Les Ondes et la vie

Les ondes électromagnétiques et leurs applications thérapeutiques.

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French Pages 56 Year 1951

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Les Ondes et la vie

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Préface

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Le grand mérite de cette réédition du livre de Rodolphe Lavinay Les ondes et la vie est de faire connaître l’action généreuse de cet homme modeste, quasi inconnu aujourd’hui. Je connaissais le nom de Rodolphe Lavinay pour avoir lu une brève information dans un livre de Jean Pagot, Le Caractère philosophique, Le Laboratoire paru en 1986. Il y a trois ans, la découverte de la page Internet sur Lavinay, construite par Denis Bloud (http://dbloud.free.fr/lavinay.htm.), fut le départ de ma quête. Hasard et synchronicité se mêlèrent pour m’aider à retrouver son livre et quelques rares éléments autobiographiques. Comment qualifier le fait de découvrir que je jouais quand j’étais enfant dans la même rue que celle où habitait Rodolphe Lavinay et que je connais encore deux personnes qui habitent de part et d’autre de son ancienne maison? J’aurai pu croiser cet homme, mais à cet âge, on ne s’intéresse pas encore aux vieux originaux solitaires... Rodolphe Lavinay fait partie de ces inventeurs de génie pratiquement oubliés. Notre pays est coutumier de ces hommes libres, qui ont fait des découvertes extraordinaires qui auraient pu modifier profondément notre manière de vivre et de penser. La liste est longue depuis Georges Lakhovsky, Louis Boutard, Stanislas Bignand, Antoine Priore et tant d’autres. Que d’occasions perdues de changer le cours de l’histoire ! Dans ce mémorial des Grands Oubliés, Rodolphe Lavinay a toute sa place. On sait très peu de chose sur Rodolphe Lavinay : ingénieur de formation, il dirigeait une petite entreprise d’électricité à Caen après la dernière guerre, la société ÉMIAN (Electromécanique industrielle et automobile de Normandie).

De graves problèmes de santé l’amenèrent à réfléchir sur l’ origine des maladies et des dysfonctionnements de la cellule humaine. C’est ainsi qu’il écrivit son livre Les ondes et la vie paru à compte d’auteur en 1951. Rodolphe Lavinay y explique l’action des ondes dans tous les domaines, particulièrement sur la cellule humaine et le vivant. Il définit – par plusieurs expériences reproductibles – les caractéristiques des ondes utilisées en radiesthésie, auxquelles il s’était intéressé en 1948 afin de se guérir luimême d’une grave maladie. Dans son ouvrage, il précise que l’eau (http://dbloud.free.fr/eaux.htm.) est « un accumulateur d’ondes qui peut se charger et décharger des ondes que l’on veut bien lui confier ». Un certain nombre de documents introuvables qui montrent les applications de ses recherches ont été reproduits en annexe de cette réédition. En effet, après la parution de son livre en 1951, Rodolphe Lavinay a conçu un premier appareil, le GERB ; appareil qui a été suivi plus tard par le Bioméga. Nous pouvons espérer que ce travail de recherches débouchera prochainement sur la production d’un appareil équivalent. Tout d’abord, un incroyable article paru en 1954 dans le magazine Détective sur les travaux d’irradiation d’aliments par Lavinay. Il faut vraiment relire cet article avec attention. En 1954, trente-quatre ans avant les travaux de Jacques Benveniste sur la « mémoire de l’eau » et la médecine dite « quantique », Rodolphe Lavinay travaillait déjà avec l’information d’un produit ou d’une substance et transmettait cette information dans un but thérapeutique. C’est à partir de ses observations, particulièrement sur les ondes filtrées par l’eau, qu’il concevra le GERB (Générateur électronique de radiations biologiques). Cet appareil sera produit par la société Lemaire & Boucher dans les années 1960. Le principe est simple : une lampe au xénon produit un éclair puissant toutes les quatre secondes dans un volume d’eau qui sert de moteur à l’onde de relaxation ainsi produite (effet Compton (http://fr.wikipedia.org/wiki/Diffusion_Compton.)). Cette onde sert à dynamiser des liquides ou des aliments placés sur l’appareil. L’appareil a également été employé – avec succès – directement sur des personnes souffrant de maladies apparemment incurables.

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Là aussi, la notice d’utilisation d’origine du GERB a été reproduite. En 1973, son collaborateur pour l’étude et la commercialisation du GERB, Martial Guirriec, construit un nouveau modèle : le Biomega, dérivé du GERB d’origine ; cet appareil n’est plus commercialisé. Le document d’explications théoriques du fonctionnement du Biomega est également reproduit. Enfin, en 1975, le docteur Henri Quiquandon témoigne, dans un article paru en mars 1975 dans la revue de la Société médicale de biothérapie, de la nature et des applications médicales de l’énergie hydro biologique. Rodolphe Lavinay a quitté la Normandie dans les années 1965 pour s’établir près de Tours. C’est à Saint-Patrice (Indre-et-Loire) qu’il est décédé en 1974. Sans enfants, son épouse le rejoindra en 1997. L’histoire bégaie une dernière fois. Rodolphe Lavinay, c’est à vous maintenant ! François Ferval-Chanut Secrétaire général de l’Association des amis de la radiesthésie

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LES ONDES T A: 1VIE

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PAR

R. LAVINAV

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. yez remerciés, vous &eux qui, aíntenont dans 1e domaine des Qndes, ,o'aez sevl de guides ..

