Zeitschrift für Ägyptische Sprache und Altertumskunde [21]


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German Pages 183 Year 1883

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Table of contents :
Lettre ä M. le professeur Maspero sur la vocalisation des noms egyptiens, par E. Naville 1 — 11
Die Ceremonie des Lichtanzündens, von J. Dümichen, (Mit 2 Tafeln) 11 — 15
Die XXII. manethonische Dynastie, von L. Stern 15—26
Un chapitre de la chronique solaire, par E. Lefebure 27 — 33
Ein Fund thebanischer Ostraka, von A. Wiedemann 33 —35
^^Hör; Status constructus Här, von Gr. Schack 36
Die tonlosen Formen in der ägyptischen Sprache, von A. Erraan 37—40
Über die Lage von Fithom (Sukkoth) und Raemses (Heroonpolis), von R. Lepsius 41 — 53
Die Bentreschstele, von A. Erman 54— 60
Die Söhne Ramses III., von A. Erman 60 — 61
Notes sur quelques points de Grammaire et d'Histoire, par G. Maspero. (Suite) . 62—79
Historisch -philologische Analekten, von J. Krall 79—84
Der ägyptische Feldzug des Assur-bani-pal, von F. Haupt 85 — 88
Die ägyptischen Beschwörungen des grofsen Fariser Zauberpapyrus, von A. Erraan.
(Mit 3 Tafeln) 89— 109
Reponse ä la lettre de M. Edouard Naville, par G. Maspero 110— 123
Zum Funde von Der el bahari, von A. Wiedemann 123—126
Varia, par K. Piehl 127—135
Gesios und Isidoros, von G. Steindorff 137— 158
Aegyptische Eigennamen in griechischen Texten, von U. Wilcken 159 — 166
Erschienene Schriften S. 40. 88. 136. 166. 167
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Zeitschrift für Ägyptische Sprache und Altertumskunde [21]

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ÖOH

ZEITSCHRIFT FÜR

ÄGYPTISCHE SPRACHE UND

ALTERTHUMSKUNDE HERAUSGEGEBEN VON

C. R.

LEPSIUS

zu BERLIN

UNTER MITWIRKUNG

DER HERREN

H.

BRUGSCH, AD. ERMAN UND

L.

STERN.

EINUNDZWANZIGSTER JAHRGANG 1883

LEIPZIG J.

C.

HINRICHS'SCHE BUCHHANDLUNG.

Inhalt. Seite

Lettre ä M.

le

professeur Maspero sur la vocalisation des

noms

Die Ceremonie des Lichtanzündens, von J. Dümichen, Die XXII. manethonische Dynastie, von L. Stern

Un

chapitre de la chronique solaire, par E.

Ein Fund thebanischer Ostraka, von A.

^^Hör;

Status constructus

egyptiens, par E.

Naville

(Mit 2 Tafeln)

15

Lefebure

27

Wiedemann

33

Här, von Gr. Schack

Erman von A. Erman

III.,

Historisch -philologische Analekten, von J.

et d'Histoire,

par G.

Maspero.

(Suite)

.

Krall

Der ägyptische Feldzug des Assur-bani-pal, von F. Haupt Die ägyptischen Beschwörungen des grofsen Fariser Zauberpapyrus, von A. Erraan.

37

(Mit 3 Tafeln)

— 53 — 60 60 — 61 79

— 79 — 84

85

— 88

89

— 109 — 123

62

110

Varia, par K. Piehl

127

Erschienene Schriften

griechischen Texten, von U.

123

137

Gesios und Isidoros, von G. Steindorff in

— 40

41

Reponse ä la lettre de M. Edouard Naville, par G. Maspero Zum Funde von Der el bahari, von A. Wiedemann

Aegyptische Eigennamen

— 33 — 35

54

Die Bentreschstele, von A.

