,
pour remmailler sur
),
l
Instrument
memes
les lieux
^iS^' est, selon toutes les apparences,
poteau, dont nous aurons ä nous occuper
^)
(1.
Cela n'est pas douteux pour la navette
aussi necessaire au pecheur
le
par
la Vignette
les parties deterriorees
Quant aux objets de-
defunt avait häte d'echapper.
le
(fig.
de peche.
5
et 8),
Avec
de
V\
tire
en sens inverse.
la
c'est
par abus qu"il
mention d'un cordage
prefixe et de la racine
—— h
^'^^°-
5
ecarter,
—
G. Benedixe:
AAAAA/S
g et
^
/-k
r^
Q
,,,
(1.
peche
du
phases de
Band.
ne comprend plus que deux termes
filet
pour
cette raison,
me
ne
paraissent pas former des parties con-
des oiseleurs.
filet
Arrivons aux representations.
C.
[48.
qui figurent egalement dans l'enonce de requipement du bateau de
et qui,
stitutives
tenderie dans la decoration murale des tombes civiles.
10) la nomenclature du
\s^
(1
La
Si elles
nous reproduisaient
les diverses
nous aurions peut-etre chance de connaitre quelques-uns des aspects
l'acte,
que prend successivement
Mais ne serait-ce pas trop attendre des procedes
le filet.
du dessin egyptien? Le mode d'expression ideographique, qui a arrete pour plus de vingt siecles les Clements de cette scene, la stereotypee dans une Observons dabord que quelques representations^ nous seule et meme phase. ordinaires
montrent B" un
1" la cessation
homme
de lacte de
de l'equipe occupc
vider
a
Les oiseaux sont dejä captures,
plie.
sur la corde, 2°
tirer
et
1'
meme
voie
a exactement
il
est represente
Le contour reste hexagonal"
et les
quatre bätons de
position oblique et se reunissent de
deux en deux au
habituelle,
double cordage qui traverse horizontalement lappareil.
temps que lidöogramme employe dans disposition, et
etat,
l'acte
la scene plus
d'accomplissement.
meme
dans cet
Or,
oü
forme que dans
l'armature ont la
cable distendu,
engin devrait etre presente de maniere
a rendre encore plus sensible cette idee. la
le
1/operation est donc accom-
le filet.
Ton pourra
l'öcriture'^
se convaincre que,
que dans les textes, l'image du
filet
On remarquera en meme
reproduit exactement la
dans
en
les sccnes figurees
ä prendre les oiseaux est
un
meme
non moins
ceritahle signe
d'ecriture.
La question
^
ou un prisme
sous l'action de
ä
cette
alternative:
ou bien
le
filet
etait
engin de forme invariable, que cette forme füt un hexagone
effectivement un (^
ramene donc
se
^^
^-y
,
ou bien
le
ne prenait cette forme que
filet
mann^uA're et dans une phase bien determinee de l'operation.
la
Un examen
^
attentif
de
l'en-
semble des representations nous
montre que l'engin se compose de
trois
Clements:
1°
un
cor-
dage, 2° des parties rigides qui
ne peuvent guere etre qu'en bois,
3° le
combinant par
ces
figure
En
C"est
cette
qui servira a notre dcmonstration.
1)
LD.II12a; Capart, Op.
-)
Je considere
du Serv. des Antiquites ^)
a mailles.
donnees fournies
on peut constituer une figure typique.
representations,
(fig. 5)
filet
les
Champ., Not.
la t.
cit. pl.
LXXXIX.
representation de l'engin dans la I
p. 155)
descr.
1.
1.
comme
incomplete:
fig. 9,
tiree
du tombeau de Samuofir (Ann.
l'hexagone est a restituer dans son entier.
Benedme: La
G.
1910.]
