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German Pages 183 Year 1883
ÖOH
ZEITSCHRIFT FÜR
ÄGYPTISCHE SPRACHE UND
ALTERTHUMSKUNDE HERAUSGEGEBEN VON
C. R.
LEPSIUS
zu BERLIN
UNTER MITWIRKUNG
DER HERREN
H.
BRUGSCH, AD. ERMAN UND
L.
STERN.
EINUNDZWANZIGSTER JAHRGANG 1883
LEIPZIG J.
C.
HINRICHS'SCHE BUCHHANDLUNG.
Inhalt. Seite
Lettre ä M.
le
professeur Maspero sur la vocalisation des
noms
Die Ceremonie des Lichtanzündens, von J. Dümichen, Die XXII. manethonische Dynastie, von L. Stern
Un
chapitre de la chronique solaire, par E.
Ein Fund thebanischer Ostraka, von A.
^^Hör;
Status constructus
egyptiens, par E.
Naville
(Mit 2 Tafeln)
15
Lefebure
27
Wiedemann
33
Här, von Gr. Schack
Erman von A. Erman
III.,
Historisch -philologische Analekten, von J.
et d'Histoire,
par G.
Maspero.
(Suite)
.
Krall
Der ägyptische Feldzug des Assur-bani-pal, von F. Haupt Die ägyptischen Beschwörungen des grofsen Fariser Zauberpapyrus, von A. Erraan.
37
(Mit 3 Tafeln)
— 53 — 60 60 — 61 79
— 79 — 84
85
— 88
89
— 109 — 123
62
110
Varia, par K. Piehl
127
Erschienene Schriften
griechischen Texten, von U.
123
137
Gesios und Isidoros, von G. Steindorff in
— 40
41
Reponse ä la lettre de M. Edouard Naville, par G. Maspero Zum Funde von Der el bahari, von A. Wiedemann
Aegyptische Eigennamen
— 33 — 35
54
Die Bentreschstele, von A.
Die Söhne Ramses
— 26
36
Die tonlosen Formen in der ägyptischen Sprache, von A. Erraan Über die Lage von Fithom (Sukkoth) und Raemses (Heroonpolis), von R. Lepsius
Notes sur quelques points de Grammaire
— 11 — 11 15 1
Wilcken
159
— 126 — 135 — 158 — 166
S. 40. 88. 136. 166.
167
Zeitschrift für
Ägyptische Sprache
und
Alterthumskunde
herausgegeben
von R. Lepsius unter Mitwirkung der Herren H.
Einimdzwanzigster Jahrg.
Brugsch, Ad. Erman und
1883.
L. Stern.
Erstes Heft.
Inhalt: Lettre ä M. le professeur Maspero sur la vocalisation des
noms
egyptiens, par E. Naville.
—
Die Ceremonie des Lichtanzündens, von Dümichen. (Mit 2 Tafeln). — Die XXII. manetho— nische Dynastie, von L. Stern. Un chapitre de chronique par E. Lefebure. — Ein Fund thebanischer Ostraka, von A. Wiedemann. — ^^Höi", constructus Här, von Gr. Schack. — Die tonlosen Formen der ägyptischen Sprache, von A. Erman. — J.
la
solaire,
Status
in
Erschienene Schriften.
Lettre ä
M.
le
professeur Maspero sur la vocalisation des
noms
Egyptiens. Par
Edouard Monsieur
Vous
Naville.
et tres-honore confrere,
Mohammeriah. Vous
n'avez pas oublie nos conversations de l'hiver dernier ä
vous etes rappele que tandis que
les ouvriers cherchaient l'ouverture de la petite pyramide d'El KuUah, nous avons souvent discute la vocalisation des noms egyptiens que
vous avez adoptee dans vos travaux recents. core je ne suis pas persuade, et je
J'ai le regret
de dire qu'aujourd'hui en-
me ränge au nombre de ces personnes qui consicomme capricieux, du moins comme pre-
derent votre Systeme de transcription sinon sentant encore trop d'arbitraire. II
y a un point cependant sur lequel nous sommes tombes d'accord,
tion de porter ce sujet devant le tribunal de nos confreres,
arguments dans
les
Vous avez
deux sens.
quoique vous n'ayez pas
fait
un
Zeitschr.
f.
et qui
empecheront
traite sur la
Aegypt. Spr., Jahrg. 1883.
