Philibert De l'Orme, un architecte dans l'histoire: Arts, sciences, techniques - Actes du 57e colloque international d'études humanistes CESR, 30 juin-4 juillet 2014 9782503565606, 2503565603

Entre Pierre Lescot et Jean Bullant, Jean Goujon et Jacques Androuet du Cerceau, Philibert De l'Orme est l'éto

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Philibert De l'Orme, un architecte dans l'histoire: Arts, sciences, techniques - Actes du 57e colloque international d'études humanistes CESR, 30 juin-4 juillet 2014
 9782503565606, 2503565603

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Philibert De l'Orme Un architecte dans l'histoire ARTS • SCIENCES • TECHNIQUES

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CENTRE D ÉTUDES SUPÉRIEURES DE LA RENAISSANCE Université François-Rabelais de Tours - Centre National de la Recherche Scientifique

- ÜANS LA MÊME COLLECTION 1- Frédérique Lemerle La Renaissance et les antiquités de la Gaule, 2 005 2 - Jean-Pierre Bordier & André Lascombes (éds) Dieu et les dieux dans le théâtre de la Renaissance, 2006

3- Chiara Lastraioli (éd.) Réforme et Contre-Réforme, 2008 4- Pierre Aquilon & 'Thierry Claerr (éds) Le berceau du livre imprimé: autour des incunables, 2010 5- Maurice Brock, Francesco Furlan & Frank La Brasca (éds) La Bibliothèque de Pétrarque. Livres et auteurs autour d'un humaniste,

2 0 11

6- Sabine Rommevaux, Philippe Vendrix & Vasco Zara (éds) Proportions. Science, musique, peinture & architecture, 2012 7- Maurice Brock, Marion Boudon-Machuel & Pascale Charron (éds.) Aux limites de la couleur. Monochromie & polychromie dans les arts (130 0 -1600), 8- Maxime Deurbergue The Visual Liturgy: Altarpiece Painting and Valencian Culture

2012

( 1442- 1519), 2013

9- Magali Bélime-Droguet, Véronique Gély, Lorraine Mailho-Daboussi & Philippe Vendrix (éds) Psyché à la Renaissance, 2013 10- Frédérique Lemerle & Yves Pauwels Architectures de papier. La France et l'Europe (x vr-xvn' siècles), 2 013 11- Juan Carlos Garrot Zambrana Judîos y conversas en el Corpus Christi. La dramaturgia calderoniana, 2 013

12- Albrecht Fuess & Bernard Heyberger (éds) La frontière méditerranéenne du xv' au xvn' siècle. Échanges, circulations et affrontements, 2013

13- Anne Rolet & Stéphane Rolet (éds) André Alciat (1492 -1550): un humaniste au confluent des savoirs dans l'Europe de la Renaissance, 14-

Christine Bénévent, Isabelle Diu & Chiara Lastraioli (éds) Gens du livre & gens de lettres à la Renaissance, 2 0 14

15 - Lizzie Boubli Le dessin en Espagne à la Renaissance. Pour une interprétation de la trace,

2015

16- Nicole Bingen & Renaud Adam Lectures italiennes dans les pays wallons à la première Modernité (1500-1630),

2015

Publié avce l'aide du Service Interministériel des A rchives de France / Mission aux Commémorations Nationales/ DRAC Région Centre-Val de Loire

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Philibert De l'Orme Un architecte dans l'histoire ARTS • SCIENCES • TECHNIQUES

1\ctcs du lVii

colloque international d'études humanistes

CESR, 30 !uin· ü juillet 2014

Textes réunis et édités par

Frédérique Lemerle & Yves Pauwels

Collection

« Études Renaissantes » Dirigée par Philippe Vendri:x

BREPOLS 2or5

Conception graphique, mise en page Alice Loffredo-Nué

© Brepols Publishers, 2015 ISBN 978-2-503-56560-6 D/2015/0095/208

All rights reserved. No part of this publication may be reproduced stored in a retrieval system, or transmitted, in may form or by any means, electronic, mechanical, photocopying, recording, or otherwise, whithout the prior permission of the publisher. Printed in the E.U. on acid-free paper

Avant-propos Philibert De l'Orme, architecte vif-argent Frédérique Lemerle 1CNRS, CESR, Tours Yves Pauwels 1Université François-Rabelais, CESR, Tours

J'ay mis au plus hault de nostre figure, l'image de Mercure auteur d'éloquence, pour monstrer que l'architecte non seulement doit sçavoir bien parler & discourir sur ses œuvres, mais aussi doit estre prompt & diligent à cognoistre & entendre les bonnes sciences & disciplines, sur lesquelles preside ledit Mercure. Toutesfois je ne veux qu'il soit trop Mercurial, c'est à dire muable & babillard, se joignant tantost à l'un, tantost à l'autre par une je ne sçay quelle inconstance & legereté, ains plustost qu'il suyve & imite les bons, à fin d'être bon, et les savants et sages pour recevoir d'eux doctrine accompagnée d'honneur & bonne renommée. Ce faysant il acquerra bruit avecques louange immortelle'.

Bruit et louange immortelle, Philibert De l'Orme les a sans conteste acquis et il a mérité qu'à l'occasion du cinq centième anniversaire de sa naissance à Lyon en juin 1514, le Centre d'études supérieures de la Renaissance lui consacre son LVIle Colloque international d'études humanistes. Mais, et c'est une autre des raisons qui ont présidé à l'organisation de la manifestation, n'a-t-il pas été trop« mercurial »?Non point inconstant et léger, mais d'une certaine manière « muable et babillard »? Quiconque s'intéresse à son oeuvre se trouve en effet confronté à quantité de difficultés: mercurial, De l'Orme l'est comme le vif-argent, brillant, mais souvent fuyant et insaisissable. Il n'en est pas entièrement responsable. La plus grande part de son oeuvre est soit détruite soit défigurée, et les archives n'en restituent qu'une partie. Lhôtel Bullioud est-il une fausse ruine pleine de sens mystérieux, ou le maladroit raccommodage d'un ensemble plus régulier, qu'un glissement de terrain a mis à mal ? Le château d'Anet est mutilé et dispersé; le corps de logis principal, disparu, garde bien des secrets: qu'en était-il de l'appartement du roi et du grand escalier, et de l'aile de la chapelle, quelle était l'élévation sur jardin qu'Androuet du Cerceau n'a pas jugé bon de reproduire? La virtuose trompe ondée du cabinet du roi n'est plus qu'une gravure dans le Premier tome de l'architecture (1567) 3 • Quant à l'avant-corps, il est exilé à l'École des Beaux-Arts à Paris sans que l'on puisse apprécier sa mise en scène dans l'axe du château et sa liaison avec la colonnade évanouie. Rien ne subsiste des châteaux de Saint-Maur 2

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De l'Orme 1567, ff. 51-51v. Voir Bonnet Saint-Georges 1993 et la contribution de R. Etlin dans le présent volume, p. 97-108. De l'Orme 1567, f. 89.

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et de Saint-Léger sinon quelques témoignages graphiques, et pour Saint-Léger, quelques traces découvertes lors des fouilles archéologiques menées dans les années 1980 4 • Du palais des Tuileries, considérablement métamorphosé au cours des siècles et finalement victime du feu de la Commune, il ne reste que de rares vestiges conservés à Paris et quelques autres partis en Corse, à la Punta dans un désordre désolant 5• S'il est possible de reconstituer le bâtiment encore qu'Androuet du Cerceau vienne brouiller les pistes avec son imagination épique - la restitution de son escalier d'une extrême complexité demeure problématique malgré les descriptions des visiteurs. Il faut s'y résigner: ce chef-d'œuvre absolu de stéréotomie nous échappe. Aucun témoignage direct provenant des bâtiments construits par De l'Orme n'atteste l'efficacité du système de charpente à petits bois, tant vanté dans les Nouvelles inventions (1561) et dans la lettre adressée au connétable de Montmorency, découverte et publiée ici par Sylvie Le Clech6 • Seul peut-être le tombeau de François!"' à Saint-Denis paraît intact, malgré son déplacement sous la Révolution. Restent les traités, a priori parvenus dans l'état voulu par De l'Orme. Mais là encore, la vérité fuit: le Second tome de l'architecture promis par l'auteur n'a pas vu le jour et l'utilisation par Philibert de son matériel à la fin du Premier tome en rend la cohérence parfois incertaine. Et les rééditions du xvne siècle ont contribué à semer la confusion par l'ajout d'illustrations dont seulement certaines peuvent être attribuées à Philibert. Dans le cas de l'Architecture7 publiée à Rouen en 1648 par David Ferrand, le texte même est substantiellement altéré8. Une narquoise fatalité a voulu que ce soit cette version, fort mauvaise en vérité, qui a été choisie au xxe siècle pour être rééditée en fac-similé, et qui a de ce fait induit en erreur les chercheurs à la redécouverte de la pensée delormienne. De l'Orme, de ce point de vue, est victime d'un destin jaloux. Mais lui-même n'est-il pas quelque peu coupable? N'a-t-il pas volontairement dissimulé sa date de naissance dans les bandeaux de la première édition du Premier tome? Il aura fallu attendre cinq siècles avant que l'énigme soit déchiffrée 9 • Malgré sa revendication de sincérité et de transparence, il se laisse difficilement appréhender: il apparaît en filigrane sous les traits de l' « architecte prudent » ou du « bon architecte » mais son portrait gravé n'apparaît que dans les éditions posthumes. Malgré l'omniprésence du «je », De l'Orme, de son vivant, avance caché. C'est que Mercure est aussi le dieu des orateurs, c'est-à-dire des avocats: les traités sont aussi des plaidoiries. Et l'architecte est assez fin rhétoricien pour que le lecteur ne doive pas accepter la moindre de ses paroles comme vérité pure - surtout, lorsque pratiquant la narratio non dans une perspective historique mais pro domo, ou se parant des masques de l'allégorie, il se met en scène avec une complaisance certaine. Prolixe, presque « babillard » à propos de son séjour romain et de sa rencontre avec

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Boudon, Blécon 1985. Voir la contribution de Jacques Moulin,« Le château de La Punta, à Alata», p. 244-258. Voir sa contribution, « [invention d'une nouvelle technique de charpente par Philibert De l'Orme, à travers l'édition d'une lettre adressée au connétable de Montmorency», p. 215-217. En 1626 les Nouvelles inventions sont réunies au Premier tome sous le titre Architecture. Architecture de Philibert De l'Orme ... Œuvre entière contenant unze livres, augmentée de deux ... , Rouen, D. Ferrand, 1648. Voir la présentation d'Y. Pauwels en ligne sur le site du Cesr (http://architectura.cesr. univ-tours.fr /Traite/N otice/B250566101_n614.asp ?param =). Montclos 1986.

Marcello Cervini, il peint ce qui a été interprété à tort comme une « scène initiatique »10 • Il est en effet peu probable que le jeune Lyonnais en ait remontré à un personnage aussi éminent que le futur pape Marcel II. Et qui était donc ce Vincenzo Rotolano que le prélat aurait mis à sa disposition et dont on ne sait strictement rien, sinon qu'il possédait une vigna à Rome? On devrait croire aussi que Philibert a retrouvé le secret du tracé de la volute ionique sur un chapiteau de Santa Maria in Trastevere que François Blondel a vainement cherché un siècle plus tard. Si l'on en juge par ses réalisations à l'hôtel Bullioud, bâti dès son retour de Rome, le jeune architecte ne savait pas tracer une volute correcte; il a dû attendre les publications de Serlio (1537) pour Anet, puis celles de Salviati (1552) et de Barbaro (1556) pour trouver le procédé qu'il expose en 1567. Que dire du fragment de corniche qui aurait disparu victime des « chaufourniers » 3, mais qu'aucun autre dessin contemporain ne représente, des piédestaux des folios 147 et 177v qui s'avèrent être des réinterprétations de l'édition vitruvienne de Cesariano, ou des prétendus « antiques » qui sont en réalité des emprunts au cortile du palais Farnèse, la base ionique d'Antonio da Sangallo, la fenêtre et la corniche architravée de Michel-Ange ? De l'Orme est ici pris ici en flagrant délit de mensonge. Il faut encore s'interroger sur les étranges silences du traité où l'auteur parfois semble prendre plaisir à brouiller les pistes. Comment a-t-il pu connaître les réalisations michelangélesques, qu'il n'a pu voir lors de son premier séjour à Rome, entre 1533 et 1536? Un second voyage, entrepris au moment de la disgrâce, vers 1560, peut expliquer l'intérêt manifesté dans le Premier tome pour l'architecture paléochrétienne, fort en faveur auprès des réformateurs qui entouraient Marcello Cervini, mort en 1555, que Philibert a pu retrouver alors. Mais de cela il n'est jamais question. D'autres silences sont tout aussi surprenants: pourquoi De l'Orme ne ditil mot du tombeau de François 1er à Saint-Denis, chantier prestigieux s'il en fut, et monument des plus virtuoses? On peut comprendre que l'architecte ne cite pas lensemble de ses réalisations - ce devait être l'objet du second volet du traité. Mais pourquoi taire les plus spectaculaires? Pourquoi, lorsqu'il donne un modèle d'ordre géant, Philibert ne mentionne-t-il pas le projet de l'hôtel de Pisseleu, qui lui est désormais attribué avec certitude14 ? On n'a pas manqué de s'interroger sur les fameuses « divines proportions » qui devaient être traitées dans le Second tome et dont l'architecte ne livre que quelques bribes en 1567. Sans doute est-il vain d'essayer de restituer à partir de ces rares indications une véritable doctrine: en l'état, il semble que De l'Orme pensait davantage à un nouveau système pour concevoir les proportions à partir d'un petit module, à la manière de Vignole, dont la Regola venait de paraître en 1562, qu'à un ensemble de règles proportionnelles fondées sur les indications des Livres saints. Il n'est pas impossible non plus que le retour à la religion qui marque ses dernières années l'ait simplement incité à envisager le principe d'une architecture saintement proportionnée; les « divines proportions » restent davantage un projet, issu d'une prise de position 11

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Zerner 1996, p. 374. Une inscription, recensée parmi les « falsae Ligorianae », mentionne un « Picciolo cpitaphietto trovato nella vigna di M. Vincenzo Rotulante »(CIL, VI, 5, n° 2333, p. 164). De l'Orme 1567, ff. 162-163. Ibid., f. 153. Voir la contribution de G. M. Leproux, « Philibert De l'Orme et l'architecture privée parisienne »,p. 109-120.