Bersheh^ fnit nettement
noeud
dans
teiideiie
decoration imirale des tombes
la
ressortir
double cable longitudinal
le
avec interruption de reiiimaillement entre
{n)
Mon.^ montrent,
et Champ.,
rencontre de nombreuscs reprcseiitations, que 7 Ces deux menibrures
ä
pouvaient etre arbitrairenient en bois
ment dans
ovi
on constate que
croisement des bätons presente par rapport aux
le
On y
qui est tres significative.
(fig. 6), '^'
voit en effet que les piquets
ne sont pas diriges symetriquement par rapport aux piquets
(o
dans
plupart des
la
les
une preuve de
(Test la deja
de leur deplacement au cours de
et
de Berlin montre en outre que
bätons
et
/3
avec
/S'
cable c
le
Une
.
comme
/3
dis-
la mobilite
Le
manocuvre.
la
ne sont pas
/3'
independants Fun de l'autre et que, dans l'operation, cable c et
et a'
cc
Les exemples de cette
mais parallelement.
figures,
position ne sont d'ailleurs pas rares'.
bätons
Ces
bois.
Berlin*,
cables la disposition reproduite dans la figure ci-eontre
deux
du
def du prohleme.
la
14100 du Musee de
Si l'on s"en rapporte au bas-relief
des
incompletes, sont manifeste-
fait
autres reprcsentees avec les caracteres graphiques
les
quatre hdtons ou piquets sont en reallte toute
et
corde, tandis que les quatre tiges
eii
de certnines ligures, de ce
ot,u',ß,/o' absentes
;6
et le
{c, c')
(rem-ni-Kar
cables.
ne faisaient pns necessairement partie du cordage.
et 7'
et
deux
les
7
civiles.
bas-relief
mais
solidaires,
est en contact avec le
representation relevee par Wilkinson^' dans
une tombe du nouvel empire presente une nouvelle disposition des piquets, qui vient ä lappui de lobservation faite sur
de Berlin.
Les quatre piquets,
le bas-relief
perpendiculaires et non
ici
r
plus deux ä deux
Quel servaient
etait
ä
Que
coins.
Fig. 7.
de
röle
le
Le simple bon sens repond
piquets?
ces
comme dans
filet,
l'engin ait
pu
qu'ils
plupart des systemes employes au-
la
Le nombre de quatre nous suggere
jourdhui.
P x
^'1
(fig. 7).
le
fixer
j
.
.
\
obliques par rapport ä Taxe longitudinal, ne s'y croisent
qu'ils
aux quatre
etaient places
forme non d"un hexagone, mais
ainsi nvoir la
dun
rectangle avant la manocuvre, c'est-ce qui ressort dans une certaine mesure de
notre Schema
des
d"attaclie
o\i les
(fig. 5),
points x, y, x
ce
c'est
')
Mon.
t.
le
Op.
IV
cit.,
parties
que confirme une figure des Monumentl
Civili
de Ro-
pl.
_
pl. 377bis.
XXI. *)
—
^)
Pl.\' et texte
1.
1"
p. 560.
p.
168 ou
pl. la
XII.
— —
vraisemblablenient de »)
Op.
cit.
t.
II
la
fig.
la
tombe de
367, 2,
«)
t.
^^
AAAAAA
'~~\
d.
connaissance, l'unique re-
Lengin,
mana'uvre.
Op.
cit.
Gem-ni-Kai
Medum
Petrie,
')
provenance donnee .C\
s'agit
ma
ä
avant
ßissiNG et Weigall,
Verzeichnis
Davies, The rock tombs of Sheikh Said ')
est,
filet
est-il
remarquer, s'y trouve projete cu plan horizontal.
faire
t. I
quatre points
deux
presentation jusqu'ä present publiee du
besoin de
la fois les les
reproduite par Wilkinson^, et qui
SELLiNi',
manpient ä
de jonction du cordage avec
quatre piquets et
rigides 7 et 7';
y'
,
t.
II fig.
est
pl.
(pl.
IX).
361 part.
une tombe de
—
•')
XXIV;
XVIII, 2.
Kum
el-Ahmar.
r\ '
''
Zäouiyet cl-Metin (LD.
