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Italian Pages 226/264 [264] Year 2014
STUDI SULLA COMUNICAZIONE POLITICA Collana diretta da Angela De Benedictis, Gustavo Corni, Brigitte Mazohl, Daniela Rando, Luise Schorn-Schütte
Dottorato Internazionale Comunicazione politica dall’Antichità al XX secolo Costituito da: Johann-Wolfgang-Goethe-Universität Frankfurt am Main Alma Mater Studiorum Università degli Studi di Bologna Leopold-Franzens-Universität Innsbruck Università degli Studi di Pavia Università degli Studi di Trento
ST UD I S U L L A C O M U N I CA Z IO NE P OL IT IC A
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CLIZIA MAGONI
LE POUR ET LE CONTRE IL PROCESSO DI LUIGI XVI DI FRONTE ALL’OPINIONE PUBBLICA
Prefazione di PIERRE SERNA
ROMA 2014 EDIZIONI DI STORIA E LETTERATURA
Prima edizione: luglio 2014 ISBN 978-88-6372-688-6 eISBN 978-88-6372-689-3
Il volume è stato realizzato con il contributo della Fondazione della Cassa di Risparmio di Bologna
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INDICE DEL VOLUME
Préface di Pierre Serna ........................................................................... Introduzione ............................................................................................
VII XVII
I.
Il processo pubblico imprimé par ordre de la Convention Nationale
1
II.
Il processo nella stampa quotidiana: i giornali............................ 1. Il processo prima del processo ................................................ 2. L’ epoca dei complotti............................................................... 3. La guerra delle opinioni comincia........................................... 4. Uniti per salvare la Repubblica................................................
39 44 53 61 79
III. La parola ai cittadini: pamphlet e libelli...................................... 1. Dinamiche di discussione pubblica ......................................... 2. Pamphlet e libelli in favore di Luigi XVI ............................... 3. Le difese.................................................................................... 4. Prima dell’esecuzione............................................................... 5. Gli scritti contro .......................................................................
89 89 95 105 114 118
IV.
Le raccolte contemporanee ........................................................... 1. Le pour et le contre ................................................................... 2. Histoire impartiale du procès de Louis XVI .............................
129 130 135
Conclusioni .............................................................................................
155
Appendice bibliografica 1. Gli «imprimés par ordre de la Convention Nationale» ......... 2. Pamphlet ...................................................................................
159 203
Bibliografia .............................................................................................. Indice dei nomi .......................................................................................
213 221
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Le roi est mort… Vive la république quand même…
Osons une question iconoclaste: que sait-on du procès du roi? Osons une question encore plus iconoclaste 220 ans après: fallait-il exécuter le roi? Et est-ce une question que l’historien a le droit de se poser, lui qui ne devrait se contenter que de raconter les faits? Que sait-on du procès du roi? La question mérite d’être posée et l’étude précise de Clizia Magoni vient apporter des réponses subtiles que les chercheurs étaient en droit d’attendre depuis longtemps concernant la réception de l’événement à l’extérieur de l’Assemblée. Certes des historiens engagés dans la défense du martyr catholique, ont produit une littérature revancharde et larmoyante, anti et contre révolutionnaire, construisant l’exécution du roi comme la quintessence des crimes de la Révolution et de la Terreur à venir, quelques mois plus tard1. D’autres historiens ont sous-estimé l’importance de l’événement: à quoi bon parler d’un procès réglé et jugé d’avance contre le personnage le plus falot, le plus insignifiant du drame révolutionnaire? Pourquoi évoquer un procès, un événement dont l’issue était dictée dès l’énoncé de la tenue du procès? Et si tout cela méritait un examen plus approfondi? De quels outils disposons nous pour étudier ce procès? La publication des débats strictement liés à l’affaire judiciaire, qui transforme la Convention nouvellement élue en tribunal de la Nation, a été récemment réalisée au Japon2. Pour le public français, outre les travaux anecdotiques et érudits des pour et des contre, la
P. P. Girault de Coursac, Enquête sur le procès du roi Louis XVI, Paris, La Table Ronde, 1982. Voir également le compte rendu de Jacques Godechot, «Annales historiques de la Révolution française», (1983), 254, pp. 643-645. 2 Voir également le recueil extrêmement rare Opinions des conventionnles sur le jugement de Louis XVI. Recueil des brochures conservées dans la bibliothèque de M. Berstein, pièces réu1
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publication de documents partiels d’Albert Soboul s’est imposée pour une génération comme le vade mecum sur le procès3. Au creux des années 19801990, la traduction en français, enfin, du livre de Michael Walzer, va paradoxalement bloquer la lecture historique du procès en tenant une posture contradictoire mais intelligente, inhibant les recherches futures4. Certes la condamnation du roi est discutable en droit et peut être réexaminée, comme le soutient l’auteur, mais dans les faits, il n’y avait pas d’autres solutions, et c’est par un enchainement de circonstances qui dépassaient largement les députés et le prévenu coupable que ce dernier devait être sacrifié sur l’autel de la République naissante. Walzer tenait ainsi deux discours, l’un théorique, l’autre pratique qui semblaient rendre inéluctable l’exécution de l’ex-roi. Enfin fut édité le livre de Daniel Arasse sur l’imaginaire de la guillotine et son chapitre sur la charge émotionnelle liée à l’exécution de l’ex-Louis XVI5. Une symbolique se met en place qui fait de la décollation du ci-devant Capet un moment dont la puissance métaphorique et la force suggestive font basculer la France dans une radicalité nouvelle et la projette dans un futur qui devra toujours tenir compte de ce cou coupé. Le moment de l’exécution et le culte quasi religieux qui s’en suit avec les mouchoirs trempés dans le sang que l’on retrouve quelques jours après à Londres dans les salons de la Contre révolution, seraient devenus plus importants que le procès dans sa dimension politique. Il ne manquait plus que les aveux du bourreau quelques semaines plus tard, Sanson en personne, pour donner au ci-devant roi défunt une aura christique et lui conférer un courage qui brouillaient le sens politique de l’action collective des députés dont l’audace tout à coup semblait moindre, face au destin solitaire de Louis Capet6. nies par Tadami Chizuka, 6 volumes, Tokyo, Presses Universitaires de Senchu, 2003-2007, et les volumes 55, 56, 57 des Archives Parlementaires couvrant la période du procès et du jugement. 3 A. Soboul, Le procès de Louis XVI, Paris, Juillard, 1966, encore faut-il ne pas oublier que le socle du travail précédent repose sur la somme de E. Seligman, La justice en France pendant la Révolution (1791-1793), Deux tomes, Paris, Plon, Plon-Nourrit et Cie, Imprimeurs-Éditeurs, 1913. 4 M. Walzer, Regicide and Revolution. Speeches at the Trial of Louis XVI, translated by Marian Rothstein, London – New York, Cambridge University Press, 1974, pour la version française, Régicide et Révolution. Le procès de Louis XVI, traduit de l’américain par J. Debouzy, suivi de Discours au procès de Louis XVI, réunis et annotés par A. Kupiec, et Régicide et Terreur? Controverse F. Fehér – M. Walzer, traduit de l’américain par A. Kupiec, Paris, Édition Payot, 1989. 5 D. Arasse, La guillotine et l’imaginaire de la Terreur, Paris, Flammarion: «la mort du roi», pp. 63-92. 6 Sept générations d’exécuteurs. Mémoires des bourreaux sanson, par H. Sanson, ancien exécuteur des Hautes Œuvres de la cour de Paris, Mane, Editions Futur Luxe, 2003 (Ière
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Les historiens peuvent discuter de cette justice, de sa symbolique et de ses représentations, mais l’Histoire ne laissait aucune chance au condamné. Le verbe de Saint-Just, jeune député de l’Aisne, prenant pour la première fois la parole devant la Convention, le 13 novembre, avait imposé son écrasant pouvoir de conviction, avant même le début du procès: Louis XVI devait mourir pour que la République fut. Louis XVI ne pouvait être innocent du fait même d’avoir été roi. Louis était un ennemi qu’il fallait faire périr. Louis est un étranger parmi nous; il n’était pas un citoyen avant son crime; il ne pouvait voter, il ne pouvait porter les armes, il l’est encore moins depuis son crime (…) aussitôt qu’un homme est coupable il sort de la cité (…) je ne perdrai jamais de vue que l’esprit avec lequel on jugera le roi, sera le même que celui avec lequel on établira la république7.
Point à la ligne. Au même moment dans sa cinquième lettre à ses commettants Robespierre exprimait le même point de vue: La nation juge selon son droit souverain. Ici le coupable a rompu la sphère de l’ordre civil, donc il ne se trouve plus dans le lien social. Il ne s’agit plus d’une procédure criminelle mais d’un acte de sagesse et de la puissance souveraine. Louis XVI est jugé il doit être puni, ou la République française est une chimère. Je conclus que la Convention nationale doit déclarer Louis traitre à la patrie, criminel envers l’humanité, et le faire punir comme tel8.
Il ne pouvait être question de discuter quoi que ce soit. Le sort de Louis XVI était scellé, par sa faute, par le verbe montagnard, par la nécessité de l’histoire à laquelle même Walzer rendait les armes. Les faits s’enchainent dès, lors à partir de la lecture du rapport du député Mailhe, le 7 novembre 1792, chargé de présenter à ses collègues les charges qui pèsent sur le prisonnier du Temple. Le comité de législation poursuit son travail et parallèlement à la commission des 24 Conventionnels, justifie la faisabilité juridique du procès. Louis pouvait et devait être jugé, par la Convention. Certes les discussions furent vives et l’organisation du procès fut âprement négociée. Mais le sort de l’ancien monarque se scellait en une scénographie dont l’aspect formel irritait les montagnards désirant épargner à la Convention de devenir un tribunal et dans une procédure que les giron-
édition 1862), pp. 254-263. Fascinante est de la part de Sanson, jusqu’au dernier moment, la croyance dans la délivrance de Louis XVI par de hardis défenseurs et le constant que personne ne bougea pour le souverain déchu. 7 Saint-Just, Opinion concernant le jugement de Louis XVI in BN 8-LE37-2 (G,8). 8 Œuvres de Maximilien Robespierre, tome V, Lettre à se commettants, Paris, Phénix Editions, 2000 (rist. 1961), p. 64.
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dins percevaient comme un piège pour eux, tant elle les contraignait à accepter la culpabilité du prévenu avant même que le débat contradictoire n’eût commencé. J’avais posé la question différemment en 2001 dans un essai Comment meurt une monarchie?9. J’y suggérais trois pistes de recherche qui me valurent inimitié mais que je maintiens encore davantage aujourd’hui après la lecture de l’essai stimulant de Clizia Magoni. Elève de Michel Vovelle et donc entrant dans la Révolution française, non par le XIXe siècle, à rebours, mais dans la logique chronologique de l’étude du XVIIIe siècle, j’avais suggéré, même si mon cœur républicain dut en souffrir, qu’en bonne logique dynastique, la mort d’un roi n’était pas la fin de la royauté, et que l’adage: «le roi est mort, vive le roi!» avait d’autant mieux fonctionné que Louis XVII, mais surtout Louis XVIII avaient incarné une autre légitimité. Ce statut fut à ce point fort que le frère cadet de Louis XVI n’est pas appelé Capet pendant le Directoire par exemple, dans la presse démocratique, celle qui lui est le plus hostile, mais bien «Louis XVIII». Le légitimisme devient même plus qu’une posture, un parti et pour tout le XIXe siècle, à partir de 1815. D’ailleurs, il faudra seulement, la stupidité ultime du dernier prétendant Henri V durant l’été 1871, pour que la monarchie perde définitivement l’opportunité de devenir le régime des français, lorsque le prétendant refusa le drapeau tricolore défendant la couleur blanche d’Henri IV, ayant perdu tout le sens politique de son aïeul, incapable de comprendre que Paris valait bien trois couleurs… En 1793 exécuter le roi n’était pas la garantie de la mort de la monarchie en France10. La seconde idée à rebours que j’avais émise reposait sur le lien prétendument insécable entre exécution de Louis XVI et naissance de la République. Etait-il certain que la mort du roi fondait la République, était-il certain que l’exécution de Louis XVI consolidait la République? Et si c’était le contraire? N’est-ce pas la mort de Louis Capet qui invente le roi fade et maladroit jusque-là, en figure christique du martyre catholique? En quoi cette mort a–t-elle pu renforcer la République plutôt qu’un exil honteux en Amérique,
P. Serna, Comment meurt une Monarchie? 1774-1792, in La monarchie entre Renaissance et Révolution 1515-1792, volume dirigé par J. Cornette, Paris, Editions du Seuil, 2000, pp. 355-445 (réed. 2006, Points Seuil). 10 De même, dans la période précédente exécuter le régicide n’était pas garantie de consolidation de la royauté. Cf. M. Foucault, Surveiller et punir, Paris, Gallimard, 1975 et P. Bastien, L’exécution publique à Paris au XVIIIe siècle. Une histoire des rituels judiciaires, Seyssel, Champ Vallon, 2006. 9
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qui aurait fait de l’ex roi absolu un bon bourgeois du New Heaven? En quoi ce trépas offert au Contre-révolutionnaires qui se demandaient que faire du cocu royal, a–t-il renforcé la République plutôt qu’un emprisonnement qui faisait du personnage une monnaie d’échange et un outil de pression diplomatique humiliant pour lui? Peu adepte d’une histoire contre factuelle je laissais là ces suppositions puisque l’histoire avait été différente. Au moins, les questions étaient posées. En revanche au risque d’alourdir mon cas, je faisais un troisième constat, la Terreur n’avait pas commencé le 4 septembre 1793 lorsqu’il fut question de la mettre à l’ordre du jour, sans qu’aucune décision officielle ne soit prise, mais bien durant le procès du roi, lorsque la question d’une juridiction extraordinaire liée à la question du statut «anormal» du prévenu fut décrétée comme la raison même de son procès. En affirmant que le roi devait mourir parce qu’il était roi, en affirmant que la Convention se donnait le droit d’être juge et partie, instruisant le procès, organisant le procès et rendant la sentence, la Convention répondait peut être à une nécessité contextuelle certaine, mais succombait à une justice exceptionnelle dans un Etat d’exception, fut-ce pour un homme, justement pour un homme. En ce sens le procès de Louis XVI n’est pas un dossier clos. Bien au contraire, il continue de poser des question essentielles au processus de radicalisation de la Révolution, aux origines de la justice révolutionnaire, aux fondements de l’Etat d’exception. Le procès et son issue fatale restent, comme Lynn Hunt l’a démontré dans une autre perspective d’histoire interrogée par les acquis de la psychanalyse, l’événement monstre de la Révolution, celui qui fait advenir un monde nouveau parce que le père est tué, parce que la figure paternelle est exécutée, parce que les fils prennent le pouvoir contre Chronos, jusqu’à ce qu’à leur tour, ils tombent dans la pulsion fratricide de la guerre civile11. Ainsi ce ne serait pas tant politiquement, judiciairement, ou diplomatiquement que la mort du roi s’imposait que pour une raison inconsciente de refondation de la cité. Louis devait mourir, non pour que la république fut, mais pour que les républicains adviennent, ce qui est différent. Cambon l’avait bien noté comparant l’exécution du roi et son coup tranché à l’amarre coupé avec le monde ancien. Désormais le sang du roi scellait le sort des régicides en un futur qu’il devraient assumer. Le trépas de l’ex souverain ne se justifiait pas autrement que pour souder le destin des vivants liés par cette exécution et
L. Hunt, Le roman familial de la Révolution française, Paris, Albin Michel, 1995, préface de J. Revel (première édition, California Press, Berkeley, 1992). 11
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s’interdisant par là même de faire demi-tour vers les rivages d’une monarchie restaurée. Ce qui revenait à dire que Louis n’était pas mort pour ses fautes mais pour une cause qui le dépassait. La mort de Louis effaçait le passé immédiat et le présent pour projeter la France en un futur indéfini, infini où l’angoisse de la guillotine va hanter le XIXe siècle12. Il faut rappeler qu’il ne fut pas le premier et que sa fin fut vécue par bien des acteurs comme la répétition du procès de Charles Ier qu’il s’agissait de rendre encore plus édifiant et plus efficace13. Ainsi, quelques mois plus tard quand il sera emprisonné et aura tout le temps pour méditer sur son propre sort, Brissot écrit cette réflexion: Cette idée de révolution, que je n’osais m’avouer roulait souvent dans ma tête; je m’y donnais un des rôles principaux, comme il est bien naturel de le croire. L’histoire de Charles Ier et de Cromwell m’avait singulièrement frappé, je me rappelais sans cesse ce dernier, déchirant dans son enfance le portrait du roi, terminant sa carrière par le faire décapiter, et ne devant qu’à son génie le grand rôle qu’il avait joué dans la révolution anglaise. Il ne me paraissait pas impossible de renouveler cette révolution. Cependant je l’avouerai, et ce trait ne me conciliera pas l’amitié de ces hommes qui font consister le patriotisme dans le cannibalisme, je ne faisais pas dans mon roman, décapiter mon captif; après une rude leçon, je le chassais à jamais du territoire français14.
Certes Brissot se donne le beau rôle, mais l’anecdote révèle combien cette génération avait intégré le risque pour le roi de finir comme le monarque anglais de 1649. Salaville, un des anciens secrétaires de Mirabeau fit ainsi paraître le texte de Milton Sur la défense du peuple anglais de 1651, en 1789 de façon précoce, puis en 1791 et de nouveau pendant le procès en 179215. Il y est précisé qu’il est du devoir des administrateurs de former et
A. Carole, Physiologie de la veuve. Une histoire médicale de la guillotine, Seyssel, Champ Vallon, 2012 et P. Wald Lasowski, Les échafauds du romanesque, Lille, PUL, 1991. 13 M. Turchetti, Tyrannie et tyrannicide de l’Antiquité à nos jours, Paris, PUF, 2001; M. Cottret, Tuer le tyran? Le tyrannicide dans l’Europe moderne, Paris, Fayard, 2009, et P.-A. Mellet, Les Traités monarchomaques. Confusion des temps, résistance armée et monarchie parfaite (1560-1600), Genève, Droz, 2007. 14 Mémoires de Brissot sur ses contemporains et la Révolution française, publié par son fils, Paris, Ladvocat, 1830, tome Ier, pp. 54-55. 15 Défense du peuple anglais, sur le jugement et la condamnation de Charles premier, roi d’Angleterre par Milton, ouvrage propre à éclairer sur la circonstance actuelle où se trouve la France. Réimprimé aux frais des administrateurs du département de la Drome, à Valence, chez P. Aurel, novembre 1792, impression de l’arrêté du conseil du département de la Drôme réuni en permanence, séance du 14 novembre 1792, l’an I de la République. 12
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de faire mûrir l’opinion publique, sur la grande question qui s’agite à la Convention nationale pour le jugement de Louis Capet, que l’administration est sûre de remplir cet objet essentiel en répandant, surtout dans les campagnes, la connaissance d’un livre devenu très rare, par la lecture duquel tout français républicain pourra démêler avec sagacité les rapports et l’analogie qui existent entre la conduite de Charles Stuart, et celle de Louis Capet.
L’ouvrage fut imprimé à hauteur de 1000 exemplaires, et envoyé dans les 82 départements ainsi qu’au Conseil exécutif provisoire et à la Convention Nationale… Au fond, Louis XVI, et cela a compté dans la préparation de l’opinion publique, était mort et plusieurs fois avant le 21 janvier 1793. Qu’on relise dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, l’article «Autorité politique» et l’on se rendra compte de la violence subversive de la fin de l’article rédigé par Diderot imaginant la vacance du pouvoir et la ressaisie de souveraineté par le peuple dans la fiction blasphématoire sur ce qui arriverait si le roi venait avec sa famille à disparaître, et ce dès 1750! Que l’on regarde la violence des caricatures du roi, représenté en gras cochon que l’on amène à l’abattoir après sa tentative de fuite ratée en juin 1791! Que l’on relise les pages du Patriote français de Brissot, en appelant à la justice souveraine contre le roi parjure et toutes les conséquences qui devaient être prises pour réaliser sa disparition du jeu politique, en clair sa mort civile. Annie Duprat a montré l’efficacité de toutes ces morts symboliques dans l’iconographie, tuant le roi symboliquement, métaphoriquement, lui ôtant toute légitimité à l’existence politique: cela précipitait sa mort réelle? cela banalisait sa disparition certaine? peut-être, tout comme il est possible de soutenir que cela ne rendait plus nécessaire sa destruction physique, sa mort civile, sans sa mort physique constatée?16 Le dossier en était là lorsque Clizia Magoni a décidé de le réinterroger différemment. L’historienne italienne a décidé de relire tout le dossier contenu aux Archives nationales, contenu dans les Archives parlementaires, contenues dans les publications officielles. Mais son apport est ailleurs, dans une dimension jusque-là peu interrogée et qui donne toute la puissance à son essai. Quelle a été la place du procès du roi dans l’opinion publique? Dans cette république naissante, quelle rôle a pu avoir le débat sur la place publique concernant le souverain? Son sort fut il scellé de façon aussi nette et tranchante que l’Assemblée de la Nation? Au tribunal de l’opinion quel
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2002.
A. Duprat, Les rois de papier. La caricature de Henri III à Louis XVI, Paris, Belin,
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fut le verdict? Toute la nouveauté de l’hypothèse de recherche de Clizia Magoni est de décentrer tout le procès est de la placer dans l’espace de la presse, là où il fut diffusé discuté et commenté. Là est la trouvaille du livre et ce qui fera je l’espère son succès dans la communauté des historiens et au-delà. Clizia Magoni démontre, preuves en main, qu’il n’y eut pas un, mais deux procès du roi, l’un à la Convention, l’autre sur la place publique et peut-être celui-ci fut plus juste, car fortement débattu et sans préjuger de l’issue fatale. Il n’y eut pas un seul bloc d’acteurs, les députés, mais au moins trois groupes, parties prenantes des débats, entre les tribunes des représentants utilisant les pamphlets et la presse afin de poursuivre la controverse hors de l’arène conventionnelle, entre les points de vue enflammés des faiseurs d’opinion, les journalistes républicains ou royalistes, et enfin entre les anonymes lecteurs, les invisibles citoyens écrivant leur avis, donnant leur interprétation du procès. Ce faisant, Clizia Magoni rend à l’espace démocratique tel que Raymonde Monnier l’a défini, toute son importance démontrant un espace de discussions jusque-là sous-estimé, où fut pesé «le pour et le contre», où l’historienne nous donne à voir l’ampleur de la liberté des opinions dont usèrent les démocrates et abusèrent les anti-révolutionnaires lorsque ce ne furent pas les contre-révolutionnaires17. Grace à la patience toute érudite de l’auteure, le lecteur suit le procès, depuis l’abolition de la monarchie le 10 aout 1792, jusqu’à l’aboutissement fatal du 21 janvier 1793. Au fond, tout l’intérêt se porte sur la maturité du débat politique autour du procès, lorsque personne ne remet en cause la culpabilité du roi, mais lorsque tous réfléchissent à la solution possible pour sauver la République, ou sauver le roi, en distinguant bien les deux réalités dans leurs différence. Là où les députés semblent enfermés dans une logique d’affrontement entre Girondins et Montagnards, lutte bloquée par la performativité du verbe de Saint-Just et de Robespierre ayant porté le débat sur l’impossibilité de sauver le roi et la République à la fois, le débat public, invente des solutions diverses, propose une autre tribune et finit par illustrer ce que doit être un espace de communication dans une république naissantes: le lieu de propositions virtuelles qui configurent et reconfigurent différemment le réel, qui proposent aux politique d’autres chemins… dont clairement, l’un d’entre eux aurait pu être «Le roi n’est pas mort, vive la République!».
J. Popkin, Revolutionary News: The Press in France: 1789-1799, London, Duke University Press, 1990. 17
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XV
Il faut remercier Clizia Magoni d’avoir entrevu cette autre histoire du procès, d’avoir participé au renouvellement de l’histoire de la Révolution française en ayant le courage et l’audace de se confronter à un événement aussi monstrueux que le procès de Louis XVI. Après le travail monumental de Seligman et la réflexion de Walzer, Clizia Magoni ouvre une autre voie pour comprendre le plus grand événement de la Révolution française. PIERRE SERNA Université de Paris I Panthéon Sorbonne Directeur de l’Institut d’histoire de la Révolution française
INTRODUZIONE
Il 21 gennaio 2013, su richiesta dell’associazione monarchica l’Œillet blanc, fu celebrata a Saint-Germain l’Auxerrois a Parigi una messa in memoria di Luigi XVI, ghigliottinato quello stesso giorno duecentoventi anni prima. Il padre don Piron, abate di Kergonan, officiante la cerimonia religiosa, affermò in apertura della celebrazione, che «220 ans après ce jour funeste, dans cette République qui se veut laïque, beaucoup de français rêvent secrètement d’une restauration de la monarchie». La commemorazione religiosa dell’esecuzione di Luigi XVI, che ogni anno si ripete nella capitale, come altrove in Francia e in Europa, fornirebbe dunque lo spunto per muovere alcune riflessioni sul significato che riveste ancora oggi per i francesi la morte-martirio di un re che in vita aveva incarnato le più autentiche virtù cristiane, secondo le parole dello stesso sacerdote. La ricorrenza del 21 gennaio rappresenterebbe pertanto l’occasione per ricordare le radici storiche della Francia, l’attaccamento ancora forte di molti francesi nei confronti della monarchia rispetto a una Repubblica fondata sul «sacrificio» di Luigi XVI. In un contesto completamente diverso, non più una chiesa bensì un’aula di tribunale, il 3 giugno 2013, l’avvocato difensore di Silvio Berlusconi, Niccolò Ghedini, nell’ultima udienza del cosiddetto ‘processo Ruby’, cominciò l’arringa difensiva evocando il processo di Luigi XVI. In questo ambito giudiziario, il parallelismo con l’augusto re di Francia non si fondava, con ogni probabilità, sulle virtù cristiane dell’ex primo ministro italiano, considerata la natura dei capi d’accusa1. Forse vi si poteva leggere una velata allusione alle ambizioni di impunità dell’ex capo del Governo nell’ambito del suo mandato, visto che i re di Francia prima della Rivoluzione erano legibus soluti. Sicuramente, tuttavia, il richiamo al celebre processo del Borbone trovava la sua ragione, nell’ottica della difesa, negli aspetti formali del processo, e in particolare nella delicata questione della neutralità dei giudici chiamati a giudicare la causa:
1
Concussione e prostituzione minorile.
XVIII
INTRODUZIONE
È un processo non semplicissimo questo che ci ha occupato. Debbo dire che la problematica di intervenire di fronte a un giudice che, a torto o a ragione, si ritiene prevenuto, è una problematica che si è, così, posta per moltissimi difensori nel corso dei secoli. Noi abbiamo alcuni anni or sono, con l’avvocato Longo, pubblicato un piacevole libretto, non perché era scritto da noi ma perché era la ristampa anastatica dell’arringa dell’avvocato De Sèze che difese Luigi XVI e poi lo commentammo2. Ma in questa arringa ci si poneva il problema cioè in allora, se bisognasse o nemmeno intervenire come difensori quando si riteneva che ci fosse una situazione di pregiudizio. Ovviamente a torto o a ragione, sia chiaro. E elegantemente risolta in quell’arringa tanto che fu un pregevole intervento, certamente sarà stato migliore del nostro, anche se, come è noto, con esito infausto nel risultato processuale. Ma tant’è. Ma vedano, anche questo paragone, questo ricordo, non è inutile perché la problematica di intervenire quest’oggi non è semplicissima per i difensori perché la magistratura, come è organizzata quest’oggi, ha delle caratteristiche abbastanza similari a quelle di quell’epoca storica a cui mi sono riferito. Perché c’è un’organizzazione autoreferenziale assolutamente straordinaria rispetto a quello che vi è invece in altri sistemi processuali3.
Nelle parole dell’avvocato Ghedini, il richiamo puntuale al processo di Luigi XVI aveva un carattere esemplare: pur non volendo ricusare i giudici, come d’altra parte non l’avevano fatto gli avvocati difensori di Luigi XVI, nondimeno ne denunciava indirettamente la parzialità del giudizio, come era stato per i giudici del re, membri della Convenzione, che prima di arrogarsi il compito di giudicare, si erano precedentemente espressi sulla colpevolezza dell’accusato. Il processo e la condanna a morte di Luigi XVI: autunno 1792 – 21 gennaio 1793. A questo alludono i due esempi appena citati tratti dalla contemporaneità. Sebbene diversi tra loro e animati, ciascuno a suo modo, da spirito di parte, nondimeno essi illustrano e introducono altrettante questioni di fondo che accompagnano fin dalle origini il «dossier» sul processo di Luigi XVI. Da una parte il pro o conto la condanna a morte e, prima ancora della sua innocenza o colpevolezza, la domanda se fosse necessario uccidere il re. Dall’altra a un livello più specifico, la questione della legittimità del proces-
R. De Sèze, Arringa in difesa del Re Luigi XVI, Padova, Edizioni Associazione Quintilliano, 1999 (commenti di F. Corbi, V. Nico D’Ascola, E. Fragasso, G. Frigo, N. Ghedini, P. Longo, P. Rubini, E. Randazz, F.L. Satta). 3 Trascrizione dalla registrazione video dell’udienza del 3 giugno 2013 presso il Tribunale di Milano, consultabile in: http://video.repubblica.it/dossier/caso-ruby-bunga-bunga/ ghedini-io-come-l-avvocato-di-luigi-xvi-davanti-al-tribunale-rivoluzionario/130450/128962. 2
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so che lo aveva giudicato e, in senso più generale, il problema della giustizia legata alla politica. Entrambi attestano, altresì, il carattere esemplare di un avvenimento compreso all’interno della Rivoluzione francese, ma che per la peculiarità e l’eccezionalità del protagonista ha dimostrato una capacità autonoma di suscitare un interesse longevo su un pubblico molto più vasto della ristretta cerchia degli storici di professione. Il processo di Luigi XVI ha trasformato in martire il condannato, gettando allo stesso tempo una luce fosca sulla fondazione della Repubblica francese e sulla legittimità e legalità di quest’ultima a esercitare la giustizia. L’interesse per il processo di Luigi XVI, nel corso del tempo, ha travalicato molto spesso il confine del dibattito scientifico e delle interpretazioni storiografiche per collocarsi, senza troppe difficoltà, nel campo delle opinioni e dei giudizi, della strumentalizzazione ideologica. In altri termini, il processo di Luigi XVI è stato e rimane uno di quegli episodi della storia su cui ancora ci si sente autorizzati ad esprimere un’opinione, semplicemente pro o contro, allo stesso modo di come si fa quotidianamente con le questioni politiche di attualità. Se i mezzi di comunicazione dell’età contemporanea hanno consentito lo sviluppo di un sistema di diffusione e fruizione immediata delle informazioni, nell’era del web 2.0 si è resa possibile una partecipazione, un’interattività globali nei dibattiti politici, economici, sociali, culturali, completamente aperta a chiunque desideri prendere la parola. Laddove esista possibilità, libertà, e volontà di informarsi, è possibile la discussione e lo scambio di opinioni. Ora, di fronte ad avvenimenti del passato capaci di suscitare a distanza di due secoli un interesse di natura svariata, quale il processo di Luigi XVI, risulta lecito chiedersi, con uno sguardo attento alle dinamiche di comunicazione del presente, se all’epoca dei fatti, per così dire, vi fosse attenzione, partecipazione, discussione, manifestazione di opinioni in uno spazio pubblico senz’altro meno esteso di quello contemporaneo, ma nondimeno altrettanto plurale. Che cosa si diceva del processo di Luigi XVI al tempo del processo? In che modo era possibile formarsi un’opinione al riguardo? Quali informazioni erano accessibili? Quali erano gli strumenti per partecipare alla discussione pubblica? Queste sono state le domande da cui è partita questa ricerca che ha inteso indagare gli aspetti relativi alla comunicazione del processo di Luigi XVI e alla sua ricaduta nello spazio pubblico nel momento stesso in cui avveniva4. Si è inteso, dunque, affrontare il processo dal punto di vista Un primo provvisorio risultato è stato presentato con il saggio C. Magoni, Discorsi violenti. La Convenzione sul processo a Luigi XVI, in Potere e violenza. Concezioni e pratiche dall’antichità all’età contemporanea, a cura di G. M. Cantarella – A. De Benedictis 4
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dei mezzi di comunicazione per ricostruire il discorso, o meglio i discorsi, contemporanei su questo avvenimento e le dinamiche di discussione all’interno dello spazio pubblico5. Questo approccio ha fatto emergere come il processo di Luigi XVI fosse principalmente un terreno di scontro di opinioni rese pubbliche attraverso la stampa: quelle dei deputati-giudici della Convenzione, quelle dei privati cittadini, quelle dei giornali. Opinioni che a loro volta intendevano farsi portavoce, a seconda dei casi, di quella del popolo, della nazione, dei francesi, dei veri repubblicani, dei sanculotti, delle donne, in breve, dell’opinione pubblica. Quest’ultima era invocata come il giudice dei giudici, capace di esercitare il proprio implacabile e temibile giudizio ovunque nello spazio e nel tempo, simile alla Fama dei romani evocata da Virgilio nell’Eneide. Così il deputato girondino RabautSaint-Etienne dipingeva il peso dell’opinione pubblica nell’intervento del 28 dicembre 1792, in un momento cruciale del processo che volgeva verso la sua fase conclusiva: Jamais plus grande responsabilité ne pesa sur la tête d’un homme, d’un gouvernement, d’un sénat, que celle dont la Convention nationale s’est chargée. Vous répondez de la conduite que vous allez tenir, en cette grande circonstance, à la nation qui vous a commis, à l’Europe qui vous regarde, à la postérité qui jugera votre mémoire, après que vos contemporains auront jugé votre actions et vos personnes. Huit jours encore, huit jours seulement, et le jugement des siècles va commencer pour vous, sans que ni les réflexions tardives, ni les vains regrets, ni les retours inutiles sur le passé puissent vous garantir de ce gros poids de l’opinion publique dont la nature est de grossir, de croître, et d’accabler enfin ceux qui l’ont accumulé sur leurs têtes6.
La citazione tratta dal discorso di Rabaut-Saint-Etienne permette di introdurre due questioni di fondo che delineano i confini all’interno dei quali questa ricerca si è mossa: da una parte la definizione di opinione pubblica e dello spazio all’interno del quale essa agisce; dall’altra il giudizio
– P. Dogliani – C. Salvaterra – R. Sarti, Roma, Edizioni di Storia e Letteratura, 2012, pp. 95-109. 5 Si tratta, quindi, di uno specifico caso di studio sulla «comunicazione del politico», che si colloca all’interno del progetto di ricerca del Dottorato internazionale “Comunicazione politica dall’antichità al XX secolo”, su cui L. Schorn-Schütte, Politische Kommunikation als Forschungsfeld. Einleitende Bemerkungen, in Schriften zur politischen Kommunikation 1: Die Sprache des Politischen in actu, a cura di G. Corni – A. De Benedictis – B. Mazohl – L. Schorn-Schütte, Göttingen, Vandenhoeck & Ruprecht, 2009, pp. 7-18 (nello stesso volume, la traduzione italiana Comunicazione politica come campo di ricerca. Osservazioni introduttive, è alle pp. 19-30). 6 Archives parlementaires, t. LVI, p. 8.
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della posterità, che si lega indissolubilmente all’analisi della bibliografia relativa al processo di Luigi XVI. «Ce gros poids de l’opinion publique». Gli studi degli ultimi vent’anni dedicati alla presa di parola democratica nei primi anni della Rivoluzione francese, discostandosi criticamente dalla definizione restrittiva di opinione pubblica, ordinata, razionale e borghese di Jürgen Habermas7, hanno preferito parlare di opinione pubblica come di un fenomeno non unitario, bensì variegato e multiforme, rispondente a una declinazione al plurale del lemma8. Allo stesso modo, le opinioni plurali che formano e animano lo spazio pubblico non possono che definirlo in maniera altrettanto pluralistica, rispetto alla visione omogenea habermasiana. Un pluralismo politico, quello dei primi anni della Rivoluzione, corrispondente alla varietà e alla coesistenza delle opinioni (dei rivoluzionari, dei moderati, dei controrivoluzionari) e delle funzioni degli attori della comunicazione (i rappresentanti del popolo come i cittadini in una dinamica di scambio); un pluralismo sociale, in cui lo spazio pubblico è aperto ai differenti gruppi che compongono la società, e che di conseguenza è anche pluralismo delle pratiche culturali, non limitato alla cultura scritta delle élite, ma che contempla anche l’oralità e la comunicazione visiva. Pratiche culturali che a loro volta si mescolano, come lo scritto con l’orale, attraverso la lettura a voce alta, attraverso i luoghi dello scambio, della sociabilità. Adottando questa definizione di spazio pubbli-
J. Habermas, Storia e critica dell’opinione pubblica, trad. it., Roma – Bari, Laterza, 1971 (ed. orig. 1962). 8 A. Farge, Dire et mal dire. L’ opinion publique au XVIIIème siècle, Paris, Seuil, 1992; R. Monnier, L’ espace publique démocratique. Essai sur l’opinion à Paris de la Révolution au Directoire, Paris, Éditions Kimé, 1994; J. Guilhaumou, L’ avènement des porte-parole de la République (1789-1792): essai de synthèse sur les langages de la Révolution française, Villeneuve-d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 1998. Sul concetto di pluralismo dello spazio pubblico: R. Reichardt, Histoire de la culture et des opinions, in La Révolution française au carrefour des recherches, sous la direction de M. Lapied – C. Peyrard, Aix-en-Provence, Publications de l’Université de Provence, 2003, pp. 205-234. Una sintesi sulla questione riguardante la teoria habermasiana di spazio pubblico per la Rivoluzione francese si trova in J. Guilhaumou, Habermas e la Rivoluzione francese: dall’opinione pubblica alla visibilità sociale, «Contemporanea. Rivista di storia dell’800 e del ’900», VIII (2005), 2, pp. 365-369 (disponibile on line in francese nel sito «Révolution Française. L’Esprit des Lumières et de la Révolution», url: www.revolution-française.net). Contributi recenti a proposito della riflessione di Habermas sull’opinione pubblica in Beyond the Public Sphere: Opinions, Publics, Spaces in Early Modern Europe, ed. by M. Rospocher, il Mulino – Duncker & Humblot, Bologna – Berlin, 2012; Oltre la sfera pubblica. Lo spazio della politica nell’Europa moderna, a cura di M. Rospocher, Bologna, il Mulino, 2013; F. Benigno, Parole nel tempo. Un lessico per pensare la storia, Roma, Viella, 2013, pp. 205-220. 7
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co come spazio aperto, democratico e politicizzato di discussione, risulta più agevole ricostruire le dinamiche, gli attori e gli spettatori, i mezzi della comunicazione politica messi in opera e attivi nel corso del processo di Luigi XVI. Gli studi sui cris di Parigi di Vincent Milliot, e quelli sulle caricature e sull’iconografia del re di Annie Duprat attestano alcuni dei diversi mezzi di comunicazione politica dispiegati nel periodo considerato9. Lo spazio pubblico di discussione del periodo del processo di Luigi XVI è dunque uno spazio mediatizzato in tutti i suoi strati che dimostrano una capacità e una volontà di appropriazione e di fruizione dei mezzi di comunicazione e una conseguente capacità e volontà di esprimere e veicolare opinioni. D’altra parte, la consapevolezza di uno spazio pubblico di scambio e di opinioni molteplici era ben presente se non altro presso l’intendente della Liste civile Arnaud de Laporte, quando, nel 1791, individuava luoghi e mezzi dove investire denaro per diffondere la propaganda realista: scrittori, giornalisti, affiches, canzoni e cantanti, abbonamenti ai giornali, corrispondenti con le province, persone pagate per inserirsi nei club e società, nelle sezioni, per assistere alle sedute dell’Assemblea nazionale, oratori, applauditori e osservatori alle Tuileries, al Palais Royal, nei caffè, nelle guinguettes nei luoghi di incontro, etc.10 «Huit jours encore, huit jours seulement et le jugement des siècles va commencer pour vous». L’altra questione di fondo introdotta dalla citazione di Rabaut-Saint-Etienne riguarda il giudizio della posterità, in altri termini, la bibliografia relativa al processo di Luigi XVI con la quale ci si è naturalmente dovuti confrontare. Per un disinteresse di fondo della storiografia ufficiale e accademica11, il processo di Luigi XVI è stato molto spesso materia di
V. Milliot, Les Cris de Paris ou le peuple travesti, Paris, Publications de la Sorbonne, 1995; A. Duprat, Le roi décapité. Essai sur les imaginaires politiques, préface par Claude Langlois, Paris, Les éditions du Cerf, 1992. 10 Archives parlementaires, t. LIV, p. 364. 11 Così Mona Ozouf, nell’articolo Procès du roi in F. Furet – M. Ozouf et collab., Dictionnaire critique de la Révolution française. Événements, Paris, Flammarion, 2007, pp. 240-259 (1a ed. 1988; nuova ed. 1992): «Ce procès, scène primitive et centrale de la Révolution française, n’a pourtant pas beaucoup retenu les historiens. Soit qu’ils l’aient estimé déjà contenu dans les épisodes précédents, suspension et internement du roi, élection de la Convention et proclamation de la République. (…) Soit encore qu’ils l’aient surtout considéré comme le lieu stratégique d’affrontement des partis (…) Dans l’un et l’autre cas, ils restent indifférents à l’énorme enjeu symbolique que comporte le face-à-face du roi et de la Révolution. Seul Michelet éclaire la scène d’un jour violent et ne lui consacre pas moins d’une centaine de pages de son Histoire. C’est qu’à ses yeux le pouvoir monarchique est un pouvoir d’incarnation, et la Révolution l’avènement du Droit contre la royauté» (p. 242). 9
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trattazione non scientifica, terreno di speculazioni in cui si sono confrontati principalmente non addetti ai lavori che in nome di una pretesa verità storica si sono dimostrati più inclini a giudicare che propensi a comprendere. Questo celebre episodio della Rivoluzione francese è così incorso nel giudizio della posterità, inverando i timori o le previsioni dei contemporanei all’avvenimento, spettatori e protagonisti. Dalla Restaurazione in poi, in effetti, il processo di Luigi XVI fu oggetto di numerose ricostruzioni, spesso di matrice realista, di raccolte documentarie e repertori bibliografici12 che meriterebbero una trattazione a parte, per lo stretto legame con le differenti situazioni storico-politiche in cui videro la luce. Nondimeno esse attestano l’impossibilità di approcciare questo avvenimento in maniera neutrale13. Nella seconda metà dell’Ottocento, l’autore di una raccolta di documenti relativi al processo di Luigi XVI, L. Constant, denunciava come «depuis soixante-seize ans (1793-1869), la mort de Louis XVI a servi de texte à un nombre incalculable de déclamations, d’appréciations et de dithyrambes volontairement erronés. On a retracé sous toutes les formes les malheurs de la victime, les “excès” de la terreur et les crimes des “buveurs de sang”. Les passions politiques, les intérêts des partis se sont complu dans l’énumération lugubre des morts qu’ils regrettaient. Hélas! L’impartialité sévère n’est point encore de notre temps»14. In realtà, la stessa raccolta di documenti A titolo d’esempio, alcune opere pubblicate sin dalla prima Restaurazione: Procès de Louis XVI, roi de France et de Navarre, Suivi de son Testament, A Montpellier, Chez Jean Martel le Jeune, 1814; Procès de Louis XVI, roi de France, avec la Liste comparative des Appels nominaux, et des Opinions motivées de chaque Membre de la Convention. Suivi des Procès de Marie-Antoniette, Reine de France; de Madame Élisabeth, sœur du Roi; et de Louis-Philippe duc d’Orléans. Auxquels se trouvent jointes des pièces secrètes et inconnues sur ce qui s’est passé dans la tour du Temple pendant leur captivité, Par un ami du trône, troisième édition, revue et corrigée, ornée de six Portraits et trois Vignettes, A Paris, chez Lerouge – A. Égron, 1814, 2 voll., (riedizione di un’opera omonima apparsa nel 1798 e dovuta alla penna di Pierre Turbat, apparsa anche con il titolo Procès de Bourbons, Hambourg 1798, 2 voll.); [Dufricho-Foulaines], Louis XVI et ses défenseurs. Dédié au roi, A Paris, chez Mignert – Plancher, 1818. Un ricco repertorio bibliografico si trova in Catalogue d’une collection très-importante d’ouvrage historiques et satiriques sur Louis XVI, Marie-Antoinette et la Révolution française, Paris, Ernest Gouin, 1869. 13 Sulla bibliografia relativa al processo durante la Restaurazione, cfr. B. Frederking, Violence et culpabilité: Regards sur le procès de Louis XVI sous la Restauration, in Mélanges Jean-Clément Martin, dir. V. Martin – G. Mazeau, Paris, Presses universitaires de la Sorbonne, 2014. Si veda anche della stessa autrice, La condamnation des régicides en France sous la Restauration, entre culpabilité collective et conflit mémoriel, in Le sang des princes. Cultes et Mémoires des souverains suppliciés (XVIe-XXIe siècles), dir. P. Chopelin – S. Édouard, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2014. 14 L. Constant, Les grands procès politiques. Louis XVI d’après les documents authentiques, Paris, Armand Le Chevalier Éditeur, 1869, p. II. 12
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di Constant non era esente da spirito di parte, propendendo favorevolmente per l’operato svolto dalla Convenzione e dunque per la condanna a morte del re. Di queste eterogenee ricostruzioni, tuttavia, la storiografia del Novecento ha principalmente trattenuto fondamentalmente solo le interpretazioni ottocentesche di ampio respiro, in particolare le pagine che Jules Michelet vi ha dedicato nella sua Histoire de la Révolution française15. Per Michelet, il processo rispondeva alla doppia utilità di «replacer la royauté où elle était vraiment, dans le peuple», e di esercitare il diritto di fare giustizia, e di «mettre en lumière le mystère de l’incarnation monarchique. (…) Il fallait que la royauté fût traînée au jour, exposée devant et derrière, ouverte, et qu’on vît en plein le dedans de l’idole vermoulue, la belle tête dorée, pleine d’insectes et de vers»16. All’inizio del XX secolo, un giurista, Edmond Seligman (1857-1915), avvocato alla Corte di Cassazione, nel secondo volume dell’opera Justice en France pendant la Révolution, dedicò almeno un centinaio di pagine al processo di Luigi XVI. Il volume, uscito a distanza di dieci anni dal primo, intendeva ricostruire la natura e l’origine dei turbamenti sociali in vista dei quali era stato organizzato un regime penale d’eccezione. Un ruolo centrale, secondo Seligman, era occupato dal processo di Luigi XVI: Les résistances contre lesquelles s’est heurtée la Révolution ont trouvé un appui et un centre (…) dans Louis XVI. Monté sur le trône, que lui avaient transmis ses aïeux, en qualité de souverain de droit divin et de roi absolu, Louis XVI a accepté de mauvaise grâce la place qui lui était réservée dans le régime nouveau. Une hostilité, d’abord latente, puis de plus en plus visible, s’est déclarée entre le roi et la Révolution. Cette lutte, de plusieurs années, a abouti au renversement de la royauté et au jugement de Louis XVI par la Convention nationale. Elle forme comme le pivot des recherches qui conduisent à l’établissement des institutions de défense et de guerre dans lesquelles la Révolution a concentré ses forces17.
Nonostante Seligman dichiarasse in apertura della sua corposa ricerca di non essere uno storico di professione, lo scavo d’archivio e la completezza della ricostruzione restituiscono un lavoro fondamentale per la storia del processo, ancora insuperato. Seligman riteneva che il processo di Luigi XVI si configurasse come un’operazione allo stesso tempo giudiziaria «médioSi veda a questo proposito Ozouf, Procès du roi, pp. 242-250. Cfr. anche F. Furet, Michelet, in Furet – Ozouf, Dictionnaire critique, pp. 191-208. 16 J. Michelet, Le procès de Louis XVI, préface d’Alain Boureau, Bruxelles, Éditions Complexe, 1992, pp. 89-90. 17 E. Seligman, La justice en France pendant la Révolution (1791-1793), t. 2, Paris, PlonNourrit et Cie, Imprimeurs-Éditeurs, 1913, p. III. 15
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cremente conduite, sans unité de vues, sans méthode»» e politica, «développée avec ampleur». Sulla base di questa distinzione, secondo l’autore, con l’esecuzione di Luigi XVI la maggioranza aveva voluto rompere in maniera decisiva con il passato e sfidare i nemici della Rivoluzione. «L’exécution de Louis XVI est l’explosion de vigueur de vingt-cinq millions d’habitants, qui s’interdit les accomodements et proclame sa volonté de briser les résistances»18. Al lavoro e all’interpretazione di Seligman, deve molto la sintesi documentaria apparsa nella collana editoriale di Juillard Archives, nel 1966, di Albert Soboul, incline a sua volta a un giudizio positivo riguardo all’operato dei fondatori della Repubblica, che decretarono «non senza coraggio» la condanna a morte del re19. Nella prima metà degli anni Settanta, lo storico americano Michael Walzer nel saggio Regicide and Revolution, Speeches at the Trial of Louis XVI, riprendeva il portato simbolico dell’esecuzione di Luigi XVI, attraverso l’analisi di alcuni dei discorsi pronunciati alla Convenzione, sostenendo come il processo fosse «an act of destruction as well as the vindication of a new political doctrine; it represents the symbolic disenchantment of the realm as well as the establishment of a secular republic»20.
Ibidem, p. 486. A. Soboul, Le procès de Louis XVI, Paris, René Juillard, 1966. Nello stesso anno, apparve anche un’opera di carattere divulgativo sul processo di Luigi XVI, il cui autore, Arthur Conte, ex politico e ambasciatore, ripercorreva le tappe del terzo appello nominale (relativo alla pena da comminare): A. Conte, Sire, ils ont voté la mort… La condamnation de Louis XVI, Paris, Robert Laffont, 1966. 20 M. Walzer, Regicide and Revolution. Speeches at the Trial of Louis XVI, translated by Marian Rothstein, London – New York, Cambridge University Press, 1974, p. 88. Il saggio di Walzer presenta 11 discorsi pronunciati da otto membri della Convenzione nel corso del processo, da novembre 1792 all’inizio di gennaio 1793 (quelli di: Mailhe, Morisson, SaintJust, Paine, Robespierre, Condorcet, Marat, Saint-Just, Robespierre, Vergniaud, Paine), come esempio di teoria politica in azione («men of action litterally cannot act without becoming theorists», p. V). Anche per Lynn Hunt The Family Romance of the French Revolution, Berkley, University of California Press, 1992, il processo e soprattutto l’esecuzione di Luigi XVI hanno un valore simbolico tuttavia in senso psicanalitico. Servendosi dell’espressione freudiana ‘romanzo familiare’, la storica americana analizza l’avvenimento come uno sforzo collettivo mirante a creare un nuovo regime politico che non si articoli più sulla base dell’autorità patriarcale. Lo studio di Walzer è in parte ripreso in un curioso saggio uscito vent’anni dopo di Susan Dunn, The Death of Louis XVI. Regicide and the French political Imagination, Princeton, Princeton University Press, 1994. Si veda per completezza anche la traduzione in francese del saggio di Walzer, Régicide et Révolution. Le procès de Louis XVI, traduit de l’américain par J. Debouzy, suivi de Discours au procès de Louis XVI, réunis et annotés par A. Kupiec, et Régicide et Terreur? Controverse F. Fehér – M. Walzer, traduit de l’américain par A. Kupiec, Paris, Édition Payot, 1989. Senza avere altra pretesa che raccontare in maniera narrativa la storia del 18 19
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È a partire dagli anni Ottanta e in occasione del bicentenario dell’esecuzione di Luigi XVI, che è possibile riscontrare un rinnovato interesse per il processo. Tuttavia, in quel periodo videro la luce un certo numero di monografie dovute nella maggioranza dei casi a storici non professionisti21. Opere divulgative che risentono, a volte in maniera pesante, di spirito di parte e che pretendono di fare appello alla verità per sostenere delle tesi marcatamente orientate a dimostrare l’innocenza di Luigi XVI, l’invalidità del processo, o a porre in stato d’accusa la Convenzione, sulla base di un binomio interpretativo martirio-regicidio22. Il carattere non scientifico di tali ricostruzioni pretese storiche dovrebbe indurre a non contemplarle in una bibliografia ragionata. processo, tenendo comunque conto delle interpretazioni storiografiche precedenti, tra le quali anche quella di Walzer, va segnalato D. P. Jordan, The King’s Trial. The French Revolution vs. Louis XVI, Berkeley – Los Angeles – London, University of California Press, 1979. 21 Fanno eccezione gli atti del colloquio organizzato nel 1993 dall’Université PanthéonAssas Paris II sul processo di Luigi XVI in occasione del bicentenario: Le Bicentenaire du Procès du roi. Actes du colloque, Sénat, 8 janvier Palais de Justice, 9 janvier 1993, prés. par C. Goyard, Paris, Editions F.-X. Guibert, 1993. Gli esiti più interessanti di questo approccio giuridico al processo vengono dai saggi più tecnici dedicati alla procedura penale, sebbene il lavoro di ricerca di Seligman resti ancora di gran lunga più esaustivo e completo al riguardo. La stessa cosa si può dire per il saggio I. Mieck, Die Revolution und das Königtum: Der Prozess gegen Ludwig XVI. (1792/93), in Macht und Recht. Grosse Prozesse in der Geschichte, hrsg. v. A. Demandt, München, Verlag C. H. Beck, 1991, pp. 187-211. 22 Di questo tenore sono la ricostruzione volta a dimostrare l’innocenza di Luigi XVI di P. e P. Girault de Coursac, Enquête sur le procès du roi Louis XVI, Paris, La Table Ronde, 1982. Cfr. la dura recensione di Jacques Godechot nelle «Annales historiques de la Révolution française», (1983), 254, pp. 643-645. Gli stessi autori hanno pubblicato in occasione del bicentenario dell’esecuzione la difesa di Luigi XVI: P. e P. Girault de Coursac, – J.-M. Varaut, La défense de Louis XVI par Malesherbes, Tronchet et Desèze précédée du procès-verbal de l’interrogatoire du roi, Paris, F.-X. Guibert, 1993. Due narrazioni del processo pubblicate nel 1992 presentano un carattere più divulgativo che militante: A. Bonnefin, Le procès de Louis XVI, Paris, Nouvelles Éditions Latines, 1992; B. Melchior-Bonnet, Le procès de Louis XVI, Paris, Perrin, 1992. Un celebre avvocato penalista con la passione per la scrittura, Paul Lombard, ha voluto affrontare il processo con un approccio da pratico della professione forense senza per questo discostarsi dalle tendenze e dai limiti generali delle opere sopracitate: P. Lombard, Le procès du Roi, Paris, Bernard Grasset, 1993. Altri due titoli apparsi sempre in occasione del bicentenario dell’esecuzione costituiscono un interessante esempio di strumentalizzazione della storia a fini ideologici. Si tratta M. Vallée-Coston, Les conventionnels régicides, Caen, Micheline Vallée, 1993; H. Coston, La guerre de cent ans des sociétés secrètes, Paris, Publications Henry Coston, 1993. Henry Coston, noto esponente dell’estrema destra francese, spiegava il processo come complotto giudaico-massonico (complotto al quale peraltro non erano estranei anche i Templari disciolti per volontà di un re di Francia Filippo IV il Bello e non a caso antichi proprietari della prigione di Luigi XVI). Lo stesso Coston era stato prefatore e editore di un’edizione moderna del Procès de Louis XVI di Turbat: Procès de Louis XVI et de Marie-Antoinette, Paris, Publications Henry Coston, 1981.
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In realtà, esse meritano di essere considerate con interesse laddove si consideri come il processo stenti ancora ad entrare nel campo della riflessione storiografica vera e propria per rimanere in quello dell’opinione, spacciata per verità23. Nondimeno, la bibliografia non ha offerto solamente ricostruzioni divulgative, ideologicamente orientante o semplicemente frutto di un dilettantismo pretenzioso e senza metodo. Storici e giuristi di professione hanno dedicato al processo di Luigi XVI un’attenzione specifica all’interno di riflessioni relative a questioni di carattere più generale come la tirannia e il tirannicidio24, la storia della giustizia e l’evoluzione della codificazione penale25, capaci di riportare il dibattito all’interno di un discorso prettamente storico e storiografico volto alla comprensione piuttosto che al giudizio. D’altra parte, uno dei problemi legati al processo di Luigi XVI risiede proprio nella natura dell’avvenimento: una causa giudiziaria non ordinaria, tanto per l’eccezionalità dell’imputato, quanto per la posta in gioco, in breve, un processo politico26. Su questi punti le opinioni si schierano e i giudizi si In tempi più recenti, un simile approccio si ritrova nel saggio di Henri Beausoleil, La mort de Louis XVI, nel volume Le livre noir de la Révolution française, dir. R. Escande, Paris, Les Éditions du Cerf, 2008, pp. 105-136, che colloca il regicidio al culmine di un processo storico di degenerazione morale e politica cominciato con l’Illuminismo, le cui «conseguenze incalcolabili» sono riscontrabili sino al presente. Su questo si veda la recensione di H. Leuwers nelle «Annales historiques de la Révolution française», (2008), 351, pp. 225-227, che spiega le ragioni per le quali non si debba tacere la manipolazione spacciata per discorso storico. 24 M. Turchetti, Tyrannie et tyrannicide de l’Antiquité à nos jours, Paris, PUF, 2001, pp. 668-685; M. Cottret, Tuer le tyran? Le tyrannicide dans l’Europe moderne, Paris, Fayard, 2009, pp. 325-362. 25 J.-P. Royer, Histoire de la justice en France de la monarchie absolue à la République, Paris, Presses Universitaires de France, 2001, (1a ed. 1995), pp. 359-381, consacra una trentina di pagine al processo di Luigi XVI, affrontato più che altro dal punto di vista della procedura. L’autore afferma di propendere per l’interpretazione del processo come «meurtre rituel», fondatore della Repubblica. Sul processo di Luigi XVI si veda anche R. Martucci, Logiche della transizione penale. Indirizzi di politica criminale e codificazione in Francia dalla Rivoluzione all’Impero (1789-1810), «Quaderni fiorentini per la storia del pensiero giuridico moderno», XXXVI (2007), 1, pp. 131-274: 200-220. 26 Riflessioni sul processo politico nella storia si trovano in Les procès politiques (XIVee XVII siècle), études réunies par Y.-M. Bercé, Rome, École française de Rome, 2007, e più specificamente in S. Volker, The Breakdown of the Rule of Law. A Comparative View of the Depositions of George III, Louis XVI and Napoleon I, in Murder and Monarchy. Regicide in European History, 1300-1800, ed. by Robert von Friedeburg, Basingstoke, Palgrave Macmillian, 2004, pp. 259-290. Nella seconda metà del Novecento, Hannah Arendt ha evidenziato la complessità delle questioni in gioco laddove si analizzi un processo politico, in occasione del processo Eichmann, nel 1961, al quale assistette come inviata del «New Yorker». In particolare, poneva l’accento su quale dovesse essere l’unico scopo di un processo: rendere 23
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moltiplicano. Affrontare il processo di Luigi XVI a 220 anni di distanza, non significa, dunque, ‘riaprire’ il dossier della causa giudiziaria, tentare di ripercorrerlo per rilevarne gli errori, le incongruenze giudiziarie, difendere l’uno o condannare l’altro, continuando così a realizzare i timori di molti membri della Convenzione: il giudizio della posterità. Significa adottare un punto di vista differente. Interessa, qui, cercare di fare emergere il discorso contemporaneo sul processo, coglierne la ricaduta nello spazio pubblico di discussione, affrontarlo dal punto di vista della comunicazione, dei modi attraverso i quali era possibile formarsi un’opinione. Significa, altresì, restituire all’avvenimento la sua portata discorsiva, intesa come capacità dei differenti attori della comunicazione di produrre un’autorappresentazione di sé, di agire sulla base della loro capacità dispiegata di mettersi in prospettiva27. Un simile approccio si propone pertanto di restituire un’immagine dell’avvenimento più dinamica, capace di uscire dalla rappresentazione un po’ statica del processo, incentrata pressoché unicamente sui membri della Convenzione, isolati nel chiuso della Salle du Manège dove si riunivano, e su Luigi, detenuto nella prigione del Tempio, come se nessuno, a parte naturalmente le sezioni della Comune di Parigi, seguisse, assistesse, partecipasse a un evento così straordinario come il processo al re di Francia 28. Al contrario, dall’autunno del 1792 sino alla fine di gennaio 1793, il processo di Luigi XVI, fu oggetto di una ‘mediatizzazione’ che fu causa e allo stesso tempo conseguenza di un interesse pubblico contemporaneo e di una volontà di partecipazione. I mezzi per alimentare questo interesse e per prendere parte,
giustizia sulla base del diritto e su come tutte le altre ragioni, per quanto valide e nobili, inficiassero di fatto il compito principale del diritto: stabilire le prove a carico dell’accusato, emettere una sentenza e comminare la giusta pena. H. Arendt, La banalità del male. Eichmann a Gerusalemme, trad. it. Milano, Feltrinelli, 1998 (11a ed.). Da allora, la sua analisi del processo di Gerusalemme non ha cessato di suscitare polemiche e di dividere le opinioni. Lungi dal voler paragonare Luigi XVI a Adolf Eichmann o la giustizia rivoluzionaria a quella dei regimi totalitari del Novecento (parallelismo, quest’ultimo, presentato da Susan Dunn nello studio, più letterario che storico, The Deaths of Louis XVI, già citato), l’analisi della Arendt sul problema tra giustizia e diritto nei processi politici presenta numerosi punti di raccordo con il processo di Luigi XVI, offrendo spunti di riflessione laddove ci si interroghi sulle necessità politiche di contemplare altri scopi, altre ragioni, in un processo, che la semplice applicazione del diritto. 27 Cfr. J. Guilhaumou, Discours et événement. L’ histoire langagière des concepts, Besançon, Presses Universitaires de Franche-Comté, 2006. 28 Fa eccezione Seligman che dedica un capitolo (Manifestation du pays) all’interno della sua ricostruzione del processo di Luigi XVI alle diverse reazioni (pro o contro) manifestate in Francia sull’operato della Convenzione. Seligman, La Justice en France pendant la Révolution, t. 2, pp. 446-458.
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assistere al processo furono molteplici e di varia natura. Il modo più diretto, ma limitato a chi stesse o si trovasse a Parigi, era quello di assistere direttamente alle sedute pubbliche della Convenzione. Con il pubblico presente in aula, assiepato sulle tribune, i deputati dovevano quotidianamente confrontarsi nel momento in cui prendevano la parola. Vi era inoltre la possibilità di indirizzare all’assemblea rappresentativa petizioni o lettere al fine di far conoscere la propria opinione, individuale o collettiva al riguardo, la cui lettura veniva fatta quotidianamente dal deputato-segretario di turno in apertura di ogni seduta29. Il linguaggio per immagini, attraverso le caricature e le incisioni, vendute o affisse per le strade, ben illustrato da Annie Duprat, rappresentava un altro medium della comunicazione a disposizione nel corso del processo. Vi erano inoltre i mediatori popolari della comunicazione, al soldo dei diversi partiti, deputati a tenere comizi e a propagandare idee pro o contro il processo nelle strade della capitale, e naturalmente i luoghi della sociabilità. Di questi modi di partecipazione e presa della parola, di questi media e mediatori della comunicazione si ritrova un’eco costante nei mezzi analizzati in questa ricerca, le opere a stampa: giornali, pamphlet e libelli, e raccolte contemporanee di documenti relativi al processo. A sua volta anche la Convenzione nazionale, fin dal suo insediarsi, promosse la pubblicità del processo, decretando la pubblicazione dei documenti e delle carte processuali, così come quella della discussione parlamentare, inserendosi nel sistema di comunicazione a stampa. Accomunati dall’essere editi, tuttavia, questi scritti differivano l’uno dall’altro non solamente per la natura e tipologia, ma per intenzioni, scopi, modi e tempi di diffusione e circolazione, tipo di lettura, destinatari. Lungi dall’essere separati l’uno dall’altro, essi costituivano gli elementi interconnessi di una rete di comunicazione, a tratti autoreferenziale, che aveva nello spazio pubblico il proprio terreno di azione. Adottando il punto di vista del mezzo, è forse possibile cogliere un’immagine in prospettiva del processo, fare emergere discorsi, attori, dinamiche, sinora lasciati in secondo piano, che possono contribuire alla comprensione dell’avvenimento. Il libro è organizzato in quattro capitoli che corrispondono ai differenti media analizzati. Dare conto della struttura di questa ricerca significa al contempo riferire puntualmente delle fonte utilizzate e delle scelte operate in sede di ricerca. Le «Lettres, adresses et pétitions individuelles, des sociétés populaires, des administrations et des corps constitués» sono conservate presso le Archives nationales, nel fondo delle Assemblées nationales, Série C//233 à C// 352, 1792-an IV (1792-1796). 29
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Sebbene non si sia voluto ritracciare la storia del processo di Luigi XVI, tuttavia, per costruire un discorso sul processo all’epoca dei fatti, è risultato imprescindibile ripercorrerne i momenti salienti, e dunque raccontarne lo svolgimento. Il primo capitolo segue la storia del processo dal punto di vista della pubblicità data all’avvenimento dalla Convenzione attraverso la pubblicazione ufficiale delle prove a carico dell’imputato e dei discorsi e delle opinioni dei deputati. Si tratta di una ricostruzione e una narrazione degli avvenimenti che adotta il punto di vista interno della Salle du Manège delle Tuileries dove sedeva l’assemblea rappresentativa, compiuta attraverso lo spoglio dei volumi delle Archives parlementaires relativi al periodo autunnoinverno 1792-1793. Le differenti fasi del processo sono scandite dai decreti che, di volta in volta, adottano la decisione di dare alle stampe i documenti rinvenuti nel castello delle Tuileries dopo la giornata del 10 agosto e in seguito, i rapporti delle commissioni create per istruire il processo, gli interventi dei singoli membri relativamente al giudizio di Luigi XVI, l’interrogatorio e la difesa del re, e infine gli appelli nominali sul giudizio da emettere. Alla volontà iniziale di «formare l’opinione pubblica» che la Convenzione eredita dall’Assemblea legislativa, si sostituisce nel corso del processo, una preoccupazione di ordine pratico immediato, impedire le distorsioni delle informazioni ad opera dei giornali, e allo stesso tempo di ordine storico, giustificare il proprio operato di fronte alla posterità. Proprio alla stampa quotidiana, ai giornali, è dedicato il secondo capitolo. Mezzo di trasmissione rapida delle informazioni per eccellenza, nel periodo considerato, ai giornali a vocazione politica spettava la funzione essenziale di riportare quotidianamente i resoconti delle sedute parlamentari, di raccontare, di riferire le notizie relative alle condizioni di Luigi XVI prigioniero nella torre del Tempio e della sua famiglia. Non disgiunto da questa funzione informativa, i giornali offrivano ai lettori articoli di fondo in cui i redattori, spesso anonimi, esprimevano la propria opinione in merito al processo. Il periodo del processo di Luigi XVI chiuse una fase senza precedenti di libertà di stampa, già peraltro compromessa a partire dalla giornata del 10 agosto 1792, che fece vedere la luce a centinaia di fogli quotidiani. Affrontare il discorso contemporaneo sul processo di Luigi XVI dal punto di vista dei giornali richiederebbe un libro a parte, per l’ingente numero di testate che uscivano quotidianamente e di conseguenza per la quantità di informazioni messe in circolazione, a livello nazionale e locale. Ben lontani da questa possibilità di esaustività, la scelta dei giornali si è dunque inevitabilmente limitata a un numero ridotto di titoli, che si ritiene tuttavia coerente con l’insieme della documentazione analizzata e che poggia le sue ragioni principalmente sul criterio della diffusione su vasta scala e sui differenti orientamenti politici di ogni
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testata30. Quello che si è cercato di rilevare, attraverso la stampa quotidiana o settimanale, è stato il «discorso sul discorso», come cioè i giornali, al di là delle notizie, fossero a loro volta espressione di un’opinione particolare che intendeva intervenire nell’avvenimento, anticipandolo o cercando di dirigerlo31. Tanto i giornali quanto gli stessi deputati della Convenzione, si fecero spesso veicolo di denuncia o di pubblicità di pamphlet e libelli, oggetto di trattazione del terzo capitolo, che nel corso del processo apparvero numerosi tanto in difesa della causa di Luigi XVI quanto a sostegno del processo o della condanna a morte del sovrano detronizzato. Di questa ingente massa di scritti consultata32, di cui si riporta la bibliografia in appendice al volume, è possibile definire le diverse tipologie: difese, opinioni, riflessioni, adresses, appelli, cris, dialoghi, osservazioni, etc. Di natura e di stile differenti, così come i destinatari (la nazione, il popolo, i francesi, i membri della Convenzione, i sanculotti, a volte persino le donne come categoria a sé stante), questi pamphlet occasionati dal processo di Luigi XVI testimoniano l’intenzione degli autori (a volte anonimi, a volte noti) non solamente di partecipare alla discussione pubblica, ma di poterla influenzare, di poter «agire» direttamente sulla Convenzione, sull’opinione pubblica, attraverso il potere della parola. Distinti in pro e contro, dunque, essi coprono cronologicamente tutto l’arco del processo, dal novembre 1792 sino e ben oltre l’esecuzione di Luigi XVI il 21 gennaio 1793, riferendosi di volta in volta, a un preciso momento della causa in corso. Questi scritti, di fatto, presentano tra loro argomentazioni comuni sebbene espresse con registri stilistici differenti a seconda dei destinatari prescelti. A volte espressione dell’opinione di privati cittadini, altre volte di vera e propria propaganda, i pamphlet costituiscono un mezzo di comunicazione a stampa che nasce dallo spazio pubblico di discussione e che alimenta dall’esterno la lotta delle opinioni combattuta all’interno dell’assemblea rappresentativa.
I giornali su cui è stato eseguito uno spoglio sistematico e che rappresentano quelli su cui si è costruito il capitolo sono: Les Annales patriotiques et littéraires, La feuille du Matin, ou le Bulletin de Paris, La Feuille villageoise, Journal de la République française, par Marat, l’Ami du Peuple, Journal universel ou Révolutions des royaumes, Le patriote français, Le Père Duchesne, Le Républicain, Journal des hommes libres de tous les pays, Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, Suite du Journal de Perlet. 31 G. Feyel, Le journalisme au temps de la Révolution: un pouvoir de vérité et justice au service des citoyens, «Annales historiques de la Révolution française», (2003), 333, p. 34. 32 Il corpus di pamphlet e libelli su cui si è condotta la ricerca si è costruito principalmente attraverso lo spoglio della raccolta documentaria sulla Rivoluzione francese The French Revolution research collection, la ricerca nel catalogo della Bibliothèque Nationale de France, il repertorio bibliografico sopra citato Collection de pièces historiques et satiriques sur la Révolution française. 30
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Dell’entità del dibattito relativo al processo di Luigi XVI come scontro di opinioni, in primis di quelle dei deputati, ma anche di privati cittadini o di ex personaggi pubblici, testimoniano due raccolte di documenti contemporanee che cominciarono ad essere pubblicate a partire dal dicembre 1792 allo scopo di alimentare il dibattito pubblico rendendo facilmente accessibile la vasta massa di materiale pubblicata tanto dalla Convenzione quanto da editori privati. A queste due raccolte, primo esempio di tentativo di ‘narrazione’ in fieri del processo attraverso la mera pubblicazione di documenti senza commento, a garanzia di imparzialità, è dedicato il quarto capitolo. Anche queste collezioni documentarie contemporanee allo svolgimento del processo rappresentano di fatto un veicolo di trasmissione di un’opinione, quella dei redattori e dei compilatori, deducibile attraverso le scelte mai neutre dei documenti pubblicati. La quantità di fonti a disposizione per il periodo e l’avvenimento considerato anziché porre dei limiti alla ricerca, impone piuttosto delle rinunce a chi la compie, a detrimento dell’esaustività e della completezza della ricostruzione storica. Rinunce che investono tanto il campo spaziale quanto temporale dell’indagine. Da una parte ci si è limitati a sondare l’ambito francese genericamente inteso33. Un’indagine estesa ai giornali e ai pamphlet stranieri, inglesi, europei, e anche americani, sarebbe foriera di grandissimo interesse per cogliere la ricaduta internazionale del processo di Luigi XVI e dare infine la parola «all’Europa» spettatrice-giudice tante volte invocata dai convenzionali. Dall’altra non ci si è spinti oltre il periodo del processo, nonostante le intenzioni originarie. La gestione pubblica della memoria dell’evento, la discussione sulla festa nazionale del 21 gennaio, decretata nel maggio del 1794, pamphlet e nuove raccolte documentarie sul processo34 Non si sono approfondite dinamiche quali centro-periferia, non solamente per quanto riguarda la stampa periodica ma anche per la diffusione della libellistica del processo. Nondimeno, almeno per quanto riguarda i giornali, si è tenuto conto delle ricerche condotte sulle stampa periodica, non solo per procedere a una scelta fondata sui criteri della diffusione (rilevabile attraverso il numero delle sottoscrizioni), ma anche per acquisire consapevolezza del problema. 34 Le procès de Louis XVI, ou Collection complette, DES Opinions, Discours et Mémoires des Membres de la Convention nationale, sur les crimes de Louis XVI; Ouvrage enrichi des diverses pièces justificatives, mises sous les yeux de la Convention, et dont elle a ordonné l’impression, telles que celles qui ont été trouvées chez l’Intendant de la liste civile, dans l’armoire de Fer, etc.; et dont les inventaires ont été dressés, tant par les commissaires de la Convention nationale, que par ceux de la commune de Paris, A Paris, Chez Debarle, Imprimeur-Libraire, quai des Augustins, n° 17, au Bureau Général des Journaux. L’AN III de la République (1795), 9 vol. In data 11 settembre 1795 (25 fructidor, l’an 3) il Moniteur segnala nella rubrica dedicata agli annunci letterari l’apparizione de Le procès de Louis XVI, già completa di tutte e nove i volumi. Cfr. Réimpression de l’Ancien Moniteur seule 33
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pubblicati nei rimanenti anni rivoluzionari, testimoniano l’evoluzione e la continuazione di uno scontro di opinioni ben lontano dall’essere terminato con l’esecuzione di Luigi XVI. Due appendici bibliografiche ragionate chiudono il presente volume. Nella prima sono stati inseriti i titoli dei documenti processuali e delle opinioni dei deputati dati alle stampe per ordine della Convenzione nazionale nel corso del processo. Nella seconda Appendice, sono stati indicati i riferimenti bibliografici dei pamphlet contemporanei pubblicati pro o contro Luigi XVI, a cui sono aggiunti un gruppo di titoli prevalentemente inglesi per dare la percezione dell’estensione della discussione anche al di fuori della Francia. Senza avere pretesa di esaustività, queste appendici intendono dare conto della portata della discussione sul processo di Luigi XVI attraverso la stampa nello spazio pubblico. Questo libro è il risultato di una ricerca condotta grazie ad una borsa di post-dottorato del Dottorato internazionale “Comunicazione politica dall’antichità al XX secolo” che riunisce attorno a un progetto e intenti scientifici comuni le università di Francoforte, Innsbruck, Bologna, Trento e Pavia. Vorrei esprimere pertanto la mia gratitudine al collegio dei docenti del dottorato, che ha creduto in questa ricerca fin dall’inizio e con il quale, nel corso delle Klausurtagungen annuali, ho potuto discutere e confrontarmi proficuamente. Ringrazio la coordinatrice Luise Schorn-Schütte per la disponibilità che ha sempre mostrato nei confronti delle esigenze di un ricercatore e per la sua generosa accoglienza nel periodo trascorso presso l’università di Francoforte. Sono riconoscente al Collège doctoral franco-allemand (Goethe Universität – Université Paris1 Panthéon-Sorbonne) per avere favorito gli scambi con l’IHRF e contribuito con un borsa di studio alla mia permanenza a Parigi. Un grand merci va a Pierre Serna, che è all’origine dell’idea di questa ricerca, per la gentilezza e competenza con le quali si è prestato a leggere e discutere il manoscritto in fase di redazione e per la bellissima e appassionata prefazione che illustra questo libro. Sono sinceramente e profondamente grata infine ad Angela De Benedictis per il suo apporto scientifico e umano al mio lavoro lungo tutti questi anni, per le opportunità che mi ha offerto e suggerito di cogliere, per la sua lettura attenta e preziosa sui cui ho potuto sempre contare, e per aver reso possibile questa pubblicazione. Alle persone che in questi anni mi sono state vicine, anche quando spesso erano lontane, e che mi hanno incoraggiata con costanza non facendomi mai mancare il loro affetto e il loro sostegno, dedico questo libro. histoire authentique et inaltérée de la Révolution française depuis la réunion des ÉtatsGénéraux jusqu’au Consulat (Mai 1789 – Novembre 1799). Avec des notes explicatives, t. 25e, Paris, Plon frères, imprimeurs-éditeurs, 1854, p. 696.
I IL PROCESSO PUBBLICO IMPRIMÉ PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE
La mattina del 10 agosto, l’Assemblea Legislativa aveva cominciato la seduta alle 7 del mattino. Due ufficiali municipali e un sostituto procuratore della Comune di Parigi furono ammessi a parlare, in apertura di lavori, per annunciare che nella notte, all’Hôtel de Ville, i commissari della maggior parte delle sezioni della città, organizzati in consiglio generale, avevano annunciato che per il bene della cosa pubblica la municipalità era sospesa dalle sue funzioni. Nel momento in cui un popolo si metteva in stato di insurrezione, avevano affermato i commissari delle sezioni, era suo diritto riprendersi i poteri che aveva delegato. Mentre i deputati cominciarono a discutere sulle misure immediate da prendere, giunse l’annuncio che il re e la sua famiglia erano arrivati alle porte dell’assemblea. Luigi XVI accompagnato dalla moglie, i figli e dalla sorella, entrò nella sala in cui sedevano i rappresentanti e si sedette vicino al presidente: «Je suis venu ici pour éviter un grand crime, et je me croirai toujours en sûreté avec ma famille, au milieu des représentants de la nation»1. Poco dopo fu ammesso a parlare Pierre Louis Rœderer, procureur général syndic del dipartimento di Parigi, che informò la Legislativa di come durante la notte si fossero formati degli assembramenti di cittadini provenienti dalle varie sezioni diretti alla place du Carrousel. Proprio in quel luogo, solamente un’ora prima, informava Rœderer, una grande folla si trovava radunata e armata di cannoni rivolti verso le porte del palazzo delle Tuileries. Il resoconto del procuratore generale era già in ritardo sugli avvenimenti che si stavano producendo a poca distanza dalla sala in cui sedeva la Legislativa. L’attacco al castello, giunse notizia, era cominciato, i rimbombi dei cannoni furono uditi dagli stessi deputati e il generale della guardia nazionale, Mandat, era stato ucciso. Archives parlementaires, t. XLVII, p. 636. Si veda per un racconto dettagliato e documentato dei fatti del 10 agosto e delle giornate immediatamente precedenti, E. Seligman, La justice en France pendant la Révolution (1791-1793), t. 2, Paris, Plon-Nourrit Editeurs, 1913, pp. 137-185. 1
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Dall’interno della Salle du Manège dove siedeva la Legislativa, il susseguirsi continuo di notizie allarmanti che provenivano dall’esterno poneva i deputati nelle condizioni di trovare delle soluzioni immediate, tanto più che la municipalità della città era stata dissolta e non si poteva più farvi appello. Occorreva nominare d’urgenza un nuovo generale della guardia nazionale e trovare il modo per riportare l’ordine nella città. Fu deciso che fossero immediatamente stampati dei manifesti da affiggere in tutta Parigi nei quali si invitavano i cittadini a rispettare «les Droits de l’homme, la liberté et l’égalité». Alle undici di quella stessa mattina cessarono i rimbombi dei cannoni. Sei rappresentanti delle sezioni della Comune furono ammessi a parlare alla sbarra: «Ce sont les nouveaux magistrats du peuple qui se présentent à votre barre», annunciò uno di loro, Huguenin. (…) «Le peuple las enfin, depuis quatre ans éternel jouet des perfidies de la cour et des intrigues, a senti qu’il était temps d’arrêter l’Empire sur le bord de l’abime. Légilsateurs, il ne nous reste plus qu’à seconder le peuple: nous venons ici, en son nom, concerter avec vous des mesures pour le salut public»2. Il portavoce della Comune insurrezionale informava che il sangue del popolo era stato versato per mano di truppe straniere (gli svizzeri, guardie preposte alla difesa del re) che avevano sparato sui cittadini per ordine del potere esecutivo, dunque Luigi XVI. Il popolo, in nome del quale parlavano, dichiarava che, pur investendo della sua fiducia la Legislativa, «il ne pouvait reconnaître, pour juger des mesures extraordinaires auxquelles la nécessité et la résistance à l’oppisition l’ont porté, que le peuple français, votre souverain et le nôtre, réuni dans ses assemblées primaires»3. Il presidente, riconoscendo di fatto l’autorità della Comune insurrezionale, gli affidò il ristabilimento dell’ordine della capitale. Alcuni cittadini ammessi a parlare, tra cui un appartenente alla guardia nazionale, portarono la loro testimonianza sui fatti della mattina. Gli svizzeri, veniva riportato dai testimoni oculari, avevano deliberatamente sparato sulla folla, nonostante gli inviti a unirsi al campo avversario come fratelli e amici, uccidendo tutti coloro che si trovavano inavvertitamente esposti al fuoco improvviso. Occorreva, dunque, fare immediatamente giustizia sul sangue versato e riconoscere che la responsabilità del massacro ricadeva interamente sul potere esecutivo. Alla fine della giornata, su proposta della commissione straordinaria dei Dodici, l’Assemblea Legislativa emanò un decreto con il quale si sospendeva il potere esecutivo e si statuiva la formazione di una Convenzione nazionale. La
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Archives parlementaires, t. XLVII, p. 641. Ibidem, p. 642.
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condotta di Luigi XVI aveva dettato la revoca dell’autorità delegata al re che sarebbe stato sospeso dalle sue funzioni sinché la Convenzione non si fosse pronunciata sulle misure da adottare per assicurare la sovranità del popolo «et le règne de la liberté et de l’égalité». Il re e la sua famiglia sarebbero rimasti sotto la protezione della Legislativa sino al ristabilimento della calma; una volta raggiunta, avrebbero trovato alloggio al Palais du Luxembourg4. Cominciava così, il 10 agosto, il lungo processo al Luigi XVI. Nei giorni successivi, su pressione della Comune insurrezionale neocostituita, si decise che il re e la famiglia reale sarebbero stati trasferiti al Tempio, dongione dell’antica fortezza dell’ordine dei Templari. Questo edificio, munito di alte mura e torri e isolato all’interno del contesto urbano, ben si prestava ad accogliere, proteggere e soprattutto tenere sotto sorveglianza Luigi XVI e i suoi familiari che vi furono trasferiti il 13 agosto. Nella concitazione di queste giornate, cominciò una prima fase istruttoria del processo5, ben prima, dunque, che la Convenzione entrasse in carica. Il 10 agosto stesso, il giorno dell’assalto al palazzo delle Tuileries, la Legislativa ordinò che i registri della lista civile, l’appannaggio annuale concesso dal corpo legislativo al sovrano per le spese personali e quelle della propria casa, fossero numerati, siglati e depositati nell’ufficio dell’assemblea, e che sui documenti dei ministri e su quelli dell’intendente Arnaud de Laporte fossero apposti i sigilli. L’inventario dei documenti ritrovati alle Tuileries fu compilato dalle sezioni delle Piques e del Louvre alla presenza dei commissari nominati dall’assemblea Legislativa (Gohier, Audrein, Basire e Merlin) e della Comune. Il 15 agosto seguente, il deputato Basire del comitato di sorveglianza denunciava il ritrovamento di alcune carte presso gli appartamenti del re e gli uffici di Laporte, dalle quali emergeva che Luigi aveva pagato regolarmente il soldo delle sue guardie del corpo di stanza in armi a Coblenza agli ordini dei suoi fratelli. Si trattava di una piccola selezione, tra le tante carte rinvenute, che dimostrava chiaramente, affermava Basire, il tradimento del potere esecutivo e le sue relazioni con gli emigrati. Tuttavia sarebbe stato imprudente che l’assemblea nazionale si esprimesse al riguardo procedendo con rapporti parziali: «Il me semble» sosteneva Basire, «que c’est à la Convention nationale à juger ce grand procès, et que l’Assemblée actuelle ne doit rien prononcer à cet Ibidem, p. 645. Si segue qui l’opinione di Edmond Seligman, La justice en France, p. 378 e ss., che fa cominciare l’istruzione del processo il 10 agosto. La fase istruttoria del processo di Luigi XVI, tuttavia, conobbe diverse fasi, corrispondenti alle diverse commissioni che se ne fecero carico, come si dirà oltre, e di fatto, si prolungò sino al mese di dicembre. 4 5
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égard. Seulement, je demande l’impression et la publication de ces pièces, afin de former, par avance, l’opinion publique, et mettre la Convention à même de prononcer»6. L’Assemblea ordinò la stampa dei documenti letti nel corso della seduta dal deputato Gohier e decretò inoltre che dieci esemplari fossero distribuiti a ogni deputato7. Questo decreto non fu che il primo di una lunga serie di disposizioni ufficiali tese a rendere pubblica quella che sarebbe stata la messa a giudizio di Luigi XVI. La preoccupazione di «former l’opinion publique», di ampliare lo spazio della discussione alla nazione, di agire secondo giustizia e sulla base di prove rese pubbliche attraverso la stampa, avrebbe attraversato di fatto tutto il processo. A partire dalla proposta di Basire, tutti i rapporti e gli inventari stilati dalle commissioni che via via sarebbero state create per catalogare i documenti ritrovati nel palazzo delle Tuileries, sarebbero stati stampati «par ordre de l’Assemblée nationale» e successivamente «par ordre dela Convention nationale», come si leggeva nei frontespizi originali usciti dai tipi dell’Imprimerie Nationale gestita da François-Jean Baudouin, già imprimeur della Costituente e in seguito della prima assemblea rappresentativa repubblicana8. Si trattava, nondimeno, di una prassi che l’assemblea rappresentativa aveva adottato sin dal suo primo costituirsi, quando la neoproclamata Assemblée Nationale aveva approvato la proposta di decreto del deputato del Terzo Stato Target, del il 19 giugno 1789, di rendere pubbliche a mezzo della stampa gli atti dell’Assemblea e lo svolgimento delle sedute9. L’inventario delle carte della liste civile fu pubblicato a partire dalla metà di agosto in quindici raccolte. Nelle Observations préliminaires anteposte alla terza collezione di documenti rinvenuti presso l’ufficio dell’intendente de Laporte, le cui carte erano state lette nella seduta dell’Assemblea nazionale il 17 agosto, erano precisati i criteri e il metodo con cui si procedeva alla disamina dei documenti: Pour connoître toute l’authenticité des pièces dont l’assemblée nationale a ordonné l’impression et la publication, il faut savoir avec quelles solemnités ces pièces ont été inventoriées. C’est en présence de deux commissaires de l’assemblée nationale, de deux commissaires de la municipalité et de M. de la Chapelle, un des principaux
Archives parlementaires, t. XLVIII, p. 161. Archives parlementaires, t. XLVIII, p. 184. 8 Su Baudouin si veda F. Barbier – S. Juratic – A. Mellerio, Dictionnaire des imprimeurs, libraires et gens du livre à Paris 1701-1789, A-C, avec la collaboration de Marie Cécile Anfray, Nathalie Rénier, Marie Trombert, Françoise Weil et Micheline Zéphir-Eymerie, Genève, Droz, 2007, pp. 183-186. 9 Archives parlementaires, t. VIII, p. 134. 6 7
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commis de la liste civile, que s’est fait la recherche et inventaire des papiers; et les officiers chargés de rédiger cet inventaire, sont deux commissaires nommés par l’assemblée générale de la section du Louvre. Chaque pièce est numérotée, paraphée; et le procès-verbal des opérations des commissaires, est signé par tous ceux qui assistent à la séance»10.