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idéologique qu'une réalité concrètement pensée. D'autant qu'en 1564, Jean Bullant, dans sa Reigle generalle d'architecture avait repris - sans le dire - le texte d'Alberti sur l'origine divine des proportions des colonnes'5 . Que De l'Orme, chanoine de Notre-Dame, ait ou non reconnu le plagiat, il ne pouvait manquer de réagir devant la proposition de son collègue et rival, et poser les prémisses d'une doctrine qui en 1567 devait être encore floue dans son esprit. Du reste, bien qu'il recommande aux apprentis architectes de suivre les cours de géométrie du Collège royal, il s'avère qu'il n'est pas lui-même un grand mathématicien, et même que sa capacité à formaliser l'art du trait est limitée. Complexe enfin est son rapport à la postérité. Larchitecte a créé un style qui lui survit à la Grande Galerie du Louvre. Mais ce style abondant, complexe et composite, est abandonné au Grand Siècle. Certes, ses traités se trouvent dans toutes les bibliothèques d'architectes du xvrre siècle; le xvme rend volontiers hommage à sa « nouvelle invention » de charpenterie et le XIXe lui élève quelques statues, sur la fontaine des Jacobins à Lyon, sur l'aile Molien du Louvre à Paris, sur la façade del'École des Beaux-Arts de Toulouse. Mais avec quel statut? Trop« gothique» pour Fréart de Chambray et ses successeurs, n'est-il pas trop« classique» pour les Romantiques, en tant qu'acteur principal de la« magnifique décadence» annoncée par Victor Hugo dans NotreDame de Paris? Beaucoup de questions donc, dont la plupart restent encore sans réponse. Nul ne finira par mettre De l'Orme vif-argent« dans un baromètre, pour savoir le temps qu'il fera», comme le Mercure d'Orphée aux Enfers. Il n'est pas impossible en revanche d'apporter quelques pierres à l'édifice. D'abord en s'intéressant au contexte de sa formation, particulièrement en Italie, et à l'ambiance artistique et culturelle qui vit le développement de sa carrière. Son rapport ambivalent aux antiques méritait d'être approfondi. Comme plusieurs de ses contemporains, Philibert est autant fasciné par les grands monuments de la Via triumphalis que par les églises paléochrétiennes, mais sa vision reste fragmentaire. Ses liens avec les du Bellay devaient être aussi éclaircis, comme ses relations avec Catherine de Médicis, à qui il offrit une édition superbement reliée de son traité - le tout dans un contexte artistique déterminé par les guerres de Religion. Quelles œuvres, quels décors, quels jardins ornaient ses bâtiments? Quels furent les rapports du maître-maçon devenu architecte aux sciences et aux techniques, de la stéréotomie et de la charpente à l'astrologie, en passant par les mathématiques et la musique? Et qu'en fut-il de sa postérité? N'en déplaise à Ronsard, qui pour s'en moquer aurait sur une porte des Tuileries résumé sous la forme du fort. reverent. habe, soit "fort révérend abbé", un ironique Fortunam reverenter habe16 , en dépit des malheurs de son œuvre, des masques que De l'Orme a accumulés et des vicissitudes de sa réputation, on se soucie encore aujourd'hui, cinq siècles après sa naissance, de celui qui fut l'un des plus grands artistes de la Renaissance. Pour préparer le versant scientifique du colloque de 2014 nous avions sollicité l'aide de Joël Sakarovitch, qui devait naturellement y participer. Que ce livre soit dédié à la mémoire de ce grand savant et de cet ami trop tôt disparu.

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Pauwels 2011a. Laumonnier 1910, p. 205-206.

Philibert De l'Orme en architecte rhétoricien Mireille Huchon 1 Université Paris-Sorbonne - Institut universitaire de France

« Vitruve desire que !'Architecte soit Rhetoricien, Philosophe, Arithmeticien, Geometrien, Astrologue, Musicien, Peintre, Jurisconsulte et Medecin »',rappelle Philibert De l'Orme, dans son salut « Aux Lecteur benevoles » du Premier tome de l'architecture, mais lui-même récuse la nécessité des deux dernières disciplines, pour en conserver sept, « ces sept arts et disciplines qui rendent !'Architecture parfaite, et l'architecte admirable »2, symboliques dans son ordre du monde et des divines perspectives, sept comme les sept parties des bâtiments ( « !'Architecture est un art et science tresadmirable, contenant et embrassant en soy autant de disciplines et artifices que les bastiments qu'elle montre à construire contiennent et reçoivent en eux de matieres, membres et parties. Qui sont en nombre, sept »3 ), comme les sept planètes qu'il se plaît à évoquer dans le lyrisme métaphysique et néoplatonicien de la fin de cette préface 4 • Rhétoricien donc en premier lieu; il s'agit d'une traduction du litteratus que Vitruve avait placé en tête de ce savoir encyclopédique dont l'architecte doit faire preuve, terme qui a fait débat chez ses traducteurs français. Jean Martin l'avait rendu en 1547 par« lettré »5 , et Claude Perrault, le second traducteur, le transcrira par la formule « Il doit donc savoir écrire », avec un commentaire où il minimise l'érudition souhaitable:

Il doit sçavoir ecrire. Je n'ay pas cru devoir traduire à la lettre le mot de Literatus, qui signifie proprement celuy qui est pourveu d'une erudition non commune et qui sçait du moins de la Grammaire en perfection; Vitruve s'explique assez là desssus quand il reduit toute cette literature de !'Architecte à estre capable de faire ses devis et ses memoires, et quand il explique dans la suite literatus par scire literas qui signifie sçavoir écrire6 •

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De l'Orme i567, f. iv. Ibid., f. 3v. Ibid., f. 2. Voir, sur le nombre 7, les sept dons de Dieu liés aux sept planètes, Ficin 1546, f. LIXv. De l'Orme cite Marsile Ficin, dans Le premier tome de l'architecture, comme « homme tresdocte en la philosophie Platonique, medecine, theologie, et toutes bonnes lettres» (1567, f. A2v). Martin 1547, f. 1v. « Il doit donc sçavoir écrire et dessiner, estre instruit dans la Geometrie, et n'estre pas ignorant de !'Optique, avoir appris l'Arithmetique, et sçavoir beaucoup de !'Histoire, avoir bien étudié la Philosophie, avoir connoissance de la Musique, et quelque teinture de la Medecine, de la Jurisprudence et de !'Astrologie ». Philandrier, lui, ne fournit aucun commentaire sur ce passage (Perrault 1673, p. 2).Voir Lemerle 2oooc.

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Dans le chapitre où il détaille de quelles sciences doit être accompagné l'Architecte expert, De l'Orme précise le sens qu'il donne à rhétoricien: disposition et élocution au service de l'invention pour convaincre: « Ledit Vitruve veult d'abondant que l'Architecte soit Rhetoricien, pour sçavoir bien deduire et rapporter eloquemment son entreprise devant les seigneurs, et gens qui le mettent en besongne et l'employent » 7 • C'est donc une éloquence propre à convaincre ses clients. Mais, alors que, dans son lyrisme cosmologique, il faisait de la rhétorique une discipline nécessaire, il semble se démarquer de Vitruve pour suivre Alberti, estimant que l'architecte peut se contenter d'être avisé, même s'il reconnaît que la connaissance de la rhétorique peut être de quelque aide, surtout pour la disposition: Je suis d'opinion avec Leon Baptiste Albert que cela ne luy est necessaire, car il suffit qu'il donne seulement son conseil, et monstre sa diligence naïvement, et dise ce qui sera expedient pour parvenir à son entreprinse et intention. Cela est la principale Rhetorique et eloquence d'un Architecte. Toutesfois quand il en sçauroit quelque chose, il en aurait beaucoup meilleure grace pour bien deduire son faict.

Il se plaît alors à opposer le bien parler et le bien faire, ceux qui ne savent rien dire, mais réussissent dans leurs entreprises et « ceux qui sont grands parleurs et font longs discours, avecques ostentations de beaux protraicts et bien peinturez », mais ne sont capables que de piètres réalisations 8 . Si, dans le Premier tome, il peut y avoir une condamnation pour une éloquence propre à convaincre le client, il n'en était pas de même dans les Nouvelles inventions pour bien bastir à petits fraiz dont une des finalités pourrait bien être de trouver de nouveaux commanditaires. Dans les deux ouvrages, s'inscrit toutefois en filigrane l'image de De l'Orme, architecte rhétoricien. La comparaison qu'il fait de lui-même avec l'orateur, à la fin des Nouvelles inventions, est éloquente, tout comme, dans le Premier tome même, l'ostentation de beaux portraits à finalité morale et, dans la figure de l'architecte au compas du prologue du troisième livre, la présence de Mercure, « auteur d'eloquence pour monstrer que l'Architecte non seulement doit sçavoir bien parler et discourir sur ses œuvres, mais aussi doit estre prompt et diligent à cognoistre et entendre les bonnes sciences et disciplines, sur lesquelles preside ledit Mercure » 9 , sans pour autant être« Mercurial, c'est à dire muable et babillard». Limportance du travail d' «architecteécrivain » de De l'Orme, qui « manie avec pertinence le langage ornemental », qui utilise « volontiers les ressources de la rhétorique au service de l'exposé »10 , qui pratique sciemment l'amplification, l'hypotypose, le recours aux citations, le nombre oratoire, a déjà été suggérée, et il vaudrait la peine d'en étudier dans leurs détails toutes les particularités. Je ne m'attacherai ici qu'à quelques singularités relevant plutôt de la disposition, l'invention étant, pour De l'Orme, de Dieu (« C'est de la grace de Dieu, qui donne les advisements et Inventions, quand lui plaist, et à qui bon luy semble»"), et lui s'en faisant l'intermédiaire («ce present discours servira d'aiguillon pour eveiller les bons esprits et les induire à inventer » 12

).

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De l'Orme 1567, f. 10v. Ibid., f. 9v. Ibid., f. 5i. Pauwels 2002, p. 111. De l'Orme 1561, f. 3ov. De l'Orme 1567, f. 219. Idée fréquemment reprise dans l'ouvrage.

