La Neustrie. Les pays au nord de la Loire de 650 à 850: Colloque historique international, Tome 2 (1989) [2] 379957316X

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Beihefte der Francia Bd. 16,2 1989

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LA NEUSTRI E Les pays au nord de la Loire de 650 à 850 Tome 2

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BEIHEFTE DE R FRANCI A Herausgegeben vom Deutschen Historischen Institut Paris

Band 16/2

LA NEUSTRIE Les pays au nord de la Loire de 650 à 850 Colloque historique international publié par

Hartmut Atsma Tome 2

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JAN THORBECKE VERLAG SIGMARINGE N 1989

LA NEUSTRIE pays au nord de la Loire de 650 à 850 Colloque historique international

publié par

Hartmut Atsma Tome 2

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CIP-Titelaufnahme der Deutschen Bibliothek La Neustrie: Les pays au nord de la Loire de 650 à 850; colloque historique international / publ pa r Hartmut Atsma. Avec une introd. par Karl Ferdinand Werner. Sigmaringen: Thorbecke (Beihefte der Francia; Bd. 16) ISBN 3-7995-7316-X NE: Atsma, Hartmut [Hrsg.]; Francia / Beiheft e Tome 2 (1989)

BEIHEFTE DER FRANCI A Herausgeber: Prof. Dr. Kar l Ferdinand Werner Redaktion: Dr. Hartmut Atsma Deutsches Historisches Institut , 9 rue Maspéro, F-75116 Paris Verlagsadresse: Jan Thprbecke Verlag GmbH & Co., Sigmaringen © 198 9 by Jan Thorbecke Verlag GmbH & Co., Sigmaringen Gesamtherstellung: M. Liehners Hofbuchdruckerei Gmb H & Co., Sigmaringen Printed in Germany ISSN 0178-1952 • ISBN 3-7995-7316- X

TABLE DE S MATIÈRES

ROUEN, PARIS E T TREVES Nancy GAUTHIER

Rouen pendant le Haut Moyen-Âge (650-850) 1 Patrick PÉRI N

A propos des origines de Saint-Ouen de Rouen. Contribution de Parchéologie funéraire 2 Jacqueline DELAPORT E

Un denier de Charlemagne frappé à Rouen 4 Jean DÉREN S Notes sur la topographie religieuse des Paris à Pépoque mérovingienne 4 Hans Hubert ANTO N Die Trierer Kirche und das nördliche Gallien in spätrömischer und fränkischer Zeit 5

1 1 5 3

SAINT-DENIS Josef SEMMLE R Saint-Denis: Von der bischöflichen Coemeterialbasilika zur königlichen Benediktinerabtei 7 Alain J. STOCLE T Evindicatio et petitio. Le recouvrement de biens monastiques en Neustrie sous les premiers Carolingiens. L'exemple de Saint-Denis 12

5 5

Werner JACOBSEN

Die Abteikirche von Saint-Denis als kunstgeschichtliches Problem. - Avec des observations par Leopold GENICOT 15

1

MONUMENTS, ARCHITECTURE , SCULPTUR E Carol HEIT Z

Architecture et monuments de Neustrie 18 Xavier BARRA L I ALTE T

Le décor des monuments religieux de Neustrie 20

May VIEILLARD-TROÏEKOUROF F

La sculpture en Neustrie

•. 22

7 9 5

VI

Table des matières

ORFÈVRERIE ET SCULPTURE SUR IVOIRE Danielle GABORIT-CHOPI N Les trésor s d e Neustri e d u VIIe a u IXe siècl e d'aprè s le s source s écrites : orfèvrerie et sculpture sur ivoire 25 Marie-Madeleine GAUTHIE R Le coffret de Mortain (Manche) 29

9 5

LES CENTRES DE CULTURE EN NEUSTRIE Pierre RICHE Les centres de culture en Neustrie de 650 à 850 29 Jean VEZIN Les scriptoria de Neustrie, 650-850 30 Florentine MÜTHERICH Les manuscrits enluminés en Neustrie David GANZ Corbie and Neustrian monastic culture 661-849 33 Jacques FONTAINE Quelques vicissitude s de s Carmin a Triumphalia dan s la littérature latin e du haut Moyen Age 34 Jean-Loup LEMAITRE Aux origine s d e l'office d u chapitre e t de la salle capitulaire . L'exempl e d e Fontenelle 36

7 7 319 9 9 5

LA DIFFUSION DE LA CULTURE INSULAIRE SUR LE CONTINENT Alain DIERKENS Prolégomènes à une histoire des relations culturelles entre les îles britanniques et le continent pendant le Haut Moyen Age. La diffusion d u monachisme dit colombanien ou iro-franc dans quelques monastères de la région parisienne au VIIe siècle et la politique religieuse de la reine Bathilde 37 Rosamond MCKITTERICK The diffusion of insular culture in Neustria between 650 and 850: the implications of the manuscript évidence 39

1 5

PROBLÈMES ARCHÉOLOGIQUE S Michel COLARDELLE Le cadre archéologique Pierre DEMOLON Villes et villages dans le nord-est de la Neustrie du VIe au IXe siècle 43

433 5

Table des matières

Claude LORREN Le village de Saint-Martin de Trainecourt à Mondeville (Calvados), de l'Antiquité au haut Moyen Age 43 Walter JANSSEN Neustrien al s Problem der Archäologie. Nachlese zu r Soirée am 9. Oktober 1985 46

VII

9 7

CONCLUSION Lucien MUSSET Discours de Clôture 47

1 ANNEXES

Bibliographie 47 Table des cartes et plans 50 Table des manuscrits cités Index 50