A distanza di un mese, nella seduta dell’Assemblea del 16 settembre, il deputato del dipartimento d’Ille-et-Vilaine Jérôme Gohier, membro incaricato del comitato di sorveglianza, dava lettura del «tableau analytique» delle carte trovate negli uffici della lista civile. In quell’arco di tempo, la Legislativa non aveva in realtà spinto l’indagine molto oltre. I risultati delle investigazioni compromettevano di fatto delle personalità secondarie più che direttamente Luigi XVI, dei personaggi appunto come Arnaud de Laporte o altri che erano stati processati e giustiziati alla fine del mese di agosto. In aggiunta, molti potenziali testimoni utili all’istruzione del processo perirono durante i massacri di settembre. Pertanto, l’Assemblea Legislativa si limitò allo studio e alla pubblicazione dei documenti requisiti alle Tuileries, senza indagare ulteriormente a partire dagli indizi trovati11. D’altra parte, come sottolineava Gohier, quello era stato il ruolo della Legislativa. Sarebbe spettato alla Convenzione di istruire il processo vero e proprio. L’Assemblea nazionale «doit à la Convention nationale, qui jugera le grand procès de Louis XVI, toutes les preuves qui s’accumulent contre lui; elle doit au peuple toutes les lumières propres à l’éclairer sur les grands intérêts qui fixent en ce moment ses regards. C’est à l’instant où il va définitivement organiser la forme de son gouvernement, qu’il importe de lui faire connaître jusqu’à quel point il peut compter sur la fidélité d’un roi»12. Alla fine della lettura del Rapport di Gohier, l’Assemblea ne ordinò la stampa, la distribuzione nel numero di dieci esemplari a ogni deputato, e l’invio ai dipartimenti e agli eserciti13. Cinque giorni dopo, il 21 settembre, fu abolita la monarchia e proclamata la Repubblica. A questo punto lo statuto di Luigi XVI subiva un cambiamento. Un decreto del consiglio generale della Comune del 29 settembre stabilì che Luigi XVI fosse trasferito subito nella grossa torre del Tempio. Gli ufficiali municipali sarebbero stati i soli ad avere le chiavi del suo appartamento e i cittadini della guardia nazionale sarebbero potuti entrare unicamente su
Diverses pièces inventoriées chez M. Delaporte, administrateur de la liste civile, lues à l’Assemblée nationale, Le vendredi 17 Août 1792, l’an quatrième de la liberté, et imprimées par son ordre. Troisième collection, A Paris, De l’Imprimerie nationale, [1792], p. 1. 11 Cfr. Seligman, La justice en France, pp. 381-382. 12 Archives parlementaires, t. L, pp. 39-40. 13 Ibidem, p. 47. Cfr. Appendice. 10
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LE POUR ET LE CONTRE
richiesta espressa. Agli stessi ufficiali erano inoltre data autorizzazione di togliere dall’appartamento del re tutto ciò che potesse costituire un’arma d’offesa o di difesa oltreché penna, inchiostro, carta e matita14. La Convenzione, entrata ufficialmente in carica il 20 settembre, subì il 1° ottobre un inatteso scossone che produsse un’accelerazione nella questione relativa a Luigi XVI. A seguito della lettura di un rapporto del Comité de surveillance de la Commune, nel quale alcuni deputati della Legislativa erano accusati di essere stati corrotti dalla lista civile, i deputati giacobini Merlin e Chabot approfittarono della confusione suscitata da questa notizia per avanzare la proposta di dare inizio alla messa a giudizio del re. On fait journellement le procès au comité de surveillance de la ville – affermò il deputato Merlin –, parce qu’il tient les pièces qui font le procès de plusieurs scélérats. Il est temps qu’enfin, après avoir décrété l’abolition de la royauté, la Convention montre qu’un roi détrôné n’est pas même un citoyen. Il faut qu’il tombe sous le glaive national et que tous ceux qui ont conspiré avec lui le suivent à l’échafaud. Eh bien, les preuves de ces trahisons et de celles de ses agents existent au comité de surveillance. Je demande que l’infâme qui voulait verser à grands flots le sang du peuple soit jugé par vous; car la Convention doit être pour lui juré d’accusation et juré de jugement. Dans ce but, je propose la formation d’une commission extraordinaire dont les membres ne seront pris ni parmi ceux de l’Assemblée législative, ni parmi ceux du Corps constituant, pour inventorier les pièces de la dénonciation et en faire un rapport d’après lequel la Convention statuera ce qu’elle jugera convenable pour le salut public15.
Dopo una breve discussione, il deputato del dipartimento delle Bouchesdu-Rhône Charles Jean-Marie Barbaroux avanzò la proposta di un progetto di decreto che proponeva la creazione di una commissione straordinaria che si occupasse dell’istruzione del processo. Per garantire la massima imparzialità, la scelta dei membri, nel numero di ventiquattro, doveva cadere su quei deputati della Convenzione che non fossero già stati membri della
Moniteur, t. XIV, p. 100. Cfr. E. Seligman, La justice en France, op. cit., t. 2, p. 385. Nella seduta del 4 ottobre la Convenzione adottò il progetto di decreto proposto dal deputato Guyton-Morveau a nome del Comité de l’ordinaire des finances, relativo alle «dépenses de subsistance et d’entretien de Louis XVI et de sa famille, et tendant à faire présenter, par le ministre de l’intérieur, le compte rendu des dépenses déjà faites à cet égard». La Convenzione rinnovò la somma stabilita il 10 agosto, di 500.000 livres concesse per le spese del re e della sua famiglia. Responsabile della gestione del denaro sarebbe stato il ministro dell’Interno cui spettò il compito di presentare all’Assemblea il resoconto delle spese già sostenute sino a quel momento e di quelle da fare sia per il mantenimento di Luigi XVI e dei suoi familiari sia per la sicurezza del luogo di detenzione. 15 Archives parlementaires, t. LII, p. 266. 14
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Costituente e della Legislativa, della deputazione di Parigi o, ancora, cittadini della capitale. La Commission des Vingt-quatre avrebbe avuto per compito immediato quello di sigillare e contrassegnare tutti i cartoni nei quali erano depositate le carte raccolte dal comitato di sorveglianza di Parigi. Successivamente, le carte contenute nei cartoni sarebbero state numerate e siglate da due commissari della Convenzione alla presenza di tutti gli altri, da due commissari del comitato di sorveglianza e da due ufficiali municipali. Una volta terminato l’inventario tutte le carte sarebbero state poste nei locali dell’assemblea rappresentativa, costantemente vigilate da quattro commissari della Convenzione, due membri del comitato di sorveglianza e due ufficiali municipali. Poiché, di fatto, la Commissione dei Ventiquattro aveva funzione di giudice istruttore16, i commissari della Convenzione avevano potere di emettere mandati di comparizione e di arresto qualora necessario. Come già era stato per la Legislativa, inoltre, un articolo del progetto prevedeva la stampa delle carte ritenute importanti. La Convenzione adottò il progetto presentato da Barbaroux e procedette subito alla nomina dei ventiquattro membri della nuova commissione, che risultarono appartenere tutti alle file dei girondini17. I lavori della commissione si protrassero per oltre un mese. Nella seduta del 6 novembre, il deputato del dipartimento dell’Orne DufricheValazé, portavoce dei Vingt-quatre, lesse alla Convenzione il risultato della disamina delle carte raccolte e inventariate. Il Rapport sur le crimes du cidevant roi, dont les preuves ont été trouvées dans les papiers recueillis par le comité de surveillance de la Commune de Paris produsse, tuttavia, dei risultati poco probanti. Gli accenni a progetti cospiratori rimanevano ad uno stadio di abbozzo, senza che fosse possibile, per mancanza di riferimenti, attestarne l’evoluzione: «A chaque pas nous avons vu éclore de nouveaux plans; et presqu’aussitôt le fil des conspirations a été interrompu, sans qu’il nous ait été possible d’en retrouver la trace», affermava Dufriche-Valazé in apertura del rapporto18. I documenti citati facevano principalmente riferi-
Sulle funzioni di giudice istruttore ante litteram nel periodo rivoluzionario si veda E. Berger, Les origines du juge d’instruction sous la Révolution, le Consulat et l’Empire, in J.-J. Clère – J.-C. Farcy (sous la direction de) Le juge d’instruction. Approches historiques, Dijon, Editions Universitaires de Dijon, 2010, pp. 21-41. 17 Barbaroux, Lehardy, Cavaignac, Birotteau, Bailly, Berlier, Daubermesnil, Delbrel, Laurenceot, Lejeune, Derazey, Dufriche-Valazé, Delhaye, Varlet, Petitjean, Laurent (BasRhin), Bailleul, Philippeaux, Lesage, Boutroué, Pelletier, Froger-Plisson, Drouet, PoulainGrandpré. Archives parlementaires, t. LII, pp. 267-268. 18 Archives parlementaires, t. LIII, p. 210. 16
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mento a fatti già noti, come la fuga di Varennes e i suoi costi, e al denaro destinato a personaggi «ennemis du peuple français», come due curati refrattari di Versailles, o i familiari rifugiati a Torino o, ancora, gli emigrati residenti a Coblenza. Il rapporto si concludeva con una riflessione sui termini dell’inviolabilità del re previsti dalla Costituzione del 1791 e sui ‘limiti’ della pena prevista in caso di crimini commessi dal capo dell’esecutivo. Per il resto, il «tableau fidèle des crimes dont le ci-devant roi est convaincu par les pièces qui ont été soumises à notre examen», che Valazé aveva dipinto, risultava alquanto vago e impreciso19. Come si sarebbe più volte osservato, l’istruzione del processo da parte della Convenzione partiva già dal presupposto della colpevolezza dell’accusato, contraddicendo il principio della presunzione di innocenza, affermato dalla dichiarazione dei diritti dell’uomo e del cittadino del 1789, dalla Costituzione e dal nuovo Codice penale del 1791. Sebbene, a lettura ultimata, molti deputati domandassero che il rapporto e le carte in esso citate fossero dati alle stampe, la breve discussione che seguì tale richiesta rivelava la sensazione, in seno alla Convenzione, di una certa debolezza al riguardo delle prove e delle conclusioni alle quali la Commissione dei 24 era giunta in seguito allo spoglio dei documenti. Il deputato Osselin, pur appoggiando la proposta di impressione dei documenti, suggerì che il rapporto di Dufriche-Valazé fosse pubblicato limitatamente alla parte in cui erano trattati i fatti poggianti sulle prove a carico. «Quant à la seconde partie» aggiungeva, «où le rapporteur fait sur l’inviolabilité des distinctions dont quelques-unes sont très subtiles et dont quelques autres seront sans doute combattues, je demande qu’on ne l’imprime pas parce que nous devons nous garder de faire aucune chose qui puisse entraîner un jugement trop précipité sur une matière aussi délicate»20. Barbaroux domandò di attendere che tutta una serie di documenti provanti il tradimento di Luigi XVI e conservati ancora presso il Comité de surveillance di Parigi, presso la cancelleria del tribunale criminale e della Haute-Cour nazionale, non fossero stati depositati al comité de sûreté générale affinché se ne facesse una cernita, e circa negli stessi termini si espresse Rabaut-Saint-Etienne. Per
Sembrava che la principale preoccupazione della Commissione dei Ventiquattro fosse la delicata questione della preservazione delle prove a carico (e teoricamente a discarico) da qualsiasi possibile sabotaggio. Seligman (La justice en France, pp. 390-392) esprime un giudizio alquanto duro sull’operato della Commission des Vingt-quatre nel quale egli legge l’incapacità della Gironda, che si era fino ad allora aggiudicata la direzione del processo, di gestire l’istruzione. 20 Archives parlementaires, t. LIII, p. 217. 19
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Danton, invece, la questione relativa al dare o meno alle stampe il rapporto di Valazé riguardava solamente le riflessioni conclusive sull’inviolabilità del re stabilita dalla costituzione: J’ai entendu quelques membres s’opposer à la publication de ces réflexions et ne vouloir que l’impression de la partie qui contient les faits. Je suis d’avis que vous devez imprimer le tout. Vous avez à justifier à l’univers et à la postérité le jugement que vous devez porter contre un roi parjure et tyran. Dans une pareille matière, il ne faut pas épargner les frais d’impression; toute opinion qui paraîtra mûrie, quand elle ne contiendrait qu’une bonne idée, doit être publiée. Certes, la dissertation du rapporteur sur l’inviolabilité n’est pas complète. Il y aura beaucoup d’idées à y ajouter. Il sera facile de prouver que les peuples aussi sont inviolables, qu’il n’y a pas de contrat sans réciprocité, et qu’il est évident que si le ci-devant roi a voulu violer, trahir, perdre la nation française, il est dans la justice éternelle qu’il soit condamné. Je ne me livrerai point à une discussion prématurée; je me bornerai à demander l’impression du rapport 21.
Alla fine prevalse il partito della ‘pubblicità’ di tutte le discussioni assembleari, e la Convenzione ordinò la stampa e l’invio agli 83 dipartimenti del rapporto di Valazé e dei documenti annessi22. La questione dell’inviolabilità del re abbordata dal rapporto di Valazé aveva costituito un argomento a sfavore della proposta di rendere immediatamente pubblici per mezzo della stampa i risultati dei lavori della Commissione dei 24. Valazé aveva in effetti sollevato un nodo cruciale della messa a giudizio del re, ovvero le condizioni e i limiti posti dalla Costituzione di un’eventuale azione giudiziaria nei confronti del capo dell’esecutivo. Egli aveva tuttavia suggerito di oltrepassare tali limiti in rapporto ai crimini non previsti dalla costituzione, di superare il circolo vizioso nel quale si rischiava di finire, e di pensare a un giudizio che andasse oltre la ‘semplice’ déchéance de la royauté prevista dai legislatori. La posta in gioco di simili riflessioni non era dunque sfuggita a chi aveva sollevato qualche perplessità circa l’opportunità di renderle pubbliche. Tuttavia, le circostanze erano tali, aveva affermato il deputato Buzot in chiusura del breve dibattito, che si cercava con ogni mezzo di mettere in agitazione il popolo. Era pertanto necessario che «tout rapport lu à la Convention nationale soit imprimé»23. D’altra parte, la Convenzione, contemporaneamente alla costituzione della commissione dei 24, aveva incaricato il Comité de Législation proprio Ibidem. Vedi l’Appendice. 23 Archives parlementaires, tome LIII, 27 octobre 1792 – 30 novembre 1792, p. 217. Il rapporto letto da Dufriche-Valazé si trova alle pagine 210-217. 21 22
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all’effetto di esaminare le questioni giuridiche che la messa a giudizio di Luigi XVI poneva24. L’esito di tale studio fu letto il 7 novembre, il giorno seguente quello di Valazé, dal deputato tolosano Jean-Baptiste Mailhe, relatore del comitato. La prima questione affrontata dal comitato di Legislazione – «Louis XVI est-il jugeable pour les crimes qu’on lui impute d’avoir commis sur le trône constitutionnel?» – richiedeva la più matura discussione, non tanto per la grande maggioranza del popolo francese, convinto dell’estensione della propria sovranità, quanto per l’esigua minoranza che credeva di intravedere nella costituzione l’impunità di Luigi XVI; per le nazioni da istruire; per tutto il genere umano che contemplava la Convenzione e che si dibatteva tra il bisogno e la paura di punire i suoi tiranni, e «qui ne se déterminera peut-être que d’après l’opinion qu’il aura de votre justice». Il punto di partenza del ragionamento di Mailhe era la Costituzione del 1791 che aveva sancito l’inviolabilità del re25. Tuttavia, la costituzione prevedeva che tale inviolabilità decadesse se si fossero verificate le seguenti condizioni: «si le roi ne prêtoit pas le serment prescrit, ou si, après l’avoir prêté, il le retractoit; s’il se mettoit à la tête d’une armée et en dirigeoit les forces contre la nation, ou il ne s’opposoit pas par un acte formel à une telle entreprise qui s’exécuteroit en son nom; si, étant sorti du royaume, il n’y rentroit pas après une invitation du corps législatif et dans un délai déterminé». In ciascuno di questi casi il re era «censé avoir abdiqué la royauté». Dopo l’abdicazione espressa o legale, il re apparterrebbe alla classe dei cittadini e potrebbe come tale essere accusato e giudicato per gli atti posteriori alla sua abdicazione. L’inviolabilità, insisteva Mailhe, aveva avuto come unico scopo quello di assicurare «l’energia» e l’indipendenza del potere esecutivo dal corpo legislativo che, al di là dei casi previsti dalla costituzione, non aveva alcun diritto di giudicare il re. La nazione, al contrario, non era vincolata dall’inviolabilità reale. La sovranità della nazione, infatti, procedeva direttamente dalla natura ed era pertanto inalienabile, mentre Luigi XVI era re solamente in virtù della costituzione. Ora, nel momento in cui la nazione aveva stabilito, per diritto imprescrittibile, di cambiare la propria costituzione e di scegliere la repubblica, Luigi aveva immediatamente cessato di essere re, a prescindere
Rapport et projet de décret, présentés à la Convention nationale, au nom du Comité de Législation, Par Jean Mailhe, Député du département de Haute-Garonne, Le 7 Novembre 1792, l’an premier de la République; Imprimés et envoyés par ordre de la Convention nationale dans les 83 Départemens, et dont la traduction en toutes les langues a été également décrétée, De l’Imprimerie nationale. 25 Articolo 2, della Sezione I (De la royauté et du roi), del capitolo II (De la royauté, de la régence et des ministres), del Titolo III (Des devoirs publics). 24
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dal fatto che egli fosse colpevole o meno. Inoltre, lo stesso codice penale in vigore, provenendo direttamente dall’atto costituzionale, si poneva al di sotto dell’autorità della nazione che poteva fare appello a leggi ben più antiche e comuni a tutte le epoche e a tutti i paesi, in base alle quali le era possibile punire l’oppressore della libertà: «Le droit qu’a toute nation de juger et de condamner ses rois, n’est-il pas une condition nécessairement inhérente à l’acte social qui les plaça sur le trône? n’est-il pas une conséquence éternelle, inaliénable, de la souveraineté nationale?». Luigi XVI non era che l’ultimo di una lunga serie di re che nel corso della storia erano stati detronizzati e puniti dai popoli oppressi senza che per questo esistessero leggi e pene specifiche. Ma, proseguiva Mailhe, «il est de la nature même de la souveraineté nationale de suppléer, s’il le faut, au silence des lois écrites, de déployer l’appareil des supplices attachés à la violation de son premier acte social, ou d’appliquer aux crimes des rois les peines relatives aux crimes des autres citoyens». Dimostrato che il re fosse giudicabile, si trattava di stabilire da chi dovesse essere giudicato. Ora se si concordava con la tesi esposta da Mailhe secondo la quale l’effetto dell’inviolabilità costituzionale del re cessava solamente di fronte alla nazione, ne risultava che solamente la Convenzione o un tribunale formato dalla nazione intera potesse pronunciarsi sui crimini commessi da Luigi XVI. Coloro che, in seno al Comité de Législation, non volevano che la Convenzione giudicasse il re, avevano avanzato una proposta, vicina alla procedura penale corrente, nella quale all’assemblea rappresentativa sarebbe spettato solamente il ruolo di jury d’accusation26. Tuttavia, il comitato rigettò questo progetto preferendo che fosse la Convenzione stessa a giudicare Luigi XVI. Ma in che modo? Si trattava di stabilire se la Convenzione dovesse seguire le forme prescritte nei processi criminali. Nel corso ordinario della giustizia le forme rappresentavano la salvaguardia della libertà e della vita dei cittadini che in tal modo venivano posti al riparo da qualsiasi interesse particolare. Tuttavia, questo grande apparato della procedura criminale, sosteneva Mailhe, risultava inutile laddove fosse la società stessa a pronunciarsi sui crimini dei propri membri. Una società politica doveva avere a cuore solamente gli interessi di tutti e poteva agire solamente nell’interesse generale, pena la sua stessa distruzione. Ne conseguiva che la Convenzione nazionale, rappresentando interamente e perfettamente la repubblica francese, poteva rivestire il ruolo di giudice di Luigi XVI. «La nation a donné In base al nuovo Code pénal del 1791, spettava ad un juré d’accusation stabilire, sulla base delle prove raccolte ed esaminate, il luogo o il non luogo a procedere in una causa criminale: De la justice criminelle et de l’institution du juré d’accusation. Titre 1er De la procédure devant le tribunal du district et du juré d’accusation, 26
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pour juges à Louis XVI les hommes qu’elle a choisis pour agiter, pour décider ses propres intérêts, les hommes à qui elle a confié son repos, sa gloire et son bonheur, les hommes qu’elle a chargés de fixer ses grandes destinées, celles de tous les citoyens, celles de la France entière». Il comitato rigettava, infine, la proposta di sottoporre la sentenza emessa su Luigi XVI alla ratificazione di tutti i cittadini riuniti in assemblee comunali o primarie fondamentalmente perché sarebbe stato impossibile sottoporre a un tribunale di tale estensione tutte le prove nonché le deposizioni dell’accusato. La lunga relazione di Mailhe si concludeva con un progetto di quattordici articoli nel quale si stabiliva innanzitutto che Luigi XVI poteva essere giudicato e che la Convenzione nazionale si sarebbe fatta carico di tale giudizio (art. I e II)27; L’importanza del rapporto del Comité de Législation, che fornì la base delle discussioni sul processo, era tale che non soltanto fu dato alle stampe per ordine della Convenzione, inviato ai dipartimenti, alle municipalità e agli eserciti francesi, ma, su proposta del deputato Billaud-Varenne, ne fu ordinata la traduzione «dans tous les idiomes de l’Europe». Fu inoltre stabilito che esso fosse distribuito, entro tre giorni, nel numero di dieci esemplari a ciascun membro della Convenzione in modo da cominciare la discussione il lunedì successivo, 13 novembre28. Quel giorno, in apertura di lavori, l’assemblea accolse la mozione d’ordine di Pétion di trattare prioritariamente e separatamente la questione se
Gli articoli seguenti concernevano la fase istruttoria che prevedeva la nomina di tre commissari, scelti per votazione dall’assemblea, incaricati di raccogliere tutte le carte, informazioni e prove relative ai crimini imputati a Luigi XVI, di presentare il risultato all’Assemblea e di stilare infine l’atto enunciativo dei crimini, di cui Luigi sarebbe stato informato (art. III e IV). Tutta quanta la documentazione, il rapporto dei commissari, l’atto enunciativo e i documenti sui quali era basato, sarebbero stati stampati e distribuiti ai deputati. Otto giorni dopo la distribuzione, avrebbe avuto inizio la discussione sull’atto enunciativo che sarebbe stato adottato o rigettato per appello nominale a maggioranza assoluta dei voti. In caso di accettazione, l’atto enunciativo sarebbe stato comunicato a Luigi XVI e ai suoi difensori, qualora avesse ritenuto opportuno di dotarsene (art. V, VI VII). Il comité de Législation non solamente continuava la linea d’azione già tracciata di rendere pubblico tutto quanta la procedura ma garantiva in questo lo svolgimento di una discussione consapevole in seno alla Convenzione. Gli articoli VIII, IX e X riguardavano i criteri e le misure da adottare per la comunicazione al Tempio dei documenti in copia o in originale all’accusato. Dopo aver fissato il giorno di comparizione davanti alla Convenzione, Luigi XVI avrebbe presentato la sua difesa per iscritto, debitamente firmata di suo pugno. Era inoltre previsto che, se ritenuto opportuno, Luigi XVI e i suoi difensori avrebbero potuto fornire delle difese verbali raccolte dai segretari dell’assemblea. Infine, la Convenzione avrebbe emesso il proprio giudizio per appello nominale. 28 Il decreto stabiliva che lo stampatore doveva provvedere alla distribuzione entro tre giorni. Cfr. Archives Parlementaires, t. LIII, p. 282. 27
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il re potesse essere giudicato («Le roi est-il jugeable?» o secondo le stesse parole di Pétion: «le roi peut-il être jugé?»). Si trattava, secondo il deputato dell’Eure-et-Loir, già sindaco di Parigi, di stabilire, in maniera inappellabile, che Luigi XVI fosse giudicabile secondo la legge; occorreva affrontare preliminarmente la questione dell’inviolabilità del re posta dalla Costituzione del 1791, prima di esaminare in che modo giudicarlo o ancora quale pena infliggergli29. Prima di dare inizio al dibattito, la Convenzione approvò, inoltre, un’altra proposta. Barère de Vieuzac domandò che tutti i discorsi pronunciati sul processo di Luigi XVI fossero stampati e diffusi nella Repubblica. Non vi era dubbio, affermava il deputato delle Hautes-Pyrénées, in appoggio alla sua proposta, «que cette grande affaire politique intéresse toute l’Europe; j’estime qu’il est du devoir de la Convention de lui faire connaître les motifs qui auront déterminé son jugement»30. La proposta di Barère nasceva dalla consapevolezza della risonanza europea dell’affare in cui la Convezione era chiamata a esprimersi e dalla volontà di oltrepassare i confini della salle du Manège delle Tuileries per fare giungere la discussione a tutta quanta la nazione. Alla pubblicazione delle prove a carico, si aggiungeva ora quella del dibattito. Pertanto, i lunghi e articolati interventi di Morisson, Saint-Just, Fauchet et Robert furono singolarmente dati alle stampe per ordine della Convenzione e la stessa cosa avvenne per le opinioni espresse nella seduta del 15 novembre, quelle di Rouzet e Grégoire, quando l’assemblea riprese la discussione sul progetto di decreto riguardante il giudizio del re. Di questi primi sei interventi, tre espressero un’opinione a favore dell’inviolabilità del re, fondando le loro argomentazioni principalmente sul rispetto della legalità e dell’utilità. Così, il primo a parlare, Morisson, del dipartimento della Vandea e membro del comité de Législation, pur riconoscendo la colpevolezza di Luigi XVI, riteneva che occorresse rimanere all’interno della legge. Di conseguenza non solo il codice penale non conteneva alcuna disposizione che potesse essere applicata a Luigi XVI, ma la Costituzione prima e la proclamazione della Repubblica dopo avevano già previsto e attuato l’unica pena possibile per i crimini commessi, ossia la decadenza della monarchia. La Convenzione, pertanto, non aveva più alcun giudizio da pronunciare e, secondo Morisson, l’unica soluzione capace di apportare un vero interesse alla Repubblica sarebbe stata quella di bandire per Alla ripresa della discussione in aula, due giorni dopo, il 15 novembre, tale decreto fu abrogato su proposta, messa ai voti, di un membro della Convenzione. Archives parlementaires, t. LIII, pp. 420-421. 30 Archives parlementaires, t. LIII, p. 385. 29
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sempre Luigi XVI dal territorio francese, ponendo fine a un processo che altrimenti sarebbe durato molti mesi. Il deputato Fauchet insistette sull’inutilità dell’applicazione della pena capitale per punire i crimini di un re. «Si après l’avoir destitué, si aprés avoir écrasé son trône», sosteneva Fauchet, «on le faisoit mourir contre le texte des précédentes lois, on paroîtroit le craindre encore». La morte del tiranno, dunque, non sarebbe stata di alcun esempio, e avrebbe al contrario mostrato la debolezza della repubblica e le sue paure. Pertanto, sebbene non prevista dalla legge, egli proponeva come misura temporanea di sicurezza nazionale la detenzione di Luigi XVI sino al ristabilimento di una situazione di quiete, rimanendo la destituzione del re, pronunciata di diritto e di fatto con il decreto che aboliva la monarchia, il solo giudizio definitivo sui crimini commessi anteriormente a tale abolizione31. Il 15 novembre, giorno al quale fu rinviata la discussione, dopo appena quattro interventi uditi, si espresse con argomentazioni simili anche il deputato del dipartimento della Haute-Garonne Rouzet. Lo stesso 13 novembre, subito dopo Morisson, salì alla tribuna il più giovane deputato della Convenzione, il «glaive de la Montagne» come ebbe a definirlo Michelet, Louis-Antoine de Saint-Just. Il celebre discorso di SaintJust esponeva in maniera brutale e irruente la tesi sostenuta dalla Montagna circa l’inutilità di istruire un processo pericolosamente lungo e la necessità di non rifarsi alle forme previste dalla legge. Il deputato dell’Aisne sosteneva che il comitato di legislazione aveva voluto persuadere l’assemblea che il re dovesse essere giudicato come cittadino, con la conseguenza di addentrarsi indefinitamente nell’infinita questione delle forme giuridiche. Al contrario, sosteneva Saint-Just, l’unico modo in cui bisognasse giudicare il re era come nemico, poiché «n’étant pour rien dans le contrat qui unit les Français, les formes de la procédure ne sont point dans la loi civile, mais dans la loi du droit des gens»32. Ogni re, sosteneva Saint-Just, era un usurpatore ed un ribelle, a prescindere dai crimini della sua amministrazione, e contro un usurpatore ogni uomo aveva il diritto di sollevarsi e armarsi. Occorreva dunque affrettarsi a giudicare Luigi XVI, «car il n’est pas de citoyen qui n’ait sur lui le droit que Brutus avait sur César»33.
Fauchet non poté leggere sino in fondo il proprio intervento: interrotto da mormorii provenienti dall’estrema sinistra della sala, egli decise di abbandonare bruscamente la tribuna. Sollecitato a terminare il suo discorso, Fauchet concluse succintamente la propria opinione: «Citoyens, la justice, la sagesse, le courage, voilà ce qui peut assurer le repos de la patrie. Je conclus à ce que Louis ne soit pas mis en jugement». Archives parlementaires, t. LIII, p. 394. 32 Archives parlementaires, t. LIII, p. 390. 33 Ibidem, p. 392. 31
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Gli interventi pronunciati alla tribuna della Convenzione sino alla metà di novembre inoltrato, non furono tuttavia numerosi. Altre questioni si sovrapponevano nelle sedute assembleari, con improrogabile urgenza, come quella relativa alla legge sugli approvvigionamenti, finendo per avere il sopravvento su quella riguardante le sorti del sovrano deposto34. Tuttavia, un avvenimento inatteso ebbe come conseguenza una nuova istruzione e, ancora, l’ampliamento della portata della discussione fuori e dentro la Convenzione a mezzo della stampa. La mattina del 20 novembre, a seguito delle rivelazioni del fabbro Gamain, il ministro dell’Interno Roland fece la scoperta di una cassaforte, l’armoire de fer, posta all’interno di un muro del palazzo delle Tuileries35. L’esito immediato di questa scoperta fu la creazione di una nuova commissione composta di dodici membri, e per questo chiamata Commission des douze, scelti per sorteggio tra coloro che non appartenevano ad alcun comitato36. Il giorno dopo, la Convenzione adottò la proposta del deputato Defermon, in base alla quale la commissione nominata per procedere alla verifica delle carte trovate alle Tuileries (623 documenti), era autorizzata a spiccare mandati di comparizione e d’arresto, a condizione che fossero controfirmati dai due terzi dei commissari, contro coloro che fossero risultati coinvolti. In attesa che la Commissione dei dodici portasse a termine il proprio incarico di inventario e di disamina delle carte rinvenute, la discussione assembleare su Luigi XVI era rimasta ferma agli interventi del 15 novembre. A questo proposito, il 24 novembre successivo, il deputato montagnardo Georges Couthon, prese la parola per proporre una mozione d’ordine che mirava ad organizzare la discussione in aula sulla base di un preciso calenUna mozione d’ordine proposta dal deputato Gossuin, il 19 novembre, lascia supporre che, a dispetto della possibilità di pronunciare pubblicamente le proprie opinioni in merito al giudizio di Luigi XVI, vi fosse una sentita volontà di esprimere in maniera ufficiale la propria opinione al riguardo. Gossuin domandava infatti che i membri che non avessero la possibilità di essere ascoltati alla tribuna fossero autorizzati a consegnare i loro discorsi all’editore della Convenzione, che li avrebbe fatti stampare a spese del Tesoro pubblico. La Convenzione, tuttavia, decretò il non luogo a deliberare in merito alla proposta. Archives parlementaires, t. LIII, p. 470. 35 Era stato lo stesso fabbro Gamain ad eseguire il lavoro di incasso nel muro della cassaforte. Sul ritrovamento dell’Armoire de Fer e le polemiche riguardanti il comportamento del ministro Roland al momento della scoperta si veda A. Freeman, The Compromising of Louis XVI. The armoire de fer and the French Revolution, Exeter, University of Exeter, 1989. 36 Archives parlementaires, LIII, p. 495. I dodici commissari sorteggiati, il 21 novembre, per lo spoglio e la verifica delle carte trovate alle Tuileries furono: Rabaut-Pomier, Bohan, Bolot, Saurine, Bernard de Saint-Affrique, Rühl, Boussion, Borie, Lefranc, Ruamps, Pellissier, Gardien (ibidem, p. 512). 34
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dario: «On s’étonne dans les départements», premetteva Couthon, «de ce que la Convention ayant commencé une discussion sur le ci-devant roi, l’a interrompue. Je sais rendre justice à la Convention. Le prestige de la royauté s’est évanoui avec la proclamation de la République; mais les étrangers vous observent, vos ennemis vous épient, vous devez justice à la nation qui vous la demande»37. Pertanto egli proponeva che si dedicassero due giorni a settimana, il mercoledì e il sabato, al dibattito sulla messa a giudizio di Luigi XVI38. La Convenzione adottò la mozione di Couthon e gli interventi ripresero il 28 novembre, giorno in cui furono udite l’opinione di Faure, convinto che la detronizzazione, voluta dal popolo, fosse già una pena sufficiente da comminare a Luigi, e quella di Serre sostenitore della piena giudicabilità del re. Tuttavia, alcune proposte avanzate quello stesso giorno al fine di ‘snellire’ o di regolamentare il dibattito in aula rivelavano un sentimento diffuso in seno all’assemblea che occorresse trovare un modo per conciliare la discussione, che si preannunciava lunga, con il resto degli impegni a cui era chiamata la Convenzione. Così, il deputato Bourbotte suggerì, senza alcun esito, che fossero stabilite delle sessioni serali nelle quali coloro che desideravano esprimersi sul processo di Luigi XVI potessero essere ascoltati; Merlin propose, ugualmente senza successo, che la Convenzione non ascoltasse gli oratori intenzionati a parlare a favore dell’inviolabilità del sovrano, «tellement l’Assemblée est convaincue qu’un tyran doit périr, par cela seul qu’il est un tyran»39; Brival, infine, domandò e in seguito l’assemblea approvò, che si disponessero sulla scrivania del presidente della Convenzione due urne, una con su scritto pour e l’altra contre, nelle quali i deputati che intendessero parlare avrebbero dovuto deporre il loro nome «jusqu’à l’ouverture du grand ordre du jour et le Président tirant successivement des billets de l’urne, annoncera le nom de ceux à qui le sort donnera la parole»40. Due giorni dopo, nella seduta del 30 novembre, giunse una nuova mozione d’ordine mirante non solamente a disciplinare il dibattito in Ibidem, p. 575. Il giorno precedente, il 27 novembre, Le Peletier de Saint-Fargeau, segretario dell’assemblea, aveva dato lettura di una Adresse des Amis de la République di Auxerre del dipartimento dell’Yonne, nella quale la Convenzione era sollecitata a non tergiversare oltremodo su questioni «tout au plus faites pour être agitées en des écoles de jurisprudence» che consumavano «en discours purement oratoires, une infinité de séances, dont le légitime emploi se trouve ainsi frustré», e a emettere un pronto e rapido giudizio contro Luigi XVI. Archives parlementaires, t. LIII, pp. 606-607. Cfr. Soboul, Le procès de Louis XVI, p. 87. 39 Archives parlementaires, t. LIII, p. 638. 40 Ibidem. Il decreto, teso a organizzare la discussione in aula, fu poi revocato il giorno dopo. Cfr. Seligman, La justice en France, p. 398, nota 4. 37 38
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maniera consapevole ma a permetterne l’estensione allo spazio pubblico. Il deputato Louis Legendre41, eletto per il dipartimento della Senna (Parigi), sulla scorta di quanto già proposto il 13 novembre precedente da Barère, suggerì che tutti coloro i quali avessero scritto sul processo di Luigi XVI firmassero i loro manoscritti e li depositassero sul tavolo del presidente. La Convenzione ne avrebbe ordinato la stampa e il lunedì successivo (si era di venerdì), avrebbe stabilito, oui ou non, se Luigi poteva essere giudicato. «Vous n’avez pas l’intention, en instruisant ce procès» motivava Legendre rivolgendosi all’Assemblea rappresentativa «d’éclairer, de diriger l’opinion du peuple français sur le compte de Louis. Ce serait inutile. Votre but, et je vous félicite, est simplement de justifier le jugement que vous porterez aux yeux des peuples qui vous contemplent et devant la postérité»42. La proposta di Legendre fu approvata e passò come primo decreto del giorno: «Sur la motion d’un membre, la Convention nationale décrète que tous les discours faits par différents membres de l’Assemblée relativement au jugement du ci-devant roi seront déposés sur le bureau et livrés à l’impression, et que la discussion sera reprise après la distribution»43. A quasi un mese dall’inizio della discussione, secondo Legendre l’obiettivo che la Convenzione doveva porsi di fronte alla Francia, all’Europa e alla posterità, doveva essere quello di giustificare, di legittimare, il giudizio che essa avrebbe emesso su Luigi XVI. Stampare sistematicamente tutte le opinioni dei deputati avrebbe permesso uno sviluppo più rapido e consapevole del dibattito in aula e un’informazione precisa al di fuori di essa. Tuttavia, un’accelerazione improvvisa del dibattito assembleare in merito al processo fu provocata non tanto dalle disposizioni prese al fine di ‘ottimizzarlo’, quanto piuttosto dalla pressione esercitata dalla Comune di Parigi sulla Convenzione. Il 2 dicembre fu ammessa a parlare alla tribuna una deputazione della sezione del Panthéon français che in nome delle 48 sezioni parigine rivolse all’assemblea una perentoria petizione volta ad accelerare lo svolgimento della discussione. Per eccesso di prudenza che celava la paura, sostenevano i petizionari, la Convenzione sembrava assopita in una sorta di torpore che rallentava la procedura, faceva un torto a coloro che erano periti il 10 agosto e favoriva la rinascita delle fazioni avversarie. Pertanto, le sezioni della capitale domandavano prima di tutto che la questione da discutere fosse posta nei termini corretti rispetto a quanto fatto sinora. «Louis, ci-devant roi Legendre, Louis, A. Kuscinski, Dictionnaire des conventionnels, Paris, Au siège de la société, 1916, pp. 392-393. 42 Archives Parlementaires, t. LIII, p. 682. 43 Ibidem, p. 683. 41
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des Français, est-il digne de mort? Est-il avantageux à la République de le faire mourir sur l’échafaud?». Queste erano le domande alle quali i rappresentati della nazione dovevano rispondere. In secondo luogo, chiedevano che quattro sessioni pomeridiane a settimana fossero specificamente consacrate a trattare la questione relativa a Luigi XVI, dal momento che quelle sinora impiegate non potevano bastare all’«immensità» del compito a cui i deputati erano chiamati. La risposta immediata del presidente in carica, Barère de Vieuzac, fu tesa a rimettere al proprio posto le sezioni parigine: La Convention nationale écoutera toujours avec intérêt les pétitions des citoyens. C’est son devoir; mais elle ne sera jamais devancée par aucune section du peuple sur les objets du salut public. Elle n’a ni torpeur ni pusillanimité. Elle aura le courage d’étouffer toutes les factions qui entourent le berceau de la République, même la faction impie des avilisseurs du pouvoir national. (…) Un grand tribunal des nations, l’opinion publique, a jugé depuis longtemps Louis Capet, et la journée fameuse des perfidies. Le tribunal du peuple français va bientôt prononcer. La Convention nationale ne doit compte de ses travaux, de ses pensées, et du jugement de Louis le traître qu’à la République entière44.
Malgrado queste dichiarazioni di indipendenza da qualsiasi influenza particolare, la ripresa della discussione sul giudizio di Luigi XVI, il giorno successivo, fu contraddistinta da un susseguirsi di proposte nelle quali a gran voce era invocata la messa a giudizio del re da parte della Convenzione se non, in alcuni casi, la messa a morte45. Di quest’ultimo avviso era anche Maximilien Robespierre che prendeva per la prima volta la parola davanti all’assemblea per pronunciare la propria opinione sulle sorti del re. Per Robespierre il problema di processare Luigi XVI non aveva ragione di essere dal momento che la vittoria del popolo aveva stabilito che il re era il solo ribelle e che in quanto tale era già condannato. Di conseguenza, non si trattava di emettere una sentenza pro o contro un uomo, di persistere con l’idea di fargli un processo, ma di adottare una misura di salute pubblica. E invece, cosa faceva la Convenzione? Continuava a invocare le forme per mancanza di principi, ad appellarsi all’idea di una falsa umanità perché ignorava cosa fosse quella vera, a rispettare gli oppressori perché non aveva il coraggio per difendere gli oppressi. In aggiunta, se, per ipotesi Luigi fosse stato assolto, tutti i difensori della libertà sarebbero diventati dei calunniatori e tutti i patrioti sarebbero stati colpevoli. Il solo modo
La Convenzione decretò che la petizione delle 48 sezioni di Parigi e la risposta del Presidente fossero date alle stampe e inviate ai 84 dipartimenti. 45 Barbaroux, Charlier, Jean-Bon Saint-André, Gamon, Oudot, Le Carpentier (de Valogne), principalmente. 44
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per garantire il bene e prima ancora la salvezza della Repubblica era, dunque, la morte di Luigi XVI. La Convenzione doveva pertanto dichiarare Luigi «traître à la nation française, criminel envers l’humanité» e mandarlo al patibolo nello stesso luogo in cui il 10 agosto erano morti i martiri della libertà. Tra tutte le proposte avanzate il 3 dicembre, tuttavia, l’assemblea trattenne e mise ai voti solamente quella di Pétion de Villeneuve che aveva suggerito che l’assemblea dichiarasse che Luigi potesse essere giudicato e che fosse la Convenzione a farlo. La seduta di quel giorno si chiuse dunque con una duplice votazione che stabilì, dopo neppure un mese dall’inizio del dibattito, che Luigi XVI sarebbe stato giudicato dalla Convenzione nazionale. Quella di Robespierre fu l’ultima opinione pronunciata alla tribuna della Convenzione in questa prima fase del processo. Dall’inizio della discussione, il 13 novembre, avevano parlato davanti all’assemblea nove deputati, di cui quattro contrari alla giudicabilità del re e cinque a favore46. Nondimeno, tra la fine di novembre e il 3 di dicembre, giorno in cui fu stabilito per decreto che Luigi XVI sarebbe stato giudicato dalla Convenzione, almeno un centinaio di deputati consegnò all’editore Baudouin altrettante opinioni da dare alle stampe47. In altri termini il vero spazio di discussione fu, dunque, proprio quello dell’intera Repubblica. Per limiti di tempo non era infatti stato possibile consentire a tutti i deputati di esprimere a voce le proprie diffuse opinioni. Esse furono pertanto consegnate alla stampa, il solo modo per permettere a tutti di essere ‘uditi’ tramite la lettura. È quanto esprime in una nota posta al termine della propria opinione il deputato Meynard del dipartimento della Dordogne, una delle rare voci a favore dell’inviolabilità di Luigi XVI: «Toutes les fois que la discussion a dû s’ouvrir sur le rapport du comité de législation concernant l’affaire de Louis XVI, je me suis inscrit pour la parole, mais mon tour pour parler n’étant pas venu, et la Convention nationale ayant décrété que les opinions de ses membres qui avaient écrit sur cette affaire, seraient déposées sur le bureau pour être livrées à l’impression, j’ai cru qu’il était de mon devoir d’énoncer par cette voie ce que je me proposais de dire à la tribune»48. Il 13 novembre, Morisson e Fauchet si espressero contro la messa a giudizio di Luigi XVI, mentre Saint-Just e Robert a favore; il 15 novembre fu la volta di Rouzet e Grégoire, rispettivamente contro e a favore; il 28 novembre Pierre-Joseph-Denis-Guillaume Faure e Serre, il primo contrario il secondo a favore della giudicabilità del re; infine, il 3 dicembre, come si è detto, Robespierre. 47 Il conteggio e l’elenco delle opinioni date alle stampe è stato compiuto a partire dalle Annexes della giornata del 3 dicembre 1792 contenute nelle Archives parlementaires, t. LIV, pp. 88-334. Per l’elenco dei titoli corrispondenti alle singole opinioni date alle stampe si veda l’elenco nell’Appendice. 48 Archives parlementaires, t. LIV, p. 265. 46
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L’uscita degli scritti dei deputati è attestata dalle notizie sistematiche che il Journal des débats et des décrets, quotidiano di informazione ufficiale delle assemblee rappresentative, edito anch’esso da Baudouin, forniva nella rubrica conclusiva degli Avis. Venduti, a seconda della lunghezza, a un prezzo variabile tra l’uno e i cinque soldi, i discorsi dei convenzionali si presentavano al lettore preceduti dall’intestazione «Convention nationale» in lettere capitali, dal nome del deputato e del dipartimento in cui erano stati eletti, seguiti dalla dicitura «imprimé par ordre de la Convention nationale». Nella maggior parte dei casi si trattava di opinions sur le jugement de Louis Capet o più specificamente di ‘risposte’ alla domanda Louis Capet peut être jugé? Della ricaduta nello spazio pubblico di questa ingente massa d’opinioni espresse dai deputati della Convenzione, dava conto l’anonimo autore dell’Opinion d’un sans culotte sur toutes les opinions Imprimées à l’occasion du Jugement du ci-devant Roi. Scritto probabilmente entro la metà di dicembre, forse in concomitanza con la prima comparizione di Luigi XVI alla sbarra degli imputati, l’11 dello stesso mese, il breve libello si proponeva di mostrare gli abusi compiuti da una parte della Convenzione nel corso di tutta quanta l’azione giudiziaria intentata contro il re decaduto. Nel dimostrare il ruolo tirannico esercitato da alcuni facinorosi deputati sul resto dell’assemblea, l’autore, in apertura del suo pamphlet, faceva riferimento alla cospicua quantità di opinioni che i convenzionali avevano affidato all’impressione in risposta alle questioni sollevate dal Comité de Législation: Environ cent cinquante Député de la Convention ont imprimé leurs opinions, non pas sur la question seulement de savoir si Louis Capet étoit jugeable, & quelle étoit la forme dans laquelle il devoit être jugé, ainsi que l’avoit sagement proposé Pétion; mais, entrant dans la discussion du fond, ils en ont examiné le mérite; ils ont recherché complaisamment quels étoient les crimes du ci-devant roi, & quelle étoit la peine ou plutôt le supplice qu’il méritoit: ils ont fait plus; et cette peine, presque tous l’ont prononcée; le plus grand nombre a dit: Louis mérite la mort49.
In effetti, i deputati più convinti della colpevolezza del re, tra tutti coloro che si espressero a favore della giudicabilità di Luigi XVI50, proposero che fosse condannato a morte. Comunque sia, da questa cospicua massa di De l’Imprimerie de Gueffier, quai des Augustins, n° 17, s.d, p. 1. Delle 101 opinioni riportate nelle Annexes delle Archives parlementaires, 6 si espressero in maniera contraria alla messa a giudizio di Luigi XVI (Albouys, Bouchereau, Conte, Guiter, Meynard, Rouzet che già aveva pronunciato una prima opinione davanti alla Convenzione il 15 novembre). Un deputato, Kersaint, propose il rinvio della discussione affinché si chiarissero i vantaggi di una costituzione repubblicana. I restanti 94 deputati si espressero a favore della giudicabilità del re. 49 50
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discorsi emergeva la convinzione diffusa che spettasse alla Convenzione il compito di processare Luigi XVI, sebbene non mancassero progetti di istruzione alternativi o, in alcuni casi, il rinvio del giudizio al tribunale criminale di Parigi51. Nel frattempo, la Commissione dei Dodici, istituita allo scopo di inventariare ed esaminare il contenuto delle carte rinvenute nell’Armoire de fer, portò a termine il suo compito di spoglio. Nella seduta del 5 dicembre, il deputato Rühl, membro della Commissione dei Dodici, lesse davanti all’assemblea un rapport sur divers papiers trouvés dans l’armoire de fer aux Tuileries nel quale la Convenzione avrebbe trovato le prove dell’intenzione di Luigi XVI di restaurare l’Ancien Régime nel momento in cui fosse stata ristabilita la sua autorità. I documenti rivelarono, tra le altre cose, la corrispondenza che Luigi XVI aveva intrattenuto con La Fayette, Talon, Dumouriez e Mirabeau, i quali risultarono tutti implicati in attività controrivoluzionarie. Tuttavia, le carte rinvenute nell’armoire de fer non contenevano nessuna prova decisiva riguardante un’intesa del re con le potenze straniere per l’invasione della Francia52. Alcune lettere, nondimeno, dimostravano la sua resistenza finemente dissimulata nei confronti dell’esecuzione e dell’applicazione della Costituzione del 1791. In seguito a questa disamina, la Convenzione decretò che «toutes les pièces lues à la Convention par le rapporteur de sa commission des Douze, relatives à Louis XVI, seront imprimées, et qu’il en sera distribué 6 exemplaires à chacun des membres de la Convention»53. Tre volumi di raccolte (terza e quarta) si andavano dunque ad aggiungere alle due precedentemente fatte pubblicare in seguito allo spoglio eseguito dalla commissione dei 24 e da quella istituita dalla Legislativa ancor prima54. Il giorno seguente, la Convenzione, a seguito di una discussione concitata, adottò il progetto di decreto55 di Nicolas-Marie Quinette, in base al quale Tale l’opinione di Paganel e Pénières. Tali prove sarebbero emerse nel periodo successivo alla morte di Luigi XVI. 53 Archives parlementaires, t. LIV, p. 373. 54 Si rimanda all’Appendice per i titoli. 55 La discussione, il 6 dicembre, si aprì con il progetto di decreto del montagnardo Pierre Bourbotte, nel quale il deputato del dipartimento de l’Yonne proponeva che la Convenzione mettesse immediatamente in stato d’accusa Maria Antonietta; che il giorno successivo Luigi Capeto, se necessario, fosse condotto alla sbarra dell’assemblea; che le commissioni dei 24 e dei 12 presentassero una serie di domande da sottoporgli affinché svelasse i nomi dei suoi complici; che redigesse l’atto enunciativo dei suoi crimini e infine che fosse pronunciata la sentenza di morte il giorno dopo ancora. Per evitare il prolungamento della discussione, fu 51 52
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veniva creata una commissione, detta dei Ventuno, composta da tutti i membri della Commissione dei Dodici e da nove deputati scelti in numero eguale dalla Commissione dei Ventiquattro e dai Comitati de Législation e de sûreté générale, che avrebbe dovuto presentare alla Convenzione il lunedì successivo 10 dicembre l’atto d’accusa («acte énonciatif») dei crimini imputati a Luigi Capeto. Il giorno successivo, martedì 11 dicembre, l’imputato sarebbe stato tradotto alla sbarra affinché prendesse conoscenza dei capi d’accusa e rispondesse alle domande postegli dal presidente dell’assemblea. Una copia di tale atto sarebbe stata consegnata a Luigi XVI che sarebbe stato ascoltato nuovamente e definitivamente due giorni dopo. A distanza di un giorno dall’ultima comparizione dell’imputato alla sbarra, la Convenzione avrebbe pronunciato la sentenza per appello nominale. Il 10 dicembre, nella sessione serale, il deputato Robert Lindet cominciò la lettura della narrazione storica «de la conduite du ci-devant roi, depuis le commencement de la Révolution», che la commissione dei Ventuno aveva ritenuto utile anteporre all’atto d’accusa. L’aveva redatta lo stesso Lindet nello spazio di un giorno e mezzo, in uno stile semplice, come affermava egli stesso, alla portata di tutti i cittadini. In essa Lindet ripercorreva la condotta di Luigi XVI dalla convocazione degli Stati Generali, quando Luigi XVI aveva opposto una costante resistenza per impedire la riunione dei tre ordini, al tentativo di fuga nel giugno 1791, proseguendo per la convenzione di Pillnitz, gli aiuti concessi agli immigrati, i ritardi nei preparativi della guerra contro l’Austria, sino ad arrivare alla giornata del 10 agosto56. La lettura dell’«acte énonciatif» fu però rinviata al giorno dopo poiché la commissione incaricata non era riuscita a procurarsi in tempo alcuni documenti a carico necessari per la redazione del testo da presentare al Luigi XVI57. L’atto enunciativo, letto la mattina seguente da Barbaroux, poneva in forma di domanda gli avvenimenti narrati nell’antefatto storico redatto da Lindet. Sebbene Marat proponesse di ridurre il testo a pochi capi d’accusa affinché ci si concentrasse solo sui fatti posteriori all’accettazione della Costituzione, il testo redatto dalla Commissione dei 21 fu accettato dalla Convenzione senza tagli58.
decretato che coloro che si erano iscritti per parlare sul giudizio di Luigi XVI si limitassero solamente ai progetti di decreto. Furono pertanto uditi i progetti di Billaud-Varenne, Jacques Garnier e Quinette. 56 Archives parlementaires, t. LIV, pp. 740-747. Cfr. Seligman, La justice en France, p. 416. 57 Archives parlementaires, t. LIV, p. 748. 58 Marat riprese queste obiezioni all’eccessiva lunghezza dell’atto enunciativo in un articolo apparso il 17 dicembre nel suo Journal de la République française, par Marat, l’Ami du Peuple, n° 76, Du Lundi 17 Décembre 1792, pp. 4-8, nel quale denunciava le manovre
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Poco prima che Luigi XVI fosse condotto nella sala dove sedeva la Convenzione, il presidente Barère intimò ai deputati di osservare il più assoluto silenzio e un comportamento non solo conforme alle funzioni di giudice che essi rivestivano ma degno della maestà del popolo francese. Molti tra coloro che erano stati eletti alla Convenzione vedevano il re per la prima volta, quello stesso sovrano nel rispetto e nel culto del quale erano stati cresciuti ed educati 59. Introdotto davanti all’assemblea, Luigi XVI ascoltò in silenzio l’atto enunciativo, letto da Mailhe, e subito dopo cominciò senza obiezioni a rispondere alle domande postegli via via dal presidente. Per le imputazioni relative all’inizio della Rivoluzione, Luigi XVI rispose che tutto quanto aveva fatto rientrava nella pienezza della sua autorità o che si trattava di avvenimenti anteriori all’accettazione della Costituzione. Per il periodo successivo a tale accettazione, dal settembre 1791, Capeto addossò invece la responsabilità ai suoi ministri. Tuttavia, posto di fronte a fatti più precisi, come i rapporti intrattenuti con gli immigrati o il denaro speso per diffondere la propaganda antirivoluzionaria, egli si limitò a negare di averne alcuna conoscenza. Stesso atteggiamento tenne di fronte ai documenti scritti di suo pugno o rinvenuti tra le sue carte personali che sistematicamente affermò di non conoscere. Alla fine dell’interrogatorio, Luigi domandò che gli fossero comunicate per iscritto le accuse che gli erano state rivolte, unitamente alle prove a carico in originale, e che avesse facoltà di scegliere dei difensori. La Convenzione gli concesse alla quasi unanimità una difesa e a tale scopo inviò al Tempio quattro deputati incaricati di conoscere a chi intendesse affidarla. La scelta di Luigi XVI cadde su Guy-Jean-Baptiste Target e François Denis Tronchet, due tra i più reputati avvocati del foro di Parigi sul finire degli anni Ottanta, già rappresentanti della Costituente60. Il 13 dicembre, subito dopo la lettura del processo verbale della seduta dell’11, un membro della Convenzione avanzò la proposta che esso fosse dato alle stampe «parce que les journaux ont défiguré l’interrogatoire du
ordite in seno alla Convenzione principalmente da parte di girondini ed ex aristocratici per impedire agli «orateurs patriotes» di avere la parola. 59 Seligman, La justice en France, pp. 418-419. 60 Ibidem, p. 420. Tronchet era stato uno dei commissari che aveva interrogato Luigi XVI e Maria Antonietta dopo la fuga di Varennes nel 1791. Su Tronchet: Ph. Tessier, Tronchet et la réorganisation constituante des institutions judiciaires, in «Annales historiques de la Révolution française», 2007, 350, pp. 9-26; e dello stesso autore la tesi di dottorato: François Denis Tronchet, biographie intellectuelle d’un jurisconsulte en Révolution, sous la direction de Hervé Leuwers - Patrick Weil, Université Lille 3, discussa il 21 dicembre 2012.
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ci-devant roi»61. Il deputato Thuriot appoggiò la proposta lamentando, inoltre, la lunghezza dei tempi di stampa di cui Baudouin, «imprimeur de la Convention» era particolarmente responsabile. Egli richiedeva pertanto che il comitato incaricato dell’ispezione della stamperia sorvegliasse maggiormente l’operato di Baudouin e che desse conto nel giro di ventiquattro ore di tali ritardi62. La Convenzione adottò la proposta di Thuriot così come ordinò che il processo verbale della seduta dell’11 dicembre fosse stampato63. La preoccupazione di dare pubblicità ad ogni deliberazione e atto della Convenzione nelle questioni riguardanti il processo a Luigi XVI si scontrava con i tempi materiali di stampa. La comunicazione diretta e ufficiale delle informazioni era di conseguenza inficiata dalla lentezza con la quale Baudouin eseguiva gli ordini di impressione dei documenti ufficiali dell’assemblea e la trasmissione rapida allo spazio pubblico delle sedute parlamentari risultava principalmente affidata ai giornali quotidiani sui quali però, in molti casi, la Convenzione non poteva esercitare alcun controllo. Nella stessa seduta del 13 dicembre, la Convenzione ricevette per lettera dapprima il rifiuto di assumere la difesa di Luigi XVI da parte di Target, il quale adduceva come giustificazione una salute malferma che non gli avrebbe
Era prassi assembleare leggere e in seguito sottoporre ad approvazione il processo verbale delle sedute del o dei giorni immediatamente precedenti. Il nome del deputato che avanzò la proposta di impressione del processo verbale della seduta dell’11 dicembre non è riportato nelle Archives parlementaires, t. LV, p. 37. 62 Sul Comité des inspecteurs de la salle, in particolare a proposito delle loro funzioni in rapporto alle stampe ufficiali (sebbene soprattutto per il periodo successivo al processo), si veda: A. Cohen, Le Comité des Inspecteurs de la salle. Une institution originale au service de la Convention nationale (1792-1795), préface de M. Biard, Paris, L’Harmattan, 2011. Baudouin diede alle stampe una risposta indirizzata ai membri della Convenzione, datata 15 dicembre. In essa egli si difendeva dalle tre principali accuse mossegli da Thuriot, e nella fattispecie dei ritardi della consegna dei processi verbali alla Convenzione. A questo proposito, si legge: «Je n’ai, dans ce moment, de manuscrit que jusqu’au 11 octobre; et par son règlement du 25 septembre dernier, la Convention m’a enjoint de ne lui distribuer que par mois et par volume. Je demande d’après cela, si j’ai pu déjà délivrer des Procès-verbaux. J’observe en outre que le manuscrit est très-mauvais, ce qui donne lieu à faire, ce qu’on appelle, en terme d’Imprimerie, des remaniemens sur les épreuves. La célérité avec laquelle s’impriment et se distribuent journellement les Opinions, Rapports, Projets de Décrets, etc., doit prouver ma bonne volonté, et mon exactitude à remplir mon devoir. Je profite de cette occasion pour engager les Citoyens-Députés à seconder mes efforts, en me remettant promptement les objets dont l’assemblée ordonne l’impression (Baudoüin, Imprimeur de la Convention nationale, aux citoyens-députés. Samedi 15 Décembre 1792, l’an premier de la République, De l’Imprimerie nationale, pp. 1-2.). 63 Si veda l’Appendice. 61
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consentito di farsi carico di un compito così oneroso64; in seguito, nella sessione serale, l’accettazione di Tronchet che, come uomo, dichiarava di non poter rifiutare il proprio aiuto «à un autre homme sur la tête duquel le glaive de la justice est suspendu»65. A causa della rinuncia di Target, fu concesso all’accusato di poter scegliere un altro difensore tra coloro che avevano spontaneamente offerto alla Convenzione la propria disponibilità ad assumersi la difesa del re66. Tra questi, Luigi XVI scelse Chrétien Guillame de Lamoignon de Malesherbes che l’11 dicembre stesso aveva indirizzato all’assemblea una lettera nella quale si diceva pronto a farsi carico della difesa dell’accusato nel caso in cui la Convenzione gliela concedesse. Il 15 dicembre la Convenzione, su proposta di Lengendre, fissò per mercoledì 26 dello stesso mese la data nella quale Luigi XVI sarebbe stato udito definitivamente67. Due giorni dopo, giunse la richiesta accorata da parte di Malesherbes e Tronchet di potersi avvalere dell’aiuto di un terzo avvocato, Raymond de Sèze, per costruire la difesa: «Permettez-nous de vous représenter», motivavano i due difensori di Luigi XVI, «qu’il est physiquement impossible à deux hommes, l’un plus que sexagénaire et l’autre plus que septuagénaire, de préparer, dans un si court délai, une défense contre une accusation divisée en plus de 40 chefs, au soutien de laquelle on présente 158 cotes de pièces, dont la plupart ne sont pas classées, et sur quelques-unes desquelles rien n’indique l’induction qu’on en veut tirer»68. La Convenzione
Lettera letta da Mailhe nella seduta del 13 dicembre, datata Parigi, 12 dicembre 1792. Cfr. Archives parlementaires, t. LV, p. 37. Il rifiuto di Target fu accolto da alcuni convenzionali con aspre critiche. Si temette che anche Tronchet potesse declinare l’incarico e Cambacérès propose che, alla stregua dei tribunali criminali, la Convenzione designasse due difensori dando la preferenza a coloro che si fossero presentati spontaneamente allo scopo. Per salvare la propria reputazione, Target diede poi alle stampe nel corso di dicembre due pamphlet Observations de Target sur le procès de Louis XVI e Target, président du tribunal Sainte-Geneviève, au peuple françois, salut, nelle quali offriva una linea di difesa in favore di Luigi XVI. 65 Archives parlementaires, t. LV, p. 43. 66 Avevano spontaneamente notificato alla Convenzione, via lettera, la propria disponibilità a difendere Luigi XVI Gustave Graindorge de Menil-Durand, generale aggiunto dell’esercito; Nicolas Sourdat, cittadino di Troyes, ex luogotenente di polizia (autore tra l’altro di una Défense particulière de Louis XVI e delle Vues générales sur le procès de Louis XVI, si veda l’Appendice); Huet de Guerville, già avvocato del parlamento di Normandia, anch’egli poi autore di una Opinion sur le procès de Louis XVI nella quale avrebbe fatto riferimento alla sua proposta di assumere la difesa del re, e Chrétien Guillaume de Lamoignon de Malesherbes. Cfr. Archives parlementaires, t. LV, pp. 45-46. Il 15 dicembre rivolse alla Convenzione la stessa offerta anche Olympe de Gouges (ibidem, p. 50). 67 Archives parlementaires, t. LV, p. 65. 68 Ibidem, p. 39. 64
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autorizzò la richiesta e negli stessi giorni sottopose all’accusato i 107 documenti che non gli erano stati presentati il giorno della comparizione. In tutti i casi Luigi XVI negò di riconoscere le carte in questione. Il 25 dicembre la Convenzione autorizzava la commissione dei Ventuno a dare alle stampe separatamente le pezze d’appoggio su cui si basava l’atto enunciativo, su proposta di uno dei suoi membri, il deputato Dufriche-Valazé che motivava la richiesta «parce que ce sera le livre de l’histoire»69. Con quest’ultimo decreto, si completava la pubblicazione di tutti i documenti del processo. Alle 9 e 46 minuti della mattina del 26 dicembre, Luigi XVI fu condotto per la seconda e ultima volta davanti ai giudici, accompagnato dai suoi tre difensori, dal sindaco di Parigi e dal comandante della guardia nazionale. Fu De Sèze, il più giovane dei tre avvocati del re, colui al quale spettò il compito di pronunciare la difesa di fronte alla Convenzione. Il testo, redatto nella più grande precipitazione, si articolava in due parti: nella prima erano discussi i principi relativi all’inviolabilità stabilita dalla Costituzione, mentre nella seconda venivano discussi i fatti anteriori e posteriori all’accettazione della Costituzione. L’argomentazione della prima parte si fondava sulle contraddizioni giuridiche del processo: la coincidenza dei ruoli di giudice e accusatori rivestiti dalla Convenzione e l’impossibilità dimostrata fino ad allora di definire una volta per tutte lo statuto di Luigi alla luce della questione dell’inviolabilità: re costituzionale, re decaduto, ma mai semplice cittadino. «Si vous ôtiez à Louis l’inviolabilité de roi», affermava De Sèze, «vous lui devriez au moins les droits de citoyen; car vous ne pouvez pas faire que Louis cesse d’être roi, quand vous déclarez vouloir le juger, et qu’il le redevienne au moment de ce jugement que voulez rendre». Se la Convenzione l’avesse giudicato in quanto re, allora l’unica pena prevista per i crimini imputati sarebbe stata l’abdicazione della regalità. Se invece l’avesse trattato alla stregua di un cittadino, si sarebbero dovute seguire le procedure prescritte dalla legge. «Or, si vous voulez juger Louis comme citoyen, je vous demanderais où sont les formes conservatrices que tout citoyen a le droit imprescriptible de réclamer? Je vous demanderais où est cette séparation des pouvoirs, sans laquelle il ne peut pas exister de constitution ni de liberté? (…) En un mot, je vous demanderais où sont toutes ces précautions religieuses que la loi a prises pour que le citoyen,
Archives parlementaires, t. LV, p. 430. Si tratta del Recueil des pièces justificatives de l’acte énonciatif des crimes de Louis Capet réunies par la Commission des Vingt-Un, composta da due inventari pubblicati con lo stesso titolo in due volumi distinti e degli Inventaires des pièces recueillies par la commission des Vingt-Un, concernant les crimes de Louis Capet che comprendeva il terzo inventario e il processo verbale della consegna a Luigi XVI di tali documenti al Tempio. Ibidem, pp. 439-612. Si veda per i titoli completi l’Appendice. 69
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même coupable, ne fût jamais frappé que par elle?» La prima parte dell’arringa, costruita in modo da non fare mai riferimento al periodo anteriore all’accettazione della Costituzione, poggiava principalmente sulle questioni formali del processo. Essa era di fatto un atto d’accusa rivolta all’assemblea contro il mancato rispetto dei principi sanciti dal diritto e delle forme processuali previste per ogni imputato, fosse esso un re o un cittadino. La seconda parte della difesa, dedicata alla discussione delle prove a carico ed articolata in due parti, una relativa ai fatti anteriori all’accettazione della costituzione, l’altra su quelli posteriori, non faceva che ribadire quanto già Luigi XVI aveva dichiarato davanti alla stessa assemblea quindici giorni prima. Quando però De Sèze giunse a trattare gli avvenimenti del 10 agosto, lo sforzo della difesa fu teso a suscitare un’emozione collettiva che riunisse tutti nel ricordo di quella tragica giornata. Chiunque si sentisse parte del popolo non poteva guardare a quella giornata se non con un sentimento di dolore; «si nous avions cru Louis coupable des inconcevables événements qui l’ont fait répandre», affermava De Sèze, «vous ne nous verriez pas aujourd’hui avec lui à votre barre lui prêter, oserai-je le dire? lui prêter l’appui de notre courageuse véracité». Luigi non era stato responsabile del massacro commesso quel giorno, non avendo assistito a nulla di quello che era successo alle Tuileries; nessuno dei suoi difensori avrebbe mai potuto sedere quel giorno a fianco a lui per prestargli aiuto, se lo avessero ritenuto colpevole del sangue versato il 10 agosto. L’appello ai sentimenti di umanità che concluse la difesa di De Sèze si unì a quello di Luigi XVI che prese la parola per testimoniare il suo dolore di fronte all’accusa ingiusta di aver voluto spargere il sangue del popolo. Come già era stato per tutti quanti i documenti relativi al processo, anche del testo della difesa di Luigi XVI fu dato immediato ordine di stampa, il 26 dicembre stesso, esaudendo, in un certo modo, il desiderio espresso da De Sèze all’inizio della sua arringa di voler essere inteso da tutta la nazione: Je voudrais pouvoir être entendu dans ce moment de la France entière; je voudrais que cette enceinte pût s’agrandir tout à coup pour la recevoir: je sais qu’en parlant aux représentants de la nation, je parle à la nation elle-même; mais il est permis sans doute à Louis de regretter qu’une multitude immense de citoyens aient reçu l’impression des inculpations dont il est l’objet, ne soient pas aujourd’hui à portée d’apprécier les réponses qui les détruisent. Ce qui lui importe le plus, c’est de prouver qu’il ne point coupable; c’est là son seul vœu, sa seule pensée70.
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Archives parlementaires, t. LV, p. 617.
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In realtà, l’animata discussione che precedette il decreto con il quale la Convenzione ordinò la stampa del testo di De Séze testimonia quanto la questione fosse importante e delicata per tutti. In linea generale si trattava di dare alle stampe e, dunque, rendere ufficialmente pubblico, un testo che rispondesse fedelmente a quello pronunciato in aula. Il manoscritto che era stato reso da Malesherbes, Tronchet e De Sèze era talmente pieno di correzioni, cancellature, aggiunte che sarebbe stato difficile, senza la supervisione dei difensori, trascriverlo correttamente. Si decise pertanto, dietro richiesta degli stessi redattori, che De Sèze fosse autorizzato a correggere le bozze della difesa di Luigi Capeto insieme a due segretari della Convenzione71. Ma coloro che desideravano ‘rallentare’ i tempi del processo ed evitare una sentenza immediata, auspicata invece da altri, insistevano affinché la discussione riprendesse solamente dopo la stampa e la diffusione della difesa. Alla fine prevalse il partito di coloro che proponevano di cominciare subito la discussione in risposta all’arringa di De Sèze, con la clausola che ogni altra attività dell’assemblea cessasse sino al pronunciamento della sentenza72. Il dibattito ebbe inizio il giorno successivo. Tra il 27 dicembre 1792 e il 7 gennaio 1793, quando si decise di chiudere la discussione, si susseguirono alla Tribuna della Convenzione trenta deputati, sulla base di una lista di iscrizione che stabiliva l’ordine degli interventi73. Se nessuno dei deputati si espresse a favore dell’innocenza di Luigi XVI, ed alcuni ne proposero la messa al bando o la reclusione, le opinioni si divisero sulla questione dell’appello al popolo per mezzo della convocazione di assemblee primarie popolari che avrebbero dovuto ratificare la sentenza, questione peraltro già affrontata e rigettata in Archives parlementaires, t. LV, pp. 637-638. Decreto proposto da Couthon e approvato dalla Convenzione. Ibidem, p. 641. 73 Il 27 dicembre, giorno dell’apertura della discussione, presero la parola nell’ordine: Saint-Just primo iscritto; Rouzet, Salle, Joseph Serre, Barbaroux, Lequinio; il 28 dicembre terminò di parlare Lequinio, cui seguirono Rabaut-Saint-Etienne, Faure, Buzot, M. Robespierre, Duchastel. Il 29 fu la volta di Birotteau, Guiter, Morisson, Engerran-Deslandes, Prost, Fockedey. Stando alle Archives parlementaires, nessun intervento fu pronunciato il 30 dicembre, mentre il giorno successivo, si avvicendarono alla tribuna della Convenzione Vergniaud, Moreau, Corenfustier (il cui intervento fu particolarmente conciso, limitandosi alla proposta della sanzione popolare del giudizio emesso dalla Convenzione) e DuboisCrancé. Il 1° gennaio parlarono Jean-Bon-Saint-André, Petit e Brissot, il 2 Guyomar, Gensonné, Carra, il 3 gennaio Dartigoyte e Pétion. L’ultimo deputato a poter pronunciare il proprio intervento prima che si decidesse di porre fine alla discussione in aula fu Barère, il 4 gennaio. Alla data del 31 dicembre, dopo che 17 deputati avevano già parlato, risultavano iscritti alla lista che regolava l’ordine degli interventi 103 oratori. Cfr. Archives parlementaires, t. LVI, p. 90. 71 72
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novembre dal rapporto del Comité de Législation. Fu questo il nodo centrale della discussione, posto, lo stesso 27 dicembre dal deputato girondino Jean-Baptiste Salle. La Convenzione avrebbe dovuto, per appello nominale, stabilire se Luigi XVI fosse o non fosse colpevole. In caso affermativo il popolo, riunito in assemblee comunali o cantonali, sarebbe stato chiamato ad esprimersi sulla questione «politica», ossia la pena da applicare: la morte oppure la detenzione, riservandosi in quest’ultimo caso anche la possibilità, una volta raggiunta la pace, di decidere tra la messa al bando o la prigionia perpetua. Occorreva evitare che la Convenzione fosse ritenuta unicamente responsabile delle conseguenze del giudizio del sovrano. Se Luigi fosse stato condannato a morte, la conseguenza immediata sarebbe stata l’ampliamento del fronte nemico. Una guerra ancora più vasta avrebbe consumato, anche in caso di vittoria, risorse e uomini e il popolo ne avrebbe chiesto conto alla Convenzione. In una situazione di crisi, sosteneva Salle, «le regret du passé, les malheurs présents, la guerre extérieure, les dissensions civiles excitées par les prétention qui survivront à Louis, les divisions adroitement entretenues dans la Convention pour l’entraver et l’avilir; que sais-je? La pitié qui accompagne à l’échafaud les plus grands criminels, et qui s’attache à leur mémoire, tout portera le mécontentement à son comble: la Convention sera maudite, attaquée, dissoute; et la royauté lèvera une seconde fois sa tête hideuse au milieu des ruines de l’Empire»74. La stessa cosa sarebbe accaduta se il sovrano fosse stato risparmiato: la causa di tutti i mali sarebbe stata fatta risalire al prigioniero del Tempio, ma la responsabilità sarebbe ricaduta comunque sulla Convenzione che aveva deciso di tenerlo in vita. Solamente facendo appello al giudizio del popolo, dunque, la Convenzione, esente da rimproveri e accuse, avrebbe conservato la fiducia della nazione. Non da ultimo, questa soluzione avrebbe dissolto i sospetti che la Convenzione agisse dietro una forte pressione esercitata dalla Comune: «Il est donc de l’intérêt de Paris que la nation prononce: il est de son intérêt qu’on puisse dire dans tous le temps: ‹C’est le peuple français tout entier, et non le peuple parisien, qui a jugé Louis XVI›»75. I deputati girondini ripresero queste argomentazioni a sostegno dell’appello al popolo, a volte inteso però come ratificazione della sentenza completa emessa dalla Convenzione76. L’appello al popolo da una parte, dunque, limitava le responsabilità della Convenzione in caso di condanna a morte, dall’altra si poneva come estremo tentativo di salvare la testa al re. Archives parlementaires, t. LV, p. 714. Archives parlementaires, t. LV, p. 716. Opinione ripresa dal girondino Corenfustier il 31 dicembre (ibidem, p. 96). 76 Seligman, La justice en France, pp. 433-436. 74 75
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All’opposto di quella girondina, la tesi montagnarda, minoritaria alla tribuna, sosteneva non solamente che la Convenzione dovesse emettere la sentenza di innocenza o colpevolezza, ma anche la condanna a morte del re, rifiutando qualsiasi forma di ricorso all’appello popolare77. L’organizzazione e la convocazione di assemblee primarie, sosteneva Robespierre, nell’intervento del 28 dicembre, avrebbero richiesto molto tempo, con la conseguenza di allungare ulteriormente i tempi del processo e favorire contemporaneamente i nemici stranieri che avrebbero trovato la Francia intenta a decidere delle sorti di Luigi XVI e sfinita da discussioni «scandalose». La guerra avrebbe spinto i veri patrioti a partire per difendere la patria, che sarebbe rimasta così in mano «aux riches, amis naturels de la monarchie, aux egoïstes, aux hommes lâches et faibles, à tous les champions du feuillantisme et de l’aristocratie»78. Il pronto giudizio di Luigi XVI risultava essere, dunque, una condizione indispensabile per provvedere alla difesa nazionale. In questo modo la Montagna ribaltava a suo favore l’argomento della guerra addotto dalla Gironda in appoggio all’appello al popolo. L’ultima opinione ad essere pronunciata alla tribuna fu quella di Barère, il 4 gennaio. Il lunghissimo intervento del deputato del dipartimento delle Hautes-Pyrénées, pur proponendosi di valutare in maniera equanime e puntuale le proposte giunte dagli oratori che lo avevano preceduto, fece tuttavia pendere l’assemblea verso la tesi montagnarda, grazie alla forza di un ragionamento ben organizzato e comprovato dai fatti. Barère non solo mise in evidenza le incongruenze emerse dalle motivazioni addotte in favore dell’appello al popolo: «Les variations dans les orateurs du même système, prouvent évidemment que le recours à la nation n’est pas basé sur des droits rigoureux et sur des principes incontestables, quand il s’agit d’un corps constituant revêtu de tous les pouvoirs dans le cours d’une grande révolution qui lui a donné l’origine»79. Egli mostrò anche che un tale ricorso vanificava il senso della rappresentanza nazionale, privava di ogni potere il mandato che la nazione aveva affidato alla Convenzione. Per queste ragioni fondamentali spettava alla Convenzione emettere la sentenza su Luigi XVI e decidere quale pena comminargli80.
Così Saint-Just, Lequinio, Robespierre, Dubois-Crancé, senza condizioni; Jean-BonSaint-André, Dartigoyete e Carra, l’unico girondino, non prima di aver sottoposto all’assemblea la questione della ratificazione alle assemblee primarie. 78 Archives parlementaires, t. LVI, p. 19. 79 Archives nationales, t. LVI, p. 206. 80 Sull’intervento di Barère del 4 gennaio 1793, cfr. Seligman, La justice en France, pp. 440-445. 77
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Il 7 gennaio, dopo due giorni durante i quali nessun convenzionale si pronunciò in merito alla difesa del sovrano, il primo deputato a cui spettò di intervenire sul jugement de Louis Capet, Kersaint, domandò che la discussione fosse chiusa dopo che fossero stati ascoltati gli oratori previsti per quel giorno. La proposta, poi accettata, fu tuttavia accolta non senza disappunto da parte di coloro che non avevano ancora avuto modo di parlare ma che desideravano poterlo fare81. Alla data del 7 gennaio, oltre un centinaio di deputati iscritti alla lista di discussione non avevano ancora avuto la possibilità di esprimere la propria opinione davanti all’assemblea82. Se tutti coloro che desideravano prendere la parola avessero potuto farlo, la discussione si sarebbe protratta per oltre un mese con la conseguenza, auspicata da alcuni e temuta da altri, di allungare i tempi del processo. Prevalse, pertanto, la volontà di porre fine al dibattito in aula, e di fissare gli appelli nominali a distanza di una settimana, il 14 gennaio. Tuttavia, per permettere ai giudici di motivare il giudizio che, a breve, avrebbero emesso, su richiesta di Thomas Paine la Convenzione decretò che le opinioni di tutti coloro che
«J’étais avant Vergniaud, Pétion et Kersaint; je m’étais fait inscrire après l’opinin de Salle, je ne sais comment il se fait qu’on m’ait ainsi écarté», protestò Couthon. La stessa cosa lamentò il deputato Antoine Conte, al quale Louvet-Couvrai rispose che al momento della sua iscrizione vi erano 50 nomi su ogni colonna e che dunque si collocava centesimo nella lista e che pertanto avrebbe potuto parlare dopo un mese. Archives parlementaires, t. LVI, p. 265. 82 Sylvain-Phalier Lejeune, scriveva in una nota nella sua Opinion sur Louis Capet, cidevant roi des Français (si veda per il titolo completo l’Appendice), che «cent orateurs étaient inscrits sur la liste de la parole; j’étais inscrit le vingtième; l’Assemblée a fermé la discussion, et a décrété que tous les membres qui avaient des opinions écrites sur le procès du ci-devant roi pourraient les faire imprimer. Je cède moins à l’envie d’être imprimé, qu’au besoin de rendre compte à mes commettants de mon opinion dans une affaire de cette nature; un homme digne de représenter une grande nation doit être jaloux, dans une pareille circonstance, de faire connaître ses pensées à la postérité; mes commettants et la postérité ne verront dans ce discours que les élans d’une âme républicaine, qui ne s’est jamais passionnée que pour le bonheur et la liberté du peuple» (Archives parlementaires, t. LVI, pp. 467-468). Lejeune era favorevole alla condanna a morte e al ricorso dell’appello al popolo. O ancora, nell’Opinion de Nicolas Bourgeois, sur le ci-devant roi et son jugement (cfr. Appendice), non pronunciata e data direttamente alle stampe, a favore del ricorso all’appello al popolo nel giudizio di Luigi XVI, il deputato del dipartimento della Seine-Inférieure, in nota scriveva, probabilmente a inizio gennaio: «Ne pouvant espérer d’obtenir la parole, puisque j’ai trouvé aujourd’hui plus de 120 orateurs inscrits, j’ai cru devoir faire imprimer, afin de constater mon opinion auprès de mes commettants» (Archives parlementaires, t. LVII, p. 142). Questi due esempi attestano non solo l’ingente numero di deputati rimasti privati della possibilità di avere la parola alla tribuna, ma soprattutto dell’importanza di poter comunque dialogare con i propri elettori e giustificare ad essi le ragioni delle proprie opinioni. 81
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avevano previsto di intervenire fossero date alle stampe e distribuite. Inoltre, il deputato François Robert propose che, per accelerare i tempi di stampa, fosse consentito a ogni membro dell’assemblea di pubblicare la propria opinione presso l’editore che avesse ritenuto più opportuno allo scopo. Infatti, se tutti avessero affidato i propri discorsi esclusivamente all’editore della Convenzione (Baudouin), già sovraccarico di lavoro, la diffusione ne sarebbe stata sicuramente rallentata83. Come già era successo per la prima grande tornata di discussioni, circa un mese prima, il 3 dicembre, ancora una volta la vera tribuna per la maggior parte dei convenzionali sarebbe stato lo spazio della lettura. È probabile che molti avessero intuito un simile esito della discussione e che pertanto si fossero risolti a consegnare all’editore i propri interventi prima della decisione di chiudere il dibattito in aula. È ciò che si deduce, tra l’altro, dalle parole d’esordio dell’intervento scritto del montagnardo Nicolas Hentz che cominciava le proprie riflessioni, contrarie alla proposta di affidare al popolo la ratificazione della sentenza, con alcune osservazioni sullo svolgimento degli interventi alla tribuna: «Je ne suis que le quatre-vingt-huitième sur la liste de l’ordre de la parole; ainsi vraisemblablement la discussion ne se prolongera pas jusqu’à mon tour. Comme je dois dire à la Nation non seulement mon opinion, mais encore les motifs qui la déterminent, je livre l’un et l’autre à l’impression: aussi bien je suis plus à mon aise dans une conversation familière avec mes concitoyens, qu’à la tribune où il faut plus de poumons que la nature ne m’en a donné»84. Il decreto di ovviare con la stampa alla chiusura repentina della discussione in aula consentì di dare la parola, sebbene solo per iscritto, a tutti i deputati che desideravano esprimersi in merito al giudizio da emettere. Era desiderio diffuso, come rappresentanti e come giudici, avere la possibilità di motivare in maniera articolata la sentenza che, a breve, sarebbero stati chiamati a pronunciare. Tuttavia, se è vero che tutti ebbero la possibilità di esprimersi attraverso la parola scritta, resta il fatto che coloro che poterono farlo direttamente alla tribuna della Convenzione godettero di un maggiore vantaggio85. Non
Archives parlementaires, t. LVI, p. 265. Nelle annexes della giornata del 7 gennaio delle Archives parlementaires, pp. 266-577 si trovano le opinioni non pronunciate e affidate alla stampa dei 104 deputati (inclusa la seconda opinione di Salle che aveva già parlato alla tribuna il 27 dicembre). Si veda l'Appendice. 84 Archives parlementaires, t. LVII, p. 205. 85 La questione dell’ordine della presa di parola e, soprattutto della mancata possibilità di parlare alla tribuna della Convenzione, malgrado l’iscrizione nella lista, non mancò 83
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solamente perché fu a partire dagli interventi pronunciati che molti deputati formularono le loro opinioni come risposta a quelle ascoltate direttamente in aula, ma perché tali discorsi furono immediatamente diffusi per mezzo dei giornali che ne riportarono parzialmente o integralmente il testo nei giorni immediatamente successivi. Tra i tempi della discussione e quelli della stampa vi era necessariamente una sfasatura che il procedere repentino degli avvenimenti contribuiva ad ingrandire. In una nota apposta al termine del proprio intervento, il deputato di Parigi Antoine-Sauveur Boucher giustificava le ragioni per le quali non aveva potuto dare alla propria opinione l’ampiezza dovuta all’importanza della materia trattata: «1° Parce que l’intervalle qui existe entre le décret qui en a ordonné l’impression et le jour où Louis XVI doit être définitivement jugé, m’a forcé à me renfermer dans un cercle d’idées très resserré; 2° Parce que les orateurs qui ont déjà parlé sur cette question, ont laissé peu de chose à dire à ceux qui leur succédaient dans l’ordre de la parole, surtout s’ils ne voulaient le répéter»86.
di essere oggetto di denuncia pubblica da parte di alcuni deputati, all’interno delle stesse opinioni date alle stampe. È il caso, ad esempio, dell’Opinion de François Poultier, député du Nord, Sur le Supplice de Louis Capet o delle Réflexions sur le jugement de Louis Capet di Jacques Pinet. In entrambi i casi, viene mossa un’accusa al ministro Roland di favorire i deputati realisti e di gestire l’ordine della presa di parola in maniera completamente arbitraria. Scrive Poultier alla fine del suo intervento del gennaio 1793 incentrato sulla questione dell’appello al popolo: «J’étais inscrit le vingt-cinquième pour prononcer cette opinion à la tribune. Le bureau prévaricateur a subversé la liste des orateurs; il a mis les royalistes en avant; la carrière leur étant ouverte exclusivement, ils ont demandé la clôture de la discussion, quand ils ont vu leur liste épuisée et celle des patriotes ouverte. On nous éconduit ainsi sans cesse de la tribune. Il faut pour parler avoir prêté foi et hommage à M. Roland, et avoir baisé la main de madame son épouse…». (Archives parlementaires, t. LVI, p. 529). In modo simile Pinet denunciava nello stesso periodo: «Par une subversion coupable, l’intègre bureau avait placé en tête de la liste des orateurs, ces amis si chauds du peuple, qui ne veulent lui soumettre le jugement du traître Louis, que pour sauver ce tyran. Quand ils ont eu fini de parler, ils ont demandé que la discussion fût fermée. Citoyens, quand ouvrirez-vous donc les yeux? Les patriotes sont toujours éconduits, Roland gouverne tout; le fauteuil, la tribune, le bureau, tout est à ses amis, ou encore mieux à ceux de son épouse; et quiconque n’est pas admis à la table de Monsieur, ou au boudoir de Madame, est assuré de ne pouvoir jamais faire entendre sa voix» (Archives parlementaires, t. LVII, p. 284). Sia Poultier che Pinet votarono poi contro l’appello al popolo, per la morte e contro il sursis. 86 A ceux de mes collègues qui ne se sont qu’égarés nel quale Antoine-Sauveur Boucher, d’accordo con le opinioni già espresse di Robespierre, Saint-André, Barère, intendeva porre l’accento sulla presenza di monarchici in seno alla Convenzione e ancor prima nell’Assemblea legislativa. Archives parlementaires, t. LVII, pp. 136-137. La nota citata, apposta alla
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Il 14 gennaio, come stabilito, la Convenzione riprese ad occuparsi del processo di Luigi XVI, dedicando l’intera giornata alla formulazione delle domande da sottoporre all’appello nominale dei membri dell’assemblea. Al termine di una lunga e disordinata discussione l’assemblea decretò che il giorno seguente ogni deputato fosse chiamato a rispondere successivamente a tre domande precise: «1° Louis est-il coupable de conspiration contre la liberté de la nation et d’attentat contre la sûreté générale de l’Etat? 2° Le jugement, quel qu’il soit, sera-t-il envoyé à la sanction du peuple? 3° Quelle peine lui sera-t-il infligée?»87. Il 15 gennaio, in seguito a una serie di proposte riguardanti il modo di procedere all’appello nominale, fu stabilito che ogni membro salisse alla tribuna e pronunciasse la propria opinione; che tali opinioni fossero raccolte dai segretari, indicando sì o no dopo il nome di ognuno; che nella lista completa di tutti i deputati fosse fatta menzione degli assenti giustificati e ingiustificati (che in quest’ultimo caso sarebbero stati censurati). Le liste con le note di assenza, di censura e dell’opinione di ognuno sarebbero poi state stampate e inviate agli 84 dipartimenti. Fu inoltre accordato a coloro che lo desiderassero, di poter motivare sommariamente le proprie opinioni senza doversi limitare a un sì o un no. Alla domanda se Luigi fosse colpevole di cospirazione contro la libertà pubblica e di attentati contro la sicurezza generale dello Stato, dei 718 deputati presenti sulla totalità di 749 membri di cui era composta la Convezione, 692 votarono affermativamente88. Le rimanenti 26 opinioni erano di fatto delle astensioni, piuttosto che dei no espliciti. In seguito al primo scrutinio, dunque, Luigi XVI fu dichiarato pressoché unanimemente colpevole. La seconda votazione, cui si procedette immediatamente dopo la fine della prima, riguardava la ratificazione popolare del giudizio pronunciato dalla Convenzione. L’esito, questa volta su 721 votanti, fu di 286 opinioni a favore della ratificazione contro 423 che vi si opponevafine dell’intervento di Boucher-Antoine-Saveur, non compare nel testo dato alle stampe singolarmente. Cfr. Appendice. L’opinione di Hentz e di Boucher-Antoine-Saveur si trovano nelle Annexes della seduta del 15 gennaio delle Archives parlementaires, t. LVII, dove sono raccolte le opinioni relative all’appello al popolo. Sebbene tali interventi scritti si collochino nell’ambito della votazione pronunciata in quella data, le argomentazioni fanno riferimento al dibattito svolto nei giorni precedenti. 87 Archives parlementaires, t. LVII, p. 58. 88 Al momento della votazione 31 deputati risultarono assenti: 7 per malattia; 1 per motivi ignoti, 20 assenti per commissione, 3 perché non figuravano in alcuna lista. Archives parlementaires, t. LVII, p. 74 nota 1. Cfr. Seligman, La justice en France, pp. 461-465 che però conteggia 691 voti a favore della colpevolezza.