Les Nouvelles inventions de 1561, ouvrage rédigé au temps de sa disgrâce après la mort d'Henri II et destiné à faire connaître la technique révolutionnaire dont il revendique la nouveauté absolue - remplacer les poutres d'un seul tenant par un assemblage de petites pièces, ce qui permet la réalisation d'ouvrages de très longue portée -, constituent la première œuvre publiée de l'architecte dont on attendait, depuis longtemps, qu'il prît la plume: quinze ans plus tôt, Jean Goujon, dans ses annotations qui accompagnent la traduction française de Vitruve par Jean Martin, soulignait qu'il était bien instruit en géométrie et en perspective, comme Raphaël, Mantegna, Michel-Ange, Antoine Sanga!, Bramante et Serlio, même s'il n'avait encore rien écrit. Le lecteur, dès la pièce liminaire, pouvait constater combien l'auteur se conformait aux canons rhétoriques. Lépître dédicatoire au petit roi Charles IX présente, en effet, toutes les caractéristiques du style élevé, telles que les définissent les rhétoriques antiques, reprises par les rhétoriques en français, comme le Grant et vray art de pleine rhetorique de Fabri (1521), qui, dans son exemple de hautes matières et de hauts termes, privilégie les superlatifs et les comparatifs'3, ainsi que tous les procédés d'amplification mis en valeur dans l'Institution du prince de Guillaume Budé dont ont paru trois éditions différentes au début du règne d'Henri II et où l'insistance est mise sur le nombre oratoire'\ nombre oratoire dont Antoine Fouquelin, en 1555, à la suite de Ramus, a fait une figure majeure dans sa Rhetorique française. Toute l'épître, qui relève du genre épidictique, serait à citer. Ainsi, la célébration de la mère et du fils: il loue « une mere en laquelle reluit la sagesse de Hester, la magnanimité de Judith, et la prudence de ceste tant bonne et tant renommee mere de sainct Loys, un de voz ancestres et predecesseurs »15 et il souhaite que Dieu départisse à son fils « la sagesse de Salomon, la magnanimité de Charlemaigne, un de voz predecesseurs, la dexterité de Cesar, la force de Samson, le sçavoir de Platon, l'eloquence de Ciceron, la prudence d'Aaron, la constance de Socrates, la felicité d'Auguste ».Dans l'exemple suivant, groupements binaires et ternaires s'enchaînent dans l'appel pressant au mécénat, le « bref », qui clôt ce dernier passage, une de ses marques préférées, déplaçant habilement, vers l'affection du roi et de ses sujets, les demandes financières: ne doutant que si Dieu vous donne la grace de vivre, et vouloir continuer, que vous n'aurez faute de sagesse et bon conseil pour l'entretien des sages et bien advisez qui veillent et travaillent pour le bien des affaires de votre royaume: de magnanimité et hardiesse pour l'estime, honneur et remuneration des vaillants et experimentez au fait des armes: de sçavoir et vertu, pour la cognoissance et merite des doctes et vertueux, qui en leurs honnestes labeurs tascheront à vous complaire et faire services. Brief, vous n'aurez faute d'amitié pour attirer les cueurs de voz subjects et les aimer.

Dans les premières lignes du corps de l'ouvrage, se trouvent tous les topoï concernant la finalité et la disposition du prologue (tels qu'ils sont exposés, par exemple, dans la Rhétorique à Herennius), même si De l'Orme prend le parti d'entrer directement dans le sujet:

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« Sire vous estes nostre souverain roy tresredoubte par le monde universel pour les tresgrandes et rigoureuses batailles» (Fabri 1521, f. 8). « ou quand la matiere, l'audience, le temps, et le lieu le requierent par figures, et eloquutions tropicques et sententieuses, revestues et enrichies des beaultés, richesses et aornemens d'Eloquence. Et rehaulsés des nombres de Rhetoricque, gardant les mesures de l'oraison, avec les membres, et clausules resonantes, et consonantes au propos qu'on veult deduire »(Budé 1547, p. 89). De l'Orme 1561, «Au treschrestien et trespuissant roy de France Charles neuviesme de ce nom».

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Plusieurs ont accoustumé d'user au commencement de leurs livres de quelque preface, contenant les louanges, excellence et commoditez de l'art ou science de laquelle ilz deliberent escrire. Ce que je ferois ici tresvolontiers, selon la petite capacité de mon esprit, n'estoit que je pretend, avecques l'aide de Dieu (duquel toutes graces procedent) mettre de brief en lumiere une œuvre qui comprendra tout ce qui est necessaire pour la perfection d'Architecture. Ou je noblieray chose, de laquelle je me pourrai souvenir, qui serve et soit propre pour illustrer ladicte Architecture: la poursuivant d'un bout en autre de grande gayeté de cueur, pourveu que j'aperçoive ce premier vol de mes escripts avoir trouvé lieu aggreable envers les doctes, et vertueux. Qui sera cause, qu'icy retrenchant tous preambules accoustumez, j'entreray de droict fil en matiere, et devant toutes choses escriray le plus brievement et facilement qu'il me sera possible, comme il fault cognoistre et choisir les bons arbres pour s'en sçavoir aider aux nouvelles inventions, lesquelles je delibere ici familierement descouvrir, et proprement enseigner, comme plusieurs autres choses, Dieu aidant' 6 .

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Le souci d'enseigner et plaire est constant, tout comme la célébration de la brièveté et la condamnation de la prolixité qui engendre l'ennui 17 , l'auteur affichant son souci de rendre intelligibles ses discours 18 . Il insiste, dans ses développements, sur les divers destinataires: ses amis, les ouvriers, les apprentis et les maîtres, les« bons entendements, et bons esprits »19 • Certains« gentils esprits», quoiqu'ils ne soient pas architectes, sont curieux de comprendre cet art, soit pour en parler, soit pour commander aux ouvriers qui bâtissent pour eux, ce qui explique certains développements apparemment futiles 20 • Mais, ces gentils esprits sont aussi les commanditaires que De l'Orme s'applique à convaincre en leur mettant sous les yeux des réalisations grandioses à venir ou des réalisations qui auraient pu se faire dans le passé, en insistant sur leur caractère « incroyable», terme qu'il se plaît à répéter. Ainsi en est-il de« La façon d'une grande salle comme une Basilique, ou lieu Royal, accompaignee de pavillons aux quatre coins et galleries, comme si c'estoient Portiques», de quarante toises de longueur (78 mètres) et vingt cinq de largeur (48 mètres) (fig. i). «Ainsi me semble que ce seroit une brave salle de largeur et longueur, voire des plus qu'on ait ouy parler: belle à faire festins, et autres passetemps » Dans la description, la réalisation, digne d'un grand prince, devient réalité, avec un habile va-et-vient du conditionnel au futur et au présent une réalité, dans un avenir très proche, un an ou deux, pour le plus grand plaisir du prince ou du seigneur 23 • De l'Orme indique avoir projeté d'autres inventions 21



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,

16

Ibid., f.

17

« Laquelle figure j'eusse faict plus ample, plus riche et illustree de plus long discours, n'eust esté que je crains d'estre trop prolixe. Il suffit qu'on l'entende avec peu de paroles, sans y faire si long discours » (ibid., f. 25v). « Ce que j'ay fait à fin que l'on ne die que j'escry trop obscurement, et que je ne veux estre entendu. Qui est cause que je fais mes discours les plus familiers et plus intelligibles que je puis» (ibid., f. 48). Voir ff. 4, 38v, i4v, 35v. Ibid., f. 48. Ibid., f. 29v. Ibid., f. 29v: «Et qui voudra pour mieux tenir les courbes en raison ... »,«Qui voudroit faire des galleries d'un pavillon à autre, et les couvrir pour second estage ... »,«Dans l'escalier ou sur les angles vous pouvez eriger cabinetz si voulez. Et ferez lesdites salles, chambres et cabinetz, de telle longueur et largeur que voudrez, sans aucune subjection ». Ibid., f. 29v: «Je ne vueil entrer en propos de descrire icy les mesures de l'architecture dudict logis, car il me suffit seulement parler de son invention et composition admirable, et digne d'un grand Prince. Laquelle pourroit estre bien tost faicte et à peu de despense. De sorte que dans un an ou

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2 6 . Au regard de la meilleure connaissance que nous avons désormais des Tuileries, la réalité de ces attributions doit être nuancée. Tout d'abord, il faut noter que les remplois des Tuileries furent insérés dans une composition complètement nouvelle. Sur la façade d'entrée, cinq travées de fenêtres alternaient avec de larges trumeaux habillés de pilastres encadrant des niches, tandis que la façade sud aligna sept travées identiques, à peine marquées par un perron central. La façade est, derrière laquelle se trouvaient le salon Louis XV et le bureau de Charles Pozzo di Borgo, mit en avant les gaines cannelées de De l'Orme, tandis que la façade ouest, élevée face à la montagne, n'offrit qu'une superposition de pilastres. Selon la tradition qui prévalait dans l'architecture parisienne depuis le xvue siècle, toutes ces façades étaient conçues de manière différente et aucune d'entre elles ne reproduisait strictement une partie des Tuileries. La façade sud, qui est usuellement donnée comme une reconduction de la façade du pavillon Bullant, côté jardin, s'en éloignait même nettement, avec un rythme régulier de colonnes et l'ouverture d'une fenêtre dans chaque travée. Les façades du château de La Punta témoignent donc d'un travail original de Vincent, et non d'une simple reproduction de tout ou partie des Tuileries. Dans le même sens, le programme de villégiature, le site pittoresque qui avait été retenu et le plan massé donné au bâtiment conféraient au château de La Punta un caractère manifestement neuf, mais le principe des remplois architecturaux participait à une autre forme de modernité. En 1826, d'importants fragments Renaissance provenant d'une maison de Moretsur-Loing avaient déjà servi à construire un bel hôtel du Cours-La-Reine, à Paris 27 , et le bâtiment avait été publié peu après dans le Paris moderne de Louis-Marie Normand28 . Après la Commune, les vestiges du château de Saint-Cloud furent partagés entre le château d'Euxinograd, en Bulgarie, celui de Laeken, en Belgique, et différents bâtiments parisiens complètement neufs. Parallèlement à la construction de La Punta, Charles Pozzo di Borgo fit réutiliser les façades du pavillon de Montretout dans le château qu'il faisait construire à Dangu, dans l'Eure. Cette pratique renvoyait au remontage presque systématique, en France ou en Angleterre, des lambris provenant des nombreux hôtels et châteaux qui avaient été démolis depuis le début du XIXe siècle à Paris et dans ses environs 29 • Ce principe de récupération de fragments anciens dans des ouvrages neufs devint tellement fréquent à la fin du XIXe siècle qu'il doit être interprété comme une des formes de l'architecture du moment. Il culmina peu après avec la construction par William Randolph Hearst de la Casa Grande, à San Simeon, en Californie. Le château de La Punta était donc pleinement une œuvre de son temps, conçue par Albert Vincent comme une résidence aristocratique confortable, avec un rez-de-chaussée réservé aux pièces de réception, un premier niveau semi-enterré rassemblant une salle de billard, les cuisines et les pièces de service, et deux étages de chambres équipées de cabinets de toilettes. Le château possédait également l'électricité, une installation de chauffage central et une ligne téléphonique le reliait directement au palais Pozzo di Borgo, dans le centre d'Ajaccio.

26 27 28 29

Cardane 1899, p. 82-85. Moulin 2015. Normand 1843. Harris 2007, p. 60-66.

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Dans cette architecture nouvelle, les fragments provenant des Tuileries ne furent utilisés que sur les deux niveaux principaux des façades. Ces fragments furent diversement répartis, en respectant l'emploi des ordres ioniques et corinthiens adoptés aux Tuileries. Dans le détail, leur analyse s'avère plus complexe, car beaucoup d'ouvrages nouveaux furent taillés dans des blocs qui provenaient eux aussi des Tuileries. La nature des pierres n'aide donc guère à distinguer ce qui est neuf de ce qui est réellement ancien. Dans ce contexte, Vincent plaça au premier niveau des façades nord, est et ouest de La Punta vingt-quatre pilastres bagués semblables à ceux mis en œuvre par De l'Orme au rez-de-chaussée des ailes encadrant le pavillon central, côté cour (fig. 3). Toutefois, il ne subsistait de ce côté des Tuileries avant l'incendie que vingt pilastres du xvre siècle, et deux travées complètes furent conservées à Paris avec les pilastres correspondants 30 • Des pierres provenant des pilastres placés du côté du jardin peuvent donc avoir complété l'ensemble, mais il fallait supprimer le bandeau d'amortissement des arcades, qui dédoublait leur quatrième bague. Un examen de l'appareil montre également que plus d'un tiers des pilastres de La Punta présente des joints horizontaux traversant les bagues, ce qui est contraire aux préceptes de Philibert De l'Orme, qui avait imaginé ce type de supports précisément pour éviter ce défaut. De fait, les photos anciennes des Tuileries ne montrent, autant qu'on peut s'en rendre compte, aucun joint dans les tambours et bagues de De l'Orme. Les pilastres de La Punta apparaissent donc largement neufs. Ils présentent également des chapiteaux de deux modèles différents. Seize d'entre eux sont des chapiteaux ioniques à sept cannelures ornées de sculptures, conformes aux dessins de De l'Orme. En revanche, huit autres sont composés de volutes plus larges d'où s'échappent des guirlandes de feuillage. Ils sont dotés d'un abaque à fleuron central et d'une corbeille à cinq cannelures dépourvues de sculptures (fig. 4). Ces chapiteaux plus volumineux que les précédents sont comparables à ceux des colonnes ioniques de la façade sud, dont le dessin est donné à Jean Bullant3 Or, les pilastres ioniques étaient rares aux Tuileries, en dehors de ceux de Philibert De l'Orme. Ils ne figuraient qu'au rez-de-chaussée du pavillon Bullant et de son symétrique nord, côté cour, sur des façades élevées, semble-t-il, par Baptiste Androuet du Cerceau et Louis Le Vau 32• Les chapiteaux de La Punta viennent donc de ces deux façades et ils ont été recoupés en hauteur pour s'adapter à ceux de Philibert De l'Orme. À l'étage, les mêmes façades, ainsi que les extrémités de la façade sud, furent ornées de vingt-deux pilastres cannelés corinthiens provenant des pavillons intermédiaires des Tuileries, côté cour, et des pilastres analogues montés par Fontaine puis Lefuel au premier étage des ailes de De l'Orme, côté jardin. 1



Sur la façade nord, l'entrée du château de La Punta fut marquée par un avant-corps porté par deux colonnes qui provenaient des travées latérales du pavillon central des Tuileries élevées par Le Vau côté cour. Ces colonnes copiaient celles de De l'Orme, mais sans le décor sculpté

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Dans les jardins du Trocadéro et à !'École des beaux-arts, à Paris. Ce mélange peu orthodoxe fait que huit chapiteaux à cinq cannelures surmontent des pilastres qui en comptent sept. Fonkenell 2010, p. 43 et 76.