la discussion
de
les
nantir de nos
pris les devants, et j'en suis bien aise, car
matiere
comme vous
vous avez cependant touche ä plusieurs questions capitales avec soin,
et
c'est l'inten-
qu'il
vous meme,
le dites
importe d'examiner
de s'egarer. 1
Lettre ä M. le professeur Maspero sur la vocalisation des
Et d'abord examinons calisez par
sant par
t
rt.
memoire sur la
donne ä
dans Farticle de la Zeitschrift,
des pharaons des
la plupart
comme
en grec la lettre correspondant ä
de
sous les Ptolemees est un
1'
yj
XII" dynastie
la valeur
noms
scrivons par rt tous les la prononciation des
Heft
noms
soit dejä
finls-
dans le
de Boulaq que vous avez presente au Congres de Florence, est
la stele
l
soit
[I.
que vous transcrivez ou plutöt que vous vo-
Votre raisonnement,
prononciation
partir de la
a
egyptiens,
ä la fin des mots, ce qui
en copte
celui-ci:
la lettre ^
noms
t
finissant
de V
,
par
le
n
1'
o
..
indiscutable.
fait
dieu
,
contemporains de Manethon, c'est ä dire
un h; or
Dejä meme ä
Si donc nous tran-
est bien etablie.
nom du
final est
nous aurons
teile qu'elle etait
ainsi
ä une
epoque determinee.
Je commence par oü vous finissez, par les transcriptions grecques des noms egypSur ce point, il me semble que vous passez sous silence deux considerations tiens. qui
me
tien,
paraissent d'uue grande importance.
il
faisait
Quand un Grec
d'un mot invariable un mot susceptible de flexions.
forme grecque du
nom
lui
permit de subir
les divers
stituent les cas, chose absolument inconnue en egyptien. il
fallait,
qu'on
me
fallait
que la
changements qui con-
Quelle que füt la lettre finale
passe Fexpression, l'habiller ä la grecque.
naisons grecques par excellence pour les
Qu'on prenne
II
un nom egyp-
put se decliner, et par consequent qu'elle eüt une terminaison
non egyptienne mais grecque, qui du nom,
transcrivait
les listes royales,
ou
noms masculins
Or
sont les finales en
les termirjg, ij
et
05.
Celles qui ont ete faites d'apres les papyrus, et l'on
verra a quel point ces trois finales, surtout les deux premieres
i^g
et
ig
predominent sur
toutes les autres, quelles que soient du reste les lettres egyptiennes auxqueUes on les
a adaptees. qu'il
Les exemples abondent de mots egyptiens termines par des consonnes
eüt ete impossible de decliner, et qu'on a grecises par l'addition de l'une de ces
terminaisons. ][
]j
^^~.
PaToiV>]$
.
'ApTToxpaVrjs
D P Souxos
|'J^=^
Ss^opTcco-t;
1PTP' AAAAA^
^Efl-oyx'S
A AA/\AftA i_l
De meme
pour
LA
noms termines par des
les
voyelles
grecques: 1
D !P
111
.
Avoußtg
'""'S
qui n'etaient pas des finales
par E. Naville.
1883.]
II est
3
donc h mon sens tres-hasarde de vouloir retrouver
lettre egyptienne d'apres la transcription grecqvie
la
d'uu mot, mais de la finale, c'est a dire de la partie ä laquelle
donner une tournure conforme aux
En
il
fallait
absolument
de la langue grecque.
lois
outre la plupart de ces transcriptions ont ete faites dans le grec de la
dans un laugage
^laXEXTog, c'est ä dire
epoque dejä et
prononciation d'une
non du commencement ou du milieu
fort reculee, l'ä long, l'ä
souvent aussi dans
le
tres voisin
Herodote, mais dans
le
Mena
grec
etait
tel
surtout ä la fin des mots^ est
Vyj
le
qu'on
un
t,
roi
et
difi'erent
que pour
le parlait
A
i^.
maintenu chez
un
lui
Quel
Doriens
est l'helleniste
Et non seulement chez
en Orient, l'equivalent habituel de
cet egard,
en Perse de ce
*].
les
dejä le roi que nous avons
Minis ou Mini?