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no89. I risultati delle prime due consultazioni decretavano il successo della posizione della Montagna sulla Gironda. Il fallimento del ricorso alla ratificazione popolare aveva di fatto sancito il trionfo della dottrina della sovranità della Convenzione che, meglio di tutti, aveva esposto Barère90. Il terzo appello nominale, che doveva decidere sulla pena da infliggere al re, cominciò nel tardo pomeriggio del 16 gennaio e si protrasse per tutta la notte e la giornata successiva. Alcuni deputati, prima che cominciasse la votazione, domandarono che la maggioranza fosse fissata a due terzi del numero dei votanti, ma prevalse, come per tutte le deliberazioni dell’assemblea, il criterio della maggioranza assoluta che quel giorno fu fissata a 361, essendo i votanti 721. Alla verifica del conteggio, ripetuto il giorno successivo, risultò che 387 deputati votarono per la morte senza condizione mentre 334 si espressero a favore della reclusione o per la morte condizionale91. La ripetizione delle votazioni, sotto forma di controllo del processo verbale delle giornate precedenti, si era reso necessario a causa di incongruenze numeriche emerse dopo una prima lettura e di errori nella trascrizione. L’esattezza del computo era necessaria perché la lista con i risultati delle votazioni sarebbe stata in breve tempo consegnata alle stampe, conformemente a quanto stabilito, e dunque diffusa in tutto il paese. Il deputato Dumont fece notare che il proprio voto era stato mal riportato da un giornale a causa, probabilmente, degli errori contenuti nella lista in cui erano stati raccolti i voti92. Occorreva pertanto dare alle stampe un testo esatto al quale tutti potessero fare riferimento per cono-
Gli assenti furono 28. Tra i presenti 12 si astennero o ricusarono, mentre le opinioni motivate furono 109 tra quelle favorevoli alla ratificazione e 116 tra quelle contrarie. Archives parlementaires, t. LVII, p. 98 nota 1. 90 Seligman, La justice en France, p. 465. 91 Di questi 334 voti 286 comprendevano la detenzione e il bando sino alla pace, o il bando immediato e in alcuni casi la pena di morte condizionale, se il territorio nazionale fosse invaso. Due deputati, invece, proposero i ferri. Tra coloro che votarono per la morte, invece, occorre distinguere 361 voti per la morte senza condizione dai 26 per la morte ma con la richiesta che la questione del sursis fosse presa in esame dall’Assemblea, senza tuttavia che questo auspicio rappresentasse una condizione. Questa aggiunta al voto fu denominata ‘amendement Mailhe’ poiché introdotta dal deputato della Haute-Garonne Jean-Baptiste Mailhe che per primo salì alla tribuna al momento degli appelli sulla terza domanda: «Si la mort a la majorité, je pense qu’il serait digne de la Convention nationale d’examiiner s’il ne serait pas politique et utile de presser ou de retarder le moment de l’exécution. Cette proposition est indépendante de mon vote. Je reviens à la première question et je vote pour la mort» (Archives parlementaires, t. LVII, p. 312; Seligman, La justice en France, pp. 477-478). 92 Dumont rilevò che in un giornale gli era stato attribuito il voto per la detenzione quando invece aveva votato per la morte. Archives parlementaires, t. LVII, p. 427. 89
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scere la volontà effettiva della Convenzione e dei suoi singoli deputati93. Tuttavia il giorno seguente, il 19 gennaio, una nuova, accesa, discussione si produsse attorno alla proposta di votare il rinvio, «sursis», dell’esecuzione della pena prevista. L’assemblea decretò di procedere con la messa ai voti, rispondendo semplicemente sì o no alla domanda: «Y aura-t-il un sursis à l’exécution du jugement de Louis Capet?» e il quarto appello nominale terminò con 380 voti contrari al rinvio su 310 a favore, per un totale di 690 votanti94. La seduta di quella giornata si chiuse ben oltre la mezzanotte con il decreto che condannava a morte Luigi XVI. La condanna sarebbe stata eseguita entro ventiquattro ore a contare dalla notificazione della stessa al reo. L’esecuzione, per la quale occorreva prendere tutte le misure di sicurezza del caso per garantire l’ordine pubblico, era dunque prevista per il 21 gennaio. Il mattino dopo, il 20 gennaio, il ministro della giustizia Garat, che era stato incaricato di notificare a Luigi il decreto che lo condannava, lesse all’assemblea una lettera del re nella quale il condannato chiedeva un rinvio di tre giorni all’esecuzione della pena capitale «pour pouvoir me préparer à paraître en présence de Dieu»95. Egli domandava, inoltre, che in questo spazio di tempo gli fosse permesso di vedere la sua famiglia senza sorveglianza e che la Convenzione si occupasse opportunamente della sorte dei suoi prossimi. L’assemblea accondiscese alle richieste di Luigi XVI ad eccezione del rinvio dell’esecuzione. Quest’ultima fu fissata dal consiglio esecutivo per l’indomani mattina, nella place de la Révolution (Concorde) alla presenza dei commissari del dipartimento e della municipalità. Alla sera del 21 gennaio, in un’assemblea scossa dall’assassinio del deputato Le Peletier de Saint-Fargeau per mano di un monarchico, giunse la lettera del Consiglio esecutivo a cui era allegato il processo verbale dell’esecuzione della sentenza, redatto da uno dei membri della Comune. Il breve rapporto rendeva conto degli ultimi momenti di vita del re, dall’uscita dalla prigione del Tempio sino all’arrivo nel luogo dell’esecuzione. Nessun incidente si era prodotto lungo il tragitto, poche erano state le parole pronunciate dal condannato, e l’unico tentativo mosso da Luigi di rivolgersi al popolo era stato impedito da Santerre, comandante della guardia nazionale, «pour
La Convenzione fece dare alle stampe le liste dei risultati delle votazioni in due volumi separati: uno contenente l’appello relativo alla pena da infliggere a Luigi Capeto, l’altro gli appelli nominali della giornata del 15 e 19 gennaio 1793, relativi alle altre tre domande poste. Si veda l’Appendice. 94 Archives parlementaires, t. LVII, p. 467. 95 Ibidem, p. 511. 93
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que la loi reçût son exécution». Alle 10 e 10 di quella mattina, era caduta la testa di Luigi Capeto, tranciata di netto dalla lama della ghigliottina96. Con l’esecuzione della sentenza capitale pronunciata dalla Convenzione terminava il processo di Luigi XVI. Dall’inizio alla fine, dalla metà di agosto sino alla fine di gennaio, tutte quante le fasi del processo, dalla sua «rudimentale» istruzione, secondo il giudizio di Seligman, al dibattito parlamentare, dalla raccolta delle prove alla votazione della sentenza di morte, furono rese pubbliche per mezzo della stampa per ordine della Convenzione nazionale. Le ragioni di questa pubblicità erano molteplici: diffondere un’informazione ufficiale a tutta quanta la nazione; permettere la circolazione sistematica dentro e fuori la Convenzione delle relazioni redatte dalle varie commissioni e delle prove raccolte contro Luigi XVI; supplire alla mancanza di tempo per un dibattito completo in aula, garantendo a ogni deputato il diritto di poter esprimere comunque la propria opinione. I tempi materiali di stampa tuttavia rallentavano la trasmissione allo spazio pubblico del lavoro svolto dalla Convenzione, nonostante l’impegno profuso dallo stampatore Baudouin che pure era finito nelle maglie della giustizia nel corso del processo al re97. Vi era inevitabilmente una sfasatura temporale tra quanto veniva discusso nella salle du Manège delle Tuileries e la conoscenza ufficiale che se ne poteva avere al di fuori di essa. Le raccolte di documenti delle commissioni dei 24 prima e dei 21 dopo apparvero nel corso del mese di gennaio e in alcuni casi oltre il giorno dell’esecuzione di Luigi XVI, il 21 gennaio. Le opinioni dei convenzionali Archives parlementaires, t. LVII pp. 532-533. Il rapporto si chiudeva con il testamento di Luigi XVI, redatto il 25 dicembre precedente, che il re aveva affidato al Consiglio esecutivo. Il testamento conobbe una fortuna editoriale molto vasta, tradotto in diverse lingue e con numerose edizioni. Si veda l’Appendice. 97 Contro François-Jean Baudouin la Commissione dei ventiquattro aveva emesso un mandato di comparizione all’inizio di ottobre sulla base di una prima lettura delle carte rinvenute al castello delle Tuileries che inducevano a ritenere che lo stampatore avesse ricevuto del denaro dalla Liste civile per il giornale Logographe che usciva per i suoi tipi. Baudouin, dalle pagine del Journal des débats et des décrets, n° 13, pp. 227-228 (ma esiste anche un’edizione indipendente, sempre de l’Imprimerie nationale), il primo ottobre si rivolse direttamente ai suoi concittadini per dichiarare la sua innocenza. In seguito all’audizione dello stesso Baudouin e delle prove da lui addotte, la Commissione dei ventiquattro lo prosciolse dalle imputazioni, il 28 ottobre 1792. Il processo verbale fu dato alle stampe per ordine della Convenzione, unitamente alla dichiarazione della Comune di Parigi del 16 novembre con la quale si confermava l’innocenza dello stampatore (Convention nationale. Commission extraordinaire des vingt-quatre, Établie par décret du premier octobre, De l’Imprimerie nationale). Cfr. anche Seligman, La justice en France, p. 387. 96
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che non poterono essere pronunciate direttamente alla tribuna dell’assemblea rappresentativa subirono la stessa sorte. Di fatto la preoccupazione di pubblicità era una preoccupazione di ordine storico, come in fondo l’aveva detto Dufriche-Valazé. Sarebbe spettato alle generazioni a venire conoscere e valutare l’operato della Convenzione. Dare alle stampe tutta la documentazione processuale, le opinioni dei deputati, in alcuni casi i processi verbali delle sedute assembleari, rispondeva di fatto a un’esigenza interna della Convenzione che difficilmente, per la lentezza di diffusione, poteva avere un’immediata conseguenza nello spazio pubblico. Erano altri i mezzi attraverso cui poter allargare il dibattito all’opinione pubblica e non su tutti l’assemblea rappresentativa poteva esercitare un sicuro controllo.
II IL PROCESSO NELLA STAMPA QUOTIDIANA: I GIORNALI
Nella seduta del 14 dicembre 1792, dopo che era stata notificata all’assemblea l’accettazione da parte di Luigi di Lamoignon-Malesherbes come difensore insieme al prescelto Tronchet, il deputato Manuel sottopose ai membri della Convenzione una mozione d’ordine mirante a regolamentare, secondo dei criteri da stabilire, l’accesso del pubblico alle tribune. La Convention désirerait sans doute que le lieu de ses séances fût assez vaste pour contenir tous les citoyens de la République; sans doute tous les membres de cette Assemblée voudraient se voir environnés de tous leurs commettants; ne travaillant que par eux et pour eux, ils voudraient travailler avec eux. Cependant plusieurs citoyens de Paris et des départements se plaignent de ne pouvoir entrer dans le temple de la Liberté.
Manuel denunciava che le tribune preposte ad accogliere il pubblico nella sala in cui si riunivano i deputati erano riempite sempre e solo da gente che aveva tempo da perdere a detrimento dei molti cittadini, tanto della capitale quanto della provincia in visita a Parigi, che mostravano il desiderio di assistere alle sedute dell’assemblea. Egli proponeva pertanto che un numero uguale di biglietti fosse ripartito tanto alle sei sezioni di Parigi quanto alle sei deputazioni dei dipartimenti affinché ne effettuassero la distribuzione. «Plus on nous verra» concludeva Manuel, «plus on nous respectera; car je sais que la Convention obtiendra toujours du peuple le respect que réclame la majesté nationale»1. La proposta di Manuel suscitò un’accesa reazione nelle file della Montagna. Albitte denunciò che fosse una manovra per riempire le tribune di emigrati che si sarebbero recati a Parigi il giorno in cui Luigi XVI sarebbe stato giudicato. Lo spettro di una congiura realista aleggiava costantemente tra novembre e dicembre sull’assemblea
Archives parlementaires, t. LV, pp. 46-47. Sulla disposizione dei locali in cui sedeva la Convenzione, si veda A. Brette, Histoire des édifices où ont siégé les assemblées parlementaires de la Révolution française et de la prémière République, t. 1, Paris, Imprimerie nationale, 1902. 1
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rappresentativa. Ristabilito il silenzio, la Convenzione decretò il non luogo a deliberare sul progetto di Manuel. Il giorno dopo nelle pagine del Patriote français si leggeva il commento su questo dibattito parlamentare: La publicité des séances de la convention nationale est une dérision telle qu’elle existe actuellement. Il est de fait que les tribunes sont presque toujours garnies de mêmes individus, sur-tout dans les grandes occasions; ce sont deux ou trois cents oisifs qui assiègent de bonne heure toutes les avenues, et qui en écartent les patriotes, sur-tout ceux des départemens qui, n’étant point accoutumé au petit manège à l’aide duquel on obtient des places, en sont ordinairement privés. Aussi les effets de cette manœuvre sont sensibles; il est difficile de faire entendre la voix de la justice et de la raison, sans être accueilli par des clameurs et des huées indécentes; et les instigateurs de ce scandale l’appellent l’opinion du peuple2.
L’articolo di Girey-Dupré, giornalista del Patriote français che dall’inizio di dicembre aveva sostituito Brissot nei commenti politici dedicati al processo di Luigi XVI3, denunciava che il pubblico presente alle sedute della Convenzione fosse al soldo della Montagna da cui erano venute le proteste maggiori alla proposta di Manuel. Quest’ultimo, proseguiva il giornalista, aveva visto «fondre sur lui une double insurrection, et de la montagne, et des tribunes, qui se sont disputé l’honneur de témoigner plus d’indécence»4. La condotta di parte dei deputati, secondo Girey-Dupré, doveva provare ai dipartimenti fino a che punto certi uomini temessero di avere i loro concittadini per testimoni delle loro azioni. Dal punto di vista girondino, era la Montagna a manipolare il pubblico presente alle sedute della Convenzione. La Convenzione, dal canto suo, aveva avuto a cuore, come si è visto, la pubblicità delle proprie sedute. Il senso della rappresentanza nazionale si esplicitava anche attraverso l’ordine di stampa dei discorsi dei deputati, dei processi verbali delle discussioni in aula, della documentazione processuale. Chi abitava a Parigi o vi si trovava di passaggio poteva, se lo avesse desiderato, assistere alle sedute della Convenzione, ma non tutti, però, sembravano avere le stesse opportunità. I girondini, anche attraverso le pagine del Patriote français, accusavano la Montagna di monopolizzare l’accesso alle tribune dell’assemblea pagando il pubblico presente affinché esprimesse «l’opinione del popolo». D’altra parte, in merito al processo di Luigi XVI, la questione risultava delicata. Intervenire nella distribuzione dei biglietti Le patriote français, n° 1222, Du Samedi 15 Décembre 1792, p. 686. Le patriote français, n° 1219, Du Mercredi 12 Décembre 1792, p. 674. Su Jean-Marie Girey-Dupré: M. Dorigny, Girey-Dupré, in Dictionnaire historique de la Révolution française, dir. Albert Soboul, Paris, PUF, 1989, pp. 502-503. 4 Le patriote français, n° 1222, Du Samedi 15 Décembre 1792, p. 686. 2 3
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per assistere alle sedute assembleari nei giorni di discussione relativa al giudizio del re poteva favorire l’afflusso di un pubblico realista (implicita accusa, peraltro, mossa dalla Montagna nei confronti del filo-realismo della Gironda). L’opinione del popolo risultava essere per i differenti partiti che componevano la Convenzione tanto più importante quanto più ci si trovava ad affrontare una questione così delicata come il processo al sovrano deposto. Non si trattava di controllare l’opinione del popolo, ma di arrogarsene il monopolio. La spaccatura interna dell’assemblea rappresentativa si estendeva dunque anche alla pretesa avanzata da entrambe le parti di rispecchiare l’opinione del popolo, di esserne l’interprete. Era questo il senso dell’intervento di Manuel e dell’articolo del Patriote français, come d’altra parte la posta in gioco della pubblicità era quella di trasmettere e formare l’opinione del popolo stesso. La questione dell’opinione pubblica5, di formarla, conoscerla, rispecchiarla, assunse nel corso del processo una funzione chiave. Gli strumenti erano molteplici e il ruolo principale spettò alla parola scritta: non solo libelli e pamphlet, come si vedrà, ma soprattutto la stampa quotidiana, o settimanale, che con un’immediatezza e una diffusione senza pari, diffondeva informazioni a tutta l’estensione della Repubblica. I giornali a vocazione politica, o che accoglievano nelle loro pagine il resoconto delle sedute della Convenzione, svolgevano una funzione fondamentale di informazione su scala molto spesso nazionale. Lungi dall’essere neutrali i giornali afferivano spesso ad aree politiche dell’assemblea rappresentativa, quando non contavano tra i redattori o i fondatori gli stessi deputati. La Convenzione annoverava infatti tra i suoi membri esponenti affermati della carta stampata, giornalisti che dall’inizio della Rivoluzione si erano fatti conoscere attraverso i quotidiani di cui erano collaboratori o che avevano fondato in precedenza. Hébert, redattore del popolare Père Duchesne, era uno dei pochi giornalisti famosi che aveva tentato la carriera politica senza riuscirvi, fallendo alle elezioni della Convenzione. Per molti deputati i giornali rappresentavano un mezzo attraverso il quale prolungare ed estendere all’esterno dell’assemblea rappresentativa il dialogo con i cittadini. In altri termini, molti potevano valersi della stampa quotidiana come strumento di amplificazione e di diffusione rapida delle opinioni espresse come rappresentanti della nazione. La «lotta delle opinioni», secondo un’espressione utilizzata da Jauffret nella contemporanea Histoire impartiale du procès de Tale questione andava spesso di pari passo con la preoccupazione dell’opinione o meglio del giudizio della posterità, ponendosi di fatto già in un ottica di avvenimento storico del passato. A questo elemento discorsivo si accennerà nelle conclusioni. 5
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Louis XVI, era combattuta dagli stessi deputati, al di fuori della cinta della Convenzione, nelle pagine dei loro giornali. Questa commistione tra politica e stampa quotidiana non giovava, naturalmente, alla neutralità delle informazioni o della maniera di fornirle. Nella seduta del 24 dicembre 1792, il deputato Thuriot denunciava lo spirito di parte della maggior parte dei giornali che alteravano e deformavano l’operato della Convenzione diffondendo in maniera parziale lo svolgimento delle sedute, snaturando le opinioni dei deputati, omettendo i decreti: La plupart des journaux suivent le torrent de l’esprit de parti. S’il n’y a plus de liste civile pour les influencer, il y a des principes qui corrompent tout. Tous les moyens sont bons. Un jour, c’est la suppression d’un décret qu’ils ne donnent pas; un autre jour c’est la moitié de la séance dont ils ne parlent jamais: une autre fois, ils altèrent, défigurent, détronquent nos opinions. Ils s’érigent en censeurs de nos travaux; quelques uns les rapportent à leur gré et substituent même leurs vues ou celles de leur parti à celles de la Convention, et je puis dire qu’il en est peu que l’on puisse excepter des infidélités punissables que je viens de rapporter6.
Thuriot domandava, pertanto, che i redattori dei giornali accreditati in aula rispondessero personalmente dei collaboratori responsabili delle cronache delle sedute dell’assemblea. La partigianeria aveva sostituito la lista civile, lamentava Thuriot, nel ruolo di influenzare i giornali o di corrompere i giornalisti. Tra le carte rinvenute nell’armoire de fer, infatti, la Commissione dei Dodici aveva inventariato anche il totale delle somme di denaro stanziato dalla Corona al fine di influenzare l’opinione pubblica, ad opera dell’agente al soldo della Corte Antoine Omer Talon7. Scrittori e giornalisti prezzolati, fogli da distribuire settimanalmente in tutte le province e a Parigi, uomini ingaggiati nei luoghi di sociabilità (Tuileries, PalaisRoyal, caffè, faubourgs, guinguettes, etc.) affinché parlassero a favore della monarchia, applaudissero certi discorsi e allo stesso tempo osservassero ciò che in tali luoghi di riunione avveniva. Ma anche denaro impiegato per l’abbonamento a tutti i giornali e l’acquisto di pamphlet e opere sulla Rivoluzione8. «On ne peut se dissimuler» si leggeva nel rapporto preparato da Talon al re, «que dans l’état où sont les choses, le gouvernement a besoin de connaître l’opinion publique et de la diriger; pour y parvenir, il faut: 1° Être exactement instruit de ce qui se passe dans Paris et les principales villes de province; 2° Influencer les groupes et ceux qui se rassemblent dans
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Archives parlementaires, t. LV, p. 386. Seligman, La justice en France, t. II, pp. 14 e ss. Archives parlementaires, t. LIV, pp. 364-365.
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les promenades, cafés, etc.; (…)»9. Nell’acte énonciatif dei crimini commessi da Luigi XVI un capo d’accusa verteva proprio su questo punto: «Vous avez payé des libelles, des pamphlets, des journaux destinés à pervertir l’opinion publique…»10. La monarchia, grazie ai progetti messi in opera da Talon, aveva dispiegato ingenti mezzi per «conoscere e dirigere l’opinione pubblica» laddove questa si formava, alimentava o poteva essere efficacemente diretta. I luoghi di riunione erano stati individuati come fondamentali allo scopo, al pari di libelli e giornali che, peraltro, erano spesso letti negli stessi luoghi di incontro e scambio di opinione. Dei giornali, si leggeva nella nota spese della lista civile, non occorreva conoscere solamente tutto quanto vi venisse scritto, ma risultava altresì necessario cercare di intervenire attraverso un rapporto diretto con i giornalisti. I mezzi e i luoghi individuati dalla monarchia non cambiarono nel periodo successivo alla sua caduta. Come il deputato Thuriot aveva rilevato, proponendo una responsabilizzazione dei giornalisti nei confronti delle notizie pubblicate, i diversi partiti della Convenzione agivano attraverso i giornali per influenzare l’opinione pubblica, ma anche attraverso libelli, pagando persone che gridassero per la capitale opinioni in favore di una o dell’altra fazione, o ancora gente che assistesse alle sedute dell’assemblea. Il nodo centrale era proprio il dilagare delle opinioni veicolate anche attraverso la deformazione delle notizie politiche dalla Convenzione. Che fossero prezzolate o semplicemente espressione di un credo politico autentico, il processo di Luigi XVI fu una questione di opinioni. I giornali se ne fecero interpreti, veicoli, testimoni. Il periodo del processo di Luigi XVI chiuse una fase senza precedenti di libertà di stampa, già peraltro compromessa a partire dalla giornata del 10 agosto, nella quale videro la luce, anche per brevi lassi di tempo, centinaia di fogli quotidiani. Affrontare il discorso contemporaneo sul processo di Luigi XVI dal punto di vista dei giornali richiederebbe un libro a parte, per l’ingente numero di testate che uscivano quotidianamente e di conseguenza per la quantità di informazioni messe in circolazione. Quello che interessa è
Ibidem, p. 366. Archives parlementaires, t. LV, p. 4. Nella terza raccolta delle Pièces imprimées d’après le décret de la Convention nationale du 5 décembre 1792, l’an Ier de la République; déposées à la commission extraordinaire des Douze, établie pour le dépouillement des papiers trouvés dans l’armoire de fer au château des Tuileries, et cotées par le ministre de l’intérieur et les secrétaires, lors de la remise qu’il en fit sur le bureau de la Convention dans la séance du 20 novembre, il documento n° 282 Mémoire contenant un plan de gouvernement monarchique. 9
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cercare di rilevare, attraverso la stampa quotidiana o settimanale, il «discorso sul discorso», come i giornali, al di là delle notizie, fossero a loro volta espressione di un’opinione particolare che intendeva intervenire nell’avvenimento, anticipandolo o cercando di dirigerlo11. 1. Il processo prima del processo. Rispetto a qualsiasi altro mezzo di comunicazione, i giornali avevano il vantaggio della rapidità di diffusione delle informazioni su larga scala. Le discussioni in seno alla Convenzione, sebbene spesso, come si è visto, date alle stampe, giungevano tuttavia sul mercato con una considerevole sfasatura rispetto allo svolgimento rapido degli avvenimenti e delle decisioni che si susseguivano in breve tempo. Spettava dunque ai quotidiani il racconto giornaliero dei dibattiti assembleari, così come della vita al Tempio di Luigi XVI e della sua famiglia. Erano principalmente i giornali che informavano, a seconda della loro diffusione, la capitale o l’intera nazione, ed era a partire da essi che era possibile formarsi un’opinione e formularne di nuove. L’importanza della carta stampata non era certo sfuggita ai contemporanei e la stessa corte non l’aveva ignorata. Dall’inizio della Rivoluzione, con il nuovo regime di libertà di stampa proclamato dalla Dichiarazione dei diritti dell’uomo e del cittadino, un numero senza precedenti di fogli quotidiani aveva invaso il mercato editoriale12. A partire dal 10 agosto, tuttavia, il panorama della stampa quotidiana di informazione aveva subito un drastico taglio con la chiusura forzata di molte testate realiste, spesso accompagnata dalla distruzione dei laboratori degli stampatori13. Molti dei giornali ‘sopravvissuti’, nondimeno, mutarono di regi-
G. Feyel, Le journalisme au temps de la Révolution: un pouvoir de vérité et justice au service des citoyens, «Annales historiques de la Révolution française», (2003), 333, p. 34. 12 Si veda per un bilancio e una riflessione storiografica dell’importanza della stampa quotidiana durante la Rivoluzione J. Popkin, La Presse de la Révolution. Journaux et journalistes (1789-1799), préface de Daniel Roche, Paris, Odile Jacob, Collection du Collège de France, 2011. 13 L’Ami du roi, la Gazette de Paris, il Journal de la Cour et de la ville, le Mercure de France, la Gazette universelle, la Feuille du jour, l’Indicateur, cessarono la loro attività il 10 agosto. Cfr. Histoire générale de la presse française, dir. J. Godechot – P. Guiria – F. Terrou, t. I, Des origines à 1814, Paris, PUF, 1969, pp. 502-503. Nella seduta del 12 agosto 1792, Léonard Bourdon a capo di una deputazione della Comune, e successivamente deputato della Convenzione, dichiarava che l’ordine era stato perfettamente ristabilito nella capitale e che: «Les journaux incendiaires, d’après les mesures qu’a prises la commune, n’empoisonnent plus ni la capitale, ni les départements. Leurs presses et leurs caractères seront empolyés à servir la Révolution» (Archives parlementaires, t. XLVIII, p. 69). Nella seduta del 17 agosto 11
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stro con la proclamazione della Repubblica, aumentando lo spazio riservato alle notizie di natura politica e ai resoconti delle sedute della Convenzione. Nello stesso periodo nuovi giornali videro il giorno, aumentando l’offerta di informazione e di comunicazione tra il pubblico e l’assemblea rappresentativa. Un altro elemento che caratterizzava i giornali era la loro diffusione sul territorio francese, elemento che differenziava tra loro le testate per capacità di influenza in rapporto alla quantità di lettori, stimabile attraverso il numero delle sottoscrizioni. Alcuni giornali erano particolarmente diffusi nella capitale, altri potevano vantare abbonamenti, il modo in cui i giornali erano venduti, in tutte le province e alcuni persino nelle campagne. La rapidità della trasmissione delle informazioni era il carattere maggiormente distintivo di questo mezzo di comunicazione, l’unico in grado di riferire a distanza di pochi giorni quanto stesse avvenendo all’interno della Convenzione e, naturalmente al Tempio dove Luigi XVI era rinchiuso. Le notizie della situazione dell’illustre prigioniero erano fornite con dovizia e costanza da alcuni giornali, all'interno delle cronache della capitale. In particolare, il giornale di Carra e Mercier, le Annales patriotiques et littéraires, era particolarmente prodigo di dettagli sulle condizioni di Luigi e della famiglia reale14. Vi si trovava la descrizione della traslazione al Tempio, nei giorni immediatamente successivi al 10 agosto 1792, in seguito 1792, il deputato Merlin denunciava esplicitamente il giornale Logographe come quotidiano aristocratico, responsabile di aver alterato i fatti del 10 agosto con un resoconto falso. In prima istanza fu domandato che la loggia riservata a quel giornale nella sala in cui si riuniva la Convenzione fosse murata. Il Logographe, infatti, occupava una loggia speciale nella sala poiché, grazie al sistema di trascrizione automatica, raccoglieva i discorsi che venivano pronunciati (ibidem, p. 313). Sulla disposizione e sistemazione della Salle du Manège delle Tuileries si veda A. Brette, Histoire des édifices. 14 Le Annales patriotes et littéraires furono fondate il 3 ottobre 1789 (1° numero) da Louis-Sébastien Mercier e Jean-Louis Carra, entrambi eletti deputati della Convenzione rispettivamente per i dipartimenti della Seine-et-Oise e del Saône-et-Loire. L’editore del quotidiano, François Buisson, era altresì socio fondatore, promotore e editore. Tuttavia, già nel settembre 1790 Mercier rimase di fatto solo nominalmente associato al giornale e Carra prese in pratica l’intera responsabilità della direzione. Il giornale, di ampia diffusione, fu particolarmente popolare presso i clubs giacobini di provincia. Cfr. M. L. Kennedy, «L’ oracle des jacobins des départemnts»: Jean-Louis Carra et ses «Annales patriotiques», in Actes du Colloque Girondins et Montagnards (Sorbonne, 14 décembre 1975), sous la direction de A. Soboul, Paris, Société des Études Robespierristes, 1980, pp. 247-266; S. Lemny, JeanLouis Carra (1742-1793) parcours d’un révolutionnaire, Paris, L’Harmattan, 2000: su Carra giornalista, pp. 175-180; sul processo pp. 295-300. «Proche des Girondins par ses amitiés personnelles, Carra ne partage cependant pas leur conception et se rallie à la position des Montagnards. Son attitude était prévisible, compte tenu de son combat de longue date contre le roi» (p. 295).
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il trascorrere delle giornate, sotto sorveglianza, della famiglia reale nella nuova prigione appositamente approntata per accoglierla. Mai anodine, le cronache della nuova vita al Tempio del sovrano potevano contribuire al formarsi di un’opinione presso i lettori su un personaggio che già da tempo aveva perduto l’ammanto regale e del quale ora si cercava di rintracciare o svelare i segni distintivi del tiranno e del criminale. Così quando la principessa di Lamballe e la marchesa di Tourzel furono portate via dal Tempio nel cuore della notte per essere condotte nella prigione della Force, tra il 19 e 20 agosto, le Annales patriotiques riferirono di come il re, svegliatosi, fosse tornato a dormire dopo avere appreso quanto stesse accadendo: «Il dina le même jour avec un très-grand appétit: voilà une leçon de tendresse de cour bien faite pour donner à penser aux courtisans»15. Ancora, negli stessi giorni, il giornale di Carra riportò che correva voce che Luigi avesse picchiato la moglie. La notizia, diffusa anche da altri giornali, era tuttavia priva di fondamento, specificavano le Annales patriotiques, e pareva che fosse stata messa in circolazione per persuadere il popolo che Luigi XVI, rendendosi conto di essere stato ingannato da Maria Antonietta, avesse voluto dimostarle il suo risentimento. Tout cela – commentava il redattore – prouve que les royalistes voyant qu’il faut nécessairement faire de sacrifices, consentiroient volontiers à celui de leur souveraine, pourvu qu’ils pussent à ce prix obtenir le rétablissement du roi; ils commencent même à laisser percer cette espérance: mais la conduite du roi est maintenant trop connue pour qu’il soit possible d’en imposer, et ses crimes sont pour le moins tout aussi évidens que ceux de sa femme16.
All’interesse che la condizione del sovrano rinchiuso in prigione poteva suscitare e che i giornali contribuivano ad alimentare, si unì ben presto la tendenza ad interrogarsi sulle sue sorti processuali, precedendo di molto il dibattito che avrebbe tenuto occupata la Convenzione a partire dal mese di novembre. Precoce nell’esprimere un giudizio, il giornale di Hébert, il Père Duchesne, non aveva dubbi, sin dalla fine di agosto su quale destino riservare a Luigi XVI dal momento che si era macchiato del sangue del popolo ordinando agli svizzeri di aprire il fuoco sui cittadini: «C’est donc une justice, foutre, que celui qui a commis tant de forfaits en reçoive le prix. Si d’Aigremont et Laporte ont été guillotiné pour avoir trahi la nation, Louis le traître, qui est mille fois plus coupable, doit l’être également, ainsi que toute sa bougre de race. Voilà le jugement du père Duchesne, et c’est celui
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Annales patriotiques et littéraires, n° 235, Du Mercredi 22 Août 1792, p. 1044. Annales patriotiques et littéraires, n° 237, Du Vendredi 24 Août 1792, p. 1051.
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du peuple, foutre»17. Altri giornali mostrarono una vocazione altrettanto precoce a interessarsi dei risvolti giudiziari della detenzione di Luigi XVI, a porsi interrogativi sul processo da istruire, anticipando la discussione della Convenzione. Il processo di Luigi XVI iniziò, prima ancora che nell’assemblea rappresentativa, nello spazio della carta stampata tra la fine di settembre e l’inizio di ottobre e così rimbalzò nello spazio di discussione pubblica. Nel numero del 27 settembre 1792 del settimanale La Feuille villageoi18 se , si leggeva una breve nota che, dando conto della situazione dell’illustre prigioniero rinchiuso nella torre del Tempio, esprimeva altresì l’opinione riguardo al processo da istruire: Louis Bourbon, Louis XVI, ou plutôt Louis dernier, habite toujours la tour du Temple. On y dispose le local, d’une manière plus commode, pour lui et sa famille. Sa tranquillité, ou plutôt sa stupide apathie, est toujours la même. Il ne paroît pas plus sentir ses malheurs que ses crimes. Il est vraisemblable qu’on l’oubliera dans sa prison, jusqu’à ce que la victoire ait forcé l’ennemi de l’abandonner à la justice ou à la clémence nationale. Le projet de faire, dès-à-présent, le procès à la famille royale, seroit un plan funeste. C’est l’avis de tous les anglois qui ont embrassé notre cause. «Un roi chassé, disent-ils, n’a plus de partisans; un
Le Père Duchesne, n° 165, pp. 7-8. Il Père Duchesne fondato da Jean René Hébert, apparve in maniera discontinua nel 1790 e poi continuativamente, per un totale di 355 numeri, dal gennaio 1791 al marzo 1794, uscendo con tre numeri a settimana. Ottenne una grande popolarità nonostante un numero considerevole di fogli e pamphlet omonimi. A partire dall’estate 1792, il giornale assunse una posizione politica marcatamente antimonarchica, grazie anche ai ruoli politici ricoperti da Hébert in seno alla Comune, profondamente antigiacobina, diventando una specie di portavoce dei sanculotti di cui utilizzava il linguaggio colorito e scurrile. Sebbene il titolo del giornale fosse Je suis le véritable Père Duchesne, foutre!, si utilizzerà qui, secondo l’uso corrente, quello di Le Père Duchesne. Cfr. G. Walter, Hébert et le «Père Duchesne», Paris, Janin, 1946; M. Biard, Parlez-vous sans-culotte? Dictionnaire du Père Duchesne (1790-1794), Paris, Éditions Points, 2011. 18 La Feuille villageoise, fondata dal gesuita di origine torinese Joseph-Antoine Cerutti (membro anche della Legislativa) e stampata a Parigi, apparve dal 30 settembre 1790 al 10 termidoro an III (2 agosto 1795). Giornale dagli intenti originali, arrivare presso le popolazioni rurali, guadagnarle alla causa della Rivoluzione e diffondere una sorta di educazione civica, la Feuille villageoise usciva a Parigi tutti i giovedì in modo da raggiungere i villaggi di Francia la domenica seguente. Ebbe un grande successo di pubblico. Sebbene non fosse l’organo né del partito girondino né della sinistra o della Montagna, contando ammiratori un po’ ovunque, anche realisti, era forse più vicino al primo che al secondo. Nondimeno non fu soppressa nel corso del 1793 e sopravvisse al Terrore. Cfr. M. A. Edelstein, La Feuille villageoise. Communication et modernisation dans les régions rurales pendant la Révolution, Paris, Bibliothèque Nationale, 1977. Su la Feuille villageoise e Républicains enthousiastes, mais démocrates douteux, pp. 127-128. 17
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roi tué se fait plaindre, et cette compassion donne des défenseurs à sa famille. Tarquin n’eut point de successeurs; Charles Ier en a encore19.
Il settimanale fondato da Cerutti e destinato principalmente all’istruzione delle campagne, si mostrava prudente circa la possibilità di istruire in tempi brevi un processo al re. Seguendo l’opinione degli inglesi, era meglio dimenticarlo in prigione sino alla fine della guerra e solo a quel punto decidere se giudicarlo o graziarlo. Vi era anche un’altra ragione che deponeva a favore dell’opportunità di non affrettare i tempi per istruire il processo: l’abitudine alla monarchia. Occorreva che il tempo facesse maturare e progredire lo spirito repubblicano sulle rovine della monarchia appena abolita, che l’attaccamento patriottico alla Repubblica si sostituisse al legame meramente consuetudinario con la monarchia. Era quello che in un articolo apparso due settimane dopo nella stessa Feuille villageoise veniva definito il royalisme machinal. Nonostante l’abolizione della monarchia, «Point de roi» era un’idea con la quale molta gente ragionevole, probi cittadini, faceva fatica a familiarizzarsi. Erano realisti loro malgrado, non perché attaccati ai Borbone o a Luigi XVI, ma semplicemente perché concepivano la Francia unicamente come un regno e l’assenza di un re pareva loro come un corpo senza testa. Era semplicemente un’abitudine meccanica quella di fare riferimento al re: La routine, l’habitude, la tradition, le souvenir des contes de leurs nourrices et de radotages de leur grand-père, les usages de la langue, la répugnance à changer de manières ou de langage; l’ignorance profonde de ce qui forme un gouvernement, l’influence des grands mots, la mémoire de l’effet que produisoit le mot de roi, l’incertitude de ce qu’on doit mettre à la place, je ne sais quelle estime servile pour l’appareil des fausses grandeurs, les magnifiques nuages d’une couronne, d’un sceptre, d’un trône, de riens sembleables qui tiennent une grande place dans les petits esprits, leur ont fait du titre de roi une sorte de besoin20.
Con il tempo, tuttavia, l’assenza avrebbe permesso di comprendere tutti i limiti e i vizi della monarchia facendo emergere i vantaggi della repubblica: «la royauté morte, nos gens ne s’apercevront bientôt plus qu’elle manque: alors il reconnoîtront ses vices, et vous les verrez ravis d’en être débarassés»21. La Feuille villageoise suggeriva, in fondo, che i tempi non fossero ancora maturi per processare il re perché lo spirito repubblicano
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La Feuille villageoise, n° 51, Jeudi 27 Septembre 1792, p. 599. La Feuille villageoise, n° 2, Jeudi 11 Octobre, 1792, p. 35. Ibidem, p. 37.
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non era ancora consolidato nell’opinione generale che rimaneva macchinalmente monarchica 22. Nelle stesse settimane, un altro giornale dalla cadenza settimanale, le Révolutions de Paris, fondato da Louis-Marie Prudhomme nel luglio del 178923, affrontava la questione del processo di Luigi XVI giungendo, tuttavia, a conclusioni decisamente differenti rispetto a quelle proposte dalla Feuille villageoise. A una settimana circa dalla proclamazione della Repubblica e a qualche giorno dall’insediamento della Convenzione, l’articolo di apertura del numero 169 si interrogava su cosa la neoeletta assemblea avrebbe fatto del re deposto: lo si sarebbe giudicato sulla base della costituzione del 1791 o si sarebbe preso per assunto che la salvezza pubblica era la legge suprema? Prima di dare una qualsiasi risposta, l’articolo passava in rassegna le azioni di Luigi XVI dall’inizio della Rivoluzione: il trattato di Pilnitz, la complicità con i suoi fratelli a Coblenza, il boicottaggio della Corona ai danni dell’esercito francese, la corruzione dell’opinione pubblica che predicava il culto «empio» della monarchia a chi non aveva il tempo di istruirsi e calunniava i parigini e i patrioti dell’assemblea nazionale, il manifesto di Brunswick, etc. La risposta di fronte a tali e tanti crimini, sino ad arrivare al 10 agosto era chiara:
In quello stesso inizio ottobre, i giornali riportavano della visita che il deputato Manuel aveva reso il 7 di quel mese a Luigi XVI, prigioniero al Tempio e della conversazione che avevano avuto. Si leggeva in maniera più o meno estesa che, a distanza di quasi venti giorni, Luigi non era ancora al corrente dell’abolizione della monarchia. Le Annales patriotiques et littéraires riportavano per esteso l’incontro, supplément n° 290, Du Mardi 16 Octobre 1792, p. 1294. 23 Fondate il 12 luglio 1789 da Louis-Marie Prudhomme (1752-1830), le Révolutions de Paris conobbero un grande successo di pubblico. La formula settimanale che mantenne dall’inizio alla fine, presentava il vantaggio, rispetto ai fogli quotidiani, di presentare gli avvenimenti in maniera critica attraverso estesi editoriali. I principali collaboratori, dopo il decesso del celebre giornalista Elysée Loustallot – Prudhomme faceva più che altro funzione di editore – furono Sylvain Maréchal, Fabre d’Églantine, Sonthonax, Chaumette senza che sia tuttavia possibile attribuire loro gli articoli pubblicati perché sempre anonimi. Sebbene non si possa stabilire la tiratura e la diffusione di questo periodico, e che la cifra di 200.000 abbonamenti indicata da Camille Desmoulins appaia poco verosimile, nondimeno pare che ebbe una grande diffusione e anche tentativi di imitazione. Il giornale si contraddistinse sin dall’inizio per i sentimenti rivoluzionari che esprimeva e per essere vicino alla Montagna. Cessò la pubblicazione per non incorrere nelle trame della giustizia rivoluzionaria il 28 febbraio 1794. Cfr. P. Rétat, Forme et discours d’un journal Révolutionnaire: les Révolutions de Paris en 1789, in C. Labrosse – P. Rétat (edd.) L’ instrument périodique. La fonction de la presse au XVIIIe siècle, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, pp. 139-178; Histoire générale de la presse française, t. I, pp. 451-453. 22
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Oui, il seroit cruel d’être indulgent envers lui; le moment où le peuple souverain auroit prononcé sa grâce, seroit un premier pas vers la servitude. Cette rigueur vengeresse est prescrite à la justice par la nécessité; et qu’on ne dise pas que tous les faits que nous venons de passer en revue ne sont pas prouvés, ils le sont de reste, et ils vont acquérir l’évidence des preuves judiciares qui excitera contre Louis Capet et les rois ses complices l’indignation de l’Europe entière, et fera pousser ce cri philantropique: A quels monstres, grands dieux! Livrez-vous l’univers!24
Il giornale di Prudhomme, dunque, rispetto a quello fondato da Cerutti, non solo auspicava una rapida risoluzione al riguardo del prigioniero del Tempio, ma dagli stessi esempi storici brevemente evocati nella Feuille villageoise, quello di Carlo I e di Tarquinio, traeva conclusioni diametralmente opposte. In quest’ultimo giornale, l’esempio di Carlo I era addotto ad avallo dell’opinione che la morte di un re avrebbe avuto come conseguenza la restaurazione della monarchia. Per le Révolutions de Paris, invece, la storia inglese era l’antecedente storico che la Francia avrebbe dovuto seguire25. Al contrario l’esempio di Tarquinio, cacciato da Roma, positivo nell’uno, diventava un modello negativo nell’altro giornale: «Quelsques politiques pusillanimes voudroient que le roi, s’il est condamné, fût renvoyé de France, comme Tarquin le fut de Rome; mais Tarquin, en violant Lucrèce, ne commit que le crime de l’amour, et ce prince eut de vertus et de talens, tandis que Louis XVI n’a rien de tout cela; c’est un monstre qui n’a su que trahir»26. Secondo il giornale di Prudhomme, il processo e l’esecuzione di Luigi XVI erano necessari per consolidare negli animi il principio dell’uguaglianza, per affermare che la legge eterna della giustizia colpiva indistintamente tutti i criminali. Era opinione dello stesso giornale che spettasse alla Convenzione il compito di giudicare Luigi XVI poiché il popolo l’aveva investita di tutti i suoi poteri: «elle seule est la haute cour qui doit et peut juger le tyran, à moins qu’aux assemblées primaires ne soit réservé de ratifier le jugement»27. Prima ancora che il processo fosse istruito, si era all’inizio di ottobre, le Révolutions de Paris offrivano un punto di vista deciso sulla questione, volto a provare che il re dovesse essere giudica24
Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, n° 169, Du 29 septembre au 6 octobre 1792,
p. 55. Le Révolutions de Paris avrebbero ripreso in seguito l’analisi comparata del processo di Luigi XVI con quello di Carlo I, nell’articolo di commento all’esecuzione del 21 gennaio. Questo paragone che la storia suggeriva avrebbe costituito un’argomentazione ricorrente nel corso di tutta quanto il processo, pro o contro il giudizio, sia nei discorsi dei deputati che negli articoli di giornale o nei libelli pubblicati nel corso della causa. 26 Ibidem, p. 56. 27 Ibidem, p. 58. 25
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to «d’après les loix éternelles de la raison et de l’équité… et non d’après la constitution de 1791, qu’invoquent déjà ses partisans en s’apitoyant sur son sort à venir, et même sur sa détention»28. Ancora diversa era la lunga opinione espressa nella prima metà di ottobre a più riprese dalle pagine del giornale di Carra, che nel frattempo era stato eletto deputato della Convenzione per il dipartimento della Saône-et-Loire, Les annales patriotiques et littéraires. Il quotidiano di area girondina offriva ai lettori l’opinione maggiormente articolata al riguardo, peraltro espressa da un redattore decisamente distante dalla posizione che avrebbe in seguito espresso Carra29. «Jugera-t-on, ou ne jugera-t-on pas Louis XVI? Telle est la question peut-être prématurée qu’on agite en ce moment dans les sections, dans les sociétés particulières, et à la société des amis de la liberté et de l’égalité. Chacun la décide suivant ses opinions, et il ne paroît pas que l’opinion générale soit encore fixée sur cette matière»30. Quattro erano le domande che il giornalista poneva e alle quali intendeva dare risposta: Luigi poteva essere giudicato legalmente? Se sì, da quale tribunale? Il processo doveva essere cominciato subito o si sarebbe atteso che la costituzione fosse redatta e che l’indipendenza e la sovranità della repubblica fossero riconosciute dalle potenze che fino a quel momento si erano rifiutate di farlo? Infine, nel caso in cui Luigi XVI fosse stato condannato a morte, fargli subire tale pena sarebbe stato proprio di una «saine politique», o la nazione, giudice e parte in causa, avrebbe dovuto, per il proprio vantaggio, fare grazia o commutargli la pena? Il lungo ragionamento dell’anonimo giornalista, dal quale peraltro Carra prendeva pubblicamente le distanze, partiva dalla questione dell’inviolabilità. Nel sistema della monarchia, si leggeva, occorreva distinguere tra
Ibidem. L’articolo, apparso a puntate a metà del mese di ottobre, fu pubblicato nel periodo in cui Carra si trovava in missione nella Marna in qualità di commissario dell’Armée du Centre. Vi rimase dal 24 settembre sino alla fine di ottobre quando fece ritorno a Parigi. È probabile che l’assenza avesse consentito una maggiore libertà di opinione all’interno del giornale. Cfr. Lemny, Jean-Louis Carra, pp. 269-280. Nel numero precedente del 12 ottobre 1792, d’altra parte, l’anonimo redattore della rubrica relativa alle notizie da Parigi puntualizzava che nel giornale di Carra c’era spazio per la differenza di opinioni a condizione che rispettassero la verità: «le citoyen Carra et trop ami de la liberté pour ne savoir que, sous un régime libre, un journal est une tribune où tous ceux qui y sont admis doivent avoir la faculté de s’exprmier librement sur les choses et les personnes. (…) Nous espérons conserver notre franc parler; c’est le droit naturel de tout écrivain, et nous ne présumons pas que le citoyen Carra voulût jamais y porter atteinte», Annales patriotiques et littéraires, n° 286, Du Vendredi 12 Octobre 1792, p. 1275. 30 Annales patriotiques et littéraires, n° 287, Du Samedi 13 Octobre 1792, p. 1281. 28 29
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la persona politica, il re, e la persona morale, l’individuo. In tutto ciò che riguardava la delega del potere del re, la legge concerneva solamente la persona politica. Se la legge era ingiusta, se la sua applicazione aveva delle conseguenze funeste per lo stato, il re non ne era affatto responsabile «parce qu’il est tellement identifié avec la loi, que lui faire son procès ce seroit le faire à la loi». Il re, come persona politica, non aveva altra morale che quella della legge, ed essendo re e legge un tutt’uno, entrambi erano inviolabili. Questo, però, non si estendeva alla persona morale, all’individuo, allo stesso modo di come avveniva per i deputati, inviolabili come legislatori ma non come cittadini. Prova ne era la formula del giuramento che prescriveva di giurare di obbedire al re e alla legge, cioè alla persona politica del re. La costituzione aveva dunque legato l’inviolabilità alla persona politica, mentre la persona morale risultava vincolata al diritto comune a tutti. Louis XVI est non-recherchable pour tout ce qu’il a fait comme roi, mais il peut être traduit devant les tribunaux pour tout ce qu’il s’est permis d’étranger à cette éminente fonction. (…) C’est comme roi qu’il a accepté la constitution, qu’il a juré de la maintenir, qu’il l’a proclamée et notifiée aux puissances étrangères; mais ce n’est pas sans doute comme roi qu’il a travaillé à la détruire, ce n’est pas comme roi qu’il a soudoyé des traîtres, qu’il s’est ligué secrètement avec les ennemis de la nation: il ne s’agit par conséquent, pour être dans le sens de la loi en faisant le procès à Louis XVI, que d’écarter des chefs d’accusation tout ce qui pourroit tenir aux fonctions de la royauté; en un mot, de ne point juger Louis, le roi des François, mais Louis le traître31.
Riguardo a chi spettasse giudicare l’individuo Luigi Capeto, seguendo il ragionamento, il giornalista concludeva che non spettasse alla Convenzione bensì ai tribunali deputati a questo genere di crimine. Coloro che invocavano questo apparato consideravano Luigi sempre come re, come investito di un potere che interessa tutta la nazione. Non ritenevano cioè che la «royauté a été jugée et guillotinée, que par conséquent il ne reste plus qu’un criminel ordinaire, un simple conspirateur justiciable des tribunaux établis pour juger ces sortes de crimes»32. Tuttavia per procedere a questo tipo di giudizio, occorreva assolutamente che la nazione fosse consultata nelle assemblee primarie per la ratificazione dell’abolizione della monarchia, e che il risultato fosse poi conosciuto. Non si poteva dunque fare il processo a Luigi XVI finché non si fosse adempiuto a questa formalità. Poiché, per quanto si potesse supporre che la volontà nazionale fosse stata favorevole all’abolizione della
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Annales patriotiques et littéraires, n° 288, Du Dimanche 14 Octobre 1792, p. 1286. Annales patriotiques et littéraires, n° 289, Du Lundi 15 Octobre 1792, p. 1289.
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monarchia e all’adozione della repubblica, questo desiderio tuttavia non era stato ancora legalmente né positivamente constatato. Se così non fosse stato, Luigi XVI sarebbe stato illegalmente giudicato, perché la persona politica gli sarebbe rimasta unita, non avendola il sovrano formalmente separata, e si sarebbe pertanto giudicato il re, che non si aveva il diritto di giudicare, credendo di giudicare il cospiratore33. Il lungo intervento ‘a puntate’, pubblicato dal 13 al 19 ottobre 1792, terminava con l’auspicio che si attendesse la redazione della Costituzione prima di cominciare il processo che dopo tutto era solamente un processo ordinario. Questi articoli, che probabilmente rispecchiavano un dibattito già in corso nei luoghi pubblici di sociabilità, anticipavano le argomentazioni, i capi d’accusa, i pro e i contro che sarebbero stati affrontati dalla Convenzione a partire dal testo redatto dal Comité de Législation e in seguito dall’acte énonciatif. I giornali, dunque, alimentavano il dibattito pubblico, esprimevano le principali argomentazioni o meglio obiezioni pro e contro il processo, senza, per questo, mettere in discussione la colpevolezza di Luigi XVI. Si sostenva da una parte l’opportunità di attendere tempi più maturi per istruirlo (la fine della guerra, la redazione della costituzione), dall’altra una questione più sostanziale, la legittimità della Repubblica come effettiva espressione della volontà popolare e di conseguenza la sua legittimità ad esercitare la giustizia. 2. L’ epoca dei complotti. L’apertura del dibattito in seguito alla lettura del rapporto stilato dal Comité de Législation, il 7 novembre 1792, fu seguita e commentata dalla stampa quotidiana o settimanale. L’intervento di Saint-Just, il secondo dopo quello di Morisson, pronunciato nella seduta del 13 novembre, colpì l’attenzione per la veemenza e l’irruenza oratoria del giovane deputato. Il giornale di Brissot, il Patriote français, non celò una certa ammirazione nei confronti della retorica di Saint-Just: «Quelques idées exagérées ont décélé la jeunesse de cet orateur; leur décousu n’annonçoit pas de méthode. Mais on a trouvé dans son discours des détails lumineux, des hardiesses métaphoriques, on y a trouvé enfin un talent qui peut un jour honorer la France»34. La Feuille villageoise, incline a suscitare rispetto nei confronti della Convenzione, riassunse alla fine di novembre i dibattiti sul giudizio
Annales patriotiques et littéraires, n° 290, Du Mardi 16 Octobre 1792, p. 1293. Le patriote français, n° 1192, Du Mercredi 14 Novembre 1792, p. 554. Si veda su questo commento Michelet, Le procès de Louis XVI, pp. 72-73. 33 34
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di Luigi XVI come l’espressione della dignità che conveniva ai rappresentati di un popolo libero: «Une entière liberté d’opinions, garantit déjà que l’assemblée se décidera pour l’opinion meilleure; déjà plusieurs orateurs ont ouvert des avis opposés à celui qui paroît être l’avis de la majorité: on les a écoutés sans défaveur; et s’il étoit impossible qu’il y en a eût un qui osât soutenir que Louis XVI n’est point coupable, sans doute il ne persuaderoit personne, mais on l’écouteroit encore»35. Di tutt’altro avviso era l’altro giornale a periodicità settimanale, le Révolutions de Paris, che mostrava un’insofferenza nei confronti dell’atteggiamento tenuto nella prima discussione relativa al giudizio di Luigi XVI da parte dei deputati, inclini all’esagerazione, come lo stesso Saint-Just, che dimostravano solo di essere «législateurs novices, qui croient d’attendre leur but en le dépassant». Luigi non era uno di quei re fannulloni di cui si parlava nella storia francese, era un mostro colpevole di crimini che andavano puniti con la ghigliottina. Secondo il redattore dell’articolo, i rappresentati del popolo non avevano ancora affrontato il nodo della questione: stabilire cosa fare di un re «scellerato» e della sua famiglia. Di fatto la Convenzione, secondo il giornale di Prudhomme, temporeggiava mentre l’opinione pubblica reclamava giustizia e la propaganda realista predicava in favore di Luigi. Déjà depuis plusieurs semaines nous ne devrions plus en entendre parler; le premier jour de l’an premier de la république auroit dû être le dernier du ci-devant roi. Qu’avez-vous donc tant à ménager? L’opinion publique est là qui vous presse, qui vous enjoint de par la justice et la patrie de livrer Louis XVI à la vindicte des loix. Ses crimes ne sont pas douteux; son châtiment doit-il, peut-il l’être? Prenez garde qu’on ne s’apperçoive que vous traînez cette affaire en longueur. Vous désirez du calme pour travailler au projet de loix nouvelles que le peuple attend, terminez donc l’affaire de Louis XVI; et comme vous l’a dit Méard de S. Just, l’un des vôtres, et c’est le meilleur de tout son discours, hâtez-vous de juger le roi: on cherche à remuer la pitié. (…) Déjà nous somme infectés d’écrits tendans à nous inspirer cette fausse pitié, sentiment des ames foibles; déjà Necker, que nous avions cru émigré de ce monde, rompt le silence pour intéresser les ames honnêtes (dit le benin Courrier français)36 en faveur de son ancien maître Louis
La Feuille villageoise, n° 9, Jeudi 29 Novembre 1792, p. 202. Il Courrier français a cui allude l’articolo era stato fondato il 25 giugno 1789 da JeanCharles Poncelin de La Roche-Thilac. A partire dall’agosto 1792, l’orientamento del giornale volse sempre più al realismo fino ad esserlo in maniera manifesta dopo la caduta di Robespierre. Nel Courier français, n° 320, Du jeudi 15 Novembre 1792, p. 119 (rubrica «Nouvelles de Paris») si legge: «M. Necker, vien d’adresser à Paris une sorte de plaidoyer en faveur de Louis XVI. Cet ex-directeur de nos finances ne paroît pas fort séduisant, lorsqu’il peint le caractère bienfaisant de ce prince; mais il intéresse toutes les ames honnêtes, toutes celles 35 36
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XVI. Déjà un homme respectable (dit le même Courrier37) bien courageux, M. Huet, a proposé d’être le défenseur officieux de Louis XVI 38.
Alla tribuna della Convenzione si susseguivano opinioni che affermavano che occorresse adottare un atteggiamento di clemenza nei confronti di Luigi XVI, che non condannarlo a morte fosse un esempio di giustizia. L’«esecuzione giuridica» di Luigi XVI, sosteneva invece il giornalista, avrebbe fatto tacere per sempre gli amici del re, idolatri la cui superstizione sarebbe durata sinché il loro feticcio fosse stato vivo. Se si fosse ceduto a una falsa pietà, a una clemenza mal compresa, si sarebbe incorsi nel disprezzo generale. L’articolo terminava con una nota di biasimo nei confronti dei deputati della Convenzione che affermavano di essere repubblicani ma sembravano mancare di coraggio laddove fosse questione di punire un grande criminale e parevano averlo solo quando si trattava di gettare in frantumi le statue dei re. «Ils rougissent eux-mêmes d’avoir juré de reconnoître l’inviolabilité, et, tout en foulant aux pieds cette loi absurde et injurieuse, ils en conservent la prérogative au plus grand de leurs scélérats»39. La denuncia dell’articolo delle Révolutions de Paris di un risveglio della propaganda realista tesa a impietosire l’opinione pubblica fu ripresa di lì a poco dal Journal de la République française di Marat in un articolo che apri-
qui ont encore quelque respect pour la religion du serment, lorsqu’il invoque en faveur de l’inviolabilité du ci-devant monarque les dispositions précises d’une constitution, jurée par tous les Français dans leurs assemblées primaires (Cet opuscul de M. Necker se vend chez M. Voland, libraire, Prix 5 s. br.)». Nel 1795 Poncelin de La Roche-Thilac fu il redattore dell’imponente raccolta di documenti sul processo di Luigi XVI intitolata: Le procès de Louis XVI, ou Collection complette, Des Opinions, Discours et Mémoires des Membres de la Convention nationale, sur les crimes de Louis XVI; Ouvrage enrichi des diverses pièces justificatives, mises sous les yeux de la Convention, et dont elle a ordonné l’impression, telles que celles qui ont été trouvées chez l’Intendant de la liste civile, dans l’armoire de Fer, etc; et dont les inventaires ont été dressés, tant par les commissaires de la Convention nationale, que par ceux de la commune de Paris, A Paris, Chez Debarle, Imprimeur-Libraire, quai des Augustins, n° 17, au Bureau Général des Journaux. L’AN III de la République [1795], 9 voll.; R. Granderoute, Poncelin De La Roche-Tilhac, Jean-Charles (1746-1828), in Dictionnaire des journaliste: 1600-1789, dir. J. Sgard, t. 2, Oxford, Voltaire Foundation, 1999, pp. 799-801. 37 Courier français, n° 321, Du 16 Novembre 1792, p. 125: «Ce doit être un homme bien respectable et bien courageux que ce M. Huet, qui a proposé hier à la convention nationale de se charger de la défense de Louis XVI. L’assemblée a très-sagement cru devoir passer à l’ordre du jour, parce que la constitution que nous venons d’abroger, forme seul sa défense» (Su Huet de Guerville si veda il capitolo IV). Di seguito la rubrica sulle notizie da Parigi si dilungava su una difesa di M. Vigier di cui tuttavia non dava il titolo. 38 Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, n° 175, du 10 au 17 Novembre 1792, 342. 39 Ibidem, p. 344.
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va il numero del 20 novembre. I crimini di Luigi XVI, per quanto notori, erano già scomparsi agli occhi dei partigiani della monarchia, dei servitori del dispostismo. Emissari al soldo realista già si insinuavano nei luoghi pubblici per istillare pietà e giornalisti di bassa lega (folliculaires) erano ingaggiati per inondare il pubblico di patetiche geremiadi in favore dell’ex monarca. «Déjà de vils académiciens, naguères pensionnaires royaux» rincarava Marat, «font circuler par-tout un plaidoyer perfide sous le nom de Necker, et sous le titre de Réflexions présentées à la nation française sur le procès intenté à Louis XVI» 40. Come si è visto, anche le Révolutions de Paris avevano parlato con scherno misto a disprezzo del libello apologetico che Necker, ex ministro di Luigi XVI, aveva pubblicato nel mese di novembre in difesa del re. Tuttavia, secondo Marat, le Réflexions di Necker si dovevano in realtà alla penna di Condorcet. Non solo. L’«Ami du peuple» insinuava il sospetto che, considerata la rapidità di diffusione dello scritto, il 15 di novembre era già in vendita, e che alcuni punti del rapporto di Mailhe, reso noto pubblicamente solo il 7 dello stesso mese, vi erano confutati, qualcuno avesse trasmesso in anticipo a Necker il rapporto del Comité de Législation. Questa supposizione avallava il sentore di coloro che credevano che l’ex ministro svizzero dirigesse ancora le speculazioni finanziare dello Stato. Le Réflexions di Necker erano piene di falsità, omettevano i crimini commessi da Luigi XVI e cercavano, con un pathos lacrimevole, di suscitare sentimenti di umanità nei confronti di colui che aveva fatto scorrere il sangue della nazione. In aggiunta, venivano distribuiti ai deputati scritti che domandavano l’impunità del re e la conferma del suo ruolo di capo dell’esecutivo come conforme agli interessi della nazione41. Ora, quali erano le misure da prendere nei confronti del dilagare di scritti propagandistici di tal fatta? Di fronte alla circolazione incontrollata di libelli realisti, si poneva, secondo Marat, l’annosa questione dei limiti della libertà d’opinione, una questione che approcciata durante il processo, avrebbe trovato una risposta in senso repressivo a distanza di qualche mese dall’esecuzione di Luigi XVI, alla fine di marzo 179342.
Journal de la République française, par Marat, l’Ami du Peuple, n° 51, Du Mardi 20 Novembre 1792, p. 2. Sulle Réflexions présentées à la nation française sur le procès intenté à Louis XVI di Jacques Necker, si veda il capitolo III. 41 Marat faceva riferimento a due scritti, presumibilmente a stampa, sebbene non sembra rimanerne traccia nei cataloghi delle biblioteche, distribuiti dal bureau conventionnel de distribution, intitolati Premier Problème à résoudre et Suite du premier problème à résoudre e attribuiti a un certo Ameral de la Sosotte, cavaliere di Saint-Louis. 42 Si veda il capitolo III. 40
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Cette façon de voir paroîtra fronder les préjugés reçus: mais je ne suis pas de ceux qui réclame la liberté indéfinie des opinions: elle ne doit être illimitée que pour les vrais amis de la patrie, et c’est un crime à mes yeux que d’agiter des questions inciviques, comme c’en est un que de précher la soumission à des lois oppressives. Dans le système des modérés, le salut public est sacrifié à un faux amour de l’humanité; ils veulent qu’on laisse aux ennemis de la révolution, les moyens de fomenter des dissensions, sous prétexte de ne pas porter atteinte à la liberté de penser; ils veulent qu’on leur laisse la liberté de boulleverser l’état, sous prétexte de ne pas gêner la liberté individuelle; ils veulent qu’on leur laisse la liberté d’aller conspirer dans l’étranger, sous prétexte de ne pas porter atteinte à la liberté de voyager. Quand serons-nous murs pour un gouvernement sage et réglé; quand adopterons-nous des maximes de politique qui assurent la liberté et la tranquillité publique? Quoi, tandis que le caffard Rolland, le royaliste Clavière, et la clique ambitieuse empêchent les écrits vraiment patriotiques de circuler dans les départemens, en les interceptant à la poste, nous laisserions circuler en paix des écrits serviles et pestiférés, ce seroit le comble de la folie43.
Marat introduceva una distinzione tra le idee espresse dai veri amici della patria e quelle dei nemici della Rivoluzione, che volevano fomentare dissensi e ritornare all’oppressione. Contrariamente al «pregiudizio ricevuto», una illimitata e indiscriminata libertà di opinione risultava nociva nella misura in cui propagava idee «inciviques» grazie anche alla connivenza di ministri quali Roland e Clavière o di quella cricca di ambiziosi (i girondini)44 che ostacolavano la circolazione in tutto il territorio degli scritti patriottici. Marat avrebbe ribadito in maniera più esplicita le accuse di corruzione di una parte dell’assemblea e di alcuni ministri e agenti ministeriali alla tribuna della Convenzione nella seduta del 6 dicembre 1792. In quell’occasione, al fine di smascherare i membri che agivano in combutta o al soldo dei cospiratori realisti, propose che per il giudizio di Luigi XVI si adottasse la votazione per appello nominale, proposta inclusa nel progetto Quinette votato quello stesso giorno45. Journal de la République française, par Marat, l’Ami du Peuple, n° 51, Du Mardi 20 Novembre 1792, pp. 5-6. 44 L’articolo di Marat era seguito da una lettera indirizzata dalla Sezione del Louvre all’Ami du peuple che denunciava come la «cricca» brissottina sosteneva in maniera dissimulata la causa realista. «Leur plan est donc de se tenir derrière le rideau, et de faire plaider la cause du tyran, par leurs roquets et leurs bassets» (ibidem, p. 7). 45 Archives parlementaires, t. LIV, pp. 396-397. Due giorni dopo il Patriote français commentava l’intervento di Marat senza nominarlo direttamente e senza di fatto riportare le accuse mosse: «Un homme que nous ne nommerons pas, et que nous désignons assez par cela même que nous ne le nommons pas, est aussi monté à la tribune, et s’est longtemps promené de bêtises en atrocités, et d’atrocités en bêtises. Après avoir distilé son venin sur 43
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Nello stesso periodo, la fine di novembre, un’analoga accusa veniva mossa anche da Hébert dalle pagine del Père Duchesne dove si leggeva come le corti straniere (inglese e russa) ingrassassero «la patte aux brissottiers pour endormir la convention et l’empêcher de s’occuper de ce grand jugement» e, orchestrati da Necker, diffondessero in tutti i modi una propaganda che predicava la moderazione e domandava grazia per la «race Capet»46. All’opposto, il giornale la Feuille du Matin di Germain Pariseau, continuazione, dopo la soppressione forzata il 10 agosto precedente, del quotidiano monarchico la Feuille du Jour, già dal secondo numero, il 24 novembre, mostrava quale fosse il suo orientamento attraverso le lodi (e la pubblicità) alle Réflexions dell’ex ministro del re: «Beaucoup de gens sont extrêment contens du nouvel ouvrage de M. Necker; ils le trouvent très-fort en raisons, rempli de bonnes intentions, propre à ramener les esprits et plus encore les cœurs». Tuttavia, lamentava l’articolo, molti lettori superficiali si erano concentrati solamente sul titolo Réflexions adressées à la nation française sur le procès INTENTÉ à Louis XVI, par M. Necker; «et comme il n’y a point de virgule, beaucoup de gens n’entendent pas le passage; si au lieu d’INTENTÉ, l’auteur avoit mis le mot OCCASIONNÉ, assurément il n’y auroit plus eu de difficultés»47. Questa percezione, per quanto parziale, dello svolgimento dei dibattiti in aula attraverso la carta stampata lasciava comunque trasparire una situazione di forte tensione che la discussione attorno al giudizio di Luigi XVI stava generando e che sarebbe sfociata in dicembre in un vero e proprio scontro. Emergeva dalla lettura di alcuni giornali la denuncia di un complotto realista la cui rete si era ormai estesa sino alla Convenzione. I girondini, o meglio i brissottini, erano ritenuti agire in combutta con i monarchici e con essi tutti coloro che sembravano voler ritardare e ostacolare il giudizio di Luigi XVI.
le ministres, sur les membres les plus patriotes de l’assemblée, il a couvert le ministre de la guerre de l’opprobre de ses éloges, nouveau genre de calomnie, le seul qui restât à inventer à cet homme qui a épuisé toutes les ressources de son art. On a applaudi à plusieurs réprises, lorsque cet homme a parlé de vils folliculaires; il s’y connoît» (n° 1215, Du Samedi 8 Décembre 1792, p. 657). 46 Le Père Duchesne, n° 196, La grande visite du Père Duchesne aux véritables Sans-Culottes du Faubourg St. Antoine, et leur grande ribote en passant en revue tous les Jean-foutres qui accaparent les Subsistances, et les traîtres qui se font graisser la patte par les brigands couronnés, afin de faire traîner en longueur le procès du cornard Capet. Son grand secrée pour mettre enfin le feu sous le ventre à la Convention, et les engager à faire sauter la tête de cet ivrogne qui ne devroit pas péser une once, pp. 5-6. 47 Feuille du Matin ou Le Bulletin de Paris, n° 2, Dimanche 25 Novembre, l’an Ier de la République, p. 15.
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Non erano solamente gli editoriali dei giornali a esprimere opinioni che alimentavano il clima complottista. Sempre a novembre avanzato, la rubrica delle Annales patriotiques che riportava le notizie dalla capitale, aveva sottoposto all’attenzione dei lettori le false notizie che circolavano sul prigioniero del Tempio. Il 20 novembre, il giornale di Carra avevano riferito che corresse voce che Luigi fosse morto e che suo fratello, il conte di Provenza, fosse stato arrestato. Lo scopo di tali dicerie, sosteneva l’articolo, era vedere la reazione del popolo che, a quanto pareva, si era mostrato completamente indifferente48. La falsa notizia della morte di Luigi fu riportata anche dal Républicain che raccontava, al contrario, di un assembramento presso il Tempio alla notizia della presunta morte di Luigi, giustificato secondo la testata montagnarda, qualunque fossero state le intenzioni di chi aveva messo in giro la voce, da un interesse legittimo del popolo nei confronti dell’illustre prigioniero. Non c’era da stupirsi, commentava il giornalista, «que le peuple, qui a tant d’intérêt à connoître le sort d’un ôtage semblable, s’empresse à s’en instruire lorsqu’il a quelque soupçon qu’un accident ou une maladie ont pû le lui ravir»49. La notizia, che potrebbe apparire aneddotica, tradiva o meglio forse confermava il clima di tensione attorno al prigioniero del Tempio e il suo sempre più prossimo giudizio. Si avvertiva il timore di un complotto, grazie all’opera di corruzione che i realisti stavano ordendo con la complicità più o meno consapevole di una parte della Convenzione stessa. Nel numero del 7 dicembre 1792, in un articolo intitolato Coup-d’œil certain sur les circonstances actuelles, lo stesso Carra denunciava il sistema di corruzione messo in opera dalle corti straniere per favorire la causa di Luigi XVI, per discreditare la Convenzione e creare disordini interni. Plus le moment de la punition du traître Louis le dernier approche, plus le systême des intrigues sourdes, des fausses alarmes et des fausses nouvelles dont j’ai déjà parlé plusieurs fois, et celui des manœuvres secrètes pour opérer une
Annales patriotiques et littéraires, n° 326, Du Mercredi 21 Novembre 1792, p. 1454. Le Républicain, Journal des hommes libres de tous les pays, n° 22, Vendredi 23 Novembre 1792, p. 86. Il primo numero apparve il 2 novembre 1792, fondato da René Vatar, discendente da una famiglia di stampatori-editori e Charles Duval, deputato alla Legislativa e rieletto alla Convenzione dove sedette tra i banchi della Montagna. Politico non di spicco si consacrò soprattutto alla redazione di questo giornale che si mantenne sempre fedele ai principi repubblicani. A partire dal gennaio 1793 fu aggiunto alla lista dei giornali non proscritti dal club dei giacobini insieme peraltro al Journal universel di Audouin, ma a causa degli alti costi di spedizione postale e della svalutazione dell’assegnato, di fatto pare che il giornale non fosse venduto fuori Parigi. In aprile 1793, tuttavia ottenne le sovvenzioni del Comitato di Salute pubblica sotto forma di abbonamento. Cfr. M. Fajn, The Journal des hommes libres de tous les pays 1792-1800, Paris, Mouton, 1975, in particolare pp. 11-26. 48 49
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disette factice de grains, se manifestent par des efforts redoublés et accélérés. Il n’y a nul doute pour moi que ces systêmes ne soient l’ouvrage combiné des cours de Vienne, de Berlin, de Londres et de Madrid, et que des sommes considérables, envoyées par ces cours à leurs banquiers ou autres agens respectifs à Paris, ne soient répandues dans les départemens et dans la capitale, tant pour occasionner des troubles relatifs à une disette factice, que pour chercher à discréditer et avilir la Convention nationale50.
Carra insinuava il sospetto che questo sistema di corruzione messo in opera dalle corti europee si fosse spinto sino al punto da penetrare nelle società giacobine grazie all’opera di uomini e donne capaci di dirigerne l’azione in maniera dissimulata. L’articolo del giornalista-deputato testimoniava di una situazione di tensione, denunciata il giorno prima alla Convenzione51, che si viveva nei giorni immediatamente precedenti alla comparizione di Luigi XVI alla sbarra. Egli voleva mettere in guardia «les bons citoyens» di fronte alla rete di corruzione che si ordiva «par ordre des tyrans couronnés» che operavano in tutte le direzioni per mettere discordia in un momento di grande importanza. Je serois d’autant moins étonné, dis-je, que des femmes ou des hommes bien payés par les banquiers des cours aient tenté de séduire ou de corrompre plusieurs de nos plus fiers jacobins, que le prince Hohenlohe, général de l’armée autrichienne, m’a bien fait demander, à moi, regardé comme le fléau des princes et des rois, lorsque j’étois à Longwy, si une belle terre et une grosse somme d’argent ne pourroient pas m’adoucir en faveur de Louis XVI et de sa femme. Je ne dis pas que les plus fiers jacobins, mes confères, aient été plus corruptibles que moi; mais je dis que des gens bien payés, hommes ou femmes, les suivent, les adulent, les régalent, et peutêtre les dirigent, sans qu’ils s’en doutent, au gré des banquiers de Vienne, de Berlin, de Londres et de Madrid. Je dis en outre que ces mêmes banquiers, dirigés à coup sûr par le fourbe Necker pour la partie des famines factices, qu’entend très-bien les charlatan genevois, travaillent d’un autre côté les cultivateurs et les marchands de bled. Voilà ce que des rapprochemens médités et des observations suivies présentent à mon esprit pour le moment, et ce qui invite tous les bons citoyens à surveiller de près les banquiers des cours étrangères; car, ou je me trompe fort, ou ce son ces gens-là qui, par ordre des tyrans couronnés, opèrent la stagnation des grains en France, la facture des pamphlets insultans contre la Convention nationale, et les applaudissemens à contre-sens des tribunes52.
Annales patriotiques et littéraires, n° 342, Du Vendredi 7 Décembre 1792, p. 1527 Carra tenne un brevissimo discorso poco prima di quello di Marat nella seduta del 6 dicembre 1792. Cfr. Archives parlementaires, t. LIV, p. 396. 52 Annales patriotiques et littéraires, n° 342, Du Vendredi 7 Décembre 1792, pp. 1527-1528. Impossibile non pensare, leggendo questo articolo di Carra, alle parole di Michelet sulla Giron50 51
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Tanto Carra quanto Marat, nei giornali come alla Tribuna della Convenzione, predicavano l’accelerazione dei tempi del processo e dunque del giudizio di Luigi XVI. Del medesimo avviso era anche il Républicain che in quegli stessi giorni aveva riferito delle continue voci che circolavano incessantemente su complotti e intrighi: «on y mêle la royauté, le ci-devant roi, son jugement. Voulez-vous savoir, législateurs, le moyen, le sûr moyen de déconcerter, de déjouer tous les complots, toutes les intrigues? Hâtez-vous, comme on vous l’a dit, de purger la France du monstre qui trop long-tems la déshonora, la pilla, et tenta de la remettre dans les fers». Per porre fine a questa situazione di sospetto occorreva prontamente condannare e giustiziare Luigi XVI per dedicarsi finalmente e nella calma a porre «les premières bases du pacte social», la redazione della costituzione. «Mais vous vous êtes jettés dans le cahos [sic] des formes anciennes», accusava il giornale della Montagna «tandis qu’il ne faut adopter que les formes républicaines»53. Nelle pagine della Suite du Journal de Perlet, invece, si biasimavano le tribune che esultavano ogni volta che un deputato proponesse la sentenza di morte. La punizione di un crimine non doveva portare con sé la perdita dei sentimenti di umanità dovuti a un condannato a morte: «Peuple humain! laisse le glaive de la loi tomber sur les coupables, mais n’insulte pas au malheur! Il est permis de voir sans regret punir le crime, mais il faut laisser aux cannibales l’horrible usage de danser autour des bûchers, et de rire des tortures qu’éprouvent les malheureux consumés par les flammes»54. In fondo un modo surrettizio di invocare pietà per l’accusato. 3. La guerra delle opinioni comincia. Quando giunse infine il giorno dell’interrogatorio, i giornali commentarono con sollievo che la traslazione del prigioniero dal Tempio al Manège delle Tuileries fosse avvenuta senza incidenti. Parigi e l’organizzazione della sicuda nelle pagine della sua Histoire de la Révolution française dedicate al processo di Luigi XVI: «La Gironde tomba ainsi presque toute entière aux filets de la société de Paris. On ne demandait pas aux Girondins de se faire royalistes; on se faisait girondin. Ce parti devenait peu à peu l’asile du royalisme, le masque protecteur sous lequel la contre-révolution put se maintenir à Paris, en présence de la Révolution même. Les hommes d’argent, de banque, s’étaient divisés, les uns Girondins, d’autres Jacobins. Cependant la transition de leurs premières opinions trop connues, aux opinions républicaines, leur semblait plus aisée du côté de la Gironde. Les salons d’artistes surtout, de femmes à la mode, étaient un terrain neutre où les hommes de banque rencontraient, comme par hasard, les hommes politiques, causaient avec eux, s’abouchaient, sans autre présentation, finissaient par se lier» (Michelet, Le procès de Louis XVI, p. 23). 53 Le Républicain, Journal des hommes libres de tous les pays, n° 34 mercredi 5 décembre 1792, p. 140. 54 Suite du Journal de Perlet, n° 77, Vendredi 7 Décembre 1792, p. 55.