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AVANT-P{ OPOS Il m'a paru néctssa.ire de pr{facrr ce petit litrre· et de /t; [JlºÚMder en q1u:lques lign(s aux esprits curicux. La plus éltmcntairc mod;stie m 'int(;rdsait de fmpper a la porte d'une sommité ; j'aí done risolu de le /are moi-m&me. Ami lecteur, tu vas frouver rfons les ligurs qui suivent, le moycn d'entr;r da11s l. dOmain' ú.connu (( des Ondes n, domaine que tout etre humain désire inconsci emmcnt ·connaitre et qui représente la genCse m§me de la 1•ie; cette vil>, dont chq11r individii pensant, 1·oudrait soder lo mysttre. MCme la pu.rtic publicitaire, r/duitc au mínima, oit t'intéresser. Tout ;c qui est inventfon satisfait .'esprit et devient par li-m§mc une source de joe. Les follles qui s.ivent imnanquablemcnt toutes les cxpositions :n sont 1me preuve indfniable. Dans ,·e court vol111it6, cxlrait d'un livrc en prépa­ ratian : (( Sans les On, je serai obligé, souvent, d'élre concis, de condcnser, nais, nalgré cela, faime a pe1¡scr que tu y trouveras une source d'-intéret et de profit et peut-étre lui devrudu. de 011ser1'er to·» Etenelle Jcunese.

L'AGTEUR.

(Droits de fmduction, reproduction el ,1daptation réservés pour tv11s pays). Ct1pyright 1951, by R. LAVINAY.

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INTRODUCTION

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b:s ondc. nots rempls d 'nconnu, mots q_uí our:nt dans o.ts l:s boueh:, me ell-m:m8 paeoureut l '6ther y afaant ,:uvre e ie on eune de mort.. Ce ivre ayant pQur objet la ví', ee out done les ndts de. vie qui noua intércssent, :t sa.s t'der, nous .lous en parler. Qui 11 'a eutendu p:rler de ruagn-étisme, dl' chiro­ practie, de adiesthésie, mots hier prsque ioeannu, et ma.ntenant sur tou�s lcJ revres. Dans maint> p'i; :uteuti oontre les uérisseurs, íls out été ortés en vedette et teuu la m1mchette Je; jounau; a gl tinge. Que sont-itJ en faitt Di•s &}'IOll''Tul'S du mot on;1es.

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P_MIE_E PA_TJE L'Atíon Générale des Ondes

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ONDES

Les onds e présentent avcc deux origi11.-., bien diférentes : les unes sont naturelles et les autres artii. ciclles. Dans l's ondes naturelles, on distingue dcx lsses : 1°) Cclk. que radient lt:s et.rt's vivants, lmruaíns. animaux et aussi végétaux . Nous !es appellerous andes humaines. 2ª) Ccllel qui baigucnt notre atmosphere, Vtmant aussi bien des cspacPS intcrsidéraux (le soleil en est pour nous le principal pourvoyPur) qu \!mises par notn: sup­ port la terre. Nous les appe]lProns : omles atmosphé­ riques. Les andes, ' my:�f're d�, ;a ,orn,titn· tiou, un :oyau forwé de protons e1 de ueutrons autour du,pJt'I b'1'RVitnJ! un,: :m plmiknrs ¡wti.te, plau!tes appe� les P1Pctrrm1;, 1)0win, l hmr tour, tBs dernies ver:rnnt Iem"J ser,r'.s -arrad1és ; jm,qu 'oU allez--vons dire ? Mais tout simp/rm1:-11t jusi¡u'i la foree lini.'li.t p'tite par la dimension ; mais infü1)1f'Ut grand"' par la puiance dont elfo dfapie ,t qun j 'iü bapti>i·ii ,, ENERGIJ ». L-'énergíe se préaente . nos yeux S)US (foS formes ruultiph.•g_ Cel'.e ,¡ui a un r'su.at visi�k tout en t·tant ínstantan', c'est la forme que prend t'énergie d'un báton qui frappe I'ew,1, Pr,,w,z nn bl!ou. fr1ppez 1 'cau ealnie J. '1me n. l'\n,rgie t1u'avait vc,tr: l,itton va protlníre un mouv­ ment, mouvem.eut qui v. s '6tabltr, par la nai&sance au point d1� eh:w, Je p'ttes vag11ts t'tmcentrit¡us qui vont s'écarter Ju point, de d&-art Au fur et ! mem1re de leur gargc;u.,nL ei:s v,gues von. p'cr-dre de !eur lmpol'tanec, pour s 'atténuer et ariv,,r i tlísparaítn. Cs p�tití'l v¡gue, qui l .J.lt 11ro-ag(.e, t 11 suríace de l'enu, et qui avaient la orme d'un, Ollulatíon, tpré­ sentn.ent l'énergie qu'ava.t votre biton, ¡uand il st entré en contact avec la surface da liqiide. Ces onds sont une , pnt -x;,mpls\ ; le fait du choc d ·un ma1t1m1 Mir une p.qu� n:éta:lique. L 'oudc aurait p1•\q utte autre foti', ;wo1 .erfon. eut�s tl\n,: k tlomai­ n: de� u�tra,sous. Cei pour montn·r que l 'l·Hprésen­ ter par la lettre :... par analogic avec la lettre qui ter­ mine l 'alphabet. ki j'ouvre une parentldise drstinée aux eonpeurs de chcvcux en quatre qui1 certainemcnt, vont insinuer que le zéro n 'existe pas. .n efct, cee1 est cxact ; il est tou­ jours pos,iblc dt• placc-r le rhifrc un, apres une quantité, fusse-t-elle incommensurable, de zfros. \fais pour nous, simples humains, i1 arrive un certain moment ol ce chifre qm n 'est pas le zéro absolu des mathématiques, signiie cependant le néant. Examinons cette échellc, nous voyons dans la par­ tie supérieure une ganme d 'ondes, assez étendue, appc� lées grandes ondes, utilisé>s principalcment en télégra­ phie sans il sous formes d 'onds amorties. Puis, cnsuite, les petites ondes bien eonnues des amateus de T.S.F.