Champ., N. de G.
11
105
6).
II
,
8
G. Benedite:
Le
filet
La
tenderie dans la decoration murale des tombes civiles.
donc tendu sur plan rectangulaire.
etait
plantes aux quatre angles.
Au
facile.
petit poteau
au dela du noeud coulant
lequel,
Le mecanisme de
avait quatre piquets,
II
Ceci acquis, les aiitres elements sont d'une restitution
prolongement du cordage
est fixe le double cable,
j9
Band.
[48.
n,
deAäent simple
manoeuvre sen deduit egalement avec
la
la plus
grande
L'engin, tel que nous le restituons, vient detre dispose dans un fourre
facilite.
de plantes aquatiques, et
qu"indiquent dans les tableaux des tombes les
c'est ce
bouquets de papyrus devant
Le
et derriere le filet.
ment
petit poteau {p) est solide-
fixe
en
terre,
bätons
les
ont leur base
/3, /3'
cc, ot!
aux
assujettie
extremites des deux traverses
bordure superieure du
se deroule au loin et au
du
place
cute oppose et
besoin
pendant loperation,
aux deux grands cotes
de l'appareil.
Le cable coulisse dans
ä une
Chacun des termes
part au petit poteau, de Tautre
senroule autour d'un autre poteau ou
grande distance'.
billot
Par ce simple expose, on
du chapitre 153a du Llvre
voit laccord se faire avec la nomenclature
7'
donnent,
dune
s'attache
filet,
7,
la rigidite
qui
de
la
c, c'
(fig. 8).
des Morts.
s"y localise:
P
=
(\
c
=
a,
OL
=
y,
IM
Kl Les
hommes
filet
dans cette pensee, derriere
hautes tlges de papyrus.
les
guetteur.
Celui-ci.
cache
h la
manoeuvre
commande de
comme
en une vollere,
La
prise
nen
sera
bonne
et
certain air de verite cette le
qui
sert de signal. ')
silence
le h
ä
peu leur
abondance
11s
ne dedommagera d'une longue
et cette insouciance
du
gibier.
C'est alors
guetteur se dresse et agite au-dessus de sa tete la ceinture ou l'echarpe
que
la
loin
donnera
lui
Les tableaux expriment avec un
attente que lorsque la gent ailee foisonnera.
])ai-
que
y prennent bientot leurs attirant par leur bruit dautres compagnons de
vol vers la petite enceinte de bois et de cordes.
tout plumage.
Leur chef appuye sur
et attend le signal
de son mieux,
et s'abritent,
gibier,
Les oiseaux attires par un appat dirigent peu
l'equipe impatiente.
ebats
c"est-ä-dire aussi
billot,
pour ne pas donner leveil au
son bäton preside avec calme le
y'-
d'equipc s'attellent au cable pres du
que possible du
loin
jo, (6
,
Beni Hasan Vignette
Archeol. 1860).
I
Au commandement du pl.
XII; Paheri
du Livre des Morts:
pl. I\',
chef, les
L'existence
de Rouge,
hommes
tirent
de ce second poteau
Etudes sur
le
ritnel
funiraire
vivement
est aussi attestee pl. ^'
n.
1
(Revue
:
en cadence
et
Les parois a ce
La
G. Bknedite:
1910.]
que
sabattent avec
filet
bord
le
La traction ainsi exercee produit
cable.
le
du
Les traverses 7
oiseaux.
les
et
7'
fixees
les resultats suivants
quatre piquets vers le centre de maniere
rapproche du bord
c se
au
c
,
sol
recouvrant ainsi brusquement
par leur
poids
et
conservent leurs positions et leur distance, mais les petits cotes du sens inversc dans le
9
tenderie dans la decoration murale des tombes civiles.
meme
les
leur rigidite filet tires
en
plan horizontal perdent leur forme rectiligne pour
devenir deux angles plus ou moins aigus
^
y
dont
,
les
sommets sont aux
deux points de traction et le filet en arrive ainsi a prendre un aspect tres voisin du trace hexagonal que nous avons reproduit dapres les monuments. Dans cette representation, nous retrouvons le melange habituel d'elements en projection verti-
non sans saveur,
cale et d'elements en projection horizontale qui constitue,
principe
du dessin des anciens Egyptiens
ou
de tous
les
peuples primitifs.