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rezza si erano dimostrate all’altezza della situazione, ma non altrettanto pareva che si potesse dire dell’operato della Convenzione. L’impressione generale sull’interrogatorio, e in particolare sul testo preparato dalla Commissione dei Ventuno, era quella di una occasione mancata. Ci si attendeva un grande spettacolo, memorabile e inedito nel corso della storia, degno di rimanere impresso per sempre nella memoria55, ma si assistette, invece, a una mediocre rappresentazione. Era quanto si leggeva nel commento ‘a caldo’ del Patriote français, in attesa di consegnare ai lettori, nel numero successivo, il testo integrale delle risposte di Luigi XVI. Se l’atto enunciativo era un «exposé exacte et assez lumineux, mais un peu foible, de la conduite de Louis XVI», la precipitazione con la quale si era affrontata la parte essenziale del processo, dopo che un tempo considerevole era stato sacrificato a vantaggio di una discussione tutto sommato poco utile, era da biasimare. «Devoit-on rédiger en une nuit des pièces qui seront livrées à la critique de l’Europe, et à l’examen sévère de la postérité? Ne devoit-on pas prévenir cette critique, et n’offrir à cet examen qu’un ouvrage digne d’une grande cause, digne de servir un jour de modèle?». Quanto all’atteggiamento tenuto da Luigi XVI, Girey-Dupré notava che a differenza di Carlo I non aveva ricusato l’autorità del tribunale che lo giudicava: «Soit foiblesse, soit raison, soit espoir de rendre sa cause meilleure; il a rendu cet hommage à la souveraineté nationale». Le risposte erano state corte e precise, sebbene deboli, ma senza che vi si notasse imbarazzo: «à quelques questions improvisée et laconique, il a répondu avec assez de prestesse; quelquefois l’humeur a percé au-travers de ses réponses; il n’a pas été difficile non plus d’appercevoir de la mauvaise foi dans la dénégation de certains faits ou pièces qui le gênoient»56. Secondo il giornale di Prudhomme, l’accusato non aveva ispirato nessun sentimento favorevole, neppure quello della pietà. Dopo aver raccontato
E come tale alcuni giornali lo presentarono: «Mardi dernier, 11 décembre, s’ouvrit enfin, au grand contentement du peuple, la procédure de Louis Capet. Ce jour fut remarquable et par la nouveauté du spectacle, et par la conduite sage des spectateurs» (Révolutions de Paris, dédiées à la nation, n° 179, Du 8 au 15 décembre 1792, p. 521); «Quelque habitué que nous soyons depuis quatre ans aux spectacles extraordinaires, celui-ci est bien en droit de nous frapper encore. (…) Cette séance mémorable fait à jamais époque dans notre histoire» (La Feuille villageoise, n° 12, Jeudi 20 Décembre 1792, pp. 267-268); «La mémorable séance aujourd’hui avoit attiré un concours prodigieux de spectateurs. Les détails en seront lus avec avidité par la génération présente, et la postérité la plus reculée n’en laissera rien échapper. Le burin de l’histoire les rendra immortels, et ils serviront de leçon aux rois, aux despotes de tous les pays, et de tous les siècles». (Suite du Journal de Perlet, n° 82, Mercredi 12 Décembre 1792, p. 91). 56 Le Patriote français, n°° 1219, Du mercredi 12 Décembre 1792, pp. 673-674. 55
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qualche aneddoto del ritorno di Luigi verso il Tempio, l’articolo ribadiva la posizione sostenuta sin dall’inizio della reclusione del sovrano riguardo alle sue sorti. E cioè che finché Luigi XVI fosse esistito, sarebbe stato considerato re e avrebbe trovato chi era disposto a crederlo. Les aristocrates (car si le mot a vielli, la chose ne l’est pas) se coalisent avec les patriotes modérés, ou peu instruits, à l’inçu peut-être de ceux-ci, pour presser le jugement de Capet. Ils vont jusqu’à publier que c’est un mostre, assurément cent fois digne de mort; mais en même temps ils ajoutent qu’il seroit digne de nous de lui faire grâce. Ainsi, on ne presse son jugement que pour hâter sa délivrance, et lui rendre la faculté de servir d’étendard à une contre-révolution, à laquelle on n’a pas encore renoncé57.
Dopo aver riportato integralmente l’interrogatorio di Luigi XVI, il giornale procedeva a un’analisi critica dell’atto enunciativo che sin dall’inizio del commento tacciava di imperfezione rispetto allo scopo per il quale era stato redatto. Il lavoro della Commissione dei 21 aveva «toujours senti la précipitation, l’insouciance et l’inexactitude». Perché, innanzitutto, si era scelto di cominciare l’enumerazione dei crimini commessi dal re a partire dal 20 giugno 1789? Senza dubbio Luigi aveva compiuto sin da quel momento dei grandi misfatti; ma una simile scelta non induceva forse a credere che non esistessero motivi sufficienti per giudicarlo a partire dal momento dell’accettazione della costituzione? Senza dubbio, continuava l’articolo, Luigi era stato colpevole di tutti i crimini commessi prima dell’accettazione della Costitutizone, racchiusi nell’acte énonciatif, tuttavia non sarebbe stato meglio non parlarne affatto e mostrare che li aveva di gran lunga superati compiendone di nuovi? In questo modo non avrebbe potuto rispondere, come aveva fatto, «Je n’avois pas dans ce temps accepté la constitution» e le sue risposte avrebbero rivelato agli spiriti deboli, agli ignoranti che occorreva illuminare, ai popoli schiavi che bisognava emancipare, quanto fosse spergiuro. E in fondo perché cominciare dall’inizio della Rivoluzione e non comprendere invece tutta quanta l’esistenza di Luigi? Pour ne pas donner à cet acte un air de disette au milieu de sa fausse abondance, pour paroître grands, pour ne pas nous mettre en contradiction palpable avec nousmême, on devoit donc se borner aux crimes commis depuis le 14 septembre 1791, et ne point mentionner les griefs dont il avoit arraché une sorte d’amnistie générale que lui-même avoit demandée, et par sa royale acceptation d’une constitution qu’on lui avoit présentée58.
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Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, n° 179, Du 8 au 15 décembre 1792, pp. 527-528. Ibidem, p. 544.
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La commissione dei 21 aveva detto allo stesso tempo troppo e troppo poco, e con i vizi di una redazione precipitosa, aveva compromesso la dignità della nazione francese. Quando, in seguito alla lettura dell’atto d’accusa, alcuni deputati si ricordarono di fatti di cui erano stati testimoni e che sarebbe stato opportuno inserire, essi diedero prova del maggiore inconveniente della decisione della Convenzione di attribuirsi la cognizione del processo del re. Essendo composta di molti membri dell’assemblea costituente e della legislativa, e di molti uomini che avevano gestito gli affari dall’inizio della Rivoluzione, e che erano stati i più minacciati dal tiranno, «il y avoit dans son sein plus de connoissances locales et particulières que partout ailleurs, et que la plupart de ses membres se trouveroient ainsi exposé, tout à la fois, à accuser le roi, à plaider contre lui, et à le condamner comme juge»59. Se Luigi XVI fosse stato come Carlo I, avrebbe potuto sulla base di questi elementi ricusare i suoi giudici60. La conclusione a cui arrivava il redattore dell’articolo delle Révolutions de Paris era nondimeno che la comparizione di Lugi Capeto fosse più umiliante per i re di quanto non lo sarebbe stata la morte stessa, dal momento che si era trovato a rispondere come accusato. La Convenzione aveva salvato la faccia, inoltre, concedendo a Luigi, contrariamente ai precedenti decreti, la possibilità di dotarsi di avvocati difensori e di un po’ di tempo per prepare la difesa. All’interno di questo lungo articolo delle Révolutions de Paris il giornalista denunciava altresì le inesattezze riscontrate in alcuni giornali nel riportare le risposte di Luigi. «Il est fâcheux que certains journaux accrédités les aient rapportées infidellement; l’opinion vole rapidement sur ces feuilles légères, et ne rétrograde qu’avec peine». Il redattore lamentava in particolare le alterazioni compiute dal Journal du soir di Étienne Feuillant e dal Journal universel di Pierre-Jean Audouin, peraltro deputato della Convenzione, che avevano fatto dire al presidente Barère «pourquoi avez-vous donné ordre de tirer sur le peuple? Et ils font répondre à Louis: c’est que le château étoit ménacé; et comme j’étois autorité constituée, je devois me défendre»61. La Ibidem, pp. 546-547. Come già in altri precedenti articoli, le Révolutions de Paris indugiavano sul parallelo tra il processo di Carlo I e quello di Luigi XVI. 61 Journal universel ou Révolutions des royaumes, n° 1116, Du mercredi 12 Décembre 1792. Il resoconto, molto succinto e impreciso, si trova alle pagine 3507-3509. Decisamente contraria a Luigi e favorevole ad affrettare il momento dell’appello nominale affinché infine i complici di Luigi che sedevano alla Convenzione fossero scoperti, la sintesi del Journal du soir, de politique et de littérature. Rédigé par Et. Feuillant, n° 82, Du Mercredi 12 Décembre, 1792, pp. 2-4. La parte relativa alla corruzione di Mirabeau è completamente inventata. Le alterazioni dell’interrogatorio riscontrate nei giornali di Feuillant e Audouin consistevano 59 60
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domanda non era mai stata posta in tali termini e di conseguenza la risposta che ne era seguita era falsa. L’alterazione compiuta dai giornali, come osservava il redattore dell’articolo delle Révolutions de Paris, comportava un’ammissione di colpevolezza da parte di Luigi. «Comment concevoir que des journalistes mettent dans la bouche d’un accusé des aveux si péremptoires, lorsqu’il ne les a pas faits? Si Louis avoit prononcé ces mots, il n’en faudroit pas davantage; son procès seroit jugé; il se seroit lui-même condamné à la mort; mais partout ailleurs il a avancé précisément le contraire»62. Il giornale di Prudhomme, anche grazie alla sua periodicità settimanale, aveva avuto modo di rilevare, come già un deputato della Convenzione il 13 dicembre, le inesattezze volute o meno dei quotidiani nel riportare l’interrogatorio di Luigi XVI. Non a caso, l’anonimo convenzionale aveva proposto che il verbale della seduta dell’11 fosse dato alle stampe ufficialmente. Come aveva dimostrato l’articolo delle Révolutions de Paris era facile deformare il senso dell’interrogatorio alterando le parole o inventandole per dimostrare l’innocenza o la colpevolezza dell’accusato. Il 14 dicembre, nella rubrica dedicata alle notizie dalla capitale, le Annales patriotiques di Carra commentavano l’atteggiamento tenuto dall’accusato in occasione dell’interrogatorio. Il fatto che Luigi XVI, come molti si attendevano, non avesse ricusato i sui giudici, invocato l’inviolabilità costituzionale, o si fosse rifiutato di rispondere, dimostrava che era più abile di quanto ci si immaginasse. Opporre alle accuse l’inviolabilità sarebbe stato come ammettere la propria colpevolezza. Invece, egli aveva probabilmente ritenuto più vantaggioso lasciare ai propri difensori (che si era affrettato a domandare al termine dell’interrogatorio) il compito di stabilire quale partito trarre dalle diverse imputazioni. «Cette conduite raisonnée n’annonce pas l’imbecillité
in un’invenzione, la domanda del presidente Barère e in una fusione di due risposte successive di Luigi XVI: «Le Président: Vous avez fait, le 10 aôut, la revue des Suisses à cinq heures du matin, et les Suisses ont tiré les premiers sur les citoyens. Qu’avez-vous à répondre? Louis: «J’ai été voir toutes les troupes qui étaient rassemblées chez moi ce jour-là: les autorité constituées y étaient, le département, le maire de Paris; j’avais même fait demander à l’Assemblée de m’envoyer une députation de ses membres pour me conseiller ce que je devais faire, et je vins moi-même avec ma famille au milieu d’elle. Le Président: Pourquoi avez-vous fait doubler la garde des Suisses dans les premiers jours du mois d’août? Louis: Toutes les autorités constitués l’ont su; et parce que le château était ménacé d’être attaqué, j’étais une autorité constituée, je devais le défendre» (Archives parlementaires, t. LV, p. 10). Anche la Suite du Journal de Perlet aveva riferito in maniera ancora più falsata l’interrogatorio di Barère a Luigi XVI. Cfr. Suite du Journal de Perlet, n° 82, Du mercredi 12 Décembre 1792, pp. 89-96. 62 Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, n° 179, Du 8 au 15 décembre 1792, p. 550.
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qu’on avoit la bonté de supposer à Louis XVI; elle indique au contraire un caractère astucieux, et tel qu’il a fallu l’avoir pour abuser si long-temps la crédulité publique». Era sempre la stessa falsità, la stessa duplicità dietro l’apparenza della buona fede, che aveva utilizzato per ingannare il popolo e massacrarlo: «de simples dénégations ne suffiront pas pour le laver de cette inculpation, dont on aura sans doute des preuves surabondantes»63. La ricusabilità dei giudici, se non altro per i deputati di Parigi, fu invece annunciata per certa, due giorni dopo, nelle pagine della Feuille du Matin. Quando la Convenzione accordò a Luigi di poter scegliere uno o più avvocati per preparare la propria difesa, il giornale di tendenza monarchica di Pariseau riportò la notizia quasi certa riguardante la strategia difensiva che Malesherbes e Tronchet avrebbero adottato in previsione dell’arringa del 26 dicembre: On assure que la première démarche des conseils officieux de Louis XVI, sera de récuser solemnellement presque tous les membres de la députation de Paris. Les gens qui sont dans cette opinion la fondent sur le nouveau code des jurés qui permet à un accusé d’en récuser une partie sans en donner d’autres motifs que sa volonté; et une autre partie en donnant ses raisons; ils disent que toutes les loix divines, humaines, positives, naturelles, anciennes et nouvelles prononcent, que tout juge qui manifeste son opinion sur la cause criminelle qu’il doit juger, est récusable de plein droit; combien, ajoutent-ils, ce principe sacré & inviolable, n’acquiert-il pas de nouvelles forces, quand le juge non-content de se déclarer hautement & publiquement l’ennemi mortel de l’accusé qu’il doit juger, opine d’avance pour qu’il soit condamné sans observer les loix, ni les formes de la justice. Notre impartialité ne nous laisse que le droit de soumettre au public à décider si l’application du cas présent n’est pas de la plus grande justesse avec les principes que nous venons d’exposer. – On dit aussi que les conseils s’inscriront en faux contre toutes les pièces que le roi a méconnues, comme ayant été placées dans son secrétaire par les gens même qui l’avoient enfoncé; au reste dans ce moment-ci, il est impossible de rien prévoir, si-non que si Louis XVI parvient à se justifier clairement de l’accusation d’accaparement de bleds et de numéraire, il verra augmenter considérablement l’intérêt que le peuple a commencé de manifester pour lui dans presque tous les quartiers à Paris64.
Era quello della Feuille du Matin un modo per informare, anticipando notizie ancora da confermare, ma allo stesso tempo per suggerire una tecnica di difesa. Anche la Feuille Villageoise si sbilanciò proponendo, a titolo speculativo, una strategia di difesa. Allo stesso modo di come avrebbero
Annales patriotiques et littéraires, n°349, Du Vendredi 14 Décembre 1792, p. 1557. La Feuille du Matin ou Le Bulletin de Paris, n° 21, Dimanche 16 Décembre 1792, pp. 162-162. 63 64
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fatto privati cittadini, i giornali pubblicarono delle versioni di possibili difese che gli avvocati di Luigi XVI avrebbero potuto adottare nel compito difficile di comporre in tempi brevi un’arringa difensiva prevista per il 26 dicembre. Nel numero del 13 dicembre, dando notizia del decreto che stabiliva la comparizione alla sbarra degli imputati di Luigi XVI, il giornale fondato da Cerruti commentava come in tale decreto non fossero previsti né difensori, tanto meno arringhe difensive per l’accusato. La difesa immaginata nella Feuille villageoise, pubblicata in ritardo rispetto all’evolvere degli eventi, partiva dunque dal presupposto che Luigi non avrebbe avuto diritto a un difensore. Sebbene i fatti fossero così chiari e noti che sarebbe stato sufficiente rispondere solamente sì o no, tuttavia, l’articolo suggeriva una difesa particolare, una giustificazione che Luigi XVI avrebbe potuto presentare nonostante l’evidenza delle prove a suo carico. Tale difesa, si leggeva, avrebbe probabilmente stupito i lettori, ma nello stesso tempo li avrebbe anche potuti istruire sulla ragione per la quale avevano ritenuto opportuno pubblicarla. Il testo, in prima persona, poggiava sull’assunto che Luigi era stato educato come re, e che dunque fin dalla culla tutti i mezzi erano dispiegati per farne un mostro di egoismo. Come poteva un re conoscere le virtù umane, avere sentimenti di uguaglianza e fraternità, se era stato abituato a concepirsi senza eguali? In fondo Luigi XVI non aveva colpa di ciò che era, della sua natura ereditata dai suoi predecessori, e la nazione francese poteva ritenersi responsabile di aver ubbidito ai tanti despoti che lo avevano preceduto e di non aver sollevato prima la testa di fronte ai propri oppressori. Anche un sovrano, poteva invocare e ottenere la grazia per l’attenuante della propria professione. «Telle pourroit être la défense de Louis XVI. Mais on ne peut guère présumer qu’il s’en serve»65. Per quanto si trattasse di un avvenimento di portata eccezionale e senza precedenti nella storia millenaria della monarchia francese, l’interesse nei confronti della comparizione alla sbarra degli imputati dell’ex sovrano si esaurì nel giro di qualche settimana. In attesa di udire la difesa di Luigi XVI, prevista per il 26 dicembre, i giornali spostarono l’attenzione sulle opinioni che maggioritariamente si stavano definendo nella Convenzione e che di lì a poco si sarebbero scontrate apertamente. La figura di Luigi XVI, i cui gesti erano stati osservati, riportati e giudicati fino al minimo dettaglio, si stava lentamente eclissando nelle pagine dei giornali, pur rimanendo costanti le brevi notizie che informavano sulle condizioni del prigioniero del Tempio. I pamphlet e i libelli continuarono a dibattere sull’oggetto in questione, ma
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La Feuille villageoise, n° 11, Jeudi 13 Décembre 1792, pp. 257-259.
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dai giornali si evinceva però un altro racconto: quello dello scontro tra la Gironda e la Montagna. La questione era riportare la vittoria sulla pena da infliggere a Luigi XVI. E anche la difesa, come si vedrà, non sarebbe stata che una pura formalità giuridica in una lotta nella quale la posta in gioco si stava configurando come l’affermazione di una delle due fazioni. Il numero delle Révolutions de Paris della settimana dal 15 al 22 dicembre si apriva con delle Nouvelles considérations sur le jugement de Louis Capet, un lungo articolo che dal commento all’interrogatorio dell’11 dicembre prendeva spunto per analizzare le posizioni dei partiti che nella Convenzione si mostravano favorevoli o alla reclusione o alla messa al bando. Secondo il giornale di Prudhomme, le risposte di Luigi non erano state soddisfacenti o tali da poter affermarne l’innocenza, ma d’altra parte, l’atto d’accusa si era dimostrato «lungamente inutile» e le domande del presidente della Convenzione «vaghe e incoerenti». Tuttavia, era proprio nella vaghezza delle risposte, in «cette impossibilité de répondre» che risiedeva il vantaggio dell’accusato. Ora, se Parigi non aveva cambiato opinione, da molte parti si tentava di smuovere la sensibilità in favore di colui che non ne aveva mai avuta per nessuno. Plusieurs nous disent bien qu’il a mérité la mort, mais ils veulent que cet état d’humiliation auquel il s’est montré si peu sensible lui-même, soit pire que la mort la plus cruelle; ils feignent de vouloir hâter son jugement, afin de hâter le moment de sa délivrance; car en frappant ainsi à la porte de notre cœur, ils veulent en mêmetemps en imposer à notre sagacité, corrompre notre esprit, en lui présentant comme un grand avantage, comme un grand honneur pour la nation, un pardon généreux de tous les forfaits de Louis-le-Dernier. A les en croire, son exil ou une prison perpétuelle suffiroit à notre tranquillité et à la justice, et le plus beau moment de la révolution seroit celui où la nation crieroit grace, à l’homme qui, le 10 août, fit la revue de ses satellites, pour les engager à ne faire grace à personne66.
Era necessario combattere simili obiezioni alla condanna a morte di Luigi XVI perché troppe erano le menti deboli, la gente di buon cuore, e naturalmente i monarchici, sensibili a tali argomenti. Due partiti contrari alla pena di morte si erano imposti nella questione riguardante il sovrano deposto: uno propenso alla messa al bando, l’altro alla prigione perpetua. In entrambi i casi si trattava di due posizioni che, anziché giovare alla salvezza pubblica, l’avrebbero irrimediabilmente compromessa. Se fosse stato esiliato, Luigi sarebbe stato il punto di raccordo di tutte le forze controrivoluzionarie interne ed esterne che avrebbero fatto perno attorno a lui. Se lo si fosse tenuto
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Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, n° 180, Du 15 au 22 Décembre 1792, p. 570.
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prigioniero al Tempio, la sua sola esistenza avrebbe garantito la sopravvivenza della monarchia, negando l’esistenza della repubblica agli occhi di coloro che volessero restaurarne l’autorità. Queste idee «anti-civiques, anti révolutionnaires» si erano propagate sin dentro la Convenzione che dalla sua costituzione aveva continuamente dimostrato incertezza, debolezza e un’incongruenza evidente; a tal punto che per timore e panico avrebbe potuto cedere all’impulso di commutare la pena e non punire di morte Luigi XVI. «Nous craignons d’autant plus la foiblesse de la convention» concludeva il giornalista delle Révolutions de Paris, «qu’un nouveau choix de Louis vient d’appeler à sa défense un illustre de l’ancien barreau, un orateur insinuant qui, même lorsqu’il ne prouve rien, vous persuade qu’il vous a convaincu. Desèze étoit un des hommes les plus propres pour la cause de Louis XVI. Le public n’a jamais pu l’entendre sans enthousiasme. (…) Il touche, il émeut, il attendrit le cœur le plus rebelle»67. Per questo, se la difesa era pronta a mettere in campo tutta l’arte oratoria di cui il suo abile rappresentante era capace per toccare le corde della sensibilità dell’opinione pubblica, allo stesso modo la Convenzione doveva mettersi in guardia di fronte alle astuzie dell’eloquenza e ascoltare solamente la voce della ragione, dell’impassibile giustizia e non il linguaggio della compassione e del sentimento. Pressoché nello stesso periodo, il giornale di stampo monarchico la Feuille du Matin, dispiegava tutti i mezzi a disposizione per favorire la causa di Luigi XVI, esattamente nella direzione denunciata dal settimanale di Prudhomme. Non solamente in occasione della comparizione di Luigi XVI aveva riferito della pietà mista a venerazione che il re decaduto aveva suscitato sui presenti, ma in un articolo apparso il 22 dicembre, si spingeva a propagandare gli scritti che sempre più numerosi venivano pubblicati per la causa del re. «Nous ne savons pas quel effet ces différens écrits produiront sur les législateurs qui opinent à couvert dans les tuileries; mais ceux qui opinent en plein air, nous ont paru hier très bien disposés en faveur de Louis XVI et sa famille; ils répétoient presque toutes les raisons que nous avons trouveées dans les différens écrits cités, et ils en ajoutoient d’autres à leur manière, qui étoient encore plus énergiques»68. L’auspicio era che questo «bruit sourd» che cominciava a diffondersi potesse essere inteso presso i «tueurs et chasseurs Jacob…» e indurli a cadere nel «funeste modératisme» che aveva impedito a migliaia di persone di essere sgozzate nelle giornate di settembre. Ibidem, 575-576. La Feuille du Matin ou Le Bulletin de Paris, n° 27, Samedi 22 Décembre, p. 213. Cfr. capitolo III. 67 68
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Se gli esempi di articoli di fondo appena riportati testimoniavano di opinioni precise al riguardo della difesa, diversamente l’articolo intitolato semplicemente Sur le jugement du ci-devant roi apparso il 15 dicembre nella Suite du journal de Perlet, preferiva ricoprire la funzione di «storico» limitandosi a tracciare il quadro delle differenti varianti di pareri che circolavano in quel momento. Gli uni, si leggeva, conservavano dei dubbi sulla natura del tribunale che avrebbe dovuto giudicare Luigi, dal momento che la Convenzione, ricoprendo il ruolo di accusatore, giurato e giudice si discostava dalle forme previste dalla procedura criminale. Secondo costoro, il ruolo di accusatore era inconciliabile con gli altri due e il re avrebbe avuto pertanto la facoltà di ricusare i propri giudici. Gli altri all’opposto pur ritenendo che la Convenzione fosse rivestita di tutti i diritti della sovranità nazionale, stimavano che essa dovesse agire senza precipitazione, ascoltando la giustificazione dell’accusato e procedendo alla votazione per scrutinio segreto. Quanto alla pena da comminare, secondo il giornale di Perlet le opinioni si dividevano tra chi riteneva che la déchéance fosse la sola pena prevista dalla costituzione, e che occorreva attenersi alla legge prevista anteriore ai crimini commessi, e tra coloro i quali stimavano che l’esilio o la prigione a perpetuità sarebbero stati una fonte di guerre e instabilità interna. Ma, si chiedeva il redattore dell’articolo, «en faisant périr Louis sur l’échafaud, fera-t-on tomber du même coup la tête de ses héritiers, s’il est vrai que l’on puisse regarder la royauté comme un héritage? Dans tous les cas, les appréhensions et le motifs que l’on allègue, ne subsisteroitent-ils pas?»69. Negli stessi giorni, giornali di differente orientamento proponevano commenti, si sbilanciavano in previsioni, cercavano di cogliere le opinioni della nazione, altri quelle maggioritarie della Convenzione, in previsione della difesa che da lì a dieci giorni sarebbe stata pronunciata dagli avvocati dell’ex sovrano. Questi articoli, liberi dalla cronaca più o meno estesa delle sedute assembleari, alimentavano il ragionamento pubblico attorno alla causa in corso e testimoniavano, di fatto, come il centro dell’attenzione non fosse tanto la colpevolezza o l’innocenza di Luigi XVI ma il discorso attorno alle opinioni che si opponevano le une alle altre. Nei giornali, a differenza di quanto gli scritti pubblicati nello stesso periodo cercarono di veicolare, l’interesse poggiava sulle opinioni, sulle divisioni interne alla Convenzione, su quale partito sarebbe stato maggioritario o quale decisione più conveniente. La difesa di Luigi XVI, tanto attesa e preceduta da tante considerazioni, non fu necessariamente riportata integralmente dai giornali (non lo fecero le
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Suite du Journal de Perlet, n° 85, Samedi 15 Décembre 1792, p. 120.
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Annales patriotique né il Patriote français, tanto meno il Journal universel). I giornali in fondo continuavano a rispecchiare o a prevenire l’atteggiamento dei membri della Convenzione, e al lungo testo letto dagli avvocati si preferì riportarne una sintesi corredata di commenti. Come già nel caso dell’interrogatorio, vi si leggevano impressioni di sollevata delusione o di soddisfatta approvazione di fronte alla prova forense di De Sèze: «Les moyens qu’il a employés sont usés, communs et rebattus», scrivevano le Révolutions de Paris; «il n’a été que l’écho de tous les royalistes et de tous les modérés, dont nous avons déjà si souvent pulvérisité les opinions. Rien de neuf, de saillant, de lumineux ne jaillit de sa défense; tout a été réfuté d’avance mille fois; il a été écrasé du poids de sa cause, ou plutôt du poids de la vérité»70. Al contrario, il Patriote français lodava la generale destrezza, logica e precisione di De Sèze, sebbene segnalasse un paio di passi falsi, mentre il giudizio della Suite du Journal de Perlet era incondizionatamente lusinghiero71. In fondo, coloro che desideravano risparmiare la vita di Luigi XVI speravano forse in una prova eclatante dei suoi difensori, che questi adottassero la via della ricusazione al fine di sollevarli di diritto dal compito di giudicare il sovrano destituito. Chi, invece, era favorevole alla condanna e alla pena capitale, accolse con soddisfazione la prova elegante ma tutt’altro che incisiva di De Sèze. La discussione che seguì la difesa a partire dal 27 dicembre fu riportata quotidianamente dai giornali. È attraverso la lettura di questa cronaca che emerge, tuttavia, l’impressione che la difesa di De Sèze non avesse alcuna reale funzione nell’economia del processo, dal momento che in fondo la questione dibattuta non era l’innocenza o la colpevolezza di Luigi XVI, ma continuare la battaglia delle opinioni in gioco e possibilmente riportare la vittoria. Lo rilevava il giornalista-deputato Jean-Pierre Audouin nel suo Journal Universel72 il 28 dicembre, a commento della prima giornata di discussione: «mais passons auparavant au grand ordre du jour: c’était la discussion sur la défense de Louis Capet. Aucun des orateurs n’y a répondu; chacun apparemment avait son discours tout prêt, et n’y a rien changé»73. Al solo intervento costruito sulla Révolutions de Paris, dédiées à la nation, n° 181, Du 22 au 29 Décembre 1792, p. 28. Suite du Journal de Perlet, n° 97, Jeudi 25 Décembre 1792, pp. 209-212. 72 Il Journal universel, apparso dapprima anonimo, poi seguito da «par Audouin, sapeur du battaillon de Carmes», cominciò ad uscire il 23 novembre 1789. Grazie a questo foglio periodico, Audouin acquisì una notorietà tale da consentirgli di essere eletto deputato della Seine-et-Oise alla Convenzione dove sedette tra i banchi della Montagna. Votò contro l’appello al popolo, per la morte e contro il sursis. In seguito il suo giornale sarebbe stato tra quelli sovvenzionati dal Comitato di Salute Pubblica. Kuscinski, Dictionnaire des conventionnels, ad vocem (pp. 12-14). 73 Journal universel, n° 1132, Du Vendredi 28 Décembre 1792, p. 3634. 70 71
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refutazione dei punti sostenuti dalla difesa, quello di Saint-Just, fu in effetti dedicato ben poco spazio nei giornali e in alcuni casi fu giudicato deludente. Nel Patriote français si leggeva che nell’opinone di Saint-Just, che apriva il dibattito, non si era ritrovato «le talent que sembloit promettre ses deux premiers discours; c’étoit une simple réfutation du plaidoyer de Desèze»74. Con la discussione successiva all’audizione dei difensori dell’accusato, si aprì una nuova fase della battaglia delle opinioni che aveva caratterizzato fin dall’inizio il processo. I giornali, a fianco della sintesi degli interventi parlamentari, sottolinearono questo scontro che, a partire dall’intervento di Salle, verté principalmente sulla questione dell’opportunità o meno di ricorrere, in maniera differenziata, all’appello al popolo. I giornalisti si fecero, pertanto, osservatori e commentatori di questa lotta che rimbalzava così sulla stampa quotidiana ampliando inevitabilmente la gamma delle opinioni e relegando sempre più in secondo piano la persona fisica di Luigi XVI, laddove, soprattutto si sosteneva il ricorso all’appello al popolo. I giornalisti deputati potevano servirsi dei quotidiani come tribuna per anticipare l’opinione che avrebbero espresso davanti all’assemblea. Così Audouin, nel suo foglio, sintetizzando l’intervento di Salle con poche parole affermava che: Salles ne veut voter ni pour la mort, ni contre la mort, ni pour l’exil, ni contre l’exil, ni pour la prison, ni contre la prison: il s’en rapporte aux assemblées primaires; et puis comme Pilate, il s’en lave les mains. L’appel aux assemblées primaires est le tocsin de la guerre civile, ainsi que je le prouverai à la convention, lorsque mon tour de parole viendra, car je suis inscrit sur la liste: mais la guerre civile entre très-bien dans le plan de certains messierus: cependant ils ne réussiront pas dans leur perfides projets75.
Il giornalista delle Annales patriotiques che si firmava S.76, osservava, nella rubrica da lui curata sulle notizie da Parigi, come fosse degno di nota che «l’appel au peuple dans le jugement de Louis XVI paroît aux uns le moyen de tout concilier, de prévenir toute secousse, tandis que d’autres le regardent
Le patriote français, n° 1234, Du Vendredi 28 Décembre 1792, p. 737. Journal Universel, n° 1132, Du Vendredi 28 Décembre 1792, p. 3635. Audouin non riuscì di fatto a pronunciare alla tribuna la sua opinione che fu pertanto affidata alla carta stampata. Si veda per il titolo l’Appendice ad vocem. Cfr. inoltre gli annessi alla seduta del 7 gennaio 1793 in Archives parlementaires, t. LVI, pp. 270-275. 76 Gli articoli della rubrica Paris furono, a partire dal mese di dicembre, spesso firmati con l’iniziale puntata del giornalista. Dovrebbe trattarsi di Jean-Baptiste Salaville, a cui è attribuita la traduzione in francese della Defensio pro populo anglicano di Milton, Doctrine de Milton sur la Royauté D’après l’Ouvrage intitulé: Défense du peuple anglais, che dall’agosto del 1972 aveva sostituito François Amédée Doppet nel ruolo di redattore di quella rubrica. Cfr. Kennedy, «L’ oracle des jacobins des départements», p. 250. 74 75
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comme le signal de la guerre civile». In materia politica, sosteneva il giornalista, era poco prudente lasciarsi andare a profezie, ed era suo avviso personale che in qualunque modo si fosse deciso, Luigi non sarebbe mai potuto essere la causa di una guerra civile. Tuttavia, egli riteneva che nel caso in cui l’Assemblea avesse adottato l’appello al popolo, sarebbe stato necessario che essa sottoponesse «d’abord à sa sanction l’abolition de la royauté, car comment voudroit-on que le peuple prononçât sur l’homme avant d’avoir prononcé sur la chose? Vous dites que c’est un hommage que vous voulez rendre à la souveraineté du peuple; mais ce seroit au contraire vous jouer de cette souveraineté, ce seroit attacher à l’homme une plus grande importance qu’à la chose»77. Se si fosse ricorso alla sanzione popolare sul giudizio di Luigi XVI senza che prima fosse stata richiesta una consultazione analoga sulla abolizione della monarchia, si sarebbe resa manifesta la pusillanimità della Convenzione che in questo modo avrebbe dimostrato di avere più a cuore di trarsi d’impaccio che di riconoscere la sovranità popolare. Ed era in questo punto che l’appello al popolo poteva rivelarsi pericoloso: «au lieu de donner du ressort à l’esprit public, il tendroit à l’abattre, à le décourager, à le ramener au préjugé royal, à le confirmer dans l’opinion qu’un homme est plus important que la loi, puisque la suppression de celle-ci n’a pas nécessité l’intervention du peuple, ou qu’on l’a réclamée pour l’homme avant de la réclamer pour la loi»78. La posizione del giornalista anonimo, si distaccava da quella del principale redattore delle Annales patriotique Carra. L’appello al popolo non poteva essere incondizionato, qualora se ne fosse fatto ricorso. Per evitare questa impasse l’unica via possibile sarebbe stata quella di sospendere il giudizio finché non fosse stata redatta la costituzione, la sola garanzia capace di dare stabilità e assicurazione al popolo. Anche il giornale di Perlet indugiava sullo spettacolo offerto in quei giorni dal dibattito che animava la Convenzione, fissando l’attenzione sul tempo che era, secondo l’anonimo redattore della rubrica dalla capitale, il fattore determinante su tutte le opinioni. «Lorsque la convention met au jugement de Louis Capet, le temps et la discussion qu’exige une cause si importante, les esprits ardens, avides de liberté, selon qu’ils sont mûrs par des pensées contraires, désirent de hâter ou de retarder le jugement, et de le rendre plus ou moins sévère». La molteplicità delle opinioni, riferiva l’articolo, produceva «une multitude d’affiches opposés» che se era il risultato della libertà di stampa, aveva altresì l’effetto di agitare e di esasperare gli animi.
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Annales patriotiques et littéraires, n° 365, Du dimanche 30 Décembre 1792, p. 1633. Ibidem.
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«Ici un orateur harangue, dans une place publique, une foule de citoyens, et leur assure qu’ils ne peuvent en conscience d’hommes libres, sanctionner d’autres décret sur Louis, qu’un décret de mort! Là, on publie un mémoire justificatif de l’ex monarque; ailleurs on colporte une chanson intitulée, les adieux de Louis XVI à son peuple». Queste opinioni contraddittorie offrivano lo spettacolo di una divisione in seno ai patrioti proprio quando la salvezza della Repubblica doveva risiedere nell’unione per il trionfo della libertà e dell’uguaglianza79. Nondimeno, la posizione del giornale di Perlet, non esente, come si osserverà anche in seguito, da spirito filomonarchico, era quella favorevole ad una logica di ponderata riflessione. Nel numero precedente, solo un giorno prima, presentando la dibattuta questione del rinvio al popolo per l’applicazione della pena contro Luigi XVI, aveva affermato che era necessario, vista la posta in gioco, procedere con la massima circospezione: «et nous devons louer l’assemblée d’entendre discuter longuement le pour et le contre avant d’arriver à un résultat»80. Se i giornali di differente aerea girondina e filomonarchica (la Feuille du Matin aveva già interrotto forzatamente la pubblicazione) propendevano per un atteggiamento attendista, certo questa non era la posizione di alcune sezioni della Comune che, insieme a una delegazione di vedove, orfani e mutilati della giornata del 10 agosto, il 30 dicembre si erano recate alla Convenzione per sollecitare non solo il giudizio ma anche la condanna di Luigi XVI81. Nelle cronache dedicate alle sedute parlamentari, i giornali quotidiani riportarono la notizia in maniera fondamentalmente anodina, ad eccezione, tuttavia, del Patriote français: «De prétendues veuves des patriotes tués le 10 août, viennent demander la tête de Louis. Cette tragicomédie avoit été concertée aux jacobins; les actrices étoient les dévotes de Robespierre, les habituées de ses tribunes»82. Il Patriote français non risparmiava gli attacchi alla Montagna, accusandola ancora una volta di servirsi di figuranti per rafforzare la propria posizione attraverso il sostegno del popolo… di Parigi. Ma in fondo cosa faceva la Gironda? Non lo strumentalizzava a sua volta, se non altro la parte su cui credeva di poter contare, invocandone l’appello, per impedire alla Convenzione di emettere la sentenza sul processo al re? Era questa l’accusa che muoveva il lungo articolo Sur l’appel au peuple pour le jugement de Louis XVI pubblicato nelle Révolutions de Paris del 29 dicembre - 5 gennaio 1793, incentrato, come rivelava il titolo, sull’analisi del sistema 79 80 81 82
Suite du Journal de Perlet, n° 101, Lundi 31 Décembre 1792, p. 246. Suite du Journal de Perlet, n° 100, Dimanche 30 Décembre 1792, p. 236. Archives parlementaires, t. 56, pp. 72-73. Le patriote français, n° 1237, Du Lundi 31 Décembre 1792, p. 750.
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proposto dalle file girondine. Il punto di partenza era l’azione contraddittoria dei fautori dell’appello al popolo. Non ci si capacitava, osservava il giornalista, di come «ces mêmes hommes qui ne songèrent point à s’assurer de la sanction populaire, lorsqu’ils abolirent la royauté, sont devenus si timides aujourd’hui, qu’il ne s’agit plus que de la personne du ci-devant roi»83. Dal momento che non avevano ritenuto necessario consultare il popolo per una questione così importante e di un tale interesse come l’abolizione della monarchia, perché improvvisamente mutavano di metodo laddove si trattava di un semplice individuo? Sarebbe come dire: «Nous attachons plus d’importance aux personnes qu’aux principes, nous haïssons la royauté, mais nous aimons encore le ci-devant roi». Che senso aveva, dopo non aver mosso obiezioni a che la Convenzione fosse allo stesso tempo jury d’accusa, di giudizio, e i suoi membri accusatori e denunciatori, volere una corte d’appello? Questa era soltanto ipocrisia e l’unica cosa giusta da fare sarebbe stato annullare tutto e domandare alla Repubblica che nominasse dei giudici non legislatori. Al massimo, non era un tribunale d’appello al quale si poteva ricorrere in una causa criminale, bensì a una corte di cassazione preposta a esaminare se le forme protettrici dell’accusato erano state fedelmente mantenute. Oltretutto, i partigiani di questo sistema non domandavano propriamente una corte d’appello popolare, quanto piuttosto che il popolo rispondesse alla domanda: «appliquera-t-on à Louis la peine de mort?», domanda assurda perché avrebbe presupposto una cognizione di causa impossibile a un tribunale così vasto. Inoltre, la conseguenza di questo sistema sarebbe stata che se per confermare il giudizio di Luigi fosse necessario ricorrere alla sanzione popolare, sarebbe diventato impossibile fare giustizia su qualunque tribunale senza che vi si ricorresse. «Si Louis ne s’élève plus audessu des autres que par l’énormité de ses crimes, il ne doit avoir ni faveur, ni privilège: ce qu’on va faire pour lui doit devenir une règle générale pour tous»84. Qual era dunque la verità inconfessabile? Che la Convenzione aveva paura, temeva l’opinione del popolo, le armi straniere e i «revenans». E poi l’attacco a Brissot: nel discorso del 1° gennaio, riferiva l’articolo, il deputato girondino aveva tacciato di cattivi cittadini, in quanto indegni repubblicani, coloro che volevano che la Convenzione giudicasse il re, senza rendersi conto che era come fare il processo alla Convenzione intera: car depuis deux mois Brissot et la convention entière veulent le juger, sont occupés à le juger; le comité a pensé que c’étoit à la convention à le juger. (…) Ce n’est qu’au
Révolutions de Paris, dédiées à la nation, n° 182, Du 29 Décembre 1792 au 5 Janvier 1793, p. 56. 84 Ibidem, p. 60. 83
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moment de porter la sentence, que les membres désignés sous le nom de brissotins ont proposé, non de se dessaisir du procès, mais après avoir vu toutes les pièces, de demander à ceux qui ne les avoient pas vues quelle peine méritoit l’accusé, qu’ils ont proposé d’engager le peuple entier à faire ce qu’il ne peut sans violer la justice et le principes, c’est-à-dire à porter une loi pour un particulier, une loi postérieure au délit»85.
Il sistema dell’appello al popolo era, in conclusione di articolo, un’altra espressione di quella circospezione e di quel mezzo termine che aveva contraddistinto il passato, come la costituzione del 1791, un accomodamento tra verità e errore, tra principi e pregiudizi, che aveva solo condotto all’orlo del precipizio. L’appello al popolo non si collocava all’interno di nessun principio e se le potenze straniere si stavano armando, l’unica soluzione era armarsi a sua volta e respingerle in caso di guerra. La questione dell’appello al popolo introdotta nel dibattito in maniera sistematica dalla fine di dicembre, monopolizzò l’attenzione dei giornali relegando sempre più sullo sfondo la questione dell’innocenza o colpevolezza di Luigi XVI e facendo emergere in primo piano lo scontro tra le differenti parti che si opponevano nella Convenzione. Lo osservava, ma impossibile prescindere dalla fazione a cui apparteneva e dalla lotta che aveva ingaggiato tempo addietro con la Montagna, il girondino Louvet in un articolo della Sentinelle apparso il 13 gennaio, nei giorni immediatamente precedenti all’inizio degli appelli nominali per emettere il verdetto: On vous dit qu’il y a deux partis dans la convention; mais on se garde bien de vous dire que ce n’est point une guerre pour ou contre la vérité, que ce n’est point le royalisme aux prises avec la démocratie, que ce n’est point enfin deux partis dont l’on veut la perte et l’autre le salut de la patrie: mais bien une lutte d’amour-propre, une opiniâtreté malheureusement trop commune chez les hommes86.
Formarsi un parere sul processo di Luigi XVI attraverso i giornali non significava più cercare di comprendere l’innocenza o la colpevolezza dell’imputato, sulla quale tutto sommato i partiti convenivano, bensì valutare quali
Ibidem, p. 61. Un ampio estratto del discorso tenuto da Brissot alla Tribuna della Convenzione il 1° gennaio fu riportato nel n° 1242 del Patriote français di sabato 5 gennaio 1793, pp. 19-20. Cfr. Archives parlementaires, t. LVI, pp. 124-131. 86 Bulletin des amis de la vérité, publié par les directeurs de l’imprimerie du Cercle Sociale, n° 13, Samedi 12 Janvier 1793, p. 2. Jean-Baptiste Louvet de Couvrai, deputato della Convenzione, aveva pubblicato a partire dal maggio 1792 la Sentinelle, giornale-manifesto su tre colonne, concepito anche per essere affisso. Stampato dal Cercle sociale e dunque affine all’opinione girondina, era sovvenzionato dai Roland di cui divenne il portavoce contro la Montagna; Kuscinski, Dictionnaire des conventionnels, pp. 417-418. (Histoire générale de la presse française, dir. J. Godechot – P. Guiria – F. Terrou, p. 450). 85
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fossero le conseguenze più o meno gravi, più o meno vantaggiose, della pena da infliggere. La stampa riportava, rifletteva, alimentava le contraddizioni e il profondo disaccordo che agitava l’assemblea rappresentativa. «En est-il un de vos représentants», proseguiva Louvet, dont la bouche se soit profanée en célébrant l’innoncence de Capet? Tous l’ont trouvé coupable. Tous conséquemment veulent qu’il soit puni; la différence n’est donc que dans le prononcé du jugement. Et dès-lors où est la trahison? Et si la trahison n’existe pas, où se trouve la nécessité, la possibilité même de la repousser? Voilà ce que vos ennemis se gardent bien de vous dire, parce qu’ils seroient perdus. Mais voici ce qu’ils nous disent, et reconnoissez les perfides à leur double langage. Si l’appel au peuple a lieu, la guerre intestine s’en suivra, et Capet vous échappera. Pourquoi vous tiennent-ils ce langage? C’est qu’ils espèrent qu’animé par la crainte de voir tant de crimes impunis, vous vous porterez à quelques violence, et que Capet périra par vos mains. D’un autre côté, ils vous disent: si Capet périt sans la sanction du Peuple, toutes les puissances étrangères se soulèveront contre vous, et le monde entier vous accablera du poids de sa vengeance. Pourquoi vous tiennent-ils ce langage? C’est qu’ils espèrent qu’allarmés par cet avenir, votre courroux s’appesantira sur ceux qui vous l’auroient préparé. Dans les deux suppositions, ils attendent donc un crime de vous: ils veulent vous y conduire, ils en ont besoin pour vous calomnier. Ce sont les aristocrates, et rien de plus. A deux pieds de la tribune, il n’existe plus de Brissots ni de Robespierres, que des malveillans qui moissonnent leurs opinions diverses, que les triturent dans un mortier d’arsenic, et en façonnent la pâture empoisonnée, dont leur main impie alimente votre déplorable voracité. En est-il un de ces gens qui vous prêchent le respect à la Convention? En est il un qui ne s’arme d’un nom pour en écraser un autre? Et moi je vous dis, si vous ne respectez pas vos législateurs, vous êtes au-dessous de la liberté, parce qu’ils vivent par la liberté, comme la liberté vit par eux. Quelque soit l’événement lundi, respect à la loi. La loi vient vers vous (…) Respect à la loi lundi, et l’univers n’a plus de chaînes87.
Questa «guerre d’opinion», come avrebbe riassunto il Patriote français riportando nelle sue pagine l’estratto dell’articolo della Sentinelle88, faceva di fatto il gioco dei realisti, secondo il deputato girondino, faceva scomparire il solo punto fondamentale del processo nel quale la Convenzione si era trovata unita, la colpevolezza di Luigi XVI. Al di là di tutto, Louvet predicava in opposizione ai dissensi e al discredito, l’unità e il rispetto della Convenzione. Bulletin des amis de la vérité, publié par les directeurs de l’imprimerie du Cercle Sociale, n° 13, Samedi 12 Janvier 1793, pp. 2-3. 88 Le patriote français, n° 1251, Du Lundi 15 Janvier 1793, p. 56. 87
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La discussione si chiuse il 7 gennaio e si stabilì per il 14 seguente il giorno in cui si sarebbe cominciata la votazione per appello nominale. I giornali quotidiani riportarono l’esito dei verdetti nei giorni immediatamente successivi il loro svolgimento, sebbene per limiti di spazio e di tempo, con l’eccezione del Moniteur, fu impossibile riportare i singoli voti di ogni deputato89. La Feuille villageoise incline a diffondere sempre un’immagine positiva della Convenzione nel suo complesso, descriveva così il momento solenne in cui i deputati di tutti i dipartimenti sfilavano in silenzio per esprimere davanti all’intera assemblea il proprio giudizio: «Rien de plus imposant que la forme de cet appel nominal. Chaque département étoit appelé à son tour. Ses membres descendoient alors de leurs places, se réunissoient au milieu de la salle, et marchoient silencieusement vers la tribune. Chacun y montoit lorsque son nom étoit prononcé par le sécretaire, et proféroit son avis en face de l’assemblée, de ses comettans, de l’Europe, de la postérité»90. Probabilmente per evitare le denunce di errori immancabili nelle trascrizioni dei voti, il Patriote français si distinse rispetto agli altri quotidiani per la singolarità con cui trasmise i risultati delle votazioni. Il giornale girondi-
A titolo d’esempio, le Annales patriotiques et littéraires, si limitarono a dare i risutati definitivi, senza riportare la lista dei singoli voti, e a citare alcune tra le preferenze espresse nella massa di opinioni degli oltre settecento deputati. Per il terzo appello, Carra si servì del suo giornale per poter rendere pubblica in tutta la sua estensione l’opinione che accompagnava la condanna alla pena di morte (Cfr. n° XVIII, Du Vendredi 18 Janvier 1793, p. 82). Tanto le Annales patriotiques et littéraires (n° 19, Du Samedi 19 Janvier 1793, p. 85) quanto la Suite du journal de Perlet (n° 119, Vendredi 18 Janvier 1793, p. 390) che pure non riportava i voti dei singoli deputati, riferivano un analogo computo di voti e che, dunque, la condanna a morte era stata votata da 366 deputati su 721 votanti. Audouin, nel suo giornale aveva voluto riportare per esteso tutti gli appelli con le motivazioni addotte dai singoli deputati: «Je dois à mes concitoyens de leur faire connoître les motifs qui ont porté les membres de la convention à opiner par oui ou par non dans deux appels si importans. Je commence aujourd’hui par l’appel nominal sur le renvoi du jugement à la ratification du peuple. S’il y avait quelques erreurs, je suis prêt à les rectifier. Ces appels sont un monument qui ne doit jamais périr, car c’est-là que la postérité trouvera le moyen de porter son jugement dans cette grande affaire». (Journal Universel, n° 1153, Du Samedi 19 Janvier 1793, p. 3802). Salvo poi nel numero successivo dover fare marcia indietro per l’enormità dello spazio che ‘tale monumento’ richiedeva: «Je préviens mes concitoyens qu’hier, en commençant à insérer les motifs de ceux qui ont voté pour ou contre l’appel au peuple, je n’ai pas considéré que cette mesure ferait que, dans un mois, je n’aurais pas fini. Je m’apperçois des obstacles que je rencontre; j’abandonne ce travail; je donnerai tout simplement les noms de ceux qui ont dit oui ou non dans la question de l’appel, et je donne aujourd’hui le vœu des membres de la convention sur la troisième question: Quelle peine infligera-t-on à Louis?» (Journal universel, n° 1154, Du Dimanche 20 Janvier 1793, p. 3811). 90 La Feuille villageoise, n° 17, Jeudi 24 Janvier 1793, p. 399. 89
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no riportò con immediatezza la lista dei risultati delle votazioni solamente in relazione alla seconda domanda a cui i deputati erano stati chiamati ad esprimersi, quella relativa al ricorso all’appello al popolo, dopo che della prima era stato succintamente riportato l’esito che aveva stabilito a maggioranza pressoché assoluta la colpevolezza di Luigi XVI. Lo stesso modo di procedere fu seguito per il terzo appello nominale che sarebbe stata pubblicato per esteso solamente il 23 gennaio. Nello stesso giorno, però, il giornale inseriva la lista completa dei votanti, seguiti da «oui ou non» in risposta alla domanda relativa alla sanzione del popolo. La ragione era indicata dallo stesso giornale: La nation entière doit connoître l’opinion de ses représentans dans cette grande question; elle saura apprécier les motifs divers des votans, et l’avenir pourra l’éclairer sur les intentions de quelques-uns d’entr’eux. Au reste le principal motif qui nous engage à publier cette liste, est de prouver, par sa lecture, que la décision de la convention nationale est le résultat de la majorité de ses membre, et ne lui a pas été dictée par une faction; car on trovera de deux côtés les noms les plus respectables91.
A leggere il Patriote français si poteva quasi stabilire che sì, il partito favorevole all’appello aveva perso, ma con onore… 4. Uniti per salvare la Repubblica. Più di qualsiasi altro momento, i giornali si distinsero come mezzo di comunicazione senza eguali, per la rapidità di diffusione, quando riportarono a tutta la repubblica la cronaca delle ultime ore di vita e dell’esecuzione di Luigi XVI. Alcuni riferirono della traslazione dal Tempio alla place de la Révolution dove lo attendeva la ghigliottina, altri si limitarono allo svolgimento dell’esecuzione. Nonostante il 20 gennaio l’assassinio di Le Peletier de Saint-Fargeau per mano del realista Pâris, avesse fatto temere rappresaglie e disordini, «le calme le plus imposant a régné dans la place et dans toute la ville. Louis a montré plus de fermeté sur l’échaffaud qu’il n’en avoit déployé sur le trône»92. La Convenzione, il 21 gennaio stesso, ricevette il rapporto compilato dalla Comune di Parigi sull’esecuzione del condannato, una breve relazione che non lasciava spazio ad alcun aneddoto particolare, dal momento che tutto si era svolto nel più perfetto ordine grazie all’organizzazione della sicurezza prevista per quel giorno. I giornali, al contrario, Le patriote français, n° 1255, Du Vendredi 18 Janvier 1793, p. 70. Lo stesso testo seguito dalla lista dei votanti con rispettiva votazione fu riportato anche dalle Annales patriotiques et littéraires, n° 20, Du Dimanche 20 Janvier 1793, pp. 92-94. 92 Le patriote français, n° 1259, Du Mardi 22 Janvier, l’An 2 de la République, p. 86. 91
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furono prodighi di dettagli, soprattutto laddove riportarono le ultime parole pronunciate dal condannato sul patibolo, parole che nel processo-verbale della Comune non erano state riferite: «Français, je meurs innocent! Je pardonne à tous mes ennemis et je souhaite que ma mort soit utile au peuple», riferì il Moniteur, ripreso in seguito dalla Feuille Villageoise; o, con varianti più colorite nelle Révolutions de Paris «Je meurs innocent, je pardonne à mes ennemis, et je désire que mon sang soit utile aux Français et qu’il appaise la colère de Dieu»; o nella Suite du Journal de Perlet «Français, je meurs innocent, c’est du haut de l’échafaud et prêt à paroître devant Dieu, que je vous dis cette vérité, je pardonne à mes ennemis; je désire que la France…»; o ancora il Républicain che riportava: «Il n’a proféré que ces paroles: Je pardonne à mes ennemis», omettendo la dichiarazione di innocenza e l’augurio che la propria morte potesse essere utile alla Francia93. L’interesse per le ultime parole del condannato si lega a una cospicua produzione di pamphlet pubblicati nel periodo immediatamente precedente all’esecuzione, che, come si vedrà, mettevano in scena le confessioni di Luigi XVI prima di salire sul patibolo. I giornali, riportando queste parole, vere o presunte che fossero, andavano incontro a questo bisogno, misto a curiosità, che si era manifestato presso il pubblico di vedere un pentimento, una confessione dei propri misfatti oppure anche una dichiarazione di innocenza da parte del re. Il testamento di Luigi XVI, reso noto il giorno stesso dalla Comune e pubblicato nei giorni seguenti dai giornali, fu letto come una prova a carico (postuma) della sua colpevolezza sulla quale, peraltro, la Convenzione aveva dimostrato unità di giudizio94. Le Moniteur Universelle, n° 23, Mercredi 23 Janvier 1793, t. 15, p. 242; La Feuille Villageoise, n° 17, Jeudi 24 Janvier 1793, p. 407; Révolutions de Paris, dédiées à la nation, n° 185, Du 19 au 26 janvier 1793, p. 202; Suite du Journal de Perlet, n° 123, mardi 23 Janvier, p. 422; Le Républicain. Journal des hommes libres de tous les pays, n° 82, Mardi 22 Janvier 1793, p. 346. Il Journal universel non riporta le parole di Luigi, n° 1156, du mardi 22 janvier 1793 mentre il Journal du soir di Feuillant riporta il rapporto della Comune, n° 124, du mardi soir 22 janvier, pp. 2-3. Cfr. C. Cave – D. Reynaud – D. Willemart – H. Duranton, 1793. L’ Esprit des Journaux, Saint-Étienne, Publications de l’Université de Saint-Étienne, 1993, pp. 20-23, saggio sulla stampa del 1793 nel quale vengono riportati estratti di alcuni giornali dell’epoca relativamente all’esecuzione di Luigi XVI. 94 Così il Patriote français, n° 1262, Du Vendredi 25 Janvier 1793, p. 99, prima del testo del Testament de Louis Capet riportato integralmente: «N.B. Cette pièce est authentique; elle a été remise à la commune, par ses commissaires au Temple. Le style entièrement contre-révolutionnaire de cette pièce, est un démenti formel que Louis a donné lui-même à toutes ses démarches prétendues constitutionnelles. Si ses partisans appellent son jugement au tribunal de l’Europe ou à celui de la postérité, nous demandons que ce testament soit la première pièce de la procédure». 93
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Le ultime frasi riferite, con le varianti del caso, ne erano una dimostrazione. Potevano, tuttavia, rappresentare altresì un’eredità pesante sulla quale riflettere o dalla quale trarre forza per continuare un’azione controrivoluzionaria, l’inizio, come fu osservato da alcuni giornali, della mitopoiesi del re martire (peraltro iconograficamente già avviata prima della morte). Era a partire dalle parole di Luigi XVI che nel Patriote français si sviluppava una riflessione sul processo conclusosi con l’esecuzione e sulle conseguenze che quest’ultima avrebbero potuto avere. Nel numero del 22 gennaio, il giornale di Brissot, riferiva come Luigi avesse mostrato più fermezza sul patibolo di quanta non ne avesse mai dispiegata sul trono: «Il a dit quelques mots; il a parlé de son innocence, du pardon qu’il accorde à ses ennemis, des malheurs qui suivroient sa mort». L’ultima frase relativa le disgrazie che avrebbero seguito morte di Luigi XVI non sembra trovare riscontro negli altri giornali. Vera o presunta che fosse, offriva lo spunto per una riflessione dai toni drammatici sulle conseguenze possibili che avrebbero potuto seguire all’esecuzione della condanna a morte. Louis a parlé des malheurs qui suivroient sa mort – O mes concitoyens! faites que cette fatale prédiction ne soit pas plus vraie que ce qu’il a dit de son innocence. Réunissez-vous pour sauver la république. Quelle qu’ait été votre opinion sur cette grande affaire, vous ne pouvez plus en avoir qu’une sur son résultat. Les représentans du peuple ont prononcé la mort de Louis, faites respecter cette décision; partagez avec eux la responsabilité qu’ils sont appelée toute entière sur leur tête. Vous, qui avez vu les plus grands dangers attachés au supplice du tyran, et vous, qui n’y en avez aperçu aucun, faites tous vos efforts, les uns pour prévenir les maux que vous avez prévus, les autres, pour qu’ils n’arrivent pas contre votre attente95.
Più che un augurio, il commento del Patriote français sembrava una profezia. Le differenti opinioni dibattute in precedenza ora non contavano più di fronte al fatto compiuto. Occorreva rispettare la decisione finale della Convenzione e condividerne la responsabilità e le conseguenze. I timori esplicitati in questo articolo riflettevano quelli del gruppo girondino espressi nel corso del processo, soprattutto a partire dalla fine di dicembre quando, attraverso la proposta del ricorso dell’appello al popolo, la Gironda aveva cercato di scongiurare la condanna a morte del re, e forse, come da Michelet in avanti è stato suggerito dalla storiografia, la sua stessa fine. L’altro giornale di area girondina, le Annales patriotiques et littéraires, espresse al contrario un’opinione ben diversa, in parte in linea con quella di Jean-Louis Carra che al momento degli appelli nominali aveva votato contro
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Le patriote français, n° 1259, Du Mardi 22 Janvier, l’An 2 de la République, p. 86.
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l’appello al popolo, per la morte di Luigi XVI e contro il sursis (la sospensione condizionale dell’esecuzione della pena). Nel numero del 21 gennaio, nella cronaca di Parigi (a firma di S.) si leggeva il seguente commento a proposito dell’esecuzione del re: La mort de Louis, redoutée par les uns, vivement désirée par les autres, indifférente à plusieurs, va consacrer aujourd’hui le grand principe de l’égalité politique. (…) Il falloit que le jour de l’oppression arrivât pour nous, ou pour lui celui de la justice: le ciel et notre courage ont fait triompher la cause du peuple, tant de fois sacrifiée à celle de la tyrannie. Sans doute aux yeux de la philosophie et de l’humanité la conversion d’un tyran seroit préférable à sa mort. Louis a eu le temps de revenir de ses erreurs, d’abjurer sa perversité, de reconnoître la volonté du peuple si souvent et si énergiquement manifestée; mais il a cru vaincre cet ascendant irrésistible par la perfidie, la trahison, la force oppressive. Il a été frappé de cet esprit de vertige qui présage la chute des rois, et peut-être sa mort est elle encore un bienfait: peut-être avons-nous à lui reprocher de nous avoir forcés à cet acte de sévérité; mais c’est un engagement pour nous d’exterminer quiconque oseroit prétendre à lui succéder. Oui, la mort de Louis seroit un crime, un opprobre national, s’il avoit un successeur: elle est un acte de justice, elle deviendroit un forfait. Il ne nous est plus permis de balancer, nous n’avons plus le choix d’un mode d’existence politique; il faut que nous soyons républicains, ou que nous devenions le mépris des nation96.
Il lungo articolo (una trentina di pagine) contenuto nel numero settimanale dal 19 al 26 gennaio 1793 delle Révolutions de Paris, conteneva una descrizione dettagliata dell’esecuzione, un paragone critico con la condanna a morte di Carlo I d’Inghilterra, il commento al testamento redatto da Luigi XVI il 25 dicembre precedente. L’autore non esitava a esprimere con toni inequivocabili il senso di giustizia che soggiaceva all’esecuzione del re e come il processo costituisse un elemento di coesione nazionale: Depuis plus de treize siècles la première nation de l’Europe en étoit la plus servile; elle portoit patiemment le joug de trois dynastie successives de despotes. Aucun peuple du monde n’avoit à produire dans les fastes une aussi longue liste de tyrans; & loin d’en rougir, elle étaloit avec orgueil & complaisance les noms de ses soixante-cinq rois, tous impunis. Nous devions à la terre, dont nous avions pour ainsi dire consacré l’esclavage par notre exemple, nous devions une grande leçon dans la personne du soixante-sixième de ces rois, plus criminel que tous ses prédécesseurs ensemble! Le sang de Louis Capet, versé par le glaive de la loi le 21 janvier 1793, nous lave d’une flétrissure de treize cents années. Ce n’est que depuis lundi que
Annales patriotiques et littéraires, n° XXI, du Lundi 21 janvier 1793, l’an 2 de la République françoise, p. 97. 96
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nous sommes républicains, & que nous avons acquis le droit de nous citer pour modèles aux nations voisines. (…) Il est une chose remarquable, c’est que tout ce qu’il y a en France de gens sensés & de bonne foi, ont jugé Louis punissable. Tout le monde, & même ses amis de la convention, l’ont déclaré coupable; tout le monde a cru qu’il méritoit une peine; on n’a été divisé que sur la nature de cette peine, & un plus grand nombre même eût voté pour la mort, s’il n’eût redouté les suites de cette catastrophe. Au reste, cet accord général de tous les Français sur la scélératesse de leur ci-devant roi est une raison de plus pour que les prêtres le béatifient97.
Anche la Feuille Villageoise riportava la notizia dell’esecuzione senza indulgere all’entusiasmo né al dramma: Cet événement si extraordinaire en lui-même, amené depuis long-tems par le fil des autres événemens de la révolution, n’a paru en quelque sorte que le complément, et comme la catastrophe prévue de ce grand drame. Puisse maintenant la réunion de toutes les volontés, l’énergie de toutes les ames sauver la chose publique, dont le salut fut si cruellement et si long-tems compromis par les mains perfides auxquelles il avoit été confié!98.
Il Père Duchesne, arrabbiato come sempre, non voleva chiudere la questione semplicemente perché l’esecuzione aveva messo fine alla vita di Luigi XVI. Occorreva parlarne ancora, bisognava continuare a ricordare agli uomini l’orrore che si doveva nutrire per i re. A tal fine, per celebrare l’esecuzione, componeva un’orazione funebre che ripercorreva i crimini del giustiziato: Capet est enfin mort, foutre. Je ne dirai pas comme certains badauds, n’en parlons plus. Parlons-en au contraire, pour nous rappeler tous ces crimes et inspirer à tous les hommes l’horreur qu’ils doivent avoir pour les rois. Voilà, foutre, ce qui m’engage à entreprendre son oraison funèbre, non pour faire son éloge ou adoucir ses défauts, mais pour le peindre tel qu’il fût et apprendre à l’univers, si un tel monstre ne méritoit pas d’être étouffé dès son berceau99.
La Suite du journal de Perlet, in riferimento al giorno dell’esecuzione si limitò a fornire un’asciutta e succinta descrizione dello svolgimento dell’esecuzione, priva di commento. Tuttavia, nel numero del 25 gennaio, è possibile cogliere un’opinione al riguardo nella rubrica dedicata alle cronache
Révolutions de Paris, dédiées à la nation, n° 185, Du 19 au 26 janvier 1793, pp. 193-195, 216. La Feuille Villageoise, n° 17, Jeudi 24 Janvier 1793, pp. 407-408. 99 Le Père Duchesne, n° 212, Oraison funèbre de Louis Capet, dernier roi des Français, prononcée par le Père Duchesne En présence des braves Sans-Culottes de tous les départemens. Sa grande colère contre les calotins qui veulent canoniser ce nouveau Desrues, et vendent ses dépouilles aux badauds pour en faire des réliques, pp. 1-2. 97
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da Parigi, laddove commentava le esequie celebrate in onore di Le Peletier de Saint-Fargeau. Nell’introdurre l’evento, l’autore dell’articolo esprimeva di fatto il proprio punto di vista riguardo all’esecuzione del re, sostenendo che molti, anche repubblicani, malgrado tre anni di rivoluzione, vedevano ancora nel re uno degli elementi dello spirito pubblico francese. Non quel royalisme machinal di cui aveva parlato mesi prima la Feuille villageoise, ma un realismo di una natura ben più solida e meno meccanica da venire meno con il passare del tempo: Si le grand événement de lundi dernier avoit pu laisser dans quelques esprits et dans quelques cœurs des impressions désavantageuses et des traces de regrets, si le grand coup que la politique a cru devoir frapper, avoit pu ébranler quelques ames même républicaines, en heurtant un de ces préjugés, qui, malgré trois années d’une révolution dont le but est de les détruire tous, subsistoit peut-être encore parce qu’il tenoit plus aux cœur qu’à l’imagination, et qu’il a été long-temps, en France, un des élémens de l’esprit public, et comme un des ponts de la morale et de la religion du peuple français; le meurtre d’un des représentants de la nation immolé, parce qu’il avoit voté la mort de Louis, la pompe funèbre et les honneurs du Panthéon que la convention nationale lui a décernés, ont dû puissamment agir en sens contraire, et mettre le contrepoids dans la balance des affections populaires et de la sensibilité publique100.
Ai timori per l’avvenire, agli auguri di una unione da raggiungere per il bene della Repubblica, il giornale monarchico la Feuille du Matin oppose una propaganda sempre meno velata nei confronti del re-martire. Dopo un mese di interruzione forzata, a fine gennaio fu nuovamente consentito al giornale di uscire e nelle sue pagine apparvero con regolarità articoli sempre più esplicitamente realisti che avrebbe costato al suo redattore Germain Pariseau la vita, nel luglio del 1794. Al di là dei racconti della mattina del 21 gennaio, che potevano avere una funzione strumentale, come nel corso di tutto quanto il processo e della prigionia al Tempio, ben al di là dunque della mera aneddotica, nei giorni immediatamente successivi, molti giornali cercarono di dare un senso all’avvenimento ‘processo di Luigi XVI’, di collocarlo, di inscriverlo in uno spazio temporale proiettato nel futuro. Vi era un sollievo misto a speranza e timore nei commenti di quello che infine poteva essere archiviato come uno degli eventi della Rivoluzione. Il processo era stato il mezzo e la causa, in qualche modo, attraverso cui si erano evidenziate le spaccature interne all’assemblea rappresentative. Tuttavia, occorreva, per il bene della Repubblica, cercare di rinsaldare queste fratture e,
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Suite du Journal de Perlet, n° 126 du vendredi 25 janvier 1793, p. 444.
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malgrado le differenti opinioni che erano state espresse, in fondo il processo aveva avuto anche un punto di accordo generale, la colpevolezza di Luigi XVI, come avevano sottolineato le Révolutions de Paris (e prima ancora la Sentinelle di Louvet). Era da questa consapevolezza che occorreva partire per creare un’unità e per dare dunque stabilità al paese. Alcune parole-chiave ricorrevano nei commenti della stampa quotidiana o settimanale di diverso orientamento: l’invito generale a rimanere uniti per salvare la repubblica, «Réunissez-vous pour sauver la république» (Patriote français); «Puisse maintenant la réunion de toutes les volontés, l’énergie de toutes les ames sauver la chose publique» (Feuille villageoise), ma anche l’idea della giustizia fondante la Repubblica, «Ce n’est que depuis lundi que nous sommes républicains (Révolutions de Paris)»; «il faut que nous soyons républicains» (Annales patriotiques et littéraires). «C’est acte éclatante de justice», lo definì le Révolutions de Paris. Infine si poteva riconoscere che la Repubblica era stata proclamata attraverso un atto di giustizia, affermando il proprio diritto di esercitare una giurisdizione sovrana. Come avrebbe scritto Michelet nelle pagine dedicate al processo di Luigi XVI, «la question capitale, c’était qu’il fût jugé, que le faux roi rendît compte au vrai roi, qui est le Peuple; que celui-ci ressaissant la souveraineté, l’établît par ce qui en est le caractère éminant la juridiction. Qu’est-ce que la juridiction? La lieutenance de Dieu sur la terre, et c’est là qu’on connaît les roi»101. Affermazione che peraltro le Révolutions de Paris avevano chiaramente sostenuto sin dall’inizio. La morte del re, dopo mesi di processo e di discussione, si prestò a riflessioni in cui inevitabilmente lo sguardo era rivolto al futuro. A cose fatte, gli auspici per un avvenire repubblicano solido e sugellato da una costituzione si sostituivano al pour e al contre della legittimità del processo. D’altra parte, questa era stata la questione dibattuta, che i giornali avevano messo in evidenza nel corso dei mesi. Il pro e il contro non riguardava l’innocenza o la colpevolezza di Luigi XVI, su cui c’era sempre stata omogeneità di vedute, attestata peraltro dai risultati degli appelli nominali della prima domanda. La questione fin dall’inizio era la posta in gioco che giudicarlo e condannarlo comportava. Questo appello all’unione, dettato da timore e speranza, non era tuttavia univoco neppure all’interno dei ‘vincitori’. Il futuro, che per certuni si prospettava ora sereno, per altri tinto di minacce incombenti, rimaneva comunque incerto. Si sperava che la conclusione del processo, e questo si leggeva nei giornali, fosse l’inizio di una nuova era solidamente repubblicana, vincitrice sui nemici e sui dissensi interni. Ma come? In nome davvero
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Michelet, Le procès de Louis XVI, p. 136.
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dell’unità nazionale? A leggere il foglio di Marat non si aveva l’impressione che si parlasse della stessa unità, che si volesse trasmettere l’idea di una concordia ritrovata dopo un lungo dissenso. Le supplice de Louis XVI est un de ces événemens mémorables qui font époque dans l’histoire des nations; il aura une influence prodigieuse sur le sort des despotes de l’Europe, et sur celui des peuples qui n’ont pas encore rompu leurs fers. (…) Le supplice de Louis XVI, loin de troubler la paix de l’état, ne servira qu’à l’affermir, non-seulement en contenant par la terreur les ennemis du dedans, mais les ennemis du dehors. Il donnera aussi à la nation une énergie et une force nouvelle pour repousser les hordes féroces des satellites étrangers qui oseront porter les armes contr’elle; car il n’y a plus moyen de reculer, et telle est la position où nous nous trouvons aujourd’hui, qu’il faut vaincre ou périr. (…) Pour vaincre les légions inombrables de nos ennemis, le premier point est d’être unis entre nous. L’union eût infaillablement succédé dans le sénat national, aux dissention qui l’agite encore, s’il eût été purgé des complices du tyran, des intrigans même qui ont cherché tant de fois à raffermir son trône aux dépends de la liberté publique. Mais il avoit été fanatisé; et, bien persuadé que dénoncer ceux qui ont coopéré à ses attentas, ne l’auroit pas sauvé lui-même, il a gardé le silence, et il a voulu paroître mourir en martyr102.
Anche nelle parole di Marat vi era uno sguardo proiettato nel futuro. L’esecuzione di Luigi XVI avrebbe consolidato la pace dello Stato, contenendo con il terrore i nemici interni ed esterni. Ma l’opinione dell’Ami du Peuple non parlava della stessa concordia tra i cittadini a cui avevano accennato gli altri giornali, non auspicava una sorta di «amnistia» nei confronti di coloro che avevano espresso un giudizio differente rispetto a quello che era prevalso. L’unione avrebbe trionfato da tempo, affermava Marat, se la Convenzione fosse stata purgata dei complici del tiranno… Nel corso di tutto quanto il processo, i giornali non fornirono solamente il racconto-resoconto della discussione e del processo intentato dalla Convenzione a Luigi XVI. Essi rappresentarono uno dei diversi luoghi di discussione e di costruzione di un discorso attorno alla questione dibattuta nella Convenzione. Rispetto all’inizio della Rivoluzione, molti giornalisti «combattenti» erano diventati uomini politici, senza per questo abbandonare la professione della scrittura. In molti casi, vista la prossimità dei fogli ai membri o partiti dell’assemblea rappresentativa, la carta stampata fu pertanto un mezzo attraverso cui le opinioni espresse alla tribuna politica trovarono modo di essere amplificate e intese davanti a un pubblico più vasto. Con la Convenzione, si esasperava la 102
Journal de la République française, Du Mercredi 23 Janvier 1793, n° 105, pp. 3-4.
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funzione del giornalista «guide, magistrat et maître de vérité et de justice» di cui parla Gilles Feyel per i primi anni della Rivoluzione103, e i giornali furono di fatto parte integrante di una rete estesa nella quale l’opinione si fabbricava, alimentava quando non autoalimentava. A loro spettò il compito di raccontare pressoché in contemporanea gli avvenimenti, lo svolgimento e l’evoluzione della discussione. Perché di fatto il processo fu, attraverso i giornali, soprattutto il racconto di uno scontro di opinioni e non semplicemente il commento di opinioni a confronto, in un clima di libertà di espressione che non avrebbe tardato a impensierire la Convenzione. I giornali rimanevano comunque una tribuna di amplificazione, un mezzo di trasmissione comunicativa senza eguali. Era attraverso di essi che pamphlet o raccolte riguardanti il processo potevano avere pubblicità, richiamo presso i lettori interessati a documentarsi e informarsi sulla discussione in senso largo. Anche in questo caso, tuttavia, la pubblicità non era casuale ma afferiva ad interessi di parte, non disgiunti da quelli economici dell’editore, ribadendo l’impressione di una rete di comunicazione stretta in cui i differenti attori erano costantemente in relazione l’uno con l’altro.
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Feyel, Le journalisme au temps de la Révolution.
III LA PAROLA AI CITTADINI: PAMPHLET E LIBELLI
1. Dinamiche di discussione pubblica. Tra la fine di novembre e l’inizio dicembre 1792, il deputato Dulaure, del dipartimento del Puy-de-Dôme, era uno dei numerosi membri della Convenzione che non aveva potuto esprimere a voce la propria opinione davanti all’assemblea per rispondere alle domande sollevate dal rapporto del Comité de Législation. Pertanto, al pari di altri, aveva affidato alla stampa il proprio parere per dimostrare che Luigi XVI fosse pienamente giudicabile dalla Convenzione nazionale e che la pena da comminargli non potesse essere che la morte. L’esistenza di Luigi XVI era nociva alla nazione, sosteneva Dulaure, perché nutriva le speranze dei suoi numerosi sostenitori, provocava disordini e alimentava una sfiducia crescente che minacciava la Francia. In aggiunta, «des pamphlets injurieux dont le but est d’avilir, de dissoudre la Convention nationale qui va juger le ci-devant roi et d’exciter la partie peu instruite et méfiante du peuple contre les représentants de la nation, sont répandus avec profusion jusqu’aux portes mêmes du lieu des séances du Corps conventionnel»1. Il 2 dicembre, il deputato Manuel sollevava esplicitamente la questione dei pamphlet ingiuriosi nei confronti della Convenzione, alcuni dei quali recavano titoli offensivi che venivano urlati e venduti sin davanti alle porte dell’assemblea. Egli chiedeva che i commissari di sala vegliassero al mantenimento della decenza attorno alla Convenzione e che fosse messa fine alle insolenze che quotidianamente i suoi membri dovevano subire. Non si trattava minimamente di attentare alla libertà di stampa, sosteneva il deputato di Parigi: «je ne m’oppose pas à ce que ces pamphlets s’impriment, mais je ne veux pas qu’ils se vendent sous nos yeux. Quant à moi, je ne souffrirais pas qu’on m’insultât individuellement»2. La
Archives parlementaires, t. LIV, p. 188. Per il titolo completo si veda ad vocem l’Appendice bibliografica. 2 Ibidem, p. 27. 1
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denuncia di Manuel provocò una discussione sull’opportunità o meno di dare importanza agli scritti calunniatori. La posta in gioco non era solamente il rispetto dell’assemblea rappresentativa e delle leggi che da essa venivano emanate, ma anche quella, sollevata dallo stesso Manuel, della libertà di stampa e di opinione. Il dibattito in aula verteva principalmente sugli scritti virulenti indirizzati contro l’operato della Convenzione nella questione del processo di Luigi XVI, scritti che con audacia venivano messi in vendita anche nei pressi della Salle du Manège delle Tuileries. Uno dei libelli presi di mira, messo a verbale nella seduta di quella giornata portava un titolo tanto eloquente quanto oltraggioso: Vous foutez-vous de nous? Adresse des braves Sans-Culottes à la Convention nationale. Lo scritto si rivolgeva ai deputati della Convenzione per rinfacciare la lentezza, l’inazione e la perdita di tempo del loro operato anche nella questione riguardante il giudizio di Luigi XVI3. Tuttavia, secondo l’anonimo autore di un altro pamphlet, intitolato Opinion d’un sans-culottes sur toutes les opinions imprimées à l’occasion du Jugement du ci-devant Roi, lo scritto incriminato proveniva dai torchi di Marat. Non solo. La stessa Opinion d’un sans-culottes denunciava come tanti degli scritti infamanti rivolti all’assemblea rappresentativa si dovevano, di fatto, alla penna degli stessi deputati. «Ces hommes qui outragent ainsi les loix et l’humanité», poiché pur sostenendo l’applicazione ugualitaria della legge per qualsiasi cittadino, facevano eccezione nei confronti del sovrano decaduto, «ne seroient-ils pas aussi ceux qui chaque jour outragent la Convention, qui vivent le matin de leurs séances, et le soir de leurs libelles contre ces séances; qui font imprimer chez eux les pamphlets les plus grossiers, les plus indécens contre l’assemblée, qui les font distribuer à sa porte avec des menaces contre ceux qui refusent de les acheter; qui, afin de gagner quelques écus dont ils ont besoin, toujours nouveaux dans leurs déréglemens, et extraordinairement outrés dans leur rapsodies, couvrent chaque jour des ordures que produisent leurs plumes, nombre de papiers sous tous le titres qu’ils imaginent?»4. A distanza di circa un mese, nel corso della discussione successiva alla difesa di De Sèze, il 28 dicembre Robespierre nel suo lungo intervento volto a perorare la causa della condanna a morte dell’imputato contro il ricorso
Vous foutez-vous de nous. Adresse des braves sans-culottes, à la convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie des Sans-Culottes, [1792]. Alla fine del pamphlet si trova l’indicazione «Paris, ce 28 novembre, 1792, L’an premier de la république française»; Archives parlementaires, t. LIV, pp. 49-50. 4 Opinion d’un sans-culottes sur toutes les opinions Imprimées à l’occasion du Jugement du ci-devant Roi, [Paris], De l’imprimerie du Gueffier, s.d., pp. 3-4. 3
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dell’appello al popolo proposto all’indomani della difesa dalle file della Gironda, denunciava allo stesso modo il proliferare di pamphlet e libelli antirepubblicani che inondavano la Francia in favore di Luigi XVI: «L’opinion publique est travaillée par les libelles dont une faction dominante inonde la France entière, qui ne disent jamais un mot de République, qui n’éclairent jamais les esprits sur le procès de Louis le dernier, qui ne propagent que les opinions favorable à sa cause, qui calomnient tout ceux qui poursuivent sa condamnation avec le plus de zèle»5. Ancora, nel gennaio successivo, nel corso delle sedute dedicate alle votazioni per appello nominale, il deputato Delacroix denunciava l’intensa ma vana opera di propaganda realista che veniva compiuta nelle file dell’esercito, inondato di «pamphlets qui lui sont adressés de Maestricht, dans lesquels, au nom des émigrés, on cherche à l’apitoyer sur le sort du ci-devant roi»6. In diverse occasioni, nel corso del processo a Luigi XVI i deputati della Convenzione denunciarono il proliferare di scritti di varia natura, pamphlets e libelles, che circolavano in gran numero nello spazio pubblico allo scopo di influenzare l’opinione pubblica e quella degli stessi deputati a favore di Luigi XVI, molto spesso a detrimento dell’operato della Convenzione. Da novembre a gennaio e ben oltre ancora il giorno dell’esecuzione, lo spazio pubblico fu «inondato» da un’ingente massa di scritti spesso anonimi, in alcuni casi firmati da ex ministri o personaggi noti, in altri casi da sconosciuti, che espressero attraverso la stampa un’opinione particolare sul processo in corrispondenza delle diverse fasi del suo svolgimento. Per la maggior parte, tra i pamphlet recensiti, si trattava di pareri favorevoli alla causa del re messo sotto accusa, ma non mancavano anche quelli sostenitori dell’operato della Convenzione o più genericamente della messa a giudizio di Luigi XVI. Vi era comunque una corrispondenza nello spazio pubblico tra le opinioni dei deputati e quelle dei privati cittadini, vi era di fatto un dialogo instaurato attraverso la stampa, un’influenza reciproca, che estendeva lo spazio di discussione oltre le mura della salle du Manège.
Archives parlementaires, t. LVI, p. 20. Archives parlementaires, t. LVII, p. 333, Séance du 16-17 janvier 1793. Uno scritto posteriore all’esecuzione denunciava cospirazioni e propaganda realiste tra le file dell’esercito. Eblios [René François Leblois], Lettres de conspiration Envoyées à toutes les armées de la République, et Grand complot découvert, Des conspirateurs d’Artois, Condé, Provence et autres, sur la mort de Louis XVI, contre Louis-Philippe Egalité, et contre tous les bons députés de la Convention, avec le projet de mettre le ci-devant duc d’Orléans dans les fers, et d’assassiner tous les montagnards qui ont votés pour la mort de Louis XVI, d’ici au premier mai prochain, [Paris], De l’Imprimerie de Siobel, [1793]. 5 6
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All’atteggiamento ostile di alcuni membri della Convenzione, si contrapponeva la convinzione che ‘dall’esterno’ fosse possibile partecipare alla discussione in corso in seno all’assemblea rappresentativa. È quanto si evince da uno scritto attribuito a Jean-Barthélémy Le Couteulx de Canteleu, banchiere di Rouen che nell’89 era stato eletto deputato del Terzo Stato per quella città, intitolato Le cri de la conscience, ou Réflexions d’un françois, ami de la justice, Adressées à la Convention nationale et à ses Concitoyens sur le Procès de Louis XVI7 e redatto prima che la Convenzione assumesse il ruolo di giudice e accusatore, dunque presumibilmente nel mese di novembre. L’autore intendeva perorare la causa dell’applicazione di una giustizia conforme alle forme vigenti nel processo intentato a Luigi XVI e auspicava che la Convenzione non rivestisse il ruolo di giudice ma si limitasse a quello di pubblica accusa. La giuria si sarebbe dovuta comporre di magistrati eletti dalla nazione attraverso la convocazione di assemblee primarie. Secondo le regole previste dalla procedura penale, i giudici avrebbero dovuto in primis stabilire se vi fosse luogo a procedere. Le Couteulx non intendeva affrontare la questione giuridica dell’inviolabilità del capo dell’esecutivo previsto dalla Costituzione del 1791, altri l’avevano prima di lui già elucidata: Nombre de Citoyens éclairés, accoutumés à manier la plume, et beaucoup plus en état que moi d’éclaircir la question, de savoir si Louis XVI, comme Roi, est inviolable ou non, et si, en supposant qu’il ne le soit pas, son supplice est en aucune manière nécessaire à la sûreté de l’Empire, ont déjà manifesté des opinions qui, sans doute, ne pourront pas manquer d’arrêter au moins, la précipitation incroyable avec laquelle la Convention Nationale se permettoit de préjuger ce grand procès8.