9 2 505 9

Rouen, Paris e t Trêves NANCY GAUTHIE R

R O U E N P E N D A N T L E H A U T MOYEN-ÂG E (650-850) La place tenu e pa r Roue n parm i le s ville s d u hau t Moyen-Ag e mérit e assurémen t qu'on lui réserve une étude approfondie. C'es t sans conteste une des principales cités de la Neustrie ca r son no m a souvent l'occasio n d'apparaîtr e dan s les textes les plus divers. Mais l'informatio n s e borne l e plus souvent a u simple énoncé d e ce nom, e t entreprendre l'étud e de Rouen duran t cette période, c'est surtou t mesure r l'extrêm e indigence d e notr e documentatio n tan t archéologique qu e littéraire . Un hiatus archéologique? Commençons pa r le s source s archéologiques . Jusqu' à ce s tou t dernier s temps , l a situation pouvait être résumée d'une phrase: partout où l'on avait fouillé, on avait eu le sentimen t qu e le s couche s d u Moyen-Ag e classiqu e o u tardi f reposaien t directe ment su r le s couche s gallo-romaines . L a vill e d u hau t Moyen-Ag e semblai t avoi r totalement disparu . P . Halbout, archéologu e départementa l qui , depui s plusieur s années, consacre l'essentiel de son activité aux fouilles de Rouen, expliquait ce fait en supposant qu'a u Moyen-Age , o n a vait pri s l'habitud e d'évacue r le s décombre s a u lieu d e simplemen t le s aplani r pou r reconstruir e au-dessus . Mai s peut-êtr e le s conditions d e fouilles, souven t difficiles , n'autorisent-elle s pa s de telles conclusions . Les recherche s actuellemen t conduite s pa r J. Le Mah o à proximité immédiat e d e la cathédrale lui ont permis d'observer cinq séquences de bâtiments entr e les constructions de la fin du Bas-Empire et le cloître du XIe siècle (communication orale , janvier 1986). Quoi qu'il en soit, pour imaginer la ville du haut Moyen-Age, on en est réduit à extrapoler à partir de deu x type s d e donnée s don t le s contrainte s s e son t obliga toirement imposée s à elle: le sit e et les constructions romaine s pré-existantes . Les incertitudes sur le site naturel Les contrainte s du sit e son t claire s à l'échell e macroscopique , beaucou p moin s lorsqu'on regard e les choses de près 1. Rouen occup e une terrasse alluviale située sur la riv e droit e d e l a Seine, e n u n poin t o ù le s petite s vallée s d u Caill y e t du Robe c facilitent l a circulatio n entr e l e bor d d u fleuv e e t les hauteurs asse z abrupte s qu i l e dominent. Mais comment se présentait exactement le lit de la Seine à cette époque-là? 1 Cf. J.-L. BALLAIS, Contraintes de site à Rotomagus, dans: Annales de Normandie 34 (1984) p. 115-126.

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Nancy Gauthie r

Le quai du Ier siècle, remblayé a u II nd , que l'on a découvert place de la Haute-VieilleTour 2 fourni t un e indication : l a Sein e à l'époqu e romain e coulai t no n loi n d e l à (c'est-à-dire plu s a u su d qu'o n n e disait autrefois ) e t ceci est sans doute valable auss i pour l e hau t Moyen-Age . Problème plu s délica t encore : quell e étai t l a zon e à l'abr i de s débordement s d u fleuve? L a vie métrique d e saint Romain, écrite vers le Xe siècle, s'étend longuemen t sur le s dégât s causé s à l a ville par le s eau x d e l a Seine 3. D e plus , les égoût s romain s retrouvés lor s de s fouille s son t s i largemen t dimensionné s qu e le s archéologue s pensent qu'il s n'avaien t pa s seulemen t pou r fonctio n d'évacue r le s eau x usée s mai s aussi d'acheminer a u fleuve le s eaux d e pluie qu i dévalaient de s collines environnan tes: ce s égoût s on t san s dout e ét é rapidemen t obstrué s dè s qu'il s on t cess é d'êtr e entretenus. A parti r d e c e moment-là , le s inondation s due s a u ruissellemen t de s pluies on t d û s'ajoute r à celles causée s par le s crues du fleuve . Toutefois , l'existenc e de zone s marécageuse s disparue s aujourd'hu i limitai t probablemen t le s dégât s e n absorbant un e parti e de s crues . Enfin, o ù coulaien t l e Robec e t l a Renelle qu i traversaien t o u longeaien t la ville à l'est e t à l'ouest? Leu r trac é semble avoir été modifié pou r baigne r le s remparts, mai s à quell e époque ? Le legs de la ville romaine Passons a u deuxièm e typ e d e contraintes : celle s qu i tenaien t a u pass é e t au x constructions qu i occupaien t déj à l e site . Malheureusement , o n n e peu t guère , ic i encore, que constate r l'étendu e d e notre ignorance (voi r fig. 1). On a mis a u jour, ic i ou là , à différentes époques , des murs romains importants , des restes de thermes; les fouilles d e sauvetage récente s ont fai t connaîtr e quelque s maison s e t des tronçons d e rues; mai s o n n' a aucun e vu e d'ensembl e d e l a vill e romaine . L e foru m n'es t pa s encore localisé. On suppose , a u vu d e constatations ponctuelles, que les orientation s orthogonales qu i apparaissen t aujourd'hu i dan s l e tracé de la vieille ville correspon dent au x axe s d e l a cadastratio n primitiv e mai s i l est désormai s assur é qu e n i l a ru e des Carme s n i l a ru e d u Gros-Horlog e n e s e superposen t exactemen t à un e voi e antique e t qu e le s voie s romaine s découverte s plac e d u Vieux-March é e t plac e d u Général d e Gaull e n e s'inscriven t pa s dan s le quadrillage supposé . L a présence d'u n amphithéâtre (o u d'u n théâtre-amphithéâtre ) a u nord d e la ville me paraît à peu prè s assurée pa r l a topographi e actuell e d u quartie r e t le s fragment s d e mur s qu e To n observe chaqu e foi s qu e l'o n construi t à ce t endroit 4 . I l a marqu é longtemp s l e 2 Rouen gallo-romain, fouilles et recherches archéologiques 1978-1982. Catalogue, Rouen 1982, p. 14-15. 3 Vita metrica S . Romani, P L 138, col. 177C: Nam Sequanae vastum patimur discrimen aquarum, Dum contra morem metam superando priorem, Alveus exundat, late confinia vastat, Aedes subvertit, parvos et ad ubera perdit, Exitium multis infert et damna salutis. Inde dolor, planctus, moeror non cessât amarus> Casibus in tantis quos impetus ingerit amnis 3 Talibus aerumnis affligimur atque periclis. 4 En dernier lieu par Patrick HALBOUT , Bulleti n du CRAH N (Rouen) , 1984, 1 .