Tandis
poteaux, les hommes, les oiseaux sont figures en elevaüon, l'appareil
que
le
est
vu en plan,
les
un hexagone. il
et
le
correspond
et c'est gräce a cette
circonstance quil nous apparait
Mais, ce quil ne faut pas oublier,
phase de
la
ä
la
c'est
comme
que sous cette forme,
manoeuvre pleinement accomplie.
Altägyptische Sonnenuhren, v/
Von Ludwig Borchardt. Mit 2 Blatt Abbildunsren.
Vor einer Reihe von Jahren konnte in dieser Zeitschrift' den Fachgenossen
Museen erworbenes astronomisches Inals Uhr für die Nachtstunden erErklärung auch gewesen sein mag, so mußte
ein damals für die Berliner Königlichen
strument vorgelegt imd in seiner Bedeutung klärt werden.
So einwandfrei diese
man damals schon
das Gefühl haben, daß damit das Instrument noch nicht völlig
verstanden worden
Die Inschrift darauf spricht nämlich von »dem Gange
sei.
Mondes
der Sonne,
des
könnten, es
muß
(?)
also nicht
und der Sterne«,
die
mit ihm beobachtet werden
am Tage zu irgendwelchen Außerdem waren, wenn der eine Teil,
nur nachts, sondern auch
Beobachtungen gebraucht worden
sein.
zum Aufhängen und Halten eines Lotes gedient hätte, die für unbequeme Linealform sowie der nach oben gerichtete Aufsatzzapfen nicht recht verständlich. Das Instrument mußte also noch anderen Zwecken als nur der Bestimmung von Sternkulminationen und daraus sich er-
der Lotgriff, nur einen Handgriff
•
gebenden nächtlichen Zeitmessungen gedient 1)
Zeitschr.
ÄZ. 1899 f.
S. lOff.;
Ägypt, Spr..
4S.
Band.
s.
liaben.
auch Amtl. Ber. aus den Kgl. Preuß. Kunstsamml. März 1910,
1910.
2
157/I.-)S.
—
, ,.
10
Borchardt:
L.
x\ltägyptisclie
Sonnenuhren.
[48.
Die Lösung dieser Zweifel brachten zwei für das Berliner
Band.
Museum gemachte
Erwerbungen aus diesem Frühjahr, zwei weitere ilfr/?i-lnstrumente, die auf der Oberseite der Lineale Marken und Inschriften tragen, aus denen ihr Clebraucli als
Sonnenuhren
zweifelsfrei liervorgeht.
funden worden sein
Das größere davon kam aus dem Faijum,
soll,
nach Kairo
in
den Handel;
Das kleinere kam aus Eschmunen nach Kairo. der Seite des Geier-
:
Der
und
lebende HoruSj
abgebrochen.
m
In das zerstörte
.
.
stammen.
durch die Inschrift an
ist
der König von Ober-
.
Re [Thutmosis
III.
Ende des Lineals
Durchmesser heute noch 0,05
eines Instrumententeiles,
haben.
v. Chr.)
.
.
.]«
Herr
und Unter-
datiert (1501
— 1447
Dafür sind bei ihm leider der Aufsatzzapfen und ein Stück des Lineals
V. Chr.).
0,008
— ßOO
der starke Stier^ der In Theben erscheinij der
des Schlanyendiadems, usw. usw.
ägypten Men-cJieper-rej der Sohn des
nahme
Es
wo es gedem Charakter
es dürfte,
der Schriftzeichen nach zu urteilen, aus der Spätzeit (1000
«
Blatte
Beide Instrumente sind aus grünlicliem, meta-
Lichtdruck dargestellt.