transcriptions d'autres langues que l'egyptien,
L'Hellene n'etait pas
s'est
cet ä a ete remplace par
latln,
une
dialecte ionien, dans lequel ä
etymologique qui
qui affirmerait qu'Herodote pronon9ait toujours appele Menes ou
du
xoivi]
fort
est
il
l'ä,
instructif d'etudier les
en particulier Celles de l'ancien perse. qu'il
en Egypte; les exigences de
etait
memes, dans un pays comme dans l'autre; partout il cherchait a donner aux noms etrangers un son qui ne jurät pas trop avec ceux auxquels il etait habitue. M. Spiegel me parait etre dans le vrai lorsque parlant de la maniere dont les noms perses sont rendus en grec, il fait la remarque suivante: „la transcription des sa langue etaient les
voyelles en grec finales, ils
me
parait
peu
süre.
En
y ont adapte des terminaisons grecques"i).
coup d'exemples.
il
ne faut tenir aucun compte des
ils
ont ajoute des lettres, ou bien
particulier,
car souvent les Grecs les ont abregees, ou II
n'est
pas necessaire de
citer
beau-
Voici quelques finales en ä:
Tigrä
Tiyprig
Khsatrapävä
"^cnpanric,
Khshayärsa
S£/!§>]5
Artakhsaträ
'ApTa^ip^rji;
Auramazdä
'Qpofxaaßi^i;
Ces exemples me paraissent assez concluants; en particulier des mots oü
l'ä
est
mencement ou au milieu du mot.
Mäda
devenu un
e
ou.
il
serait
un
rj
aise
d'en ajouter d'autres,
quoiqu'il fut place au
com-
M.
Lettre a
tot
aux
le professeur
exactement possible en
finales
»55,
son
le
noms egyptiens,
dans la
t
le
mot
Le
etranger.
parait faire exception pour les
latin
Maa-aavdaa-Yig
Massinissa
roXoVo-i^g
Gulussa.
et ä lettre
finale,
Vous admettez que
o.
comme preuve
mot
le
'Aixovpua-mS-TJp (J
AAAAA^
I
Permettez-moi de vous
Rä.
u
4=
1
de ses
meme
titres; la
inscription peut parier
nom d'Ammon Rä de son titre, ils que ce nom d'Ammon Rä est reste avec
sulte
le
Sans qu'on
eu ä
ait
que nous
syllabes
les laissons tels quels, cela
Achmed
des mots
comme
considerees
d'Ammon
et
n AAA/wv s'est prononce T III O dans une phrase analogue I
I
1
I
Non, noms
I
f\
Amon Rä suten """" cq A y^ '=^__^ '
'
j
|
/
a/^ww
|
l
O
ou
comme
en ont
a-t5
ou
Pajusa-ö-yjg
Je dois convenir
Je
n'ai
tandis que
,
a
y
qu'il
me
pour ce qui
ment; on avait transcrit
"A/acfo-tg
nom
l'assonance avec le
II resulte
^^e'^^aient
transcrits
etre
dans un mot
dont l'equivalent
un
S
dit
est
^
les
®* ^®
^^^
que motivait aussi
trouve
5^
y^
'
Ol
fö
grec de
l'equivalent
je
a-'Mc^pLg
entier serait
A
le
® du
est
^
D
verbe
est
X^P^''
^^
ou
^
^
incorrect, lSs^ip(Tw^pL(; ovcfxa ovk
Ptolemees dejä,
('Apa-a';(|)3/:'x'6!5 qui serait l'equivalent de | '^^^ Le verbe u a subi une autre modification; outre le changement du ® en oizi, !' final est tombe et le mot est reduit ä ^~"^^~' dont la transcription grecque est o-cj), il
.
de
i^;^^ ait
disparu devant le
a-.
se rencontre
si
WO
Nous avons
de Touthmosis III Men-xeper-ra Miaa^pic,.
prenom
r"^
que nous retrouvons dans MiacL^pig
aa(p, ffov^ I'aaa^/vn
^)
M''
sidere ce (Tetfv>55,
votre
Mena
roi
ocp
nous
lecture
la
W
fiocep, et
d'Oüo-i
in-
User et non provient de
nom
Pauwo-ts
lu sou-
"f
dans un autre
1
que vous il
la question
et ailleurs, car toutes les finales en
ici
user^ et
correspoud non ä
i final
nous mon-
ainsi OuVijuap>]g
non User n ra, comme on a
mot
car pour Herodote
Je ne reviens pas ä
et le datif Mt^vi. ci
^^ ^
Ra men x^-
dynastie.