Rouen pendant l e haut Moyen-Âge (650-850)

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paysage ca r l a Vi e métriqu e d e sain t Romain , déj à citée , l e décri t avec un e relativ e précision 5 , évoquan t se s mur s solide s comm e ceu x d'u n castrum, se s souterrains , l'espace e n creu x d u milie u »comm e dan s u n théâtre « (more theatri): l e purge r d u paganisme es t l'u n de s haut s fait s attribué s à l'évêque Romanus . L'enceinte La vill e possédai t certainemen t depui s l a fi n d e l'Antiquit é un e enceint e fortifiée , d'ailleurs attesté e pa r Grégoir e d e Tours 6 à propos d'u n épisod e qu i eu t lie u e n 576: la reine Brunehaut, retenu e e n exi l à Rouen par l e roi Chilpéric , y fu t épousé e pa r l e fils de ce dernier, Mérovée, à la grande colère de son père qui »marcha sur ladite place forte. Mai s eux , lorsqu'il s euren t appri s qu'i l avai t décid é d e le s séparer , s e réfugiè rent à la basilique Saint-Marti n qu i est construite en planches de bois sur les murs d e la cité«. Que l e n étai t l e tracé? L a »Tou r d e Rouen«, donjon d u châtea u de s ducs d e Normandie 7 , pourrai t e n avoi r occup é l'angl e sud-est , hypothès e qu e confortente t le cour s d u Robe c - qui pren d brusquemen t u n trac é nord-su d artificiel- , e t u n mur romai n v u sou s l a Hall e au x Toile s aprè s l a dernièr e guerre 8 e t l e qua i por tuaire remblay é retrouv é plac e d e l a Haute-Vieille-Tour . L a tracé , voir e l'exis tence d'une fortificatio n su r la Seine est totalement hypothétiqu e (sau f l e mur sou s la Halle au x Toiles dont o n n' a pas le relevé précis) mais vraisemblable. La présence d e la Seine à proximité immédiate , c'est-à-dire sensiblemen t a u nord d e son qua i actuel , est confirmé e pa r u n act e d e 1190 qui désign e l a chapell e de s duc s d e Normandie , voisine, par l'expression ecclesia S. Candidi Rothomago super ripam9> alors que sur le plan d e Rouen , for t exact , donn é pa r le s continuateur s d e Fari n a u XVIII e siècl e 5 Ibid. , coi. 177B: Est ibi nam castrum, murali robore firmum, In quo foedarum domus atra latet meretricum, Fornicibus variis caecis obstrusa latebris ... In medio castri patet arca more theatri, Quo fanum Veneris titulus spurcae mulieris Falso frequentatur, scorti species veneratur. Subter hians antrum penitus tendens in abyssum, Faucibus angustum tan quam Stygiale profundum Non valet attingi, nullo visu penetrari: Claustra vel hos aditus potuit perfringere nullus; Tanta malignorum vis est ibi daemoniorum. La troisième Vie de saint Romain (BH L 7313), écrite vers 1056 par l'archidiacre de Rouen Fulbert, es t plus précis e encore , signalan t notammen t qu e l'amphithéâtr e e n question , qu i devai t toujour s êtr e visible, s e situ e au nord d e la ville: Erat enim iuxta urbem ipsam a septemtrionali latere lapideo opère constructa in modum amphitbeatri muralis machinae altitudo in qua subterraneum spelaeum angustum iter introeuntibus praebebat. Domus illa subterranea latebrosis fornicibus cingebatur. Hanc domicilium Veneris propter scortantium usus appellabant. Verum desuper intra ambitum muri exteriori spatiosa patebat area, in cuius fanum artifici opère constructum eminebat, in quo ara édition loco stabat, et desuper titulus Veneris (N. RIGALTIUS, Vit a S. Romani , Pari s 1609, p. 11-12). 6 Historia Francorum , V, 2. 7 Quoiqu'il n'e n subsiste aucune trace, son emplacement est attesté par les toponymes actuel s »Plac e de la Haute-Vieille-Tour« e t »Plac e d e la Basse-Vieille-Tour« . 8 Communication oral e d e Patrick Halbout . 9 François FARI N (et al.), Histoire de la Ville de Rouen, Rouen 31731, IV, p. 202 de Péd. in-12°. Le plan de la ville s e trouv e dan s le 1. 1 de Péd. in-4°.

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Nancy Gauthier

^ — • « » • reapar

t attesté par l'archéologie

reapart supposé d'après les indications de si»rces littéraire s

• — ••

rae attestée par l'archéologie

• *• •

tracé supposé de rae

• * •

église du baut f

> ^ ^ _ _ * roissea e (cours attesté »• sepposé)

| •

Fig.l Roue n au haut Moyen-Age (plan au 1/6250*)

église acteelle nécropole »tiqu e

Rouen pendan t l e haut Moyen-Âg e (650-850)

Fig. 2 M. F . FARIN , Histoir e d e l a ville d e Roue n (Roue n 1738), I, p. 1. Le plan d u XVII e siècl e qui figur e dan s l a troisième éditio n d e Fari n a fai t l'objet , au x XVII'' et XVIIIe siècles , d e nombreu x tirage s sou s form e d e gravures à plus grande échelle , parfois coloriées , présentant entre elles de légères différences. Ici , l'église Saint Cande-le-Vieux a ét é appelé e pa r erreu r »Saint-Claude-le-Vieux« . - Photo B M Roue n (plan s 18 e, carton 1, ch. 4, n° 19 détail)