Die Söhne Ramses

— 26

36

Die tonlosen Formen in der ägyptischen Sprache, von A. Erraan Über die Lage von Fithom (Sukkoth) und Raemses (Heroonpolis), von R. Lepsius

Notes sur quelques points de Grammaire

— 11 — 11 15 1

Wilcken

159

— 126 — 135 — 158 — 166

S. 40. 88. 136. 166.

167

Zeitschrift für

Ägyptische Sprache

und

Alterthumskunde

herausgegeben

von R. Lepsius unter Mitwirkung der Herren H.

Einimdzwanzigster Jahrg.

Brugsch, Ad. Erman und

1883.

L. Stern.

Erstes Heft.

Inhalt: Lettre ä M. le professeur Maspero sur la vocalisation des

noms

egyptiens, par E. Naville.



Die Ceremonie des Lichtanzündens, von Dümichen. (Mit 2 Tafeln). — Die XXII. manetho— nische Dynastie, von L. Stern. Un chapitre de chronique par E. Lefebure. — Ein Fund thebanischer Ostraka, von A. Wiedemann. — ^^Höi", constructus Här, von Gr. Schack. — Die tonlosen Formen der ägyptischen Sprache, von A. Erman. — J.

la

solaire,

Status

in

Erschienene Schriften.

Lettre ä

M.

le

professeur Maspero sur la vocalisation des

noms

Egyptiens. Par

Edouard Monsieur

Vous

Naville.

et tres-honore confrere,

Mohammeriah. Vous

n'avez pas oublie nos conversations de l'hiver dernier ä

vous etes rappele que tandis que

les ouvriers cherchaient l'ouverture de la petite pyramide d'El KuUah, nous avons souvent discute la vocalisation des noms egyptiens que

vous avez adoptee dans vos travaux recents. core je ne suis pas persuade, et je

J'ai le regret

de dire qu'aujourd'hui en-

me ränge au nombre de ces personnes qui consicomme capricieux, du moins comme pre-

derent votre Systeme de transcription sinon sentant encore trop d'arbitraire. II

y a un point cependant sur lequel nous sommes tombes d'accord,

tion de porter ce sujet devant le tribunal de nos confreres,

arguments dans

les

Vous avez

deux sens.

quoique vous n'ayez pas

fait

un

Zeitschr.

f.

et qui

empecheront

traite sur la

Aegypt. Spr., Jahrg. 1883.

la discussion

de

les

nantir de nos

pris les devants, et j'en suis bien aise, car

matiere

comme vous

vous avez cependant touche ä plusieurs questions capitales avec soin,

et

c'est l'inten-

qu'il

vous meme,

le dites

importe d'examiner

de s'egarer. 1

Lettre ä M. le professeur Maspero sur la vocalisation des

Et d'abord examinons calisez par

sant par

t

rt.

memoire sur la

donne ä

dans Farticle de la Zeitschrift,

des pharaons des

la plupart

comme

en grec la lettre correspondant ä

de

sous les Ptolemees est un

1'

yj

XII" dynastie

la valeur

noms

scrivons par rt tous les la prononciation des

Heft

noms

soit dejä

finls-

dans le

de Boulaq que vous avez presente au Congres de Florence, est

la stele

l

soit

[I.

que vous transcrivez ou plutöt que vous vo-

Votre raisonnement,

prononciation

partir de la

a

egyptiens,

ä la fin des mots, ce qui

en copte

celui-ci:

la lettre ^

noms

t

finissant

de V

,

par

le

n

1'

o

..

indiscutable.

fait

dieu

,

contemporains de Manethon, c'est ä dire

un h; or

Dejä meme ä

Si donc nous tran-

est bien etablie.

nom du

final est

nous aurons

teile qu'elle etait

ainsi

ä une

epoque determinee.

Je commence par oü vous finissez, par les transcriptions grecques des noms egypSur ce point, il me semble que vous passez sous silence deux considerations tiens. qui

me

tien,

paraissent d'uue grande importance.

il

faisait

Quand un Grec

d'un mot invariable un mot susceptible de flexions.

forme grecque du

nom

lui

permit de subir

les divers

stituent les cas, chose absolument inconnue en egyptien. il

fallait,

qu'on

me

fallait

que la

changements qui con-

Quelle que füt la lettre finale

passe Fexpression, l'habiller ä la grecque.

naisons grecques par excellence pour les

Qu'on prenne

II

un nom egyp-

put se decliner, et par consequent qu'elle eüt une terminaison

non egyptienne mais grecque, qui du nom,

transcrivait

les listes royales,

ou

noms masculins

Or

sont les finales en

les termirjg, ij

et

05.