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Fig. 3 1 (À gauche) Façade du pavillon Bullant et de l'aile de Philibert De l'Orme, côté cour (À droite) Façade nord du château de La Punta. Cliché J. Moulin

Fig. 4 I Château de La Punta. Chapiteau provenant de la façade du pavillon Bullant, côté cour, mis en place sur un pilastre de la façade esl:, confütué en partie de pierres provenant des Tuileries. Cliché J. Moulin

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habillant les tambours cannelés. Cependant, c'est sur la façade sud du château orientée vers la terrasse que Vincent mit en œuvre le remploi le plus spectaculaire (fig. 5). Sur cette façade, seize colonnes et les entablements correspondants formèrent un portique peu profond, monté sur deux niveaux. Ce décor est traditionnellem ent donné comme provenant de la façade du pavillon Bullant, mais un examen rapproché des sculptures invite à plus de nuance. En effet, cinq colonnes ioniques conservent leur décor de rudentures sculptées avec les deux C affrontés du chiffre de Catherine de Médicis (fig. 6). Comme les Tuileries abritèrent les gouvernements successifs de la Révolution, une attention particulière avait été portée à la destruction des insignes royaux. Toutes les fleurs de lys qui étaient accessibles furent donc bûchées. Or, les deux colonnes placées aux extrémités du portique ont un décor sculpté à la fois plus sommaire et complet, avec toutes leurs fleurs de lys. Elles sont donc, soit des colonnes provenant des Tuileries et refaites au cours du XIXe siècle, soit des colonnes neuves réalisées pour La Punta. Dans ce portique, la deuxième colonne à partir de l'ouest a le même décor sculpté que ses voisines, mais avec ce qui ressemble à deux L affrontés, en place des chiffres de Catherine de Médicis. Si cette identification s'avère exacte, cette colonne proviendrait du symétrique du pavillon Bullant construit par Le Vau et orné du chiffre de Louis XIV À l'étage, les colonnes corinthiennes viennent des mêmes pavillons, côté jardin. Elles ne sont toutefois pas exactement semblables car, pour une raison qui tient sans doute à l'imprécision des mesures prises à Paris, leurs chapiteaux durent être réduits de presque dix centimètres de hauteur. Dans cette ordonnance, les encadrements de baies, les entablements et les trumeaux viennent eux aussi des Tuileries, mais ils suivent un montage composite et sont constitués de beaucoup de pierres neuves. Ainsi, les appuis et les jambages lisses des fenêtres du rez-de-chaussée des façades nord, est et ouest proviennent du rez-de-chaussée des ailes de De l'Orme, côté cour, mais leurs plates-bandes tabulaires et leur entablement lisse ont été complétés par ceux des deux pavillons attenants, côté cour33 . Au deuxième niveau de ces façades, les baies sont encore plus irrégulières. Celles de la façade d'entrée possèdent des jambages à décor de feuilles de laurier qui proviennent du premier étage des pavillons intermédiaires, côtés cour et jardin. Elles conservent leurs célèbres chapiteaux à tête de bélier, qui ont longtemps été donnés à Bullant, mais qu'il est peut-être plus vraisemblable d'attribuer à un membre de la famille Du Cerceau. Les baies des façades latérales suivent le même schéma avec des nuances. Ainsi, les piédestaux des fenêtres de la façade orientale réutilisent ceux de Philibert De l'Orme provenant du premier étage des ailes latérales, côté cour (fig. 7). Ils se raccordent parfaitement avec les quatre gaines en trapèze remontées sur les trumeaux. En revanche, leurs appuis, qui devaient être réutilisés dans les premiers projets de La Punta, ont été supprimés au cours du chantier34 • Sur ces mêmes baies, les jambages à feuilles de laurier proviennent du premier étage des pavillons intermédiaires. Sur la façade ouest, la bonne continuité de l'appareil des pilastres et des jambages plaide

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Sur la façade est, la moindre largeur donnée aux fenêtres a entraîné un net débordement des platesbandes tabulaires par rapport aux piédroits. Ces appuis figurent, complets, sur l'ensemble des premiers projets. Comme l'indiquent certains bûchements sommaires, ils semblent avoir été retaillés en cours de chantier pour permettre la mise en place des portes-fenêtres du rez-de-chaussée et pour agrandir les baies du premier étage.

Fig. 5 1 Château de La Punta. Façade sud. Cliché

J. Moulin

Fig. 7 I (À gauche) Façade de l'une des ailes de Philibert De l'Orme, côté cour

(À droite) Façade eSl: du château de La Punta. Cliché ). Moulin

Fig. 6 1 Château de La Punta. Façade sud, détail des décors sculptés des colonnes ioniques. Cliché J. Moulin

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toutefois en faveur d'un ouvrage très neuf, ce que confirment les piédestaux médiocrement taillés et les plates-bandes tabulaires très fines, qui ne proviennent pas des Tuileries. Sur la façade sud, l'importance donnée au portique relégua les fenêtres au second plan. Dépourvus d'appuis et , dit-il,« a été basty sur une colline ou petite montaigne qui estoit faicte de la terre qu'ont avoit autrefois ostée des fossez qui sont autour de l'abbaye qui depuis a esté redigée en eglise collegiale de chanoines. En faisant faire les fondements, ie trouvois toute la masse mouvante, pour les pierres qu'on avoit autrefois tirées des quarrieres. Et pour parvenir iusques au ferme, il me falloit aller plus de quarante pieds plus bas, qui estoit une despense excessive, et qui ne fust venuë gueres à propos pour le seigneur Cardinal, qui n'avoit pour lors beaucoup descus de reste. Pour doncques eviter une si grande despense, ie feis faire plusieurs trous ou pertuis, comme si i'eusse voulu faire des puis de quatre ou cinq pieds de large, autant que portoit le fondement, et estoient quarrez: i'en faisois autant de douze pieds en douze pieds de la mesme largeur du fondement et tant profonds que i'y trouvois lieu solide: et où ie ne le trouvois assez ferme comme ie le demandois, i'y faisois mettre des pieux de la largeur du dit fondement, et faisoit remplir lesdicts trous ou puis de bonne maçonnerie[ ... ]». En lisant ces lignes peut-on ne pas se rappeler ce qui a été fait récemment à Paris sous la direction de M. Abadie? les difficultés étaient les mêmes et elles ont été résolues de la même façon".

À travers l'exemple du château de Saint-Maur, Léon Palustre ne pointe pas seulement la capa-

cité de De l'Orme à pallier les écueils que lui impose le site, mais accuse cette qualité en érigeant l'architecte comme modèle à suivre pour la profession. Le parallèle fait avec Paul Abadie sousentend la modernité des dispositifs créés par De l'Orme et leur validité à travers les siècles. Ceci se confirme d'ailleurs par le jugement prononcé sur la littérature de l'architecte puisque Palustre déclare dans I.:architecture de la Renaissance: 12

Maniant, du reste, aussi bien la plume que l'équerre, il a supérieurement écrit sur son art et le Premier tome de !'Architecture (1567 ), les Nouvelles inventions pour bien bastir (1571) sont des livres que, même de nos jours, on ne consulte pas sans profit".

faptitude de De l'Orme à créer des dispositifs inédits est également soulignée par l'exemple de la toiture en carène de navire. Lauteur assigne la paternité de cette invention au Lyonnais et en explique le principe: Philibert de l'Orme inventa, vers 1560, les célèbres toitures en forme de carène qui portent son nom. Par suite de la difficulté existant dès cette époque de se procurer les énormes pièces de bois habituellement nécessaires, il composa des fermes au moyen d'une multitude de morceaux bien assemblés et maintenus par des clefs et des chevilles. Mais il n'arrivait ainsi qu'à obtenir un plein cintre dont l'aspect extérieurement eût été fort désagréable. fadjonction de deux nouvelles pièces, formant angle au point le plus élevé, remédia à cet inconvénient, et le plein cintre fut changé en une sorte d'arc en accolade ou en talon d'un effet assez gracieux, bien qu'un peu lourd'•.

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Palustre 1879-1885, II, p. 105. Palustre fait référence à la basilique du Sacré-Cœur à Montmartre. Palustre i892, p. 174. Ibid., p. 192.

Les fondations du château de Saint-Maur et la création de la toiture en carène renvoient indubitablement à l'invention comme compétence empirique. Elle est donc synonyme d'intelligence pragmatique. En dépit de l'absence d'une référence explicite, il est clair que Léon Palustre tente d'inscrire l'architecte de la Renaissance dans une tradition spécifiquement française qui consiste à développer les prouesses techniques et à imaginer des procédés audacieux tout comme le faisaient les maîtres-maçons médiévaux. De ce fait, Philibert De l'Orme est le continuateur d'une tradition architecturale nationale; il perpétue la culture d'un peuple bâtisseur qui aime à relever les défis techniques. Si jusqu'ici le discours palustrien est relativement neutre et ne mobilise pas véritablement de champ lexical laudatif, la description du château de Fontainebleau est empreinte d'un enthousiasme bien plus net. üxemple de l'escalier de la cour du Cheval-Blanc offre à Léon Palustre un autre exemple de maîtrise technique plus spécifique. En effet, de tous les architectes de la Renaissance qui sont traités par l'archéologue, De l'Orme est le seul à être associé à la pratique de l'art du« trait »'5 • Une fois encore, l'auteur recourt à la plume de Philibert pour expliquer le dessin de cet escalier malheureusement disparu: Comme tant d'autres choses qui faisaient l'honneur du château de Fontainebleau, il a disparu, lui aussi, dans la manie de changement qui n'épargne pas même les œuvres les plus remarquables. Mais tous les détails n'en sont pas moins connus, grâce aux gravures de du Cerceau d'abord, puis à la description de l'auteur qui a sa place indiquée dans notre récit. « I'ai faict faire, di-y-il à Fontainebleau un perron qui est en la basse court, ou vous voyez les voutes par dessous les marches qui rampent comme la vis sainct gilles, mais il est encores plus difficile »' 6 •

Au-delà de la description de l'œuvre, le passage choisi par l'auteur renferme une référence significative. Le renvoi à la vis de l'abbaye de Saint-Gilles-du-Gard permet d'inscrire l'escalier de Fontainebleau dans la lignée des ouvrages médiévaux. En d'autres termes, en exploitant les propos de l'architecte lui-même, Léon Palustre le présente comme un détenteur et un divulgateur de l'arcanum magisterium, dont la science stéréotomique fait partie intégrante Par ailleurs, en donnant à voir l'escalier au lecteur à travers une description plus intelligible, Palustre emploie des qualificatifs déterminants: Quant aux voûtes qui soutiennent les marches, elles reposent sur des arcades rampantes, d'une exécution d'autant plus difficile qu'il a fallu trouver le moyen de combiner plusieurs courbes opposées. Mais l'architecte a si bien réussi dans ses calculs qu'il est parvenu à faire une œuvre à la fois très savante et très gracieuse' 7 •

La grâce, cette valeur que l'archéologue aime à définir comme qualité primordiale de la première Renaissance française, gagne ici les réalisations de la seconde Renaissance et se dote d'un caractère savant. Elle n'est plus le fruit d'une pratique intuitive de l'architecture mais se fonde sur la géométrie et par conséquent acquiert un caractère raisonné. Une pareille lecture tend à souligner la capacité de Philibert De l'Orme à réunir dans une même œuvre architecturale deux valeurs jusque-là diamétralement opposées. Car, dans la pensée palustrienne, la raison

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Sur la pratique de la stéréotomie voir Sakarovitch 1998. Palustre 1879-1885, I, p. 191. Voir De l'Orme 1567, f. 124v. Palustre 1892, p. 191-192.