(Bl. 1) in
morphischen Schiefer.
dem beigegebenen
Sie sind auf
Vielleicht
ist
diese
m
wenn das Ganze
eine runde
Bohrung von
Sie dürfte für die Auf-
nicht benutzt wurde, gedient
Aushöhlung das Futteral
für den
dem Instrument
Visierschlitz, für die ^olvi^ u
der
etwa i""^^-—
ot)
(tj |]
Nut
(1
7,7, und somit zeigt,
*jöt'ef jät'ef, ,
wo
Pyr. 257
und
Rede
^ Jjs=jn^.
sein
kann:
eitoT schreibt
man
Es
^'\\^
(1
dem du
(jehoren
daß hier
ist klar,
Der Schreiber hat hier
(vom Sarge
also
wohl das
S. 27.)
s.
in griechischer Zeit vereinzelte^:
."^ Pap. Schmitt (Möller,
,,^
Schutz^, (o Toter),
der Paralleltext
(Schluß
denn
einem religiösen
in
itj ist er^
«
_
Form
Gebeh da als dein
dein Vaterj dein
'^^rr??.
klang;
:
hinter dir^ die dich geboren hat.
nicht die (]
ist
(]|j|^3^ glossenartig eingeschoben.
Auch jV »Gerste«
32 (Dendera),
I
erscheint im Plural im n. R. vereinzelt die
Text des m. R.* heißt '^
H2i
y[l(l
^^
jtjw (io"^:€ioT€, eiivTc, also etwa *j6tjeAv bzw. jj\tjew):
[1
^^
daß das Wort einen schwachen Konsonanten im
etwa wie »sein Auge«
gibt'.
»sein Vater
Darauf deutet auch der Umstand, daß »sein Vater«
Totb. 174 (nach Leiden 24") [1
jt-f »wie sein Vater
schreibt,
eicoT zeigt,
Auslaut gehabt haben muß.
im m.
im Hieratischen;
endigt'.
t
Das koptische
gesagt; in griechisclier
ist bereits
ihr (lel)rauc]i
»Vater« nur
l\
J\^
?5
er er.
Oi
^
CO o;
00
a
o
n| o
s
^
OS
napiiuiMAj
•ipio^ S94[Y
7jw(Irj
[48.
Band.
26
;3
M. Burchardt: Das ägyptische Wort
für »Vater«
[48.
Band.
M. BüRCHARDi
iniO.]
Die Lesung von
Wie
lange das
und ob man
hat,
(Ici
wäre demnach
Wort
Vater
^^
^^
anzusetzen.
als jtj
lebendes
als
Wort
es später als graphisches Bild für jt
Das Wort
sich unserer Beobachtung.
von den Pyramiden
27
Das ägyptische Wort für »Vater«.
:
\\o^
in der
Sprache existiert
verwendet
dagegen hat sich
entzieht
hat,
Wort
lebendes
als
bis ins Koptische gehalten.
Ägyptisches/- der Tonsilbe im Koptischen.
Von Karl Dyroff.
Während
Anzahl von koptischen Verben und Substantiven
»waschen«, eiwpg^ «sehen«; eiWT »Vater«, eiOM »Meer« das
eito' (1
in einer
{j-)
Stämme
der entsprechenden ägyptischen
andere im Ägyptischen mit
obwohl bei ihnen, wie
es
anlautende
(1
(= _/-)
als ei-
alte
erhalten
Stämme im Koptischen
—
ist,
B.
zeigen
das j- nicht,
scheint, ganz die gleichen Verhältnisse vorliegen
Stämmen, z.B. ton »zählen«, toT^ »ziehen«; oog^ »Mond«.
bei jenen
z.
anlautende
wie
In allen
dem Tonvokal, und man müßte daher nach dem wichtigen von Sethe (Verbum 1, XVI u. 62) nachgediesen Fällen steht /- als Anlaut
wiesenen Gesetz, daß sich
altes
[1
der Tonsilbe vor
in der Tonsilbe
im Koptischen
hält,
außerhalb
der Tonsilbe verschwindet, das j- noch überall in den koptischen Wortformen vorfinden.