Secondo l’autore del Cri de la Conscience, gli scritti che altri cittadini prima di lui avevano pubblicato sul processo potevano sensibilizzare l’opinione dei rappresentanti della nazione, se non altro, diceva, per rallentare il corso di una causa così importante. Furono in molti a credere durante il processo che lo spazio di discussione fosse aperto, che ci fosse una possibilità di dialogo con i propri rappresentanti, che esistesse una tribuna più vasta a cui parlare per essere ascoltati da tutta la nazione. L’idea che prendere pubblicamente la parola potesse avere un effetto non solamente sull’opinione pubblica, ma anche S.l., s.d. L’attribuzione a Le Couteulx proviene dal Catalogo della Bibliothèque Nationale de France. Le Couteulx avrebbe nuovamente preso parte alla vita politica attiva nel 1795 come deputato del dipartimento della Senna nel Consiglio degli Anziani. Cfr. P. Viola, Il trono vuoto. La transizione della sovranità nella rivoluzione francese, Torino, Einaudi, 1989, pp. 159-160. 8 Le cri de la conscience, pp. 4-5. 7
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sui membri dell’assemblea rappresentativa, ai quali, peraltro, molti libelli si rivolgevano direttamente (come attestato spesso dalla scelta dei titoli: appels, adresses, lettres) era condivisa da molti. Tra questi vi era Louis-Marie Guillaume, già costituente e difensore pubblico (avoué) del Tribunale di Cassazione, autore di un Projet de défense pour Louis XVI che portava la data del 20 dicembre 1792. La precipitazione degli eventi, e il decreto del 6 dicembre che aveva stabilito che Luigi XVI sarebbe stato udito cinque giorni dopo, l’11 dicembre, e che il 14 la Convenzione si sarebbe pronunciata sulla sorte del re, avevano spinto Guillaume a non frapporre indugi per testimoniare a Luigi XVI che non sarebbe rimasto senza difensori. Il 9 dicembre aveva scritto alla Convenzione affinché l’assemblea esaminasse nuovamente la propria incompetenza legale e la questione dell’inviolabilità dell’accusato; egli aveva inoltre domandato che si seguissero le forme adottate dal codice penale e che si ricorresse alle assemblee primarie come unico tribunale superiore a quello della Convenzione9. Durante la seduta del 12 dicembre, Saint-Just, che ricopriva la carica di segretario, aveva dato lettura della lettera «du citoyen Guillaume, avoué, rue de Bussy, qui demande à la Convention, au moment où elle va juger Louis XVI, si elle a reçu une mission légale, et réclame ensuite qu’une copie collationnée de toutes les pièces lui soient remises. Ce citoyen», proseguiva il segretario, «voudrait, en outre, que le procès du ci-devant roi fût instruit devant un ou deux tribunaux et que le jugement fût rendu au scrutin secret»10. La Convenzione passò all’ordine del giorno ma Guillaume si prodigò di dare alle stampe il suo Projet de défense pour Louis XVI, nel quale, oltre a fornire una difesa dell’accusato, dava conto delle ragioni che lo avevano spinto a prendere pubblicamente la parola in favore di Luigi XVI. Egli rispondeva, di fatto, alle critiche di coloro che tacciavano di indiscrezione chi si era proposto come difensore del re senza attendere che lo stesso accusato ne designasse personalmente uno. Guillaume si diceva persuaso, al contrario, che quanto perorato nella sua lettera avesse prodotto gli effetti sperati in favore di colui per cui si era prodigato: Cette lettre a produit en partie l’effet que j’en attendois; l’assemblée nationale a donné à Louis la communication des pièces mentionnées dans l’acte d’accusation; l’ajournement à deux jours n’a pas eu lieu, et il a été permis à l’accusé de Louis-Marie Guillaume, Projet de défense pour Louis XVI par M. Guillaume, Ex Constituant, Avoué près du Tribunal de Cassation, Se trouve chez les Libraires du ci-devant Palais Royal, p. 60. 10 Archives parlementaires, t. LV, p. 18. Cfr. anche la Gazette nationale ou Moniteur universel, n° 349, Vendredi 14 Décembre 1792, p. 728. 9
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se choisir de défenseurs. Peut-être après avoir entendu les conseils de Louis, la convention nationale remettra-t-elle en question les autres objets que j’ai proposés à sa délibération11.
Guillaume testimoniava, dunque, della convinzione che animava chi prendeva la parola attraverso più canali, quello della lettera e quello della stampa, di essere parte attiva nella discussione che stava decidendo delle sorti di Luigi XVI. Nel periodo precedente alla caduta della monarchia, probabilmente subito dopo la fuga di Varennes, un anonimo libello realista lamentava il proliferare di scritti e di opinioni che chiunque si sentiva in diritto di pubblicare: Des pamphlets satyriques, hardis, calomnieux, et des motions incendiaires, ennuyeuses, insipides, voilà quelle est depuis dix-huit mois la partie, si non la plus brillante, du moins la plus considérable de la Littérature française. Chaque jour voit éclore et périr par millier de ces sortes d’ouvrages. Tout raisonneur se croit en droit de donner des avis au Roi, à ses Ministres, à la Nation sur les parties les plus abstraites, les plus difficiles de l’administration; et tout particulier s’érige en Orateur, harangue le Peuple, prononce de ridicules discours, et qui pis est les fait imprimer12.
Questa presa di parola attraverso la pubblicazione di brevi pamphlet osservata e deplorata dall’anonimo libello monarchico solamente un anno prima, si accentuò nel corso di tutto il processo. Lo spazio pubblico di discussione fu uno spazio aperto a «tout raisonneur» che volesse esprimere il proprio parere, che intendesse agire attraverso la parola scritta nella
Guillaume, Projet de défense, p. 61. La difesa di Guillaume si articolava in tre punti che intendevano gettare luce sulla messa a giudizio di Luigi XVI: l’incompetenza del tribunale, l’inviolabilità del re e l’innocenza dell’accusato. Il primo punto era sviluppato a partire dal principio, affermato nella Dichiarazione dei diritti dell’uomo e del cittadino, della separazione dei poteri. La Convenzione, che tale principio aveva mantenuto, cadeva in contraddizione laddove intendeva esercitare contemporaneamente il potere legislativo e quello giudiziario. Poiché nessun corpo elettorale gli aveva delegato tale potere e poiché non intendeva assoggettarsi alle forme previste dalla legge in materia criminale, ne risultava che non poteva essere giudice di Luigi XVI. Inoltre, non esisteva tribunale, affermava Guillaume, che potesse farsi carico di questo processo. Sull’inviolabilità, l’autore riprendeva le ragioni che avevano indotto i legislatori della costituzione a stabilire tale principio garantista del potere esecutivo e ribadiva i limiti e le condizioni previsti dal testo. Quanto all’innocenza di Luigi XVI, la parte più lunga della sua trattazione, egli riprendeva i punti principali dell’acte énonciatif e le risposte date da Luigi XVI nell’interrogatorio dell’11 dicembre. 12 Les cris du malheureux Louis XVI au peuple français, s.l., De l’Imprimerie Royaliste, s.d., pp. 1-2. Cfr. V. Milliot, Les cris de Paris, ou le peuple travesti. Les représentation des petits métiers parisiens (XVIe- XVIIIe siècles), Paris, Publications de la Sorbonne, 1995, p. 329. 11
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questione del giudizio del re: cittadini sconosciuti accanto a personaggi noti, gruppi sociali o comunità urbane, si espressero pubblicamente e liberamente attraverso la stampa per attestare la volontà di partecipare a quello scontro di opinioni che agitava la Convenzione e che, come già si è visto nei giornali, non si limitava ad essa. L’avvenimento ‘processo di Luigi XVI’ fu, dunque, anche l’espressione di una libertà di opinione di vasta ed eterogenea portata con la quale la Convenzione, tuttavia, dovette ben presto confrontarsi e ad un certo punto fare i conti. Terminato ‘l’avvenimento’ con l’esecuzione del re, e conclusosi lo scontro attorno alle sorti di Luigi XVI in seno all’assemblea, questa libertà di opinione avrebbe rappresentato per la Convenzione un problema politico a cui trovare una rapida quanto drastica soluzione. 2. Pamphlet e libelli in favore di Luigi XVI. Tra i primi a prendere la parola nello spazio di discussione pubblica in favore di Luigi XVI vi fu l’ex ministro delle finanze Jacques Necker che nel mese di novembre 1792 pubblicò delle Réflexions présentées à la nation française, sur le procès intenté à Louis XVI composte alla fine del mese precedente13. Lo scritto di Necker, di appena trenta pagine, intendeva fornire una testimonianza dell’innocenza di Luigi XVI rispetto alle accuse mossegli e un’attestazione del carattere e della benevolenza che egli aveva sempre dimostrato nelle vesti di sovrano. Scevro dei toni aggressivi o polemici che avrebbero caratterizzato molti libelli successivi, il valore dello scritto di Necker risiedeva nel prestigio e nell’attendibilità dell’autore. Le Réflexions di Necker ebbero una vasta eco e suscitarono una serie di reazioni contrastanti che si tradussero in molti casi in risposte pubbliche date alle stampe di lì a poco la loro apparizione. L’ex ministro del re, che si era ritirato nella natia Svizzera dopo l’ultimo incarico ricoperto nel 1790, aveva di proposito
Jacques Necker, Réflexions présentées à la nation française sur le procès intenté à Louis XVI, A Paris, Chez Volland, 1792. La data, 30 ottobre 1792, è indicata in nota all’inizio del libello, nella quale Necker pregava coloro che ne avevano la possibilità di diffondere in tutta la Francia le sue Refléxions. «Ils ne risqueront pas de se compromettre, car j’ai pris soin de n’offenser personne; et avec un sentiment profond, je crois avoir observé la modération que le désir de réuissir devoit me suggérer. Je ne touche d’ailleurs, ni directement ni indirectement à aucune opinion politique, et j’espère qu’à ces conditions, je ne déplairai ni à la Nation, ni à ses Représentans» (p. 3, nota 1). Si rimanda a proposito del pamphlet di Necker al capitolo II. Su Necker si vedano: L. Burnand, Necker et l’opinion publique, Paris, Honoré Champion Éditeur, 2004; Id., Les pamphlets contre Necker. Média et imaginaire politique au XVIIIe siècle, Paris, Éditions classiques Garnier, 2009. 13
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mantenuto dei toni moderati tali da non offendere nessuno, secondo le sue stesse parole. A Necker stava a cuore che quanto scritto in favore di Luigi XVI non fosse tacciato di spirito di parte, e che le virtù del sovrano che si prodigava di esaltare fossero ritenute vere sulla base di una diretta conoscenza della persona posta in stato d’arresto. D’altra parte, Necker si sentiva chiamato a testimoniare le virtù del monarca e a consegnare le sue riflessioni morali sulle accuse mosse al re per spezzare il silenzio che circondava, a suo svantaggio, l’imputato. En effet, on a cherché à diriger l’opinion par tous les genres d’Ecrits, on a fait imprimer en petites feuilles détachées, des Notes habilement choisies entre les différens papiers dont on s’est emparé, on y a joint les commentaires qui pouvoient donner une grande importance à de petits objets, ou convertir en réalités de simples apparences; on a répandu ces recueils dans tous les départemens, dans toutes les Municipalités; on a voulu même qu’ils fussent lus aux Prônes et sur les places publiques; et tandis qu’on s’est rendu maître de l’esprit du Peuple, et par des mesures générales, et par tous les soins de détail, on a semé l’effroi parmi tous ceux qui auroient voulu plaider la cause d’un Monarque infortuné; et leur morne silence annonce distinctement que la plus légère expression d’un sentiment de pitié, deviendroit un motif de proscription14.
Le reazioni a questa critica rivolta tanto alla pubblicità del processo data alla Convenzione, attraverso la stampa e la diffusione delle prove a carico, quanto al silenzio che circondava Luigi XVI di voci amiche, non tardarono a manifestarsi. Composta prima che la Convenzione stabilisse la giudicabilità di Luigi XVI, ma data alle stampe nei giorni immediatamente successivi al decreto del 3 dicembre, la Réponse aux réflexions de M. Necker, sur le procès intenté à Louis XVI15 doveva essere considerata come una discussione tra Necker e l’autore, Félix-Louis-Christophe de Montjoie16, indipendentemente da qualsiasi decreto della Convenzione. L’autore fin dal principio ingaggiava una polemica nei confronti dell’ex ministro che dalla situazione di agio e tranquillità nella quale viveva nel suo ritiro svizzero si era ben poco sbilanciato per difendere la causa del suo sovrano. La risposta alle Riflessioni di Necker voleva dunque essere prima di tutto un atto di coraggio di fronte al rischio al quale si esponeva chi volesse in Francia esprimere un’opinione contraria a quella «du parti Ibidem, p. 5. Felix-Louis-Christophe de Montjoie, Réponse aux réflexions de M. Necker, sur le procès intenté à Louis XVI, Genève, et se trouve à Paris Chez les Marchands de Nouveautés, 1792. 16 Montjoie aveva fondato nel 1790 il giornale L’ Ami du Roi che cessò di essere pubblicato dopo il 10 agosto. Su Montjoie si veda oltre, capitolo IV. 14 15
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dominateur». Anche la Réponse d’un sans culotte Aux Réflexions de Necker sur le Procès de Louis Capet firmata da L. Durocher, polemizzava con i toni scelti dall’ex ministro del re, ma l’opinione adottata era totalmente opposta a quella precedente: Cent fois coupable et cent fois pardonné, Louis seize a trop éprouvé la bienveillance et la générosité du peuple pour ne pas se rendre cette justice, qu’il doit avoir épuisé tous les sentimens d’humanité qu’un reste de pitié seule pourrait, depuis quatre ans, lui avoir conservé. Sa conscience est sans doute pour lui le bourreau le plus cruel; et que n’est-il possible de l’abandonner à ce tourment intérieur, mille fois pire que la mort; mais la lois la plus sacrée, le salut de vingt-quatre millions d’hommes exige qu’il soit jugé; et la gloire de la France attachée au jugement de la génération actuelle et des générations future veut qu’il soit puni17.
Nell’anonimo Sur le procès de Louis XVI, supplément aux Réflexion de M. Necker18, l’autore non intendeva, come aveva fatto l’ex ministro del re, enumerare le buone azioni di Luigi XVI verso la Francia, né tanto meno analizzare le carte ritrovate alle Tuileries. Lo scopo del breve pamphlet, di appena 16 pagine, era quello di affermare che nessuna pena potesse essere inflitta al re se non quella prevista dalla Costituzione, adottando una delle argomentazioni più ricorrenti nei pamphlet composti in favore di Luigi XVI. Le Riflessioni di Necker furono anche oggetto di reazioni pubbliche di dissenso decisamente più marcate di una risposta per iscritto. Le Annales patriotiques et littéraires del 21 novembre, nella sezione dedicata alle notizie della capitale, riferivano infatti che il giorno prima il «plaidoyer de Necker pour Louis a été brûlé au jardin de la Révolution». Il giornale di Carra e Mercier nello stesso numero aveva già espresso un commento sarcastico nei confronti dello scritto dell’ex ministro del re: «On craignoit que Louis XVI ne trouvât personne qui voulût défendre sa cause; mais quand on a une aussi grande quantité d’amis, on ne doit pas désespérer d’en trouver quelqu’un dans l’occasion: déjà le ministre adoré a payé un tribut provisoire de reconnoissance, il a lâché dans le public une modeste brochure apologétique en faveur du ci-devant roi»19. In termini ancor più sarcastici si erano espressi alcuni membri della Convenzione, nelle opinioni date alle stampe tra la fine
L. Durocher, Réponse d’un sans culotte Aux Réflexions de Necker sur le Procès de Louis Capet, s.l., s.d., p. 13. 18 De l’Imprimerie de Froullé, [Paris], s.d. 19 Annales patriotiques et littéraires de la France, et des affaires politiques de l’Europe, n° CCCXXVI, Mercredi 21 Novembre 1792, p. 1453. Di tutt’altro tenore era invece la recensione dell’opera di Necker nel giornale di orientamento monarchico La feuille du Matin ou le Bulletin de Paris del 25 novembre 1792, p. 15, come già si è visto nel capitolo precedente. 17
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di novembre e l’inizio di dicembre 1792, come Philippeaux e Desmoulins che tacciavano Necker di mero spirito servile20. Allo scritto di Necker e alle risposte e supplementi fecero seguito ancora nel mese di novembre e all’inizio di dicembre altri pamphlet rivolti a sensibilizzare l’opinione pubblica in favore di Luigi XVI. La natura e i destinatari di questi scritti era varia, così come le opinioni o lo sviluppo delle argomentazioni. Alcuni, dichiaratamente antirepubblicani, insistendo sull’illegalità del processo, di fatto mettevano sotto accusa la Convenzione; altri, pur dichiarandosi repubblicani, peroravano la causa della giustizia e dunque la salvezza dell’accusato poiché la punizione di Luigi XVI non sarebbe stata di utilità per il consolidamento della Repubblica21. Molto spesso era invocato il ricorso dell’appello al giudizio popolare. In alcuni casi era la Convenzione nazionale l’interlocutore prescelto. Così nella breve Opinion sur le procès de Louis XVI, adressée à la Convention nationale, l’autore anonimo sosteneva che non si dovesse istruire nessun processo dal momento che Luigi era stato già giudicato e punito con l’abolizione della monarchia. L’unico giudizio di cui la Convenzione doveva farsi carico era quello relativo alle sorti dell’accusato e valutare dunque se fosse più utile mandarlo in esilio oppure attribuirgli una pensione proporzionata alla carica precedentemente ricoperta. Alle Réflexions di Necker fece un lungo riferimento in termini decisamente critici l’Opinion de P. Philippeaux, député de la Sarthe, sur le jugement de LouisXVI, non pronunciata, riguardante la questione della giudicabilità di Luigi XVI: «Déjà, sous le nom d’un ex-ministre, célèbre par son charlatanisme, est distribuée avec profusion une brochure où on s’efforce de rappeler le peuple français aux impulsions serviles et ignominieuses qui ont si longtemps opéré ses misères et son désespoir. Dans ce plaidoyer astucieux, dicté par la bassesse d’un esclave qui se prosterne aux pieds de son maître, on porte l’impudeur jusqu’à parler de reconnaissance…». Archives parlementaires, t. LIV, p. 297. Desmoulins, invece, a proposito della difesa, o meglio panegirico di Necker, scriveva: «risible effort d’une idole foulée aux pieds qui prétend en relever une autre également renversée! Comme l’évêque de Londres, Juxon, essaya de justifier Charles Ier, martyr des faux calculs politiques de ce banquier, de la sottise de ce bourgeois gentilhomme, et de cette gloriole puérile, de cet orgueil de valet qu’il tirait de l’éclat du trône dont il aimait le reflet, pour me servir de son expression. En lisant son plaidoyer le moins mauvais pourtant qui ait paru pour le monarque détrôné, on reconnaît à chaque page la vérité des mots de J.-J. Rousseau: “Que ce n’est point à un esclave qu’il appartient de raisonner de liberté”». (Ibidem, p. 173). 21 È il caso del breve Mémoire pour la Nation Françoise, dans le procès de Louis XVI, nel quale l’anonimo autore asserisce che la condanna a morte di Luigi XVI sarebbe ingiusta rispetto alle forme processuali, immorale nei confronti della Nazione e dei popoli, e impolitica da tutti i punti di vista (storico, per l’esempio fornito dall’Inghilterra; pratico, perché gli eredi e i parenti di Luigi XVI erano ovunque in Europa, e prettamente politico perché instaurerebbe un rapporto di sfiducia tra i re e i loro popoli). 20
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In entrambi i casi, sarebbe spettata a Luigi XVI la possibilità di conformarsi o meno a tale sentenza. In caso negativo gli sarebbe stata data la possibilità di fare appello al giudizio della nazione che, riunita in assemblee, avrebbe deciso delle sorti del sovrano. L’anonimo autore era consapevole che già altri avessero espresso una simile opinione: «Il n’a pas tenu à moi que cette opinion fût plutôt connue. Avant que M. Necker eût publié ses touchantes observations, j’ai fait d’inutiles efforts pour que celles-ci fussent insérées dans divers journaux, qui, sans doute, par intérêt pour moi, ont refusé de me servir d’organe»22. Come già in altri casi menzionati e che si incontreranno in seguito, la pubblicazione della propria opinione era il punto di arrivo della comunicazione nello spazio pubblico, dopo la stampa quotidiana o il dialogo diretto, attraverso la lettera, con la Convenzione. A livello comunicativo, negli scritti di questo periodo non solamente i destinatari ricoprivano fin dal titolo un ruolo importante per attrarre un pubblico il più vasto possibile. Anche la qualificazione dell’autore rivestiva una funzione di richiamo o una promessa/premessa dell’orientamento delle argomentazioni sviluppate nel pamphlet. Laddove specificato nel titolo, dunque, erano spesso le riflessioni di «veri repubblicani» ad essere espresse o sviluppate, di fatto accomunate da un atteggiamento favorevole al processo intentato dalla Convenzione ma contrarie alla morte di Luigi XVI perché di nessuna utilità alla repubblica nascente23. Era questo il senso del pamphlet Sentimens d’un vrai républicain, sur le procès de Louis Capet, composto nel periodo successivo all’interrogatorio dell’11 dicembre e attribuito a Théodore Vernier24, membro della Convenzione. L’autore, i cui sentimenti repubblicani erano più e più volte ribaditi nel corso del breve scritto, intendeva dimostrare, per mezzo di esempi tratti dalla storia antica e moderna, che la morte del sovrano sarebbe stato un inutile crimine per lo Stato. In aggiunta a queste argomentazioni, egli invitava i rappresentanti della nazione a prestare ascolto a cosa si dicesse della causa in corso al di fuori dell’assemblea:
Opinion sur le procès de Louis XVI, adressée à la convention nationale, s.l., s.d., pp. 7-8. Così anche il brevissimo Réflexion d’un vrai républicain Sur le Procès de Louis XVI o anche le Réflexions impartiales d’un Républicain, sur le Jugement qui doit être prononcé contre le ci-devant roi (su quest’ultimo si veda capitolo IV). 24 Attribuito a Vernier dal catalogo della Bibliothèque Nationale de France. Théodore Vernier (1731-1818), già membro della Costituente e in seguito della Convenzione (poi del Consiglio dei Cinquecento), all’appello nominale votò per l’appello al popolo, per la detenzione e la messa al bando al raggiungimento della pace. Cfr. Archives parlementaires, t. LVII, p. 349. 22
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Consultez enfin avant de prononcer, l’opinion la plus générale, dont vous devez être l’écho fidèle, pour ne pas tomber dans l’erreur et vous verrez, qu’elle n’est pas pour que vous prononciez un arrêt de mort contre ce Prince plus foible plus malheureux que coupable. Cette opinion vient de se manifester d’une manière bien évidente, lorsqu’il a été amené devant la Convention. Dans aucun carrefour, dans aucune place publique, le peuple n’a prononcé contre lui d’arrêt de proscription.
A ulteriore prova di quanto asserito, da quando Luigi era stato imprigionato, i rappresentati nella nazione non avevano ricevuto «des adresses continuelles qui demandent que vous accélériez le procès du ci-devant Roi, et qui vous expriment leur vœu unanime, pour que vous le fassiez conduire à l’échaffaud. Il est donc vrai de dire, que l’opinion générale n’est pas pour que vous le fassiez périr»25. Ancora, l’appello Au Peuple souverain, Sur le procès de Louis Seize, par un Républicain26, concepito come una sorta di difesa e attribuito da alcuni a Brissot, negava la tesi complottista in base alla quale mantenere in vita Luigi avrebbe favorito la coalizione degli antirivoluziona-
A «dire il vero», tra novembre e dicembre, la Convenzione aveva ricevuto delle adresses e pétitions affinché procedesse senza ulteriore indugi al giudizio e alla punizione di Luigi XVI. Di questo tenore erano l’Adresse des Amis de la République étabilie à Auxerre, département de l’Yonne, letta nella seduta del 27 novembre 1792 (Archives Parlementaires, t. LIII, p. 606); quella della Société des hommes libres de Grignan et Bayeux, insieme ad altre non specificate lette nella seduta del 2 dicembre (Archives parlementaires, t. LIV, pp. 50-51); Adresse de la Société républicaine des amis de la liberté et de l’égalité, séante à Toulon, letta il 9 dicembre, (ibidem, p. 700). All'opposto, la notizia del decreto che stabiliva che la Convenzione avrebbe giudicato Luigi XVI, produsse una reazione immediata da parte di ventimila cittadini normanni che diedero alle stampe (senza, apparentemente, inviarla alla Convenzione) una Adresse de 150 communes de Normandie, à la Convention Nationale, sur le jugement de Louis XVI, s. l., s. d. non solamente per esprimere all’assemblea rappresentativa un sentimento di obbrobrio nei confronti di una tale decisione ma soprattutto per testimoniare un sincero spirito monarchico, antirepubblicano e separatista: «Heureusement éloignés d’une capitale infectée de brigands, dont les volontés sont vos lois, citoyens simples et ignorés, nous ne connoissons le descendant des Bourbons que par ses vertus et ses malheurs; il étoit notre roi, fidelles à ce prince, fidelles à nos sermens, nous ne voulons pas d’autre maître; que ses ennemis forment avec vous une république, qu’un prince indigne de son sang partage avec vous les lambeaux de la monarchie; que les prédictions funestes qui vous ont été faites s’accomplissent, peu nous importe; nous nous séparons à jamais de vous! Jamais vos lois ne seront les nôtres, et nous ne voulons de vous que notre roi» (p. 13-14). L’ Adresse chiedeva dunque che Luigi XVI e la sua famiglia fossero liberati dalla pena in cui si trovavano, vittime della tirannia dei facinorosi della capitale, e che potessero vivere tra i suoi sudditi fedeli, invitando tutti i «veri Francesi» a unirsi alla loro causa. Se la Convenzione non avesse consentito sarebbero andati essi stessi a strapparlo dalle mani dei suoi carnefici. Se avesse persistito, sarebbero andati a vendicarlo massacrandoli. 26 A Paris, Chez Lepetit, Libraire, quai des Augustins, n° 32. 25
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ri e aristocratici in seno alla nazione francese. Poiché la Convenzione non poteva accumulare le funzioni di accusatore e giudice nella stessa causa, l’anonimo «repubblicano» proponeva che un tribunale composto da «deux hommes par département, d’une vie sans tache et sans reproche, patriotes reconnus depuis la révolution, éclairés dans les loix et dans la politique, qui prêtent le serment de juger en leur ame et conscience»27, fosse il solo a poter giudicare Luigi secondo giustizia e nel mantenimento della libertà. Il resto del pamphlet si sviluppava come una difesa volta a provare l’innocenza dell’accusato e di fatto la non giudicabilità del re. La questione dell’appello al giudizio popolare ricorreva in molti scritti che mettevano in discussione l’istruzione del processo e il tribunale preposto a giudicare Luigi XVI. Il ricorso al giudizio ultimo della nazione riunita in assemblee primarie accomunava pamphlet di diverso orientamento e alla fine di dicembre divenne la proposta-chiave della Gironda. La questione assunse un peso via via crescente sino a definire in maniera più precisa nelle opinioni dei convenzionali il ruolo del popolo nel processo del re. Nella seconda delle tre domande degli appelli nominali si chiedeva ad ogni deputato se il giudizio che la Convenzione avrebbe emesso avrebbe ricevuto o no la sanzione del popolo. A metà di gennaio 1793, tra coloro che espressero per iscritto la propria opinione al riguardo vi fu anche (e nuovamente) François Robert, deputato del dipartimento di Parigi. Il punto centrale del suo intervento verteva precisamente sull’appello al popolo o meglio contro il ricorso all’appello al popolo che, a suo avviso, era in contraddizione con il senso della rappresentanza nazionale. «Une chose m’a frappé» affermava Robert «lorsque j’ai entendu des membres de cette Assemblée proposer l’appel au peuple: je me suis rappelé qu’ici, à la porte de cette salle, on nous a distribué plusieurs libelles anonymes respirant le venin le plus mortel de l’aristocratie et du royalisme, et dans lesquels on concluait toujours par l’appel au peuple». Robert denunciava, come già altri prima di lui, l’efficace opera di propaganda realista compiuta per mezzo di diversi libelli distribuiti sino alle porte della sala in cui si riunivano i deputati. Tuttavia, egli si domandava «Comment, me suis-je dit, comment est-il possible qu’un membre, qu’un seul membre de la Convention adopte l’avis de ces écrivains honteux qui tantôt n’osaient pas même signer leurs écrits? Comment est-il possible qu’à la tribune nationale, on ait érigé en système de discussion ce qui n’était autrefois que la dernière ressource des contre-révolutionnaires abattus?»28. Robert spiegava questa
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Ibidem, p. 9. Archives parlementaires, t. LVII, Annexes à la séance du 15 janvier 1793, p. 317.
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«specie di contraddizione politica» con un’altra denuncia: un réseau realista che agiva in seno alla Convenzione e che aveva nei girondini Vergniaud, Guadet e Gensonné i principali cospiratori. «Cette espèce de contradiction politique», al di là del regolamento di conti che si stava consumando tra la sinistra della Convenzione e la Gironda, era la stessa che emergeva da molti di quei pamphlet denunciati dal deputato della Senna. La ragione del contendere era proprio il popolo la cui opinione tutti i partiti si disputavano e i cui interessi tutti sembravano conoscere e voler difendere. Dal punto di vista della sinistra risolutamente antigirondina, l’appello al popolo avrebbe fatto l’interesse dei banchieri, dei ricchi, degli aristocratici, dei preti, dei controrivoluzionari, degli emigrati, di tutti i re d’Europa. Al contrario «le pauvre, l’artisan, le cultivateur, l’homme paisible, le franc républicain, le défenseur de la patrie, celui dont le sang a coulé, celui qui a perdu son ami, son père; enfin toute cette classe qui a fait la Révolution, qui l’a soutenue, qui la maintiendra», questa classe di cittadini lo avrebbe disapprovato, ne sarebbe stata scontenta. La questione dunque stava proprio lì. Décidez-vous – sollecitava Robert – entre cette partie de la nation qu’on appelle le peuple, et l’autre du peuple qu’on appelle la nation. Quant à moi, mon choix est fait, c’est surtout pour le pauvre que je suis ici; je m’honore d’être le représentant de ceux que parfois on désigne avec dérision sous nom de sans-culottes, mais je crains bien que ceux qui vous proposent le renvoi aux assemblées primaires ne soient pas les représentants de ce peuple-là: s’ils l’étaient, c’est sa voix qu’ils écouteraient, et non la voix de ceux qui n’ont pas fait la Révolution, qui ne la voulaient pas, qui s’apprêtent à la détruire29.
Il dialogo tra due sanculotti, un uomo e una donna, inscenato nel pamphlet Louis Capet, à la barre des sans-culottes. Jérôme, qui veut prendre son parti: Fanchon, qui le relance, et qui lui fait voir la souveraineté du Peuple, è esemplificativo della maniera in cui la lotta delle opinioni, dentro e fuori la Convenzione, avveniva proprio a partire da quella ‘presunta’ del popolo. Occorreva mostrare quali fossero i reali sentimenti del popolo per farsene interpreti esclusivi. O meglio, forse, occorreva attribuire, di volta in volta, al popolo quei sentimenti e quelle opinioni che ciascun partito desiderava mostrasse. Così Jérôme finiva per persuadere Fanchon, all’inizio fieramente convinta della colpevolezza di Luigi, che le accuse mosse al re erano facilmente smontabili (per esempio la fuga di Varennes non poteva rientrare tra le accuse in quanto Luigi XVI era stato amnistiato con l’accettazione della Costituzione). Quanto alla giornata del 10 agosto, le Observations de Jérôme
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Ibidem, pp. 316-317.
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Pétion sur la lettre de Maximilien Robespierre30, che il sanculotto si era procurato il giorno prima, gettavano una nuova luce sull’avvenimento chiave di tutto il processo, la giornata del 10 agosto. Pétion vi diceva che l’assalto delle Tuileries era stato preparato dall’assemblea legislativa con misure rivoluzionarie e che anche la corte era a conoscenza dell’insurrezione che si stava preparando. Di fronte a queste affermazioni, non si poteva dedurre altro che veri i colpevoli dello spargimento di sangue del popolo erano gli organizzatori dell’insurrezione, i membri dell’assemblea, che avevano di fatto mandato a morte il popolo assaltando un palazzo preparato alla difesa. In questa prospettiva, Luigi in fondo era scusabile per aver cercato di difendersi e per non essersi fatto ammazzare. «Voilà comme on nous trompe» concludeva Jérôme alla fine della lettura di alcuni passaggi delle Observations di Pétion, «et comme on nous mène à la fureur: Pétion dit lui-même qu’il faisoit semblant de vouloir la paix, pour reprocher au roi l’insurrection et le carnage qu’elle a occasionné; et c’est pour ce carnage aujourd’hui qu’on demande et qu’on fait demander sa tête par le peuple. En conscience, est-ce lui qui en est coupable?»31. Da parte
Observations de Jérome Pétion sur la lettre de Maximilien Robespierre, A Paris, Chez Zoppi, Devaux, Hemot, 1792. Le Observations di Pétion, pubblicate nella seconda metà di dicembre (cfr. Le patriote français n° 1227, Du Jeudi 20 Décembre 1792, p. 708) rappresentano la tappa conclusiva di una querelle che l’ex sindaco di Parigi aveva ingaggiato con Robespierre all’inizio di novembre. Nel corso della seduta del 29 ottobre 1792, il deputato girondino Louvet accusò Robespierre di aspirare all’instaurazione di una dittatura e di essere responsabile dei massacri di settembre (discorso dato poi alle stampe per ordine della Convenzione). Pertanto, Robespierre chiese ed ottenne otto giorni per poter preparare la propria difesa che lesse alla tribuna della Convenzione il 5 novembre successivo (Archives Parlementaires, t. LIII, pp. 53-58, 158-165). A questo discorso rispose pubblicamente contro Robespierre anche Jérôme Pétion con lo scritto intitolato Discours de Jérôme Pètion sur l’accusation intentée contre Maximilien Robespierre, [Paris], De l’Imp. De C.-F. Patris, Imprimeur de la Commune, s.d., nel quale minimizzava la portata dell’influenza di Robespierre, personaggio dal carattere ombroso e paranoico. A questo intervento pubblico, seguì la Réponse de Maximilien Robespierre à Jérôme Pétion, nelle Lettres de Maximilien Robepespierre, membre de la Convention Nationale de France, à ses commetans, n° 7 (30 novembre 1792), alla quale fecero seguito le Observations de Jérome Pétion citate nel pamphlet. Queste risposte in successione rappresentano la manifestazione di una rottura tra Robespierre e Pétion, avvertita dal primo come un tradimento, che si era consumata a partire dalla giornata del 10 agosto 1792, quando Pétion era ancora sindaco di Parigi. Cfr. per il rapporto tra Robespierre e Pétion: Peter McPhee, Robespierre. A Revolutionary Life, New Haven – London, Yale University Press, 2012, pp. 136-138; Œuvres complètes de Robespierre, tome V, Les journaux, Lettes à ses commentans, édition critique préparée par Gustave Laurent, Paris, Société des études robespierristes, 1961 [rist. 2000], pp. 97-115. 31 Louis Capet, à la barre des sans-culottes. Jérôme, qui veut prendre son parti: Fanchon, qui le relance, et qui lui fait voir la souveraineté du Peuple, s.l., s.d., pp. 5-6. Dal dialogo si evince che il pamphlet fu composto prima della difesa del 26 dicembre 1792. 30
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sua, era desiderio che Luigi fosse giudicato e che perisse se fosse colpevole, ma a condizione che il giudizio fosse emesso senza collera e non da coloro che lo avevano attaccato e che lo accusavano perché avevano tutto l’interesse nella sua morte. In altre parole, che fosse giudicato da uomini giusti come i sanculotti. «Oui les Sans-culottes: les Sans-culottes sont des hommes justes, quand on les laisse à eux-mêmes». Il pamphlet veicolava il messaggio che la fazione della Convenzione favorevole alla condanna aveva comprato la ‘voce’ dei sans-culottes i quali, però, se informati, si dimostravano tutt’altro che inclini a volere il sangue del tiranno e pronti ad assumersi il giudizio del re. I sanculotti che gridavano per la strada parole di insulti contro Luigi XVI così come quelli che applaudivano erano in realtà dei poveracci che per qualche soldo si prestavano a propagandare le opinioni di un parte della Convenzione. Come il povero Pierre, a cui Jérôme aveva parlato e fatto cambiare idea dopo avergli fatto leggere lo scritto di Pétion: Pierre s’est mis à pleurer comme un enfant: écoute m’a-t-il dit, Jérôme: j’ai un cœur comme toi, mais tu sais que je n’ai plus rien pour vivre depuis que notre métier ne va plus; on nous donne trente sols par jour pour parler mal du roi; on nous appelle orateurs; dame! Il faut que je vive; j’ai toujours avec moi dix ou douze autres, qui n’ont que vingt sols; il y a des petits garçons et des femmes à quinze; on appelle ça des applaudisseurs; c’est pour claquer des mains et me soutenir: nous sommes beaucoup comme ça dans Paris et aux tribunes de la Convention, et on nous di que c’est pour la liberté; mais si j’avois su ce que tu me fais voir, je ne me serois pas mêlé de ça; je ne voudrois pas plus que toi faire périr un innoncent, pour une pièce de trente sols à gagner; voilà qui est fait, j’aime mieux, s’il le faut, demander ma vie; oui, Jérôme, je demanderai ma vie32.
Sebbene il riferimento alle Observations di Pétion, a cui Jérôme faceva un’esplicita pubblicità, potrebbero indurre a pensare a un pamphlet di matrice girondina33, nondimeno certe parole dure circa le responsabilità della giornata del 10 agosto gettano un luce un po’ ‘realista’ sul pamphlet. Tanto più che il giornale filomonarchico la Feuille du Matin lo presentava all’attenzione dei suoi lettori come uno degli scritti a favore della causa di Luigi XVI, che in quel momento si moltiplicavano ed erano venduti un po’ ovunque: «Louis XVI [il titolo originale recava Capet] à la barre des sansculottes; sous l’enveloppe d’une simplicité naïve, est plein de sensibilité, et Ibidem, p. 6. Diceva Jérôme a Fanchon a proposito della risposta di Pétion a Robespierre: «et dis à toutes tes connoissances d’acheter ce papier; il ne coûte que 6 sols: on le trouve au palais royal et chez tous les marchands de nouveauté» (ibidem, p. 4). 32 33
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infiniment propre à convaincre le peuple, dont il saisi le ton et le langage»34. La questione del ricorso all’appello al popolo, come drammaticamente e in modo tranchant aveva osservato Robert, avvicinava molto le posizioni dei girondini a quella dei realisti, sino a renderle difficilmente distinguibili35. Il giudizio del popolo restava una questione nodale per tutte i partiti coinvolti nel processo e dimostrare di essere l’interprete esclusivo della sua opinione o attribuirgliene una a detrimento di un’altra, poteva essere un efficace strumento di propaganda e di lotta politica. 3. Le difese. Nel momento in cui la Convenzione decretò che Luigi XVI fosse giudicabile, fissando per l’11 dicembre 1792 il giorno della comparizione dell’imputato alla sbarra e successivamente per il 26 dicembre il giorno dell’audizione della difesa, ai libelli sino ad allora pubblicati, si aggiunsero delle vere e proprie difese, dei plaidoyers, alternativi o complementari all’arringa che sarebbe stata pronunciata da Raymond de Sèze. Cronologicamente, anche per il rapido susseguirsi degli eventi del processo e la lentezza dei tempi di stampa, a volte tali scritti videro la luce quando ormai la Convenzione si apprestava a emettere la sentenza. Si trattava in parte di testi i cui autori si erano precedentemente rivolti alla Convenzione per offrire all’accusato le proprie competenze e i propri servigi in qualità di difensori ufficiali, e che pertanto presentavano una struttura argomentativa più organica costruita espressamente sull’acte énonciatif. Quando la scelta di Luigi XVI cadde su Malesherbes e Tronchet, a coloro che si erano proposti per lo stesso incarico non rimase che pubblicare la difesa che avevano previsto di pronunciare davanti alla Convenzione. Oltre al già citato Guillaume, altri personaggi più o meno conosciuti notificarono per lettera all’assemblea l’intenzione di proporsi come difensori del re. Con molto anticipo, Pierre Malouet, eletto per il Terzo Stato agli Stati Generali, dall’Inghilterra dove era emigrato dopo il 10 agosto, aveva scritto alla Convenzione una lettera, letta nella seduta del 20 novembre, per proporsi «comme défenseur officieux d’un prince dont j’ai tou-
La Feuille du Matin ou Le Bulletin de Paris, n° 27, Samedi 22 Décembre 1792, pp. 212213. Lo stesso articolo segnalava anche il libello intitolato Suite des réflexions de M. Necker. Cfr. capitolo II. 35 È quanto suggerisce, peraltro con molta prudenza, Paolo Viola, Il trono vuoto, pp. 159-160. 34
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jours honoré les vertus, et dont il n’est permis de déplorer l’infortune»36. Lo stesso Malouet aveva reiterato la richiesta all’inizio di dicembre, insieme all’ex ministro della guerra Narbonne-Lara, provocando scompiglio in seno all’assemblea e la decisione di procedere all’arresto dei due propositori qualora sorpresi a trovarsi a Parigi senza salvacondotto37. Malouet fece dare alle stampe, subito dopo l’interrogatorio dell’11 dicembre, un’anonima Défense de Louis XVI. Discussion de toutes les charges connues à l’époque du 14 julliet nella quale di fatto costruiva la difesa sulla base dei rapporti precedentemente stilati dalla Convenzione38. Lo stesso fece Narbonne-Lara, autore di una Déclaration, concepita più che altro come una apologia dell’innocenza di Luigi XVI 39. Nella seduta del 13 dicembre, lo stesso giorno in cui fu ricevuta la proposta di Malesherbes, fu la volta di Nicolas Sourdat, cittadino di Troyes, ex luogotenente generale di polizia, e di Huet de Guerville, avvocato al Parlamento di Normandia a offrirsi come difensori dell’imputato 40. «Le moment qui m’a vu sur la même ligne avec ces vertueux défenseurs de Louis XVI, étoit fait pour m’éblouir; il sera à jamais le plus glorieux de ma vie», avrebbe scritto Nicolas Sourdat in apertura delle sue Vues générales sur le procès de Louis XVI che significativamente portavano la data del 26 dicembre, a testimonianza della continuità e della perseveranza del compito che si era voluto assumere nei confronti del sovrano deposto.
Archives parlementaires, t. LIII, p. 486. La lettera, datata 8 ottobre 1792, era stata trasmessa alla Convenzione per il tramite del ministro di Francia residente a Londra, al quale Malouet si era rivolto per ottenere un passaporto per poter rientrare in suolo francese da cui era partito all’inizio di settembre. La notizia è riportata anche nelle Annales patriotiques et littéraires, n° 326, 21 novembre 1792, p. 1453. 37 Archives parlementaires, t. LIV, p. 414. La lettera fu letta nella seduta del 7 dicembre 1792. Cfr. su Narbonne-Lara, capitolo IV. 38 Sull’attribuzione dello scritto cfr. Victor-Pierre Malouet, Mémoires de Malouet publiés par son petit-fils le Baron Malouet, t. 2, Paris, Didier et Cie, 1868, p. 205. La difesa di Malouet fu tradotta anche in inglese: A Defense of Louis XVI, Translated from French, London, Printed for G. Nicol, 1793. 39 Sulla Déclaration de M. Louis de Narbonne, ancien ministre de la Guerre en France, dans le procès du roi, Londres, chez les marchands de nouveautés, 1793, si veda il capitolo IV. 40 Quello stesso giorno giunse anche la lettera di Gustave Graindorge, «ci-devant Menil-Durand, adjudant général de l’armée» cui però non fece seguito, apparentemente, nessuno scritto apologetico. Archives parlementaires, t. LV, pp. 38 e 40. Non risulta dalle Archives parlementaires che fosse presa in considerazione dalla Convenzione una Lettre adressée au Président de la Convention nationale, après le Décret du 1792, qui permettait à tout Français de défendre Louis XVI data alle stampe nel dicembre 1792 dal marchese François de Beauharnais, già deputato per la nobiltà agli Stati Generali. 36
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Nonostante Luigi XVI potesse godere dell’aiuto di uomini fidati come Malesherbes e di valore come Tronchet e De Sèze, egli riteneva di non sentirsi esente dall’obbligo di concorrere al successo dell’innocenza dell’accusato, «que lorsque j’aurais développé les motifs que tous les Français ont de croire à cette innoncence, croyance que j’ai professé hautement devant les représentans de la nation, et que leurs cœurs ne peuvent manquer d’approuver: ils n’ont point intérêt de trouver Louis XVI coupable» 41. Pertanto Sourdat affidava alle stampe una difesa che, pur non potendo costruirsi sulle prove a carico prodotte dalla Convenzione42, suggeriva una strategia d’azione convincente e giuridicamente fondata. Nel momento in cui i deputati avevano assunto il ruolo di giudice, si erano creati per Luigi XVI i presupposti per dispiegare tutti i mezzi utili per la sua difesa. Ora tali mezzi, secondo Sourdat si dividevano in quattro classi: la competenza e l’imparzialità dei giudici; la regolarità nelle forme; l’autenticità delle prove a carico; la facoltà concessa all’accusato di produrre a sua volta prove e testimoni. Se tali considerazioni riguardavano più in generale la dibattuta questione dell’intera regolarità di tutto il processo sulla base della procedura prevista dal codice penale, la questione dell’imparzialità dei giudici veniva affrontata a partire dal fatto che molti membri della Convenzione diventavano recusabili laddove si fossero espressi pubblicamente su Luigi XVI prima di assumere il ruolo di magistrato: «tous les membres, indistinctement de la convention nationale, qui ont manifesté leur opinion publiquement, par écrit ou verbalement, ne peuvent rester juges de Louis XVI». Era questo un argomento che poneva la questione della ricaduta nell’opinione pubblica della pubblicità, a mezzo della stampa, della discusVues générales sur le procès de Louis XVI; Par M. Sourdat, Citoyen (ci-devant lieutenant-général de police) de Troyes, l’un des défenseurs relatés au décret du 12 Décembre 1792, qui se sont offerts à la défense de Louis XVI, pp. 4, 7. A proposito di Sourdat, nel periodo in cui ricopriva l’incarico di luogotenente di polizia sino alla soppressione della carica nell’89, si veda J. Ricommard. La Lieutenance générale de police à Troyes au XVIIIe siècle, Paris, Hachette, 1934. 42 Sourdat diede successivamente alle stampe anche una Défense particulière pour Louis XVI, sur la journée du dix août incentrata come si evince dal titolo sui capi d’accusa riguardanti contro Luigi XVI nella giornata del 10 agosto 1792. La difesa di Sourdat prendeva le mosse dall’arringa del 26 dicembre per provare l’innocenza di Luigi e attribuire la responsabilità degli eventi della tragica giornata ad alcuni specifici membri della Convenzione: «On doit conclure qu’il est aussi invraisemblable que Louis XVI ait jamais formé le projet de faire couler le sang, le 10 août, qu’il est faux qu’il en ait donné l’ordre. Je vois qu’il n’y a pas plus de raison de lui imputer la journée du 10 août, que celles des 2, 3, 4, 5, 6 et 7 septembre, et pourquoi lui seroit-elle imputée, lorsque Pétion, Carra, Louvet, Barbaroux, Robespierre la revendiquent, l’avouent, s’en attribuent la gloire et le mérite?» (p. 40). 41
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sione assembleare. «Tous ceux donc qui ont publié hautement que Louis XVI étoit un parjure, un traître, ont préjugé, ce qui est une des questions du procès; tous ceux qui ont publié qu’il avoit fait égorger le peuple français, ont fait le rôle d’accusateurs et de dénonciateurs» 43, come per esempio, si leggeva in nota, Louvet, Robespierre, Barbaroux, Saint-Just, Lindet, Basire, Albitte e i deputati giornalisti. Tutti questi deputati potevano dunque essere recusati per le opinioni pubblicamente e precedentemente espresse poiché di fatto avevano già emesso una sentenza di colpevolezza prima ancora che il processo vero e proprio avesse inizio. Come Sourdat, anche Sébastien-Gilles Huet de Guerville, dopo essersi offerto come difensore, pubblicò la propria breve Opinion sur le procès de Louis XVI, nella quale parte dell’argomentazione riguardava la questione della giudicabilità di Luigi XVI e dell’incompetenza del tribunale che lo avrebbe giudicato. Egli affermava, come già altri prima di lui, che l’unica pena possibile fosse l’abdicazione e che qualunque giudizio la Convenzione avesse emesso, avrebbe dovuto riceve la sanzione popolare. Il pamphlet di Huet de Guerville era il punto di arrivo di un impegno «repubblicano» nei confronti della causa del re, che egli aveva notificato all’assemblea rappresentativa sin dall’inizio della discussione a metà novembre. Già da allora egli si era proposto come difensore sottoponendo alla Convenzione le proprie riflessioni al fine di sensibilizzare l’assemblea a seguire strettamente le forme legali della procedura44. Il tema dell’incompetenza della Convenzione e del pregiudizio dei giudici chiamati a giudicare rappresentò un argomento chiave di molti pamphlet composti immediatamente dopo il decreto che poneva ufficialmente il sovrano in stato d’accusa. Si trattava di scritti spesso di matrice realista che, ricusando i giudici, di fatto non presentavano un sistema di difesa nei confronti di Luigi XVI quanto piuttosto una denuncia delle irregolarità della Convenzione in materia penale45. Questi appelli si rivolgevano diretSourdat, Vues générales sur le procès de Louis XVI, p. 20. Nella seduta assembleare del 14 novembre 1792, Archives parlementaires, t. LIII, p. 403; Huet de Guerville, Opinion de Huet de Guerville, sur le procès de Louis XVI, Rouen, de l’Imprimerie de J.-F. Ferrand, s.d., pp. 1-3. Esiste anche una seconda edizione stampata a Parigi presso l’Imprimerie de Valade, datata Décembre 1792. Le posizioni moderate di Huet de Guerville sono attestate anche dal giudizio ponderato nei confronti di Target che, scelto da Luigi XVI come suo difensore, aveva subito declinato la proposta adducendo a pretesto l’età e la salute inferma. Cfr. capitolo I, nota 66. 45 Un esempio di difesa che mira a smontare la debolezza dell’accusa è rappresentato dallo scritto di sentimenti monarchici di Jerôme Le Grand, Au peuple, sur le procès de Louis XVI, par M. Le Grand, composto dopo l’interrogatorio dell’11 dicembre. 43 44
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tamente a tutti i Francesi certi che «l’amour pour le sang des Bourbons»46 cominciasse a rinascere nei loro cuori, che sarebbe stato il popolo «fatigué des excès de l’anarchie, des désordres de la licence, de la misère qui l’accable, des dissentimens des factieux dont il est la première victime, de la cherté exhorbitante de toutes les denrées; ce sera lui qui sauvera le roi, qui formera, autour de sa personne sacrée, une barrière impénétrable»47. All’appello ai sentimenti del popolo, unico tribunale che potesse giudicare Luigi XVI, facevano riferimento anche le Réflexions morales et politiques sur le procès de Louis XVI composte da Gonzze de Rougeville, personaggio di sentimenti realisti che nel settembre del 1793 avrebbe partecipato al complotto dell’Œillet per liberare Maria Antonietta dalla Conciergerie. Secondo De Rougeville la difesa di Luigi XVI, che affidava a Malesherbes per le questioni legali, era una questione dalla quale dipendevano la salvezza e la tranquillità della Francia. Per questo invocava i sentimenti di umanità dei francesi affinché fosse risparmiata la vita dell’accusato48. Il popolo, la nazione, i francesi erano i destinatari privilegiati di questi scritti che per la loro stessa natura non avevano semplici lettori, ma veri e propri interlocutori, essendo concepiti come scritti d’azione49. Tali interlocutori, tuttavia, rimanevano 25 milioni (a volte più a volte meno) di francesi (raramente cittadini) socialmente indistinti a cui si attribuivano opinioni che difficilmente era possibile conoscere. Se lo si considera come autentico, faceva eccezione il Plédoyé pour Louis Sèze, difesa composta dal contadino bretone «laboureur» Jean-Jacque [sic] Liberté il 20 dicembre 1792 e indirizzata alla Convenzione nazionale50. Composta in un francese sgrammaticato che Appel à la nation, De tout ce qui s’est fait & pourra se faire, dans le procès de Louis XVI, par la Convention Nationale, incompétente & suspecte, p. 16, il cui anonimo autore si firmava alla fine Citoyen ami de la Justice & des loix, & ennemi de toute oppression tyrannique. 47 Appel à la nation, pour Louis XVI, Roi de François. Contre Une Secte de conspirateurs, aux ordre d’Égalité et de Robespierre, En présence de la Convention Nationale, p. 13. Argomentazioni simili erano presentate (sebbene discusse in maniera più sistematica) anche nel pamphlet Incompétence de tout tribunal pour juger Louis XVI; et son innocence démontrées, A Genève, et se trouve à Paris chez Lepetit, s.d. 48 Gonzze de Rougeville, Réflexions morales et politiques sur le procès de Louis XVI. Dédié à ma Patrie. Par M. De Rougeville, A Paris, s.d. 49 Così Français, prenez, lisez et puis jugez, s.l., Décembre 1792. Si trattava dell’estratto di un’opera non specificata incentrata sulle virtù di Luigi XVI, che il redattore del pamphlet aveva ritenuto utile pubblicare e diffondere, considerata l’urgenza delle circostanze, per l’istruzione pubblica e per scongiurare nuovi mali alla patria. 50 Plédoyé pour Louis Sèze. Fait par le Citoyen Jean-Jacque Liberté, Laboureur, du Département de Lille et Vilenne, adressé à la Convantion Nationale, Le 20 Décembre 1792, l’an premier de la République Francèse, se trouve à Paris, Chez M. Petit. 46
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doveva attestarne l’autenticità51, lo scritto intendeva notificare all’assemblea rappresentativa le riflessioni sul processo del re di un uomo dedito al lavoro della terra. Jean-Jacques Liberté, del dipartimento bretone d’Ille-et-Vilaine si presentava alla Convenzione come il «Paysan du Danube» della favola di La Fontaine: «Note vérité te nourira l’ame come not blé te nourit le core. Zun payezan ès zun citoyen come les zautre. Souviens-tay du bon payezan du Danuble; il fut écouté ben tranquilemant pare les romens qui étès, à ce dise tout le monde, des citoyenz ben savans et ben éloquans»52. Le osservazioni di Liberté non offrivano nessuna argomentazione originale rispetto a quanto più volte ripetuto sull’irregolarità dell’intera procedura adottata dalla Convenzione. La forza dello scritto risiedeva dunque tutta nell’autore che affermava di leggere regolarmente i giornali («bultins»), di conoscere la costituzione a memoria «come zun législateure, et mieux que dès législateure que je conesconz», più volte citata nel corso del testo, e che testimoniava una puntuale informazione sugli avvenimenti del 10 agosto e sui membri della Convenzione. Bersaglio della propria difesa era la Montagna (Marat, Danton e Robespierre, in particolare, ma anche un deputato del dipartimento dell’Ille-et-Vilaine «qui nous chante à toute lés poste que le roy ès zun sélérat, zun monstre à écarteler, à bruler»53) responsabile di strumentalizzare per i propri fini sanguinari la Convenzione. A quest’ultima, dunque, Liberté rivolgeva un’accorata perorazione alla fine dello scritto per invocarne il sentimento di giustizia e perché non prendesse «pour vœux de la nation, les cris forcenés d’une troupe de factieux, que l’enfer a vomi dans mon sein»54. Sebbene risulti
Una nota dello stampatore avvertiva che l’ortografia del contadino Liberté era stata conservata finché possibile e che solo per consentire di restituire la giusta impressione non era stata seguita al momento della perorazione della causa di Luigi XVI rivolta alla Convenzione. Ibidem, p. 27. Nelle Archives parlementaires non risulta esservi traccia di una simile difesa indirizzata alla Convenzione in quella data. 52 Plédoyé pour Louis Sèze, p. 4. Il riferimento è esplicitato sin dall’inzio dello scritto: «Convantion national, je ne some pas zorateur come le payxan du Danuble, que le bon home la Fontaine a tant vanté dans sés joly fable que jaimons mieux que lés sermons de note curé; mais puisceque’il a été zantandu danz le séna de Rome, je devonz étre ausy zécouté danz le séna de la France» (p. 1). 53 Ibidem, p. 25. L’autore si riferiva a un deputato montagnardo del dipartimento dell’Ille-et-Vilaine, forse Sevestre (piuttosto che Beaugeard, Chaumont o Duval), di cui tuttavia taceva il nome: «Ste député la ès zun imbécile de prédicature. Cétèz zun foutu avocat de basse coure qui navès pas zune cauze à pléder, qui mouret ici de fain, de soife et de froite. On la fés juge de distrique pare charité, et député par cabale à l’asamblé de crapiau, parce qu’il avèz imprimé quelque bétize, quelque mauvèze fraze pour dire aus nigaus que le roy méritét detre pandu pour avoire été à Varénes». 54 Ibidem, p. 27. 51
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difficile non sospettare che si trattasse di un falso, nondimeno la difesa di Liberté offre spunti di riflessione sui modi dispiegati a livello comunicativo per perorare la causa di Luigi XVI attraverso la voce delle «persone umili». Di fatto esso voleva essere la testimonianza dell’opinione del popolo, di quello che lavorava la terra, semplice ma non stupido, ignorante delle belle lettere ma penetrato dal senso di giustizia e del rispetto delle leggi, e dunque favorevole a un giudizio sul re che fosse conforme a questi sentimenti civici, come già gli scritti dei sans-culottes avevano dimostrato. Della considerevole ed eterogenea produzione apologetica prodotta in occasione della difesa, diede conto criticamente Antoine Jeudy Du Gour, pubblicista e professore al celebre collegio di La Flèche, nella Collection des meilleurs ouvrages qui ont été publiés pour la défense de Louis XVI, rois des français da lui redatta e pubblicata in due volumi nel periodo successivo all’esecuzione55. La collezione era stata concepita allo scopo di riunire, ad uso della posterità, le opere pubblicate per la difesa del re come già era stato fatto per tutte le carte sulle quali era stata pronunciata la sua condanna. «Des brochures de trente à quarante pages quelque utiles qu’elles soient, se perdent dans la poussière des bibliothèques, et l’historien, privé de leur secours, adopte souvent des erreurs qu’il est impossible de corriger». Era dunque con questo intento che l’autore aveva compiuto una scelta delle opere più interessanti apparse in favore di Luigi XVI, presentando peraltro un’analisi succinta di quelle che di fatto ripetevano argomentazioni già sostenute da molti o offrivano un’analisi mediocre e che pertanto non erano riportate integralmente nella raccolta56. D’altra parte,
Collection de meilleurs ouvrages qui ont été publiés par la défense de Louis XVI, roi des Français; Rédigée par A. J. Dugour, ci-devant Professeur au collège royal de la Flèche, Auteur du Mémoire justificatif en cinq cahiers, A Paris, Chez F. Dufart, 1793, 2 voll. Il primo volume contiene: Mémoire justificatif, par A.J. Dugour; Défense de Louis XVI, par M. Malouet; Réflexions sur le procès intenté à Louis XVI par M. Necker; Réponse aux Réflexions de M. Necker, sur le procès intenté à Louis XVI. Il secondo volume si compone di: Anecdotes sur Louis XVI; Défense de Louis par Desèze; Lettre de M. Bertrand de Moleville; Extrait de la Déclaration de Louis de Narbonne; Vues générales sur le procès de Louis XVI, par M. Sourdat; Un citoyen François, à la Convention nationale; L’inviolabilité de Louis XVI; Réflexions sur l’inviolabilité des rois; Réflexions sur le procès de Louis XVI, par J.B. Dalmas [ex deputato della Legislativa]; Adresse de plusieurs citoyens Français, au peuple Français, sur le procès intenté au roi Louis XVI; Songe d’un Anglais, fidèle à sa patrie; Avis à la convention nationale sur le jugement de Louis XVI par Monjoye; A la Nation, sur le jugement de Louis XVI, par M. Legrand; Testament de Louis XVI; Plaidoyer pour pour [sic] Louis XVI, par M. Lally-Tolendal; Explication des figures. L’opera conobbe una ristampa nel 1796 ad opera dello stesso autore: «A Paris, chez A. J. Dugour, Libraire, An V -1796». 56 La partie publique dans la cause de Louis XVI; Sur le procès de Louis XVI. Supplément aux réflexions de M. Necker; Défense de Louis XVI, contenant l’examen des faits antérieures à l’acceptation de l’acte constitutionnel; par Michel-Germain Pichois, homme de loi; Réflexions de 55
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lo stesso Du Gour aveva composto e pubblicato in quaderni apparsi dal 20 dicembre 1792 sino al 12 gennaio 1793 un Mémoire justificatif pour Louis XVI ci-devant rois des Français. En réponse à l’acte d’accusation qui lui a été lu à la Convention Nationale, le mardi 11 décembre 1792, l’an quatrième de la liberté et le premier de l’égalité, poi riedito in una seconda edizione ampliata e corretta nella seconda metà dello stesso mese57. La Collection delle migliori difese si inseriva dunque all’interno di un impegno che aveva coinvolto personalmente l’autore nel corso del processo, un impegno non disgiunto da un’attenzione particolare nei confronti di quanto circolava a mezzo della stampa in difesa di Luigi XVI. Già nel suo Mémoire justificatif, infatti, Du Gour si era espresso criticamente nei confronti degli scritti apparsi in favore del re: «on n’a vu que quelques observations bien feuillantines et bien constitutionnelles, qui ne présentent aucun plan de défense, et où l’on n’a pas osé dire à la convention une seule des terribles vérités que je lui ai fait entendre»58. Quanto alla difesa ufficiale di Luigi XVI, che al momento della pubblicazione della seconda edizione del suo Mémoire era già stata pronunciata, Du Gour aveva preferito sospendere momentaneamente il giudizio: Je n’ai rien dit de la conduite de Messieurs Malesherbes, Tronchet et Desèze dans le ministère sacré qu’ils se sont chargés de remplir; j’ai même parlé avec éloge du dernier; l’intérêt de la chose m’en faisoit un devoir et m’interdit encore à présent toute espèce d’observations sur son plaidoyer. Mais lorsque ce grand procès, dans lequel on prétend qu’ils ne sont intervenus que pour sauver à la convention le reproche de n’avoir pas donné de défenseurs à Louis XVI, sera terminé, alors je publierai mon opinion et j’examinerai s’ils ont réellement concouru à perdre le roi en feignant de prendre sa défense59.
È facile dedurre, tuttavia, il giudizio negativo nei confronti del sistema di difesa adottato dagli avvocati di Luigi XVI e allo stesso modo com-
Jonh Drydey, gentilhomme Gallois, sur la cause de Louis XVI; Lettre d’un Quacker américain, à un Républicain français, sur la grande affaire de la France et du monde entier; Observations rapides sur la nullité du procès commencé contre Louis XVI; Pétition de grace et de clémence, pour Louis XVI di Marignié. I titoli completi si trovano nell’Appendice bibliografica. 57 Nel Patriote français, n° 1239, Du Mercredi 2 Janvier 1793, p. 8, si leggeva l’annuncio della pubblicazione del Mémoire justificatif, per un totale di cinque quaderni pubblicati separatamente, a 15 soldi per Parigi e 20 per il resto della Francia. Alla data del 31 dicembre 1792, già tre quaderni erano in vendita. 58 A. J. Du Gour, Mémoire justificatif pour Louis XVI, ci-devant rois des Français. En réponse à l’acte d’accusation qui lui a été lu à la Convention Nationale, le mardi 11 décembre 1792, l’an quatrième de la liberté et le premier de l’égalité, Seconde Édition corrigée et augmentée, A Paris, Chez Fr. Dufart, 1793, p. III. 59 Ibidem, pp. III-IV.
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prendere i criteri in base ai quali, secondo Du Gour, una difesa efficace doveva essere costruita. Il Mémoire justificatif, come avvertiva il titolo, era composto in risposta all’atto d’accusa e alle relative risposte di Luigi XVI durante l’interrogatorio dell’11 dicembre a cui seguivano le osservazioni dell’autore, volte a provare l’innocenza dell’imputato. Di simile impianto erano anche la Défense de Louis XVI attribuita a Malouet e il Plaidoyer pour Louis XVI di Lally-Tollendal60. Ciò che distingueva queste opere dalla difesa di De Sèze e che le accomunava con le altre inserite nella raccolta, era sostanzialmente l’atteggiamento nei confronti dei giudici, nei confronti, dunque, della Convenzione. Nell’arringa pronunciata da De Sèze, peraltro inserita nella raccolta, la questione della legittimità del processo o del tribunale e dell’atteggiamento tenuto dai membri della Convenzione era stata posta in termini retorici d’effetto senza che rappresentasse, tuttavia, il perno della difesa: «Je cherche parmi vous des juges», dichiarava De Sèze al termine della prima parte della difesa dedicata all’esame dei principi relativi all’inviolabilità costituzionale, et je ne vois que des accusateurs. Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et c’est vous-mêmes qui l’accusez! Vous voulez prononcer sur le sort de Louis et vous avez déjà émis votre vœu! Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et vos opinions parcourent l’Europe! Louis sera donc le seul Français pour lequel il n’existera aucune loi ni aucune forme. (…) Mais je n’insiste pas sur ces réflexions; je les abandonne à votre conscience. Je ne veux pas défendre Louis seulement avec des principes61.
La maggioranza delle difese alternative, al contrario, si distinguevano per la critica all’atteggiamento tenuto dai deputati, quando non per la ricusazione dei giudici stessi come premessa dell’intero argomentare. «Avant que d’entrer en matière», scriveva De Gour all’inizio del suo Mémoire, «qu’il me soit permis de faire remarquer les convulsions affreuses dont paroissent agités les membres de la convention au seul mot de roi»62. A differenza di Sourdat, Du Gour ingaggiava all’inizio della sua difesa una vera disputa, una lotta contro alcune delle opinioni precedentemente espresse dai membri della Convenzione, non tanto perché pregiudicavano l’imparzialità del magistrato che le aveva espresse, quanto per quello che esprimevano. L’invettiva contro i discorsi della Montagna e in particolare quelli di SaintJust e Robespierre attestano l’impatto e la potenza delle loro argomentazioni sull’opinione dei contemporanei.
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Del Pladoyer di Lally-Tollendal si veda capitolo IV. Archives parlementaires, t. LV, p. 622. Du Gour, Mémoire justificatif pour Louis XVI, p. 20.
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Les phrases les plus extravagantes s’échappent alors de leurs bouches. Quel rapport de justice y a t-il entre l’humanité et les rois, dit l’un; on ne peut régner innocemment, dit un autre; les formes dans le procès sont de l’hypocrisie, dit un troisième. (…) On ne peut pas régner innocemment. Quelle manière de raisonner! Et elle fait tant de progrès, que Manuel, quelque jours après, a renouvellé le même adage. Il fut roi, il fut donc coupable, dit-il dans son opinion sur ce sujet63.
Per quanto «stragavanti» le frasi di Saint-Just avevano prodotto tutto l’effetto sperato, se Du Jour si prendeva il disturbo di contestarle all’inizio del suo Mémoire. Come dire, la difesa di Luigi XVI per molti di coloro che presero la parola pubblicamente doveva giocarsi anche sulle opinioni espresse e non limitarsi alla mera controprova dei fatti. 4. Prima dell’esecuzione. Nel periodo che precedette la sentenza e l’esecuzione di Luigi XVI, altri scritti riempirono lo spazio pubblico allo scopo di sensibilizzare e mobilitare l’opinione di coloro che avrebbero potuto esprimere attivamente sentimenti pietosi nei confronti del condannato. Domande di grazia e petizioni si moltiplicarono64, ma anche appelli rivolti specificamente ai cittadini, o meglio alle cittadine di Parigi. Così, il Bréviaire des dames parisiennes pour la défense de Louis XVI, firmato da Solignac (Jean-Pierre), canonico del capitolo di Peronne e già predicatore della regina di Polonia e governatore dei figli del principe Saverio, zio del re, si rivolgeva espressamente alle donne della Capitale, facendo leva sui sentimenti di pietà attribuiti all’animo femminile, affinché perorassero la causa del re presso i loro mariti, figli, vicini e ristabilissero la monarchia in Francia. Lo scritto, profondamente antirepubblicano («périsse à jamais cet esprit républicain, et que de ses cendres renaissent le bon ordre, la vérité en place du mensonge, l’opulence à la
Ibidem, pp. 20, 22. [La M. vraie Citoyenne], Le cri des bons cœurs. Adresse de tous les honnêtes Citoyens français, à la Convention Nationale, au sujet du jugement de Louis XVI, A Paris, chez les Marchands de Nouveautés, s.d.; Louis Mazon, Aux juges de Louis XVI, un véritable ami du peuple et de l’humanité, Adresse à la Convention nationale sur le jugement de Louis XVI, Paris, De l’Imprimerie de Froullé, s.d.. Nell’Appel à la postérité, sur le jugement du roi, Imprimé à Londres, Et se trouve à Paris, Chez les Marchands de Nouveautés, 1793, un avviso ai concittadini dell’anonimo autore informava che questa brochure sarebbe dovuta apparire prima del giudizio di Luigi XVI; «mais les menaces des uns, la peur des autres en a suspendu l’exposition. Elle eût pu ressusciter dans vos cœurs quelques sentimens de vigueurs ou d’humanité en faveur de Louis: elle ne servira qu’à y réveiller des regrets superflus et le remord vengeur des grands forfaits». 63 64
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misère, l’amour de la royauté et du roi…»65), esortava tutta la popolazione di Parigi, «femmes de la halle, qui tous les ans portiez des bouquets à la reine, à la famille royale», gli abitanti dei fabourgs Saint-Antoine e SaintMarcel, a riunirsi per scongiurare il regicidio. Lo scritto valse all’autore la detenzione alla prigione dell’Abbaye, in seguito all’arresto compiuto dalla sezione delle Quatre-Nations, poiché sorpreso a vendere personalmente il suo libello antirepubblicano nei giorni immediatamente precedenti l’esecuzione. Ne dava notizia il settimanale Les Révolutions de Paris del 19-26 gennaio 1793, nel quale si leggeva che «la surveille et la veille de l’exécution, il courut un petit pamphlet de douze pages in-8°, intitulé: Bréviaire des dames parisiennes pour la défense de Louis XVI. Le fanatique imbécille, auteur de ce misérable papier exhorte les femmes de Paris ‹à tirer leur bon prince de captivité …›»66. Nel rapido susseguirsi di votazioni e decisioni in seno alla Convenzione, l’impegno per iscritto era sorretto da un coinvolgimento personale che non si limitò al semplice colportage dei propri libelli per le vie della capitale, come era stato per l’abate Solignac. Vi fu chi arrivò sino alla cinta dell’assemblea rappresentativa per convincere i deputati a sospendere in extremis l’esecuzione della condanna a morte. Fu questo il caso di Jean-Etienne-François Marignié, già autore di un libello intitolato Le procès de Louis XVI en quatre mots in difesa dell’accusato, che all’indomani della votazione sul sursis redasse nello spazio di una notte una Pétition de grâce et clémence pour Louis XVI con l’intento di leggerla davanti alla Convenzione il 20 gennaio. Il tentativo fu senza successo e a Marignié non restò che pubblicare la sua petizione di grazia non solo per testimoniare i suoi sentimenti compassionevoli nei confronti dello sfortunato monarca ma per denunciare altresì l’atteggiamento della Convenzione che aveva soffocato la sua voce negandogli la possibilità di parlare pubblicamente e dunque di agire in favore del condannato. A questo scopo, la Pétition era preceduta, come annunciato nel sottotitolo del libello67, da un avviso che dava conto della giornata del 20 gennaio trascorsa all’interno della sala della Convenzione nella speranza che la propria
Bréviaire des dames parisiennes pour la défense de Louis XVI, s.l.s.d, p. 8. Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, An Second de la République, Quinzième Trimestre, du 19 au 26 janvier 1793, p. 195. 67 Pétition de grâce et clémence pour Louis XVI. Dont la lecture m’a été refusée à la séance du dimanche 20 du présent mois de janvier 1783 [sic], malgré tous les efforts que j’ai faits pour l’obtenir, et dont je rends un compte exacte dans l’avvertissement qui suit. Marigné, A Paris, Chez tous les marchands de nouveautés, 1793. 65 66
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petizione venisse letta durante l’unica seduta utile allo scopo. Saputo che l’appello sulla domanda di sursis aveva dato esito negativo, Marignié la mattina del 20 si recò precipitosamente dove sedeva la Convenzione, riuscendo a penetrare nello spazio riservato ai soli deputati con il suo scritto informe composto durante la notte e una lettera indirizzata al presidente per richiedere di poter essere ascoltato dall’assemblea. Consegnata, tramite un usciere, la lettera al presidente Vergniaud, Marignié attese pieno di inquietudine. A un certo punto gli passò di fianco il deputato Barbaroux, uno dei pochi che fosse in grado di riconoscere: «Je l’arrête, et le prie de m’écouter. Je lui dis quel motif m’attire à l’assemblée. Son étonnement me paroît grand et me surprend à mon tour. Il exprime par l’interjection française qu’on ne peut pas écrire, et ajoute: vous ne serez pas entendu. Je veux répondre, et il me réplique: je souhaite au reste que vous le soyez. Il s’éloinge»68. Dopo un tempo che a Marignié parve lunghissimo, durante il quale, notato dall’usciere, fu condotto in un’altra zona della sala, giunse l’atteso momento della lettura delle petizioni rivolte all’assemblea. Tuttavia, il compito quotidiano di leggere le richieste dai cittadini fu quel giorno rinviato all’indomani. Preso dall’agitazione, Marignié si diresse nuovamente tra i ranghi dei deputati dove, questa volta, riconobbe JeanPascal Rouyer, al quale spiegò la situazione e che si prestò ad andare dal presidente affinché lo persuadesse a concedere al postulante di parlare davanti all’assemblea prima che la seduta del giorno fosse tolta. Ma neppure questa intercessione gli valse l’opportunità sperata. A quel punto Marignié stesso si diresse precipitosamente verso il presidente come ultimo estremo tentativo: «Vous êtes M. Vergniaud?» gli domandò, «Oui» gli fu risposto… I deputati, ormai tutti in piedi, cominciavano a defluire dalla sala. «Monsieur» gridò allora a Vergniaud, «je suis Marignié; proposez donc d’entendre la pétition de grâce et de clémence pour Louis, dont je vous ai fait la demande. Pourquoi ne l’avez-vous pas fait déjà? Eh!» gli rispose il presidente animatamente, «si j’en avois seulement fait la proposition, j’aurois été lapidé…». L’assemblea era sciolta, gli spettatori cominciavano ad abbandonare le tribune e i deputati si allontanavano. A Marignié, disperato, non restava che pubblicare inutilmente ciò che non aveva potuto esprimere a voce. «Je le ferai, je le dois à mes sentimens» disse al presidente della Convenzione, «et j’ajouterai, je vous en préviens, les paroles que vous m’avez répondues, où vous avez interprété l’esprit de la convention». Vergniaud sorpreso chiese un chiarimento: «Vos paroles, monsieur», gli
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Ibidem, p. 5.
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ricordò Marignié: «Si j’en avois fait seulement la proposition j’aurois été lapidé». Vergniaud gli rispose che non sapeva di cosa stesse parlando, e con impazienza affermò che riceveva talmente tante lettere e petizioni che ignorava il motivo della sua. «Ah! Vous savez fort bien ce que je vous ai dit», ribatté Marignié, «vous m’avez bien entendu, et votre réponse y est trop conforme. Je vous répète que tout sera rendu public». A quel punto Vergniaud, spazientito gli rispose di fare ciò che volesse ma che tanto lo avrebbe sconfessato. «J’imprimerai cela aussi», gli gridò allontanandosi, «la douleur et le désespoir dans le cœur»69. È questo resoconto, che precede la petizione, a rendere interessante questo libello che in sé non offriva di fatto molto di nuovo rispetto a quanto spesso affermato in difesa dei buoni sentimenti e delle buone azioni di Luigi XVI, sebbene testimoniasse l’opinione di chi il re non l’avesse mai conosciuto70. I toni drammatici della narrazione restituiscono il coinvolgimento in prima persona alla causa in corso, la volontà di partecipare direttamente nello spazio dove le parole avevano una possibilità di azione superiore a qualsiasi altro, quello della tribuna della Convenzione. A quest’uomo «sans fonction, sans caractère public», sarebbero valse le lodi durante la Restaurazione71. Nell’immediato, pare che lo stampatore della Pétition de grâce et clémence pour Louis XVI fosse oggetto di perquisizioni e che Marignié ritenesse più prudente lasciare la Francia per riparare, dopo un soggiorno in Svizzera e in Germania, in Inghilterra72.
Ibidem, pp. 7-8. La petizione di grazia e clemenza poggiava sulle buone azioni di Luigi XVI, principalmente l’amore per la libertà che egli aveva risvegliato convocando dopo quasi due secoli gli Stati Generali: «Grâce, clémence pour lui, citoyens, au nom de ces actes précurseurs de la liberté, de l’égalité, de la tolérance que je viens de retracer» (p. 16) Se la sentenza, egli affermava, era giusta la sua esecuzione sollevava tuttavia orrore e sentimenti di umanità per un uomo condannato a morte. Luigi, inoltre, che egli non conosceva personalmente, si era distinto, affermava Marignié, per le sue qualità morali quali la modestia e il coraggio. 71 Ci si riferisce a Maurice Méjan, autore di una Histoire du procès de Louis XVI, dédiée à S. M. Louis XVIII in due volumi pubblicata nel 1814. L’autore che riportava ampi passaggi del resoconto della giornata del 20 gennaio presso la Convenzione e della petizione di Marignié (pp. 511-520), concludeva con parole di encomio al suo indirizzo: «Maintenant, lecteurs, quel est de vous qui ne voudrait pas s’appeler Marignié? – Honneur, honneur éternel, à ce courageux citoyen, qui, sans fonction, sans caractère public, se constitua, de son propre mouvement, le véritable représentant des principes et des cœurs français!» (p. 520). 72 Biographie des hommes vivants, ou Histoire par ordre alphabétique de la vie publique de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs actions ou leurs écrits. Ouvrage entièrement neuf, rédigé par une société de gens de lettres et de savants, t. IV, Paris, Chez G. Michaud, 1818, p. 349. 69 70
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5. Gli scritti contro. Nel corso del processo non mancarono le voci a sostegno del giudizio e della condanna di Luigi XVI. Il re era senza dubbio colpevole, ma la maniera di giudicarlo e la pena da comminargli costituivano l’oggetto di una discussione pubblica risolutamente repubblicana. Nei pamphlet favorevoli al processo, immediato o secondo la legge, il tipo di comunicazione adottata presentava, tuttavia, caratteristiche molto diverse rispetto a quelli redatti a sostegno, lato sensu, di Luigi XVI. Non era solamente una questione di destinatari, che spesso erano comunque i membri della Convezione o, più genericamente, i francesi. Alle Réflexions, Mémoires, Appels, sul processo di Luigi XVI e alle difese ‘tecniche’, si opponevano libelli brevi che offrivano una percezione ‘dal basso’ della causa nella quale tutti si sentivano chiamati a partecipare. L’utilizzo della messa in scena di una situazione fittizia (dialoghi tra Luigi XVI e la moglie, o un cittadino, o un confessore, ma anche, come si è visto tra due sans-culottes), e di un linguaggio colorito volutamente scurrile, teatralizzava73 la trasmissione dell’opinione, optando per un sistema di comunicazione che appariva più consono ai gusti di un pubblico ‘popolare’, vieppiù se si considera come spesso la lettura non fosse un gesto privato ed intimo, bensì collettivo. Nondimeno le opinioni espresse in questi pamphlet riflettevano punti di vista differenti, specchio, se non emanazione, del dualismo presente in seno alla Convenzione, dell’opposizione tra Gironda e Montagna. Accanto alle dichiarazioni di sostegno giunte alla Convenzione da tutta la Repubblica durante il processo74, vi erano comunque manifestazioni di dissenso da parte di veri patrioti che diffidavano della buona fede repubblicana di una fetta della Convenzione. Come si è detto, ad un certo punto l’assemblea si era trovata a doversi confrontare con alcuni libelli che, sebbene favorevoli al giudizio di Luigi XVI, di fatto contestavano l’operato dei rappresentanti della nazione. L’anonimo Républicains, guillotinez-moi ce Jean-Foutre de Louis XVI, et cette putain de Marie Antoinette, d’ici à quatre jours, si vous voulez avoir du pain. Et vous députés royalistes, lisez-moi, et écoutez mes conseils, ou sinon vous serez racourci, firmato da un «Commissaire National», «vrai Républicain, vrai Patriote, vrai Sans-Culotte», era tanto un pamphlet ingiurioso nei confronti dell’accusato, re scellerato, stupido, ignorante e brutale, quanto minatorio nei confronti dei «meneurs royalistes
Sugli imprimés populaires-théâtreaux si veda l’introduzione di O. Elyada, Presse populaire et feuilles volantes de la Révolution à Paris 1789-1792. Inventaire méthodique et critique, Préface de M. Vovelle, Paris, Société des Études Robespierristes, 1991. 74 Cfr. per il periodo del processo Seligman, La justice en France, t. 2, pp. 453-458. 73
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de la convention nationale» che distruggevano tutto ciò che i loro «bons collègues font pour le soulagement du peuple», ostacolandoli, e che affamavano il popolo arrabbiato. Quest’ultimo, li ammoniva l’anonimo autore, non avrebbe mancato di punirli riservando loro la stessa sorte del loro padrone, lo scellerato Luigi XVI75. L’appello a un giudizio repentino nei confronti del sovrano decaduto era accompagnato quasi inevitabilmente a una critica nei confronti degli indugi mostrati dalla Convenzione la quale, come si è visto, si era dovuta confrontare presto con questo tipo di pamphlet. «Il grido del popolo», al contrario, si levava senza indugio per invocare la giusta punizione del tiranno come strumento di vendetta per sé e di salvezza per la Repubblica e la libertà76. In questa varietà di opinioni vi era anche chi prendeva la difesa della Convenzione, sostenendo l’accusa della colpevolezza di Luigi XVI e il partito della pena di morte, come nel breve pamphlet anonimo La Convention nationale justifiée ou Louis Seize traité come il l’a mérité. La morte di un cittadino, di norma non autorizzata dal diritto, risultava al contrario necessaria quando, sebbene privato della libertà, «il a encore des relation, et une puissance consacré par le préjugé, qui peuvent troubler la tranquillité de la nation, quand son existence peut produire une révolution dans la forme du gouvernement établi»77. Dai torchi di Pierre Provost, prolifico stampatore repubblicano, uscirono Le procès de Louis XVI, mis au cachot 78 e J’attends la tête de l’assassin Louis XVI, pamphlet che veicolavano l’opinione della Montagna non senza una lugubre originalità stilistico-narrativa: «Il est temps que ce traître marche le premier à la Guillotine, pour y recevoir la récomDi tenore ancora più virulento nei confronti della Convenzione è Législateurs, vous êtes des Jean-Foutres! Ou soutenez le peuple: Condamnez Capet le traître au supplice; faites votre devoir; rendez-nous justice, ou nous nous la rendrons nous-mêmes; voyez, et réfléchissez, par le Citoyen Bardin, De l’Imprimerie de Sans-Culottes, rue Mouffetard. Cfr. l’analisi sulla transizione della sovranità a proposito di questo pamphlet Viola, Il trono vuoto, pp. 156-159. 76 Le dernier cri du peuple à ses représentans: la mort du tyran ou c’en est fait de nous!, [Paris], De l’imprimerie de P. Provost, rue Mazarine, s. d. [1792]; Le cri du peuple sur la mort de Louis Capet, [Paris], Vinçard, s.d. vedeva nella punizione di Luigi Capeto la fonte della pace e della libertà per il popolo. Sul «Cris en Révolution» del popolo e l’utilizzo di un linguaggio poissard, Milliot, Les cris de Paris, pp. 325-328. 77 La Convention nationale justifiée ou Louis Seize traité come il l’a mérité, De l’Imprimerie Républicaine, rue de Thionville, p. 2. 78 Le procès de Louis XVI, mis au cachot, Pour ses forfaits dévoilés à la Convention Nationale, par le comité de surveillance, Nella prima pagina l’immagine della ghigliottina sovrastava il titolo e portava la legenda «J’attends». Di questo pamphlet esiste un’edizione recente, ristampa non anastatica, priva di commento: La guillotine. Le procès de Louis XVI mis au cachot, Nîmes, Lacour, 2004. 75
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pense de ses scélératesse… Ce sang impur une fois répandu, la république est sauvée»79. Il pamphlet era costruito come un interrogatorio di Luigi XVI compiuto sulla base delle carte rinvenute al palazzo delle Tuileries, che ne provavano la colpevolezza. I capi d’accusa dell’interrogatorio immaginato dall’autore vertevano sulle giornate del 12 e 14 luglio, sul progetto di fuga per Varennes, sull’accaparramento di denaro da inviare ai propri fratelli con l’intento di pagare i soldati che marciassero contro la Francia, e naturalmente sull’ordine di sparare sui cittadini nella giornata del 10 agosto. Per tutti questi crimini Luigi meritava di salire al solo trono al quale potesse pretendere dei diritti, la ghigliottina. Quest’ultima era il soggetto di J’attends la tête de l’assassin Louis XVI, testo identico al precedente, ad eccezione di una breve introduzione anteposta all’interrogatorio, dove era facile riconoscere le frasi ad effetto e le argomentazioni efficaci del discorso di Robespierre del 3 dicembre: «Louis a été traître à la nation, criminel envers l’humanité, en conséquence la guillotine l’attend, sur la place où par son ordre, nos pères, nos frères, et nos plus proches parens ont été égorgés»80. Non tutti gli scritti pubblicati contro l’accusato avevano gli stessi toni drammatici o minacciosi della vendetta. A fianco di quelli ‘arrabbiati’, per così di dire, non mancavano i pamphlet che si servivano dell’ironia e di uno stile dichiaratamente derisorio per affrontare una questione seria come il processo del re di Francia. Questi scritti satirici ovviavano, in un certo senso, al silenzio delle immagini caricaturali della coppia reale che, molto diffuse e popolari nel periodo precedente alla caduta della monarchia, avevano lasciato il posto durante il processo a rappresentazioni meramente descrittive della cattività al Tempio81. Al contrario in alcuni pamphlet, la vita in prigione della coppia coronata era rappresentata come una continua
Le procès de Louis XVI, mis au cachot, Pour ses forfaits dévoilés à la Convention Nationale, par le comité de surveillance, [Paris], De l’Imprimerie de Provost, s.d., pp. 2, 3. L’immagine del sangue reale sparso sul suolo francese e della sua funzione rigeneratrice è ricorrente nella pamphlettistica del genere, ripresa anche in una celebre raffigurazione della testa decapitata di Luigi XVI di Villeneuve Matière à refléxion pour les jongleurs couronnées, dove si legge «qu’un sang impure abreuve nos sillons». Cfr. Viola, Il trono vuoto, pp. 157-158; A. Duprat, Le roi décapité. Essai sur les imaginaires politiques, préface par Claude Langlois, Paris, Les éditions du Cerf, 1992, pp. 52-53. 80 J’attends la tête de l’assassin Louis XVI, [Paris], de l’Imprimerie de Provost, s.d., p. 2. Queste le celebri parole di Robespierre: «Quant à Louis, je demande que la Convention nationale le déclare, dès ce moment, traître à la nation française, criminel envers l’humanité; je demande qu’à ce titre il donne un grand exemple au monde, dans le lieu même où sont morts, le 10 août, les généraux martyrs de la liberté…» (Archives parlementaires, t. LIV, p. 77. 81 Cfr. Duprat, Le roi décapité, pp. 51-52. 79
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disputa, dai toni accesi e dai gesti violenti, nella quale i due coniugi si rinfacciavano reciprocamente la colpevolezza per i crimini commessi82. Il registro satirico, in questi casi, aggiornava alla situazione della prigionia un cliché caricaturale (Luigi-ubriacone, Maria Antonietta-arpia) che apparteneva ormai all’immaginario pubblico e che, come ha osservato Annie Duprat, aveva già simbolicamente messo a morte il re da oltre un anno83. Diversamente, i numerosi scritti dovuti alla penna del prolifico pubblicista Louis Boussemart, celavano dietro il genere satirico un messaggio politico ben preciso rispetto al processo in corso. Attraverso dialoghi che vedevano sempre per protagonista l’alter ego dell’autore, il Républicain Moustache, impegnato a prendere la difesa di Luigi XVI in qualità di avvocato, a condurlo agli inferi, o ancora a parlare con i predecessori dell’accusato84, veniva veicolato esplicitamente un messaggio politico ben preciso: Luigi
Così il libello di Denis Tremblay, Nouvelle scène tragi-comique et nullement héroïque, Entre M. Louis Bourbon, Maître Serrurier au Temple, et Madame Marie-Antoinette, sa femme, Archiduchesse d’Autriche, autrefois reine de France, et blanchisseuse de surplis, des desservants des chevaliers du ci-devant ordre de Malthe, et ouvrière en corps d’enfans, [Paris], De l’Imprimerie de Tremblay, s.d. In questo dialogo, Luigi rinfacciava alla moglie di averlo indotto a compiere scelte che lo avevano condotto a quella situazione (secondo un luogo comune che attribuiva a Maria Antonietta una grande responsabilità nelle scelte antirivoluzionarie di Luigi XVI). La discussione degenerava ad un certo punto in una bagarre in cui volano schiaffi e graffi da entrambe le parti e con un’invettiva della regina ricalcata sui versi pronunciati da Camille nell’Horace di Corneille. Nel pamphlet di Nicolas Prévost, Les nouvelles du Ménage royal sans dessus dessous. Ou la fluxion royale de Marie-Toinon, et Louis son mari, garçon Sérurrier, au Temple; avec un détail de leur grande dispute, et les nouvelles de leur ménage envoyées à Coblentz, par un Sans-Culotte, [Paris] De l’Imprimerie de Ferret, s.d., Luigi era ubriacone violento nei confronti della moglie che gli rinfacciava di aver pagato degli scrittori che diffondessero libelli nei quali tutte le responsabilità delle proprie azioni ricadevano su di lei. Il dialogo si concludeva con l’intervento di un terrassier che, udito il dialogo tra Luigi e Maria Antonietta (chiamati Monsieur e Madame Véto) da sotto le finestre della prigione, esclamava che «il pourrait fort bien arriver que cette cour de convention nationale, n’entendit pas raison, et que vos sacrées têtes payassent les pots cassés de tout ça… au reste, quand on a affaire à des traîtres, il faut s’en débarasser [sic]». A quel punto la coppia reale prendeva coscienza del pericolo che incombeva sulle loro teste, la ghigliottina. Mentre Luigi attendeva la sua razione di vino per dimenticare, Maria Antonietta in disparte chiudeva il dialogo in maniera da non lasciare dubbi al lettore: «Tâchons de profiter de son yvresse, que ne va pas tarder, pour lui faire encore quelques bévues… et s’il ne nous reste que quelques jours, à nous moquer de la nation, tâchons de bien couronner la fête» (p. 8). 83 Duprat, Le roi décapité, p. 17. 84 Louis Boussemart, Le défenseur officieux de Louis Capet au Temple; L’interrogatoire qu’il lui a fait subir; arrivée subite du Patriote Moustache, qui se charge de sa cause. Dialogue, [Paris] De l’imprimerie de Feret, s.d.; Descente de Louis Capet aux enfers, introduit par le Patriote Moustache. Sa conversation avec tous les Diables, et la rencontre qu’il fait du major des Suisses, et de 82
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era colpevole, il processo era giusto, tuttavia la condanna non poteva essere la morte, bensì la messa al bando85. Negli scritti repubblicani, la questione della colpevolezza veniva affrontata distintamente dal punto di vista del giudizio e della pena, rispecchiando le evoluzioni del dibattito che avrebbe spaccato le opinioni interne alla Convenzione. Luigi era colpevole, ma non doveva forse essere giudicato dal popolo, come sostenevano alcuni pamphlet firmati da anonimi sans-culottes (o i girondini)? Luigi era colpevole, ma era necessario condannarlo alla pena capitale? L’approssimarsi della condanna produsse una vague di pamphlet che, ricorrendo ancora alla finzione letteraria, mettevano in scena le confessioni di Luigi XVI negli ultimi giorni precedenti alla sentenza. Come ha osservato Paolo Viola, immaginare le parole di Luigi di fronte alla morte costituiva uno stereotipo comunicativo di molta pubblicistica popolare del periodo: «il rituale della pena capitale prevedeva, subito prima del supplizio, la confessione delle proprie colpe al potere spirituale e temporale. E così la sovranità popolare si compiace di ricevere l’ultimo discorso del re»86. Le confessioni e l’addio alla famiglia di Luigi XVI aggiungevano le parole, in chiave ironica, a un’iconografia molto fortunata contemporanea di matrice realista che ritraeva drammaticamente il condannato mentre prendeva commiato dalla sua famiglia, lacerata dalla disperazione87. Anche M. Thierry son valet-de-chambre, [Paris] De l’imprimerie de Feret, s.d. Nel periodo successivo alla fuga di Varennes, Boussemart aveva composto il breve Conseil d’un homme libre à Louis XVI nel quale lo invitava a diventare re costituzionale, re cittadino. Boussemart si serviva di un procedimento letterario già ampiamente sfruttato da Hébert nel suo giornale Le Père Duchesne nel quale più volte l’alter ego del giornalista riferiva di incontri con personaggi importanti del mondo come il re o la regina. Cfr. M. Biard, Parlez-vous sans-culotte?, p. 11 nota 1. 85 Questa opinione viene espressa in maniera più seria da Boussemart ne Sentiment du Républicain Moustache, Sur la personne de l’incivique Capet; son avis sur la conduite que la convention nationale doit tenir à l’égard de ce criminel de lèze-nation; si elle veut prouver que la France est république et libre, [Paris], De l’Imprimerie de Feret, s.d. Cfr. Viola, Il trono vuoto, pp. 158-159; Jugement de Louis Capet, Avec les pièces justificatives de conspiration, présenté à la Convention Nationale, par le Criminaliste Boussemart, patriote à Moustaches, [Paris], De l’Imprimerie de Feret, s.d. 86 Viola, Il trono vuoto, p. 155. 87 Una scena che ebbe una grande fortuna iconografica, grazie al quadro del pittore inglese Charles Benazech, The last Interview between Louis XVI and his Family (1793) poi ampiamente diffusa in tutta Europa per mezzo di incisioni a stampa. Sempre in Inghilterra, questo quadro ebbe un’altrettanto fortunata versione parodica nell’incisione di James Gillray, Louis XVI Taking Leave of his Wife and Family, pubblicata nel marzo 1793. Cfr. R. Reichardt – H. Kohle, Visualizing the Revolution. Politics and the Pictorial Arts in Late Eighteenth-Century France, translated from the German, London, Reaktion Books, 2008, pp. 86-88; Duprat, Le roi décapité, pp. 17, 209.