Celles qui ont ete faites d'apres les papyrus, et l'on

verra a quel point ces trois finales, surtout les deux premieres

i^g

et

ig

predominent sur

toutes les autres, quelles que soient du reste les lettres egyptiennes auxqueUes on les

a adaptees. qu'il

Les exemples abondent de mots egyptiens termines par des consonnes

eüt ete impossible de decliner, et qu'on a grecises par l'addition de l'une de ces

terminaisons. ][

]j

^^~.

PaToiV>]$

.

'ApTToxpaVrjs

D P Souxos

|'J^=^

Ss^opTcco-t;

1PTP' AAAAA^

^Efl-oyx'S

A AA/\AftA i_l

De meme

pour

LA

noms termines par des

les

voyelles

grecques: 1

D !P

111

.

Avoußtg

'""'S

qui n'etaient pas des finales

par E. Naville.

1883.]

II est

3

donc h mon sens tres-hasarde de vouloir retrouver

lettre egyptienne d'apres la transcription grecqvie

la

d'uu mot, mais de la finale, c'est a dire de la partie ä laquelle

donner une tournure conforme aux

En

il

fallait

absolument

de la langue grecque.

lois

outre la plupart de ces transcriptions ont ete faites dans le grec de la

dans un laugage

^laXEXTog, c'est ä dire

epoque dejä et

prononciation d'une

non du commencement ou du milieu

fort reculee, l'ä long, l'ä

souvent aussi dans

le

tres voisin

Herodote, mais dans

le

Mena

grec

etait

tel

surtout ä la fin des mots^ est

Vyj

le

qu'on

un

t,

roi

et

difi'erent

que pour

le parlait

A

i^.

maintenu chez

un

lui

Quel

Doriens

est l'helleniste

Et non seulement chez

en Orient, l'equivalent habituel de

cet egard,

en Perse de ce

*].

les

dejä le roi que nous avons

Minis ou Mini?

transcriptions d'autres langues que l'egyptien,

L'Hellene n'etait pas

s'est

cet ä a ete remplace par

latln,

une

dialecte ionien, dans lequel ä

etymologique qui

qui affirmerait qu'Herodote pronon9ait toujours appele Menes ou

du

xoivi]

fort

est

il

l'ä,

instructif d'etudier les

en particulier Celles de l'ancien perse. qu'il

en Egypte; les exigences de

etait

memes, dans un pays comme dans l'autre; partout il cherchait a donner aux noms etrangers un son qui ne jurät pas trop avec ceux auxquels il etait habitue. M. Spiegel me parait etre dans le vrai lorsque parlant de la maniere dont les noms perses sont rendus en grec, il fait la remarque suivante: „la transcription des sa langue etaient les

voyelles en grec finales, ils

me

parait

peu

süre.

En

y ont adapte des terminaisons grecques"i).

coup d'exemples.

il

ne faut tenir aucun compte des

ils

ont ajoute des lettres, ou bien

particulier,

car souvent les Grecs les ont abregees, ou II

n'est

pas necessaire de

citer

beau-

Voici quelques finales en ä:

Tigrä

Tiyprig

Khsatrapävä

"^cnpanric,

Khshayärsa

S£/!§>]5

Artakhsaträ

'ApTa^ip^rji;

Auramazdä

'Qpofxaaßi^i;

Ces exemples me paraissent assez concluants; en particulier des mots oü

l'ä

est

mencement ou au milieu du mot.

Mäda

devenu un

e

ou.

il

serait

un

rj

aise

d'en ajouter d'autres,

quoiqu'il fut place au

com-

M.