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Nancy Gauthie r

(fig. 2), cette église Saint-Cande-le-Vieux est déjà assez éloignée de la rive. La directio n générale du tracé est, qui correspond presqu e à la rue de la République actuelle, est confirmée par le fait que l'église St-Maclou était encore hors la ville en 122810. Le tracé ouest, don t P.Halbou t a relevé quelques trace s dan s des murs de cave 11, peut êtr e supposé d'aprè s l'existenc e d'un e ru e d e la Poterne, d e direction nord-sud , qu i se prolonge au sud par la rue Massacre. Les abbés de Jumièges possédaient à Rouen une TurrisAlvredi citée pour la première fois en 1025/102712, où ils établirent une chapelle dédiée à saint Philibert13 qui est figurée sur le plan de Farin (fig. 2). J. Le Maho, qui a attiré mon attention su r cette mention, pense, à juste titre me semble-t-il, que cette tour fortifié e devai t apparteni r à l'enceinte d u Bas-Empir e et d u hau t Moyen-Age . Enfin, au nord, on a sinon plus de certitude, du moins plus d'éléments de discussion. On a détruit récemment rue de s Fossés-Louis-VIII 14 un mur de 2,50 m d e large, dont l e parement intérieu r présentai t u n apparei l hétérogèn e d e petits moellon s e t de gros blocs et dont le parement extérieu r avait disparu. Il était en prolongement d'un mu r mis au jour en 1850 sur 5 m d e hauteur. Thaurin, qui le décrivit à l'époque15, assure que son parement extérieur était constitué par de gros blocs mesurant 1,5 m à 2 m d e long, près d'un mètre de large et 50 à 60 cm d'épaisseur . Il précise également16 que la base de la muraille reposait su r de s remblais antique s o ù l'o n a découvert un e monnaie d e Constantin Ier. Il signal e encore 17 l a découvert e d'un e monnai e d u césa r Crispus , assassiné e n 326. Ce qu i fai t problème , c'es t que , ru e de s Fossés-Louis-VIII , le s fondations de ce rempart reposaient sur un remblai de presque trois mètres de haut, se superposant à un bâtimen t encor e utilis é e n 291 (monnaie d e Carausius) . D'aprè s P. Halbout, il aurait été construit entre 325 et 350. On ne s'expliqu e pas l'intérêt de cet énorme remblai , qui ne devait pas améliorer l a solidité de la muraille. Enfin, su r la même lign e plu s à l'est, à proximité immédiat e d e c e qui étai t alor s l e jardi n de s religieuses de Saint-Amand, on voyait encore au temps de Farin 18 »une Tour attachée à un pa n d e muraille dan s l a cav e d'une de s maison s appartenant e a u Collèg e d e la Commune de l'Eglise Cathédrale , sise sur l'eau de Robec«. 10 Donation d e Geoffro y d e Caprevill e à l'archevêque d e Roue n Thibaut , mentionné e pa r FARI N (voi r n.9),I,p.21. 11 Communication orale . 12 Charte de Fabbaye de Jumièges, datée de 1027 dans Pédition de J.-J. VERNIER (Charte s de Pabbaye de Jumièges, vers 825-1204, Rouen-Paris 1916, I, p. 38) et de 1025 dans l'édition M.FAUROU X (Recuei l des acte s de s duc s d e Normandie , d e 911 à 1066, Caen 1961, n°36, p . 140): In civitate Rothomago, mansum pertinentem ad Turrem Alvredi. Cf . l a confirmation d e Guillaume l e Conquéran t ver s 1080 (éd. VERNIER , ibid., p. 97): ad Turrem Aluvredi. 13 Acte d u 18décembr e 1138, ibid., p. 157-161, où l a même tour est ainsi définie: De mansione quae est apud Rothomagum, Turris Rainerii cognominata, et a beato Audoeno sancto Philiberto et ecdesiae Gemmeticensi iure possidenda donata, sicut principali comitis Ricardi auctoritate karta teste roboratum est (p. 158); quia domus prefata in munitiore loco consista (p. 159). Au temps de l'abbé COCHE T (voi r n.22, p . 145, n.2), o n voyait encor e en cet endroi t (26, rue de la Poterne) »u n reste de mur antique«, disparu depuis. Cf. Tours, où un chevalier a donné son nom à une tour du castrumy qu'il était chargé de garder. 14 Rouen gallo-romai n (voi r n.2 ) p. 34. Cf. Claud e VAROQUEAUX , Information s archéologiques , dans : Gallia40(1982)p.305. 15 Mémoires d e l a Société de s Antiquaires d e Normandi e 24 (1859) p. 269-282. 16 Ibid. , p. 274. 17 Ibid. , p. 276. 18 FARIN (voi r n.9 ) IV, p. 350,

Rouen pendant le hau t Moyen-Âge (650-850)

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Ce rempar t d u Bas-Empir e constitu a pou r de s siècle s l a défens e d e Rouen . L a première modificatio n d e so n trac é sembl e avoi r e u lie u lorsqu'a u débu t d u XIIIe siècle, le mur nord fut abandonné pour un tracé plus septentrional, à la suite de quoi Louis VIII, en 1224, céda le s ancien s fossé s au x bourgeoi s d e Rouen , qu i le s comblèrent. O n n' a aucun e idée de l'emplacement initia l des portes de l'enceinte, c e qui serai t pourtan t essentie l pou r essaye r d e comprendr e commen t s'organisai t l'espace intérieu r d e l a ville a u haut Moyen-Age. Un e »Port e Sai n te-Apolline«, qu i perçait le rempart nord en haut de la rue des Carmes, fut détruit e en 153919 mais de quand datait-elle ? O n n e sai t pa s davantag e à quand remontaien t l a poterne qu i a donné so n no m à l a ru e d e l a Poterne 20 e t un e autr e porte , dit e Port e d e Saint Léonard, don t o n apercevai t encor e quelque s vestige s dan s le s jardin s d e Saint Amand à l'époque d e Farin 21. Les nécropoles La principale nécropole du Bas-Empire, au nord-ouest de Rouen, est restée en usage pendant tout le haut Moyen-Age. Malheureusement, le s tombes et les objets trouvés dans le cimetière Saint-Gervais ou ses alentours 22 ont été détruits ou dispersés au fur et à mesure, à l'exception d e deux sarcophages trouvés e n 1910 en même temp s qu e plusieurs autres 23, qu i sont aujourd'hu i conservé s dan s l'église (fig . 3). Au VIe siècle s'y ajout e a u nord-est l a nécropole d e Saint-Oue n su r laquelle je reviendrai. Au cœur de la Neustrie Après ce bilan archéologique décevant, tournons-nous vers les documents littéraires. Us attestent clairement une importance croissante de la ville pendant toute la période mérovingienne. Dan s l e royaum e qu i devien t progressivemen t l a Neustrie, l a Seine en ava l d e Melu n constitu e un e espèc e d'axe . L e danger , à c e moment-là , vien t généralement de l'est (Bourgogne et surtout Austrasie): Rouen, couverte par Paris, se trouve dan s un e zon e protégée . Grégoir e d e Tour s n' y signal e aucun e mis e à sac. Autre indice: lorsqu'après l'assassina t d u roi d'Austrasi e Sigebert , s a femme Brune haut eut été capturée par les Neustriens, c'est là qu'on la retint en exil 24, considéran t sans doute qu'ell e s' y trouvai t hors d'atteinte d'u n coup de main de ses partisans. Je pense que cette situation privilégiée e n des temps particulièrement troublé s expliqu e l'éclat d e l a ville e t la prospérité d e la région à la fin d e l'époqu e mérovingienne . 19 Ibid. , I, p. 23. 20 Cette potern e s e trouvait »directemen t sou s l a Chapelle d e saint Philebert, e t n' a ét é fermée qu e l'a n 1666* (ibid. , I, p. 19). 21 Ibid. , I, p. 21 ; elle allait »rendre au milieu du grand Cimetière de Saint Oiien«. Farin signale encore une porte »qu i s'appelloi t Massacre * à »l a plac e o ù es t à présent l e Gro s Horloge « (p . 19), une port e à l'angle d e l a rue aux Our s e t de la rue Massacre, e t une porte d e Robec ouvran t vers Saint-Maclou . 22 Jean-Benoît-Désiré COCHET , L a Seine-Inférieure historiqu e et archéologique, Paris 21866, p. 123-124. 23 Armand LOISEL , Le s tombe s gallo-romaine s découverte s su r l a plac e d e Péglis e Saint-Gervais , l e 15 janvier 1910, dans: Bull , de s Ami s de s monument s rouennais , 1910, p. 75-84; Léon D E VESLY , Cercueils d e pierr e découverts su r la place Saint-Gervais , à Rouen, dans : Bull, archéologique , 1911, p. 33-35. 24 Grégoire de Tours, Histori a Francorum , V, 1-2.