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in questo caso, le parole scritte colmavano il silenzio delle immagini caricaturali del sovrano nel momento più drammatico della sua esistenza. Così Les adieux de Louis XVI, à ses enfans Et à sa Sœur Elisabeth, En les quittant pour se rendre au Sénat du Peuple souverain, et les Reproches qu’il fait à son infâme épouse, d’avoir suivi ses conseils, inscenava il momento in cui Luigi XVI porgeva l’ultimo saluto ai familiari per andare sul patibolo. Maria Antonietta era designata nel dialogo come la vera responsabile delle azioni del marito: nessun pentimento trapelava dalle sue parole, ma solo disprezzo e alterigia nei confronti di un uomo che si era fatto sottomettere alla volontà dei propri sudditi. Luigi, per tutta risposta, esprimeva parole di accusa nei confronti della moglie che aveva provocato con i suoi consigli la fine del suo regno, ma nello stesso tempo manifestava un sentimento di accettazione nei confronti della punizione che lo attendeva per i crimini comunque commessi. Luigi aveva capito quanto era successo, questo era il senso del dialogo: se accettava il proprio destino, malgrado la colpa fosse stata quella di aver seguiti i cattivi consigli della moglie, era perché aveva compreso le ragioni giuste di chi lo stava mandando al patibolo. «Chez toutes les nations, madame» diceva Luigi rivolto a Maria Antonietta, «celui qui règne en despote, subira mon sort. Les cruautés de François-Joseph-Charles, votre parent, sont trop grandes, pour qu’il ne succombe pas aux complots de vos forfaits; et je vous le dis, si les français font tomber ma tête, les Autrichiens feront tomber la sienne. Lassés de ses vexations, et voyant un peuple devenu libre se porter dans leurs états, ils secoueront le joug, et le mettront lui-même dans les fers»88. In fondo, questa confessione mostrava come Luigi XVI reo confesso, fosse passibile di indulgenza, quella stessa che egli invocava presso il popolo e la Convenzione: «je vais paroître devant un peuple outragé, devant mes Juges, devant Dieu. Puissent-ils tous trois être indulgens! Le Peuple, par sa vengeance; mes Juges, par la Loi; et Dieu pour mon âme»89. Alcune delle confessioni del condannato redatte prima dell’esecuzione contenevano in Les adieux de Louis XVI, à ses enfans Et à sa Sœur Elisabeth, En les quittant pour se rendre au Sénat du Peuple souverain, et les Reproches qu’il fait à son infâme épouse, d’avoir suivi ses conseils [Paris], De l’imprimerie de P. Provost, s.d., p. 5. 89 Ibidem, p. 2. Un altro esempio di confessione in cui Luigi afferma di aver agito dietro consiglio della regina è costituito dal pamphlet La Vengeance nationale et les Adieux de Louis Capet à sa famille. Détail exacte de tout ce qui s’est passé à la tour du Temple, depuis le moment où le jugement de Louis Capet fut connu à ce scélérat et à ses défenseurs jusqu’à celui où il monta l’échafaud pour être guillotiné, [Paris], De l’Imprimerie de Tremblay, s.d. Composto dopo l’esecuzione, il pamphlet immaginava il momento in cui De Sèze comunicava a Luigi l’esito dell’appello nominale e i pensieri e le confessioni del re condannato. Su questo pamphlet, cfr. Viola, Il trono vuoto, pp. 154-155. 88
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effetti una più o meno esplicitata domanda di grazia e perdono che il popolo avrebbe potuto concedere per magnanimità90; altre all’opposto, servendosi di un registro più satirico, mostravano in fondo un uomo che sino alla fine sembrava non aver capito cosa stesse succedendo91. Il carattere marcatamente fittizio di questi dialoghi spingeva alcuni autori ad immaginare dei confessori scelti da Luigi per raccogliere l’ammissione delle colpe da lui commesse. Nella Confession générale de Louis Seize, dernier roi des français, au révérend père Chabot, Législateur patriote, et ex-capucin, pour se préparer à la mort, era il deputato montagnardo François Chabot, ex frate cappuccino, strenuo sostenitore del processo, che avrebbe votato per la morte di Luigi XVI, a ricoprire il ruolo di confessore. A un lettore avveduto tale scelta poteva già suggerire il tenore della confessione. Il condannato si dichiarava colpevole di tutti quanti i crimini che gli erano stati imputati come se di fatto rispondesse a un vero e proprio interrogatorio92. Non c’era in effetti assoluzione o condanna da parte di Chabot che alla fine prendeva congedo dal reo, esortandolo ad attendere «pure et sans tache» il giudizio che degli uomini integri avrebbero pronunciato. Di posizioni decisamente più temperate era il confessore designato da Luigi XVI nel libello di Nicolas Prévost Véritable confession de M. Veto, Maître serrurier, Fabriquant au Temple, et roi de Coblentz, à l’abbé Fauchet, Evêque du Calvados, Député à l’assemblée nationale, et l’un des vainqueurs de la Bastille. Si trattava, come annunciato dal titolo, del deputato Claude Fauchet, anch’egli, come Chabot, ecclasiastico, che inizialmente aveva osteggiato il processo e in conclusione aveva votato per la reclusione. Luigi XVI nella conversazione con il proprio confessore era rappresentato tutt’altro che predisposto alla confessione e al pentimento, riluttante se non incapace di rispondere alle domande postegli dal confessore per ignoranza dichiarata nei confronti del compito al quale era stato chiamato come re. Luigi appariva stupido («vous voulez qu’un roi soit obligé de penser!»), sacrilego («est-ce que les rois ont une âme?») dispotico e capriccioso («J’ai fait ce que jai voulu, et ça ne vous regarde pas…») e incurante alla fine del dialogo di non ricevere l’assoluzione del confessore («Eh! je m’en fouts!»). Il pamphlet si concludeva con una sorta di insegna-
Così anche L’ agonie de Louis XVI, et ses aveux A la nation de tous ses crimes et de ses complices, [Paris], De l’Imprimerie de Provost, s.d. Cfr. Viola, Il trono vuoto, pp. 155-156. 91 Louis Boussemart, Le mea culpa du ci-devant veto, maintenant zéro, à la nation française, l’aveu qu’il fait de ses crimes et les réponses du patriote Moustache, [Paris], Chez Guilhemat, s.d. 92 Il libello, si leggeva alla fine, era in vendita presso tutti i librai, presso gli amici della Rivoluzione, e in rue Percé, «entre les mains des braves sans-Culottes Colporteurs». 90
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mento morale sulla natura dei re, dei bruti incapaci di intendere il linguaggio della ragione e dell’umanità: «quand on veut leur parler raison ou humanité, ils sont comme des brutes, flattez leur tyrannie, ils vous entendent»93. Di lì a poco, subito dopo l’esecuzione, il testamento redatto dallo stesso Luigi XVI fu reso noto e conobbe peraltro una grande fortuna ‘editoriale’. La finzione cedette il posto alla realtà e ognuno poté infine conoscere i sentimenti di Luigi XVI rispetto al processo e prima ancora rispetto alla Rivoluzione. Nel periodo immediatamente successivo all’esecuzione, anche per la lentezza dei tempi di stampa, la discussione nello spazio pubblico attorno al processo di Luigi XVI o semplicemente attorno al re martire continuò attraverso l’opera della stampa. Il testamento di Luigi XVI, reso noto dopo il 21 gennaio, conobbe numerose edizioni e traduzioni, così come la difesa di De Sèze94. Alla esplicita indignazione di chi protestava contro il giudizio della Convenzione95, si contrapponevano le numerose manifestazioni di plauso pervenute e lette Cfr. anche nota 68. Nicolas Prévost era libraio e si qualificava anche come editore, di sentimenti repubblicani, militava nella sezione Chalier di Parigi. Cfr. J. D. Mellot – E. Queval, Répertoire d’imprimeurs/libraires (vers 1500-vers 1810), Nouvelle édition mise à jour et augmentée (5200 notices), Paris, Bibliothèque nationale de France, 2004, p. 458. 94 Testament de Louis XVI dernier roi des Français; ses dernières paroles sur l’échafaud. Et le procès-verbal des commissaires nommés par le conseil exécutif, pour assister à son exécution, A Paris, de l’Imprimerie de Caillot et Courcier, s.d. La difesa di De Sèze fu tradotta in inglese seguita dal testamento di Luigi XVI: The Defence of Louis XVI as delivered at the Bar of the National Convention, Wednesday, 26th December, 1792. By De Seze, On of His Counsel. As published at Paris by order of the Convention. Translated from the French. To which is added, some Reflections on a late Melancholy event; with the Will of His Late Majesty, London, Printend for Hookham and Carpenter, 1793. Il testamento ebbe anche edizioni indipendenti con testo a fronte in francese, con il ritratto di Luigi XVI: The Will of Louis the Sixteenth, Late King of France, Writtend by Himself – Testament de Louis Seize, ci-devant roi de France, Ecrit par lui, London, Printend at the Minerbs Press, for William Lane, s.d. Esistono edizioni in italiano tanto della difesa quanto del testamento: Arringa in difesa del re Luigi XVI recitata da **** Deseze in nome de’ suoi compatrocinatori alla sbarra della Convenzione nazionale il dì 26 dicembre 1792. Tradotta fedelmente nell’Italiana Favella, In Cremona, Per Lorenzo Manini Regio Stampatore, 1793; dagli stessi torchi uscirono anche una Vera ed imparziale relazione dell’assassinio ordinato dalla così detta Convenzione nazionale di Francia nella sacra persona di sua maestà cristianissima Luigi XVI di Borbone re di Francia e di Navarra, il benefico, Con l’epilogo dei fatti più importanti, che le precedettero, e della morte della Maestà Sua incontrata con eroica e cristiana fermezza il dì 21 p. p. Gennajo 1793 in Parigi. Il tutto desunto dai Fogli stessi pubblicati in Francia, al quale seguiva il Testamento di Luigi XVI, scritto da lui medesimo, letto nella Sessione della Comune di Parigi il 21 Gennajo 1793. Diverse sono anche le Ludwigs des XVI Königs in Frankreich letze Lebenstage. 95 Si veda ad esempio la Protestation présentée au peuple français, contre le jugement de Louis XVI, A Paris, Chez les marchands de Nouveautés, 1793. 93
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alla Convenzione tra gennaio e febbraio96. Nella seduta del 31 gennaio, il deputato Pierre Nicolas Philippeaux, strenuo sostenitore del processo di Luigi XVI e che al momento degli appelli nominali aveva votato contro il ricorso dell’appello al popolo e per la morte, propose e subito la Convenzione decretò «qu’il ne sera plus imprimé ni distribué d’opinions sur le jugement de Louis Capet»97. Il decreto faceva probabilmente riferimento alle opinioni dei deputati dell’assemblea rappresentativa che, come attestato dagli Avis del Journal des Débats et des Décrets, continuarono ad essere stampati sino alla fine di gennaio e oltre. Esso testimoniava, nondimeno, la volontà in seno alla Convenzione di andare oltre il processo che l’aveva occupata per lungo tempo e di terminare, per così dire, la discussione al riguardo. Tuttavia, l’assemblea non tardò a prendere provvedimenti per quelle che, al di fuori di essa, continuavano ad essere stampate e distribuite in tutta la Francia diffondendo idee antirepubblicane e controrivoluzionarie. Stando al rapporto letto dal deputato François Lamarque a nome del Comité de sûreté générale, il 29 marzo 1793, in tutti i dipartimenti della Repubblica venivano diffusi a profusione «une infinité de brochures qui, depuis la mort de Louis XVI, appellent à grands cris la guerre civile, la dissolution de l’Assemblée nationale, le massacre des représentants du peuple, le rétablissement de la royauté, tous les fléaux, tous les malheurs de la tyrannie»98. Non si trattava solamente di opinioni ma di vera e propria propaganda realista nella quale si incitava il popolo a liberare il figlio di Luigi XVI e la sua famiglia, a riportarlo sul trono, cacciando i rappresentanti del popolo considerati come criminali. Il comitato aveva creduto «un moment que l’opinion publique suffirait pour rendre sans effet tous ces criminels écrits, ouvrages d’un despotisme sanguinaire ou de la plus abjecte servitude»99. Ma le denunce dei cittadini e i rapporti che gli erano pervenuti, lo avevano persuaso che tali scritti corrompevano e agitavano «l’esprit public», falsando le circostanze del tradimento e della morte dell’«ultimo tiranno» e presentando il ritorno dell’Ancien Régime come unico modo per ristabilire la pace. Come già era stato nel corso del processo, all’inizio del mese di dicembre, la questione della libertà di stampa e di opinione si affacciava nuovamente attorno alla medesima questione. Le conclusioni, tuttavia, a distanza di quattro mesi non erano più le stesse laddove veniva instaurata una differenza sostanziale tra i differenti tipi di opinione. «La liberté
Nelle settimane successive all’esecuzione giunsero alla Convenzione notificazioni di immediata adesione e plauso all’atto di giustizia nazionale compiuto il 21 gennaio, da varie parti della Francia: Archives parlementaires, t. LVIII, pp. 28, 29, 88, 92, 96. 97 Archives parlementaires, t. LVIII, p. 97. 98 Archives parlementares, t. LX, p. 698. 99 Ibidem. 96
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de la presse et la liberté d’opinions» continuava Lamarque «doivent être protégées dans tout gouvernement qui n’est pas arbitraire; mais il est évident pour tous, que cette liberté ne consiste nullement à pouvoir troubler avec impunité, par la manifestation de ses pensées ou de ses écrits, l’ordre public établi par la loi. Il est évident que cette liberté ne consistera jamais à pouvoir provoquer impunément la discorde, la guerre vicile, le renversement de la liberté, le règne de la tyrannie, et le massacre des représentants du peuple»100. Nello stesso giorno, la Convenzione approvò il progetto di decreto del Comité de Sûreté générale e stabilì la pena di morte per gli autori o gli stampatori di opere e scritti ritenuti responsabili di provocare la dissoluzione della rappresentanza nazionale e il ristabilimento della monarchia o di qualsiasi altro potere lesivo della sovranità del popolo101. Il decreto del 29 marzo 1793 estendeva all’opinione il decreto del 4 dicembre precedente, con il quale la Convenzione aveva stabilito la pena di morte contro chiunque avesse proposto o tentato di ristabilire in Francia la monarchia o qualsiasi altro potere che attentasse alla sovranità popolare102. Si trattava allora di dissipare, in seno alla stessa assemblea, il dubbio che l’incerto procedere del giudizio di Luigi XVI fosse una manovra ordita da una rete realista passibile di agire anche all’interno della stessa Convenzione. Ad esecuzione avvenuta, la Convenzione intendeva porre fine alla discussione, tanto al suo interno, quanto nello spazio pubblico. Dopo l’imponente «lotta delle opinioni» che aveva contraddistinto il processo di Luigi XVI, il periodo successivo sarebbe stato caratterizzato da una lotta alle opinioni103.
Ibidem. Ibidem, p. 700. Tre mesi di detenzione erano invece previsti per i venditori, distributori e colporteurs delle stesse opere, a condizione che denunciassero gli autori e stampatori; in caso contrario, la pena prevedeva due anni ai ferri. 102 Archives parlementaires, t. LIV, p. 351. 103 Tra le maglie del nuovo corso della giustizia rivoluzionaria cadde lo stampatore François Froullé dai cui tipi, nel corso del processo, erano usciti diversi scritti in favore di Luigi XVI ma che nella primavera del 1793 aveva pubblicato una Liste comparative des cinq appels nominaux. Faits dans les séance des 15, 16, 17, 18 et 19 Janvier 1793 nella quale si trovava inserita anche una Relation des vingt-quatre heures qui ont précédé la mort de Louis XVI. La lista degli appelli nominali rimetteva in causa una questione sulla quale i convenzionali erano particolarmente suscettibili, lo scarto dei voti a favore della pena di morte, e che li aveva indotti a pubblicare con estrema cura i risultati ufficiali della votazione. La relazione riguardante gli ultimi istanti di vita di Luigi XVI, insieme al suo testamento, raccontava una versione falsata dell’esecuzione. Froullé e il libraio Levigneur presso il quale erano state trovate copie della Liste comparative, furono arrestati alla fine di febbraio del 1794, con l’accusa di fornire pretesti per calunniare i rappresentanti del popolo e di condurre propaganda controrivoluzionaria e condannati a morte il 3 marzo successivo. Cfr. A. Duprat, Un réseau de libraires royalistes à Paris sous la Terreur, «Annales historiques de la Révolution française», (2000), 321, pp. 45-68. 100 101
IV LE RACCOLTE CONTEMPORANEE
Giornali, pamphlet, discorsi e opinioni dei membri della Convenzione nazionale: chi desiderava informarsi, conoscere e approfondire la discussione riguardante il processo di Luigi XVI aveva a disposizione un’ingente massa di materiale disponibile sul mercato librario in maniera eterogenea per tempi e luoghi di diffusione. Molti giornali, diffusi sebbene in modo ineguale e variabile su tutto il territorio nazionale, informavano dell’uscita di libelli riguardanti il processo, nelle rubriche dedicate agli annunci letterari. Il processo di Luigi XVI era un affare di editori oltre che di autori e lettori. Tuttavia, reperire gran parte di questa tanto eterogenea quanto cospicua mole di scritti rimaneva cosa difficile non solamente per i costi, ma anche e più spesso per i limiti della loro diffusione. In particolare, i pamphlet circolavano principalmente nella capitale, dove peraltro erano stampati; quanto alle opinioni dei membri della Convenzione, non è possibile stimare il livello di diffusione e vendita su tutto il territorio francese, ma sicuramente il loro numero era tale da poterne scoraggiare l’acquisto sistematico. Non è forse un caso che proprio due editori di giornali si facessero promotori, contemporaneamente allo svolgimento del processo, di un’iniziativa editoriale destinata ad ovviare ai limiti di diffusione, reperimento e costo dei documenti riguardanti il processo e a soddisfare la curiosità di un pubblico stimato molto vasto. A un mese dall’inizio del dibattito della Convenzione, nel dicembre 1792, cominciarono ad essere pubblicate due raccolte di opinioni sul processo di Luigi XVI che avevano lo scopo di informare, in modo imparziale, coloro che desideravano conoscere, in maniera completa, la discussione in corso dentro e fuori l’assemblea rappresentativa. Se queste iniziative nascevano dell’opportunità di un guadagno da parte degli editori, esse erano altresì parte integrante della discussione che si proponevano di fare conoscere, veicoli a loro volta, attraverso la scelta dei documenti pubblicati, di un’opinione particolare.
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1. Le pour et le contre. Il 18 novembre 1792, il quotidiano dell’editore-stampatore Buisson le Annales patriotiques et littéraires de la France, et des affaires politiques de l’Europe dava notizia dell’imminente uscita di un’opera a fascicoli dedicata al processo di Luigi XVI: Le pour et le contre, ou Recueil des Discours de l’Assemblée conventionnelle, concernant le procès de Louis XVI. Il progetto degli editori era molto semplice, si leggeva nella rubrica letteraria del giornale: «ils veulent publier dans toute leur intégrité les discours et opinions, pour ou contre, prononcés à la tribune de la Convention nationale dans le procès de Louis XVI, et toute la suite des pièces auxquelles cette importante affaire peut donner lieu; ils se sont assurés du texte fidèle des pièces qu’ils publieront sans réflexions»1. La raccolta sarebbe stata venduta esclusivamente su abbonamento e consegnata ai sottoscrittori ogni tre giorni in forma di quaderni di 48 pagine ciascuno nel formato in-8°, a cominciare dal 1° dicembre. Nelle Annales patriotiques del 14 dicembre si leggeva che la raccolta aveva già ottenuto un grande successo di pubblico. «On connoît le plan de ce recueil impartial, qui jouit du plus grand succès: il en paroît déjà cinq cahiers»2. La pubblicazione si protrasse per quattro mesi, da dicembre al marzo successivo, ben oltre dunque la conclusione del processo, per un totale di 7 volumi comprendenti i discorsi dei deputati della Convenzione, i documenti ufficiali riguardanti il processo, i resoconti di alcune sedute assembleari, gli appelli nominali, il rapporto dell’esecuzione e il testamento di Luigi Capeto. Come annunciato nella rubrica delle Annales patriotiques la raccolta intendeva proporre ai lettori interessati i testi completi dei discorsi pronunciati dai deputati della Convenzione così come i documenti processuali ufficiali, senza l’aggiunta di commenti a garanzia di una totale imparzialità. In apertura del primo tomo, dunque del primo fascicolo, un Avis des Éditeurs rivelava, tuttavia, non solo gli intenti dell’opera, ma anche una velata posizione dei suoi compilatori rispetto alla causa in corso.
Annales patriotiques et littéraires, n° CCCXXIII, Dimanche 18 novembre 1792, p. 1442. La sottoscrizione dell’abbonamento poteva essere fatta direttamente all’editore Buisson o presso tutti i librai della Repubblica, della Savoia de del Belgio. I fascicoli, venduti ciascuno al prezzo di 12 soldi, non potevano essere acquistati separatamente. La notizia apparve identica il 20 novembre nel numero 325 del Moniteur Universel (t. 14, p. 520). Cfr. la stessa notizia ne Le patriote français, n° 1213, Du jeudi 6 décembre 1792, l’an 1er de la République, p. 648. La tempestività con cui prontamente tali notizie erano date ai lettori, rispondeva a esigenze di vendita e pubblicità. 2 Annales patriotiques et littéraires, n° CCCXLIX, p. 1560. 1
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C’est une grande et auguste transaction que celle d’un peuple faisant juger, par ses représentans, celui à qui il avoit confié le pouvoir exécutif de sa constitution, et qui paroît en avoir abusé pour opprimer la liberté naissante! d’un peuple qui, échappé aux machinations perfides conçues pour le replonger dans l’esclavage, a repoussé la guerre impie que lui faisoient les complices de son ancien maître jusques sur le territoire des rois conjurés, qui tremblent à leur tour! Le temps, le lieu, les conjonctures, tout se réunit pour accumuler l’intérêt sur cette importante affaire, qui fixe les yeux de l’Europe et du monde entier3.
Non era possibile trovare esempi simili nella storia, proseguivano gli editori. Il confronto con il processo di Carlo I d’Inghilterra, in effetti, non era esatto: questi, tanto sfortunato quanto colpevole, quando fu giudicato era ancora investito del potere che la nazione gli aveva delegato. Gli inglesi avevano infatti dapprima condannato il re e in seguito avevano abolito la monarchia. I francesi, al contrario, avevano abolito la monarchia e avrebbero giudicato un individuo che era stato re: «ce renversement dans l’ordre des faits semble demander le complément de la différence, et Louis, fût-il, comme nous le croyons, plus coupable que malheureux, parôit pouvoir devenir, sans danger, un objet d’indulgence pour la nation généreuse (parce qu’elle est invincible) qui, ayant puni par la déchéance la personne morale, dédaignera de frapper du glaive sanglant la personne physique, ou croira ne pas le devoir»4. Gli editori suggerivano, come opinione particolare, che la colpevolezza di Luigi XVI non dovesse essere punita con il sangue, con la pena di morte. Ma rimaneva questa un’opinione singola, «un vingt millionième de la raison publique de justice et d’état», che non poteva certo pesare sulla bilancia e per questo motivo poteva essere espressa5. L’assenza nella presentazione di ogni Le pour et le contre, t. 1, p. 1. Ibidem, pp. 4-5. 5 L’editore de Le pour et le contre, François Buisson, fu uno stampatore-libraio molto attivo durante il periodo rivoluzionario, che continuò l’attività nell’editoria sino alla sua morte nel 1814. A lui si devono importanti traduzioni di opere dall’inglese (e americano) così come dai suoi torchi uscirono tre periodici: La Bouche de Fer (pubblicato tra il 17901791), le già citate Annales patriotiques et littéraires e Le patriote français. Sebbene non esistano studi su questo personaggio della cultura parigina, è possibile pensare a una prossimità, se non altro in quel torno d’anni, alla cerchia girondina (come testimoniato dalle testate che pubblicava). Risulta, invece, più difficile sospettarlo di sentimenti realisti sebbene incorse nelle maglie della giustizia rivoluzionaria solamente una volta, nel periodo successivo al Terrore, quando fu accusato di filo-monarchismo per aver dato alle stampe l’opera di Jacques-Vincent Delacroix Le spectateur français pendant le gouvernement révolutionnaire, giudicato contro-rivoluzionario e realista. A queste accuse Buisson rispose adducendo come prova del suo patriottismo la lista delle opere contenute nel catalogo delle sue edizioni, e affermando di non leggere mai i manoscritti che faceva stampare. Cfr. su Buisson: Barbier 3 4
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singolo documento, di commenti o tagli, era una garanzia di imparzialità e completezza, si leggeva, nonché il modo migliore per permettere ad ognuno di formarsi la propria opinione: «Nos contemporains et la postérité trouverons tout ici, pourrons tout lire, et prononceront sur le tout»6. Le pour et le contre nasceva, dunque, come operazione editoriale di larga diffusione che non si discostava, nella scelta della documentazione, dall’informazione ufficiale prodotta dalla Convenzione. La scelta degli editori, infatti, si ‘limitava’ ai rapporti via via stilati dalle differenti commissioni della Convenzione, ai decreti e ai discorsi pronunciati alla tribuna dell’assemblea, ai quali era accordata una preferenza sulla massa di opinioni dei deputati che avevano potuto o voluto esprimersi solamente per iscritto. Le opinioni di privati cittadini o gli estratti di articoli di giornale non vi trovavano posto, a differenza di quanto avrebbe fatto un’altra raccolta contemporanea. Di fatto, Le pour et le contre contribuiva all’impresa compiuta dalla Convenzione di fare conoscere, di portare all’esterno, il processo intentato contro Luigi XVI. Tuttavia, al momento dell’apparizione dei primi fascicoli, all’inizio di dicembre, la Convenzione aveva infine deciso di procedere alla messa a giudizio di Luigi XVI e di farlo comparire alla sbarra degli imputati. La raccolta cominciava ad apparire inevitabilmente in ritardo sullo svolgimento contemporaneo della causa in corso; gli editori non avevano probabilmente previsto l’accelerazione che il processo avrebbe subìto proprio a cominciare dal mese di dicembre. Il primo volume, peraltro, fu completato solamente all’inizio di gennaio, stando alla notizia del Moniteur Universel dell’11 gennaio, poco prima dunque dell’inizio degli appelli nominali che avrebbero deciso delle sorti di Luigi XVI7. La raccolta cominciava con i tre rapporti stilati dalle differenti commissioni istituite dalla Legislativa e in seguito dalla Convenzione, rispettivamente quello letto da Gohier il 16 settembre, quello Dufriche-Valazé8 e Mailhe del 6 e 7 novembre, senza che nessuna narrazione dei fatti del 10 agosto precedesse la presentazione dei documenti. A questi seguivano i discorsi pronunciati nelle – Juratic – Mellerio, Dictionnaire des imprimeurs, pp. 350-355; Mellot – Queval, Répertoire d’imprimeurs/libraires, pp. 110-111. Sulla causa relativa all’opera di Delacroix: C. Magoni, L’ Europe des constitutions dans l’ouvrage de Jacques-Vincent Delacroix (1791-1801), «La Révolution française» [En ligne], Dire et faire l’Europe à la fin du XVIIIe siècle, mis en ligne le 08 juin 2011, http://lrf.revues.org/268. 6 Ibidem, p. 6. 7 Moniteur Universel dell’11 gennaio 1793, t. 15, p. 94. Per il 25 gennaio si prevedeva che anche il secondo tomo sarebbe stato completo. 8 Di seguito era riportato il dibattito che aveva preceduto il decreto di dare alle stampe il Rapport di Dufriche-Valazé. Cfr. capitolo I.
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giornate del 13 e 15 novembre, preceduti dalla mozione d’ordine di Pétion che richiedeva di incentrare la discussione solamente sulla giudicabilità di Luigi XVI, e di seguito le opinioni di Mellinet, di Paine, Pétion Gertoux, Manuel e Azéma che però non furono mai pronunciate alla tribuna. Rispetto alla ricostruzione dell’ordine cronologico delle numerosissime opinioni espresse tra la fine di novembre e l’inizio di dicembre 1792, la raccolta di fatto presentava di fatto i discorsi pêle-mêle, alla rinfusa. È possibile, tuttavia, che l’ordine seguisse la disponibilità dei testi che via via i deputati facevano dare alle stampe. I primi quattro volumi, dunque, riportavano integralmente i discorsi di novembre e dell’inizio di dicembre, che affrontavano la questione sulla giudicabilità del re, con la specificazione se fossero stati pronunciati direttamente alla tribuna. Nel quarto tomo, apparso dopo l’esecuzione di Luigi XVI9, trovavano spazio l’atto enunciativo, l’interrogatorio alla sbarra della Convenzione dell’imputato, le sedute di dicembre e la difesa di De Sèze. I successivi due tomi, il quinto e il sesto, raccoglievano le opinioni successive alla difesa di Luigi XVI. Tuttavia, a metà del settimo e ultimo volume, dopo una serie di interventi pronunciati durante la prima metà di gennaio, una nota editoriale informava i lettori che non tutti i discorsi dei convenzionali sarebbero stati pubblicati: Nous arrêtons ici la marche des Discours, pour ne pas multiplier les Volumes à l’infini. Nous en avons encore entre les mains plus de quatre-vingt, dont nous pourrions composer quatre ou cinq autres Volumes. Mais nous observons que nous avons inséré dans ce Recueil, comme nous l’avions promis, toutes les Opinions qui ont été prononcées à la tribune, et même celles qui n’y ont été qu’annoncées lors de la clôture de la discussion. D’ailleurs, nous croyons que les appels nominaux motivés qu’on va lire, peuvent être considérés comme les analyses de tous les Discours, et qu’ils rendent superflu tout ce que nous pourrions ajouter10.
La quantità ingente di discorsi redatti dai deputati era tale da rendere necessari numerosi altri volumi. Chi aveva potuto pronunciare la propria opinione direttamente davanti alla tribuna finiva per avere una platea di lettori più vasta di chi invece l’aveva affidata solamente alla stampa. La stessa nota, in fondo, ribadiva questa gerarchia di importanza. Lo spazio di diffusione di tutte le opinioni si scontrava ancora una volta con i tempi ma anche con i costi di stampa, con l’impossibilità di accogliere tutte quante le voci dei rappresentanti della nazione.
Cfr. Moniteur Universel del 5 febbraio 1793 che riporta nella rubrica Nouveaux livres l’uscita del secondo tomo. 10 Le pour et le contre, t. 7, p. 93. 9
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Gli appelli nominali e in particolar modo le motivazioni addotte in risposta alla domanda relativa alla pena da comminare a Luigi XVI furono riportate integralmente ma alcuni voti furono dimenticati. La ragione risiedeva nel fatto che la raccolta riportava fedelmente, con tanto di omissioni, la trascrizione degli appelli riportata dal Moniteur Universel, reiterando, di fatto, gli errori presenti nei giornali circa l’esatto computo e l’elenco completo di voti e votanti, rilevati da alcuni deputati11. Non è difficile dedurre che una simile operazione nascesse da questioni di spazio e di tempo. Conveniva infatti evitare di pubblicare un altro volume e porre termine alla raccolta per non andare troppo oltre la fine del processo. Tale soluzione sicuramente inficiava la completezza della raccolta che alla fine presentava, senza peraltro darne conto ai lettori, una versione abbreviata del dibattito in aula, non teneva conto di tutte le opinioni espresse, rimaneggiava quelle riportate e offriva una versione incompleta, contrariamente a quanto annunciato dal titolo, del processo. L’opinione che ognuno, leggendo Le pour et le contre poteva farsi del processo, era dunque condizionata dalle scelte degli editori. Il decreto di morte, il rapporto sull’esecuzione del 21 gennaio e infine il testamento di Luigi XVI (reso noto il 25 gennaio, ma dettato un mese prima) concludevano la raccolta. Lo scopo di permettere ai lettori interessati di formarsi un’opinione sul processo di Luigi XVI era destinata a seguire l’andamento rallentato della stampa in contrasto con il procedere accelerato degli avvenimenti. Il terzo tomo, infatti, apparve ai primi di marzo e i restanti quattro nel corso dello stesso mese12. Non restava, pertanto, che formarsi un giudizio personale a posteriori, rispetto all’avvenimento ormai conclusosi, di utilizzare i documenti messi a disposizione dalla raccolta per valutare la sentenza espressa dalla Convenzione. È questo d’altra parte il parere espresso nella lunga recensione all’intera raccolta, pubblicata nel giornale letterario belga L’ esprit de journaux nel marzo del 1793. L’anonimo redattore constatava che l’opinione espressa dai compilatori della raccolta in apertura del primo tomo rappresentava quella di molti; tuttavia, «la pluralité des voix à l’appel nominal de la convention a porté une décision différente. L’exécution de cette sentence a rendu tout examen inutile. Nous nous bornerons seulement à démêler à travers l’abondance de mots inséparables d’une pareille discussion, quels ont été les fondemens de la condamnation de Louis, et quels ont été les Si veda capitolo I. Cfr. anche A. Duprat, Un réseau de libraires royalistes à Paris sous la Terreur, «Annales historiques de la Révolution française», (2000), 321, p. 49. 12 Cfr Moniteur, t. 15, del 27 marzo 1793, p. 794: «Cet ouvrage est maintenant complet». 11
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moyens employés pour les détruire ou pour les fortifier»13. La lunga analisi dell’opera presentata ai lettori della rivista, che si concentrava sui momenti salienti del processo, si concludeva con alcune considerazioni suggerite dalle ultime parole pronunciate alla Convenzione da Luigi XVI il 26 dicembre, al termine della difesa: «Citoyens, peut-être c’est pour la dernière fois que je vous parle; mais ma conscience ne me reproche rien»14. In tutta coscienza Luigi XVI, commentava il redattore de L’ esprit des journaux, sentiva di non avere nulla da rimproverarsi perché in fondo era intimamente convinto che la sua autorità riposasse su un suo diritto ereditario. Questo «pregiudizio» che fin dalla nascita condizionava e fondava l’educazione di ogni sovrano, unitamente alla debolezza particolare del suo carattere, gli aveva impedito di comprendere appieno la situazione nella quale si era trovato e cioè che anche «les représentans d’une république pouvaient n’être pas de son avis, et il y en a eu qui ont prétendu n’écouter aussi que la voix de leur conscience, en prononçant sa condamnation»15. A cose fatte, a esecuzione avvenuta, non restava dunque, che formarsi un’opinione sulla base della documentazione presentata. Gli intenti originari dell’opera, in fondo vanificati dalla rapida conclusione del processo, rimanevano validi per il giudizio della posterità. 2. Histoire impartiale du procès de Louis XVI. Pressoché contemporaneamente alla raccolta di Buisson Le pour et le contre, un’altra opera dall’impianto simile cominciò a uscire all’inizio di dicembre per i tipi dell’editore Charles-Frédéric Perlet. Si trattava
L’ esprit des journaux, françois et étrangers. Par une société de gens-de-lettres. Vingt-deuxième année, tome III, Mars 1793, A Paris, Chez la veuve Valade, Pour les Pays étrangers, à Liège, Chez J. J. Tutot, et à Bruxelles, Au Bureau-général de ce Journal, p. 90. Questo periodico belga, fondato a Liegi nel 1772 dallo stampatore libraio Jean-Jacques Tutot (insieme a Jean-Louis Coster, bibliotecario), aveva in quegli anni una cadenza mensile. Nella maggior parte dei casi il giornale offriva una compilazione dei migliori articoli apparsi nelle diverse riviste letterarie francofone, tedesche e inglesi (il titolo della testata da cui era tratto l’articolo era indicato alla fine), ma anche contributi originali, dovuti a redattori e corrispondenti belgi o stranieri, come per l’analisi de Le pour et le contre. Cfr. Ph. Vanden Broeck, L’ esprit des journaux (1772-1818), in Dictionnaire des Journaux 1600-1789, dir. J. Sgard, t. 1, Paris, Universitas, 1991, pp. 374-378. 14 Così nelle Archives parlementaire, t. LV, p. 634: «Citoyens, On vient de vous exposer mes moyens de défense: je ne les renouvellerai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité». 15 L’ esprit des Journaux, p. 156. 13
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dell’Histoire impartiale du procès de Louis XVI ci-devant roi des français; ou recueil complet et authentique De tous les Rapports faits à la Convention Nationale, concernant le Procès du ci-devant Roi, des différentes Opinions des Représentans du Peuple ou des Particuliers, prononcées à la Tribune nationale, ou publiées par la voie de l’impression; enfin, de toutes les Pièces qui entreront dans l’instruction de ce grand Procès jusqu’au Jugement définitif inclusivement. Ne era curatore Louis-François Jauffret, già avvocato al Parlamento di Parigi e dopo l’abolizione di questo riconvertito alla professione di giornalista16. Nel 1790, Jauffret cominciò la collaborazione con lo stampatore-libraio Perlet, di cui divenne uno dei principali redattori del suo omonimo giornale, e l’anno successivo, entrò a far parte della redazione della Gazette des Tribunaux. Al pari di Buisson, anche Perlet era editore di un quotidiano a vocazione politica che dal settembre del 1792 aveva assunto il titolo di Suite du Journal de Perlet. Convention nationale, corps administratifs et nouvelles politiques et littéraires de l’Europe17. Nel numero del 22 novembre 1792 di questo giornale era annunciata l’uscita imminente della raccolta di Jauffret. Il contenuto del primo tomo era già stabilito e sarebbe stato venduto al prezzo di 3 livres per Parigi e 4 per gli altri dipartimenti. «L’importance de cette collection», si leggeva nell’annuncio, «et le mérite de celui qui la publie, doivent la faire distinguer de toutes celles du même genre auxquelles la cupidité pourroit donner naissance»18. Rispetto alla contemporanea raccolta Le pour et le contre, l’Histoire impartiale di Jauffret presentava un impianto differente. In essa, infatti, trovavano posto non solamente le opinioni dei deputati della Convenzione, ma anche quelle espresse da quei cittadini, più o meno noti, che avevano inteso partecipare attraverso la stampa al dibattito pubblico. Il presupposto, al di là dell’opportunità e della cupidité che un simile processo poteva rappresentare per gli editori, rimaneva tuttavia lo stesso della contemporanea collezione di documenti e discorsi proposti da Buisson, ovvero fornire gli strumenti per consentire ad ognuno di formarsi un giudizio su una causa
R.-M. Reboul, Louis-François Jauffret. Sa vie et ses œuvres, Paris, J. Baur & Détaille Libraires, 1869; J.-L. Chappey, La société des observateurs de l’homme (1799-1804). Des anthropologues au temps de Bonaparte, Paris, Société des études robespierristes, 2002, pp. 88-91. 17 A partire dal 22 settembre 1792, Suite du Journal de Perlet era il nuovo nome che aveva assunto il giornale Assemblée nationale, corps administratifs, et nouvelles politiques et littéraires de l’Europe, rilevato da Perlet nel 1790. Dal 23 Termidoro dell’anno 2 della Repubblica (10 agosto 1794), il periodico si intitolò semplicemente Journal de Perlet e continuò ad essere pubblicato sino al settembre 1797. 18 Suite du Journal de Perlet, n° 62, Jeudi 22 Novembre 1792, p. 496. 16
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senza precedenti. È quello che si legge, nello stesso giornale di Perlet, l’11 dicembre successivo, quando l’Histoire impartiale era nuovamente presentata all’attenzione dei lettori: ce recueil précieux de toutes les opinions et des représentans du peuple et des particuliers, mettra tous les siècles à la portée de juger la grande opération politique dont la France s’occupe aujourd’hui. Cette collection mettra sous les yeux de la postérité la lutte des opinions; elle verra tel raisonnement qui pourroit paraître irrésistible, s’il étoit isolé, renversé et détruit par un argument puisé dans un discours voisin, elle sera sans passions et connoîtra la vérité: puissions-nous juger comme elle19.
La raccolta, che si voleva imparziale, completa e autentica, avrebbe consentito a tutti coloro che erano interessati di poter giudicare senza passioni sulla causa che metteva a giudizio Luigi XVI, allo stesso modo di come avrebbe fatto, questo era l’auspicio, la posterità. Si trattava, dunque, di offrire il quadro della «lotta delle opinioni» che animava lo spazio pubblico pro o contro Luigi XVI, pro o contro il processo, senza aggiungerne altre. Allo spazio della sociabilità politica faceva riferimento la prefazione di Jauffret in apertura del primo volume, di otto che avrebbero formato l’intera raccolta: «Le procès de Louis XVI, auquel on n’en peut assimiler aucun autre, pas même celui de Charles Stuard» (si noti lo stesso riferimento e negli stessi termini al processo del re d’Inghilterra come nella prefazione de Le pour et le contre), «occupe dans ce moment la France toute entière: toutes les conversations sont devenues des discussions; on plaide le pour et le contre: tous les lieux publics retentissent de disputes à ce sujet. On lit soigneusement tous les papiers relatifs à ce point si controversé; l’opinion publique s’élabore; on parcourt avec avidité les opinions que la Convention fait imprimer et toutes celles que des particulier mettent au jour»20. Allo scopo di favorire questa «juste et raisonnable curiosité», Jauffret aveva raccolto e ordinato le opinioni che occupavano lo spazio pubblico e deciso di presentarle ai suoi concittadini. Tale raccolta avrebbe potuto essere utile tanto ai contemporanei quanto alla posterità per giudicare «la grande question qui s’agite aujourd’hui». Anche l’Histoire impartiale si trovò ben presto confrontata alla massa di documentazione a disposizione e ai tempi accelerati, a partire dal mese di dicembre, del processo. I primi due volumi, secondo il piano dell’opera dovevano contenere solamente le opinioni dei deputati della Convenzione
Suite du Journal de Perlet, n° 82, mardi 11 décembre 1792, p. 88. La notizia apparve sul Moniteur il 29 dicembre (t. 14, p. 859) 20 Histoire impartiale, t. I, Préface, n.p. 19
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espresse a partire dal mese di novembre21. Ma già all’inizio del secondo tomo, un avviso dell’editore avvertiva della scelta forzata di limitare la pubblicazione delle opinioni dei convenzionali per evitare di accumulare un ritardo rispetto al susseguirsi di deliberazioni della Convenzione: Forcés de suivre la marche des délibérations de la Convention nationale, avant d’arriver aux résultats qu’elles ont produit, nous n’avons pu parler encore, ni du premier interrogatoire de Louis à la barre de la Convention nationale, ni de sa Défense, prononcée le 26 décembre par Desèze. Cependant nous sentons qu’il faut nous borner. Les opinions qui ont paru, soit sur la première Question, soit sur les dernières, sont en si grand nombre, que si nous voulions les transcrire toutes, nous tomberions dans des redites continuelles; et notre recueil, qui n’aurait pas moins de quinze ou vingt volumes, ne serait plus à la portée de toutes les fortunes. Ainsi, au lieu de remplir le troisième Volume de toutes les Opinions concernant la première Question, qui sont bien loin d’être encore épuisées, nous en présenterons simplement une analyse très-exacte. Nous analyserons aussi tous les Pamphlets qui ont paru depuis deux mois, concernant la même Question. Ces deux objets, pouvant alors être contenus dans un demi-volume, nous pourrons passer de suite à l’interrogatoire de Louis, à sa Défense, aux Mémoires justificatifs qu’on a publiés en sa faveur, et à la discussion de ces importantes questions: La Convention prononcerat-elle sur le sort de Louis sans appel? Décrétera-t-elle le renvoi du jugement aux Assemblées primaires?22
Diversi motivi imponevano una tale scelta editoriale: prima di tutto il tempo che incalzava. Il secondo volume veniva pubblicato ben oltre l’interrogatorio di Luigi XVI e l’arringa difensiva letta da De Sèze il 26 dicembre. In secondo luogo l’enorme quantità di discorsi da pubblicare avrebbe moltiplicato in maniera esponenziale il numero dei volumi e quindi dei costi dell’impresa, finendo pertanto per essere troppo onerosa per la maggior parte dei lettori. Non disgiunto da questo, la constatazione che, a distanza di quasi due mesi dall’inizio della discussione assembleare, le opinioni espresse sinora dai deputati finivano irrimediabilmente per ripetersi. Per queste ragioni, il terzo volume avrebbe raccolto in forma riassunta le opinioni dei deputati della Convenzione e insieme a queste i pamphlet e libelli che i privati cittadini da oltre due mesi avevano cominCome già Le pour et le contre, il primo volume cominciava con il rapporto di Gohier a guisa di introduzione, seguito dagli interventi dei convenzionali del mese di novembre. Tra questi si segnala peraltro che l’opinione di Manuel non è indicata come imprimée par ordre de la Convention nationale, ma solamente seguita da «qui n’aime pas les rois». Vi si leggevano nell’ordine le opinioni dei seguenti deputati: Morisson, Saint-Just, Azéma, Robert, Gertoux, Rouzet, Grégoire, Genevois, Asselin, Paine, Faure, Serre, Manuel, Carra, Poultier, Prost. 22 Histoire impartiale, t. II, Avvertissement de l’Éditeur. 21
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ciato a far stampare a proposito del processo di Luigi XVI. In tal modo, si sarebbe potuto passare all’interrogatorio e alla difesa e avvicinarsi dunque alle questioni che, mentre il secondo volume compariva, tenevano la Convenzione maggiormente occupata: la ratificazione della sentenza da parte delle assemblee primarie. In realtà, già il secondo volume, messo in vendita a metà gennaio, era formato da una serie eterogenea di opinioni 23. A fianco di quelle dei deputati trovavano posto anche altre opinioni di privati cittadini pubblicate a proprie spese o espresse nelle pagine dei giornali. Vi si leggeva dunque l’estratto di un lungo articolo di Prudhomme pubblicato nel giornale settimanale Révolutions de Paris che affermava la necessità, in seguito all’abolizione della monarchia, di comminare a Luigi XVI una pena proporzionata ai crimini commessi, non sussistendo più la validità della Costituzione che ne garantiva l’inviolabilità 24. A questa opinione, faceva da contraltare quella di un Jurisconsulte Patriote, pubblicata nella Gazette des Tribunaux di novembre, che al contrario negava la possibilità di giudicare Luigi XVI, non esistendo alcuna legge anteriore ai crimini da lui commessi. Inoltre, accanto alle note e discusse Réflexions dell’ex ministro Necker, trovavano posto quelle impartiales d’un Républicain, sur le Jugement qui doit être prononcé contre le ci-devant roi. L’anonimo autore, pur riconoscendo i crimini manifesti di Luigi XVI, affermava tuttavia che la pena più giusta fosse la reclusione perpetua, escludendo ogni possibilità di messa al bando: C’est là que les remords déchirans rappelleront sans cesse au coupable tous les crimes qu’il a commis; c’est là que son supplice doit s’accroître en raison de la félicité d’un Peuple qu’il a trahi tant de fois; c’est là qu’il doit finir sa pénible carrière (…) Ainsi, sans effusion de sang, sans échafaud, sans l’appareil d’un supplice momentané, qui suppose toujours un sentiment pusillanime, la République française peut donner au monde un grand exemple, je ne dirai pas de clémence, mais de sévérité, mais de vengeance éclatante, en offrant le spectacle inouï, d’un roi coupable dans les fers, au milieu d’une Nation libre!25
Lo stesso volume comprendeva inoltre due lettere redatte e date alle stampe presumibilmente in Inghilterra. Si trattava della Lettre contenant l’opinion d’une société patriotique de Londres, sur le procès de Louis XVI, Suite du Journal de Perlet, n° 115, Lundi 14 Janvier 1793, p. 360. Il volume comprendeva le opinioni dei deputati Rouzet, Petit, Daunou, Ichon, Faure, Condorcet, Louvet, Lavicomterie, Jean-Bon-Saint-André, Dufriche-Valazé, Marat. 24 Histoire impartiale, t. II, pp. 49-68. Cfr. Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, n° 171, Du 13 au 20 Octobre 1792, pp. 137-149. 25 Histoire impartiale, t. II, pp. 195, 199. 23
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adressée au Rédacteur du Moniteur, datata 30 novembre 1792 e della Lettre d’un Patriote de Londres à un de ses Amis, Négociant à Nantes, scritta a Londra il 10 novembre dello stesso anno26. Nel primo caso una piccola società patriottica inglese dedita alla lettura di giornali francesi e in particolare del Moniteur universel aveva sentito il bisogno di rispondere pubblicamente all’invito, pubblicato nel giornale di Panckoucke il 20 novembre, di leggere l’opinione di Saint-Just sul giudizio di Luigi XVI per farsi un’idea giusta e precisa su tale questione27. La lettera proponeva, dunque, qualche osservazione sul discorso di Saint-Just del 13 novembre (presentata nel primo volume dell’Histoire impartiale) e auspicava che il redattore del giornale volesse per imparzialità pubblicarla: «Dans un moment comme celuici, chacun doit contribuer autant que cela est en lui, à éclairer l’opinion publique»28. Gli o l’autore intendevano dunque dimostrare che il ragionamento di Saint-Just era puramente retorico e imbevuto di sofismi che poco avevano a che fare con l’applicazione della legge mentre, costituzione alla mano, Luigi XVI non poteva incorrere, come unica pena possibile, che nell’abdicazione. Notre vœu serait donc que le citoyen Saint-Just, aux intentions duquel nous rendons du reste justice, revînt promptement sur ses pas et qu’il se hâtât de réparer le mal que son éloquence peut avoir occasionné. Il sera beau; ce sera un spectacle intéressant pour l’humanité de voir un homme revêtu de son caractère, se rétracter, et la Constitution à la main, prouver qu’il s’est trompé, et que Louis XVI n’a encouru, et pu encourir en effet, que la déchéance29.
La lettera di un patriota di Londra, datata il 10 novembre, indirizzata a un amico francese di Nantes, si esprimeva negli stessi termini riguardo alla Costituzione, il solo testo di legge in base al quale fosse possibile giudicare il sovrano. Poiché questa stabiliva, per i crimini commessi, solamente la «décheance de la royauté», occorreva, secondo l’anonimo autore, ridare la libertà a Luigi XVI, garantirgli una pensione, in quanto «officier retiré»
Le due lettere furono pubblicate insieme sotto il titolo della prima. Per le notizie bibliografiche complete si rimanda all’Appendice 2. 27 Moniteur Universel, n° 325, Mardi 20 Novembre 1792, pp. 515-516. Si invitavano inoltre tutti i giornalisti (e dunque il Moniteur sembrava rispondere a questo appello) a pubblicare ovunque e in caratteri capitali: «on ne peut régner innocemment». Tale inserto era tratto, con esplicito riferimento, dal giornale montagnardo Le Républicain, Journal des hommes libres de tous les pays, n° 16, Samedi 17 novembre 1792, nella rubrica Variétés, p. 64. La lettera, nonostante l’invito a farlo, non fu pubblicata nelle pagine del Moniteur. 28 Histoire impartiale, t. II, p. 200. 29 Ibidem, p. 208. 26
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proporzionata all’ufficio che aveva ricoperto per lo Stato e assegnargli un luogo confortevole all’interno della Repubblica nel quale sarebbe stato circondato da una guardia nazionale sufficiente a proteggerlo da qualsiasi tentativo di rapimento. «Cette idée, Monsieur, n’est pas de moi et de mes amis seulement c’est le vœu de tous les patriotes anglais; vous le trouverez consigné dans le Morning Chronicle du 19 octobre, et répété dans presque tous les papiers patriotiques de ce royaume»30. La raccolta terminava con due altri interventi pubblicati sempre a spese di privati cittadini. Lo scritto intitolato Un Citoyen Français à la Convention nationale, sur le procès du ci-devant roi, datato nella versione data alle stampe 21 dicembre 1792, era stato redatto dieci giorni dopo la comparizione dell’imputato alla sbarra. Il libello conteneva delle proposte concrete al fine di indurre la Convenzione a riequilibrare, secondo un’idea di giustizia conforme al nuovo codice penale, lo svolgimento del processo. L’anonimo autore invitava, dunque, i deputati a convocare il popolo in assemblee primarie alle quali sarebbe spettato il compito di eleggere i magistrati destinati a giudicare la causa in corso. In questo modo la Convenzione sarebbe stata sollevata dalla funzione di giudici e si sarebbe limitata a quella di jury d’accusa. Tuttavia, se l’assemblea rappresentativa avesse persistito a voler rivestire entrambi i ruoli, essa avrebbe dovuto escludere tutti i deputati «justement suspects à l’accusé»31, rinnovare il comité de sûreté dominato dalla figura di Marat, perseguire i capi dei massacri di settembre, assegnare la difesa di Parigi a un comandate eletto dalla città e non scelto dagli uomini della Comune, occuparsi dei federati giunti nella capitale per vegliare sulla libertà. Unitamente a tutto ciò, la Convenzione avrebbe dovuto dare all’accusato il tempo necessario per difendersi, un tempo superiore a quello concessogli, e non ricorrere, nel momento in cui avrebbe dovuto emettere la sentenza, all’appello nominale. In questo modo tutti i deputati, soprattutto i più timorosi, avrebbero potuto esprimere in piena libertà il proprio giudizio. Infine, qualora Luigi fosse stato giudicato colpevole, la pena da comminarIbidem, p. 216. Dovevano essere esclusi, pertanto, coloro che erano stati eletti «sous les couteux du 2 septembre, par une poignée de factieux» in quelle assemblee in cui la libertà delle elezioni era stata ostacolata; coloro che avevano agito di concerto con il re nella giornata del 10 agosto; i membri della Legislativa che avevano partecipato alla sospensione di Lugi XVI e che erano interessato a ritenerlo colpevole; gli oratori forsennati che, lungi dal mostrare l’imparzialità di un giudice, avevano sinora parlato come schiavi, assetati del sangue di un re; i membri della Comune di Parigi e quelli del Comitato dei 21 che avevano redatto l’atto d’accusa e che, si diceva, avevano fatto stampare solamente le prove a carico dell’imputato. Ibidem, pp. 288289. Per la notizia bibliografica di questo pamphlet si rimanda all’Appendice 2. 30 31
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gli non avrebbe dovuto essere quella di morte. «Que Louis vive», scriveva l’anonimo autore «pour assurer l’existence de la République», ribaltando, come è facile dedurre, la celebre frase pronunciata da Robespierre, nel discorso del 3 dicembre, «Louis doit mourir parce qu’il faut que la patrie vive». Condannare a morte il re avrebbe significato commettere un atto di viltà, un carattere che i fondatori della Repubblica non avevano certo voluto imprimere alla nazione. Il popolo, non quello di Parigi, sobillato da pochi faziosi, ma quello costituito dalla maggioranza dei francesi, non voleva affatto la morte del re: «J’ai entendu beaucoup de ces hommes grossier et justes, témoigner leur indignation des sanguinaires idées qu’on veut leur suggérer, comme si elles étaient les vôtres: nous ne voulons pas la mort du roi, disaientils, c’est la Convention qui veut le tuer»32. L’ultimo intervento che chiudeva il secondo volume era una lettera dell’ex ministro della marina, Antoine-François Bertrand de Moleville, indirizzata al presidente della Convenzione e scritta a Londra il 16 novembre 1792. L’autore, Bertrand de Moleville, era riuscito a emigrare in Inghilterra prima di essere perseguito da un decreto che lo metteva in stato d’accusa emanato dalla Legislativa nell’agosto precedente, dopo aver tentato di organizzare l’evasione e la fuga di Luigi XVI dal Tempio33. Lo scopo della lettera era quello di far conoscere alla Convenzione tutta una serie di fatti, dimostrabili attraverso prove e testimonianze, che avrebbero potuto servire la causa dell’accusato. In modo significativo, Jauffret sceglieva di inserire alla fine del volume un testo nel quale l’autore intendeva confutare i principali capi d’accusa rivolti contro il sovrano: l’avere costantemente approvato e favorito l’emigrazione, avere sovvenzionato scritti anti-rivoluzionari, aver accettato la Costituzione per dissimulare intenzioni ad essa contrari. Tutto questo era falso, affermava Bertrand de Moleville, appoggiandosi su lettere e testimonianze veridiche e verificabili. Al di là delle opinioni dei deputati della Convenzione, la scelta, ancora limitata, di opinioni particolari, otto su venti riportate in totale nel secondo volume, induce a qualche considerazione circa l’asserita imparzialità del titolo della raccolta. Degli otto interventi nel dibattito pubblico estranei alla Convenzione, infatti, solamente uno conteneva un’opinione favorevole a un giudizio immediato del sovrano, ma si trattava di un’opinione risalente alla fine di ottobre. Le altre, composte tra novembre e dicembre, si esprimevano al contrario a favore dell’imputato. Risulta difficile non Ibidem, p. 297. Tulard – Fayard – Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française 1789-1799, Paris, Éditions Robert Laffont, 1988 (1ª ed. 1987), p. 578. 32 33
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intravedere in questa selezione un tentativo di orientare il lettore in una determinata direzione. Quella cioè volta a dimostrare che l’opinione maggioritaria, in Francia, come altrove, era quella a favore dell’innocenza, o di una mitigata o giusta punizione di Luigi XVI. Di fatto le opinioni inserite nella raccolta erano accomunate da un appello al senso di giustizia, dall’applicazione delle leggi in vigore e soprattutto dell’unica pena prevista dalla Costituzione. La sola voce inequivocabilmente favorevole al castigo del re decaduto, quella espressa nelle pagine del giornale di Prudhomme, risaliva al mese di ottobre precedente e non rifletteva l’evoluzione del processo che all’epoca dell’articolo non era ancora realmente cominciato. L’imparzialità della raccolta, di fatto, veniva meno proprio nella selezione attuata tra tutti i pamphlet, riflessioni, discorsi, appelli, lettere, etc., disponibili nel mercato librario. Se, infatti, le differenti opinioni favorevoli a Luigi XVI erano sicuramente più numerose rispetto a quelle propense alla condanna, nondimeno la scelta attuata da Jauffret, lungi dall’essere esaustiva, a dispetto delle dichiarazioni, non rifletteva quella lotta di opinioni per o contro la causa in corso. Al pari del precedente, il terzo volume, uscito verso la fine di febbraio, affiancava alle opinioni dei convenzionali quelle di privati cittadini, sebbene non tutte fossero riportate per esteso ma presentate al lettore, per ragioni di spazio e di tempo, in forma di riassunto34. In apertura di volume, un avviso dell’editore informava i lettori del successo che la collezione edita da Perlet stava incontrando presso il pubblico. La ragione, si leggeva, era dovuta in gran parte «à l’impartialité avec laquelle est rédigée. Nous sommes les seuls qui, fidèles au titre de notre Ouvrage, transmettions à nos Lecteurs tous les Écrits qui ont paru pour et contre dans le Procès les plus extraordinaire qui ait jamais eu lieu. Ce n’est que dans ce Répertoire d’Opinions si tranchantes les unes avec les autres, que l’homme qui ne tient à aucun parti pourra trouver des bases pour apprécier, dans le for intérieur, le Jugement que la Convention a prononcé»35. In realtà, l’esaustività della collezione, che pretendeva di raccogliere tutti gli scritti pubblicati pro o contro il giudizio su Luigi XVI, era ben lontana dall’essere reale. La quantità di opinioni immessa nel mercato librario era di gran lunga superiore all’offerta presentata al lettore dell’Histoire impartiale36, allo stesso modo che l’ingente numero dei discorsi dei convenzionali non poteva necessariamente trovare spazio in una raccolta che si era imposta un limite di otto volumi. Si trattava pertanto di 34 35 36
Suite du Journal de Perlet, n° 155, Samedi 23 Février 1793, p. 184. Histoire impartiale, t. III, Avvertissement de l’Éditeur, n. p. Si veda il capitolo III e l’Appendice 2.
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una più o meno esplicita selezione nella quale non era difficile discernere l’opinione del redattore peraltro più volte esplicitata, malgrado le premesse di astenersi da qualsiasi commento, laddove il testo era presentato in una versione abbreviata (précis o abrégé). Il volume conteneva 41 opinioni dei deputati della Convenzione tutte dedicate alla questione se Luigi XVI fosse giudicabile. Di queste, 20 erano riportate integralmente mentre 21 in forma riassunta. Solamente alla fine del volume, però, Jauffret informava il lettore che era stata operata una scelta tra tutti gli interventi dei convenzionali riguardanti la questione dibattuta tra novembre e inizio di dicembre. «Tous ceux qui ont pu la traiter, et dont les discours ne se trouvent pas compris dans le choix que nous avons fait, n’ont pu que répéter les mêmes argumens pour ou contre»37. Anche in questo caso, la completezza della raccolta doveva scendere a patti con le dimensioni del dibattito assembleare, la cui estensione probabilmente non era stata prevista quando la raccolta era stata ideata e aveva cominciato ad uscire. Il volume si chiudeva con la sintesi delle sedute assembleari del 3 e 4 dicembre. Gli interventi ‘extra-parlamentari’ erano invece nel numero di 11 e, nella maggior parte dei casi, si trattava di una versione accorciata del testo originariamente dato alle stampe. Interi passaggi venivano riportati intervallati da brani riassunti e spesso commentati dal redattore. Come già era stato per il volume precedente, la scelta redazionale era caduta prevalentemente su scritti favorevoli a Luigi XVI. La natura delle argomentazioni e degli scritti, così come il momento della composizione, era tuttavia eterogenea. Vi si trovavano, dunque, quattro scritti, di stampo realista, nei quali veniva refutata con determinazione qualsiasi giudicabilità del sovrano deposto: L’ inviolabilité de Louis prouvée par la fausseté des principes philosophiques, adressée au président Barrère, et autres Députés de la Convention Nationale38, che nella versione originale portava la data Orléans del 24 dicembre 1792, sosteneva di fatto la tesi dell’inviolabilità del re per diritto divino e imputava alla Convenzione la causa di tutti i mali. Jauffret, che presentava del libello una versione abbreviata, non poté esimersi dal commentare che i principi sostenuti risultavano decisamente datati, in primis il continuo riferimento a Dio come fonte della sovranità, e che la costante esecrazione della Convenzione, un argomento di fatto ricorrente nei pamphlet monarchici, poco giovava alla causa di Luigi XVI: «Pourquoi faut-il», si domandava il redattore a quest’ultimo proposito, «que ce soit
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Histoire impartiale, t. III, p. 304. Histoire impartiale, t. III, pp. 178- 183. Si veda l’Appendice 2.
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là le vice essentiel de presque toutes les brochures qui ont été écrites en faveur de ce malheureux monarque?»39. Tale osservazione era ripetuta anche nel riassunto delle Réflexions de Jonh [sic] Drydey, sur la Cause de Louis XVI, composto, si deduce dalla sua versione originale, dopo l’interrogatorio dell’11 dicembre, e peraltro redatto dallo stesso autore del libello precedente40. L’Opinion de François Sauger-Préneuf, professeur du collège de Limoges41, più mitigata rispetto alle precedenti, sosteneva comunque il non luogo a procedere contro Luigi XVI «pour les crimes antérieurs à sa déchéance», non esistendo pene per punirli: «Laissons, laissons aux sauvage le libre exercice des passions irréfléchies. Ils ne savent pas encore lire dans le code de la morale. Là où la loi reste muette, restons aussi muets. Ce n’est pas se montrer digne des sentimens de la République, que de manifester une sévérité au-dessus d’elle» 42. Vi si leggeva, inoltre la Réponse aux réflexions de M. Necker sur le procès intenté à Louis XVI, il cui difetto principale, secondo il redattore dell’Histoire impartiale, era ancora una volta che «loin de ménager l’esprit des juges de Louis, il attaque de front tous les principes républicains qui aujourd’hui nous governent», servendo di fatto male gli interessi del suo cliente. Una nota a piè di pagina posta all’inizio della versione abbreviata proposta nell’Histoire impartiale, dava conto della paternità dello scritto: «Il y a beaucoup d’aristocratie et de personnalités dans cette réponse, qui sont étrangères à notre recueil. Nous n’avons dû nous arrêter qu’à ce qui a un rapport direct avec le jugement de Louis XVI. Cet écrit est de Montjoie, ci-devant
Histoire impartiale, t. III, p. 179. Réflexions de Jonh Drydey, gentil-homme gallois, p. 23 (inserito anche nel secondo volume della Collection de meilleurs ouvrages di Du Gour, cfr. capitolo III e Appendice 2). Il testo abbreviato si trova nell’Histoire impartiale, t. III, pp. 170-178, posto curiosamente immediatamente prima del L’ Inviolabilité de Louis XVI. D’altra parte Jauffret non fa alcun commento circa i legami che uniscono i due testi. Anche il compendio de l’Adresse de plusieurs Citoyens français au Peuple français (pp. 148-158, si veda anche l’Appendice 2), scritto a Londra e datato 22 novembre, esprimeva l’opinione di alcuni emigrati in Inghilterra che sostenevano, in maniera più mitigata, che il processo a Luigi XVI fosse da tutti i punti di vista assurdo. 41 Linguista, corrispondente dell’Académie royale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux, François Sauger-Préneuf fu autore di opere sulla lingua francese che conobbero numerose edizioni successive, come Connoissance de la langue française, considéré sous le seul rapport de l’ortographe Paris, Baudouin, An X; Dictionnaire des locutions vicieuses, usitées dans le Midi de la France, et particulièrement dans la ci-devant province du Limousin, Limoges, Chez Ardillier, 1825. La pubblicazione originale del pamphlet di Sauger-Préneuf non risulta dalla ricerca nei cataloghi delle biblioteche francesi. 42 Histoire impartiale, t. III, pp. 257-258. 39 40
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auteur d’un journal intitulé l’Ami du roi»43. Christoph Félix Louis Galart de Montjoie, dopo la caduta della monarchia, aveva interrotto la pubblicazione del suo giornale fondato nel 1790 e si era rifugiato in Svizzera. Dall’esilio, dal quale avrebbe fatto ritorno dopo la caduta di Robespierre, prese parte al dibattito pubblico sul processo al re pubblicando alcuni pamphlet in difesa dell’accusato44. Come si evince dalla versione originariamente data alle stampe, la risposta alle Riflessioni di Necker era stata composta nel periodo precedente alla decisione della Convenzione di giudicare Luigi XVI e voleva principalmente offrire argomenti fattuali a difesa dell’accusato più validi e convincenti di quelli presentati dall’ex ministro delle Finanze. Altri scritti inseriti nella collezione del terzo volume sviluppavano argomentazioni a favore di Luigi XVI nella prospettiva della sentenza che la Convenzione avrebbe emesso. Vi era chi perorava la causa della messa in libertà di Luigi come privato cittadino, dal momento che la Francia aveva affermato di preferire un governo repubblicano a quello monarchico, e di attribuirgli un vitalizio proporzionato alla carica che aveva precedentemente occupato45; chi sosteneva che la vita o la morte del sovrano decaduto fosse ormai indifferente al bene e alla salvezza della Repubblica e che la cosa migliore fosse esiliarlo affinché poi realisti e aristocratici emigrassero al suo seguito46; chi affermava, come il cittadino Marignié, che occorresse, secondo l’opinione sostenuta da molti, attenersi alla pena prevista dalla Costituzione47. Una Philippique dans la cause de Louis XVI, che Jauffret giudicava come un’opera debole, senza energia e senza dignità, offriva un’apologia delle virtù di Luigi XVI e di fatto implorava la clemenza nei suoi confronti, consigliando alla Convenzione di invitare il sovrano a pronunciarsi lui stesso sul suo destino (suggerendo di fatto, due possibilità: che si ritirasse a vita privata, come semplice cittadino, o che scegliesse la via dell’esilio). Anche la nota lettera che Olympe de Gouges aveva indirizzato
Histoire impartiale, t. III, p. 184 nota 1. Oltre alla Réponse (per cui si rimanda al capitolo III), Montjoie avea pubblicato anche un Avis à la Convention Nationale, sur le jugement de Louis XVI, A Genève, et se trouve à Paris, Chez les Marchands de Nouveautés, 1793. 45 Abrégé d’un Ouvrage, intitulé: la Partie publique dans la Cause de Louis XVI, pp. 261280. Si veda per il titolo completo l’Appendice 2. 46 Un petit mot sur la grande affaire du jour, pp. 140-142. 47 Le procès de Louis XVI en quatre mots, pp. 258-261. Jean-Etienne-François Marignié pubblicò nel mese di gennaio anche una Pétition de grâce et de clémence pour Louis XVI, A Paris, Chez les marchands de nouveautés, 1793, la cui lettura davanti alla Convenzione nella seduta del 20 gennaio, si leggeva all’inizio dello scritto, gli era stata rifiutata malgrado gli sforzi compiuti quello stesso giorno per poter prendere la parola alla Tribuna. Su questo si veda il capitolo III. 43 44
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al presidente della Convenzione il 15 dicembre, per offrirsi come difensore del re, vi trovava posto48. Solamente l’Abrégé de l’Opinion de Jean Pédon prononcé aux Jacobins de Limoges49 offriva ai lettori dell’Histoire impartiale du procès de Louis XVI un punto di vista differente. Il discorso si sviluppava attorno a due domande poste in apertura dello scritto: «Le roi doit-il être puni comme conspirateur? A-t-il réellement conspiré contre le Peuple?». Appurato che la legge dovesse essere applicata indistintamente e allo stesso modo a tutti i membri che compongono la società di cui lo stesso Luigi XVI era parte, risultava che nessun privilegio potesse essere fatto valere per i crimini da lui commessi. All’obiezione mossa dai partigiani del re, in base alla quale nessun uomo potesse essere punito se non in virtù di una legge preesistente al delitto commesso, l’autore opponeva l’articolo del codice penale che comminava ai cospiratori contro la sicurezza dello Stato la pena di morte. L’inviolabilità costituzionale di cui aveva goduto Luigi XVI era una legge contraria a tutte le leggi della natura, della morale, della politica e della ragione universale. Sebbene il popolo l’avesse accettata, di fatto tale accettazione era avvenuta quando ancora esso non poteva esercitare la sovranità e senza che potesse conoscerne l’ingiustizia. Tuttavia, questo patto, come ogni legge o convenzione contraria alla giustizia e alla natura, doveva essere considerato nullo e come non avvenuto. Di fronte ai crimini commessi (il cui elenco era omesso nel riassunto del discorso), risultava evidente la colpevolezza di Luigi XVI. Il popolo, ingannato e tradito nella fiducia che aveva riposto nel monarca, doveva dunque affrettarsi a domandarne il castigo50. Ora, sebbene, tra gli scritti scelti a complemento delle opinioni dei deputati della Convenzione, il redattore prendesse spesso le distanze dalle posizioni spiccatamente monarchiche, sottolineando come queste, peraltro, nuocessero alla causa dell’imputato, la sproporzione numerica dei libelli favorevoli al sovrano presenti nella raccolta era comunque lampante. Le argomentazioni, nondimeno, riflettevano quelle di buona parte dei conven-
Histoire impartiale, t. III, pp. 228-232. La lettera, poi data alle stampe, fu letta lo stesso giorno dal segretario Creuze-Latouche davanti alla Convenzione. Cfr. Archives parlementaires, t. LV, p. 60. 49 Histoire impartiale, t. III, pp. 244-251. Opinion de Jean Pédon, professeur d’éloquence au collège de Limoges, département de la Haute-Vienne, sur le jugement de Louis XVI, prononcée le 24 novembre à la Société des Amis de la République française à Limoges, Limoges, L. Barbou, 1792. Cfr. Les imprimés Limousins 1788-1799, dir. M. Cassan – J. Boutier, préface de D. Roche, postface de F. Barbier, Limoges, 1994, p. 667. 50 Histoire impartiale, t. III, p. 251. 48
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zionali che, pur affermando la colpevolezza di Luigi, si mostravano favorevoli a un atto di clemenza dettata dalla giustizia nei confronti dell’accusato. Stando alla nota apposta all’inizio del quarto volume, l’Histoire impartiale non mancò di suscitare qualche critica circa la sua presunta imparzialità affermata nel titolo: Quelques Lecteurs, d’un patriotisme plus ardent qu’éclairé, ont accusé le troisième volume de ce Recueil, de contenir plusieurs Pièces non exempte d’aristocratie. Notre réponse est dans le titre même de cet Ouvrage, dans lequel il n’y a pas d’ailleurs un seul mot de nous. C’est la Collection fidelle et authentique de tous les Ecrits publiés pour et contre le Jugement mémorable du dernier Roi des Français, que nous donnons au Public. Certes, il n’est donc pas étonnant que les Opinions, les Discours ou les Mémoires d’un parti anti-républicain, portent trop souvent son empreinte, et l’on ne fait pas la critique mais l’éloge de ce Recueil, en lui reprochant de remplir plus exactement son titre. Et pourquoi vouloir en retrancher la moindre Pièce? Ce que nous tairions aujourd’hui, un autre demain n’en parlerait-il pas? Et pense-t-on assez mal du patriotisme français, pour lui faire cette injure de craindre que rien de ce qui a été écrit ou de ce qui pourrait l’être, soit capable d’altérer ou de diminuer la pureté de ses principes? Ah! loin de nous une si lâche pensée, de supposer que l’empire de la Liberté ait besoin d’être soutenu par les mêmes moyens employés pour asseoir l’empire des despotes51.
L’editore declinava di fatto ogni responsabilità relativamente al contenuto degli scritti che aveva scelto di pubblicare, e riteneva al contrario che la presenza di ‘tutte’ le opinioni, incluse quelle antirepubblicane, fosse una garanzia di imparzialità. È difficile pensare, tuttavia, che il redattore Jauffret non fosse a conoscenza delle altre opinioni pubblicate di stampo più marcatamente repubblicano e inequivocabilmente schierate contro Luigi XVI, rispetto ai pochi inseriti nella collezione. Ma soprattutto, è difficile pensare che la scelta di inserire in maniera preponderante scritti favorevoli al re o propriamente realisti, non fosse deliberata e non rispondesse a un preciso orientamento politico dell’editore Perlet52.
Histoire impartiale, t. IV, pp. III-IV. Di tendenza realista, sebbene riuscisse ad attraversare indenne il periodo del Terrore, nel 1795 Charles-Frédéric Perlet (1759-1828) pare fosse condannato a morte per aver preso parte all’insurrezione realista del 13 vendemmiaio dell’anno IV. Nondimeno, dopo un periodo di latitanza, ritornò a Parigi ma fu proscritto dopo il 18 fruttidoro e deportato in Guyana. Dopo essere ritornato a Parigi nel 1802, dichiarò fallimento rinunciando alla professione di libraio, e si mise al servizio della polizia che lo inviò a Londra presso il futuro Luigi XVIII, dove si fece passare per un membro del comitato realista di Parigi. Fu però sospettato di fare il doppio gioco e nel 1813 imprigionato. Comparve definitivamente davanti alla giustizia durante la Restaurazione quando fu condannato, nel maggio del 1816, a cinque anni di prigione come 51 52
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La Suite du Journal de Perlet, dando l’annuncio dell’uscita del nuovo volume nel numero del 22 marzo, vantava e ribadiva l’imparzialità e la completezza, unica nel suo genere della raccolta: Le titre de cet ouvrage n’est point un de ces fastueux mensonges qu’on place à la tête d’un livre, pour promettre beaucoup et tenir peu. Le rédacteur a porté jusqu’au scrupule le soin de se procurer tout ce que l’impression a fait éclore sur le procès éternellement mémorable du dernier roi des Français; et cette attention, sagement minutieuse, suffit pour assurer à ce recueil la supériorité sur ceux qui ne contiennent que les opinions des membres de la convention nationale53.
Il riferimento era con ogni evidenza alla raccolta dell’editore concorrente Buisson Le pour et le contre che si era limitata a pubblicare solamente le opinioni dei deputati della Convenzione. L’Histoire impartiale cercava di imporsi nelle preferenze del pubblico ponendo l’accento su una maggiore completezza dell’offerta, tanto più che il processo si era concluso due mesi prima e che la raccolta era solo a metà dell’opera prevista. Comunque fosse, il quarto volume era interamente dedicato all’interrogatorio di Luigi XVI, alle sedute della Convenzione dei giorni successivi sino ad arrivare alla difesa di De Sèze e agli interventi del 27 e 28 dicembre, presentati in forma compendiosa. Al contrario, il volume successivo, il quinto, offriva nuovamente una documentazione eterogenea che annoverava al suo interno a fianco di quelle dei deputati, anche le opinioni date alle stampe dai privati54. Si trattava anche in questo caso di una selezione di testi composti tra la fine di dicembre e l’inizio di gennaio, nel momento in cui il processo stava volgendo al termine. Le questioni affrontate riflettevano l’attualità in corso, sebbene i più strenui difensori dell’accusato rimanevano ancorati alle argomentazioni sviluppate sin dall’inizio della messa a giudizio del re. Così, truffatore e calunniatore. Si rifugiò allora nella natia Ginevra dove rimase sino alla morte. In occasione del suo processo, redasse un Exposé de la conduite de Perlet, ci-devant imprimeurlibraire et journaliste, relativement à l’auguste famille des Bourbons, depuis 1789 jusqu’à ce jour; et réfutation des calomnies de Fauche-Borel, publiées dans un libelle imprimé au mois d’octobre 1815, Paris, Foucault, 1816, con il quale intendeva proclamare la sua innocenza. Su questo Exposé si veda oltre nel testo. Cfr. Mellot – Queval, Répertoire d’imprimeurs/libraires, p. 439. Si veda anche la voce, dai toni aspri e duri nei confronti di Perlet, del dizionario biografico Michaud (Biographie universelle ancienne et moderne, ou histoire par ordre alphabétique, de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes, Nouvelle édition, ouvrage rédigé par une société de gens de lettres et de savants, t. 32, Paris, Chez Madame C. Desplaces, pp. 501-503). 53 Suite du Journal de perlet, n° 182, Vendredi 22 Mars 1793, p. 400. 54 L’uscita del quinto volume era annunciata sempre nel giornale di Perlet, l’11 aprile 1793. Cfr. Suite du Journal de Perlet, n° 202, p. 88.
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tanto nella Question nouvelle sur le procès de Louis, quanto in Sur le Procès de Louis XVI. Supplément aux réflexions de Mr. Necker, gli anonimi autori peroravano la causa dell’appello al popolo come giudice ultimo di Luigi XVI55. Due scritti intitolati Un défenseur du roi, l’Ami des lois, aux quatre vingt-trois Départemens Français56 e L’ ami des lois au peuple français, sur le procès de Louis XVI avevano un carattere apologetico, costruiti come difese dell’accusato, e ribadivano, l’uno il rispetto delle leggi in vigore come unica forma di giustizia possibile, l’altro le irregolarità delle forme processuali adottate dalla Convenzione (in particolare il suo doppio ruolo di accusatore e giudice). L’ analyse d’un discours aux Français, sur l’abolition de la royauté, le procès du roi, et sur la Révolution era il riassunto di un libello inequivocabilmente realista, come lo stesso redattore non mancava di osservare riportando dei passaggi ossequiosi nei confronti della persona sacra del re, la cui difesa consisteva in realtà in un atto d’accusa nei confronti della Convenzione: «On ne sera pas étonné», commentava non senza ironia il redattore, «que l’auteur entre moins dans les preuves de sa défense, que dans une continuelle récrimination contre ses juges. Ce qui nous dispenserait d’une plus longue analyse si la tâche que nous avons prise ne nous imposait l’obligation de faire connaître jusqu’aux moindres écrits qui ont été publiés, pour ou contre, dans ce jugement mémorable»57. L’anonimo autore concludeva il suo discorso affermando che la morte del sovrano sarebbe stato un crimine completamente inutile «car la maxime en France est: le roi mort: Vive le roi»58. Anche in questo volume, mancavano le voci favorevoli alla condanna di Luigi XVI espresse nello spazio pubblico. Tale orientamento proseguiva anche nel sesto e settimo volume nei quali solamente due opinioni esterne alla Convenzione erano state inserite, in mezzo ai documenti processuali e a una selezione dei discorsi pronunciati o scritti dai deputati dell’assemblea59.