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pour les p!aisits qu '>l le. le-u pi·ocur1\nL A partir de 1;00 mltrl'l. les onds, si elles con servcnt lenr df('t radio, pénetrent dans un nouveau domaine : la médccinc. C 'est le domainc de la Diathermie. Con tinuant la deseente de Jongueur, l 'ondc, toujours tributctire du dom:1ine de \a T.8.F., t.rouve des app\ itatiom; (}ans le domaiI(; calori­ ñque. Ce pouvoir est utilisé tant ccn méde'ine que dans !'industrie. Enfin, quittons le domaine de la T.S.I permettre d 'en cPder a leurs semblablcs. C 'est 1ft oú ils font euvre (\e magurtiseurs on. si vous préférez, dP guér1s1:u;. La port(·t' dr.� on,l \"8,'.Ie,; sont tirés rln

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domaine lle l'empirisme, alors que l'on a ixé d'une fa;on exacte les longneurs des andes produite.l arti­ ñciell-nwnt, aucun appar('ll vraitttt'llt �érieu:. rep,is�nt sur des basler lt 1( 'HIRdiaire des nerfs. On les a mémc baptisés q11i> l a c•ellule ou l '!·Uspmblp dPs eellnlt·s ,•n Íl'lL sont -loignl•ps 1 fo leur état normal \'ous ,n·o u,¡ \ U 11velop¡,e m11t'•ri�[!P et d'un1• (•nergie vitalP. Lit pr,·mi're r'tournant au néant. 1 'énergie qui l 'animait reste toujours présente malgré soo

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invisibilité a DS yeux de mortels et il n 'est done point impossihle d"ent.rer rn relation avee ret au-del. et re 1¡ui le compose. Si cctte supposition est exacte, Je rayonnement de cette énergic doit Gtre décelable au pendule, compte tenu d 'une possibilité de communication mentale entre l 'expé­ rimentateur et l '(.nergic mentalc du disparu. Ayant ainsi exposé les donn?es du probleme, j 'ai �·sayé d 'en apporter la solution . .Ayant perUu, voiei noirn; d 'un ;rn, un Ctre qui ét.ait tout pour moi, me bsant sur l 'cxpos� ci-dessus, jL• résolus d'cntrer en communication av;e lui, par ques­ tions posécs et pensées. ,Je possede un bureau avec une plaque de vcrre, la réaction pendulaire y est neutrc, une feuille de papier blanc posée sur ce burcau ne modifie cn rien le mouve­ ment du peudule qui reste toujours oseillant. Vofoi comment j 'ai procédé pour r�aliser J 'expé­ rif,ncc. Ayan. dans la main gaurlw la photo de l 'Ptre disparu, je pense fortement une question que je lui pose mcntalcment en méme temps que je 1 "t:cris sur la feuille de papier blanc. Pressant ensuite la photo entre le pouce et l'index de la uain gauche, a l'empla(·encnt du front de la personne dilparue, tout en restant en relation men­ tale avec elle, je tiens le pendule au-des'!US de la ques­ tion posée et .i 'ai eon;taté avec étonnem01it qu 'A ccrtaines 'llll'stions le pendule était animé d 'ui.' rotation positive. syrionyme de h'11éfiqne, favorable. afirnafive, et qul', pour d'autres, ceté rotation était m;gatÍVt', cette rotation étant synonyme ck néfaste, mauvaise . :·t de non, et pour d 'autre; encorc le pendule restait neltre. Pensant que 1 'encre du Rtylo pouvait inluencer le pcndule, j 'ai écrit la question avce une pointe métalli­ quc, ne Jaissant aueune trace autr-, qu 'une rayure sur l. papier ; aucune modiication n 'a Hé apportée dam; lc nouvcment pendul:üre. J'ai pens(• a un phénomen e d'auto·suggestion, r¡uoi11ue les quesfions posées n 'aient pas h1i$Sé place it cettc derniere. L'une d'cllcs avait trait '1 une chos(i qui, je supposc, doit e réaliser dans un emps a venir. Les