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Fig. 3 Sarcophage trouv é e t conserv é à St-Gervais d e Roue n

Une grande figure Rouen frapp e monnai e depui s l'extrême fi n d u VIe siècle25. En 641, le siège épiscopa l est jug é dign e d'u n auss i gran d personnag e qu e l e propre référendair e d e Dagobert, Audoenus o u Dado , qu i deviendr a sain t Ouen 26 . Tou t e n remplissan t ave c zèl e le s devoirs d e s a charg e épiscopale 27, Audoenu s continu e à joue r u n rôl e politiqu e d e premier plan , d'autan t plu s qu e l a mort d e Clovi s II en 657 laissait l a Neustrie entr e les mains d'u n enfan t e t d e sa mère, l'énergiqu e e t pieuse rein e Bathilde: saint Oue n fut l'u n d e se s premier s conseillers . Lorsqu e celle-c i eu t ét é écarté e d u pouvoir , i l continua à conseiller - sans toujours êtr e écouté! - et à soutenir efficacement l e maire du palai s Ebroïn . I l mourr a d'ailleur s e n revenan t d'un e missio n politiqu e délicat e auprès d e Pépi n II à Cologne, e n 684. Grâce à lui , Roue n particip e pleinemen t au x grand s courant s spirituel s qu i irriguent l a Gaule e t même l'Occiden t à cette époque . Sain t Oue n appartenai t à une grande famille d e la Brie qui reçut, alors qu'il étai t enfant, l a visite de saint Colomba n 25 Jean LAFAURIE , Trouvaille s d e monnaie s franque s e t mérovingienne s e n Seine-Maritime , V c -VIIFs., dans: Histoir e e t numismatique e n Haute-Normandie, Cae n 1980 (Cahier de s Annales de Normandi e n°12A), p . 95. 26 Sur sain t Ouen , voi r e n particulie r Elpidiu s VACANDARD , Vi e d e sain t Ouen , évêqu e d e Roue n (641-684). Etude d'histoir e mérovingienne , Pari s 1902, et l'introduction d e Wilhelm LEVISON à la Vita S. Audoeni, MGH , SRMV , p . 536-553. 27 Voir Nanc y GAUTHIE R dans : L e diocès e d e Rouen-L e Havre , Pari s 1976, p. 16-20.

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lui-même. Dan s s a jeunesse, il a participé à la fondation d u monastèr e d e Rebais où , sur le modèle de Luxeuil, on observait la règle de Colomban mitigé e par celle de saint Benoît. Deven u évêque , i l a favoris é l'esso r d u monachism e colombanie n dan s s a province. C'est lui qui fit gravi r les degrés de la cléricature à saint Wandrille, avant de l'autoriser à fonde r l'abbay e d e Fontenell e e n 649, lui encor e qu i procéd a à l a dédicace de s église s d e l'abbay e malgr é la tendanc e d u monachism e irlandai s à s'affranchir d e la tutelle de l'évêque local. Si la reine Bathilde accorda à saint Philiber t le terrai n d e Jumiège s pou r y construir e so n monastère , c'es t certainemen t su r l e conseil o u avec l'accord d e sain t Ouen , mêm e s i l'oppositio n d e Philiber t à Ebroï n brouilla ensuit e l'abbé d e Jumièges ave c son évêque . Enfin, c e n'est pa s u n hasar d s i -son épiscopa t voi t éclor e un e floraiso n d e monastère s de s deu x sexe s dan s l a mouvance de s premiers : Fécamp , Pavilly , Belcinac . Si l'action politiqu e d'Audoenu s nou s es t connue par l a »Chronique d e Frédégaire « ou l e »Libe r Historia e Francorum« , s i l'impulsion qu'i l donn a à la vie monastique es t documentée pa r le s source s propre s à chacu n d e ce s monastères , so n actio n à Roue n même rest e totalemen t dan s l'ombre . O n constat e ave c étonnemen t qu e l a traditio n rouennaise n e crédit e so n plu s prestigieu x évêqu e d'aucun e constructio n d'église , d'aucune actio n marquan t l a ville épiscopal e de son empreint e personnelle 28. Une cathédrale double à Rouen? Que sait-o n d e l a topographi e religieus e d e Roue n à son époque ? I l y a d'abord l a cathédrale, don t J . L e Mah o vien t d e découvri r (ét é 1987) les vestiges dan s l a cou r d'Albane situé e le long du côt é nord d e la cathédrale actuelle. L'édifice construi t à la fin d u IVe siècl e pa r Victrice 29 es t toujour s e n usag e a u hau t Moyen-Age . I l s'agi t d'un quadrilatèr e lon g d e vingt mètre s a u moin s e t larg e de quinze, don t l e mur e n petit apparei l es t pa r endroit s conserv é su r un e hauteu r d'u n mètre 30 . O n peu t s e demander s'i l n'existai t pas , a u hau t Moyen-Age , u n group e cathédra l comprenant , comme s i souvent , un e églis e dédié e à saint e Mari e e t un e autr e dédié e à sain t Etienne. La cathédrale actuell e est dédiée à Notre-Dame. L e patronage d e la Mère de Dieu es t attest é pou r l a premièr e fois , ver s 820 dans u n act e d e Loui s l e Pieu x conservé par un recueil de Formulae31, puis dans la deuxième Vie de saint Ouen 32 . Le 28 La deuxièm e Vi e d e sain t Oue n (A A SS, Aug . IV, p. 815C) attribu e à so n héro s l a créatio n d e xenodocbia e t d e matriculae. S i cett e vagu e mentio n n'es t pa s pur e rhétorique , l a situatio n qu'ell e reflète es t peut-être postérieur e à saint Ouen lui-même . 29 Victrice d e Rouen , D e laude sanctorum, 2, 6 et 12, éd. Ren é HERVAL , Origine s chrétiennes : d e l a Deuxième Lyonnais e à la Normandie ducale , ave c l e text e complet e t l a traduction intégral e d u D e laude sanctorum de saint Victrice, Rouen 1966, p. 108-153. Pour la discussion de ce témoignage, voi r Nancy GAUTHIER , notic e >Rouen < dans: La topographie chrétienn e de s cité s d e la Gaule, à paraître. 30 Je remercie J. L e Maho de m'avoir autorisé e à faire éta t des premiers résultats d'une fouill e encor e en cours. 31 MGH, Form. mer. e t karol . (= Leges, V, 1) p. 305, n°26: il s'agi t d'un e terr e d u fisc , donné e à la demande d e l'archevêqu e Wilibertus , pou r agrandi r l e cloîtr e à l'intentio n de s chanoines . Ell e es t limitée d'u n côt é pa r un monastèr e fémini n qu i me paraît inconn u pa r ailleurs. 32 24 , AA SS, Aug. IV, p. 815: primo ipsam matrem ecclesiam prae omnibus, qui ante eumfuerunt, rebus opimis thesaurisque ditavit. Inter alia vero ornamenta, fecit ibi lectum auro inclusum ob amorem