Lettre a

tot

aux

le professeur

exactement possible en

finales

»55,

son

le

noms egyptiens,

dans la

t

le

mot

Le

etranger.

parait faire exception pour les

latin

Maa-aavdaa-Yig

Massinissa

roXoVo-i^g

Gulussa.

et ä lettre

finale,

Vous admettez que

o.

comme preuve

mot

le

'Aixovpua-mS-TJp (J

AAAAA^

I

Permettez-moi de vous

Rä.

u

4=

1

de ses

meme

titres; la

inscription peut parier

nom d'Ammon Rä de son titre, ils que ce nom d'Ammon Rä est reste avec

sulte

le

Sans qu'on

eu ä

ait

que nous

syllabes

les laissons tels quels, cela

Achmed

des mots

comme

considerees

d'Ammon

et

n AAA/wv s'est prononce T III O dans une phrase analogue I

I

1

I

Non, noms

I

f\

Amon Rä suten """" cq A y^ '=^__^ '

'

j

|

/

a/^ww

|

l

O

ou

comme

en ont

a-t5

ou

Pajusa-ö-yjg

Je dois convenir

Je

n'ai

tandis que

,

a

y

qu'il

me

pour ce qui

ment; on avait transcrit

"A/acfo-tg

nom

l'assonance avec le

II resulte

^^e'^^aient

transcrits

etre

dans un mot

dont l'equivalent

un

S

dit

est

^

les

®* ^®

^^^

que motivait aussi

trouve

5^

y^

'

Ol



grec de

l'equivalent

je

a-'Mc^pLg

entier serait

A

le

® du

est

^

D

verbe

est

X^P^''

^^

ou

^

^

incorrect, lSs^ip(Tw^pL(; ovcfxa ovk

Ptolemees dejä,

('Apa-a';(|)3/:'x'6!5 qui serait l'equivalent de | '^^^ Le verbe u a subi une autre modification; outre le changement du ® en oizi, !' final est tombe et le mot est reduit ä ^~"^^~' dont la transcription grecque est o-cj), il

.

de

i^;^^ ait

disparu devant le

a-.

se rencontre

si

WO

Nous avons

de Touthmosis III Men-xeper-ra Miaa^pic,.

prenom

r"^

que nous retrouvons dans MiacL^pig

aa(p, ffov^ I'aaa^/vn

^)

M''

sidere ce (Tetfv>55,

votre

Mena

roi

ocp

nous

lecture

la

W

fiocep, et

d'Oüo-i

in-

User et non provient de

nom

Pauwo-ts

lu sou-

"f

dans un autre

1

que vous il

la question

et ailleurs, car toutes les finales en

ici

user^ et

correspoud non ä

i final

nous mon-

ainsi OuVijuap>]g

non User n ra, comme on a

mot

car pour Herodote

Je ne reviens pas ä

et le datif Mt^vi. ci

^^ ^

Ra men x^-

dynastie.

roi de la V*^

Examinons pour

Cette fois

est reste en copte

k__/i

1

nom du

c'est

mots egyptiens;

Je crois avoir retrouve le

Pavcuo-tj,

utiles,

Je n'hesite pas ä conserver

ra.

une rame,

•>

les

rxow.

lorsqu'ils

Wvq Men.-j(eper-ra et

qu'il faut

mots grecs nous sont

les

li

(1

de la prononciation de

mais ä

o

vous

Mini, je suppose parce-

lisez

ne nous donne que l'accusatif M^va

(I

du

a

qui

egalement

les lisez

se

$i

ou

en grec.

l'i^

prononcer II

ti.

i

m'est

impossible de ne pas croire que Ton a dit non pas Mini, mais Mena, et je m'appuie

pour cela sur Diodore de

comme du temps noms

Sicile.

d'Herodote;

Quand

son histoire,

ecrivait

il

n'en etait plus

il

on ne transcrivait plus indistinctement en

tous les

'/jg

en a; on avait vu apparaitre tous les noms romains en a

etrangers finissant

auxquels on avait conserve leur physionomie en leur donnant une terminaison as: XvXXag, Kivvag, MepöXac,;

un nom

on

s'etait

«t^lllllll

Mrjvav

comme

ISaaLxa;.

la

un a,

transcription de

prononce Mena, impossible de se rendre

Voilä pour

Diodore.

nom

que Mena a appelee de son

finale;

la

.lUUfÜiJL

la ville

latin Mi^vag acc.