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est une valeur associée au langage des ordres et elle signifie une rigueur contraignante. En revanche, dans l'exemple de l'escalier de Fontainebleau, la stéréotomie comme pratique raisonnée de l'architecture est génératrice d'originalité et de virtuosité. Implicitement, Léon Palustre trace ici une ligne de démarcation entre deux modes de pratique raisonnée de l'architecture: le mode italianisant avec des ordonnances liberticides et le mode français avec une science stéréotomique propice à l'innovation.

rinvention formelle ou la rhétorique gallicane Conjointement à l'invention technique, Léon Palustre met en exergue l'invention formelle que Philibert De l'Orme insuffla au langage architectural. Lintérêt porté pour le répertoire delormien est indissociable du thème de la colonne française. Cependant, pour ce thème précis, nous sommes surpris par un léger bémol dans le discours, qui brouille légèrement la signification du mot invention. Contre toute attente, là où l'on escompte un développement magistral et dithyrambique sur cette curiosité formelle, l'auteur procède à une rectification historique. Il n'attribue pas à Philibert la création du fût garni de bagues que nous connaissons, il lui en concède seulement le développement et la diffusion. Dans wrchitecture de la Renaissance, l'on apprend que le motif propagé par le Lyonnais trouve son origine dans l'architecture gothique puisque la colonne française est une déclinaison de la colonne annelée: Sous Henri II, certaines fenêtres, comme à Cœuvres (Aisne), ne produisent guère l'effet que de tous réguliers percés dans un mur lisse. Les portes donnant sur les cours, pour la plupart, affectent également une grande simplicité. Mais l'ornementation ne disparaît pas subitement, et tout d'abord on se contente de la changer de place. Négligeant quelque peu frises, corniches el chapiteaux, elle envahit le fût des colonnes, sans doute pour justifier la célèbre invention dont Philibert de l'Orme nous entretient dans le Premier tome de l'architecture:« [ ... ] qui empêchera que nous Français n'en inventions quelques-unes, et les appelions françaises, comme pourraient être celles que j'inventai et fis faire pour le portique de la chapelle qui est dans le parc de Villers-Cotterêts, du temps et règne de la majesté du feu roi Henri? [... J ». En réalité, loin d'innover, Philibert de l'Orme ne faisait guère que suivre l'exemple donné par les maîtres maçons du xn' siècle. La colonne dite française a son prototype dans les colonnes annelées de l'architecture gothique rudimentaire'8 •

En précisant la généalogie du motif, l'auteur n'enlève rien à l'apport de Philibert; preuve en est qu'à plusieurs endroits, il continue à employer le terme « invention » pour désigner cette création. La rectification a seulement pour but de signifier un lien constant avec le patrimoine architectural médiéval et donc d'ancrer davantage l'architecte dans la tradition nationale française. La création, en tant que processus intellectuel, ne peut donc s'affranchir d'un capital formel premier natif ou originel c'est-à-dire national. Nous ignorons le jugement de Palustre quant au caractère conscient ou inconscient de cet emprunt, toujours est-il qu'un déterminisme formel semble régir le langage de Philibert. Dans La Renaissance en France, le motif de la colonne française est identifié dans trois édifices et cette fois-ci aucune allusion n'est faite à

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Palustre 1892, p. 157-158. Voir De l'Orme 1567, f. 218v.

l'origine médiévale du motif. Nous notons toutefois que l'auteur peine à préciser la première apparition des fûts bagués. Dans l'analyse du château de Villers-Cotterêts, il situe la présence de colonnes françaises pour la première fois au portique de la chapelle qui se trouve dans le parc. Le passage où De l'Orme revendique un ordre national français est cité. Sans aucun doute, il s'agit là d'une insistance sur la volonté de créer un motif propre à une nation mais, étonnement, l'entreprise est moins encensée pour sa dimension patriotique19 que pour le bon sens et la logique qui la régissent: Si Philibert de l'Orme n'a attaché son nom à aucune des parties du château proprement dit de Villers-Cotterets, il n'en est pas moins vrai que cette résidence fut témoin, sous le règne de Henri II, de la célèbre invention des colonnes, dites françaises, dont l'application fut faite pour la première fois à la chapelle du parc. [... ] tidée était vraiment excellente, et l'on a tout lieu d'être étonné qu'elle ait attendu autant de siècles à se faire jour. Les colonnes n'ont de raison d'être que si elles sont d'un seul morceau, et chaque fois que s'impose l'obligation, pour les obtenir, de superposer plusieurs tambours, il faut au moins avoir soin de dissimuler les joints par des moulures 20



Agréer le bon sens et la logique est une autre manière de souligner le lien avec l'héritage français et de signifier la continuité historique du génie national. Dans la représentation palustrienne du caractère national en architecture, la logique est érigée en valeur suprême. Cette exigence de vérité constructive est un principe permanent et immuable qui transcende les variations stylistiques et qui s'applique à toutes les parties d'un édifice même à l'ornement. Léon Palustre loue cette qualité dans l'architecture médiévale par exemple: Que le monument soit religieux ou civil, chacun de ses membres n'en occupe moins une place inévitable, chacune de ses pierres n'en est pas moins éloquente dans l'explication de la fonction qui lui incombe. Partout le dehors laisse entrevoir le dedans, sur lequel il se modèle, dont il n'est à proprement parler que la conséquence et la manifestation".

Cet énoncé n'est pas sans rappeler la doctrine violletleducienne. Imprégné de ses préceptes, Léon Palustre n'allait pas manquer de citer l'architecte nommément et de rapporter ses jugements quant à l'emploi de la colonne française au château des Tuileries. Le sens donné à un jugement de Viollet-le-Duc confirme notre interprétation: Du reste, le mérite de l'œuvre dont nous parlons s'impose tellement aux esprits sérieux que Viollet-le-Duc, si peu porté d'ordinaire à vanter les monuments du xvr' siècle, n'a pas craint de signaler dans le portique des Tuileries tout le bon côté du génie français. «Non seulement, dit-il, la structure s'y trouve franchement accusée, mais encore elle devient un motif de décoration »22 •

Lautorité intellectuelle invoquée pour célébrer l'œuvre de Philibert De l'Orme est significative. Les propos sont empruntés au promoteur du génie national au x1xe siècle. Celui qui a vanté le caractère rationnel de l'architecture gothique identifie ce même principe dans l'in-

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Voir Pauwels 1996. Palustre 1879-1885, I, p. 133-134. Palustre 1892, p. 136. Palustre 1879-1885, II, p. 172-173.

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vention delormienne et loue la lisibilité du motif et son intelligibilité. La colonne française est donc dépositaire d'un rationalisme qui incarne le caractère national français. Par conséquent, elle devient l'apanage de Philibert De l'Orme et accède au rang d'indice formel ou stylistique. En effet, Léon Palustre se fonde sur sa présence dans l'attribution du château de Montceaux (fig. 2) au Lyonnais: Si nous n'avions pas à cet égard des documents certains, il suffirait, en quelque sorte, de jeter un coup d'œil sur les belles colonnes qui occupaient, à l'intérieur de la cour, le milieu des ailes latérales. La manière dont elles sont composées rappelle la célèbre invention de Philibert de l'Orme, et pour notre part, nous ne serions pas éloigné d'en faire honneur à l'illustre architecte. Quoi qu'en dise Berty, un homme de cette valeur n'est pas venu à Monceaux uniquement pour construire un jeu de paume. S'il a eu l'occasion d'appliquer en ce lieu, pour la première fois, une de ses inventions les plus fécondes, c'est parce que la direction générale des travaux était entre ses mains 23 •

En structurant son discours autour de l'invention comme caractère principal de l'œuvre de De l'Orme tant dans son aspect technique que rhétorique, Léon Palustre distingue son architecte et lui confère une aura particulière. Il est le seul parmi tous les architectes de la seconde Renaissance à bénéficier du statut de démiurge; ni Lescot ni Bullant ne lui disputent ce titre. D'ailleurs, il n'y a pas que les architectes français que Philibert De l'Orme dépasse en maestria; Palustre champion de l'exaltation de la supériorité de la culture française sur la culture italienne, attribue la palme au Français lorsqu'il s'agit de le comparer aux frères Giusti par exemple. Le tombeau de François rer à la basilique Saint-Denis offre à l'auteur l'occasion de démontrer la précellence d'un concepteur hors pair qui sut surpasser l'invention des deux Italiens dans le tombeau de Louis XII. Le ton est clairement dithyrambique: Le tombeau de Louis XII, avons-nous dit, inaugurait à Saint-Denis un nouveau genre de monument qui, par sa magnificence, ne pouvait manquer d'exciter l'admiration universelle. Aussi, bien que la combinaison adoptée ne fût pas sans défaut, que sur plusieurs points se présentassent des motifs de sérieuse critique, il n'en demeura pas moins obligatoire de suivre la voie dans laquelle les Juste s'étaient engagés. D'où l'on aurait tort de conclure, cependant, à la destruction de toute initiative, car, pourvu que les lignes principales fussent respectées, rien n'empêcha jamais d'apporter au type primitifles changements désirables. En un mot, s'il y avait permission de faire mieux, était-il défendu de faire autrement? Comment d'ailleurs, nous plaindrions-nous qu'il en ait été ainsi, lorsque nous voyons quel admirable parti Philibert de l'Orme a su tirer de l'invention d'autrui 24 •

À l'évidence, les frères Giusti servent de faire valoir. En saluant la magnificence de leur travail et l'originalité de leur invention, c'est-à-dire la création d'une nouvelle typologie de monument funéraire et en signifiant le perfectionnement de la nouvelle composition par l'architecte français, Léon Palustre amplifie le génie de son compatriote. Car s'il est un défaut dont l'auteur cherche absolument à préserver Philibert De l'Orme, c'est bien l'imitation. tadmiration emphatique pousse même Palustre à avancer des interprétations psycholo-

23 24

Ibid., I, p. 166-168. Ibid., II, p. 98-99.

299

Fig. 2 I E. Sadoux, ruines du château de Montceaux, gravure à l'eau-forte (La Renaissance en France, Paris, 1879-1885, T, p. 167). Cliché CESR

giques et à prêter à De l'Orme une volonté assumée de rivaliser avec les Italiens en conférant une facture personnelle à son ouvrage: 300

Le maître voulait paraître forcé d'introduire les innovations qu'il méditait et par ce moyen arriver à produire une oeuvre qui lui appartint bien réellement, tant il y aurait mis ouvertement du sien. [ ... ] La suppression des nombreuses statues qui nous ont paru sujettes à tant de critiques s'imposait donc logiquement à Philibert de I:Orme qui, dans tous les cas, avait trop de goût pour tomber à ce sujet dans les fautes de ses prédécesseurs. Pour l'harmonieuse combinaison de lignes il avait sur eux le grand avantage d'être architecte, ce qui l'empêchait de trop sacrifier l'ensemble aux détails. Aussi nous a-t-il laissé un merveilleux chef-d'oeuvre, qui n'a certainement son égal dans aucun pays d'Europe 25 •

En définitive, la construction de l'image de Philibert De l'Orme comme symbole du génie national français s'est fondée sur le concept de l'invention déclinée à plusieurs échelles: l'invention comme capacité à créer des dispositifs techniques inédits, l'invention comme aptitude à imaginer des formes originales qu'il s'agisse des tracés des voûtes ou du détournement des règles classiques, et l'invention comme exigence de vérité constructive. Il est indispensable néanmoins de noter que dans sa détermination de la quintessence de l'esprit français, Léon Palustre ne s'attache pas à identifier les poncifs de l'architecture médiévale comme la verticalité, le relief ou encore le rythme de la composition dans les édifices construits par De l'Orme. Il s'est davantage intéressé aux principes théoriques qui fondent le caractère national. Aussi en démontrant la fidélité du Lyonnais à l'esprit français, l'auteur se saisit-il des paradigmes qui ont structuré l'histoire de l'art au xrxe siècle dont le plus important est la continuité historique du génie national. En forgeant l'icône de Philibert De l'Orme il assouvit le besoin d'un siècle qui aime à exalter les figures tutélaires de la culture française, a fortiori dans un contexte d'exacerbation des crispations identitaires et de revendications nationalistes. Le choix même de la figure de Philibert De l'Orme comme plus grand architecte français est intelligent. Fils d'un maître d'œuvre et formé sur le tas, il incarne le rejet de l'idée d'une rupture brutale entre le Moyen Âge et la Renaissance. En somme, Philibert De l'Orme incarne la définition de la Renaissance telle que Léon Palustre aime à la formuler: « l>adaptation raisonnée et parfaitement logique des formes de l'art gréco-romain aux dispositions adoptées par le moyen âge et plus particulièrement par l'architecture gothique » 26 •

25 26

Ibid., II, p. 99-100. Palustre i892, p. i50.