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anuécs f11r�nt �omni.,r•s i l '>xpPri.. nc,· lll t' 1111e dn r*'" d ,• -,q1t. ,¡ ¡; " · Troí, ;muóe, donnCreut nn" n,t1IJOll béndiq1w. lroi.� ,• 1i tres tme r(1f ;1t ion m',fask et, urw ;1n 1iéP. nne OSi'Íllutimi { 'ne autr,• q11r., tiou eom¡ist11 it :, ;avoir si une pe1·­ inJ 1 ne dispc.rw· ll,•puis ¡,Ju ·, de L) ans, r tait tonjour� ri n1,nte. PnHlnnt longtPrnps, la famille (lp cctte personne· la savait en vi,·. l't (• '¡,:\ aver la r,pt·t it11(le (!U'elle était vivantc q11:i .i ·a¡ t,•ntP l '(•xpéd,•1w(•. L,• ¡-,>snlfat d,• '(•t N1sai inüi,1u« lt> ,1{,,,>�. - L,1 (•onlil'nu tion m ·,.,, ful donn/1(' a¡,ri·� J 'e; p(·ri ,·1wr,. (,ttr ,h•rni :·r._, implir¡u,• Llnn" ! 'inpossihili t,; ;\ lJ�olU\� d '1nto-s11gg·1·�tio1 1 , 1am; k fo!Jel i;-,1 ,_ r•lll" drmr r¡ui r{•agit i1 1111e réceptin:1 011ch1lat o.i rc. f''tt:, t•{•adi 1u qni H' rou1rm•· ¡,a r trni� muun•m,·ut, , �irati011 dr,JÍt·'. git·tttion gan(·l\,·. osc·il1ati,n�. e-.! irnl'·p,-ndante du 1 1 1 l' l l t a I d,. l 'rxpérinrn .ateur ; elll' w· r{danH' (Ju 'un,• é1 r,io.t . 'ocillution de cdt; pt:tit: me mJ:&Hique ,1ne lUSJ':tl'lent i- nn fil, entre le, dolgts, �s rUtlia.1thécist:> n 'aur1de11t-eaeA pm• mM oi{ine lo:ique. et p;tr .-m,\,1,� wJ ,nti'i:¡uem,nt ,lémontr1h]c, e� 1.,� mou­ \'ctuents r'aJi.i>s, ,1tl1tni1 fl l'1 lois ahs11:us. Si !'ed e-lt prouvé, le moteur ti -ondes s0rai: un+• r&a:tté. ,k vol ; déjí la !evú: de huneliera q.l vont e dre8e1· . eette álntJnndufaire 1-,. J'étouucai: encoN bien davantng,; l t"l disdp)'.l du pendu!e en disant Q','il !St po,,íble dt' 1' faite girer saus que le i! d1,msptnsin e0it u; eomaet avee les doigtl. COX.TATATlONS J'ai. de pt'(we abor,1, esa,t.ité ot e-a:·é de com· prendre le jourquol :1\ rnouwment p,mdulairn cl, a111:e1 rélexio:,. estimr, ¡fo. ce :11Quvctu,'nt n 'étnit pag un phé­ norntw:, 11 n 'y a p«s J,, ¡,hh1Dm&ne ; tOt ou tard, tout ¡\,xpli _uc, -1' ph&non1Cn• du pcmlule colillte ls a.ures. J'avai� reroar'-lu', par queh-.nfs expfri.nces e'c:tués aVm..ut remarqu4 que !es p1·'mi,•r. étAi»nt priudpa­ lement des ge!:i pleirnl de vie, de.! costaud.s puur mieux ,lire. Cctte pn:n�let'ü constatation me p,iruettnit, �1s cointe d 'err,·'.l!', d; 1·oj1•dion d,· (·(' fois('t'illl J \mHE\lll·�HE l g . s.� > ;sV ' ,: , ;;-,.- ),; 1.: ��e' ,,' ". !S � .. ' .. ��� � o' " �' . 5,:�11 :Jj,]��; ; ·r;� . ��� 1-.1 it:: .:(11 : �d = �� �. :: :- / �: .�_jl -.:��;..:

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u;s 0"l)F,R �T L:\ V[ ,:,-airl' dt> t.nÍt h• ti\ du 1.w1Jt\nl,• ur� 011dt•s ven; Je pPiHhlll'. (·r del'nir; 11ecu�e une rotation anp!iíit" p111· rappoi·t U 1•t>lle qw· .i'oh1irn.� ..11 teiwut. l,· pcm!nl1• d 'unP fa1t.. Lrls oi,des .�out indhi¡wusah]p; ú la rot11tio11. un,, nntt•,, ,•xp(·rÍPnre l,· ('orifirnwrn !out ! l 'h1'Hl'1' L>EL'XfK\L force Mt en jN1 d eette orc.-, ,tue uous aualy'rois tout l'heur', í'$t uno eharge é�e:trotatique il1, hl u.� pendulaire, chargf. qui s'efcctue pat' le l de suspensfon o.u par le carter de 1 'expl·­ rií'nce toute fraude. neme Ur,ro!ontni rv, Pou.qum c,-tte fürn" inconnu: "it'-e.lr une tharge ':eetrostatique t P.,.;e qu¿ l ';spfri,,ne•: que je °iem, Ue dter dfrr:o2tr� ceci. Le pcndule immobile entre en r()tation dC:s qu- t 'ou touche la rondea,i de curtou, on . vu que l 'expéri'ute est faite en �vitaut t0ut' fraud' ; d. 'autre part, le licu pendtfo opérateur est u n il de laí ne, done un isoltmt en tant qu' condut'teur, mn1s pas au point de vut charge, l 'expBrien0: du b:Hon de cire ou d 'fbouik frotté sur m; moreeau de Jainc en tait foi.