1

II

si

comme un nom

IS

M'B ' ", ,

bien que Diodore rencontrant

si

le transcrit

ü ne s'est pas

Si AAAAftA

compte de I

habitue ä ces finales,

egyptien, Mena, termine par

"~

et

quant ä

la

syllabe

± est

I

devenue

en copte

Mifjupig,

Meqe, pourquoi dans celui du roi serait-ce Min?

En

voilä bien long,

et je

lettre devait avoir ä l'origine.

me

En

sation que vous adoptez dans vos

ne parle pas de l'inconvenient

immense que

d' avoir

qu'il

suis

laisse

resume,

je

entrainer au-delä des bornes

ne crois pas que

Systeme de vocali-

travaux recents repose sur une saine methode.

Je

presente pour les egyptologues ; c'etait un avantage

un Systeme de transcription generalement reconnu,

de reconstruire ä peu pres, les mots hieroglyphiques.

tait

le

que cette

et qui

permet-

Ce qui me frappe,

c'est la

noms egyptiens vont presenter ä ceux qui ne sont pas inities. Comment quelqu'un des qui n'est pas du metier peut-il savoir que Soqnounri est le meme roi que M"" de Rouge a appele Rasqenen, que Mini est le roi Menes, et ainsi de suite. Vous voulez prononcer comme les contemporains de Manethon; fort confusion inextricable que les

bien; ces contemporains etaient ou egyptiens ou grecs, ces langues, mais

non pas un idiome dans lequel

sur les consonnes egyptiennes.

mais a-ig

s'il

Je ne

sais

pas

si

ils

parlaient l'une ou l'autre de

les voyelles

jamais

III.

une histoire d'Egypte,

m'arrivait d'entreprendre cette täche ardue, je crois que j'imiterais ce qui s'est

n'est qu'une corruption de MiTct(p^ig Toxj^fxwiTtg , c'est ä dire des

mosis

grecques ont ete entees

j'ecrirai

deux cartouches de Touth-

fait

H

par E. Naville.

1883.]

pour

La

grecque ou romaine.

l'histoire

franfaise, taudis que d'autres

y a des noms qui ont pris uue tournure

il

out conserve leur aspect primitif;

nous disons

Quinte Curce, Neron, Claude, et Ennius, Sempronius, Regulus, Fabius.

en egyptien: rante,

et qui sont plus coiiformes les

ou

et a dire

est connu.

je

Je ne

crois

pas

La

tient pas

un compte

transcrire

comme

süffisant

Tont

ils

de Tensemble

ou cette transcription

m'en tiendrais ä

qu'il

une prononciation qui s'appuie sur des

soit

faits

la

et

valeur stricte des

non Ouahbrt, Men-

prudent d'essayer de recon-

linguistiques isoles, mais qui ne

des causes

qui ont

ameue

les

Grecs a

fait.

comme vous Tavez

plume, car

la

Ramses, Touthmosis, Cheops, Apries,

Ouahabra, Men-jeper-ra, Usermaj'a, Raneferu,

khoprire, Ousirmari, Ranofri.

Je pose

meme

aux articulations de notre langue; je

l'original

Ton veut plus d'exactitude,

si

lettres, et je dirais

stituer

que

employer,

du moment que requivalent egyptien

Äfesphres,

eu est de

II

y a certaines transcriptions grecques qui sont devenues monnaie cou-

il

ne vois aucun inconvenient a

n'existe pas,

Virgile,

fort bien dit,

il

faudrait ecrire

un

traite

sur la matiere; vous vous joindrez ä moi, je l'espere, pour prier nos savants collegues

de nous

de leurs opinions sur cet important

faire part

sujet.