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patronage de saint Etienne était attaché à une église située à l'est de la première, dont Farin parl e e n ces termes 33: »Avant que la Cathédrale fu t agrandi e comm e elle est, cette Paroiss e étoi t à l'endroit o ù es t maintenan t l a chapelle d u S . Esprit; e t i l y a beaucoup d'apparence qu'elle fut démolie, quand on augmenta la Cathédrale de toute la croisée et du Chœur après l'an mille.« A l'époque d e Farin, »Saint-Etienne-de-la grande-église«, était »dan s la dépendance du Chapitre de la cathédrale«. La paroisse Saint-Etienne avait continué jusqu'à la fin du Moyen-Age à avoir son siège dans une chapelle de la cathédrale proche du chœur34 puis on la transféra en 1496 sous la Tour de Beurre. Un baptistère situé au nord de la cathédrale est signalé par Orderic Vital à propos de l'archevêque Jean de Bayeux qui y fut inhum é en 1079 35 mais on ne sait si cette indicatio n es t déj à valabl e pou r l e hau t Moyen-Age . Le s fouille s e n cour s précisément a u nord d e la cathédrale actuell e viennent d e révéler l a présence d'un e cuve baptismale qu i prouve que l'édifice mi s au jour a servi de baptistère duran t le haut Moyen-Ag e (communicatio n oral e de J. L e Maho, 1988). Saint-Martin Outre l e group e épiscopal , i l existe , a u moin s depui s l e VIe siècle , l'églis e Saint Martin signalée par Grégoire de Tours sur le rempart. L e testament d'Ansigisus , en 833, fait u n do n à »l'églis e Saint-Martin« , san s autr e précision 36, c e qu i sembl e indiquer qu'i l n' y a encore, à cette date , qu'un édific e sou s c e patronage. Rest e à chercher, dan s l a topographi e ultérieur e d e Rouen , un e églis e Saint-Marti n qu i corresponde à l a situatio n décrit e pa r Grégoir e d e Tours . Parm i le s titre s qu i paraissent anciens, deux peuvent être mis en lice: Saint-Martin-sur-Renelle e t SaintMartin-du-Pont37. D e Saint-Martin-du-Pont , Farin 38 di t qu' à l'origine , ell e »étoi t une Chapelle située sur une petite Roche, qui faisoit une Isle dans la Seine, à cause de quoi elle a retenu long-tems le nom de Saint Martin de la Roquette«. C'est pourquo i cette église est généralement écartée. Mais il ne faut pas oublier que Farin imaginait la muraille d u Bas-Empir e e t l a Sein e just e a u pie d d e l a cathédrale , l e quartie r méridional n'ayan t ét é rattaché à la terre ferm e qu'a u Xe siècle par le s Normands. Nous avons vu que les fouilles de la place de la Haute-Vieille-Tour ont prouvé que la ville antique s'étendait déj à jusque-là. Si l'on adme t que Saint-Martin-du-Pont s'es t sanctae De i genitrici s Mariae . S i l'indicatio n d u patronag e n'es t ic i qu'implicite , ell e es t tou t à fai t explicite dan s u n diplôm e d e Charle s l e Chauve , émi s entr e 872 et 875 (éd. G.TESSIER , II, n°399, p. 386): metropolis ecclesie Rotbomagensis canonicis in aula sancte Marie Domino servientibus. Cf . auss i un diplôm e d e 863, ibid., n°259, p . 88. 33 FARIN (voi r n.9 ) IV, p. 175-176. Dans l e pouill é d u XIIIe siècl e (éd . Leopold DELISLE, Recuei l de s Historiens de s Gaules et de la France, XXIII, Paris s.d. [1876] , p.232), cette église es t ainsi désignée : Parrochia S. Stephani in ecclesia Rothomagensi. 34 Ibid. , p. 177-179. 35 Hist. eccles. , V, 4, éd. M.CHIBNALL , Oxfor d 1972, III, p. 22: In baptisterio basilicae ad aquilonem tumulatus est. 36 Gesta SS Patrum Fontanellensi s coenobii , XIII, 7, éd. F . LOHIER, J.LAPORTE , Rouen-Pari s 1936, p. 112. 37 Les deu x église s son t a u XIIIe siècle des paroisses, nommées dan s le pouillé d e 1236/1244 (voir n. 33) p. 231 et 232. Notons qu e Saint-Martin-sur-Renell e figur e parm i le s dernière s nommées , aprè s le s églises de s environ s (mai s e n mêm e temp s qu e Saint-Etienne-de-la-grande-église) . 38 FARIN (voi r n.9 ) I, p. 17.

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toujours trouv é à l'endroit o ù l'églis e figur e su r le plan d e Farin , cela pourrait très bien correspondr e à l'emplacement d u rempart . Le s chapelle s Saint-Marti n située s sur le s rempart s protègen t souven t un e port e d e l a vill e (cf . Paris , Metz) , c e qu i conviendrait bie n égalemen t ici . L e no m ancie n d e Saint-Martin-de-la-Roquett e s'expliquerait-il pa r la longue survi e d'u n morcea u d e rempar t incorpor é à l'église? Non, s i l'on e n croit Farin qui attribu e ce nom à un affleurement rocheu x sur lequel l'église aurait été construite: »Le Chœur même est bâti sur ce Rocher; d'où vient que l'on n' y sçauroi t inhume r qu'ave c peine , e t san s atteindr e aussi-tô t a u roc. « C'es t pourtant l'hypothèse la plus probable: on ne connaît pas de roche naturelle dans cette zone alluvial e e t l e no m d e »Roquette « s'es t attach é à bie n de s édifice s romain s ruinés: c'es t pa r exempl e l e no m qu e portai t l e théâtr e d e Lillebonn e d u XIVe a u XIXe siècle 39. L'autr e église , Saint-Martin-sur-Renelle, es t celle que Farin 40 et, après lui, l'historiographie rouennaise , identifient à la basilique de Grégoire de Tours. Elle figure su r l e pla n d e Fari n à l'ouest d e l a ru e d e l a Renell e e t fu t détruit e pa r l e percement d e l a ru e Jeanne d'Arc 41. P.Halbou t soulign e qu'o n es t l à à 80mètres environ du rempart , c e qu i condamn e l'identification . I l faudrai t e n effe t suppose r une translatio n d u titr e asse z considérable . Tou t bie n pesé , j e m e ralliera i don c à Saint-Martin-du-Pont, qu i me paraît une hypothèse plus économique tant que SaintMartin-sur-Renelle n' a pas d'arguments à faire valoir .