La versione originariamente data alle stampe de Question nouvelle sur le Procès de Louis XVI portava la data «Paris, ce 8 janvier 1793». Cfr. Appendice 2. Il ricorso alle assemblee primarie in questo scritto veniva, tuttavia, auspicata non tanto per la ratificazione della sentenza che la Convenzione avrebbe emesso, quanto piuttosto affinché la nazione stessa fosse consultata attorno alle domande: «Louis est-il excusable? Quelle peine, s’il n’est pas excusable, doit être prononcée contre lui? Enfin, le jugement capital sera-t-il ou non exécuté?» (Histoire impartiale, t. V, p. 199). 56 Questo scritto, pubblicato nel 1793 è attribuito a F. Darbaud. 57 Histoire impartiale, t. V, p. 263. 58 Ibidem, p. 264. 59 Il sesto volume dell’Histoire impartiale comprendeva, nell’ordine, le opinioni di: Jean-Louis Carra, Thomas Paine, Georges Couthon, Louis-Bernard Guyton, Armand-GuySimon de Coet Nempren Kersaint, Jean Debry, Jean-Baptiste Laboissière, Nicolas Raffron, 55
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Nel sesto vi si leggeva il lungo Plaidoyer pour Louis XVI di Lally-Tollendal, già delegato per la nobiltà negli Stati Generali, poi membro del Comité de Constitution dell’Assemblea Nationale Costituente60. Leggendo parallelamente le prove a carico dell’imputato presentate nell’atto d’accusa, si suggeriva nella premessa al volume, i lettori avrebbero potuto misurare la solidità o la debolezza del ragionamento di Lally-Tollendal, il cui testo era stato riportato integralmente al fine «d’ôter aux malveillans le droit de nous accuser de partialité. Supprimer telles ou telles opinions, ce serait avouer indirectement qu’on les redoute, et ce serait leur faire trop d’honneur»61. Motivazione ribadita, ancora, dunque, per affermare la presunta imparzialità della raccolta. La difesa di Lally-Tollendal era un testo profondamente realista ben diverso nei toni dalla sobrietà della difesa di De Sèze. Nonostante fosse emigrato in Inghilterra dopo essere fuggito di prigione alla fine di agosto, scampando così ai massacri di settembre, Lally-Tollendal aveva notificato alla Convenzione la propria disponibilità ad assumersi la difesa di Luigi XVI o di testimoniare in suo favore. Come egli stesso affermava all’inizio del Plaidoyer, il testo era stato concepito proprio come un’arringa difensiva destinata ad essere pronunciata davanti ai giudici. La Déclaration de M. Louis de Narbonne62 era invece un’apologia composta dall’ex ministro della guerra (tra il dicembre 1791 e il marzo 1792), emigrato in Inghilterra in seguito alla giornata del 10 agosto e in stato d’accusa dal 28 agosto63. Narbonne-Lara, con una lettera del 6 dicembre 1792 indirizzata al presidente della Convenzione, Barère de Vieuzac, aveva notificato all’assemblea la sua intenzione di offrirsi come difensore ufficiale di Luigi XVI. Il deputato Defermon aveva letto la lettera nella seduta del giorno successivo, suscitando una situazione di forte tensione per i sospetti che all’interno dell’assemblea si celassero dei cospiratori in combutta con gli emigrati64. La Déclaration di Narbonne-Lara, pubblicata originariamente a Londra e com-
Nicolas-Marie Quinette. Nel settimo quelle di: Marguerite Elie Guadet, Antoine Girard, Charles-Louis-François-Gabriel Morisson; Jacques-Baptiste-Augustin-Prosper Mennesson, Claude-Louis Masuyer, Charles-André Balland. 60 Tulard – Fayard – Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française, pp. 923924. Si veda il capitolo III. 61 Histoire impartiale, t. VI, Avvertessiment de l’Éditeur, n. p. 62 Tulard – Fayard – Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française, p. 1002. 63 Seligman, La justice en France, t. II, p. 202. 64 Archives parlementaires, t. LIV, pp. 414-415. La lettera era stata firmata anche da Malouet e da tali John Norris e Williams. La questione verteva sulle modalità di consegna della lettera recapitata al deputato Chabot, e cioè se fosse giunta da Londra tramite intermediari, oppure direttamente consegnata dai mittenti. Si sospettava, infatti, che Narbonne
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posta quando già Luigi XVI aveva scelto Malesherbes et Tronchet quali suoi difensori, intendeva porsi come testimonianza dell’innocenza (principalmente di fronte alle accuse di aver provocato la guerra contro la Francia), e delle virtù umane del re decaduto. La morte di Luigi, oltre a non essere desiderata dalla maggioranza dei francesi e della stessa Convenzione, sosteneva l’ex ministro, non avrebbe reso più forte e stabile la Repubblica né rispetto ai tempi lunghi necessari per il consolidamento della nuova forma di governo, né tanto meno, rispetto alla minaccia di un ritorno monarchico. Il volume conclusivo della raccolta, l’ottavo, presentava ancora tre opinioni dei deputati della Convenzione: quelle di Devérité e Duchastel, che peroravano l’abdicazione di Luigi XVI come sola pena legale applicabile65, con la clausola, extra costituzionale, della messa al bando dopo il raggiungimento della pace; e quella di Prost, pronunciata il 29 dicembre, risolutamente favorevole alla condanna e all’esecuzione del sovrano. A queste seguivano gli appelli nominali, il rapporto dell’esecuzione e il testamento di Luigi XVI che concludeva la collezione allo stesso modo de Le pour et le contre. Nel mese di giugno 1793 la raccolta era infine completa66. Le pour et le contre et l’Histoire impartiale du procès de Louis XVI offrivano, dunque, un prodotto editoriale differenziato a dispetto della contempora-
e Malouet fossero giunti a Parigi con un salvacondotto ottenuto grazie ad alcuni membri della Convenzione che avrebbero prestato loro i propri passaporti. 65 L’opinione di Devérité non fu pronunciata alla tribuna e fu solamente data alle stampe. Si trova negli annessi della giornata del 7 gennaio 1793 delle Archives parlementaires, t. LVI, pp. 376-381, ma la versione data alle stampe anonimamente con il titolo Mon opinion sur le jugement de Louis XVI è datata «15 décembre 1792, l’an premier de la République». Quella di Duchastel, al contrario, fu pronunciata nella seduta del 28 dicembre 1792. 66 Suite du Journal de Perlet, n° 266, Vendredi 14 Juin 1793, p. 112. Anche l’Histoire impartiale du Procès de Louis XVI, come già la collezione di documenti edita da Buisson, era recensita nelle pagine del mensile letterario L’ esprit des Journaux. La breve nota, apparsa nella rubrica Bibliographie de l’Europe del numero di giugno, presentava l’intera opera in termini decisamente lusinghieri, sebbene di fatto si limitasse a riprendere quanto annunciato nel titolo della raccolta stessa: «Cette collection est la plus complette, la plus impartiale et la plus intéressante qu’on ai donnée au public jusqu’à présent. Ce qui la rend précieuse sur-tout, c’est qu’on y trouve les moindres opinions des plus simples particuliers, outre celles des représentans du peuple; des extraits des séances de la convention, où il a été question de l’affaire du ci-devant roi, et le recueil des pièces trouvées chez l’intendant de la liste civile, inventoriées et réunies par la commission des vingt-un; en un mot, rien n’a été dit, dans cette grande cause, dont on ne trouve la copie ou l’extrait, le précis ou le sommaire dans cette collection» (L’ esprit des journaux, françois et étrangers. Par une société des gens-de-lettres, Vingt-deuxième année, t. VI, Juin 1793, A Paris, chez la veuve Valade, A Bruxelles, Chez Tutot, p. 412).
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neità della pubblicazione e dell’oggetto trattato. Le pour et le contre di fatto si atteneva alla documentazione ufficiale immessa nello spazio pubblico dalla Convenzione stessa o al massimo riportando i resoconti del Moniteur universel che dell’assemblea rappresentativa era un organo di informazione ufficiale. La collezione di Buisson, infatti, comprendeva solamente i discorsi e le opinioni dei convenzionali, specificando di volta in volta se si trattasse di opinioni pronunciate alla tribuna o solamente scritte e privilegiando, per limiti di spazio, tempo e importanza, le prime sulle seconde. Diversamente l’Histoire impartiale faceva un punto di forza e di distinzione nella eterogeneità della documentazione presentata al lettore, pubblicando anche i discorsi dei particuliers. Essa mancava, tuttavia, di sistematicità. In molti casi non era data al lettore la possibilità di capire se si trattasse di opinioni di privati cittadini o dei deputati della Convenzione (che erano 749 e i cui nomi, forse, non erano noti a tutti i lettori), o se quest’ultime fossero state pronunciate alla tribuna o solamente edite. A differenza de Le pour et le contre, inoltre, la specificazione che indicava se l’opinione fosse stata «imprimée par ordre de la Convention nationale» era assente. Gli interventi dei privati cittadini che trovavano spazio nella collezione di Jauffret erano, come si è detto, nella maggioranza dei casi a favore di Luigi XVI. Messe in vendita entrambe a partire dall’inizio di dicembre, e completate mesi dopo la fine del processo, entrambe le raccolte si dicevano animate, tuttavia, da intenti simili: soddisfare la curiosità attorno a una causa così importante, facilitando l’accesso a una documentazione tanto ricca ed estesa quanto di non sempre agevole reperimento in tutta la Repubblica; permettere ad ognuno, in questo modo, di formarsi un giudizio personale sull’innocenza o colpevolezza dell’accusato. Tale intento poteva rivelarsi utile, come osservato dal redattore della recensione dell’Esprit des Journaux, anche a sentenza ed esecuzione avvenute per comprendere, a posteriori, le ragioni dei giudici e la debolezza della difesa; per districare «attraverso l’abbondanza di parole inseparabili da una simile discussione», i fondamenti della condanna di Luigi XVI. Ma sia l’una che l’altra raccolta, attraverso le specifiche scelte della documentazione presentata, veicolavano esse stesse un’opinione particolare, quella dei redattori o degli stessi editori. In altri termini esse erano parte della discussione di cui intendevano farsi strumento imparziale di diffusione. Di fatto, raccontare lo svolgimento del processo di Luigi XVI attraverso i discorsi riportati, astenendosi da una narrazione degli eventi, implicava comunque una presa di posizione deducibile dalla selezione attuata sulla massa dei discorsi degli stessi deputati o, in maniera più evidente, su quella delle opinioni particolari. Ora, se la posizione di Buisson, così come enunciata all’inizio della raccolta, era vicina a quella sostenuta dalla maggioranza dei girondini, dei
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cui giornali egli era editore, quella di Perlet risultava facilmente deducibile dalla predominanza di opinioni realiste presenti nella raccolta. Lo rivelava, d’altra parte, a distanza di molti anni, lo stesso Perlet in uno scritto del 1816, Exposé de la conduite de Perlet, composto per difendersi dalle accuse mossegli da Louis Fauche-Borel, agente borbonico a Londra negli anni precedenti la Restaurazione, di aver tradito la causa del re e di essersi venduto come spia alla polizia segreta napoleonica durante l’Impero67. Nel testimoniare la sua continua devozione al re, sin dagli anni della Rivoluzione attraverso la sua attività di editore e giornalista, Perlet ricordava come fosse stato soprattutto durante il processo di Luigi XVI che egli aveva osato manifester hautement mon opinion, et que je publiai, soit dans mon journal, soit dans des écrits particuliers, tout ce que les fidèles serviteurs de ce monarque me communiquaient. J’ai été le premier à publier l’Histoire impartiale du Procès de Louis XVI, en 8 volumes in-8°, dans laquelle se trouvent les pièces les plus fortes en faveur de cet infortuné monarque, par MM. Bertrand de Molleville, Necker, Desèze, le chevalier d’Ocariz, chargé des affaires d’Espagne, Lally-Tollendal, de Narbonne, et une foule d’autres68.
La testimonianza, per quanto da considerare con le dovute cautele, soprattutto laddove affermava, in una nota, che l’Histoire impartiale era «le véritable acte d’accusation contre les régicides»69, rivela nondimeno come dietro le scelte della compilazione della raccolta ci fosse con ogni probabilità una rete filomonarchica e come l’intento della raccolta fosse di fatto propagandistico.
Cfr. supra la nota 52. Frédéric Perlet, Exposé de la conduite de Perlet, pp.3-4. 69 Nella stessa nota, Perlet informava che presso lo stesso editore del suo Exposé, erano disponibili ancora alcune copie dell’Histoire impartiale. Ibidem, p. 4 nota 1. 67 68
CONCLUSIONI
Citoyens, Le tyran n’est plus (…) Nous avons eu à combattre des préjugés invétérés, et la superstition des siècles pour la royauté. Des incertitudes involontaires, des inquiétudes inévitables accompagnent toujours les grands changements et les révolutions aussi profondes que la nôtre. Cette crise politique nous a tout à coup environnés de contradictions et d’orages. Cependant les diverses opinions ont eu des motifs honorables. Des sentiments d’humanité, des idées plus ou moins vastes en politique, des craintes plus ou moins raisonnées sur l’étendue des pouvoirs des représentants, ont pu diviser quelques instants les esprits; mais la cause a cessé, les motifs ont disparu; le respect pour la liberté des opinions doit faire oublier ces scènes orageuses: et ce jugement appartient à toute la nation. La Convention nationale et le peuple français ne doivent plus avoir qu’un même esprit, qu’un même sentiment, celui de la liberté et de la fraternité civique1.
Così il 23 gennaio, due giorni dopo l’esecuzione, il deputato Barère riassumeva l’avvenimento ‘processo di Luigi XVI’ appena conclusosi. Uno scontro tempestoso di opinioni che avevano fatto emergere divisioni in seno alla Convenzione, ma che allo stesso tempo avevano espresso sentimenti di umanità e idee di ampio respiro in materia politica, dispiegato timori «più o meno fondati» sui poteri dei rappresentati della nazione. Queste divisioni, queste idee, questi timori si erano riverberati nello spazio pubblico di discussione, erano stati a loro volta oggetto di dibattito attraverso i giornali, o attraverso i pamphlet di cittadini più o meno noti, che ne avevano veicolato di nuovi. Ora, il rispetto della libertà d’opinione, di cui parlava Barère, sarebbe stato ben presto superato, a distanza di due mesi, con delle misure drastiche che ne avrebbero limitato profondamente l’espressione. Allo stesso modo i timori, come quello della guerra, sarebbero diventati realtà con lo scoppio del conflitto contro l’Inghilterra e le divisioni interne ed esterne sarebbero sfociate drammaticamente nel Terrore. Tuttavia, il discorso di Barère dimo1
Archives parlementaires, t. LVII, p. 604.
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strava, come la maggior parte di quelli che lo avevano preceduto, non solo dei deputati della Convenzione, ma anche di coloro che si erano espressi a mezzo della stampa, tanto la consapevolezza della portata dell’avvenimento, quanto una capacità di raccontare l’evento ‘processo di Luigi XVI’ nel suo dispiegarsi e di fornire e di trarne un’autorappresentazione collettiva. Il processo era terminato, l’avvenimento concluso, occorreva pertanto guardare e andare avanti in un’ottica di unità a partire «da uno stesso sentimento, quello della libertà e della fraternità civica». Il processo apparteneva a tutti e il futuro doveva esprimere l’unità della nazione. Tuttavia, nel corso del processo, le opinioni, riflessioni, appelli, etc., avevano rivolto al futuro, non solo quello immediato, ma quello più lontano, quello delle generazioni a venire, uno sguardo che suonava come un appello al giudizio della posterità. Per mezzo del richiamo al giudizio delle generazioni future era possibile, invocando degli spettatori imparziali, trasformare il presente in passato e dunque ‘fingere’ di potersi osservare da una prospettiva differente. Invocare la posterità, significava assumere un punto di vista esterno, ma ugualmente coinvolto, il solo capace di svelare la reale portata, la reale dimensione politica dell’avvenimento2. «Cosa penserà la posterità?» «Penserà che siamo ingiusti perché condanniamo un uomo senza un processo uguale per tutti? Penserà che siamo ingiusti perché tergiversiamo nel punire un tiranno?» Erano queste le domande che retoricamente molti si erano posti nel corso del processo, domande capaci di dare un’autorappresentazione collettiva nel presente e di determinare, attraverso le risposte, la direzione dell’azione. Attraverso questa invenzione di prospettiva, progressivamente, nel corso del processo, la questione dell’innocenza o della colpevolezza di Luigi XVI divenne sempre meno centrale nel dibattito (sebbene destinata a riemergere nel periodo successivo, nella fase di trasformazione in martire del sovrano ad opera della propaganda realista) per lasciare il posto alla funzione attribuita al giudizio del re sull’immagine della nazione, alla sua capacità di rappresentare la base della Repubblica. Il processo di Luigi XVI, dunque, non fu solamente l’occasione di confronto e di scontro di opinioni diverse che si contrapposero nello spazio pubblico aperto e vasto quanto la nazione, ma fu già, nel momento stesso in cui avveniva, una figura di ricordo, temporalmente determinata, di una memoria collettiva nazionale a venire. Non a caso, negli anni immediatamente successivi, il processo fu incorporato nella memoria pubblica organizzata; fu la stessa
J. Guilhaumou, Discours et événement. L’ histoire langagière des concepts, Besançon, Presses Universitaires de Franche-Comté, 2006, p. 137. 2
CONCLUSIONI
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Convenzione a istituire la festa nazionale del 21 gennaio a perenne memoria del tirannicidio, «la juste punition du dernier roi des français». Il senso di fare giustizia, proprio di qualsiasi processo, assunse pertanto nei discorsi contemporanei una portata ben più vasta dello stabilire «le pour et le contre». Fu il luogo al quale la memoria di una nazione sapeva di poter andare per ritrovare il senso della propria unità, sul quale la Repubblica avrebbe affondato le proprie basi, sul quale si stava creando il legame tra la generazione del presente, fondatrice, e quelle del futuro3. E a contrario. Il processo fu dunque un momento di giustizia fondante, una giustizia che, però, si caricava di una valenza tanto connettiva quanto disgiuntiva in una prospettiva futura, a seconda delle differenti opinioni. Ed è anche su questo punto, il giudizio della posterità, come già sul giudizio del ‘popolo’ che lo scontro delle opinioni si consumò. Ed è a questo significato di figura di ricordo del processo che si riferirono tanto i difensori di Luigi XVI, quanto i fautori della sua punizione4. La storia del processo di Luigi XVI quale emerge dalla discussione ‘sul processo’, non è dunque, soltanto il racconto dei fatti o misfatti commessi dall’imputato, né quello dello svolgimento delle tappe che dall’istruzione portavano alla messa a giudizio sino a giungere alla condanna ed esecuzione. È anche un racconto nel racconto, il racconto plurale, come i mezzi di comunicazione dispiegati e gli attori in gioco, di un’autorappresentazione collettiva. La «Iustitia connectiva» di cui J. Assmann, La memoria culturale. Scrittura, ricordo e identità politica nelle grandi civiltà antiche, trad. it., Torino, Einaudi, 1997, pp. 192-193. 4 Un esempio interessante è rappresentato da un anonimo pamphlet intitolato Appel à la postérité, sur le jugement du roi, pubblicato a Londra nel 1793 e che ebbe due edizioni. Si tratta di uno scritto apologetico in favore di Luigi XVI nel quale l’autore immaginava di rivolgersi ai lettori del XX secolo. Lo scritto uscì in ritardo e probabilmente contemporaneamente o subito dopo l’esecuzione, sebbene composto durante il processo, come si deduce dall’avviso A mes concitoyens anteposto al testo. L’anonimo autore immaginava come gli storici del XX secolo e la posterità avrebbero giudicato il processo e il periodo della Rivoluzione. Come già era stato per i greci e per i romani, si leggeva, «nous aussi nous aurons une postérité! Cette postérité nous jugera: elle nous jugera sans partialité, sans passions, sans ce nuage épais de vengeances, d’ambitions, d’intrigues ou d’incertitudes qui obscurciroient l’évidence même. Que diront les arrières petits enfans de Marat et de Robespierre, en apprenant les forfaits de leurs aïeux? Que penseront-ils du renversement d’idées et de principes consacré par leurs forfaits? (…) Ils voudront voir, ils voudront examiner cependant si leurs ancêtres étoient des monstres ou bien des instrumens sévères de la justice divine. Aux cris tant répétés de tyran, de despote et de conspirateur, ils se feront rendre compte de la conduite de ce prince infortuné qui provoqua tant de noms odieux, et attira sur sa tête un déluge effroyable de maux de toute espèce. Qu’avoit-il fait?» (p. 5). Seguivano dunque gli esempi atti a dimostrare come Luigi XVI fosse stato tutt’altro che un tiranno rispetto ad altri re d’Europa e di Francia (Luigi XI, Carlo IX, Filippo II, Carlo I, Luigi XIV) che lo avevano preceduto. «François du vingtième siècle, voilà ce qu’il a dit; voilà ce qu’il a fait» (p. 14). 3
APPENDICE BIBLIOGRAFICA 1 GLI «IMPRIMÉS PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE»
Sezione 1 Documenti processuali1 ASSEMBLEA LEGISLATIVA Pièce trouvé dans un des secrétaires du cabinet du roi, par MM. les commissaires envoyés aux Tuileries; Imprimée par ordre de l’Assemblée nationale, De l’Imprimerie nationale, s.d., 4 pp. Pièces trouvées dans le secrétaire du roi, lues à l’assemblée nationale Le 15 août, l’an 4e de la liberté; Imprimées et envoyées aux 83 départemens par son ordre, A Paris, De l’Imprimerie nationale, s.d., 15 pp. Diverses pièces inventoriées chez M. Delaporte, administrateur de la liste civile, lues à l’Assemblée nationale, Le vendredi 17 Août 1792, l’an quatrième de la liberté, et imprimées par son ordre. Troisième collection, A Paris, De l’Imprimerie nationale, s.d., 7 pp. Pièces trouvées Dans les papiers de MM. de Montmorin, Laporte, Intendans de la liste civile, d’Abancourt, ex-Ministre, et à l’Hôtel Massiac, Dont les originaux sont en dépôt
In questa sezione sono riportati i riferimenti bibliografici dei documenti relativi al processo di Luigi XVI di cui la Convenzione nazionale decretò via via l’ordine di stampa. Si tratta delle carte rinvenute a partire dal 10 agosto nel palazzo delle Tuileries che già la Legislativa cominciò a pubblicare; dei rapporti stilati dalle varie commissioni (dei Ventiquattro, Dodici, Ventuno) e della relativa documentazione inventariata; i rapporti del Comité de Législation, il verbale dell’interrogatorio di Luigi XVI dell’11 dicembre 1792, l’arringa difensiva, e infine la lista ufficiale degli appelli nominali dal 15 al 19 gennaio 1793. Queste pubblicazioni «par ordre de la Convention nationale» uscirono dai torchi dell’Imprimerie nationale, gestita dall’editore-stampatore François-Jean Baudouin, con sede a Parigi nel corso dell’autunno 1792 e dell’inverno 1793. I titoli di tali documenti, privi dell’indicazione della data ma pubblicati tra il 1792 e il 1793, sono stati ordinati cronologicamente sulla base degli ordini di stampa dell’Assemblea Legislativa prima, e della Convenzione nazionale dopo. 1
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
au Comité de Surveillance de l’Assemblée Nationale; Imprimées par ordre de l’Assemblée Nationale. Cinquième recueil, A Paris, De l’Imprimerie nationale, s.d., 16 pp. Sixième et septième recueils de pièces trouvées dans les papiers du sieur Delaporte, intendant de la liste civile, Déposées en Originaux au Comité général de Surveillance de l’Assemblée Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, s.d., 20 pp. Huitième recueil de pièces inventoriées chez M. Delaporte, intendant de la liste civile, A Paris, De l’Imprimerie nationale, s.d., 8 pp. Neuvième recueil de pièces trouvées chez M. Delaporte, intendant de la liste civile. Déposées au comité de Surveillance, Première partie, De l’Imprimerie nationale, s.d., 26 pp. Neuvième recueil de pièces trouvées chez M. Delaporte, intendant de la liste civile. Dont les originaux sont déposés au comité de Surveillance, Seconde partie, De l’Imprimerie nationale, s.d., 11 pp. Dixième recueil de pièces trouvées chez M. Laporte, intendant de la liste-civile. Imprimées par ordre de l’Assemblée nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 42 pp. Onzième recueil de pièces trouvées chez M. Delaporte, intendant de la liste civile. Correspondance entre lui et le sieur Morizot, avocat, et la ci-devant marquise de Gresigny, dont les originaux sont déposés au Comité de Surveillance, De l’Imprimerie nationale, [1792], 18 pp. Douzième recueil. Plan d’une constitution libre trouvé chez M. Laporte. Intendant de la liste civile, De l’Imprimerie nationale, s.d., 60 pp. Treizième recueil de pièces trouvées chez M. Delaporte, intendant de la liste civile. Déposées en originaux au Comité général de Surveillance de l’Assemblée Nationale, De l’Imprimerie nationale, s.d., 28 pp. Rapport de Louis-Jérôme Gohier, Député du département d’Isle-et-Vilaine, Sur les papiers inventoriés dans les bureaux de la liste civile; Fait à la séance du Dimanche matin 16 septembre 1792; Imprimé par ordre de l’Assemblée nationale. Envoyé à l’Armée et aux quatre-vingt-trois Départemens, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 24 pp.
CONVENZIONE NAZIONALE Quatorzième recueil de pièces trouvées chez M. Laporte, intendant de la liste civile, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 4 pp. Quinzième recueil de pièces trouvées chez M. Laporte, intendant de la liste civile, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 10 pp.
COMMISSION DES VINGT-QUATRE Convention nationale. Rapport fait à la Convention nationale, au nom de la commission extraordinaire des Vingt-quatre, Le 6 novembre 1792, l’an premier de la République, Sur les crimes du ci-devant roi, dont les preuves ont été trouvées dans les papiers recueillis par le comité de surveillance de la Commune de Paris;
GLI «IMPRIMÉS PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE»
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Par Dufriche-Valazé, Député du Département de l’Orne; Imprimé par ordre de la Convention nationale. Premier Rapport sur les crimes de Louis Capet, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 28 pp. Convention nationale. Second recueil. Pièces justificatives Des Crimes commis par le ci-devant Roi. Premier cahier. A l’appui du rapport fait au nom de la Commission Extraordinaire des Vingt-Quatre, Par Valazé, Député à la Convention Nationale par le Département de l’Orne; Imprimées par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, Deuxième de la République, 121 pp.
COMITÉ DE LÉGISLATION Convention nationale. Rapport et projet de décret, présentés à la Convention nationale, au nom du Comité de Législation, par Jean Mailhe, Député du Département de Haute-Garonne, Le 7 Novembre 1792, l’an premier de la République; Imprimés et envoyés par ordre de la Convention nationale dans le 83 Départemens, et dont la traduction en toutes les langues a été également décrétée, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 27 pp.
COMMISSION DES DOUZE Troisième recueil. Pièces imprimées d’après le décret de la Convention nationale, du 5 décembre 1792, l’an premier de la République; Déposées à la Commission Extraordinaire des Douze, établie pour le dépouillement des papiers trouvés dans l’armoire de fer au Château des Tuileries, et cotés par le Ministre de l’Intérieur, et les Secrétaires, lors de la remise qu’il en fit sur le bureau de la Convention, Tome premier, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 370 pp. Troisième recueil. Pièces imprimées d’après le décret de la Convention nationale, du 5 décembre 1792, l’an premier de la République; Déposées à la Commission Extraordinaire des Douze, établie pour le dépouillement des papiers trouvés dans l’armoire de fer au Château des Tuileries, et cotés par le Ministre de l’Intérieur, et les Secrétaires, lors de la remise qu’il en fit sur le bureau de la Convention, Tome second, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 292 pp. Quatrième recueil. Pièces imprimées d’après le décret de la Convention nationale, Du 5 décembre 1792, l’an premier de la République. Suite des pièces trouvées dans l’armoire de fer, avec l’inventaire qui en a été fait à la commission chargée de l’examen desdites pièces. Ces pièces font suite au rapport général de la Commission, par Borie, l’un des membres, Tome troisième, s. l., n. d.
COMMISSION DES VINGT-ET-UN Rapport qui a précédé l’Acte énonciatif des crimes de Louis Capet; lu à la Convention nationale, au nom de la commission des vingt-un, Le 10 Décembre 1792, l’an premier de la République, Par Robert Lindet; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 22 pp.
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Convention nationale. Recueil des pièces justificatives De l’acte énonciatif des crimes de Louis Capet, Réunies par la Commission des Vingt-un; Imprimé par ordre de la Convention nationale. Pièces comprises au premier inventaire, s.l. s.d., 172 pp. Convention nationale. Recueil des pièces justificatives De l’Acte énonciatif des crimes de Louis Capet, Réunies par la Commission de Vingt-un; Imprimé par ordre de la Convention nationale. Pièces comprises au second inventaire, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 110 pp. Convention nationale. Inventaires des pièces recueillies par la commission des Vingtun, Concernant les Crimes de Louis Capet; et Procès-verbaux de la remise qui lui a été faite au Temple des copies des mêmes pièces, et la communication qui lui a été donnée des originaux de celles inférées au deuxième et troisième Inventaires, Imprimés par ordre de la Convention Nationale, s.l s.d., 26 pp.
PROJET QUINETTE Convention nationale. Projet de décret sur le jugement de Louis XVI, présenté à la Convention nationale, Par N. M. Quinette, député du département de l’Aisne, Adopté dans la séance du 6 décembre 1792, l’an premier de la République; Imprimé par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 6 pp. Convention nationale. Complément Des Décrets rendus par la Convention nationale dans l’affaire de Louis Capet, Présenté Par N. M. Quinette, Député du département de l’Aisne; Imprimé par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 4 pp.
INTERROGATORIO DI LUIGI XVI, 11 DICEMBRE 1792 Procès-verbal de la Convention nationale. Séance du Mardi 11 Décembre 1792, L’ an premier de la République Française; Imprimés [sic] par ordre de la Convention Nationale, et envoyé aux 84 Départemens, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 27 pp.
DIFESA DI MALESHERBES – TRONCHET – DE SÈZE, 26 DICEMBRE 1792 Défense de Louis, Prononcée à la barre de la Convention Nationale, Le Mercredi 26 Décembre 1792, l’an Ier de la République, Par le Citoyen Desèze, l’un de ses Défenseurs officieux; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 48 pp. Convention nationale. Observation des défenseurs de Louis Sur une imputation particulière qui lui a été faite dans la Convention; Précédées de leur lettre d’envoi au Citoyen-Président: Imprimées par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie nationale, s.d., 8 pp.2
La lettera firmata da Lamoignon-Malesherbes, Tronchet, De Sèze, e datata 4 gennaio 1793, era la risposta di Luigi all’accusa di aver pagato segretamente un emissario inviato in Prussia. 2
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APPELLI NOMINALI, 15-19 GENNAIO 1793 Convention nationale. Appels nominaux faits Dans la Séance des 15 et 19 Janvier 1793, l’an 2e de la République, sur ces trois questions: 1° Louis est-il coupable de conspiration contre la liberté publique, et d’attentats contre la sûreté générale de l’État? 2° Le Jugement de la Convention nationale contre Louis Capet sera-t-il soumis à la ratification du Peuple? 3° Y aura-t-il un sursis, oui ou non, à l’exécution du Décret qui condamne Louis Capet? Imprimés par ordre de la Convention nationale, A Paris, de l’Imprimerie nationale, 1793, 71 pp. Appel nominal, Extrait du procès-verbal de la séance permanente de la Convention Nationale, de 16 et 17 Janvier, l’an deuxième de la République, Sur cette question: Quelle peine sera infligée à Louis?, A Paris, De l’Imprimerie nationale, s.d., 43 pp.
Sezione 2 Opinioni dei deputati fatte stampare per Ordine della Convenzione nazionale3 OPINIONI PRONUNCIATE ALLA TRIBUNA DELLA CONVENZIONE, 13 NOVEMBRE – 3 DICEMBRE 1792. 13 novembre Fauchet, Claude, Convention nationale. Opinion de Claude Fauchet, Député du Calvados, Sur le jugement du ci-devant Roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. Morisson, Charles-Louis-François-Gabriel, Convention nationale. Opinion du citoyen Morisson, Député du Département de la Vendée, concernant Le jugement de Louis XVI, Séance du 13 novembre 1792, l’an premier de la République française. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 19 pp. Robert, François, Convention nationale. Opinion de François Robert, Député du Département de Paris, concernant Le jugement de Louis XVI; Séance du 13
Questa sezione comprende le opinioni dei membri della Convenzione nazionale relative al processo di Luigi XVI. Le opinioni pronunciate alla tribuna (e in seguito date alle stampe) sono state distinte da quelle solamente scritte. Per ricostruire questa ingente massa di scritti sulla quale non esiste ancora un elenco bibliografico definitivo e ragionato, si sono principalmente seguiti i volumi delle Archives parlementaires che danno conto delle opinioni dei convenzionali, senza però riportare mai l’informazione bibliografica estesa. Tanto per quelle pronunciate quanto per quelle solamente affidate alla stampa, si tratta, come è ovvio, di trascrizioni. Nondimeno, le Archives parlementaires non offrono un quadro completo di tutte quante le opinioni redatte e pubblicate, soprattutto per quanto riguarda quelle, tanto numerose quanto brevi, relative alle motivazioni di voto degli appelli nominali. Queste ultime pubblicazioni brevi costituiscono il principale problema per la 3
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Novembre 1792, l’an premier de la République, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Saint-Just, Louis-Antoine, Convention nationale. Opinion du citoyen Saint-Just, Député du Département de l’Aisne, concernant Le jugement de Louis XVI, Séance du 13 novembre 1792, l’an premier de la République française. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp.
15 novembre Rouzet, Convention nationale. Opinion du citoyen Rouzet, Député du Départ. de la Haute-Garonne, concernant Le jugement de Louis XVI, Séance du 15 novembre 1792, l’an premier de la République française. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Grégoire, Henri, Convention Nationale. Opinion du citoyen Grégoire, Député du Département de Loir-et-Cher, Concernant le Jugement de Louis XVI, Séance du 15 novembre 1792, l’an premier de la République française; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp.
ricostruzione di una bibliografia completa: gli appelli nominali, infatti rappresentarono l’occasione per molti deputati di esprimersi per la prima (e forse unica) volta davanti ai propri rappresentanti. Per ricostruire tale elenco, dunque, un apporto fondamentale è venuto dai sei volumi di riproduzioni delle opinioni dei convenzionali stampati presso l’università di Senshu a partire dal patrimonio librario della biblioteca di Michel Bernstein donata a quell’università: si tratta di Opinions des conventionnels sur le jugement de Louis XVI. Recueil des brochures conservées à la bibliothèque de Michel Bernstein, dir. T. Chizuka, Tokio, Presses Universitaires de Senshu, 2008, 6 voll. Un elenco, presente nello studio sui convenzionali di A. Patrick, The Men of the First Republic. Political Alignments in the National Convention of 1792, Baltimore, Johns Hopkins University Press, 1972, pp. 382392, non riporta le voci per esteso e le opinioni sono riportate seguendo l’ordine alfabetico dell’autore senza tenere conto del contenuto. Per fornire uno strumento di orientamento si è scelto di ordinare l’elenco in maniera tematica, non essendo in grado di stabilire un corretto ordine cronologico a partire dal numero di Législation che probabilmente corrispondeva all’ordine di stampa. Rimando su questa questione l’introduzione di Tadami Chizuka al primo volume delle Opinions des conventionneles, pp. V-IX. Risulterebbe in effetti particolarmente interessante ricostruire, a partire da un repertorio completo di tutte quante le opinioni pubblicate, una lista che dia conto dei tempi di pubblicazione rispetto ai tempi di redazione (in linea generale queste opinioni apparvero tutte tra il 1792 e il 1793; per non appesantire troppo ogni singola voce si è evitato di mettere s.d. in corrispondenza della data). Questo elenco comprende dunque solo le opinioni che riportano la dicitura «imprimées par ordre de la Convention nationale», come parte, dunque di una documentazione ufficiale prodotta dall’assemblea rappresentativa e dai suoi singoli membri. Per le opinioni stampate dall’Imprimerie nationale l’indicazione del luogo di stampa, quando non presente nel testo, deve sottindersi «Paris».
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28 novembre4 Serre, Joseph, Convention nationale. Opinion de Joseph Serre, Député des Hautes-Alpes, Contre l’inviolabilité du roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp.
3 dicembre 1792 Robespierre, Maximilien, Convention nationale. Opinion de Maximilien Robespierre, Député du Département de Paris, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 12 pp.
OPINIONI NON PRONUNCIATE SULLA XVI, NOVEMBRE – DICEMBRE 17925 Convention nationale. Opinions sur Français. Imprimées par ordre de merie Nationale, 17926. Convention nationale. Opinions sur Français. Imprimées par ordre de merie Nationale, 17927. Convention nationale. Opinions sur Français. Imprimées par ordre de merie Nationale, 17928.
QUESTIONE DELLA GIUDICABILITÀ DI
LUIGI
le jugement de Louis XVI, ci-devant Roi des la Convention nationale, A Paris, De l’Imprile jugement de Louis XVI, ci-devant Roi des la Convention nationale, A Paris, De l’Imprile jugement de Louis XVI, ci-devant Roi des la Convention nationale, A Paris, De l’Impri-
Il 28 novembre prese la parola sul processo di Luigi XVI anche Pierre-Joseph-DenisGuillaume Faure. L’opinione espressa in quella data, tuttavia, sembrerebbe non essere stata data alle stampe. 5 Questo elenco di titoli è stato compilato a partire dalle Annexes alla giornata del 3 dicembre 1792 delle Archives parlementaires, t. LIV, pp. 88-337 che riportano le opinioni non pronunciate di 101 deputati relativamente alla questione posta dal Comité de Législation se Luigi XVI fosse o meno giudicabile. Per affinità di contenuto, sono state inserite anche due opinioni posteriori, quella di Dechézeaux e di Devérité, rispettivamente del 10 e 15 dicembre 1792. 6 Questo volume comprende, nell’ordine, le opinioni di: Louis-Pierre Manuel, ClaudeCharles Prost, François Mellinet, Pierre Paganel, Armand-Gaston Camus, Jean-Baptiste Leclerc, Jean-François Ricord, François Poultier, Jean-Louis Carra. 7 Questo volume raccoglie, nell’ordine, le opinioni di: Joseph Lakanal, Michel-Edme Petit, Pierre-Louis Ichon, Jacques-Marie Rouzet, Pierre-Claude-François Daunou, Jacques Brival, Jean-Baptiste Birotteau, Jean Julien, Joseph-Antoine-Sébastien Guiter, Antoine-Clair Thibaudeau, Jean-Baptiste Laboissière, Joseph Monmayou, Jacques-Claude Dugué-D’Assé, JeanBaptiste Cavaignac, Jean-Augustin Pénières, Julien-Bernard-Dorothée Mazade, Noël Pointe. 8 In questo volume sono comprese, nell’ordine, le opinioni di: Antoine Conte, AugustinBon-Joseph Robespierre, Théophile Berlier, Joseph-Clément Poullain-Grandprey, Pierre4
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Albouy, Barthélémy, Convention nationale. Opinion de Barthélémy Albouys, Député du Département du Lot à la Convention Nationale, Sur la Question: Si Louis Capet, dernier Roi des Français, peut être jugé? Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Asselin, Eustache Benoît, Convention nationale. Opinion d’Eustache Benoît Asselin, Député du Département de la Somme à la Convention Nationale, Sur la Question: le Roi peut être jugé? Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 7 pp.9 Asselin, Eustache Benoît, Convention nationale. Complément de l’opinion Du Citoyen Asselin, Député à la Convention Nationale, Sur le Procès de Louis XVI. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Azéma, Michel, Convention nationale. Opinion de Michel Azéma, Député du Département de l’Aude, Membre du comité de Législation et de la section chargée de la faction du Code françois par l’assemblée nationale législative, et membre du même comité de la Convention nationale, Sur le jugement de Louis Capet, dernier roi des François, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 30 pp.10 Baille, Pierre, Convention nationale. Opinion de Pierre Baille, Député des Bouchesdu-Rhône, Sur le Jugement de Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Barailon, Jean-François, Opinion de Jean-François Barailon, Député du Département de la Creuse, A la Convention nationale, Sur le Jugement de Louis Capet, ci-devant Roi des Français, et de sa famille, De l’Imprimerie nationale, 6 pp.11 Baudot, Marc-Antoine, Convention nationale. Opinion du citoyen Marc-Antoine Baudot, Député de Saône-&-Loire à la Convention Nationale, Sur le jugement de Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention. Le premier Décembre, l’an Ier de la République française, De l’Imprimerie nationale, 18 pp. Beauvais, Charles-Nicolas, Convention nationale. Opinion sur le jugement de Louis XVI, Ci-devant Roi des Français, par C. N. Beauvais, Député du Département de Paris à la Convention nationale, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Bayle, Moyse, Convention nationale. Moyse Bayle, Député du département des Bouches-du-Rhône à la Convention Nationale, A ses collègues, Sur le mode d’instruire la procédure du ci-devant Roi, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Arnaud Dartigoyte, Charles-François Oudot, Gabriel Bouquier, Claude-Joseph Girault, Marie-Jean-Antoine-Nicolas Caritat de Condorcet. 9 Ne esiste un’edizione stampata «A Marseille, de l’Imprimerie de Jean Mossy, Imprimeur du Département, l’an premier de la République française, 1792», di 8 pagine. 10 Altra edizione Département de Lot et Garonne. Opinion de Michel Azema, député du département de l’Aude, Membre du comité de législation et de la section chargée de la faction du Code français, par l’assemblée nationale législative, et membre du même comité de la Convention nationale, Sur le jugement de Louis Capet, Dernier roi des Français, A Agen, Chez la veuve Noubel et Fils Aîné, Imprimeur du Département, 30 pp. 11 Paris, ce 14 novembre 1792.
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Berlier, Théophile, Convention nationale. Opinion du citoyen Théophile Berlier, Député du Département de la Côte-d’Or, Sur la question de savoir si Louis XVI peut et doit être mis en jugement, Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 15 pp. Bertucat, Claude, Mathieu, Nicolas, Convention nationale. Opinion du citoyen Bertucat, Député du Département de Saône et Loire, Sur le Jugement de Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Bezard, François-Siméon, Opinion de François-Siméon Bezard, Député du Département de l’Aisne à la Convention Nationale, Sur le procès du ci-devant Roi, De l’Imprimerie nationale, 7 pp.12 Birotteau, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Jean-Baptiste Birotteau, Député du Département des Pyrénées-Orientales, Sur le Jugement de Louis le dernier, Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Blutel, Charles-Auguste-Esprit-Rose, Convention nationale. Réflexions sur le jugement de Louis XVI, Par le Citoyen Blutel, Député du Département de la SeineInférieure, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Bonnesœur-Bourginière, Siméon-Jacques-Henri, Convention nationale. Opinion de Sim.-Jac.-Henri Bonnesoeur-Bourginière, Député du Département de la Manche, Sur le Jugement de Louis XVI, dernier roi des Français, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Bouquier, Gabriel, Convention nationale. Opinion de Gabriel Bouquier, Député du Département de la Dordogne, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Bouchereau, Augustin-François, Opinion d’A.-F. Bouchereau, Député du Département de l’Aisne, à la Convention Nationale, sur cette question, Louis XVI peut-il être jugé? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Bourdon, Léonard, Convention nationale. Opinion de Léonard Bourdon, Député du Loiret, Sur le jugement de Louis Capet, dit Louis XVI. 18 novembre l’an Ier de la République, Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 19 pp.13 Brival, Jacques, Convention nationale. Discours du citoyen Brival, Député du Département de la Corrèze, sur le jugement de Louis Capet, Dernier roi des français; Imprimé en vertu du décret du 20 Octobre, l’An premier de la République, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Brunel, Ignace, Convention nationale. Opinion de Brunel, Député du département de l’Hérault, Sur l’affaire de Louis Capet, Du 30 novembre 1792, l’an premier de
Mancano Convention nationale e Imprimée par ordre de la Convention nationale. L’opinione di Bourdon sviluppa in senso affermativo la questione se Luigi potesse essere giudicato. Una postilla alla fine del testo, tuttavia, informa che il testo era stato dato alle stampe tra l’11 e il 26 dicembre (p. 18). 12 13
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
la République; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp.14 Calès, Jean-Marie, Convention nationale. Opinion du citoyen Jean-Marie Calès, Député du Département de la Haute-Garonne, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Camus, Armand-Gaston, Convention nationale. Opinion de A.-G. Camus, Sur les principes de la conduite à tenir par la République française et par ses représentans, à l’égard du ci-devant roi et de sa famille; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. Carra, Jean-Louis, Convention nationale. Opinion de Carra, sur le jugement de Louis Capet, ci-devant Roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Cavaignac, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de J.-B. Cavaignac, Député du Lot, sur la question de savoir: Si Louis XVI peut être jugé? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Chasset, Charles-Antoine, Convention nationale. Opinion sur l’affaire de Louis XVI, adressée à la Convention nationale, par Charles-Antoine Chasset, Député du département de Rhône et Loire, Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Chénier, Marie-Jospeh, Convention nationale. Opinion de Marie-Joseph Chenier, Député du Département de Seine-et-Oise à la Convention Nationale, Pour le jugement du ci-devant Roi. Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Condorcet, Marie-Jean-Antoine-Nicolas Caritat de, Convention nationale. Opinion de Condorcet, sur le jugement de Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 30 pp. Conte, Antoine, Discours du citoyen Antoine Conte, Député du département des Basses-Pyrénées, à la Convention Nationale, Contre le Projet de Décret, présenté au nom du comité, sur l’affaire de Louis XVI, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Coren-Fustier, Simon-Joseph, Convention nationale. Opinion de Simon-Joseph Coren-Fustier, Député du Département de l’Ardèche, à la Convention nationale, Sur la question de savoir si Louis XVI peut être jugé, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Dartigoeyte, Pierre-Arnaud, Convention nationale. Opinion du citoyen Dartigoyte [sic], Député du Département des Landes, Sur cette question: Louis peut-il être jugé? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp.
Esiste anche un’altra edizione: Département de Lot et Garonne. Opinion de Brunel, Député du Département de l’Hérault, Sur l’affaire de Louis Capet, Du novembre 1792, l’an premier de la république. Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Agen, Chez la veuve Noubel et Fils, Imprimeur du Département, 1792, 7 pp. 14
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Daunou, Pierre-Claude-François, Convention nationale. Opinion de P.-C.-F. Daunou, Député du Pas-de-Calais, Sur le Jugement de Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. De Bry, Jean-Antoine-Joseph, Convention nationale. Opinion de Jean de Bry, Député du Département de l’Aisne, Sur la question: le ci-devant roi sera-t-il jugé? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Dechézeaux, Pierre-Charles-Daniel-Gustave, Convention nationale. Encore une opinion sur le jugement de Louis XVI, par G. Dechézeaux, Député du Département de la Charente-Inférieure. Imprimée par ordre de la Convention nationale. Du 10 Décembre 1792, De l’Imprimerie nationale, 4 pp.15 Delbrel, Pierre, Convention nationale. Opinion du citoyen Delbrel, Député du Département du Lot, Sur les Questions suivantes: Louis Capet peut-il être jugé? Par qui doit-il l’être? Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Deleyre, Alexandre, Convention nationale. Opinion d’Alexandre Deleyre. Député du Département de la Gironde, Sur la question du Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Desmoulins, Camille, Convention nationale. Opinion de Camille Desmoulins, Député de Paris à la Convention, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Devérité, Louis-Alexandre, Convention nationale. Opinion de L. A. Devérité. Député de la Somme, sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 16 pp.16 Drouet, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion du Citoyen Drouet (de Ste-Menehould) Député du Département de la Marne, sur le procès de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Du Bignon, François-Marie-Jean, Convention nationale. Opinion du citoyen Dubignon, Député de l’Ille et Vilaine, sur le procès de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Ducos, Roger, Opinion de Roger Ducos, Député du département des Landes à la Convention nationale, Sur cette question: Louis XVI peut-il être jugé? Doit-il être jugé par la Convention Nationale?, De l’Imprimerie nationale, 11 pp.
Nelle Archives parlementaires questa opinione figura nelle Annexes della giornata del 7 gennaio 1793: cfr. t. LVI, pp. 359-361. 16 Il testo porta la data 15 dicembre 1792. Ne esiste un’edizione anonima e priva di indicazione di editore, intitolata Mon opinion sur le jugement de Louis XVI, [Le 15 Décembre 1792, l’an premier de la République], 16 p. Questa opinione è stata inserita nelle Annexes della giornata del 7 gennaio 1793 delle Archives parlementaires, t. LVI, pp. 376-381. Tuttavia, tanto l’indicazione della data alla fine del testo, presente nelle due edizioni appena citate, quanto il contenuto dell’opinione suggeriscono di collocarlo nel gruppo di pareri espressi nel periodo precedente alla difesa del 26 dicembre. 15
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Dugué-D’Assé, Jacques-Claude, Convention nationale. Opinion de Dugué-d’Assé, Député du Département de l’Orne, Sur le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Dufriche-Valazé, Charles-Éléonore, Convention nationale. Opinion du citoyen Dufriche-Valazé, Député du Département de l’Orne, Sur le jugement de Louis Capet; imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Dulaure, Jacques-Antoine, Convention nationale. Opinion de J.-A. Dulaure, Député à la Convention nationale de France par le Département du Puy-de-Dôme, Sur le Jugement du ci-devant roi, Du 2 décembre, l’an Ier de la République, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Enlart, Nicolas-François-Marie, Convention nationale. Opinion du citoyen Enlart, Député par le département du Pas-de-Calais, à la Convention nationale. Sur le Jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Fourmy, Jean-Denis, Convention nationale. Opinion et projet de décret, Proposée par le citoyen Fourmy, Député de l’Orne, Sur la question de savoir si Louis XVI sera jugé; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. François, Landry-François-Adrien, Convention nationale. Discours du citoyen François, Député du Département de la Somme, Sur l’article premier du Projet du Décret: Louis XVI peut-il être jugé? Imprimé ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Garnier, Jacques, Convention nationale. Opinion du citoyen Garnier, Député du Département de la Charente-Inférieure, Sur la manière d’instruire le procès de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Gaston, Raymond, Convention nationale. Opinion du citoyen Gaston, Député du département de l’Arriège, Sur le procès du dernier roi des Français, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Genevois, Louis Benoît, Le Procès de Louis XVI réduit à ses vrais termes, De l’Imprimerie nationale 6 pp. Gertoux, Brice, Convention nationale. Opinion du citoyen B. Gertoux, Député du département des Hautes-Pyrénées, sur la forme du jugement de Louis XVI, De l’Imprimerie nationale, 20 pp. Girault, Claude-Joseph, Convention nationale. Opinion du citoyen Girault, Député des Cotes du Nord, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Guiter, Joseph-Antoine-Sébastien, Convention nationale. Discours de Joseph Guiter, Sur la question suivante: Louis XVI peut-il être mis en jugement? Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Guiot, Florent, Convention nationale. Motion d’ordre proposée par Florent Guiot, Député du Département de la Côte-d’Or, Sur l’article premier du Projet de Décret: Louis XVI peut être jugé; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 7 pp.
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Hentz, Nicolas, Convention nationale. Opinion de Nicolas Hentz, Député du Département de la Moselle à la Convention Nationale, Sur le Procès du ci-devant Roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Ichon, Pierre-Louis, Convention nationale. Discours sur l’affaire de Louis XVI, par Ichon, Membre de la Convention Nationale; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp.17 Jean-Bon Saint-André, André (Jeanbon detto), Convention nationale. Opinion de Jean-Bon Saint-André, Député du Lot, Sur cette question: Louis XVI peut-il être jugé? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp.18 Julien, Jean, Convention nationale. Opinion de Jean Julien, Député du Département de la Haute Garonne, Sur le procès de Louis Capet, ci-devant Roi des Français, Ou Examen de cette question: Louis XVI sera-t-il jugé par la Convention nationale? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 11 pp. Jullien, Marc-Antoine, Convention nationale. Opinion de Marc-Antoine Jullien, Député de la Drôme, Sur le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Kersaint, Armand-Guy-Simon de Coet-Nempren, Convention nationale. Opinion de A.-Guy Kersaint sur cette question: Quel parti la Convention nationale doit-elle prendre touchant le ci-devant roi et sa famille? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Laboissière, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Jean-Baptiste Laboissiere, Député du Département du Lot, Concernant l’affaire du ci-devant Roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Lakanal, Joseph, Convention nationale. Opinion du citoyen Lakanal, Député du Département de l’Arriège à la Convention nationale, Sur la question de savoir: si Louis XVI peut être jugé? Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Lambert, Charles, Opinion de Charles Lambert, député de la Côté-d’Or, sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 7 pp.19 Discorso pronunciato nella seduta del 23 novembre 1792 della Société des Amis de la Liberté et de l’Egalité. 18 Esiste anche una ristampa contemporanea Sur la copie imprimée à l’imprimerie nationale, Réimprimée par les soins de la Société des Amis de la République, A Montauban, Chez Fontanel, s.d. 19 Quest’opinione non si trova nelle Annexes alla giornata del 3 dicembre 1793 delle Archives parlementaires, t. LIV, né in quelle alla giornata del 7 gennaio 1793. Il testo porta la data in fondo «Paris, 23 décembre 1792, l’an premier de la République», ma il contenuto dell’opinione riguarda ancora la questione della giudicabilità di Luigi XVI nei confronti della quale il deputato Lambert si esprime favorevolmente. 17
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Lavicomterie, Louis-Thomas Hébert de, Convention nationale. Réflexions du citoyen Lavicomterie, Député de Paris, Sur le procès criminel du ci-devant Roi. Imprimées par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Le Carpentier, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Jean-Baptiste Lecarpentier, Député du Département de la Manche, à la Convention nationale, Sur l’affaire de Louis XVI, Du 30 novembre 1792, l’an 1er de la République. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Leclerc, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de J.-B. Leclerc, Député de Maine-&-Loire, Sur le jugement de Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 15 pp. Lecointe-Puyraveau, Michel-Mathieu, Convention nationale. Opinion de LecointePuyraveau, Député du Département des Deux-Sèvres, Sur Louis Capet, De l’Imprimerie nationale, 7 pp.20 Le Peletier de Saint-Fargeau, Louis-Michel, Convention nationale. Opinion de L.-M. Lepeletier sur le jugement de Louis XVI, ci-devant Roi des Français. Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 11 pp. Lequinio, Joseph-Marie, Convention nationale. Opinion de Lequinio, Député du Morbihan, Sur le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Louchet, Louis, Convention nationale. Opinion de L. Louchet, Député du Département de l’Aveiron à la Convention nationale, Sur le procès de Louis XVI, Du 30 Novembre 1792, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Louvet, Pierre-Florent, Convention nationale. Opinion de Pierre-Florent Louvet, Député du Département de la Somme, Sur l’affaire du ci-devant roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Manuel, Louis-Pierre, Convention nationale. Opinion de P. Manuel sur la première question: Pour le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 7 pp. Mazade, Julien-Bernard-Dorothée, Convention nationale. Opinion de Julien-Bernard-Dorothée Mazade, Député du Département de la Haute-Garonne, sur l’affaire de Louis Capet, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Marat, Jean-Paul, Convention nationale. Opinion de Marat, l’Ami du Peuple, Député à la Convention nationale, Sur le jugement de l’ex-monarque, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Massieu, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Jean-Baptiste Massieu, Député de l’Oise, Sur le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 3 pp.21
20 21
Il testo porta la data «27 novembre l’an premier de la République». 1er Décembre 1792.
GLI «IMPRIMÉS PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE»
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Méaulle, Jean-Nicolas, Convention nationale. Discours de Jean-Nicolas Méaulle, Député du Département de la Loire-Inférieure, Sur le jugement de Louis XVI, Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 11 pp. Mellinet, François, Convention nationale. Discours de F. Mellinet, Député du Département de la Loire-Inférieure, Sur la question suivante: Louis XVI peut-il être jugé? le 15 novembre 1792, l’an Ier de la République; Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Meynard, François, Convention nationale. Opinion de F. Meynard, Député du Département de la Dordogne, Sur le 1er article du Projet de Décret présenté au nom du Comité de législation, concernant le procès de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 20 pp. Michet, Antoine, Convention nationale. Observations sur le procès de Louis XVI, Par Michet, Député du Département de Rhône-et-Loire, Imprimées par ordre de la Convention, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 7 pp. Monmayou, Joseph, Convention nationale. Opinion de Joseph Monmayou, Député du Lot, Sur le Jugement du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Montgilbert, François-Agnès, Convention nationale. Opinion de François-Agnès Mont-Gilbert, Député du Département de Saône & Loire, Sur le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 24 pp. Nioche, Pierre-Claude, Convention nationale. Opinion de P.-C. Nioche, Député du Département d’Indre-et-Loire à la Convention Nationale, Sur ces deux questions: Louis XVI peut-il être jugé? Le sera-t-il par la Convention nationale? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Osselin, Charles-Nicolas, Discours sur l’inviolabilité, Et sur le mode proposé par le comité de législation pour le jugement de Louis Capet; par C. N. Osselin, député du département de Paris. Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, Chez G. F. Galletti, Imprimeur de l’Assemblée Électorale, L’an deux de la République française (1793), 38 pp. Oudot, Charles-François, Convention nationale. Opinion de Charles-François Oudot, Député de la Côté-d’Or à la Convention nationale. Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Paganel, Pierre, Convention nationale. Opinion du citoyen Paganel, Député du Département de Lot-&-Garonne à la Convention Nationale, Sur le jugement du ci-devant Roi, Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie Nationale, 12 pp. Pellissier, Denis-Marie, Convention nationale. Opinion de Denis Marie Pellissier, Député du département des Bouches du Rhône à La Convention nationale, et membre de la Commission des Douze, Sur le jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. Pénières, Jean-Augustin, Convention nationale. Opinion de Jean-Augustin Pénières, Député du Département de la Corrèze, Sur le jugement de Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp.
174
APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Pétion, Jérôme, Convention nationale. Discours sur l’Affaire du Roi, par J. Pétion. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Petit, Michel-Edme, Convention nationale. Opinion de Michel-Edme Petit, Député du Département de l’Aisne à la Convention Nationale; Sur le Jugement de Louis Capet, dernier Roi des Français. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Philippeaux, Pierre, Convention nationale. Opinion de P. Philippeaux, Député de la Sarthe, Sur le Jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Pointe, Noël, Convention nationale. Opinion de Noël Pointe, Ouvrier Armurier de Saint-Étienne, Député du Département de Rhône-et-Loire, Sur le Jugement du ci-devant Roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention. Le 30 novembre 1792, l’an Ier de la République, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Portiez, Louis, Convention nationale. Opinion de Louis Portiez, Député de l’Oise, sur cette question: Le roi des Français étoit-il jugeable? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Poullain de Grandprey, Joseph-Clément, Convention nationale. Opinion de JosephClément Poullain-Grandprey; Député du Département des Vosges à la Convention Nationale, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Poultier, François, Convention nationale. Opinion de François Poultier, Député du Nord, Sur le Procès du ci-devant Roi, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Pressavin, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Pressavin, Député de Rhône-et-Loire, Sur le procès du roi, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Prost, Claude-Charles, Convention nationale. Opinion du citoyen Claude-Charles Prost, Député du Jura, Sur l’inviolabilité de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Prunelle-Lière, Léonard-Joseph, Convention nationale. Opinion de Léonard-Joseph Prunelle, Député du Département de l’Isère, Concernant le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. (La) Reveillère-Lépeaux, Louis-Marie de, Convention nationale. Opinion de LouisMarie Réveillère [sic] Lepeaux, Député à la Convention nationale par Mayenne et Loire, Sur la question de savoir si Louis XVI peut être mis en jugement. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. [Premier décembre 1792] Ribet, Bon-Jacques-Gabriel-Bernardin, Convention nationale. Opinion du citoyen Ribet, Député du Département de la Manche, Sur le Jugement de Louis Capet, dernier roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Ricord, Jean-François, Convention nationale. Opinion Du citoyen Ricord, Député du Département du Var; Concernant le jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp.
GLI «IMPRIMÉS PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE»
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Robespierre, Augustin-Bon-Joseph, Convention nationale. Opinion du citoyen A.B.-J. Robespierre sur le procès de Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Robert, François, Convention nationale. Suite de l’opinion de François Robert, Député du Département de Paris à la Convention nationale, Sur le jugement et les crimes du ci-devant roi; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Rouzet, Jacques-Marie, Convention nationale. Suite d’opinion du citoyen Rouzet, député de Haute-Garonne, Concernant le jugement de Louis XVI, Remise sur le Bureau le premier Décembre, en exécution du Décret de la veille. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 1792, 7 pp. Rudel, Claude-Antoine, Convention nationale. Opinion de Claude-Antoine Rudel, Député du département du Puy-de-Dôme, Sur le jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Sevestre, Joseph, Convention nationale. Opinion de Joseph Sevestre, Député du Département de Lille et Vilaine, Sur le jugement de Louis Capet. Premier Décembre l’an premier de la République Française. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Thibaudeau, Antoine-Clair, Convention nationale. Opinion de A.-C. Thibaudeau, Député du Département de la Vienne à la Convention nationale, Sur le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale. 1er décembre 1792, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Thirion, Didier, Convention nationale. Opinion de Didier Thirion, Député du Département de la Moselle, Sur le Procès du ci-devant Roi Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Vadier, Marc-Guillaume, Albert, Convention nationale. Opinion du citoyen Vadier, Député du Département de l’Arriège à la Convention Nationale, Concernant Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 10 pp.
OPINIONI PRONUNCIATE ALLA TRIBUNA DELLA CONVENZIONE DOPO LA DIFESA DI DE SÈZE, 27 DICEMBRE 1792 – 7 GENNAIO 1793 27 dicembre 1792 Barbaroux, Charles, Convention nationale. Opinion de Charles Barbaroux, de Marseille, Député par le Département des Bouches-du-Rhône à la Convention Nationale, Sur les moyens de défense de Louis Capet, tirés de l’inviolabilité constitutionnelle; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Lequinio, Convention nationale. Opinion de Lequinio, sur la défense de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 11 pp. [27-28 dicembre 1792]. Rouzet, Jean-Marie, Convention nationale. Avis définitif du citoyen Rouzet, Député du département de Haute-Garonne, Dans le jugement de Louis XVI. Séance du 27 décembre 1792, l’an premier de la République. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 11 pp.
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Saint-Just, Louis-Antoine de, Convention nationale. Discours Prononcé le 26 Décembre à la Convention Nationale sur Louis XVI, Par le Citoyen Saint-Just, Député du Département de l’Aisne, Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Salle, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Salle, Député de la Meurthe, Dans l’affaire du ci-devant Roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 16 pp. Serre, Joseph, Convention nationale. Joseph Serre, Sur la question suivante: La mort de Louis intéresse-t-elle le salut de la République? Ou plutôt, entre les dangers où nous expose son existence ou sa mort, quel est le moindre? Prononcée dans la séance du 27 décembre 1792, l’an premier de la République. Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 12 pp.
28 dicembre 1792 Buzot, François-Nicolas-Louis, Convention nationale. Opinion du citoyen Buzot sur le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Duchastel, Gaspard-Séverin, Convention Nationale. Opinion de G. S. Duchastel, Sur cette question: Quelle est la peine que le Peuple Français doit infliger à Louis, pour concilier tout-à-la fois, et la justice et son intérêt?, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Faure, Pierre-Joseph-Denis-Guillaume, Convention nationale. Opinion de P. J. D. G. Faure, Député de la Seine-Inférieure, Sur le jugement du Roi; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Rabaut-Saint-Etienne, Jean-Paul, Convention nationale. Opinion de J. P. Rabaut, Député du département de l’Aube, Concernant le procès de Louis XVI, Prononcée le 28 décembre 1792, l’an Ier de la République, Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 11 pp. Robespierre, Maximilien, Convention nationale. Second discours de Maximilien Robespierre, député du Département de Paris, sur le jugement de Louis Capet; Du 28 décembre 1792, l’an Ier de la République, Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 20 pp.
29 dicembre 1792 Birotteau, Jean-Bonaventure-Blaise-Hilarion, Convention nationale. Discours de Biroteau [sic], Député des Pyrénées orientales, Séance du 29 décembre 1792, l’an premier de la république française. Sur le jugement de Louis Capet. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. Engerran, Jacques, Convention nationale. Résumé Sur l’affaire de Louis Capet, Par Engerrand, Député du Département de la Manche, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Fockedey, Jean-Jacques, Convention nationale. Opinion de Fockedey, Député du département du Nord, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 11 pp.
GLI «IMPRIMÉS PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE»
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Guiter, Joseph, Convention nationale. Discours de Joseph Guiter, Député par le département des Pyrénées orientales, A la Convention nationale, Sur les mesures à prendre pour l’intérêt de la République, en jugeant Louis Capet; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Morisson, Charles-Louis-François-Gabriel, Convention nationale. Troisième opinion du citoyen Morisson, Député du Département de la Vendée, Sur le Jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Prost, Claude-Charles, Convention nationale. Discours de Claude-Charles Prost, de Dôle, Député du Département du Jura, Sur le Jugement de Louis XVI; Prononcé à la Séance du samedi 29 Décembre 1792, l’an 2 de la République française. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp.
31 dicembre 1792 Dubois-Crancé, Edmond-Louis-Alexis, Convention nationale. Opinion du citoyen Dubois-Crancé, sur Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Moreau, Marie-François, Convention nationale. Opinion sur le jugement du cidevant roi, prononcée à la Convention nationale; Par Marie-François Moreau, Député du Département de Saône et Loire, Le 31 décembre 1792, l’an premier de la République; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Vergniaud, Pierre-Victurnien, Convention nationale. Opinion de Vergniaud, Député de la Gironde; Sur le Jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 16 pp.22
1° gennaio 1793 Brissot, Jacques-Pierre, Convention nationale. Discours sur le procès de Louis, Prononcé à la Convention nationale le 1er Janvier 1793, l’an deuxième de la République. Par J. P. Brissot, Député du Département d’Eure et Loir, Imprimé par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 19 pp. Jean-Bon-Saint-André, Convention nationale. Opinion de Jean Bon Saint-André, Député du Département du Lot, Sur le jugement du Roi, et l’appel au Peuple; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 16 pp. Petit, Michel-Edme, Convention nationale. Opinion de Michel-Edme Petit, Député du département de l’Aisne, à la Convention Nationale, Sur le jugement de Louis Capet, dernier Rois des Français; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie Nationale, 14 pp.
In una nota in apertura si legge che l’opinione era stata «Prise malgré la cupitidé du débit, et imprimée d’après les procédés logotachigraphiques du citoyen Guiraud». 22
178
APPENDICE BIBLIOGRAFICA
2 gennaio 1793 Carra, Jean-Louis, Convention nationale. Discours contre la défense de Louis Capet, Dernier Roi des Français, Par le Citoyen Carra, Député de Saône et Loire; Prononcé à la séance du 3 janvier 1793; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp.23. Gensonné, Armand, Convention nationale. Opinion du citoyen Gensonné, sur le jugement de Louis; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 19 pp. Guyomar, Pierre-Marie-Augustin, Convention nationale. Opinion de Pierre Guyomar, député des Côtes du Nord, concernant le jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp.
3 gennaio 1793 Dartigoeyte, Pierre-Arnaud, Convention nationale. Opinion du citoyen Pierre Arnaud Dartigoyte, Député du Département des Landes, Prononcée à la Séance du 3 Janvier 1793, l’an deuxième de la République Française, sur la défense de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Pétion, Jérôme, Convention nationale. Opinion Du Citoyen Pétion, Sur le Roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 19 pp.
4 gennaio 1793 Barère, Bertrand, Convention nationale. Discours Prononcé dans la Séance de la Convention Nationale du Vendredi 4 Janvier 1792, l’an second de la République Française, Sur le Jugement du Procès de Louis Capet, Par B. Barère, Député du Département des Hautes-Pyrénées. Imprimé par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 44 pp.
OPINIONI NON PRONUNCIATE RELATIVE (DICEMBRE 1792 – GENNAIO 1793)24
AL PROCESSO E ALLA DIFESA
LUIGI XVI
Albouys, Barthélemy, Opinion de Barthélemy Albouy, député du département du Lot, Sur le jugement de Louis Capet, dernier roi des Français. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp.
Secondo gli Archives parlementaires, il 2 gennaio 1793. L’elenco che segue rispetta in massima parte, salvo alcune eccezioni l’ordine degli interventi riportati nelle Annexes alla seduta del 7 gennaio 1793 delle Archives parlementaires, t. LVI, pp. 266-577 nei quali furono inseriti dagli editori del volume un cospicuo numero di opinioni non pronunciate nelle quali la questione del giudizio di Luigi XVI è tratta in maniera generale. 23 24
GLI «IMPRIMÉS PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE»
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Asselin, Eustache-Benoist, Convention nationale. Mon dernier mot sur l’affaire de Louis XVI, par Eust. B. Asselin, Député du Département de la Somme à la Convention nationale. Imprimé par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Audouin, Pierre-Jean, Convention nationale. Opinion de P.-J. Audouin, Député du Département de Seine et Oise à la Convention nationale, sur Le Jugement de Louis Capet, ci-devant Roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp.25 Bailly, Edme-Louis-Barthélemy, Convention nationale. Opinion de L. Bailly, Député du Département de Seine et Marne, A la convention nationale, Sur le jugement du dernier roi des Français, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. Balla, Joseph-François, Opinion du citoyen Bala, Député du département du Gard, sur le ci-devant roi, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, [Paris], De l’Imprimerie de la citoyenne Fonrouge, 8 pp. Balland, Charles-André, Convention nationale. Opinion de Charles André Balland, Député du département des Vosges, Sur la marche à suivre pour juger Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Bancal, Henry, Convention nationale. Discours et projet de décret de Henry Bancal, Député du Puy-de-Dôme à la Convention Nationale, Sur Louis Capet et les circonstances actuelles. Imprimés par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 32 pp. Barailon, Jean-François, Convention nationale. Considérations Sur la nécessité d’ajourner le jugement de Louis Capet et de sa femme. Par Jean-François Barailon, Membre de la Convention Nationale, Député par le Département de la Creuse. Imprimées par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 16 pp.26 Barailon, Jean-François, Convention nationale. Quelques réflexions de Jean-François Barailon, Membre de la Convention nationale, Député par le Département de la Creuse, relatives à Louis Capet. Imprimées par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp.27 Barrot, Jean-André, Convention nationale. Opinion de J. A. Barrot, Député du Département de la Lozère, sur le jugement de Louis XVI; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie de F. M. Boileau, Libraire et Papetierfabricant, 24 pp.
Esiste anche un’altra edizione, corredata di note: Opinion de P.-J. Audouin Député du Département de Seine et Oise à la Convention nationale, Sur le jugement de Louis Cpaet, ci-devant Roi des Français, A Paris, De l’Imprimerie de G.-J. Gelé, 16 p. 26 «Imprimées le 14 janvier». 27 Il testo porta la data del 26 novembre 1792, giorno in cui era stato consegnato all’ufficio della Convenzione perché fosse stampato. Una nota informa dunque del ritardo con cui si era proceduto e come dunque l’opinione facesse riferimento a una situazione anteriore a quella della messa a giudizio, etc. 25
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Baudin, Pierre-Charles-Louis, Convention nationale. Opinion de P. C. L. Baudin, Député du département des Ardennes, Sur le jugement qui doit décider du sort de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 7 pp. Beauvais, Charles-Nicolas, Convention nationale. Opinion sur le jugement de Louis XVI, Ci-devant Roi des Français, Par C. N. Beauvais, Député du Département de Paris à la Convention nationale; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Beauvais, Charles-Nicolas, Convention nationale. Suite à l’opinion de C. N. Beauvais, Député du Département de Paris, Sur le Jugement de Louis XVI, ci-devant Roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention nationale. De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Becker, Joseph, Convention nationale. Opinion de Joseph Becker, Député par le Département de la Moselle, Sur l’affaire du ci-devant Roi; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Beffroy, Louis-Etienne, Convention nationale. Opinion de Louis-Étienne Beffroy, Député par le département de l’Aisne à la Convention Nationale de France, Sur Louis le dernier; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Bellegarde, Antoine Dubois de, Convention nationale. Opinion du citoyen Bellegarde, Député du Département de la Charente, Sur le procès de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 7 pp. Bergoeing, Convention nationale. Opinion de Bergoeing, député de la Gironde, sur le jugement du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Bernard, Louis (detto Bernard-Saint-Affrique), Convention nationale. Opinion du citoyen L. Bernard, député du département de l’Aveyron, Sur le jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Bezard, François Siméon, Convention nationale. Observations sur l’état actuel du procès de Louis Capet, ci-devant roi de la Constitution, par F. S. Bezard, député du département de l’Oise, à la Convention nationale; Imprimées par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 11 pp.28 Blutel, Charles-Auguste-Esprit-Rose, Convention nationale. Suite des réflexions Sur le jugement de Louis XVI, Par le Citoyen Blutel, Député du département de la Seine-Inférieure; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp.29
Alla fine del testo si legge: «Déposé sur le Bureau le 12 décembre 1792, l’An premier de la République française». 29 Alla fine del testo si legge la data «6 Janvier 1793, l’an IIème de la République». 28
GLI «IMPRIMÉS PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE»
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Bo, Jean-Baptiste-Jérôme, Convention nationale. Opinion de J. B. Bo, Député du Département de l’Aveyron à la Convention nationale, Sur le Jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Bodin, Pierre-Joseph-François (député d’Indre & Loire), Convention nationale. Mon opinion sur l’affaire de Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie Nationale, 7 pp. Boilleau, Jacques, Convention nationale. Opinion de Jacques Boilleau, Député du Département de l’Yonne, Sur le procès du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie de F. M. Boileau, Libraire et Papetier-fabricant, 27 pp.30 Bousquet, François, Convention nationale. Opinion du Citoyen Bousquet, Député du Département du Gers; Sur le Jugement du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Boussion, Pierre, Convention nationale. Opinion du citoyen Boussion, Député du Département de Lot-et-Garonne, et Membre de la Commission des Douze, sur le jugement de Louis Capet, Du 8 Janvier 1793. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Briez, Philippe-Constant-Joseph, Vues nouvelles sur l’affaire du ci-devant roi. Opinion du citoyen Briez, Député du Département du Nord. Imprimée par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie Ployglotte des Rédacterus-Traducteurs des Séances de la Convention nationale, 44 pp. Briez, Philippe-Constant-Joseph, Nouveau projet de décret sur l’affaire du ci-devant roi, par Briez, Député du Département du Nord. Imprimé par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie Plyglotte des Rédacteurs-Traducteurs des Séances de la Convention nationale, 4 pp. Cambacérès, Jean-Jacques-Régis de, Convention nationale. Observations de Cambacérès, Député du Département de l’Hérault, Sur le jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Casenave, Antoine, Opinion de Casenave, député du département des Basses-Pyrénées, sur le jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, Séance du 6 Janvier 179331, et l’an deuxième de la République Française, [Paris], De l’imprimerie de Cussac, 20 pp.
Questa opinione è incentrata sulla confutazione delle tesi della difesa. Stando alle Annexes del 15 gennaio 1793 delle Archives parlementaires Boilleau diede alle stampe anche un’opinione contraria al ricorso all’appello al popolo: Convention nationale. Opinion de Jacques Boilleau, Député par le Département de l’Yonne à la Convention nationale, contre l’appel au peuple sur le jugement de Louis Capet di cui sembra non rimanere traccia nei cataloghi. Cfr. Archives parlementaire, t. LVII, pp. 133-133. 31 Nelle Annexes delle Archives parlementaires, t. LVI, p. 341, si legge «Séance du 7 janvier 1793». 30
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Chevalier Jacques, Convention nationale. Opinion de J. Chevalier, Député du département de la Sarthe à la Convention nationale, Sur l’affaire du ci-devant roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Cledel, Étienne, Convention nationale. Opinion d’Étienne Cledel, député du département du Lot, Sur le jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Cloots, d’Anarcharsis, Procès de Louis le dernier. Harangue d’Anacharsis Cloots, député du département de l’Oise, à la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Conte, Antoine, Convention nationale. Addition au mémoire du citoyen Conte, Député des Basses-Pyrénées à la Convention nationale, Sur l’affaire de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Dandenac, Jacques, Convention nationale. Opinion de Jacq. Dandenac, le jeune, Député du département de Mayenne & Loire, Dans l’affaire de Louis XVI, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Daunou, Pierre-Claude-François, Convention nationale. Considérations Sur le procès de Louis XVI, Par P. C. F. Daunou, Député du Département du Pas-de-Calais; Imprimées par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Daunou, Pierre-Claude-François, Convention nationale. Complément de l’opinion de P. C. F. Daunou, Député du Pas-de-Calais, Sur l’affaire du ci-devant Roi, Imprimés [sic] par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 16 pp. Delahaye, Opinions du citoyen De La Haye député de la Seine inférieure, à la Convention, sur le jugement de Louis Capet. Imprimées par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie de l’administration centrale des affiches, 11 pp. Delecloy, Jean-Baptiste-Joseph, Convention nationale. Opinion de Delecloy, Député du département de la Somme, Sur le mode de juger Louis Capet, s.l. s.d. Desacy, Claude-Louis-Michel, Convention nationale. Opinion de Desacy, Député du Département de la Haute-Garone, Sur Louis XVI et sur ses défenses; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 11 pp. Descamps, Bernard, Convention nationale. Opinion du citoyen Bernard Descamps, Député du Département du Gers, Ou le cri de la vérité et de la justice dans la décision à prononcer sur l’affaire de Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 39 pp. Du Bignon, François-Marie-Jean, Convention nationale. Réflexions sur le jugement de Louis XVI, adressées au peuple français; par Dubignon, Député du Département d’Ille et Vilaine. Imprimée par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’imprimerie du Républicain, Chez R. Vatar et ass., s.d., 14 pp. Dugué-D’Assé, Jacques-Claude, Convention nationale. Suite importante de l’opinion de Dugué-D’Assé, Député de l’Orne, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Dumont, André, Convention nationale. Discours d’André Dumont, d’Oisement, député du département de la Somme, sur le procès de Louis Capet, De l’Imprimerie nationale, 6 pp.
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Durand-Maillane Convention nationale. Opinion de Durand-Maillane, et ses motifs, Dans le jugement de Louis Capet. Le 3 janvier 1793, l’an II de la République française. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Duval, Charles, Convention nationale. Coup-d’œil sur la conduite de Louis XVI, Par Charles Duval, Député à la Convention nationale par le Département d’Ille et Vilaine. Extrait d’un tableau historique de la Révolution du 1º Août. Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Faure, Baltazard, Convention nationale. Opinion de Baltazard Faure, Député du Département de la Haute-Loire, sur Louis le Tyran; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Faure, Pierre-Joseph-Denis-Guillaume, Convention nationale. Opinion de P. J. D. G. Faure, Député de la Seine-Inférieure, Sur le procès du Roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Feraud, Jean, Convention nationale. Opinion de Jean Feraud, Député des HautesPyrénées, sur Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 18 pp. Ferroux, Etienne-Joseph, Convention nationale. Opinion de Ferroux, Député du Jura, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 11 pp. Finot, Etienne, Opinion d’Etienne Finot, Député du Département de l’Yonne, Sur le jugement du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie Polyglotte des Rédacteurs-Traducteurs des Séances de la Convention nationale, 14 pp. Fouché, Joseph, Convention nationale. Réflexions de J. Fouché (de Nantes), Sur le Jugement de Louis Capet. Imprimées par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 8 pp. Garran, Jean-Philippe, Convention nationale. J.-Ph. Garran, député du Loiret à la Convention nationale, Sur le jugement de Louis XVI. Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, Chez les Directeurs de l’Imprimerie du Cercle Social, 1793, L’an Ier de la république française, 16 pp. Gaudin, Convention nationale. Opinion de Gaudin, Député de la Vendée, sur Le Jugement de Louis; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Genevois, Louis-Benoît, Sur Louis Capet, Le citoyen Genevois, député de l’Isère, De l’Imprimerie Nationale, 3 pp.32 Girard, Antoine, Convention nationale. Essai rapide d’Antoine Girard, citoyen de Narbonne, Député du Département de l’Aude à la Convention nationale, Sur le procès de Louis Capet; Imprimé par ordre de la Convention, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 7 pp.
Si legge in una nota al termine: «Cet écrit devoit être distribué avant les dernières discussions sur ce sujet» poiché la proposta riguardante il modo di giudicare Luigi XVI risultava ormai superata dall’evoluzione degli eventi. 32
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Girot-Pouzol, Jean-Baptiste, Convention nationale. Motifs de l’opinion de J. B. Girot, Député du Département du Puy-de-Dome, Sur le jugement de Louis Capet, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Gleizal, Claude, Convention nationale. Projets de décrets, proposés Par Claude Glaizal [sic], Député de l’Ardèche, à la Convention nationale, Le 26 décembre 1792, l’an premier de la République française, Sur la peine à infliger à Louis Capet, et sur les mesures à prendre après son jugement; Imprimés par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Goudelin, Guillaume-Julien-Pierre, Opinion de G. Goudelin, député à la Convention nationale, par le département des Côtes-du-Nord, sur la défense et le jugement de Louis Capet, Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, Chez G. F. Galletti, imprimeur de l’Assemblée Électorale, L’an 2me de la République Française (1793), 30 pp. Guadet, Marguerite-Elie, Opinion de M.-E. Guadet, Député du département de la Gironde, à la Convention antionale, Sur le jugement de Louis, ci-devant roi des Français, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, [Paris], De l’Imprimerie des patriotes, 48 pp. Guffroy, Armand-Benoît-Joseph, Convention nationale. Discours d’Armand-BenoîtJoseph Guffroy, Sur ce que la Nation doit faire du ci-devant roi; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 24 pp. Guffroy, Armand-Benoît-Joseph, Convention nationale. Deuxième discours d’Armand-Benoît-Joseph Guffroy, député du département du Pas-de-Calais, Sur la punition de Louis Capet, Et sur les intrigues que l’on oppose à la volonté suprême de la nation qui a condamné le tyran. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie du Républicain, Chez R. Vatar et ass., 58 pp. Harmand, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de J.-B. Harmand, Député du Département de la Meuse, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 11 pp. Jourdan, Jean-Baptiste, Convention nationale. Sur la peine à infliger à Louis XVI, Par J.-B. Jourdan, Député de la Nièvre à la Convention nationale. Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 8 pp.33 Lacombe-Saint-Michel, Jean-Pierre, Convention nationale. Opinion de J.-P. Lacombe-Saint-Michel, député du Tarn, Sur le jugement de Louis Hugues; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Lanjuinais, Convention nationale. Opinion de Lanjuinais, Député d’Ille et Vilaine, Sur Louis le dernier, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp.34
Esiste un’edizione che porta l’intestazione: Département de Seine et Marne, stampata à Melun, chez Tarbé, Imp. du Département. Quest’edizione racchiude anche le opinioni di Bousquet et Sevestre. 34 Il testo porta la data 31 Décembre 1792 e rappresenta lo sviluppo dell’intervento alla Tribuna che Jean-Denis Lanjuinais aveva tenuto subito dopo l’audizione della difesa il 26 dicembre precedente. Cfr. Archives parlementaires, t. LV, pp. 634-636. 33
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Goyre-Laplanche, Jacques-Léonard, Convention nationale. Opinion de JacquesLéonard De La Planche, Député du Département de la Nièvre, Sur le Procès de Louis le dernier; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Le Carpentier, Jean-Baptiste, Convention nationale. Discours de J. B. Lecarpentier, Député du Département de la Manche, A la Convention nationale, Sur le Jugement définitif de Louis Capet; Du 6 Janvier 1793, l’an 2me. de la République française; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 11 pp. Lecointre, Laurent, Convention nationale. Opinion de Laurent Lecointre, Député du Département de Seine Oise, à la Convention Nationale; Sur le jugement de Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Lejeune, Sylvain-Phalier, Convention nationale. Opinion de S. P. Lejeune, député du département de l’Indre, Sur Louis Capet, ci-devant roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 23 pp. Lindet, Robert-Thomas, Opinion du citoyen Robert-Thomas Lindet, Député du Département de l’Eure, sur l’affaire de Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, [Paris], Imprimerie de Boulard, 12 pp. Loiseau, Jean-François, Convention nationale. Opinion de Jean-François Loiseau, Député par le Département d’Eure-et-Loir, à la Convention Nationale, sur le jugement du ci-devant roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 4 pp.35 Louchet, Louis, Convention nationale. Deuxième opinion De Louis Louchet, Député du Département de l’Aveiron, Sur le procès de Louis XVI. Du 8 Janvier 1793, l’An II de la République. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Louvet, Pierre-Florent, Convention nationale. Suite de l’Opinion de Pierre-Florent Louvet, Député du Département de la Somme, Sur l’affaire du ci-devant roi; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Marat Convention nationale. Discours de Marat, Sur la défense de Louis XVI, la conduite à tenir par la Convention, et la marche alarmante que la faction royaliste s’efforce de lui faire suivre dans le jugement du tyran détrôné; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 22 pp.36 Marey, Nicolas-Joseph, Convention nationale. Opinion de Nicolas-Joseph Marey, Député du Département de la Côte-d’Or, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp.