roi de la V*^
Examinons pour
Cette fois
est reste en copte
k__/i
1
nom du
c'est
mots egyptiens;
Je crois avoir retrouve le
Pavcuo-tj,
utiles,
Je n'hesite pas ä conserver
ra.
une rame,
•>
les
rxow.
lorsqu'ils
Wvq Men.-j(eper-ra et
qu'il faut
mots grecs nous sont
les
li
(1
de la prononciation de
mais ä
o
vous
Mini, je suppose parce-
lisez
ne nous donne que l'accusatif M^va
(I
du
a
qui
egalement
les lisez
se
$i
ou
en grec.
l'i^
prononcer II
ti.
i
m'est
impossible de ne pas croire que Ton a dit non pas Mini, mais Mena, et je m'appuie
pour cela sur Diodore de
comme du temps noms
Sicile.
d'Herodote;
Quand
son histoire,
ecrivait
il
n'en etait plus
il
on ne transcrivait plus indistinctement en
tous les
'/jg
en a; on avait vu apparaitre tous les noms romains en a
etrangers finissant
auxquels on avait conserve leur physionomie en leur donnant une terminaison as: XvXXag, Kivvag, MepöXac,;
un nom
on
s'etait
«t^lllllll
Mrjvav
comme
ISaaLxa;.
la
un a,
transcription de
prononce Mena, impossible de se rendre
Voilä pour
Diodore.
nom
que Mena a appelee de son
finale;
la
.lUUfÜiJL
la ville
latin Mi^vag acc.
1
II
si
comme un nom
IS
M'B ' ", ,
bien que Diodore rencontrant
si
le transcrit
ü ne s'est pas
Si AAAAftA
compte de I
habitue ä ces finales,
egyptien, Mena, termine par
"~
et
quant ä
la
syllabe
± est
I
devenue
en copte
Mifjupig,
Meqe, pourquoi dans celui du roi serait-ce Min?
En
voilä bien long,
et je
lettre devait avoir ä l'origine.
me
En
sation que vous adoptez dans vos
ne parle pas de l'inconvenient
immense que
d' avoir
qu'il
suis
laisse
resume,
je
entrainer au-delä des bornes
ne crois pas que
Systeme de vocali-
travaux recents repose sur une saine methode.
Je
presente pour les egyptologues ; c'etait un avantage
un Systeme de transcription generalement reconnu,
de reconstruire ä peu pres, les mots hieroglyphiques.
tait
le
que cette
et qui
permet-
Ce qui me frappe,
c'est la
noms egyptiens vont presenter ä ceux qui ne sont pas inities. Comment quelqu'un des qui n'est pas du metier peut-il savoir que Soqnounri est le meme roi que M"" de Rouge a appele Rasqenen, que Mini est le roi Menes, et ainsi de suite. Vous voulez prononcer comme les contemporains de Manethon; fort confusion inextricable que les
bien; ces contemporains etaient ou egyptiens ou grecs, ces langues, mais
non pas un idiome dans lequel
sur les consonnes egyptiennes.
mais a-ig
s'il
Je ne
sais
pas
si
ils
parlaient l'une ou l'autre de
les voyelles
jamais
III.
une histoire d'Egypte,
m'arrivait d'entreprendre cette täche ardue, je crois que j'imiterais ce qui s'est
n'est qu'une corruption de MiTct(p^ig Toxj^fxwiTtg , c'est ä dire des
mosis
grecques ont ete entees
j'ecrirai
deux cartouches de Touth-
fait
H
par E. Naville.
1883.]
pour
La
grecque ou romaine.
l'histoire
franfaise, taudis que d'autres
y a des noms qui ont pris uue tournure
il
out conserve leur aspect primitif;
nous disons
Quinte Curce, Neron, Claude, et Ennius, Sempronius, Regulus, Fabius.
en egyptien: rante,
et qui sont plus coiiformes les
ou
et a dire
est connu.
je
Je ne
crois
pas
La
tient pas
un compte
transcrire
comme
süffisant
Tont
ils
de Tensemble
ou cette transcription
m'en tiendrais ä
qu'il
une prononciation qui s'appuie sur des
soit
faits
la
et
valeur stricte des
non Ouahbrt, Men-
prudent d'essayer de recon-
linguistiques isoles, mais qui ne
des causes
qui ont
ameue
les
Grecs a
fait.
comme vous Tavez
plume, car
la
Ramses, Touthmosis, Cheops, Apries,
Ouahabra, Men-jeper-ra, Usermaj'a, Raneferu,
khoprire, Ousirmari, Ranofri.