Saint-Pierre/Saint-Ouen Hors l a ville , i l exist e un e basiliqu e Saint-Pierr e o ù l e corp s d e l'illustr e évêque , décédé à Clichy, fut solennellement inhumé 42. La vie de saint Ouen, écrite peu après les événements, précise: »Le corps bienheureux reposa environ trois ans et neuf moi s à l'endroit qu'i l avait construit lui-même (in loco quod ipse fabricaverat)^'. Puis so n successeur Ansbertus le fit transférer, le jour de l'Ascension 688, »sur un degré élevé derrière l'aute l d e sain t Pierre « (in excelsiore gradu post altare sancti Pétri), c'est-à dire derrièr e l e maître-autel . C'étai t l'équivalen t d'un e canonisatio n et , d e fait , l e culte de saint Ouen se répandit très rapidement puisqu'un oratoire lui est consacré au Mans dè s l e débu t d u VIIIe siècle 44. L a Vie d'Ansbertu s lui-même , écrit e u n siècl e plus tard , es t plu s détaillée . Aprè s avoi r rappel é l'élévatio n d u corps , ell e ajoute : »Ayant réun i beaucou p d'artiste s d e diverse s provinces , i l construisi t su r so n sépulcre un baldaquin (repa) d'une taill e admirable, décoré de métaux précieux, d'o r et d'argent , orn é d e pierre s précieuses , te l qu'i l apparaî t à la vu e encor e aujour -

39 Evelyne POIREL , L e théâtr e romain de Lillebonne , Roue n 1985, p. 9. 40 Ibid. , IV, p. 261. 41 Jean-Baptiste COCHET , Répertoir e archéologiqu e d u départemen t d e l a Seine-Inférieure, Pari s 1871, col 390. 42 Vita P S . Audoeni , 17, MGH, SRMV , p . 565; cf. Libe r Historia e Francorum , 47, MGH, SRMII , p. 321-322. 43 Ibid. , 18 , p. 566. 44 Actu s Pontificum i n urbe degentium, éd. A. LEDRU, Archives historiques du Maine, II, Le Mans 1901, p. 231.

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d'hui« 45 . O n peu t imagine r cett e repa (o u reba) d'aprè s cell e qu e l'évêqu e d e Met z Chrodegang (742-766) fit fair e pour l a cathédrale d e Metz e t qui est représentée su r le Sacramentaire d e Drogon 46 . D'aprè s l a deuxième Vie de saint Ouen 47 , Ansbertu s y fi t placer aussi un »lit « (lectus) précieux que saint Ouen avai t fait exécuter pour l'Anastasi s de Jérusalem mai s qu'il n'avai t p u fair e parveni r à destination d e so n vivant . Désormais, l a fête d e saint Oue n ser a l'une des grandes solennités rouennaises . A u lieu o ù i l reposait , so n patronag e n e tard a pa s à supplante r celui d e sain t Pierre . J.Lafaurie 48 a identifi é le s lettre s SCS AVD(oenus) su r de s denier s frappé s ver s l e milieu d u VIII e siècle : ce seraient de s monnaies émise s par l a basilique, qui porterai t donc déj à c e nouveau nom . E n tou t cas , l'église es t appelée Saint-Oue n e n 833, dans le testamen t d'Ansigisu s transmi s pa r le s »Gesta « de s abbé s d e Fontenelle 49, e t c e vocable lui restera . Deux question s s e posen t à propo s d e cett e basilique : qu i l' a fai t construire ? à partir de quand est-ell e devenue une abbaye? Selon sa première Vita, saint Ouen a été enseveli, on l' a noté , in loco quod ipse fabricaverat. L e mot locus peut désigne r auss i bien l'ensembl e d e l'édific e qu e l e seul aménagemen t d e l a tombe. A priori, je serai s 45 Vita S. Ansberti, 20, MGH, SR M V, p. 632-633 : Cum itaque de diversis provintiis plures congregasset artifices, condidit super eius sepulchrum repam mirae magnitudinis, pretiosis metallis auri argentique decoratam gemmisque pretiosis adornatam, sicut usque in praesens bumano visui apparet. 46 Voir Nancy GAUTHIER , L a topographie chrétienne des cités de la Gaule, fasc. I, Province ecclésiastiqu e de Trêves , Pari s 1986, p. 43. Le mo t reba apparaî t dan s l e Libe r d e episcopi s Mettensibu s d e Pau l Diacre, écrit entre 783 et 791, MGH, SS II, p. 268. Le Sacramentaire de Drogon qui la représente (BN, ms. lat. 9428) date de la première moitié d u IXe siècle. Cf . Vit a S. Eligii, I, 32, MGH, SR M IV, p. 689 (une repa e t u n aute l devan t l e tombea u d e saint Denis à Paris). 47 Vita II* S. Audoeni, 43, AA SS, Aug. IV, p. 819: lectum quem sanctus Audoenus ... iussit fabricari et intus auro forisve mirabiliter includi, ad perferendum in bonorem Domini nostri lesu Cbristi, ad Sanctam Resurrectionem in Hierusalem. Sed ne illuc temporis mitteretur, buk sanctae intentioni obstitit varius rei eventus. Sain t Oue n avai t fait exécute r u n autr e »lit « comparabl e pou r s a cathédrale (voi r n. 31). On n e sai t tro p à quoi ressemblaien t ce s »lits « d'orfèvreri e qu i son t souven t signalé s dan s le s textes de l'époque. I l y en avait un à Jumièges, »e n face«, semble-t-il, du maître-autel (Vita S. Filiberti, 8, MGH, SR M V, p. 589, 2e moiti é d u VIIIe siècle) , u n autr e a u tombea u d e sain t Huber t (Vit a S . Hugberti, 17, SRM VI, p. 493), un autre à Liège à l'endroit où saint Lambert avait été assassiné (Vita S. Landiberti, 23, ibid., p. 376), un autr e encore a u tombeau de saint Trond (Vit a S. Trudonis, 26, ibid., p. 295). Un passag e curieu x d e la Vie d e saint e Anstrud e d e Laon , qui dat e san s dout e d u IXe siècle , semble indiquer que cette acception spécifique d u mot lectus s'est assez vite perdue: la sainte apparaît à une moniale in basilica beau Iobanni Baptistae contra locum cathedrae suae et la charge de demander à l'abbesse d e Pépoqu e (san s dout e l e débu t d u VIIIe siècle) ut isto loco, ubi me vides stantem, lectum ciciusfaciat aedificare. E n entendant ces mots, l'abbesse intellexit lectum illum significare velle altare e t fit consacre r u n aute l a u lieu di t (Vit a S . Anstrudis, abbatissa e Laudunensis , 33, ibid. , p. 77). Mmes D. Gaborit-Chopi n e t Y. Duval on t attiré mon attention sur un »lit « (xQaôàiov ) analogue , en argent, qui se trouvai t à la même époqu e a u sanctuair e d e sain t Demetrio s à Thessalonique, à l'intérieur d u »ciborium« qu i étai t considér é comm e l'endroi t l e plu s sacr é d e la basilique (Jea n de Thessalonique , Livre de s miracle s d e sain t Demetrios, 22 et 84, PG 116, col. 1217 et 1266; cf. A . GRABAR, Quelque s reliquaires d e sain t Demetrio s e t l e martyriu m du sain t à Thessalonique , dans : L'ar t d e l a fi n d e l'Antiquité et du Moyen-Age, Paris 1968, p. 439). Mme Gaborit-Chopin m'a également signalé un »lit« d'orfèvrerie à Prüm au début d u IXe siècle (F. MÜTHERICH, Mittelalterlich e Schatzverzeichnisse , sous la directio n d e B.BISCHOFF , Munic h 1967, I, p. 81: Altare omnium sanctorum et lectum auro argentoque paratum). Dan s tous le s cas cités, ces »lits « semblen t s e suffire à eux-mêmes e t ne pas être destinés à supporter o u à enfermer quo i qu e c e soit . 48 Deniers d u VIIIe siècle d e Saint-Oue n d e Rouen , dans : (voir n.25) p . 111-116. 49 Gesta, XIII, 7 (voir n.36 ) p . 111.