Geneve, Decembre 1882.

Die Ceremonie des Lichtanzündens. Von

Johannes Dümichen. (Mit 2 Tafeln).

dem vorangegangenen Hefte dieser Zeitschrift hat unser verehrter College Ad. die in dem Grabe des Hapiefa in Siut angebrachte grofse Inschrift behandelt, in uns die von dem hohen Verstorbenen mit grofser Ängstlichkeit über die nach seinem der Tode an den verschiedenen Gedenktagen zu veranstaltende Todtenfeier abgeschlossenen In

Erman

Verträge überliefert sind. Hapiefa getroffenen

Erman

die

Gruppe

I

Ansicht, dafs unter liefernden, /^^^

ZU verstehen

In diesen Verträgen sind von besonderer Wichtigkeit die von Anordnungen bezüglich der Ceremonie des Lichtanzündens, wie

dem

^^ ^

ist.

o

.\\

^

9.

Schläfen und dann ebenso geschrieben, /i^ ^^^

Yh

'

Heft

[I.

^"^ Bezeichnung

beiden

der

v^ für den an den Schläfen herab-

hängenden Haarzopf ^ gebraucht wird. Im Laboratorium von Edfu (cf. Temp. Insch. I 52 von einem der heihgen Oele: jt\^ T ^TT^ -T (Z. 22),

er in guter Schrift

flfl

(Z. 26)

prefst also

sie

einnehmen würde.

8^^S^^

S^

J

(Z. 23)

Jj^(Z.24)oder5f^,^(Z.5). Wir müssen

sehr

um

heruntergehen,

tief

der

lemaeus

I.

genau, phie

ijt^, 11

QA

das

ist

und

für

[I

Schreibt

Q(\

,

es sich

richtet sein.

Und

sie

y)^

iJ



Idiom für

zu den Stelen

bis

Pto-

Satrapenstele

unserer

sie

und

ämmä

^ ^^f

(1

•=%^ und .=^^i).

Inschrift

Orthogra-

die

'^^^

Setzt die eine

und

(I

^

für

(1

Q|\

.

schreibt, so schreibt sie diese sogar ß /www



ämmä^

X

fl

es hat

und

für hnä

auch

(I

steht

v\ •'^^

^ ^

sprachlich

9Ö auf

2),

wird in der persischen oder

dies Urtheil, das wir auf

wird bestätigt durch die Stelle lini

gleicht

Bentreschstele

die

mich keinem Zweifel, dafs

unterliegt daher für

nahe steht;

Sprachlich archaisirende

k

35. 36) für

derselben Stufe der Barbarei

finden

sogenannte

B. die

dem Dekret von Canopus

mit

und ^^'^ pO'

ihrer Orthographie

die Stele von

*^^^ und ^^,

noch nicht

viel

*^^v

vS.

zu sagen.

bietet,

An-

Neapel und die Wiener Stelen des Anmhr,

noch ganz.

Rosell.

Mon.

stör. Vol. II p. 48/.

Seine

Angaben

sind leider etwas unklar; sie klingen

'

von A. Erman.

1883.]

Ob

Technik der

sich aus der

Stele, aus der

59

Form

der Darstellungen eine genauere Datirung des

Stil

Es

imtersuchen.

Name

„der

ist

Man

Berathung rufen

Monuments

— eine

"""^^

sondern die

läfst,

4-.^

^.

.

die

des Sallier

vorkäme

sie in älterer Zeit

Alles wohl erwogen, gelangt Stil

Form

I, 1

den Ptolemäerin—

in

Canopus Z.

eine so grofse Rolle spielt (Mendesstele Z. 24. 25.

im

über dem Priester:

in älterer Zeit unerhörte

übersehe auch nicht, dafs der König nicht seine „Fürsten" zur

wenigstens nicht erinnerlich, dafs

die (etwa

dem

noch zu

ergiebt, bleibt

auffällig; so die Überschrift

des Propheten... X^^-^ä-ntr-nhf^

der Beischrift.