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Index

Aaron 13 Abadie, Paul 294 Actéon 159, 160 Adhémar,Jean 165 Agnese, Battista 170 Ainay-le-Vieil château 99 Ajaccio palais Pozzo di Borgo r50, 249 Alata château de la Punta S, r50, r6S, 243-258 tombeau (chapelle funéraire) 25 S tour de Monticci 25S Alazard, Florence 182 Albani, Alessandro (cardinal) r77 Alberti, Leon Battista IO, 12, 24, 25, 34, 132, 167, 181, 280

Albi 49 Albouy (charpentier) 236, 237 Alciat, André (Andrea Alciato) 32, 35 Alexandre I", tsar de Russie 256 Allardin,Jean 159, 160, 166 Alphée 160 Alvarotti, Giulio 39, 43, 51 Amboise château ro5 Amyot, Jean 172, 178, 179 Anagni r42 Androuet du Cerceau, Baptiste 132, 243, 250 Androuet du Cerceau,Jacques 7, 8, 87, 99, 123, 126, 132, 134, 146, 168, 175, 178, 2!0, 22.0, 22.4, 284, 295

Androuet du Cerceau, Jacques II 146, 260, 269 Aneau, Barthélemy 35 Anet château 7, 9, 3S, 39, 44, S6, 90, 9r, 93, 94, roS, r23, I25, I26-I29, IJ2, r35, r36 r44-r46, r4S, I5II66, ISS, IS9, 204, 206, 20S, 2IO, 2I9, 225, 227, 22S, 24S, 270, 279, 2S3, 2S7, 2S9 Angers abbaye Saint-Serge 47, r3S, r69 Aniane abbaye 53

Anjou, René d' 97 Apelle 150 Apolidon w8, 123 Archambault, Gouault 220 Archimède 194 Aréthuse 160 Assier chapelle 201 Athenes arc d'Hadrien ro2 Auch cathédrale r40, r4S Auguste 13, 18, 134 Augustin (saint) 190 Avignon ro3, rS5 Bade, Pierrette 17 r Baeza couvent de Saint-François 202 Baldomar, Francesc w4 Balsamo, Jean 44, ro8, 279 Barbanson, Charles de u3 Barbara, Daniele 9, 167, 188, 280, 283, 284 Barbeaux abbaye 52, 53 Barberousse (Khizir Khayr ad-Dîn, dit) 68 Barbier, ? 128 Barthely (les) 52 Bassan tin, Jacques 177 Bastard, Olivier u9 Bataille, Pierre 43 Bataille, Olivier 43 Batiffol, Louis 260 Bayonne abbaye 52 Beaumanoir, Charles de 43 Beaune, Claude de ro9 Beaurain, Nicolas 152, 160, 166 Belhoste, Bruno 235 Bembo, Bernardo 170 Bembo, Pietro 24 Bénévent arc SS

Benoist, Jean

Berlin

171

Bullioud, Pierre III Bureau, Alison 37

ro9, no, rô8, IÔ9

Bernabei, Domenico 38 Bernard,Jean 280 Bertin, Dominique 139, 140 Bertrand,Jean 140 Berry, Adolphe 38, w9, 191, 195, 216, 260-262, 272-275, 298 Bèze, Théodore de 55, 59-63, 177 Biard, Pierre 146, 14 7 Bini, Giovan Francesco 50 Biondo, Flavio IOI, 171 Blanchet (curé de St Bohaire) 22 7 Blandin, François (Francesco) 41

Blickling château (Blickling Hall) IJO Blois château 99, ro5, 2or hôtel du Lion Ferré (dit de la Chancellerie) 22I, 228

220,

Blondel, François 9, 283-284, 288-290 Blondel, Jacques-François 235, 266s Blunt, Anthony 24, 37, 38, 39, 44, 47, 67, 71, 86, 93, 94, 181, 185, 186, 188, 279

Boboli

I34

Bodin, Jean 113, 117, 119, 140 Boileau, Louis-Auguste 234-235, 273 Boileau, Nicolas 284 Bonnet Saint-Georges, Dominique 7, 97, 98, w3, 184, 199

Bordeaux

v-53

Cadillac château r4ô, I47 Cadix Santa Maria 202, 204 Callisto 156, 164 Calvo Lopez,José w7, 199-213

Cambridge

53, r78, IJ9

Campi, Louis 255 Canguilhem, Philippe 181, 182, 186 Cardan,Jérôme 195 Carle, Lancelot de 172 Carmoy, Charles 38, 151, 165, 166 Caron, Antoine 26, 86, 125, 128-130, 132, 134, 136, 168 Carpentras, Elzear Genet 185 Cartari, Vincenzo 32 Castiglione, Badassare 24, 68, 175 Cataneo, Pietro 167, 28 o, 283 Cavellat, Guillaume 197, 279 Cazaux, Christelle 185, 187, 188 Ceccarelli-Pellegrino, Alba 26, 32-36, 181, 190 Cérès 160 Cervini, Marcello 9, 71, 80, 94, 185 César 13, 15, 142 Cesariano, Cesare 9, 88, 125, 194

Chaalis

rôô

Chambiges, Pierre

38

Chambord château 45, ro5, 20I

Boudon, Françoise 8, 121, 126, 222, 223 Bourbon, Louis de 52 Bourdieu, Pierre 122

Chambray, Roland Fréart de IO, 280-28+, 286, 287, 290 Champier, Symphorien 99, I02, 184

Bourges abbaye de Saint-Gildas

Chantilly château

J2,

53

Bourgeois, ( ?) 223 Bovelles, Charles 171, 192, 193, r95, i96 Boyvin,René 165, 178 Bramante, Donato 13, 94, 128, 132, 284 Bresc-Bautier, Geneviève 139, 140, 149-151, 262

Breteuil abbaye

25

Brice, Germain 260, 272, 273 Brie, Germain de 39, 40 Bruneau,Jacques 38 Brunelleschi, Filippo 23 5

Bruxelles

r57, rô2

Budé, Guillaume 13, 45, !02 Bullanr,Jean IO, 90, III, 142, 147, 193, 194, 196, 198, 216, 217, 220, 243, 244, 248-252, 254, 255, 266, 280, 282-284, 290, 298 Bullet, Pierre 232, 29 o Bullioud, Antoine 37, 97, w6, III Bullioud, Geneviève rn

90, 2rô

Charlemagne 63 Charles V 67, 68, 134, 272, 273 Charles IX 13, 26, 134, 169, 178 Charles ~int 97, w4, w6 Charpentier,Jacques 196 Chastel, André 99, w5, 123 Chastillon, Claude 125

Chateaubriant château 2r5 Chaudière, Regnault Chaulnes, duc de235

87, 171, 192, 279

Chenonceau château r25, uô, 2r9, 220, 225, 228 Chioné 153, 155-157 Ciampollini (collection) 88 Cicéron 13, 20, 132 Cinzio, Giambattista Giraldi 162 Clarac, Charles Othon Frédéric Jean-Baptiste, comte de 260,262,264,266,267,269

Claude (empereur) ro3 Claudien 32 Clavius, Christoph Klau dit 192, 193, 198 Cluny abbaye 52 Cœuvres-et-Valsery château 296 Cointeraux, François 23 r Colbert, Jean-Baptiste 139, 187 Colines, Simon de 170-172 Colletel, Amant 144 Colonna, Prospero ror Colonna, Stefano 132 Columelle 40 Combraille, Regnauld 41 Compère, Loyset 186 Condé, Louis, prince de 177 Corneille, Michel II 164 Corominas,Joan 200 Cormery abbaye 50, 53 Corrozet, Gilles 30, 31, 56-58, ro2 Corsini, Raphaël 50 Cortese, Paolo 185, 186 Cosmati (les) 142 Cospérec, Annie 220 Cottereau, Claude 40 Coulommiers-la-Tour manoir d'HuchignJ' 224 Courcimetz, François u8 Cousin, Jean (père) 160 Cousin, Jean 26, 167 Crotone 96 Cyriaque d'Ancône ro2 Dampestre-Cosel, N. 196 Dangu 243, 246, 247, 24J, 249, 254, 255, 257 Debray,Jean 256 De Lisa, Suzzone 256 Della Casa, Giovanni 34 Delorme, Jean 195, 216 De l'Orme, Philibert passim Deming, Mark K. 222, 232, 235 Deneux, Henri 220 Deny, Eugène 248 Derand, François 209, 280, 282, 289 Derbe,Jacques 37 Desargues, Girard 282, 283, 289 Destailleur, Hippolyte 168 Detournelle, Athanase 228, 239 Dezallier d'Argenville, Antoine-Joseph 38, 243, 244

Di Giorgio Martini, Francesco 76, 82 Diez del Corral, Rosario ro7 Diane 46, 47, 123, 126, 155, 159, 161, 162, 163, 165 Diane de France 113, u4

Diane de Poitiers

37-39, 41, ro8, 123, 126, 127, 129, 136152, 153, 159, 165, 166, 178, 188, 216, 219, 220, 290

Dijon maison Maillard I46 Dimier, Louis ro4, 155 Dippré, Antoine 38 Dobbins, Frank 184-186 Druye manoir de la Bectiere 224, 226, 22J Duban, Félix 262-264, 266-268, 270-272, 277 Du Bellay, Guillaume 50 Du Bellay, Jean 37-47, 49-54, 71, 72, 126, 184-186, 294

Du Bellay, Joachim 17, 42, 44, 47, 94, 135, 149 Du Bellay, Louise 40 Du Bellay, Martin 50 Du Chastel, Pierre 174 Ducher, Gilbert 162 Duchesne, André 279 Du Drac, Adrien 42 Du Faur de Pibrac, Guy 44 Duhamel, Pascal 196 Dupérac, Étienne 136, 260, 270 Dürer, Albrecht 195, 208 Dussier, Pierre 220 Du Tillet, Jean 58, 63, 177 Écouen château 90, I44, I46-I48 Egio, Benedetto 94 Elbène, Thomas d' (Tommaso Del Bene) 47 Éléonore d'Autriche rn6, 185 Emy, Armand Rose 232 Endymion 164 El Escorial 207 Érasme rn2, 149 Este, Hercule II d' 39, 43 Este, Hippolyte II d' 43, 57, 61-65 Estienne, Charles 121, 122 Estienne, Henri I 171 Estienne, Robert 171 Estrées, Gabrielle d' 26 9 Euclide 17, 191, 192, 194, 196, 197, 198 Euxinograd château 249 Fabri, Pierre 13 Fage (menuisier) 239 Farnèse, Octave 41 Faye, Barthélemy 42 Félibien, André 139, 286 Fere-en-Tardenois château 2I6 Ferracina, Bartolomeo 231 Ferrand, David 8, 279 Fesset, Pierre 220

Filarete, Antonio di Pietro Averlino dit 80 Fine, Claude 196 Fine, Oronce 171, 191, 192, 195-198 Flachéron, Louis !02, w3 Florence Duomo (cathédrale) I4I SanLorezno 202 Santo Spirito 202 Foix, Diane de 197 Foix, François de 197, 198 Foix, Françoise de 215 Fonkenell, Guillaume 149, 243, 245, 250, 254, 259-277

113, 122,125, 139, 140, 151, 165, 166, 172, 177, 178, 184, 187, 189, 207, 215, 216, 233, 234, 266, 276, 289,290,292,296,297 Henri IV 132, 243, 244, 245, 260, 262, 266, 268,

269,270,273,275,276

Fontaine, Pierre-François-Léonard

250, 262, 272,

277

Fontainebleau château 26, I25-I2J, I32, I36, I39, I55, IO(}, I72, I74, I75, I79, I88, 245, 275, 295, 290

Fontaine-Daniel abbaye 53 Forcade!, Pierre 191, l9z., 196, 197 Fouquelin, Antoine 13 François I" 8, 9, 26, 39-41, 45, 46, 49, 90, 97, 99, !02, I05, I06, 129, 134, 171, 172, 174, 178, 185, 187, 215, 216, z.98