Sethe
das alte
in
(1
ii
66
1,
(y)
erklärt,
daß in den von/- entblößten Wörtern ton usw.
übergegangen
sei.
Das
ist
natürlich keine Erklärung der
grammatischen Erscheinung, sondern ein anderer Ausdruck für die zutage gende Tatsache, daß diese Wörter im Koptischen mit
Man muß sei,
und Ich
vielmehr offenbar weiter fragen,
warum
/-,
lie-
nicht mit /- anlauten.
hier j- in
y-
übergegangen
bei dieser Frage flüchtet Sethe in das Ursemitische (1, § 109).
mache den Versuch,
die Erklärung innerhalb der ägyptischen Sprach-
geschichte selbst zu finden.
Es mag erlaubt stehen zu bleiben. die
sein,
bei
den von Sethe zusammengebrachten Beispielen
Denn haben wir
für diese einen
wenigen, die sonst noch im Augenblick zur
Weg
Hand
entdeckt, so
sind,
werden
mit den andern
gehen.
^)
Ich gehe, wie wir gewohnt sind, von den sahidischen
Formen
aus,
wenngleich es mo-
derner wäre, die achmimischen anzuführen. 4*
28
K. Dyroff:
Es sind folgende
Ägyptisches J- der Tonsilbe im Koptischen.
Sethe
Fälle,
54
1,
[48.
Band.
(vgl. 66):
1. Die Infinitive ei »kommen«, eifee »dürsten«, eine »bringen«, eipe »machen« mit den andern von diesen Verben vorkommenden Formen (wie n-,
ÜT*; p-,
Nomina
die
2.
jtn aus jwdn,
aus
jji
Bolleirische das
\
dem Nomen Hne =^ ägypt. ^p, jth,
jbj, jnj, jrj-,
»Auge«,
eiT«.
=
»Stein«
^
»Zahl«),
jwn\ der
ä^ht- »Tal«
»Geist« =^ Agypt.
boli. \£
Jri,
bei denen das
jnt,
axo »schwanger werden«
»ziehen«,
»zwischen«
Inf. otttc-
€
fh,
(mit den dazu gehörigen Verbalformen
Hpn »Wein«,
*wq »Fleisch«,
c-,
'Agy^t.
id.i\T-"';
log^,
uiTg^
^
jw
zu ägypt.
=
und
(mit e€T)
'Agy^i. jwdj-\
oo^e »Hürde«,
ofc^e »Zähne«,
ferner
ägji^t. j'wf, jrp, jb/i-w, jhj, jnr\
Formen
die
6.
»Erdboden«,
j^h-,
bewahrt hat:
Nomina
die
5.
»von«
ipi
ßj\
die Infinitive ton »zählen«
4.
üitte
ägjipt.
Nomina oo£^»Mond«,
die
3.
=
o)
^v^v«,
=
ägypt. jA; /•-,
«-
»Ausnahmen«, aber
sie
»zu«
»sein«; e-
=
»was?«
&.ig
ägypt.
7*r-,
ägypt. {jm-), m-.
Das
eine
ist
beängstigend große Zald von
fast
lassen sich zunächst leicht verringern.
Erstens nämlich
müssen
erschließen, daß jt- zu lich
z.
Sethe
hahyl.
B. in
i-
ßkiud > iMud
56. 64) MepiT* aus
1,
ägyptisch!)
=
ägypt. jpjp^.
1
Im Inlaut und den Monatsnamen
vorliegt.
*merjit-
Der Tyj)us
Die Fälle
richtig erhalten haben.
nicht ganz durchsichtig,
und 2 das (xesetz ist und ähnhaben wir so (anders
wir aus den Fällen unter
wurde, was an sich verständlich genug
eiTii
aber
ipi,
und
€id».Tq
(