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Cvtte chul¿- ékctrost.atique S' oonirme oneore pae ce ;pí suit. $i YJUJ pronez deux: ma;,:es, une petite et uno g>, et qU, vous imyez de les d)argPr en mtnv• emps, l. e se ehargera au d:ttiment de la pctite qui ne reeevrs. ricn. Dans notre his!oire de pendule. voilñ ponrquoi fo dPnier doit 'tre ri•lié la maehine qtil va produir� rt•ttJ clrn>ge, en 1 'oeeur,ince le, radi�sth�sh:te et l 'absolue néNcjté que les doigt- 1w solent u:rur¡uem:ut. en eontact qn ',vee l 'cnemhle pt1 tadu ira par nne gira.tion Ue cet apparoil. Thforiqueicnt, pour l 'o;cillation v;foi ce t}UÍ se

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48 pass(· La ma.�"'' rwn ovh·� r'alV:n:ot 1a guPriwn, }.Tal¡ :1Pfa», :¡ni l!N"i'Jllt.rri>s. Je long des coteaux touchant e's rivier';. .n 'ffl't, le sous-sol n'est-il pas impr�gué d 'r·!11 .lrnrn ,TS 'ndroits. )Iais eette seulr eauc ne :mffit JM�. TJ ffnt ,·n•!Ol'I' qHe ce sol imprl•gné d 'ea11 soit soumis ;l ecrtains co1tra11b;, t1Jn1111,• dif vr>e,\l,·n ment. Quand. 011 p;1rJ,, de maison á rn,,nt ii ses aut.res SCPun. mais c'est le li,.11 sm· k,¡ud ,lle est édifü'e qui hii ('Om­ rnunique r' pouvoi1· malfaisant. En ronclwrion, un ue saurait trop reeommander i, ,·rnx qui d('sirent eor1Mruire une hahitation. de fairr vfrifirr le trrrain par un raliasthésisb•. Pour remédi!'r. dans ce domaiiw, aux. oudrs nocives, nu ,('ran représenti'• par une feuilll' t.le plomh, piar{: sous ],-, nH' de la. trléphonie sans fil, elle permit égal2ment ele fnirr desrendre les longueurs d 'ondes nts sur ] 'onde précédente. Les ondes r¡ni, dans la radio. l'h:trm,•11t nos oreiH,,,,. ,"empar�rent d'un terrain nouveau TIOUr dl's, la méd,,­ cine. Et \ 'Qn vient de découvrir que \,•; ond,,; C'onrt"� activent le développement des cellnk, VÍ\"antr•s, (\ domaine chiruique, tel qM : ,•ícilll/ssement de-& vinJ, muturation des frri:nage,, cte" .. .h.(lUe j{rur qui passe amenant de nouveHes appHeatiots dans l 'utilísation de; ond._

QU'EST-CE QUE A CEINTURE MAGNÉTO-ADIANTE ? SES APPORTS AVEC LES ONDES ...

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Commo S0/1 non l'lndique, e 'est um: ceintUl\l, mais d- eoueepthm partieulicr\l ; c'cst, tn quelqu& sorte, u1e aut>nne con;ue s,&eialement pour 'm:ftre imtuul' de 1 'individu un rayo1etJ:nt dont On !lrcuit m:rveux ier. 1mpl'1tumt proit.

Les rapport: dr la ednturc magu�to radiante avec lI v.d,s s0ut lui·ei .pr,artiennent l',g lmmahrn, Cl qui, je pest. intéres:e la majot·ité des lerteurs,

&� différe:nt. eiTuts sur l'íudivídu, je n'en canera( polnt, puistju 'ih; conrréiisen! tont 'l' qui a ét4 d�t s:ir les or.des dars eeth: étude. Le résultat prineipolemN.t eherehé et :ts qui les uctt'nt. L>ur n:olnlre r-ix1anee fait que les microbes imron1 tJeau jNt pour s'¿mparer d: lcur organisitt> Au:uu,, contr.'-attaqn• i eraiu\lre pour ce, ininiments p;tils, fours rtvages s:ront rapides 't i 'ind.�·l(h1 mi; hora de -ombat das un teos tes eourt. On appellera bien le

66 médecin, mai$ que ponrra-t-il faire en présenc:c d 'un organisme c:omplet, tout prGt au suicide; il tcntcra l'im­ pos;;iblt', mais s'il l'eu tire. ce ne sera pas sans que k p.tient n 'y ait Jaissé malgricn exa!'f1'. L "'m·rgi11 vitale ¡¡ui parr,011rait lr� neris, n 'est plus, il ne l'!'�te que ls nerfs, C 'est alors qu 'il faudra recharger voü·e ac·cumnla­ teur Pl Pnergie vitale et proiter de vofrc sommeil pour l 'effectuer . Le sommeil c;t lui-mCme un rénovatpur, mais il ne sufit qu11 puar combler lc! ch.oses normales. L'hom­ me n 'a pus �ti l'lm�u pour cd,tt: vic tr�·pidante et artifi­ eidl,., il lui faut doiw n•rourir a Hll artifü·t' pour lni p1,rmettre d ·�tre au l'l:veil n 1est-el:.e pas l'apanage d'uno parfaite nté ? Un autre ;lté de son utiliatiun dans Je domane aníml. e'est son gi·.nd intér�t tmie s 'ndreMe prti­ eu!ier-!Tlent aut m€J,,dus. Je ¡wmw tii.a qu 'nn jour ou t 'autre quelques-nn, d''llltc 1-11. daigneront jetcr un rcgard sur ce livr({, Ce mot �ne v Eu.H.A >, J;;; jour ol YOus avez d'('íd3 d 'Btrc m(�deein et : .iour ,mcoe plus mémorálllr ol, nant'i Je diplJme,, vous :w,•z pu aj,:mtn A votre nom l- n0m magique le médecin, v1 n, aH·Z pr.is sur vos {,p,rnl.s nne r(�SflOUWhilité terri· hltment lourde. Ce ruot., pour la maC d.s 111afod's qui heurt,ront ,;an.� uxrét a votrc portr, fst aynmi;,:,Jie de t, Rr;,rouR . LA SA,.'{ ,i 't, m.alheur t rous, si l'' qu 'íls vlennent 1•liereher, vou> ne le �t·1n• doi:wz pn;. Et. pourtant, sou­ n,nt, ma!g:ré toute vtfr' Jdenc�, :out votrp UPvoueuenL H n.ríwra que vous \rrtz niis tU ¿;faut I.a. ma]adie �era piui Drte. \fathrur . von,, !,, na1an prépar# H la "(·t;t\•Ol\ ,._'v1 li' cas de beaucou­ de malndirs iníanv1,·s, : 'est le t·as U 'une pneumoníe, ,l'tUHl pmr#sie, J'ntv' v(llge,tion, efe.. En un mot, c'lt llM maladle dan> la-qudl> k sujet est un peu !e fautíf. Pour ee eas, le ¡n,:decin a le heau rOle. S'it e&t oompé­ trnt, si son dian!tic t·st s!lr, la pharmMopée a M dispition lui aura permís d� 'emlre sn ma!ade trs vite a 1. lté.