Le 19 Décembre l’an premier de la République. Esiste un’altra edizione identica: Discours de Marat, l’Ami du Peuple. Sur la défense de Louis XVI, la conduite à tenir par la Convention, et la marche alarmante que la faction royaliste s’efforce de lui faire suivre dans le jugement du tyran détrôné. [Imprimé par ordre de la Convention], [Paris], De l’Imprimerie de Marat, 32 pp. 35 36
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Masuyer, Claude-Louis, Convention nationale. Un mot sur Louis le traître, ou le dernier, et sa famille, Par C. L. Masuyer, Député de Saône-et-Loire; Imprimé en vertu du décret de la Convention, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Maure, Nicolas-Sylvestre, Convention nationale. Un mot sur l’affaire de Louis XVI, Par Maure aîné, Citoyen d’Auxerre, Député du Département de l’Yonne; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Mennesson, Jacques-Baptiste-Augustin-Prosper, Convention nationale. Mon avis sur le jugement du dernier roi; Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 8 pp. Mercier, Louis-Sébastien Convention nationale. Opinion de Louis-Sébastien Mercier, député du département de Seine-et-Oise à la Convention nationale, sur Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, de l’imprimerie de Restif, jeune, 20 pp. Meynard Convention nationale. Suite de l’opinion du citoyen F. Meynard, Député à la Convention nationale, sur le procès de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 27 pp. Milhaud, Edmond-Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de J. B. Milhaud, Député du Cantal à la Convention nationale, Sur le jugement de Louis Capet, dit Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Mont-Gilbert, François-Agnès, Jugement de Louis XVI. Motion d’ordre par F. A. Montgilbert, Député de Saône-et-Loire; Imprimée par ordre de la Convention, s.l. s.d., 15 pp. Morisson, Charles-Louis-François-Gabriel, Convention nationale. Seconde opinion du citoyen Morisson, député du département de la Vendée, concernant le jugement de Louis XVI: Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp.37 Paine, Thomas, Convention nationale. Opinion de Thomas Payne, Sur l’Affaire de Louis Capet, Adressée au Président de la Convention Nationale, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Paine, Thomas Convention nationale. Opinion de Thomas Paine, député du Pas-deCalais, Concernant le jugement de Louis XVI, Précédée de sa lettre d’envoi au Président de la Convention; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 8 pp.38 Pemartin, Joseph, Convention nationale. Opinion de Joseph Pemartin, des Basses-Pyrénées, député de la République française, Sur l’affaire de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Pons, Philippe-Laurent, Convention nationale. Opinion de Philippe-Laurent Pons, Député du département de la Meuse, Sur l’inviolabilité de Louis Capet;
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Esiste anche un’edizione stampata A Paris, chez Desenne, Imprimeur-Libraire, 12 pp. Ne esiste un’altra edizione dell’Imprimerie nationale identica ma di 4 pagine.
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Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale 2 pp. Poultier, François Convention nationale. Opinion de François Poultier, député du Nord, Sur le Supplice de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Prunelle, Léonard-Joseph, Convention nationale. Suite de l’opinion De Léonard-Joseph Prunelle, Député du Département de l’Isère, concernant le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Quinette, Nicolas-Marie, Convention nationale. Opinion de N. M. Quinette, député du département de l’Aisne, sur le jugement de Louis Capet, Imprimé [sic] par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Raffron, Nicolas, Convention nationale. Sentiment de Raffron sur le jugement de Louis XVI. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp.39 Rameau, Juste, Convention nationale. Et moi, non. Opinion de Juste Rameau, député du département de la Côte-d’Or, Sur l’affaire du ci-devant roi des Français. Imprimée par ordre de la Convention, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Reynaud, Claude-André-Benoît, Convention nationale. Opinion de C. A. Reynard, républicain de la Haute-Loire, député à la Convention nationale, Sur le jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Ricord, Jean-François, Convention nationale. Opinion du citoyen Ricord, député du département du Var, Sur le sort de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Rivaud, François, Opinion de François Rivaud, Député du Département de la HauteVienne, à la Convention Nationale. Sur le jugement de Louis XVI, [Paris], De l’Imprimerie de Cerioux, 15 pp. Roussel, Jean-Claude, Convention nationale. Opinion de Roussel, Député de France, à la Convention nationale, par le Département de la Meuse, Sur le Jugement du Roi; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Roy, Denis, Convention nationale. Opinion du citoyen D. Roy, Député de Seine-etOise, Membre de la Convention Nationale, Sur le sort du dernier roi des Français. Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Salle, Jean-Baptiste, Convention nationale. Déclaration de Salle, Député de la Meurthe, Dans l’affaire du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Savary, Louis-Jacques, Convention nationale. Opinion de L.-J. Savary, député de l’Eure, sur le jugement du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, [Paris], Imprimerie de P.-L. Siret, 1793, l’An II de la République, 28 pp. Seconds, Jean-Louis, Convention nationale. Opinion politique et constitutionnelle du citoyen Seconds, Sur le jugement de Louis XVI, et contre l’appel au peuple,
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Al termine si legge la data «Le 16 décembre 1792».
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Qui devait être prononcée à la tribune, et imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 32 pp. Sergent, Antoine-François, Convention nationale. Opinion de Sergent, Député de la République Française, élu dans le département de Paris, Sur le jugement de Louis Capet; Imprimé [sic] par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 20 pp. Tallien, Jean-Lambert, Convention nationale. Projets de décrets concernant Louis Capet, présentés à la Convention nationale par J.-L. Tallien, Député du Département de Seine-et-Oise; Imprimés par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Thomas, Jean-Jacques, Convention nationale. Opinion du citoyen J.-J. Thomas, Député du département de Paris, sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1792, 11 pp. Thomas, Jean-Jacques, Convention nationale. Supplément à l’opinion de J. J. Thomas, Député de Paris à la Convention nationale, Sur le Jugement de Louis Capet, Imprimé par ordre de la Convention nationale, De L’imprimerie nationale, 6 pp.40 Turreau, Louis, Convention nationale. Opinion de Louis Turreau, Député du Département de l’Yonne, Sur Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Vadier, Marc-Guillaume-Alexis, Seconde opinion du citoyen Vadier, Député du Département de l’Arriège, Sur Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie Polyglotte des Rédacteurs-Traducteurs des Séances de la Convention nationale, 12 pp.
OPINIONI NON PRONUNCIATE RELATIVE AL RICORSO ALL’APPELLO AL POPOLO41 Anthoine, François-Paul-Nicolas, Opinion de François-Paul-Nicolas Anthoine, Député du Département de la Moselle, Sur le jugement de Louis, ci-devant Roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Aubry, François, Opinion sur le jugement définitif de Louis Capet, par François Aubry, Député du Départem. du Gard, à la Convention nationale, s.l., s.d., pp. 15 pp. Baudin, Pierre-Charles-Louis, Convention nationale. Dernières réflexions de P.-C.-L. Baudin, Député par le Département des Ardennes, Sur les questions relatives au sort du ci-devant Roi. Imprimées par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 15 pp. Bayle, Moyse, Discours de Moyse Bayle, de Marseille, député à la Convention nationale, Contre l’appel au peuple et la proposition de faire confirmer le jugement
Ne esiste un’altra edizione identica dello stesso editore ma di quattro pagine. Questo elenco è stato stilato a partire dalle Annexes della giornata del 15 gennaio 1793 delle Archives Nationales, t. LVI, pp. 112-328 nelle quali gli editori del volume hanno inserito le opinioni redatte presumibilmente tra la fine di dicembre e la prima metà di gennaio relative all’appello al popolo. 40
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qui sera décrété par la Convention contre Louis Capet, dernier roi des Français prononcé le -- janvier42 1793, l’an deuxième de la République; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Bertrand, Charles-Ambroise, Opinion de Charles-Ambroise Bertrand, Député par le Département de l’Orne à la Convention nationale sur Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Besson, Alexandre, Opinion d’Alexandre Besson, Député du département du Doubs, Sur l’appel au peuple du jugement de Louis Capet, Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie du Cercle Social, pp. 8. Billaud-Varenne, Jacques Nicolas, Discours de Billaud-Varenne, Député du Département de Paris, sur le jugement de Louis Capet, Imprimé par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie du Républicain, Chez R. Vatar et ass., 19 pp.43 Bonnesœur-Bourginière, Siméon-Jacques-Henri, Convention nationale. Opinion de Siméon-Jacques-Henri Bonnesœur-Bourginière, député par le département de la Manche à la Convention nationale, Sur la condamnation de Louis XVI, dernier Roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Boucher Antoine-Sauveur (detto Boucher-Saint-Sauver), A ceux de nos collègues, qui ne sont qu’égarés, par Boucher de Saint-Sauveur, député de Paris, [Paris], De l’Imp. de Mayer & Compagnie, s.d., 4 pp. Bourbotte, Pierre, Convention nationale. Opinion de Pierre Bourbotte, Député du département de l’Yonne, Sur le Jugement de Louis Capet, dernier Roi des Français. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Bourdon, Léonard, Convention nationale. Second opinion de Léonard Bourdon, Député du Loiret, à la Convention-Nationale; sur le Jugement de Louis Capet, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Bourgeois, Nicolas, Convention nationale. Opinion de Nicolas Bourgeois, Sur le ci-devant roi et son jugement; Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Cappin, Joseph-Elisabeth, Convention nationale. Opinion de Cappin, député du département du Gers, Sur le Jugement de Louis XVI, et sur la ratification par le Peuple; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Cassanyès, Jacques-Joseph-François, Convention nationale. Opinion de J. Cassanyes, Député du Département des Pyrénées-Orientales, Sur le Jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp.
Nelle Archives parlementaires, t. LVII, p. 122 è indicata la data 3 gennaio. Ne esiste una versione identica con intestazione Convention nationale, ma senza l’indicazione dell’editore. 42 43
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Châles, Pierre-Jacques-Michel, Convention nationale. Que le tyran périsse sans délai et sans appel au peuple! Opinion du citoyen Châles député d’Eure-et-Loir. Imprimée par ordre de la Convention. 14 Janvier, l’an 2e. de la République, 3 pp. Chazal, Jean-Pierre, Opinion de Jean-Pierre Chazal, député du département du Gard, Dans l’affaire du ci-devant roi, Imprimée par ordre de la convention nationale, s.l., 6 pp. Couthon, Georges, Opinion de Georges Couthon, Député du Département du Puyde-Dôme, Sur le Jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Debry, Jean, Convention nationale. Sur les questions élevées dans l’affaire de Louis XVI du nom, ci-devant roi des français; Jean Debry, député du département de l’Aisne, Le 7 Janvier, l’an 2 de la République; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Delbrel, Pierre, Observations Sur la question de savoir si la convention doit renvoyer aux assemblées primaires la ratification ou l’application de la peine à prononcer contre Louis Capet, par Delbrel, député du Lot. Imprimées par ordre de la Convention nationale, A Paris, de l’Imprimerie de J. P. Brasseur, 7 pp. Delcher, Jospeh-Etienne, Convention nationale. Opinion de Joseph-Etienne Delcher, Député du Département de la Haute-Loire à la Convention nationale, sur Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp.44 Deleyre, Alexandre, Opinion d’Alexandre Deleyre, député par le département de la Gironde, Contre l’appel au peuple sur le jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Desmoulins, Camille, Convention nationale. Discours de Camille Desmoulins, Député de Paris, Dans le procès de Louis XVI, Sur la question de l’appel au peuple. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’imprimerie du Républicain, Chez R. Vatar et ass, 30 pp. Ducos, Roger, Convention nationale. Opinion de Roger Ducos, Député du Département des Landes à la Convention nationale, Sur le Jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Dupont, Pierre-Charles-François, Opinion de Pierre-Charles-François Dupont, député des Hautes-Pyrénées, sur le jugement de Louis le dernier; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Fabre, Claude-Dominique-Côme, Convention nationale. Opinion du citoyen Fabre, député du département de l’Hérault à la Convention nationale, sur le jugement de Louis Capet, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Fabre d’Églantine, Philippe-François-Nazaire, Convention nationale. Opinion de Ph.-Fr.-Na. Fabre-Églantine, Député du département de Paris, Sur l’appel au peu-
Esiste anche un’edizione identica stampata A Laval, de l’Imprimerie de Faur et Compe, 1793, 10 p. 44
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ple, relativement au jugement de Louis; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie du Républicain, Chez R. Vatar et ass., 8 pp. Fauchet, Claude, Convention nationale. Suite de l’opinion de Claude Fauchet sur le jugement du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, [Paris], Imprimerie de Boulard, 13 pp. Fayau, Joseph-Pierre-Marie, Convention nationale. Opinion de J. P. M. Fayau, Député du Département de la Vendée, Sur le jugement de Louis Capet, ci-devant roi des Français. Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 11 pp. Gamon, François, Projet de décret, présenté par François Gamon, député de l’Ardèche, Dans l’Affaire de Louis Capet; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Garnier, Jacques, Convention nationale. Opinion de Jacques Garnier, député du département de la Charente Inférieure, Contre la mesure du renvoi au peuple du jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie Vatar et ass., 26 pp. Gélin, Jean-Marie, Baudot, Marc-Antoine, Motifs de J.-M. Gélin et de M.-A. Baudot, députés de Saône-et-Loire, contre l’appel au peuple dans le jugement de Louis Seize, adressés à la Convention et à leurs commettants. Imprimés par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie de Pain, [1793], 17 pp.45 Guillermin, Claude-Nicolas, Quelques réflexions de Claude-Nicolas Guillermin, Député du Département de Saône-et-Loire à la Convention nationale, Sur le procès de Louis Capet, Et notamment sur la question de savoir si le peuple peut et doit lui faire grâce. Imprimées par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Guillermin, Claude-Nicolas, Convention nationale. Réfutation de plusieurs objections de Salles et de Vergniaud, sur le procès de Louis Capet; Et développement de Claude-Nicolas Guillermin, député du département de Saône-et-Loire à la Convention Nationale; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, L’ an 2 de la République Française, 26 pp. Guyton-Morveau, Louis-Bernard, Convention nationale. Opinion du citoyen L.-B. Guyton, Député du Département de la Côte-d’Or, dans l’affaire de Louis Capet, dernier roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 27 pp. Hentz, Nicolas, Réflexions de Nicolas Hentz, Député du Département de la Moselle à la Convention nationale, Sur l’appel au Peuple, Imprimées par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Ichon, Pierre-Louis, Convention nationale. Discours de Pierre-Louis Ichon, député du Gers, sur le jugement de Louis XVI, Ci-devant roi des Français; Imprimée [sic] par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 8 pp.
45
Datato «Paris, le 7 Janvier 1793, l’an premier de la République Française».
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Kersaint, Armand-Guy-Simon de Coet-Nempren, Convention nationale. Seconde opinion du citoyen Kersaint, Sur le Jugement du ci-devant roi; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 20 pp. Laboissière, Jean-Baptiste, Résultat des différentes opinions prononcées à la Convention nationale, par J.-B. Laboissière, député du Lot; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Lacoste, Jean-Baptiste, Discours de Jean-Baptiste Lacoste, Député du Cantal à la Convention nationale, Sur le jugement de Louis XVI. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Lambert, Charles, Convention nationale. Supplément à l’opinion de Ch. Lambert, Député du Département de la Côte-d’Or, Sur le mode de jugement de Louis-Seize; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Lavicomterie, Louis-Thomas Hébert, Convention nationale. L’ appel au peuple est un paradoxe, Par le citoyen Lavicomterie, Député de Paris. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Lecointe-Puyraveau, Convention nationale. Opinion de Lecointe-Puyraveau, Député du Département des Deux-Sèvres, sur les propositions relatives au mode de jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 179346, 22 pp. Louvet, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Jean-Baptiste Louvet, député de France à la Convention par le Loiret, Contre la défense de Louis Capet et pour l’appel au Peuple. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 18 pp. Lozeau, Paul-Augustin, Convention nationale. Opinion motivée de P.-A. Lozeau, député de la Charente-Inférieure, sur le jugement de Louis Capet, Ou Réfutation du plaidoyer du défenseur de Louis et du systême de l’appel au peuple; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 44 pp. Marec, Pierre, Opinion de Pierre Marec, député du Finistère, Sur l’appel au peuple du jugement du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. Marec, Pierre, Convention nationale. Supplément à l’opinion de Pierre Marec, député du Finistère, Sur l’appel au peuple du jugement du ci-devant Roi. Imprimé par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 16 pp. Méaulle, Jean-Nicolas, Convention nationale. Opinion de Jean-Nicolas Méaulle sur l’appel au peuple, Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 16 pp. Merlin, Philippe-Antoine, Convention nationale. Opinion de Philippe-Antoine Merlin, de Douai, Député du Département du Nord, sur le procès de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp.
Si tratta del seguito dell’opinione datata 27 novembre 1792. L’opinione si colloca all’interno del dibattito sul ricorso all’appello al popolo che Lecointe-Puyraveau appoggia. 46
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Nioche, Pierre-Claude, Opinion de P.-C. Nioche, député du département d’Indre-etLoire, Sur la question de savoir si le jugement de Louis Capet doit être renvoyé à la ratification des Assemblées primaires; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 14 pp. Osselin, Charles-Nicolas, Opinion de C.-N. Osselin, député du département de Paris, à la Convention nationale, Sur l’appel au peuple du jugement de Louis Capet. Imprimée par ordre de la Convention nationale. Troisième discours, A Paris, Chez G. F. Galletti, 1792, l’an 2e. de la république française, 14 pp. Pepin, Sylvain, Convention nationale. Opinion de Sylvain Pepin, député à la Convention nationale, par le département de l’Indre, Sur le procès de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Pérard, Charles-François-Jean, Opinion de Charles Pérard, député de Maine-et-Loire, sur le jugement de Louis XVI, s.l. s.d., 8 pp. Personne, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Jean-Baptiste Personne, Député du Département du Pas-de-Calais, Dans l’Affaire du Procès de Louis; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Petitjean, Claude-Lazare, Convention nationale. Un mot et quelques observations de la part de Claude-Lazare Petit-Jean, Député du département de l’Atelier, à la Convention nationale; sur La fausseté des principes employés par ceux des membres de la Convention qui veulent renvoyer au peuple à prononcer sur le sort de Louis Capet, ou à sanctionner le jugement qu’elle prononcera. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Pinet, Jacques, Convention nationale. Réflexions sur le jugement de Louis Capet, par J. Pinet aîné, Député du département de la Dordogne. Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 12 pp. Pointe, Noël, Convention nationale. Discours de Noël Pointe, ouvrier armurier de Saint-Etienne, député de Rhône-et-Loire, sur la discussion concernant le jugement de Louis Capet, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Pottier, Charles, Convention nationale. Opinion de Charles Pottier, Député du Département d’Indre-et-Loire, à la Convention nationale, sur le jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 22 pp. Prieur, Pierre-Louis, Convention nationale. Opinion de P. L. Prieur, Député du département de la Marne, à la Convention Nationale, sur le Jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. Rabaut-Pomier, Jacques-Antoine, Opinion de Jacques-Antoine Rabaut, député du département du Gard, sur cette question: La Convention Nationale doit-elle renvoyer à la sanction du peuple le jugement qu’elle prononcera sur Louis Capet? Imprimé [sic] par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie de Fiévée, 16 pp. Rabaut-Pomier, Jacques-Antoine, Suite de l’Opinion de Jacques-Antoine Rabaut, Député du Département du Gard, Sur cette question: La Convention nationale doit-elle renvoyer à la sanction du peuple le jugement qu’elle prononcera sur Louis Capet? Imprimée par ordre de la Convention nationale, [Paris], De l’Imprimerie de P. L. Siret, L’an 2 de la République, 7 pp.
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Ramel-Nogaret, Dominique-Vincent, Convention nationale. Que doit faire la Convention nationale Sur le procès de Louis Capet? Imprimé par ordre de la Convention Nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 7 pp. [La] Reveillière-Lépeaux, Louis-Marie, Convention nationale. Opinion de L. M. Reveillière-Lépeaux, député du Maine-et-Loire, Sur la question de l’appel au Peuple du Jugement de Louis. Imprimée par ordre de la Convention. 7 Janvier, l’an deuxième de la République, De l’Imprimerie nationale, 15 pp. Riffard-Saint-Martin, François-Jérôme, Opinion de F.-J. Riffard-Saint-Martin, député du département de l’Ardèche, Dans l’affaire du ci-devant roi. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 16 pp. Robert, François, 3e opinion de François Robert, Député du Département de Paris, Sur le jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, Paris, De l’imprimerie d’un Républicain, Chez R. Vatar et ass., 36 pp. Roux, Louis, Convention nationale. Opinion de Louis Roux, député de la HauteMarne, sur le jugement de Louis Capet; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, le 12 janvier, l’an deuxième de la république française, [Paris], De l’Imprimerie de Calixte Voland, 8 pp. Thibaudeau, Antoine-Claire, Convention nationale. Opinion de A.-C. Thibaudeau, Député du Département de la Vienne, Sur la question de savoir si le jugement de Louis Capet doit être soumis à la ratification du peuple. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 15 pp.47 Thibault, Anne-Alexandre-Marie, Convention nationale. Opinion du citoyen Thibault, député du Cantal, Sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Vernier, Théodore, Convention nationale. Opinion de Théodore Vernier, Membre de la Convention nationale, Député par le département du Jura, Sur le jugement du dernier roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Viennet, Jacques-Joseph, Opinion du citoyen Jacques-Joseph Viennet, Député par le Département de l’Hérault, à la Convention nationale, sur le jugement de Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp.
OPINIONI E MOTIVAZIONI ADDOTTE IN OCCASIONE DEGLI APPELLI NOMINALI48 Balland, Charles-André, Convention nationale. Opinion de Charles-André Balland, Député du Département des Vosges, Sur les trois questions de savoir: 1° Si louis Capet est coupable de conspiration contre la liberté et d’attentat contre la sûreté générale? 2°. Si la décision de l’Assemblée conventionnelle, à son égard, sera sou-
Il testo è datato «Paris, le 31 décembre, l’an premier de la République». Questo elenco è stato composto principalmente a partire dallo spoglio dei sei volumi T. Chizuka, Opinions des conventionnels. Le opinioni riportate nelle annexes della 47 48
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mise à la ratification du peuple? 3°. Enfin quelle peine lui sera infligée? Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Barailon, Jean-François, Convention nationale. Votation de Jean-François Barailon, membre de la Convention nationale, député par le département de la Creuse, Dans les séances des 15-16-17 et 19 janvier 1793, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 7 pp. Besson, Alexandre, Convention nationale. Opinion d’Alexandre Besson, Député du Département du Doubs, Sur cette question: Quelle peine sera infligée à Louis Capet? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Bezard, François-Siméon, Convention nationale. Opinion motivée de François-Siméon Bezard, Député de l’Oise à la Convention nationale, Sur la peine à infliger à Louis Capet, Prononcée à la séance du 17 janvier 1793, trois heures du matin, l’an deuxième de la République; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Boilleau, Jacques, Convention nationale. Opinion et jugement motivé de Jacques Boilleau, Député du Département de l’Yvonne, Sur Louis le dernier; Imprimés par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Boisset, Joseph-Antoine, Convention nationale. Opinion Du Citoyen Boisset, Député de la Drôme, Sur Louis XVI; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Boissy d’Anglas, François-Antoine, Convention nationale. Opinion de Boissy d’Anglas, Député du Département de l’Ardèche, Relativement à Louis; Prononcée à la Tribune de la Convention Nationale, le 17 Janvier 1793, l’An deuxième de la République: Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Bordas, Pardoux, Convention nationale. Précis des opinions prononcées à la tribune de la Convention, par le citoyen Bordas, député de la Haute-Vienne, Sur la peine à infli-
giornata del 19 gennaio delle Archives parlementaires, t. LVII, pp. 476-505 sono solamente nel numero di 22. Di questi, non mi è stato possibile consultare gli originali dei seguenti titoli indicati dalle Archives parlementaires sopracitate: Debry, Jean, Jean Debry, député à la Convention nationale par le département de l’Aisne, à ses commettants. Exposé de sa conduite dans l’affaire de Louis XVI (pp. 480-487); Dugenne, Elie, Opinion d’Elie Dugenne, député du Cher à la Convention nationale, sur le jugement de Louis Capet (pp. 489-490); Mollevaut, Étienne, Opinion du citoyen Mollevaut, député de la Meurthe, sur le sursis au décret de mort prononcé contre Louis Capet (pp. 495-496); Poullain-Grandprey, Joseph-Clément, Opinion de Poullain-Grandprey, député des Vosges, sur cette question: «Sera-t-il sursis à l’exécution du décret qui prononce la peine de mort contre Louis Capet?» (p. 498); Réal, André, Motifs de Réal, député de l’Isère à la Convention nationale, dans le jugement de Louis Capet, ci-devant roi, adressés à ses commettants (pp. 498-500); Salmon, Gabriel-René-Louis, Autre opinion, également motivée de Gabriel-René, Louis-Salmon, député du département de la Sarthe, sur cette question: Sera-t-il sursis à l’exécution du jugement qui condamne Louis Capet à mort, oui ou non? (pp. 500-501).
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
ger à Louis XVI, et sur le sursis du Décret qui le condamne à la mort, Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 7 pp. Cadroy, Paul, Convention nationale. Opinion de Cadroy, Député par le Département des Landes à la Convention Nationale de France, Prononcée dans la Séance du 16 janvier 1793, l’an premier de la République française. Sur le jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 7 pp. Casenave, Antoine, Convention nationale. Opinion de Casenave, Député du Département des Basses-Pyrénées, Sur le sursis à l’exécution du jugement de Louis Capet; Prononcée à la Séance du 15 Janvier 1793: Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Couhey, François, Convention nationale. Opinion de François Couhey, Député du département des Vosges à la Convention Nationale, Sur la peine à infliger à Louis Capet, ci-devant Roi des Français, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, A Paris, de l’Imprimerie nationale, 4 pp. Chaillon, Étienne, Convention nationale. Opinion d’Étienne Chaillon, Député du département de la Loire-Inférieure, Sur le jugement de Louis XVI. Prononcée le 16 janvier 1793, l’an IIe de la République. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Colaud la Salcette, Jacques-Bernardin, Convention nationale. Opinion de Jacques Bernardin Colaud-La-Salcette, Député du département de la Drôme, Prononcée à la tribune de la Convention nationale, le 17 janvier. Sur les trois questions, 1° Louis Capet est-il coupable de conspiration contre la liberté, et d’attentat contre la sûreté générale? 2° La décision de la Convention sera-t-elle soumise à la ratification du Peuple? 3°. Quelle peine lui sera infligée? Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Condorcet, Marie-Jean-Antoine-Nicolas Caritat de, Convention nationale. Opinion de Condorcet, Dans la Séance du Samedi 19 Janvier; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Corbel, Vincent-Claude, Convention nationale. Opinion De Vincent-Claude Corbel, Député du Département du Morbihan, Prononcée à la séance du 16 janvier 1793, l’an deuxième de la République, Dans le jugement de Louis Capet, ci-devant Roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Creuzé-Latouche, Jacques-Antoine, Convention nationale. Avis motivé de J.A. Creuzé Latouche, Député du Département de la Vienne à la Convention nationale, Sur la peine à infliger à Louis Capet; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Debourges, Jean, Convention nationale. Opinion de Jean Debourges, député du département de la Creuse, sur le jugement de Louis XVI, Prononcée le 17 janvier 1793, l’an deuxième de la République; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Dherbez-Latour, Pierre-Jacques, Convention nationale. Opinion de D’Herbes Latour, Député du Département des Basses-Alpes, A la Convention nationale,
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Prononcée à la séance du 17 janvier 1793, Sur la peine à infliger au dernier roi des Français; Imprimée par ordre de la Convention Nationale; De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Delamarre, Antoine, Convention nationale. Opinion de Delamarre, Député de l’Oise, Sur le jugement de Louis XVI, Prononcée dans la séance du 16 janvier 1793, l’an deuxième de la République françoise; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Duboë, Pierre-François, Convention nationale. Motifs des opinions que j’ai émises à la tribune de la Convention Nationale, lors de quatre appels nominaux qui ont eu lieu dans le jugement de Louis Bourbon, dernier Roi des Français, Imprimés par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 8 pp. Ducos, Roger, Convention nationale. Motifs de Ducos, Député de la Gironde, Dans le Jugement de Louis Bourbon, ci-devant Roi. Imprimés par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. [Paris, 16 Janvier 1793, l’an 2 de la République]. Dumont, Louis-Philippe, Convention nationale, L. Ph. Dumont, Député du département du Calvados à la Convention nationale de France, opinant sur cette question: «Quelle peine infligera-t-on à Louis XVI, ci-devant roi des Français?» Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Durand-Maillane, Pierre-Toussaint, Convention nationale. Opinions de DurandMaillane, Sur les trois questions posées pour le jugement de Louis Capet, et leurs motifs; Imprimées par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Dusaulx, Jean, Convention nationale. Opinion de J. Dusaulx, Député du Département de Paris, Sur le Jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Gamon, François, Convention nationale. Opinion de François Gamon, député de l’Ardèche, Sur la question de savoir s’il est de l’intérêt du Peuple de surseoir à l’exécution du jugement qui condamne Louis à mort; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 10 pp. Garilhe, François-Clément Privat de, Convention nationale. Motifs énoncés Par F. C. P. Garilhe, Député du Département de l’Ardèche, En répondant à l’appel nominal sur cette question: à quelle peine Louis XVI, ci-devant roi des Français, sera-t-il condamné? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Girard, Antoine, Convention nationale. Discours d’Antoine Girard, citoyen de Narbonne, député du département de l’Aude, Prononcé le 17 janvier 1793, l’an deuxième de la République; Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Guffroy, Amand-Benoît-Joseph, Convention nationale. Discours d’Amand-BenoîtJoseph Guffroy, Député de la Nation françoise à la Convention par le Département du Pas-de-Calais, Contre le sursis à l’arrêt de mort du tyran; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, Ce Discours fut prononcé le 20 janvier 1793, De l’Imprimerie nationale, 11 pp.
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Izoard, Jean-François-Auguste, Convention nationale. Vœux de J. F. Auguste Izoard, Représentant de la République Française, Député par les Hautes-Alpes, Sur la question: Le jugement qui sera rendu par la Convention nationale, sur Louis, serat-il soumis à la sanction du peuple? Quelle peine infligera-t-on à Louis? Précédés de fragmens d’opinions, prononcés les 17 et 18 janvier, l’an 2 de la République; Imprimés par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 7 pp. Harmand, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de G. B. Harmand, Député du Département de la Meuse, Lors du troisième appel nominal sur l’espèce de peine méritée par Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Jary, François-Joseph, Convention nationale. Opinion de Jary, Député de la LoireInférieure, Sur le jugement de Louis XVI, Prononcée le 16 janvier 1793, l’an 2 de la République; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Jouenne-Longchamp, Thomas-François-Ambroise, Convention nationale. Opinion de Jouenne-Longchamp, Député du Calvados, Sur le Jugement de Louis Capet. Prononcée le 16 janvier 1793, l’an 2 de la République. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Jourdan, Jean-Baptiste, Résultat des motifs de mes opinions sur Louis Capet, prononcées à la Convention nationale, A Paris, de l’Imprimerie de Guerin, 7 pp.49 Lafon, Pierre-Raymond, Déclaration faite à la tribune de la Convention nationale, Le 16 Janvier 1793, l’an 2 de la République française, Par Pierre-Raymond Lafon, Député de la Corrèze, Contenant les motifs qui l’ont porté à ne pas opiner sur les questions relatives au Jugement de Louis Capet; Remise signée, sur le bureau, pour être insérée au Procès-verbal, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Lambert, Charles, Convention nationale. Opinion de Charles Lambert, Député de la Côte-d’Or, Sur le Jugement de Louis XVI; Prononcée à la tribune de la Convention nationale le jeudi 17 janvier 1793, l’an deuxième de la République française; Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Lanthenas, François, Convention nationale. Motifs des opinions de François Lanthenas, député à la Convention nationale, sur le jugement de Louis XVI; Imprimées par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Le Breton, Roch-Pierre-François, Convention nationale. Opinion motivée de Lebreton, Député de l’Ille et Vilaine. Prononcée à la Séance du 15 Janvier 1793, l’an deuxième de la République. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Leclerc, Claude-Nicolas, Convention nationale. Opinion de Cl. N. Leclerc, Député du département de Loir et Cher, Sur le sot de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp.
Manca a dire il vero in questa edizione la dicitura «imprimé par ordre de la Convention nationale». 49
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Lemaréchal, Denis, Convention nationale. Déclaration et opinions de Denis Lemarechal, Député du département de l’Eure, Sur les trois questions relatives au jugement de Louis XVI, Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Lesterpt-Beauvais, Benoît, Convention nationale. Précis de l’opinion de B. LesterptBeauvais, Député du Département de la Haute-Vienne. 3e Question, Sur la peine à infliger à Louis Capet; Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Massieu, Jean-Baptiste, Convention nationale. Opinion de Jean-Baptiste Massieu, député de l’Oise, Sur le jugement de Louis XVI. Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 3 pp.50 Mazade-Percin, Julien-Bernard-Dorothée de, Convention nationale. Opinion de J.B.-D. Mazade, député de la Haute-Garonne, Sur l’affaire de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Mennesson, Jacques-Baptiste-Augustin-Prosper, Convention nationale. Mon dernier mot sur le jugement de Louis, Prononcé Dans la Séance du 16 Janvier 1793, L’ an premier de la République Française. Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 6 pp.51 Mollevaut, Étienne, Convention nationale. Opinion du citoyen Mollevaut, Député de la Meurthe, Sur cette question: Quelle peine sera infligée à Louis? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 7 pp. Neveu, Étienne, Convention nationale. Opinion d’Étienne Neveu, Député du Département des Basses-Pyrénées, sur le jugement de Louis XVI; Prononcée le 17 Janvier 1793, l’an deuxième de la République Française: Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Nioche, Pierre-Claude, Convention nationale. Opinion de Pierre-Claude Nioche, Député du Département d’Indre-et-Loire, Sur la question de savoir, quelle peine sera infligée à Louis Capet? Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Osselin, Charles-Nicolas, Quatrième discours contre le sursis proposé à l’exécution du jugement de Louis, par C.-N. Osselin, député du département de Paris, Imprimé par ordre de la Convention nationale, A Paris, Chez G.-F. Galletti, L’an 2me de la république française (1793), 12 pp. Pémartin, Joseph, Raisons de mon opinion, Prononcées à la séance permanente des 16 et 17 janvier 1763 [sic], l’an deuxième de la République, Sur l’affaire de Louis XVI; Imprimées par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Porcher-Lissaunay, Gilles-Charles, Convention nationale. Opinion du citoyen Porcher-Lissaunay, Député de l’Indre, sur cette question: Quelle est la peine à infliger
«16 janvier 1793». Comprende la Réponse de Mennesson, député du département des Ardennes, sur la question du sursis. 50 51
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
à Louis Capet? Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Poullain-Grandprey, Joseph-Clément, Opinion de Poullain-Grandprey, député du département des Vosges, sur cette question: Le jugement qui sera prononcé par la Convention nationale, contre Louis Capet, sera-t-il soumis à la ratification du peuple? Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 6 pp. Saint-Martin, François-Jérôme, Convention nationale. Opinion Du citoyen SaintMartin, Député de l’Ardèche, Prononcée le 17 janvier 1793, l’an IIe. de la République; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Salmon, Gabriel-René-Louis, Convention nationale. Opinion motivée de Gabriel-René-Louis Salmon, Député de la Sarthe, Sur cette question: Quelle peine sera infligée à Louis Capet? Prononcée le 17 Janvier 1793, l’an 2me de la République. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Saurine, Jean-Baptiste-Pierre, Convention nationale. Opinion de J. P. Saurine, Évêque et Député du Département des Landes; Prononcée Au moment du troisième Appel Nominal: Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Seconds, Jean-Louis, Convention nationale. Opinion du citoyen seconds, dans le jugement à mort de Louis XVI par la Convention Nationale; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Seguin, Philippe-Charles-François, Convention nationale. Opinion de P. C. F. Seguin, Député du Doubs, Sur le jugement de Louis XVI, prononcée le 16 janvier 1793, à la Convention Nationale. Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Sergent, Antoine-François, Convention nationale. Opinion de Sergent, député de la république à la Convention nationale. Elu dans le Département de Paris; Prononcée à la tribune au troisième appel nominal: Imprimée par ordre de la Convention nationale, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Soulignac, Jean-Baptiste, Convention nationale. Précis de l’opinion de J. B. Soulignac, Député de la Haute Vienne, sur cette question: Quelle peine sera infligée à Louis Capet? Imprimé par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale 3 pp. Thuriot, Jacques-Alexis, Convention nationale. Opinion de Thuriot, Député du Département de la Marne, Sur la proposition de surseoir à l’exécution du Décret de mort prononcé contre Louis Capet, dernier Roi des Français; Et réponse au Discours de Buzot. Séance du 19 janvier. Imprimée par ordre de la Convention Nationale, De l’Imprimerie nationale, pp. 7. Tocquot, Charles-Nicolas, Déclaration de Ch.-N. Tocquot, Député du Département de la Meuse, Sur le sursis du jugement de Louis Capet: Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 4 pp. Turreau, Louis, Convention nationale. Motifs de Louis Turreau, député de l’Yonne, Dans le jugement de Louis Capet; Imprimés par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 6 pp.
GLI «IMPRIMÉS PAR ORDRE DE LA CONVENTION NATIONALE»
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Vardon, Louis-Alexandre-Jacques, Convention nationale. Opinion de Louis-Alexandre-Jacques Vardon, Député du Département du Calvados, A la Convention nationale, Prononcée à la tribune de la Convention le 17 janvier 1793, l’an deuxième de la République; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 3 pp. Viennet, Jacques-Joseph, Convention nationale. Réponse du citoyen Jacques-Joseph Viennet, député du département de l’Hérault, à la question sur la peine à infliger à Louis XVI, A Paris, De l’Imprimerie nationale, 1793, 15 pp. Viquy, Jean-Nicolas, Convention nationale. Opinion du citoyen Viquy, Député à la Convention nationale par le Département de Seine-&-Marne, Prononcée dans la séance du 16 janvier 1793; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp. Wandelaincourt, Antoine-Hubert, Convention nationale. Opinion d’Antoine-Hubert Wandelaincourt, député de la Haute-Marne, Sur le Jugement de Louis Capet; Imprimée par ordre de la Convention nationale, De l’Imprimerie nationale, 2 pp.
2 PAMPHLET
PAMPHLET IN LINGUA FRANCESE Les adieux de Louis XVI, à ses enfans Et à sa Sœur Elisabeth, En les quittant pour se rendre au Sénat du Peuple souverain, et les Reproches qu’il fait à son infâme épouse, d’avoir suivi ses conseils, [Paris], De l’imprimerie de P. Provost. 8 pp. Adresse de 150 communes de Normandie, à la Convention Nationale, sur le jugement de Louis XVI, s.l., s.d., 15 pp. Adresse de plusieurs citoyens français au peuple français, sur le procès intenté au Roi Louis XVI, A Londres, et se trouve à Paris, chez les vrais défenseurs de Louis XVI, 1792 [Fait à Londres, ce 22 novembre 1792]. 16 pp. L’ agonie de Louis XVI, et ses aveux A la nation de tous ses crimes et de ses complices, [Paris], De l’imprimerie du P. Provost, rue Mazarine, n° 92. 8 pp. L’ ami des loix au peuple français, sur le procès de Louis XVI, s.l., s.d., 16 pp. L’Angleterre instruisant la France, ou Tableau historique et politique du règne de Charles Ier et de Charles II. Servant d’introduction à la Relation de la mort cr… et b… de Charles Ier, suivie de sa harangue sur l’échaffaud, A Londres et se trouve à Paris, Chez Lepetit, Commissionnaire en Librairie, quai des Augustin, n° 32, 1793, 154 pp. Appel à la nation, De tout ce qui s’est fait & pourra se faire, dans le procès de Louis XVI, par la Convention Nationale, incompétente & suspecte, par un Citoyen ami de la Justice & des loix, & ennemi de toute oppression tyrannique, s.l., s.d., 16 pp. Appel à la nation, pour Louis XVI, Roi de François. Contre Une Secte de conspirateurs, aux ordres d’ÉGALITÉ et de ROBESPIERRE, En présence de la Convention Nationale, s.l., s.d., 18 pp. Appel à la postérité, sur le jugement du roi, Imprimé à Londres, Et se trouve à Paris, Chez les Marchands de Nouveautés, 1793, 16 pp. Appel à la postérité sur le jugement du roi, seconde édition, Imprimé à Londres, Et se trouve à Paris, Chez les Marchands des Nouveautés, 1793, 16 pp. Appel du jugement de Louis XVI, au peuple français, s.l, s.d. Au peuple souverain, sur le procès de Louis Seize par un républicain, A Paris, Chez Lepetit, s.d., 31 pp. Beauharnais, François, Marquis de, Lettre adressée au Président de la Convention nationale, après le Décret du (…) 1792, qui permettait à tout Français de défendre Louis XVI, Paris, Décembre MDCCLXXXXII, 2 pp.
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
[Bellanger], Défense de sa majesté Louis XVI, faite ne Janvier 1793; Distribuée nuitamment par l’Auteur M. Bellanger et copiée sur le seul exemplaire qu’il ait pu retrouver dans un dépôt des pièces du temps, Seconde Édition, Paris, Le Normant, imprimeur-libraire, 1816. 19 pp. Boussemart Louis, Descente de Louis Capet aux enfers, introduit par le Patriote Moustache. Sa conversation avec tous les Diables, et la rencontre qu’il fait du major des Suisses, et de M. Thierry son valet-de-chambre, [Paris], De l’imprimerie de Feret, s.d., 8 pp. Boussemart Louis, Jugement de Louis Capet, Avec les pièces justificatives de conspiration, présentées à la Convention Nationale, par le Criminaliste BOUSSEMART, patriote à Moustaches, [Paris], De l’imprimerie de Feret, s.d., 8 pp. Boussemart Louis, Le défenseur officieux de Louis Capet au Temple; L’ interrogatoire qu’il lui a fait subir; arrivée subite du Patriote Moustache, qui se charge de sa cause. Dialogue, [Paris], De l’imprimerie de Feret, s.d., 8 pp. Bréviaire des dames parisiennes pour la défense de Louis XVI, par le citoyen de SOLIGNAC, ci-devant chanoine du chapitre royal de Peronne: prédicateur de feu la reine de Pologne, et gouverneur des enfans du prince Xavier, oncle du roi, s.l., s.d., 12 pp. Choisy, L. M., Réflexions sur le procès de Louis Seize, s.l., s.d., 8 pp. Un citoyen français [Antoine Dingé?] à la Convention nationale, sur le procès du ci-devant Roi. Ce 21 déc. 1792, l’an I de la République française, s.l., s.d., 22 pp. Confession générale de Louis Seize, dernier roi des français, au révérend père Chabot, Législateur patriote, et ex-capucin, pour se préparer à la mort, [Paris], De l’Imprimerie de la Tour du Temple, s.d., 8 pp. La Convention nationale justifiée, ou Louis Seize Traité comme il l’a mérité, [Paris], De l’Imprimerie Républicaine, s.d., 8 pp. Conversation sur Louis XVI, entre Piter Goodman, Anglois et voyageur, et Guillaume Franc-homme, dit la Raison, François, et ancien grenadier. La conversation est sur la route de Chartres, A Douvres, Et se trouve à Paris, Chez les vrais défenseurs du roi, Premier janvier 1793, l’an 5e. des ingrats, 16 pp. Le cri des bons cœurs. Adressé de tous les honnêtes Citoyens français, à la Convention Nationale, au sujet du jugement de LOUIS XVI, [La M. vraie Citoyenne], A Paris, chez les Marchands de Nouveautés, s.d., 8 pp. Le cri du peuple sur la mort de Louis Capet, [Paris], Vinçard, imprimeur, s.d., 7 pp. Darbaud F., Un défenseur du roi. L’ ami des lois, aux quatre-vingt-trois Départemens Français, A Paris, De l’Imprimerie de l’Ami des Lois, 1793, 14 pp. Drydey, John, Réflexions de Jonh [sic] Drydey, Gentil-homme Gallois, Sur la cause de Louis XVI, s.l., s.d., 29 pp. D. [Du Gour], A. J. [ Antoine Jeudy], Mémoire justificatif pour Louis XVI, ci-devant roi des français. En réponse à l’acte d’accusation qui lui a été lu à la Convention Nationale, le mardi 11 décembre 1792, l’an quatrième de la liberté et le premier de l’égalité. Seconde Edition, Corrigée et augmentée, A Paris, Chez Fr. Dufart, Imprimeur-Libraire, 1793.
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Durocher, L. Réponse d’un sans culotte Aux Réflexions de Necker sur le Procès de Louis Capet. s.d., 16 pp. Eblios [René François Leblois], Lettres de conspiration Envoyées à toutes les armées de la République, et Grand complot découvert, Des conspirateurs d’Artois, Condé, Provence et autres, sur la mort de Louis XVI, contre Louis-Philippe Égalité, et contre tous les bons députés de la Convention, avec le projet de mettre le ci-devant duc d’Orléans dans les fers, et d’assassiner tous les montagnards qui ont votés pour la mort de Louis XVI, d’ici au premier mai prochain. Dénoncées A la Convention nationale, à toutes les municipalités et directoires du royaume, à toutes les autorités constituées, et à tous les défenseurs de la patrie, [Paris], De l’Imprimerie de Siobel, s.d., 8 pp. Une fleur sur le tombeau de Louis XVI; Ou Tableau véridique de son règne, de sa vie privée et de sa mort édifiante; où se trouvent beaucoup d’anecdotes, de portraits caractéristques des principaux personnages qui ont figuré dans la révolution, et qui en dévoile les causes politiques. Par un Ami de Justice et de l’Humanité, Troisième Édition, revue et corrigée, A Berlin, Et se trouve à Maestricht, Chez Cavelier, Libraire, 1793, 104 pp. Français, prenez, lisez et puis jugez [Décembre 1792], s.l, s.d., 8 pp. Gin, Pierre-Louis-Claude, Court plaidoyer pour Louis XVI, Adressé à la Convention nationale, sous la présidence du C. BARRÈRE, le 22 décembre 1792, avec des notes relatives à toutes les constitutions passées, présente et futures; ouvrages échappés, malgré la détention de leur auteur, aux recherches de nos tyrans; suivis d’un Post scriptum sur les événemens postérieurs jusqu’au 10 mai 1795, et du Songe du Philosophe chrétien, ou nouvelle Explication de quelques chapitre de l’Apocalypse, Basle, 1796. Gonzze de Rougeville, Alexandre Dominique Joseph, Réflexions morales et politiques sur le procès de Louis XVI. Dédié à ma Patrie, A Paris, Et se trouve au Palais royal, s.d., 56 pp. Grand Détail exact de l’Interrogatoire de Louis-Capet, à la Barre de la Convention nationale, par demandes Et par réponses, [Paris], De l’Imprimerie de Tremblay, s.d., 8 pp. Guillaume, Louis Marie, Projet de défense pour Louis XVI, par M. Guillaume, Ex Constituant et Avoué près du Tribunal de Cassation, [Paris], Se trouve chez les Libraires du ci-devant Palais-Royal, s.d., 70 pp. Huet de Guerville, Sébastien-Gilles, Opinion de Huet de Guerville, sur le procès de Louis XVI, A Rouen, de l’Imprimerie de J.-F. Ferrand Fus, [1792]. 8 pp. Incompétence de tout tribunal pour juger Louis XVI; et son innocence démontrées, A Genève, et se trouve à Paris chez Lepetit, Commissionnaire en librairie, 1793. 37 pp. L’ inviolabilité de Louis XVI, prouvée par la fausseté des principes philosophiques, adressée au président Barrère et autres députés de la convention nationale, [à Orléans, ce 24 Décembre 1792], s.l., s.d., 20 pp. J’attends le procès de Louis XVI, mis au cachot, Pour ses forfaits dévoilés à la Convention Nationale, par le Comité de surveillance, [Paris], De l’Imprimerie de Provost, s. d., 8 pp.
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Lally-Tolendal, Trophime-Gérard, Du 30 Janvier 1649 et du 21 Janvier 1793, [Paris], De l’imprimerie de A. Belin, s.d., 8 pp. Lally-Tolendal, Trophime-Gérard, Plaidoier [sic] du Compte de Lally-Tolendal, pour Louis XVI, Londres: et se vend chez Elmsy, Libraire, Strand; chez Owen, Libraire, Piccadilly; et chez De Boffe, Gerrard-Street, 1792. 191 pp. Laroque, André-Jean de, Les bienfaits de Louis XVI, notice faite avant 1787, et dont il avoit défendu l’impression… envoyée à la Convention nationale pour être jointe à la première défense de Louis XVI, Paris, Chez Cuchet, 1793. XVI-39 pp. [Le Couteulx de Canteleu, Jean-Barthélemy] Le cri de la conscience, ou Réflexions d’un françois ami de la justice, Adressées à la Convention Nationale et à ses Concitoyens, sur le Procès de Louis XVI, s.l., s.d., 16 pp. Le Grand, Jerôme, Au peuple, sur le procès de Louis XVI, par M. Le Grand, s.l., s.d., 16 pp. Lettre contenant l’opinion d’une société patriotique de Londres, Sur le procès de Louis XVI, adressée au Rédacteur du Moniteur, s.l., s.d., 12 pp. Lettre D’un patriote de Londres à un de ses Amis, Négociants à Nantes. Londres ce 10 novembre 1792, s.l., s.d., 11 pp. Lenoir, Éloge funèbre de Louis XVI, roi de France et de Navarre; Prononcé à Londres, en présence de plusieurs Compagnies respectables, le 27 Mars; le 2, le 11 & le 23 Avril 1793. Par M. Lenoir, Professeur de Langue & de Belles-Lettres Françoises, Londres, 1793, 59 pp. Liberté Jean-Jacque, Plédoyé pour Louis Sèze, Fait par le Citoyen Jean-Jacque Liberté, Laboureur, du Département de Lille et Vilenne, adressé à la Convantion Nationale, Le 20 Décembre 1792, l’an premier de la République Francèse, se trouve à Paris, Chez M. Petit, Libraire, 30 pp. Limon, Geoffray de, La vie et le martyre de Louis Seize, roi de France et de Navarre, Immolé le 21 janvier 1793; Avec un Examen du Décret régicide, A Bruxelles, De l’Imprimerie royale, Juillet 1793, 144 pp. Liste comparative des cinq appels nominaux. Faits dans les séances des 15, 16, 17, 18 et 19 Janvier 1793, Sur le Procès et le jugement de Louis XVI, avec les déclarations que les Députés ont faites à chacune des séances, par ordre de numéros…, A Paris, Chez Levigneur, Libraire à la Convention Nationale, Froullé, Imprimeur-Libraire, 1793, 544 pp. Louis Capet, à la barre des sans-culottes. Jérôme, qui veut prendre son parti: Fanchon, qui le relance, et qui lui fait voir la souveraineté du Peuple, s.l., s.d., 7 pp. Marignié, Jean-Étienne-François, Le procès de Louis XVI en quatre mots, s.l., s.d., 3 pp. Marignié, Jean-Étienne-François, Pétition de grâce et de clémence pour Louis XVI. Dont la lecture m’a été refusée à la séance du dimanche 20 du présent mois de janvier 1783 [sic], malgré tous les efforts que j’ai fait pour l’obtenir, et dont je rends un compte exact dans l’avertissement qui suit, A Paris, Chez tous les marchands de nouveautés, 1793, 45 pp. Mazon, Louis, Aux juges de Louis XVI, un véritable ami du peuple et de l’humanité, [Paris], De l’Imprimerie de Froullé, 14 pp. Mémoire pour la Nation Françoise, dans le procès de Louis XVI, s.l., s.d., 8 pp.
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[Devérité Louis-Alexandre] Mon opinion sur le jugement de Louis XVI, Le 15 décembre 1792, 16 pp. [Montjoie, Galarte de] Avis à la Convention nationale, sur le jugement de Louis XVI, par M. M. Auteur de la réponse aux réflexions de M. Necker, A Genève, et se trouve à Paris, Chez les Marchands de Nouveautés, 1793, 33 pp. Necker, Jacques, Réflexions présentées à la nation française sur le procès intenté à Louis XVI par M. Necker, A Paris, Chez Volland, Libraire, 1792. 32 pp. Observations rapides sur la nullité du procès commencé contre Louis XVI, et l’incompétence des homme qui ont cru pouvoir se constituer ses Juges. Pour servir de suite au plaidoyer de M. De Sèze, A Paris, Chez Froullé, Imprimeur-Libraire, 1792. 30 pp. Opinion d’un sans-culottes sur toutes les opinions. Imprimées à l’occasion du Jugement du ci-devant Roi, [Paris], De l’imprimerie de Gueffier, s.d., 8 pp. Opinion sur le procès de Louis XVI, adressée à la Convention nationale, s.l., s.d., 8 pp. La partie publique dans la cause de Louis XVI, A Paris, chez les Marchands de nouveautés, s.d., 32 pp. Prévost, Nicolas, Les nouvelles du Ménage royal sans dessus dessous. Ou la fluxion royale de Marie-Toinon, et Louis son mari, garçon Sérurrier, au Temple; avec un détail de leur grande dispute, et les nouvelles de leur ménage envoyées à Coblentz, par un Sans-Culotte, [Paris], De l’Imprimerie de Ferret, s.d., 8 pp. Prévost, Nicolas, Véritable confession de M. Veto, Maître serrurier, Fabriquant au Temple, et roi de Coblentz, à l’abbé Fauchet, Evêque du Calvados, Député à l’assemblée nationale, et l’un des vainqueurs de la Bastille, [Paris], De l’Imprimerie de Ferret, s.d., 8 pp. Le procès de Louis XVI mis au cachot par ses forfaits dévoilés à la Convention Nationale par le Comité de surveillance, [Paris], Imprimerie d Provost, s.d., 8 pp. Protestation présentée au peuple français, contre le jugement de Louis XVI, A Paris, Chez les marchands de Nouveautés, 1793, 20 pp. Pulcheraute, Défense de Louis XVI, [Paris, ce 20 décembre 1792], s.l., s.d., 43 pp. Question nouvelle sur le Procès de Louis XVI, [Paris, ce 8 Janvier 1793, l’an Second de la République], s.l., s.d., pp. 22. Réflexion d’un vrai républicain Sur le Procès de Louis XVI, s.l., s.d., 2 pp. Relation véritable de la mort cruelle et barbare de Charles I, roi d’Angleterre; Arrivée à Londres le huitième Février mil six cent quarante-neuf. Avec la Harangue faite par Sa Majesté sur l’échafaud, Traduite de l’Anglais en Français per J. Ango, sur l’imprimé de Londres chez F. Coles, Réimprimée à Paris, Par Lepetit, Commissionnaire en Librairie, 1792, 154 pp. Relation véritable de la mort cruelle et barbare de Charles I, roi d’Angleterre; Arrivée à Londres le huitième Février mil six cent quarante-neuf. Avec la Harangue faite par Sa Majesté sur l’échafaud, Traduite de l’Anglais en Français per J. Ango, sur l’imprimé de Londres chez F. Coles, Troisième édition, Réimprimée à Paris, Par Lepetit, Commissionnaire en Librairie, 1792, 154 pp. Réponse aux réflexions de M. Necker, sur le procès intenté à Louis XVI, par M. M… [Montjoie, Felix-Louis-Christophe], A Genève, et se trouve à Paris, Chez les Marchands de Nouveautés, 1792, 46 pp.
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Républicains, guillotinez-moi ce Jean-Foutre de Louis XVI, et cette putain de Marie Antoinette, d’ici à quatre jours, si vous voulez avoir du pain. Et vous députés royalistes, lisez-moi, et écoutez mes conseils, ou sinon vous serez racourci, par un Commissaire National, [Paris], De l’Imprimerie de la République, s.d., 8 pp. Songe d’un anglais, fidèle à sa patrie et à son roi. Traduit de l’anglais, A Londres: Et se vend chez M. Elmsley, Strand, 1793, 28 pp. Sourdat, Nicolas, Défense particulière pour Louis XVI, sur la journée du dix août, Par M. Sourdat, Citoyen (ci-devant Lieutenant-général de police) de Troyes, l’un des défenseurs relatés au décret du 12 Décembre 1792, qui se sont offerts à la défense de Louis XVI, s.l., s.d., 40 pp. Sourdat, Nicolas, Vues générales sur le procès de Louis XVI, Par M. Sourdat, Citoyen (ci-devant lieutenant-général de police) de Troyes, l’un des défenseurs relatés au décret du 12 Décembre 1792, qui se sont offerts à la défense de Louis XVI, s.l., s.d., 31 pp. Sur le procès de Louis XVI. Supplément aux Réflexions de M. Necker, [Paris], De l’Imprimerie de Froullé, s.d., 16 pp. Target, Guy-Jean-Baptiste, Observations de Target sur le procès de Louis XVI, [Paris], s.d., 7 pp. Testament de Louis XVI. Dernier roi des français; ses dernières paroles sur l’échafaud, Et le procès-verbal des commissaires nommés par le conseil exécutif, pour assister à son exécution, A Paris, de l’Imprimerie de Caillot et Courcier, s.d., 8 pp. Tremblay, Denis, Nouvelle scène tragi-comique et nullement héroïque, Entre M. Louis Bourbon, Maître Serrurier au Temple, et Madame Marie-Antoinette, sa femme, Archiduchesse d’Autriche, autrefois reine de France, et blanchisseuse de surplis, des desservants des chevaliers du ci-devant ordre de Malthe, et ouvrière en corps d’enfans, [Paris], De l’Imprimerie de Tremblay, s.d., 8 pp.
PAMPHLET IN LINGUA INGLESE E ITALIANA The Accusation, Trial, Defence, Sentence, Execution, and Last Will, of Lewis XVI Late King of France and Navarre Giving An Account of his magnanimous behaviour from the decree of the National Convention to bring him to Trial as a traitor, to his last affectionate interview with his unfortunate family, on the 21st day of January 1793, the day he was beheaded. Translated from the french. With a portrait of Lewis, and a view and description of the guillotine on which he suffered, Edinburgh, Printend for J. Elder, T. Brown, Lawrie & Symington, and C. Elliot, Edinburgh: and fold by W. Boag, Great Turnstile, Holborn, London, 1793, 108 pp. Arringa in difesa del re Luigi XVI recitata da **** Deseze in nome de’ suoi compatrocinatori alla sbarra della convenzion nazionale il di’ 26 dicembre 1792. Tradotta fedelmente nell’Italiana Favella, In Cremona, Per Lorenzo Manini Regio Stampatore, con permissione, 1793, 48 pp. The Confederacy of kings against the freedom of the world; being Free thoughts upon the present state of French Politics; A vindication of the National Assembly in suspending Louis XVI. Conjectures on the movement of the confederate armies; And their influence in reinstating the King, and establishing a Constitution by force.
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In three letters addressed to the Right Hon. Edmund Burke, London, Printed for Deighton, Holborn; and Johnson, St. Paul’s church-yard, 1792, 76 pp. The Cruel Massacre of the King & Queen of France. With The Decree of the National Convention, in January, by which LOUIS was ordered to be beheaded, by the La Guillotine, or Beheading Machine, On which the Queen also suffered. Also, The last WILL and TESTAMENT of Louis XVI. To which is added, The Trial and Charges laid to the Queen, By the Convention, Printed for and sold by A. Hambleton, s.d., 40 pp. The Defence of Louis XVI. As delivered at the bar of the National Convention, Wednesday, 26th December, 1792, By DE SEZE, One of his Counsel. As published at Paris by order of the Convention. Translated from the French. To which is added, some reflections on a late melancholy event; with the will of his late majesty, London, Printed for Hookham and Carpenter, Bond-street, 1793, 87 pp. The Execution of Louis XVI. On the 21st. 1793, [London], No. 8, Oxendon-Street, near the Hay-market, s.d., 1 p. Fox, William, Thoughts on the Death of the King of France, London, Sold by J. Ridjway, York Street, St. James’s Square; W. Richardson, Opposite the Royal Exchange; T. Whieldon and Butterworth, Fleet Street; and M. Gurnev, No. 128, Holborn Hill, 1793, 19 pp. Funeral Oration for Louis XVI, London, Printed for J. Edwards, NO. 77 Pall-Mall, 1794. 20 pp. Massacre of the French King. La Guillotine or the Modern Beheading Machine at Paris, London, Printed at Minerva Press, for William Lane, Leadenhall-Street; sold Retail by Eliz. Harlow, Bookseller to Her most excellent Majesty, Pall-Mall, 1 p. Monody on Louis, XVI late king of France. The sentence, execution, anecdotes, and character, of Louis, XVI, Dublin, Printed and Published by Zachariah Jackson, No. 18, Great-Ship-Street, 1 p. Necker, Jacques, Reflexions submitted to the French Nation on the intended process against Louis XVI, Translated from the French of M. Necker, London, Printed for J. Debrett, Opposite Burlington-House, Piccadilly, MDCCXCII, 99 pp. The Oration of Deseze, in defence of Lewis the Sixteenth, King of France; pronounced at the bar of the National Convention, On Wednesday, the 26th of December, 1792, in the First year of the Republic. To which is added the Will of the King, in French and English. Translated from the French original, Printed and published by order of the Convention, London, Printed for C. Dilly, in the Poultry; and J. Debrett, Piccadilly, 1793, 91 pp. Reflections, moral, and politcal, of the murder of Louis the Sixteenth: In a sermon, preached on that occasion, on Sunday, February 3D, 1793; and published by particular desire, London, Printed for R. Edwards, No. 142, New Bond Street; and sold by Rivingtons, St. Paul’s Church Yard; Knight, St. James’s Street; and Debrett, Piccadilly, 1793. A Sermon Occasioned by the Murder of the KING of the FRENCH. Preached at WALDRON, in SUSSEX, On Sunday, the 27, January, 1793, by Thomas Lewis,
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APPENDICE BIBLIOGRAFICA
Curate, Tunbridge Wells, Printed by J. Sprange for the Author, and sold by W. Lee, Lewes, A. Lee, Horsham, Stell, and Barry, Hastings, Katte, Battle, Balcomb, Burwash, and by Rivingtons, St. Paul’s Church Yard London, 23 pp. A short extract from M. Necker’s pamphlet to the french nation, on the impending trial of the king. In a letter to a friend, London, 1793, 15 pp. Trapp, Joseph, Proceedings of the French National Convention on the Trial of Louis XVI late king of France and Navarre to which are added, several interesting occurrences and particulars attending the treatment, sentence, and execution of the ill-fated monarch; the whole carefully collected from authentic Documents, and republished with Additions, from the Paper of the World, by Joseph Trapp, A. M., Second Edition, London, Printed for the author, Sold by Messrs. Murray, Kearsley, and Wenman and Co. Fleet-Street; Ridgway, York-street, St. James’s; Deighton, Holborn; Downes, and McQueen, Strad; and the World Office, 1793, 214 pp. The Trial at large of Louis XVI. Containing A complete and authentic NARRATIVE Of every interesting and important Circumstance attending The ACCUSATIONTRIAL, DEFENCE, SENTENCE-EXECUTION, &c. OF THAT UNFORTUNATE MONARCH. Communicated in a series of letters by a member of the late National Assembly, a member of the British Parliament. To which is subjoined an impartial character of his majesty and a copy of his will. The second edition, London, Printed by H. Macleish, at the recorder printing-office, Duke’s court, Drury lane: and sold by W. Miller, Old Bond-street; H. D. Symonds, Pater-Noster-row; T. Axtell, Finch-lane; and W. Stewart, opposite York-house, Piccadilly, 1793, 128 pp. The Trial of Louis XVI late King of France, who was behaeded on Monday, January 21st, 1793, With the Examination and Proceeding of the National Convention of France. Also an authentic account of his execution, and a True Copy of his last will. To which is added, the Demolition of the Bastille: Being a full and accurate descritpion of That Horrid State Prison, And the Manner of treating the wretched Victims confine therein, London, 1793, 31 pp. The True and Remarkable Trial, Condemnation, and Execution of Louis the XVIth, Late King of France. Who was on Monday last Beheaded at Paris, upon a Scaffold, Printed and Sold in London, s.d., 8 pp. Vera ed imparziale relazione dell’assassinio ordinato dalla cosi’ detta convenzion nazionale di Francia nella sacra persona di sua maestà cristianissima Luigi XVI di Borbone re di Francia e di Navarra, il benefico. Con l’epilogo dei fatti più importanti, che le precedettero, e della morte della Maestà Sua incontrata con eroica e cristiana fermezza il dì 21 p. p. Gennajo 1793 in Parigi. Il tutto desunto dai Fogli stessi pubblicati in Francia, In Cremona, Per Lorenzo Manini Regio Stampatore. Con permissione, s. d., 23 pp.1
Esiste un’edizione identica, stampata in Milano dallo stampatore Luigi Veladini in Contrada Nuova. Con Permissione, s.d., 24 pp. 1
PAMPHLET
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The Will of Louis the Sixteeth, late King of France, written by Himself. Testament de Louis Seize, ci-devant roi de France, Ecrit par lui, London, Printend at the Minerva Press, for William Lane, Leadenhall-Street, And Sold by E. Harlow, Bookseller to her Majesty, Pall-Mall, 1 p. Yearsley Ann, Reflections on the death of Louis XVI, Bristol, Printed for, and Sold by the Author, at her Public-Library, Crescent, Hotwells; and by the Booksellers of Bristol, Baths, etc., 1793, 8 pp. Yearsley Ann, Sequel to Reflections on the death of Louis XVI, Bristol, Printed for, and Sold by the Author, at her Public-Library, Crescent, Hotwells; and by the Booksellers of Bristol, Baths, etc., 1793, 8 pp.
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INDICE DEI NOMI*
Albitte Antoine-Louis, 39, 108 Albouys Barthélémy, 20 Arasse D., VIII Arendt H., XXVII, XXVIII Asselin Eustache Benoît, 138 Assmann J., 157 Audouin Pierre-Jean, 59, 64, 71, 72, 78 Audrein Yves-Marie, 3 Azéma Michel, 133, 138 Bailleul Jacques-Charles, 7 Bailly Edme-Louis-Barthélemy, 7 Balland Charles-André, 151 Barbaroux Charles Jean-Marie, 6-8, 18, 22, 28, 107, 108, 116 Barbier F., 4, 131, 147 Barère de Vieuzac Bertrand, 13, 17, 18, 23, 28, 30, 33, 35, 64, 65, 151, 155 Basire Claude, 3, 4, 108 Bastien P., X Baudouin François-Jean, 4, 19, 20, 24, 32, 37, 144, 145, 159 Beaugeard Pierre-Jean-Baptiste, 110 Beauharnais François de, 106 Beausoleil H., XXVII Benazech Charles, 122 Benigno F., XXI Bercé Y.-M., XXVII Berger E., 7 Berlier Théophile, 7, 165
*
Berlusconi Silvio, XVII Bernard-Saint-Affrique Louis, 15 Bernstein M., 164 Biard M., 24, 47, 122 Billaud-Varenne Jacques Nicolas, 12, 22 Birotteau Jean-Baptiste, 7, 28, 165 Bohan Alain, 15 Bolot Claude-Antoine, 15 Bonnefin A., XXVI Borie Jean, 15 Boucher Antoine-Sauver detto BoucherSaint-Sauveur, 33, 34 Bouchereau Augustin-François, 20 Bouquier Gabriel, 166 Bourbotte Pierre, 16, 21 Bourdon Léonard, 44, 167 Boussemart Louis, 121, 122, 124 Boussion Pierre, 15 Boutier J., 147 Boutroué Laurent-Martial-Stanislas, 7 Brette A., 39, 45 Brissot Jacques-Pierre, XII, XIII, 28, 40, 53, 75-77, 81, 100 Brival Jacques, 165 Buisson François, 45, 130, 131, 135, 136, 149, 152, 153 Burnand L., 95 Buzot François-Nicolas-Louis, 9, 28 Cambon Pierre-Joseph, XI
Date le frequentissime occorrenze, il nome di Luigi XVI è omesso da questo indice.
222
INDICE DEI NOMI
Camus Armand-Gaston, 165 Carlo I, re d’Inghilterra, XII, XIII, 48, 50, 62, 64, 82, 98, 131, 157 Carlo IX, re di Francia, 157 Carlo Stuart vedi Carlo I re d’Inghilterra Carole A., XII Carra Jean-Louis, 28, 30, 45, 46, 51, 59, 60, 61, 65, 73, 78, 81, 97, 107, 138, 150, 165 Cassan M., 147 Cavaignac Jean-Baptiste, 7, 165 Cave C., 80 Cerutti Joseph-Antoine, 47, 48, 50 Chabot François, 6, 124, 151 Chappey J.-L., 136 Charlier Louis Joséph, 18 Chaumette Pierre Gaspard (Anaxagoras), 49 Chaumont Jean-François, 110 Chizuka T., VIII, 164, 194 Chopelin P., XXIII Clavière Étienne, 57 Clère J.-J., 7 Cohen A., 24 Condorcet Marie-Jean-Antoine-Nicolas Caritat de, XXV, 56, 139, 166 Constant L., XXIII, XXIV Conte A., XXV Conte Antoine, 20, 31, 165 Conte di Provenza vedi Luigi XVIII Corenfustier Simon-Joseph, 28, 29 Corneille Pierre, 121 Coster Jean-Louis, 135 Coston H., XXVI Cottret M., XII, XXVII Couthon Georges, 28, 31, 150 Cromwell Oliver, XII
Daunou Pierre-Claude-François, 139, 165 De Benedictis A., XIX, XX, XXXIII Debry Jean, 150, 195 Dechézeaux Pierre-Charles-Daniel-Gustave, 165 Defermon Jacques, 15, 151 Delacroix Jacques-Vincent, 131, 132 Delacroix Jean-François, 91 Delbrel Pierre, 7 Delhaye Jacques-Charles-Gabriel, 7 Derazey Jean-Joseph-Eustache, 7 Desmoulins Camille, 49, 98 Devérité Louis-Alexandre, 152, 165 Diderot Denis, XIII Doppet François Amédée, 72 Dorigny M., 40 Drouet Jean-Baptiste, 7 Drydey John, 112 Dubois-Crancé Edmond-Louis-Alexis, 28, 30 Duchastel Gaspard-Séverin, 27, 152 Dufriche-Valazé Charles-Éléonore, 7-9, 26, 38, 132, 139 Du Gour Antoine Jeudy, 111-113, 145, 203 Dugué-D’Assé Jacques-Claude, 165 Dulaure Jacques-Antoine, 89 Dumont André, 35 Dumouriez Charles François Du Périer detto, 21 Dunn S., XXV, XXVIII Duprat A., XIII, XXII, XXIX, 120-122, 127, 134 Duranton H., 80 Durocher L., 97 Duval Charles, 59, 110
D’Alembert Jean Le Rond, XIII Dalmas Joséph Benoît, 111 Danton Georges-Jacques, 9, 110 Darbaud F., 150 Dartigoyte Arnaud, 28, 166 Daubermesnil François-Antoine Le Moine, 7
Eblios (René François Leblois), 91 Edelstein M. A., 47 Édouard S., XXIII Eichmann Adolf, XXVII, XXVIII Elyada O., 118 Engerran Jacques, 28 Enrico IV, re di Francia, X
INDICE DEI NOMI
Enrico V, Enrico d’Artois, conte di Chambord, pretendente al trono di Francia, X Fabre d’Eglantine Philippe-FrançoisNazaire, 49 Fajn M., 59 Farcy J.-C., 7 Farge A., XXI Fauchet Claude, 13, 14, 19, 124 Faure Pierre-Joseph-Denis-Guillaume, 16, 19, 28, 138, 139, 165 Feuillant Étienne, 64, 80 Feyel G., XXXI, 44, 87 Filippo II, re di Spagna, 157 Filippo IV il Bello, re di Francia, XXVI Fockedey Jean-Jacques, 28 Foucault M., X Francesco Saverio di Sassonia, 114 Frederking B., XXIII Froger-Plisson Louis-Joseph, 7 Froullé François, 127 Furet F., XXII, XXIV Gamain François, 15 Gamon François-Joseph, 18 Gardien Jean-François-Martin, 15 Garnier Jacques, 22 Genevois Louis Benoît, 138 Gensonné Armand, 28, 102 Gertoux Brice, 133, 138 Ghedini Niccolò, XVII, XVIII Gillray James, 122 Girard Antoine, 151 Girault Claude-Joseph, 166 Girault de Coursac P. P., VII, XXVI, 44, 76 Girey-Durpé Jean-Marie, 40, 62 Godechot J., VII, XXVI Gohier Louis-Jérôme, 3, 4, 5, 132, 138 Gonzze de Rougeville Alexandre Dominique Joseph, 109 Gossuin Constant-Joseph-Étienne, 15 Gouges Olympe de, 25, 146 Goyard C., XXVI
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Graindorge de Menil-Durand Gustave, 25, 106 Granderoute R., 55 Grégoire Henri, 13, 19, 138 Guadet Marguerite Elie, 102, 151 Guilhaumou J., XXI, XXVIII, 156 Guillaume Louis-Marie, 93, 94, 105 Guiria P., 44, 76 Guiter Joseph-Antoine-Sébastien, 20, 28, 165 Guyomar Pierre-Marie-Augustin, 28 Guyton-Morveau Louis Bernard, 6, 150 Habermas J., XXI Hébert Jean René, 41, 46, 47, 58, 122 Hentz Nicolas, 32, 34 Huet de Guerville Sébastien-Gilles, 25, 55, 106, 108 Huguenin Sulpice, 2 Hunt L., XI, XXV Ichon Pierre-Louis, 139, 165 Jauffret Louis-François, 41, 136, 137, 142146, 148, 153 Jean-Bon Saint-André André, 18, 28, 30, 139 Jordan D. P., XXVI Julien Jean, 165 Juratic S., 4, 132 Kennedy M. L., 45, 72 Kersaint Armand-Guy-Simon de CoetNempren, 20, 31, 150 Kohle H., 122 Kuscinski A., 17, 71, 76 Laboissière Jean-Baptiste, 150, 165 La Fayette Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert Motier de, 21 La Fontaine Jean de, 110 Lakanal Joseph, 165 Lally-Tolendal Trophime-Gérard, 111, 113, 151, 154
224
INDICE DEI NOMI
Lamarque François, 126, 127 Lamballe, Maria Teresa di Savoia principessa di, 46 Lamoignon de Malesherbes Chrétien Guillaume de, 25, 28, 39, 66, 105, 106, 107, 109, 112, 152, 162 Laporte Arnaud de, XXII, 3-5, 46 Laurenceot Jacques-Henri, 7 Laurent Claude-Hilaire, 7 Lavicomterie Louis-Thomas Hébert de, 139 Le Carpentier Jean-Baptiste, 18 Leclerc Jean-Baptiste, 165 Le Couteulx de Canteleu Jean-Barthélémy, 92 Lefranc Jean-Baptiste, 15 Legendre Louis, 17 Le Grand Jérôme, 108, 111 Lehardy Pierre, 7 Lejeune René François, 7 Lejeune Sylvain-Phalier, 31 Lemny S., 45, 51 Le Peletier de Saint-Fargeau Louis-Michel, 16, 36, 79, 84 Lequinio Joseph-Marie, 28, 30 Lesage Denis-Toussaint, 7 Leuwers H., XXVII, 23 Levigneur Libraio, 127 Liberté Jean-Jacque, 109-111 Lindet Robert-Thomas, 22, 108 Lombard P., XXVI Loustallot Elysée, 49 Louvet Jean-Baptiste de Couvrai, 31, 76, 77, 85, 103, 107, 108, 139 Luigi XI, re di Francia, 157 Luigi XIV, re di Francia, 157 Luigi XVII, Luigi Carlo di Normandia, Delfino di Francia, X Luigi XVIII, re di Francia, X, 59, 117, 148 Magoni C., VII, X, XIII, XIV, XV, XIX, 132 Mailhe Jean-Baptiste, IX, XXV, 10-12, 23, 25, 35, 56, 132
Malouet Pierre, 105, 106, 111, 113, 151152 Malouet Victor-Pierre, 106 Mandat Antoine Jean Gailliot, 1 Manuel Louis-Pierre, 39-41, 49, 89, 90, 114, 133, 138, 165 Marat Jean-Paul, XXV, XXXI, 22, 55-57, 60, 61, 86, 90, 110, 139, 141, 157 Maréchal Sylvain, 49 Maria Antonietta, regina di Francia, 21, 23, 46, 109, 118, 121, 123 Marignié Jean-Étienne-François, 112, 115-117, 146 Martin J. C., XXIII Martin V., XXIII Martucci R., XXVII Masuyer Claude-Louis, 151 Mazade Julien-Bernard-Dorothée, 165 Mazeau G., XXIII Mazon Louis, 114 McPhee P. 103 Méjan M., 117 Melchior-Bonnet B., XXVI Mellerio A., 4, 132 Mellet P.-A., XII Mellinet François, 133, 165 Mellot J. D., 125, 132, 149 Mennesson Jacques-Baptiste-AugustinProsper, 151 Mercier Louis-Sébastien, 45, 97 Merlin Philippe-Antoine, 3, 6, 16, 45 Meynard François, 19, 20 Michelet J., XXII, XXIV, 14, 53, 60, 61, 81, 85 Mieck I., XXVI Milliot V., XXII, 94, 119 Milton John, XII, 72 Mirabeau, XII, 21, 64 Moleville Bertrand de, 111, 142 Monmayou Joseph, 165 Monnier R., XIV, XXI Montjoie Félix-Louis Christophe de, 96, 145 Moreau Marie-François, 28
INDICE DEI NOMI
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Morisson Charles-François-Gabriel, XXV, 13, 19, 28, 53, 138, 151
Queval E., 125, 132, 149 Quinette Nicolas-Marie, 21, 22, 57, 151
Narbonne-Lara Louis de, 106, 111, 151, 154 Necker Jacques, 54-56, 58, 60, 95-99, 105, 111, 139, 145, 146, 150, 154 Norris John, 151
Rabaut-Pomier Jacques-Antoine, 15 Rabaut-Saint-Etienne Jean-Paul, XX, XXII, 8, 15, 28 Raffron Nicolas,150 Reboul R.-M., 136 Reichardt R. XXI, 122 Rétat P., 49 Reynaud D., 80 Ricommard J., 107 Ricord Jean-François, 165 Robert François, 13, 19, 32, 101, 102, 105, 138 Robespierre Augustin-Bon-Joseph, 165 Robespierre Maximilien, IX, XIV, XXV, 18, 19, 28, 30, 33, 54, 74, 77, 90, 103, 104, 107-110, 113, 120, 142, 146, 157 Roland de la Platière Jean-Marie, 15, 33, 57, 76 Roland Manon Jeanne Philipon, detta Madame, 33, 76 Rospocher M., XXI Rousseau Jean-Jacques, 98 Rouzet Jean-Marie, 19, 20, 28, 138, 139, 165 Royer J.-P., XXVII Ruamps Pierre-Charles, 15 Rühl Philippe-Jacques, 15, 21
Oudot, Charles-François, 18, 166 Ozouf M., XXII, XXIV Paganel Pierre, 165 Paine Thomas, XXV, 31, 133, 138, 150 Panckoucke Charles-Joseph, 140 Pâris Philippe Nicolas Marie de, 79 Pariseau Pierre Germain, 58, 66, 84 Patrick A., 164 Pédon Jean, 147 Pelletier Jacques, 7 Pellissier Denis-Marie, 15 Pénières Jean-Augustin, 165 Perlet Charles-Frédéric, 135, 136, 143, 148, 149, 154, 203 Pétion Jérôme, 12, 13, 19, 20, 28, 31, 103, 104, 107, 133 Petit Michel-Edme, 28, 139, 165 Petitjean Claude-Lazare, 7 Philippeaux Pierre Nicolas, 7, 98, 126 Pichois Michel-Germain, 111 Pinet Jacques, 33 Piron, abate di Kergonan, XVII Pointe Noël, 165 Poncelin de La Roche-Thilac JeanCharles, 54, 55 Popkin J., XIV, 44 Poullain-Grandprey Joseph-Clément, 7, 165 Poultier François, 33, 138, 165 Prévost Nicolas, 121, 124, 125 Prost Claude-Charles, 28, 138, 152, 165 Provost Pierre, 119 Prudhomme Louis-Marie, 49, 50, 54, 62, 65, 68, 69, 139, 143
Saint-Just Louis-Antoine de, IX, XIV, XXV, 13, 14, 19, 28, 30, 53, 54, 72, 93, 108, 113, 114, 138, 140 Salaville Jean-Baptiste, XII, 72 Salle Jean-Baptiste, 28, 29, 31, 32, 72 Sanson Charles-Henri, VIII, IX Santerre Antoine Joseph, 36 Sauger-Préneuf François, 145 Saurine Jean-Baptiste-Pierre, 15 Schorn-Schütte L., XX, XXXIII Seligman E., VIII, XV, XXIV, XXV, XXVI, XXVIII, 1, 3, 5, 6, 8, 16, 22, 30, 34, 35, 37, 118
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INDICE DEI NOMI
Serna P., X, XXXIII Serre Joseph, 16, 19, 28, 138 Sesto Tarquinio, 48, 50 Sevestre Joseph-Marie-François, 110 Sèze Raymond de, XVIII, XXVI, 25-28, 69-72, 90, 105, 107, 109-113, 123, 125, 133, 138, 149, 151, 154, 162 Soboul A., VIII, XXV, 16, 40, 45 Solignac Jean-Pierre, 114, 115 Sonthonax Léger Félicité, 49 Sosotte Ameral de la, 56 Sourdat Nicolas, 25, 106-108, 111, 113 Talon Antoine Omer, 21, 42, 43 Target Guy-Jean-Baptiste, 4, 23-25, 108 Terrou F., 44, 76 Tessier Ph., 23 Thibaudeau Antoine Claire, 165 Thuriot Jacques-Alexis, 24, 42, 43 Tourzel Louise Félicité de Croy d’Havré duchessa di, 46 Tremblay Denis, 121 Tronchet François Denis, 23, 25, 28, 39, 66, 105, 107, 112, 162 Turbat P., XXIII, XXVI, 14 Turchetti M., XII, XXVII
Tutot Jean-Jacques, 135 Vallée-Coston M., XXVI Vanden Broeck Ph., 135 Varaut J.-M., XXVI Varlet Charles-Zachée-Joseph, 7 Vatar René, 59 Vergniaud Pierre-Victurnien, XXV, 28, 31, 102, 116, 117 Vernier Théodore, 99 Vigier, autore di una difesa di Luigi XVI, 55 Villeneuve, incisore, 120 Viola P., 92, 105, 119, 120, 122, 123, 124 Virgilio Marone Publio, XX Volker S., XXVII Vovelle M., X, 118 Wald Lasowski P., XII Walter G., 47 Walzer M., VIII, IX, XV, XXV, XXVI Willemart D., 80 Williams, firmatario di una lettera alla Convenzione in difesa di Luigi XVI, 151
STUDI SULLA COMUNICAZIONE POLITICA Collana del Dottorato Internazionale «Comunicazione politica dall’antichità al XX secolo»
1.
FEDERICA DALLA PRIA, Dittatura e immagine. Mussolini e Hitler nei cinegiornali, 2012.
2.
La comunicazione nella politica dal Medioevo al Novecento, a cura di MARCO BELLABARBA e GUSTAVO CORNI, 2012.
3.
Potere e violenza. Concezioni e pratiche dall’antichità all’età contemporanea, a cura di GLAUCO MARIA CANTARELLA, ANGELA DE BENEDICTIS, PATRIZIA DOGLIANI, CARLA SALVATERRA, RAFFAELLA SARTI, 2012.
4.
ENRICO ZANETTE, Criminali, martiri, refrattari. Usi pubblici del passato dei comunardi, 2014
5.
FEDERICA CENGARLE, Lesa maestà all’ombra del Biscione. Dalle città lombarde ad una ‘monarchia’ europea (1335-1447), 2014.
6.
CLIZIA MAGONI, Le pour et le contre. Il processo di Luigi XVI di fronte all’opinione pubblica, 2014.
SCHRIFTEN ZUR POLITISCHEN KOMMUNIKATION Internationales Graduiertenkolleg «Politische Kommunikation von der Antike bis ins 20. Jahrhundert»
1.
ANGELA DE BENEDICTIS – GUSTAVO CORNI – BRIGITTE MAZOH – LUISE SCHORN-SCHÜTTE (Hrsg.), Die Sprache des Politischen in actu. Zum Verhältnis von politischem Handeln und politischer Sprache von der Antike bis ins 20. Jahrhundert, 2009.
2.
EVA MARIA WERNER, Die Märzministerien. Regierungen der Revolution von 1848/49 in den Staaten des Deutschen Bundes, 2009.
3.
CHRISTINA ANTENHOFER – MARIO MÜLLER (Hrsg.), Briefe in politischer Kommunikation vom Alten Orient bis ins 20. Jahrhundert, 2008.
4.
CHRISTOPH MICHELS, Kulturtransfer und monarchischer “Philhellenismus” Bithynien, Pontos und Kappadokien in hellenistischer Zeit, 2008.
5.
ASTRID VON SCHLACHTA, Gefahr oder Segen? Die Täufer in der politischen Kommunikation, 2009.
6.
CHRISTINA ANTENHOFER – LISA R EGAZZONI – ASTRID VON SCHLACHTA (Hrsg.), Werkstatt Politische Kommunikation. Netzwerke, Orte und Sprachen des Politischen, 2010.
7.
SIMON GRUBER, Wilder Osten oder Herz Europas? Die Slowakei als EU-Anwärterstaat in den 1990er-Jahren, 2010.
8.
MARIO MÜLLER, Besiegelte Freundschaft. Die brandenburgischen Erbeinungen und Erbverbrüderungen im späten Mittelalter, 2010.
9.
CHRISTIAN BECHTOLD, Gott und Gestirn als Präsenzformen des toten Kaisers, 2011.
10. ANGELA DE BENEDICTIS – GUSTAVO CORNI – BRIGITTE MAZOHL – DANIELA R ANDO – LUISE SCHORN-SCHÜTTE (Hrsg.), Das “Politische” als Argument. Beiträge zur Historischen Semantik von der Antike bis ins 20. Jahrhundert, 2013. 11. TOBIAS DANIELS, Diplomatie, politische Rede und juristische Praxis im 15. Jahrhundert: Der gelehrte Rat Johannes Hofmann von Lieser, 2013. 12. BARBARA LUBICH, Das Kreativsubjekt in der DDR. Performative Kunst im Kontext, 2014. 13. PATRICK BREDEBACH, Das richtige Europa schaffen: Europa als Konkurrenzthema zwischen Sozial- und Christdemokraten - Deutschland und Italien von 1945 bis 1963 im Vergleich, 2013.
I volumi in lingua tedesca appartenenti alla Collana del Dottorato sono pubblicati dalla casa editrice V&R unipress, Robert-Bosch-Breite 6, 37079 Göttingen, Germania (www.v-r.de).
14. EUGEN PFISTER, Europa im Bild. Imaginationen Europas in Wochenschauen in Deutschland, Frankreich, Großbritannien und Österreich 1948–1959, 2014. 15. ALEXANDRA SCHWARZKOPF, Die deutsche Stammzelldebatte. Eine exemplarische Untersuchung bioethischer Normenkonflikte in der politischen Kommunikation der Gegenwart, 2014. 16. ANNIKA KLEIN, Korruption und Korruptionsskandale in der Weimarer Republik, 2014.