Je pose
meme
aux articulations de notre langue; je
l'original
Ton veut plus d'exactitude,
si
lettres, et je dirais
stituer
que
employer,
du moment que requivalent egyptien
Äfesphres,
eu est de
II
y a certaines transcriptions grecques qui sont devenues monnaie cou-
il
ne vois aucun inconvenient a
n'existe pas,
Virgile,
fort bien dit,
il
faudrait ecrire
un
traite
sur la matiere; vous vous joindrez ä moi, je l'espere, pour prier nos savants collegues
de nous
de leurs opinions sur cet important
faire part
sujet.
Geneve, Decembre 1882.
Die Ceremonie des Lichtanzündens. Von
Johannes Dümichen. (Mit 2 Tafeln).
dem vorangegangenen Hefte dieser Zeitschrift hat unser verehrter College Ad. die in dem Grabe des Hapiefa in Siut angebrachte grofse Inschrift behandelt, in uns die von dem hohen Verstorbenen mit grofser Ängstlichkeit über die nach seinem der Tode an den verschiedenen Gedenktagen zu veranstaltende Todtenfeier abgeschlossenen In
Erman
Verträge überliefert sind. Hapiefa getroffenen
Erman
die
Gruppe
I
Ansicht, dafs unter liefernden, /^^^
ZU verstehen
In diesen Verträgen sind von besonderer Wichtigkeit die von Anordnungen bezüglich der Ceremonie des Lichtanzündens, wie
dem
^^ ^
ist.
o
.\\
^
9.
Schläfen und dann ebenso geschrieben, /i^ ^^^
Yh
'
Heft
[I.
^"^ Bezeichnung
beiden
der
v^ für den an den Schläfen herab-
hängenden Haarzopf ^ gebraucht wird. Im Laboratorium von Edfu (cf. Temp. Insch. I 52 von einem der heihgen Oele: jt\^ T ^TT^ -T (Z. 22),
er in guter Schrift
flfl
(Z. 26)
prefst also
sie
einnehmen würde.
8^^S^^
S^
J
(Z. 23)
Jj^(Z.24)oder5f^,^(Z.5). Wir müssen
sehr
um
heruntergehen,
tief
der
lemaeus
I.
genau, phie
ijt^, 11
QA
das
ist
und
für
[I
Schreibt
Q(\
,
es sich
richtet sein.
Und
sie
y)^
iJ
—
Idiom für
zu den Stelen
bis
Pto-
Satrapenstele
unserer
sie
und
ämmä
^ ^^f
(1
•=%^ und .=^^i).
Inschrift
Orthogra-
die
'^^^
Setzt die eine
und
(I
^
für
(1
Q|\
.
schreibt, so schreibt sie diese sogar ß /www
—
ämmä^
X
fl
es hat
und
für hnä
auch
(I
steht
v\ •'^^
^ ^
sprachlich
9Ö auf
2),
wird in der persischen oder
dies Urtheil, das wir auf
wird bestätigt durch die Stelle lini
gleicht
Bentreschstele
die
mich keinem Zweifel, dafs
unterliegt daher für
nahe steht;
Sprachlich archaisirende
k
35. 36) für
derselben Stufe der Barbarei
finden
sogenannte
B. die
dem Dekret von Canopus
mit
und ^^'^ pO'
ihrer Orthographie
die Stele von
*^^^ und ^^,
noch nicht
viel
*^^v
vS.
zu sagen.
bietet,
An-
Neapel und die Wiener Stelen des Anmhr,
noch ganz.
Rosell.
Mon.
stör. Vol. II p. 48/.
Seine
Angaben
sind leider etwas unklar; sie klingen
'
von A. Erman.
1883.]
Ob
Technik der
sich aus der
Stele, aus der
59
Form
der Darstellungen eine genauere Datirung des
Stil
Es
imtersuchen.
Name
„der
ist
Man
Berathung rufen
Monuments
— eine
"""^^
sondern die
läfst,
4-.^
^.