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lfais il n 'en est pas de mePie dans la ieconde prP­ s0ntltion, que j 'appellerai mafad i,: a . suit•id,· Je vais n,1 pcrmetlre de citer une imag", imrw,· 'JLLÍ frra wieux comprendre la suite de ce ,hapitn>. ;uppo.ons un inn•o. et le résultat physiquc se traduira par ce que l 'on ap­ pelle : Chaleur. Les différentcs ondes utiliséei par la médccine Diathcmie, lTltra-Violet, Infra-Rouge, produisent ce résultat physiquc, une accélération des électrons des atomes c:on stituant notre corps, et. ce résultat elt f'ertai­ nement aet:ompagné d'autre1 phénomlnes chiiqui:s Pt. physiqucs, clont ] 'importrrn:c et le genre sont fonction d" la vitess- de ces électrons, ou, pour employer te lan-age commun, de la chaleur, et pour employer eclui Ue-� physiciens, d(' l 'intensité des radiations. L 'avantage de ces andes di verses, e 'est la propriété .u 'olles pos'dent de pouvoir pfoétrer en profondeur, et de ce fait influencer les cellnles profondes. Le ler:teur pourra poser la qu,:tion : Quels sont k� pb'nomem•s ehimiqucs ou .utres 7 Comme ce livre a pour but d'expliqucr, ou tout au moins dl· ten-er l ''xplicntion de choses, considérées un peu commc des phénomenes, je dirai qu 'au poin. de vue chimique, la question n 'est pai de mon lomaine, peut-ére une électrolse favorise-t-ellr

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LES ONDES ET LA MÉDECINE EN GENERAL En parlant dt� owles néfaste; dans un chapítre pré­ cédcnt. j 'ai ahor(lé un probleme quelquP JHm 1ca breux En effet, l-s méfaits de ces ondes, de ménw que les bienfaits dPs Oll(lei bénffiques, sont niés par une majo­ rité. La nég11tion dP 'PS méfaits provient de ce qu 'A ce jour la rPa litt· lp cPS andes n 'a ét, yfrifiú que par l,: pendule et ponr lwancoup le pendull' est. 'OlJSidéré eomrw un atrra¡1e nü;aud, Uonc rien d 'aonnaut a ce que l,•s ondes déc,,[;el par ce. appardl soit"nt (:galemcnt du do­ maine du r�ve. L 'explieation sei- ntifique du fonc.ionne­ ment du ¡wndulc renversera pum· ., 1pol'ttl' 11'.1 corps soumis a son aetion. du la clrnleur, e11alt·ur qm s'étend en profondeur, sans courir l•l risque d 'élcetro" cu.ion. On utilise encore lo pouvoir ,:alorifiquc (\r re� on.Ps dans dei appareils dont la produetion .'ondes s'tffectm· sur des longueurs de 10 a 30 mltres mais, au pouvoir calorifique, s'ajoutent certains pouvoirs, q ui aml'11ent um amélioration de. organcs traités et ,'mmi; au. raJi.ition�. Je ferai remarquer que l 'on atteint la plage de l 'onde humaine, mais que l 'effet produit est. a la fois, trup violent et de trop faible durée. On utili.e 'galemnt des ondes de l'ordre d'un mltre, mais leurs avantages llC s'av'rent gulre intéres­ sants. Elles paraisent empiéter sur le domaine de l 'infra rouge, confirmatiou de I 'interpénétration des effets. Les ondcs atteign:rnt l e domaine de la luniere son! encore utilisées en médecine. Ce sont les deux extremes de la gamme lumineuie qui sont utilisés, d 'abord l 'onde infra-rouge et a l 'autre bord l 'ultra-viulet. Dans la pre­ miere on recherrhe son pouvoir .'écbauffement, dans la seconde, c'est le r:mplacement de la lumiCre solaire qur l'on vise. Puis c'est l 'utilisation ds rayons X ... avee des gammes d 'andes assez éteudues, qui vont d e l 'observation du corps humain, sur un écran, a des traitemcnts par des rayons qui approchent les rayons gamma du radium. Puis la médecine termine avec le plus dangereux, le radium, qui demande pour son utilsation de profondes

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eonnaissa1wes ; il détruit avec autant de violencc qu 'il guérit. A ; avant neme qu1: les honunes eussent 1 'idé> de ee que pourrait etre une onde, lcur apporta la guérison. C 'est parco qu 'elle fnt la premie re dont l 'lm­ mani,' sn ;¡,rvit gráce a n x guérisst'urs, que jf' l 'ai d f·�i­ ,;nl•e ptr la lettrr A.