François II 35, 47, 112, 119, 140 Franklin, Alfred 245, z.46 Gaffurio, Franchino 182, 188 Galien 17 Garnier, Charles 246 Gaucherie,Jean 40 Gazeau, Guillaume 192 Gerba, Pierre l P Gerba, Vincent 117 Gesualdo, Carlo 183 Giocondo (Fra) 167, 194 Gisolfo, Francesco 170 Giusti (frères) z.98 Gnoli, Raniero 142 Godde, Étienne-Hippolyte 256 Gohory, Jacques I08, 178 Goiti, Felipe Lâzaro de 20z. Gomar, Estienne 174, 175, 177

Gouffier, Claude

Halicarnasse lvfausolée I42 Haussmann, Georges Eugène 245 LeHavre 248 Hearst, William Randolph 249 Hélène 96, 150 Hennequin, Nicolas 40 Henri II 13, 17, 24, 37, 43, 51, 53, 57, 79, 86, 94, III,

109

Goujon, Jean 13, 41, 264 Goury, Charles-Antoine de Grenade cathédrale 207 monastere de Saint-Jérôme 20I Grolier, Jean 169-175, 179 Guardia, Alonso de 201, 202, 207, 209, 2IO, 213 Guillard, Charlotte 179 Guillaume, Jean 114, 121, 270 Guise, Charles de (cardinal de) 50, 55, 132 Guise, François de 216

Herberay des Essars, Nicolas 24, 123, 124 Herrera, Juan de 200 Hippolyte 15;-r60, 168 Hobson, Anthony 170 Hobson, Geoffrey D. 170, 171 Hoffsummer, Patrick 222 Horace 19, 44 Houei, Nicolas 168 Huet, Noël 37 Huet,Jean u8 Huet, Thomas 37 Hugo, Victor 10 Huisseau-en-Beauce château du Plessis-Fortia 223, 224, 228 Hurault, Nicole 41 Indaco,Jacopo l' 202 Ivry-la-Bataille 2I5, 2I7 Jacques (saint) !05 Jacquet, Mathieu 146 James, François-Charles 109 Janequin, Clément 186, 187 Jefferson, Thomas 233 Joinville château IOô Josquin des Prés 183, 185, 186 Jouin (Père) 248 Jousse, Mathurin 209, 222, 280, 289 Julien, Pascal 139, 140, 149 Klapisch-Zuber, Christiane 141, 149 Koshikawa, Michiaki 165 Labbé,Jean n8 La Brosse, Guy de 129 Lacaze (charpentier) 239 Laeken château 249 La Gente, Jean de 42 La Hire, Philippe de 289 La Marck, Robert IV de 38 Lancelot w6, 179, l8o Langeac, Jean de 51 Lapeyre, Pierre 245 Lardé, Pierre (menuisiser) 238, 239

Lassus, Marc-François de 139 Lassus, Roland de 183 La Tourette, Alexandre de n8, n9 La Trappe abbaye 52 Laubespine, Claude de (fils) 167, 175 Laubespine, Claude de (père) 168 Laudine I07 Laure I03 Laval, Jean de 215 Le Blanc, Jean-Bernard (abbé) 153, 155, 159, 165 Le Blanc, Richard 195 Le Breton, Gilles 188 Lebrun, Benoît 227 Le Clech-Charton, Sylvie 215-217 Le Conte, Charles 42 Ledoulx, Guyon 165 Leduc, Laurent n3 Lefuel, Hector-Martin 178, 244, 245, 250, 255, 262, 264

Legrand, Jacques-Guillaume

I09, 222, 233-237, 239,

240, 260, 272, 274

Le Maçon, Antoine 24 Lemaire de Belges, Jean 17 Le Mans abbaye Saint-Vincent 50 Le Noir, Guillaume 195 Le Maistre, Pierre 127 Lemerle, Frédérique 7-IO, II, 45, 93, 99, IOI, I03, 139, 144, 145, 171, 181, 279-290

Le Moigne, Lucas 186 Le Muet, Pierre 289 Lenoir, Jean-Charles-Pierre 23 6 Leôn 200, 204 LéonX 185 Le Riche, Antoine (Divitis, Antonius) 187 Leroux de Lincy, Antoine 180 LescherenJean de, dit Picard 170-172, 174 Lescot, Pierre 44, 142, 264, 268, 292, 298 Lésigny I25, I27 Lesueur, Frédéric 224 Lesueur, Étienne-Hippolyte Leurrat, Estelle 99, ro2 Le Vau, Louis 243-245, 250, 252, 254, 273, 279, 284, 286

Le Viel, Pierre 153 Lheureux (famille) 26 8 L'Hospital, Michel de 39, 42, 44, 45, 47 Ligorio, Pirra 78, 94 Limoges 53 Limours château 223 Lion, Antoine de 42 Lombardo, Pietro 142, 143 Londres I27, I29, I3I, I32, I34, I35, I62, I65, I66, ISS, 274

Longpont abbaye 52, 53 Lorraine, Jean, cardinal de 49-52, 196 Loris, Petris 37-47, 53 Louis XI I05 Louis XIV 139, 141, 150, 153, 243, 252, 267, 273, 283 Louis-Philippe I" 243 Lorris, Guillaume de IO 6 Louvois, François Michel Le Tellier, marquis de 139 Lucques I2S, I34 Lyon Anticaille (l') 99 couvent des Augustins IS4, IS5 couvent des Carmes IS4 église Notre-Dame-de-Confort IS4 fontaine des jacobins IO hôtel Bullioud 37, 90, 9S, Io5, I07 hôtel de Ville Io3 Macrin, Jean Salmon 42 Maffei, Alberto 170 Mahieu, Thomas 175, 177, 180 Maillard de La Gournerie, Jules-AntoineRené 209 ]\,faisons-Laffitte château 256, 2S4 Maître J.G. 99 Maître de la tenture de Diane, voir Carmoy, Charles l\fanetti, Giovenale 68, 69, 71, 72 Mansart, François 232, 284 Mantegna, Andrea 13 A1antuue 37 Marcel II, Marcello Cervini (pape) 9, 71, 80, 94, 185

Marchant, Charles n7 Marescotti de Calvis, Galeazzo 170 Marguerite d'Angoulême, reine de Navarre 162 Marguerite de Valois, reine de Navarre 178 Marie Stuart 35 Marigny, Abel-François Poisson, marquis de Marnef,Jérôme de 139 Jvfarolles château de Pezay 224 Marot, Clément 187 Marot,Jean 244 Mars 26 /vlarseille 44, 24S Martin, Jean u, 13, 24, 123, 167, 194, 286 l\fartin V 6 9 Martinez de Aranda, Ginés 200, 204, 207, 209, 2n Matthias Corvin 170 l\fauregard, Jacques de 178 j\;faZ)' I44> I45 ]vféc/:ne 99, IOI, I02 Médicis, Catherine de ro, 18, 25, 29, 30, 40, 43, 45, II7, 129, 134, 136, 139, 149, 167-169, 177, 180, 184,

186,196,206,216,220,243,252,276,279,290

330

Médicis, Jules de (cardinal) 170 Giulio de Medici dans le Médicis, Laurent de ro2 Meigret, Louis 195 Melun I7I Menehou, Michel de 186 Mercure 7, 8, ro, 12, 20, 25, i.6, 28, i.9, 31, 35, 36, 155, 156, 190, 266

Merian, Mathieu 284 Mesland grange de la Perdriere 224, 225, 22S Messe 4I }vfespuis 4I Métézeau, Louis i.60, 269 Métézeau, Thibault 259 Metz 2I6 Meudon, cardinal de u3 Michel-Ange 9, 13, 88, 166, 270 Mignot, Claude 224, 284 Milan S6 Ospedale ]Vfaggiore So Minerve 26 Minos ro2 J'vfizauld, Antoine 31, 36, 13;, 172, 195 Molinos, Jacques 222, 233-237, 239, 240 Mollet, Claude I 136 Monge, Gaspard 177 Montaigne, Gabriel rn Montaigne, Michel de 24, 44, 57, 141, 197 Montceaux-Les-Meaux château 6I, I25, I36, 29S Montgomery, Gabriel de u8 Montmorency, Anne de 8, 37, 215, 216, 217 Montmorency château 2I6 Montolieu abbaye 53 Montaux, André 224 lvfontretout château 249, 25S Mora, Francisco de 200 Moreau, Ferdinand 152 Moreau,Jean 50 Moret-sur-Loing 249 Morresi, Manuela 80, 81, 85, 187 Morvilliers, Jean de 172 Mouton,Jean 187 /vfunich I24, I59, I6o, I63, I64 Murcie cathédrale 202, 204, 2u Naples San Giovanni in Carbonara 207 Napoléon l" 243, 272 Napoléon III 243, 245, 255 Narbonne 49, 50

Needham, Paul 177, 178 Neyron,Jean 185 New York IOO, I55, I6I, I77 Nicot, Jean 122, 123 Niobé 156, 164 Niquer, Louis (charpentier) 239 Nixon, Howard 174, 177, 178 Normand, Louis-Marie 249 Notre-Dame-des-Escharlis abbaye 53 Nué, Alice 144, 145 Olivier, Théodore 209 Orbay, François d' 244, 286, 225, 227, 228 Orléans hôtel de la Motte-Sanguin 223, 224 cathédrale Sainte-Croix 22S, 229 temple protestant 223 Orléans, Louis-Philippe d', dit Philippe Égalité 227 Ortygie I6o Ovide 135, 153, 155, 156, 159-162 Pacioli, Luca 182, 194 Pagot, François-Narcisse 228 Paignon Dijonval, Gilbert 157, 261 Palestrina temple de Fortuna Primigenia I32 Palestrina, Giovanni Luigi da 183 Palissy, Bernard 26, ro9, 168 Palladio, Andrea 24, 81-85, 90, 132, 231, 280, 282284, 286, 287, 290

Palustre, Léon 244, 291-300 Pan 161-163 Panvinio, Onofrio 94 Parenty (les) 52 Paré, Ambroise 17, 18 Paris château de Madrid I26 École des Beaux-arts I6S Halle au blé 222, 227, 22S, 232, 233, 237 Halle au drap 237-239 Halle aux veaux 23S hôpital Saint-Louis 262 hôtel de Boisy I09 hôtel de Burbenon III hôtel de Gondi III hôtel de La Tourette IIS hôtel de Ligneris III hôtel de Longueil 25S hôtel de Marle II7 hôtel de Mayenne Io9 hôtel de Pisseleu (d'Angoulême ou de Lamoignon) 9, Io9, II2-II4, II7-II9 hôtel de Reims III hôtel de Rocquencourt III hôtel de Saint-Han II2, II7-II9

hôtel d'Étampes Io9 hôtel de Soissons I29, I6S, I69, 233 hôtel de Ville 256 hôtel des Tournelles 35, III hôtel du cardinal Bertrand III hôtel Legay III hôtelMarbeuJ 239 maison de Philibert De l'Orme maison Patouillet III marché des Innocents 23S Notre-Dame IO, 94, IS7, IS9 palais des Tuileries S, IO, 25, 90, 94, I25, I34-I3Ô, I49> IjO, I68, 2IÔ, 224, 243-246, 249-252, 254-256, 25S, 259-262, 264, 266, 26S, 270, 272-277, 279, 2So, 2S3, 2S7, 2S9, 290, 297 palais du Louvre IO, I39, I44, I4S, I65, I6S, 207, 245, 249, 259, 260-262, 264, 265, 267-277, 2S4 Grande Galerie IO, 90, 259-265, 267-277, 2S4 Pavillon de Flore 245, 260, 262, 273, 276 Pavillon de Afarsan 245, 262 porcherie Saint-Antoine II3, II4, II7 église Saint-Eugene 234 Paul III 67-69, 71, 72, 185, 189 Pauwels, Yves 7-ro, 12, 17, 26, 33, 35, 39, 44, 45, 67, 71, 72, 76, 79, Sr, 85-97, 99, ro3, 139, 144, 145, 148-150, 181, 185, 187, r88, 264, 266, 279, 282, 293, 297 Pebay, Isabelle II3, II7 Pecci, Pier Antonio 41 Peletier du Mans, Jacques r9r, 192, 195, 197, 198 Pélouze, Marguerite 220 Pépin,Jcan II9 Périer, Charles l 9 5 Pérouse de Montclos,Jean-Marie 28, 29, 31-33, 37, 39, 67, 73, 79, 80, 87, 88, 94, 99, ro9, III, II2, II7, 121, 126, 127, 128, 139, 149, l8r, 182, 184, 185, 187, 189, 199, 200-202, 204, 207, 213, 219, 222, 223, 232,241,259,260,268 Perrault, Claude II, 190, 224, 283, 289 Peruzzi, Baldassare 78 82, 86 Pétrarque ro 3 Philandrier, Guillaume II, 283 Philippe II d'Espagne 216 Philippe II de Hesse 43 Picard, Jean 170-172, i74 Picart, Achille 245, 246 Pienza palais Piccolomini I2S Pio, Rodolfo 40 Pisseleu, Anne de, duchesse d'Étampes 43, II3 Pisseleu, François de II2, u3 Pithiviers château de !'Ardoise 220-222 Platon 13, 28, 182 Plasencia 204