.
die
des Sallier
vorkäme
sie in älterer Zeit
Alles wohl erwogen, gelangt Stil
Form
I, 1
den Ptolemäerin—
in
Canopus Z.
eine so grofse Rolle spielt (Mendesstele Z. 24. 25.
im
über dem Priester:
in älterer Zeit unerhörte
übersehe auch nicht, dafs der König nicht seine „Fürsten" zur
wenigstens nicht erinnerlich, dafs
die (etwa
dem
noch zu
ergiebt, bleibt
auffällig; so die Überschrift
des Propheten... X^^-^ä-ntr-nhf^
der Beischrift.
Schriften
noch manches an ihm
der Sonnenscheibe 1) und
Mir
34),
ist
2).
man
zu folgendem Resultat.
—3
oder des Harris 500 Verso
Es gab
Legende,
eine
erzählte,
Iff.)
wie
Ramses 11. die Tochter eines Königs heirathete, der noch weit hinter Naharina regierte. Unter anderm ereignete es sich dabei auch, dafs die jüngere Tochter dieses Königs besessen war und dafs Ramses ihr seinen Gott Chons schickte, um sie zu heilen. Da der betreflfende Gott X^^^'^-p(^-^^-^'>'-''^-^pt7ri7jcre.
Sammlung
Xr-JjO^'> ^pi-Hvx(^v(ng demotisch-griechischer
^
.
63
par G. Maspero.
1883.]
XXXII. Je
§
lis
dans
Grab
äb-mer^ das
Supplement au Dict. Hier, de Brugsch,
le
Es
nicht nur als Sinn-, sondern geradezu als Lautvariante diesem
T
:
v\
1
(1
:
,
eine mir erwiesene, aber unerklärliche Thatsache. dafs
ist
eine der folgenden Gruppen
39
p.
T
,
^^^^ J\^
^
m-
\\
-,
Worte gegenüberstehen,
J %- /\ CD
welche
,
allein
nur äbmer oder äh-mu (nicht se-mer) ausgesprochen werden dürften, und wie das Deutzeichen der Pyramide beweist, die Bedeutung von „Pyramide, Grabdenkmal in Gestalt
Grab" haben.
„einer Pyramide, Grabdenkmal,
y a longtemps dejä que de Rouge avait indique dans sa Chrestomathie (T.
11
'
I
T
t
11) la valeur mei' du signe
p. 93,7n
—
^
"
^sv
Chabas
et
/Ml
¥
dans
mer pour
"^^ lecture
^"^^'
le
Papyrus Abbott:
le
I,
titre
sens de tombeau avait ete adoptee par
le
par moi dans nos memoires sur
^^^^ mer, douleur et dans
M.
textes de l'epoque
les
des pyramides nous en fournissent une preuve nouvelle.
Le tombeau greco-romaine
de Pepi II renferme une priere frequente dans les papyrus d'epoque
et
par laquelle
defunt s'adressant aux dieux d'Heliopolis les prie l'un
le
Chaque verset de
apres l'autre de vouloir bien faire fleurir son nom.
ferme
mot en question
le
La T
T J 1^ /_\
Variante
le
^^^s une
^*^'
(B^hI (®5'-^I
1^ /\
autre section, je trouve
Exemple:
.
tout court, sans le syl-
donc une inadvertance du scribe qui aura
texte nous permet de faire
sidere d'ordinaire le
n
M. Brugsch dans
que:
est
cette priere ren-
t 1^ ^^ ou ^\ Tl(
O
I
"I
AA/WV\ /VWVVV\ /V^^^VV
O I
I
D
e;llll
I
de ce dernier mot n'est pas un vase, mais un § XLV. En 1°Un bloc
parcourant
Kom-Ombo,
trouve:
j'ai
f j f |^ (^^] » ^
^f§
legende
:^ ^
^
(]
i]
^
( ^k^M'" ! S 1TE montant de porte en calcaire blanc, encore debout ä sa place antique
Un
2°
de Lache Qz] fort nettement dessine.
fer
berge du Nil ä
en gres ayant servi de dessus ä une porte, avec l'inscription suivante:
...engende meme
la
Af
et
portant la legende:
W^
^ ^ö
'l\ß7
grandes
"
O
Un
^°'
Une
4,°-
f
Sevek
I
1=5=11
les
—~f^
^^
le dieu,
(
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