L ES O N DES ET LA M EDECINE DES SIM rLES Tout le monde a eu plus ou noins l 'occm,ion de falrt' appel l ce genre de médedne. C 'est l 'utilisation pour La gnfrison des waux dont �ouffre L 'h Limaiüté, lle ee r¡w' nous dispense ]a naturP Jans Je ,lomaine végétal. L:i pharmaeopfr, elle-m&me, y puise en majorité la hase d(· ·ses ruédicaments. Qui n 'a pas daus sa vie, pris de la tisa11c des quat t'P fü:urs ! 1 (�ui i�uore que pour tel !Cm'' de douléur, ponr té1S m.n x il fau. pn·ndn• tdle infu:ion ou faire nn' ilf1plieation de tel composé d'r « la sort•ellerie "· Xous y eonstater plantes seront rlToitées par le soreil,r, A tell' ,por¡ue pt a telic h,ure du jonr ou de la nuit. Hors de ces deux ohllgntions, ],s Pfets (lP la plante guérisseusc sont n'utralis�s. Rst-CP t di1·e (¡u 't q.1.ques t1eu rn; d 'in­ t (•rvH lh, elle a restitu(: 1 la terre ]ps produits hénrfiqut-> qn 'elle eontenaít ? Pas do tout. A certaines époques. les �impk� out constaté les hienfaits de certaiu"> pla.t,,s, biunfaits qui ''>>aient quand C'S ép{Jues Oll '"" hn r>s étaient passée,9. :�s remarques effeetuées sur des tem¡,s

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trs longs, ils en ignoraient la causl', pour nous celL st bi ('O différcnt. CeH plantes out la propriété fl' laisser apr's gufri.;on aucune cieatri.P. Contrairement a ce qui se passe pour le guérisseur cvmmun, ceux-ci ne possedent que le pouvoir de guérir les bríHures et uni­ quement (·omportc ce Jivre et. cei, 118ns l 'iutértt da JeGtcur. Jt· pensi: ,¡u 'il ne n 'en ticndra pas grief. II e�t regrPttabk que eette brochure n 'ait pas eu la diffusion qu 'elle mhitait. A l 'lwure oU les hommes fon. des efforts déscspér\•s pour drcsser une barriere t ce monstre hideux qu 'e�t le C'ancer, Gporges Lakiovsky apportait un matérian d ·¡mportance i la Jlts. Je vais cu expliquer ei-1 k.�sou; le prorf·ssus L>s aliments sont eomposés d(' d:ux watieres bie11 différentes, une solit de l \:.u, 11pport e a la eelluh· vi rnnte 1 'élénwnt qui la ('•mstitue en najorité. Citons mi cxenplc qui nom; eonfi'me eette dernien· as,,ertion. Si wms déeonposions Je corps de l 'homwe uous "( 'l'rions t¡ue J.:s élí•ments minéraux cu1islitutif;; ;ont tr�" peu 11omhreux et que lenr poids est tr's faihle. Pal' ('Ol!tre, l 'cau rutre pour la maj("Ul'e pa rtir (\;ms sa ("ons­ titution et c 'e:lt eette eau r¡ui aJlpOrt' la vie. En d'l'et, d 'oU provieut cette ean ? Avant d 'etn· pui;ée tlaHs le sol par la plante et Ptre par eetf1> inter· m;diaire assimilée par l 'homme, soit directemeut, ahsorp­ tion des v$gHaux, ou indir.ctement, absorption de viandr.

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dl(' a longuement ,'volué dans 1 'atmo,phfre a l 'état de nLpeur ou de nuages >t, e 'pst Uans ed .:tat qu 'elle s 'est drnrg�•r des omles liienfaitrices. Hetou nant au sol, ell' portt'ra cctte ém·rgie dan; tuus J,.s (:Ol'}JS vivants dont ,-l]p sera la prin ripal1! 7,artie com;tihltiv1·. C 'rst ,1 Cl' point que se situc mH' ,·xpérience persuJJ. 1 oelle, dont les résultat; démontrent bien cett p chargr .', nergétiqm•. ,J 'ai lit dans cf' l.vre, et la C \l. .. est 111w appl1tation.' que 1 ·ran úait un aceumulateur ti 'ondes. et com1m· td, ponYalt se 1•ln1·(e1· ,·t se d�dmrger des ·onrk. q111· l 'on voulait bit•n luí tOlJfÍ('r, Fort 1k (•...tte possibilité que po3,edr l 'cau, il n \ avait qu 'un pas a franchir pour pensr!r que les andes eosmiqucs qui bombardent la terre. avaient dú, elles aussi, suhir eet accaparcment, quand L 'eau se trouvait U 1 'état de nuages dans les haut"s altitudes, done, daris une situation tont 11 fait propicP 11ux bombardem,·uts C'usmiques. Si hlOn hypot h'>' ?rait exat•to> . on iil·v,1it trouvt'r 1·,¡. t(' f'il'rgic ll l '1> tat lakiit, dans tout,, e;n .�e trouvant i la ,mrface ou inelmw 1lans le sol, puisquc ayant la m'mp sourc' : les nuages et ce qui en découle, la pluiP. DPsirant avoir Ullc ccrtitudc que L, sol n 'était pour ri L '¡·au de plniP. 11 'aylnt t'll 11w•111i rmlt,1d a\·ec le -ol . L'expfrü·m·l' d'1nontra quP nH's .�uppositions Haienl .-xactf's et il en d?roula eeci : .1 ° J 'nrn d 'abord. 1m1i foisf:ncore, la confirmation que lP mouvemc¡¡t d u motcur a onde;, vulgairemcnt appdé le mouvrmr-nt pcndulairc. n 'avait ricn a voir ;1 1'� • IP cel'Vt'al.1 P(. q 1 1 'il était biru tri hutairc des ondes. 2° Que j ·,,riu pr e