Pline l'Ancien 18, 142 Poitiers, Diane de 37-39, 41, ro8, 123, 152, 153, 159, 165, 166, 178, r88, 216, 219, 220, 290 Ponthieu, Louis 246 Pontign)' abbaye 50, 53 Postma, Herman87 Potié, Philippe 26, 87, 137, 199, 204 Poyet, Guillaume 41 Pozzo di Borgo, Charles 246, 248, 255, 256, 258 Pozzo di Borgo, Charles-André 256, 258 Pozzo di Borgo, Charles-Jérôme 248 Pozzo di Borgo, duchesse Charles-Jérôme 248 Pozzo di Borgo, duchesse Jérôme 248 Pozzo di Borgo, Jérôme 255 Pozzo di Borgo, Suzzone 256 Primatice, Francesco Primaticcio dit 46, 132, 151, 152, 155-161, 163-166, 115 Proust, Antonin z.45 Pythagore 194 ~atremère de ~ncy, Antoine Chrysostome 150, 133, z.41 ~esnel, François ll2-II4, II8 Quijano,Jer6nimo 204, 205 Quinquet, Henry 224 ~intilien 19 Rabelais, François 14, 34, 42 Rabreau, Daniel 235 Ract-Madoux, Pascal 167, r68, 174 Ramus, Pierre de la Ramée dit 13, 191, 194, 196, 197 Rance ISO Raphaël 13, 68, 78, 94 Reider, Martin Joseph von 86 Riafio, Diego de 201 Ribero Rada, Juan 200 Riveron,Jean de 41, 45 Roffet, Étienne 170-172. Roguet, Félix 220 Rojas, Crist6bal de 2II, 212 Romano, Giulio 166 Rome arc de Constantin 74, SI, S5 arc de Titus 72-76, 90, 9I basilique /Emilia 96 baptistere de Constantin, voir Saint-]ean-deLatran basilique de Maxence SS Château Saint-Ange 1S9 Colisée 74, SS Forum 69, 70 forum Boarium 7I mur d'Aurélien 69 palais Colonna IOI, 133 palais de Venise 7I, SS palais Farnese 9, SS, 270, 2S4

331

332

Panthéon I5, 74, 75-73, S2, SS, 92, 96, 233, 230, 2!JS, 2S9 Pont Fabricius 99, Ioo Saint-jean-de-Latran 94, I!J5 Saint-Louis-des-Français IS5 Sainte-Agnes SI, 32 Sainte-Constance (i\fausolée de Constantin) SI-!J6 Sainte-Marie-Majeure I35 Sainte-Trinité-des-Pelerins IS5 San Lorenzo fuori le mura I42 San Pietro in 1Î10ntorio 93 Santa Maria in Aracœli I42 Santa Maria in Trastevere 9, 233 Santa Prassede 92-94, I03 Santa Pudenziana 93, 94 Santi f.2J±attro Coronati Io3 Septizodium 69, 70, 74 temple de la Fortune Virile 33, 90 temple de la Paix, voir basilique de Maxence théâtre de J\farcellus SS-90, 96, 99, 234, 2!J5, 2!J!J ViaSacra 72 Via triumphalis IO Rondel, Guillaume 165 Rondelet,Jean 231 Ronsard, Pierre de ro, 26, 44, 45, 191, 216, 284 Rossellino, Bernardo 128 Rosso Fiorentino, Giovanni Battista di Jacopo dit 26, 28, 151 Rotolano, Vincenzo 9, 7 4, 75 Roubo, André-Jacob 222, 235-237, 239 Rouen 3, 290 Rousseau, Jean-Jacques 236, 238 Roy, Maurice 38, 42, rn Ruiz, Hernin 201, 2IO, 211 Sacré, Jean u3, u7 Sagredo, Diego de 171-173, 201 Sainct-Donyno, Albert de 50 Saint-Bohaire église Saint-Bohaire 224, 225, 227, 223 Saint-Brieuc abbaye 53 Saint-Cloud château 249, 256

Saint-Denis basilique 29S tombeau de François!" S, 9, 45, 90, 29S tombeau de Louis XII 29S Saint-Gaudens I39 Saint- Germain-en-Laye château Neuf I25, I26, I29 château de la Muette u!J, 2I5, 227, 235 Saint-Gelais, Mellin de 45 Saint-Gilles-du- Gard abbaye 295 Saint-Han, René de 112, u7-u9

Saint-Honorat de Lérins abbaye 52, 53 Salomon 13, 181 Saint-Jouan, Arnaud de 224 Saint-Léger château S, !J6, I26 Saint-Leu 237 Saint-Maur-des-Fossés abbaye 39, 40, I36 château 39, 52, 53, IS6, 293 Saint-Pétersbourg 46, IJI, I55, I56 Saint-Quentin 2I6 Saint-Simon, Louis de Rouvroy, duc de 282 Sala, Pierre 99, wo, w6, w8 Sale!, Hugues 1:-0-172 Salviati, Giuseppe 9, 283, 284 Salluste 40 Sambin, Hugues 146 San Dandina, Vincent de 50 Sandrin, Pierre 187 Sangallo, Antonio da (le Jeune) 9, 185 Sangallo, Giuliano da 99 Sanlot, Étienne-René-Agnan 224 Sannazaro,Jacopo 24, 162 San Nicolas, Laurencio de 200 San Simeon (Californie) 249 Sanvito, Bartolomeo 170 Sarrancolin I39, I44-I46, I43 Saussaye, Louis de la 224 Sauvage, Denis 24 Sauvaige, Pierre 39 Sauvai, Henri 57, 260, 268, 272, 273, 279 Sauveterre I4Ô Savot, Louis 125, 222, 279, 280, 284, 289 Scamozzi, Vincenzo 280, 282, 283, 287 Scève, Maurice I03, 162 Schaefer, Otto 175 Secret, Françoise 178 Sénanque abbaye Io3, Io4 Serlio, Sebastiano 9, 13, 24, 79, 81, 82, 88, 94, 132, 167, 171, 188, 208, 232, 264, 272, 280, 282

Séville cathédrale 201, 2ro, 2n Sermisy, Claudin de 186, 187 Siloé, Diego de 201, 207 Simeoni, Gabriele 26 Simon de Touraine 222 Socrate 13, 182 Souffron, Pierre 139, 140, 146, 148 Stanesco, Michel 97 Sublet de Noyers, François 280 Syrinx 161-163 Tacite ro3 Tavannes, Gaspard de Saulx, sieur de

149

Teste,Jean 41 Thésée 157-159 Thiry, Léonard 87, 99, 178 Thoenes, Cristof 96 Thou, Christophe de 196-198 Tiraqueau, André 42, 45 Tir on abbaye 53 Tfroli villa d'Este I32 villa Hadriana IS5 Torija,Juan de 199, 200 Torni,Jacopo 202, 204 Tory, Geoffroy 171 Toul 2I6 Toulouse IO, I62 Tourneur, Francis 140, 144, 147 Tours cloître Saint-Martin 20I musée des Beaux-Arts 222, 223, 228 Tournai I44 Tournes, Jean de 192 Tournon, François, cardinal de 51, 52, 61 Tréguier abbaye 53 Trie-Château I49 Trivulzio, Antonio 43 Troisirieux, Étienne 140 Troquet, Claude n3, n7 Tunis 6S Turin III, I32, I7S [Tbeda El salvador 203, 204, 207 Ursins, Jean Juvénal des 40 Vàlence couvent du Carmel 20I Vallée, Philippe 222, 223, 228 Vàllery château I49 Vandelvira, Alonso de 200-202, 204, 207, 208 , 209, 2!0, 2Il, 213

Vandelvira, Andrés 202-204, 207, 209 Van Heemskerck, Marteen 69 Vasari, Giorgio 235 Vascosan, Michel de 178 Vàtican Belvédere I2S Chapelle Sixtine IS5 Vaubertrand, Georges n3, n7-n9 Vàux-le-Vicomte 40, 256 Vendôme, Louis Joseph Bourbon, duc de Venise Santa Maria dei Miracoli I42, I43 Veranzio, Fausto 231 Verdun 2I6

152, 153

Vernon I44' 2S7 Verneuil I32 Versailles château 40, 245 Vesoul I79 Vespin, Guillaume dit Tabaguet 140 Vignole, Jacopo Barozzi da Vignola dit 9, 95, 96, 167, 28 O, 282, 283 Villers-Cotterêts château I25, I32, 2S7, 296, 297 Villeroy château 256 Vincennes château chapelle 3S, 42, 45, no, I65 Vincent, Albert 246-250, 252, 254, 255 Vinci, Léonard de w5, w6 Vintimille, Jacques de 177 Viola Zanini, Giuseppe 280 Viollet-le-Duc, Eugène 237, 297 Vitruve u-13, P, 24, 25, 28, 41, 85, 93-95, 122, 123, 125, 167,171, 175, 180, 183, 186, 194, 197, 198, 282284, 286 'W'addington, Charles 197 'Xralter, Philippe w6 Willot, Louis u9 'X'êilffiin, Heinrich 98, 99 Wolfènbüttel I77 Wormsley I7S Wright, Craig 189 'X'yssenbach, Rudolph 175-177 YYain 106-108 Yvoy-le-Pré grange de la Débarderie 223 Zastrizly (famille) 177 Zerner, Henri 9, 67, 75 Zeuxis 96 Zorzi, Francesco 82, 181, 182

333

Table des matières

7I

Avant-propos Frédérique Lemerle, Yves Pauwels

Avant-propos: Philibert De l'Orme, architecte vif-argent

11

1

Mireille Huchon

Philibert De l'Orme en architecte rhétoricien 25 I

Luisa Capodieci

Philbert De l'Orme, le compas et Mercure dans le Premier tome de l'architecture 37 I

Loris Petris

Philibert De l'Orme et Jean Du Bellay 49 I

Cédric Michon

J'ay veu vostre lectre du XXVI' du passé et n'y parlez poinct d'argent » : le cardinal Jean Du Bellay et le financement des commandes de Philibert De l'Orme «

55 I

Carmelo Occhipinti

La storia dell'architettura e le guerre di religione nella Francia del Cinquecento 67 I

David Karmon

The Destruction and Renewal of the Via triumphalis, 1533-1536 79

I

Maria Beltramini

Qualche aggiunta aile fonti della cultura architettonica e del linguaggio artistico di Philibert De l'Orme 87 I

Yves Pauwels

Philibert De l'Orme, les antiques et la Contre-Réforme 97

I

Richard Etlin

Philibert De l'Orme : l'architecte-mage de l'hôtel Bullioud 1091

Guy-Michel Leproux

Philibert De l'Orme et l'architecture privée parisienne 1211

Laurent Paya

Les jardins des châteaux de Philibert 137 I

Sophie Mouquin « La nature admirable des pierres sous diverses couleurs et qualitez » : de l'emploi du marbre dans l'architecture de Philibert De l'Orme

151 I

Dominique Cordellier

Primatice et le Maître de la Tenture de Diane (Charles Carmoy ?), auteurs des dessins pour les vitraux profanes du château d'Anet 167 I

Isabelle de Conihout À propos de l'exemplaire du Premier tome de l'architecture offert par De l'Orme

à Catherine de Médicis : reliures de la Renaissance française à décor architectural

1s1

1

Vasco Zara Les oreilles de De l'Orme

1911

Jean-Pierre Manceau La culture mathématique de Philibert De l'Orme

199 I

José Calvo Lôpes Philibert de l'Orme and Spanish Stereotomy

2151

Sylvie Le Clech-Charton Linvention d'une nouvelle technique de charpente par Philibert Delorme, à travers l'édition d'une lettre adressée au connétable de Montmorency

2191

Frédéric Aubanton Les charpentes à la Philibert de l'Orme en région Centre- Val de Loire : état des lieux et perspectives

231

I

Valérie Nègre La contribution des artisans au rétablissement de la charpente de Philibert De l'Orme au xvm' siècle

243

I

Jacques Moulin Le château de La Punta, à Alata

259 I

Guillaume Fonkenell La Grande Galerie : une architecture delormienne ?

279 I

Frédérique Lemerle Le xvn' siècle français et Philibert De l'Orme

2911

Hadhami Ben Jemaa Léon Palustre (1838-1894) et Philibert De l'Orme

301 1 325

I

Bibliographie générale Index