Schriften

noch manches an ihm

der Sonnenscheibe 1) und

Mir

34),

ist

2).

man

zu folgendem Resultat.

—3

oder des Harris 500 Verso

Es gab

Legende,

eine

erzählte,

Iff.)

wie

Ramses 11. die Tochter eines Königs heirathete, der noch weit hinter Naharina regierte. Unter anderm ereignete es sich dabei auch, dafs die jüngere Tochter dieses Königs besessen war und dafs Ramses ihr seinen Gott Chons schickte, um sie zu heilen. Da der betreflfende Gott X^^^'^-p(^-^^-^'>'-''^-^pt7ri7jcre.

Sammlung

Xr-JjO^'> ^pi-Hvx(^v(ng demotisch-griechischer

^

.

63

par G. Maspero.

1883.]

XXXII. Je

§

lis

dans

Grab

äb-mer^ das

Supplement au Dict. Hier, de Brugsch,

le

Es

nicht nur als Sinn-, sondern geradezu als Lautvariante diesem

T

:

v\

1

(1

:

,

eine mir erwiesene, aber unerklärliche Thatsache. dafs

ist

eine der folgenden Gruppen

39

p.

T

,

^^^^ J\^

^

m-

\\

-,

Worte gegenüberstehen,

J %- /\ CD

welche

,

allein

nur äbmer oder äh-mu (nicht se-mer) ausgesprochen werden dürften, und wie das Deutzeichen der Pyramide beweist, die Bedeutung von „Pyramide, Grabdenkmal in Gestalt

Grab" haben.

„einer Pyramide, Grabdenkmal,

y a longtemps dejä que de Rouge avait indique dans sa Chrestomathie (T.

11

'

I

T

t

11) la valeur mei' du signe

p. 93,7n



^

"

^sv

Chabas

et

/Ml

¥

dans

mer pour

"^^ lecture

^"^^'

le

Papyrus Abbott:

le

I,

titre

sens de tombeau avait ete adoptee par

le

par moi dans nos memoires sur

^^^^ mer, douleur et dans

M.

textes de l'epoque

les

des pyramides nous en fournissent une preuve nouvelle.

Le tombeau greco-romaine

de Pepi II renferme une priere frequente dans les papyrus d'epoque

et

par laquelle

defunt s'adressant aux dieux d'Heliopolis les prie l'un

le

Chaque verset de

apres l'autre de vouloir bien faire fleurir son nom.

ferme

mot en question

le

La T

T J 1^ /_\

Variante

le

^^^s une

^*^'

(B^hI (®5'-^I

1^ /\

autre section, je trouve

Exemple:

.

tout court, sans le syl-

donc une inadvertance du scribe qui aura

texte nous permet de faire

sidere d'ordinaire le

n

M. Brugsch dans

que:

est

cette priere ren-

t 1^ ^^ ou ^\ Tl(

O

I

"I

AA/WV\ /VWVVV\ /V^^^VV

O I

I

D

e;llll

I

de ce dernier mot n'est pas un vase, mais un § XLV. En 1°Un bloc

parcourant

Kom-Ombo,

trouve:

j'ai

f j f |^ (^^] » ^

^f§

legende

:^ ^

^

(]

i]

^

( ^k^M'" ! S 1TE montant de porte en calcaire blanc, encore debout ä sa place antique

Un



de Lache Qz] fort nettement dessine.

fer

berge du Nil ä

en gres ayant servi de dessus ä une porte, avec l'inscription suivante:

...engende meme

la

Af

et

portant la legende:

W^

^ ^ö

'l\ß7

grandes

"

O

Un

^°'

Une

4,°-

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Sevek

I

1=5=11

les

—~f^

^^

le dieu,

(

U'

Pifrri] ;

A'.'A^

*:-=-^

APY Ce

(s,c;

K.^ .

n

AY

bloc

de gres portant

Sorte d'architrave en gres

en une colonne verticale

ooo'^-^ y II #=v

cale.

©ijfi;^©

1

en tres-

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j

-

1

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derriere le roi v-r