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de l'eau a superaetivation, eette superactivation étant produite artifieiellement ; des brevets récents eouvrrnt cette découverte. L'objet sera de remplacer la quantilé par la quali. En efet, si une masse d'eau donné1, doit pouvoi1· fournir une énergie donnée, cette masse d 'eau se rédui­ sant, l 'énergie qu 'elle pourra eéder sera réduite d 'autant - mais, par contr(i, si, en supposant la réduction d 'eau efectuéc de moitié, on ced(• :l (�ette eau une énergi P double, l 'énergie libérablc sera toujours identique. Le probleme sera done de fournir a l 'organllmw une eau énergitique dont le coeicient d'énergie sera invesement poportionnel a la quantité d 'eau prés ent1• dans la cellule. Cette eau énergitique ;era administrée 't l ''tJ,p humain soit par voie bucale ou, dc préférencc� pour un(' action direete, par piqúre intra-veineuse ou int1-mus­ culaire. Il restera le courant d 'excit;.tion, qui lui également diminuc au prorata du vieillissement, a mainfonir dans son intensité originclle et m'me, si possible, a augmenter. La encore, ls théories exposées dans ce livre nous e11 donnen. une solution des plus simples. - L'induction d·u faisceau nervcux. - La ccinture 0Iagnéto Radiant(· en est une solution élégante parmi beaucoup d 'autres. Serait-ee alors la vie a perpétuité ? Non,· mais j ( · pense, une prolongation possible de l 'état de jeunesse. Cette théorie sur la cel\ule humaine est valable pour· touts les collules vivantcs et particulieremcnt sur hl cellule végétale. Si, sur la premiere, des essais n 'ont pa.� encore été efectués, il n 'en est pas de m&ne sur la eel­ lule végétale et les essais concluants sur cette derni?r,· apportant la confirmation de cette théorie, permettent de grands spoirs dans son application a tontl's les cellules vivantes. ,Te citerai, a titre documentaire, r¡uelques résultat; ·que l 'eau énergitique a réalisés dans le donairrn végétal. Des fleurs coupées voient leur vie prolongée d 'au moins trois fois le temps1·.10rmal. De: r;.tes, sur le point de

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mourir, sont littéralement ressuscitées. Des semis Ievent dans dPs temps records et les plantes issues do ces semis se dévcloppent aveo rapidité, etc ... Et les expérienees se poursuivent et se poursuivront.

LA LONGUEUR D'ONDE HUMAINE Ce livrc a serví de upport, e'est le mot qui convient, a une découverte dont l 'importance paraít i,calculabl!l et je pense que ce mot n'est point exagéré. La libération de l 'énergie statique eontenue dans I 'eau et dont j 'ai parlé dns un ehapitre précédent, est ccrtainennnt la libération d'une énergie cosmique dont l 'eau s 'est chargée quand, dans son étenel mouvement, elle se trouvait a l 'état nuagex. D!s que par l 'artiice .de l'excitation j'ai amorcé la Jibération de cette énergie, celle-ci s'est avérée constante dans sa libération. II parait se produre au sein du liquide un phénomene identique au freinage que produit l 'cau lourde dans la désintégration en chaine de l'atome d 'uranium. Le freinage est sans doute la cause que l 'énerie totale ar·currmlée met environ deux mois a se libéror. Actucllemt!Ilt j 'ai en observation de ,J 'eau dont le rayonm'ment s'efectuc dcpuis un mois, c'est cette énergin rayonnante ,¡ui m 'a servi a toutes mes expé­ riPnces ; par eontre, de l 'eau exeitée voici 3 mois a eom­ pletement terminé son énission et aucun essai n 'a pu permettre In moindre rayonnement. �n eonelusion, eette eau f'St morte. On €St done obligé de peser qu 'une masse d'eau donnée a aceumulé cette énergie quand a l'état de vapeur elle se trouvait dans l'atmosphere. Cette ea.u morte peut revivre en la bombardant avee l'onde de vie. Dt's expériences dans le domaine physique, cbimi­ que, biologique seront súroment tres intéresan;s a efeetuer avee cette eau sans vie. L'énergiii que lib>re cette eau est une onde entre­ tenue dont la longuf'ur, mesureé par un proeédé bien connu des spécialistes en ondes ultra-courtes (Lo procédé du il de Leicher) acense 22 centimetres. Cette énergie

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tirée d 'n simple verre d 'eau me permet de fair' Je la télégraphie s:rns il sur d>s distances d'nn ordrP assez giaud. Des esis limit,,s par Ul manque de pla