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tentée de penser qu'u n évêqu e de l'envergure d'Audoenu s n e s'est pas contenté de se préparer un e tombe dan s une basilique préexistante mais a profité d e l'occasion pou r élever un e nouvell e église , d'autan t plu s qu e s a basilique funérair e n e s e trouve pa s dans un e nécropol e hérité e d e l'Antiquit é tardive . E n outre , la titulatur e d e sain t Pierre serai t particulièremen t indiqué e pou r u n homm e qu i a fai t l e pèlerinag e d e Rome, ad sanctorum apostolorum limina adoranda* 0, e t qui, ajoute so n biographe, en a rapport é forc e reliques . Mais la deuxième Vie de saint Ouen, écrite à Rouen au début du IX e siècle, s'inscrit en fau x contr e cett e hypothèse . A l'e n croire 51 , la basilique fu t construit e pa r l e ro i ClotaireI er e n la 24 e anné e d e so n règn e (c e qu i correspon d à l'année 535), pendant l'épiscopat d e Flaviu s (l e sain t Filleu l d e l a traditio n rouennaise , attest é e n 538 et 54152), l'a n 500 de l'Incarnation . L'auteu r ajout e qu e l'églis e étai t construit e miro opère, »e n u n travai l admirable« , quadris lapidibus, »e n pierre s d e taille« , manu Gotthica: j e n e sai s tro p commen t interpréte r ce s dernier s termes , qu e L.Musset 53 traduit pa r » à l a mod e visigotique« . L e mêm e biograph e ajout e encore : »Le s deu x reines épouse s d u di t Clotaire , Haldetrudi s e t Bertetrudis , y reposent , ains i qu e Dagobert, fils du roi Sigebert, que Grimoal d fi t tondre , et aussi le roi Childéric e t sa femme Bilhildi s avec son fils, que le saint homme lui-même avait autrefois ensevelis. « Toutes ce s précisions éveillen t notr e suspicion . Ca r l a première nommée , Haldetru dis, es t inconnu e pa r ailleurs . L a deuxième , Bertetrudis , fu t la femm e no n d e Clotaire Ier mais de Clotaire II et, lorsqu'elle mouru t e n 618/619 54, elle fut enterré e à Saint-Germain-des-Prés. L e troisièm e personnag e nommé , Dagobert II, l'éphémère roi austrasien de s années 676-67955, fut enterr é à Stenay, dans la Meuse, où i l fut plu s tard vénéré comme martyr 56 . Quant à Childéric II, à sa femme Blichildis et à son fils , ils furen t inhumé s à Saint-Germain-des-Prés , o ù l'o n retrouv a l e tombea u d e Childéric en 1656 57. Eugen Ewig 58 avait trouvé toutes sortes d'arguments ingénieux 50 51 52 53

Vita I* S. Audoeni (voi r n.42) 10, p. 559-560. (Voir n.47) 41, p. 818-819. C. D E CLERCQ , Concili a Gallia e a . 511-a . 695, CC148 A, p. 129 et 142. Dans: Histoire de Rouen, Toulouse 1979, p. 35. M. Musset a bien voulu m'indiquer qu'il appuyait son interprétation sur les claveaux en pierre de Caen sculptée, décorés d'un arc outrepassé analogue à ceux de l'Espagne wisigothique, qu'on a trouvés à Evrecy (Calvados) et à Saint-Wandrille (Seine-Maritime) ou à proximité (cf . L . MUSSET, Bulleti n d e l a Société de s Antiquaire s d e Normandie , 53, 1953-1956 , p. 137-138, motif XIX, et 54, 1957-1958 , p. 337-338). 54 Chronique d e Frédégaire , IV, 46, MGH, SR M II, p. 144: Bertetrudis regina moritur, quam unico amore Cblotbarius dilexerat. 55 Pour les dates de ce prince, voir E. J. TARDIF, Le s chartes mérovingiennes de Noirmoutier, Paris 1899, p. 42-44 et 53-55. 56 Un hagiographe qui ignorait tout de la vie de son héros entreprit de lui composer une Vie à la demande de la communauté de Stenay qui désirait avoir quelque chose à lire le jour de sa fête (Vita S. Dagoberti, Prologue, MGH , SR M II, p. 511-512). Cf. R.FOLZ , Traditio n hagiographiqu e e t cult e d e sain t Dagobert, roi de s Francs , dans: Le Moyen-Age 69 (1963) p. 17-35. 57 Voir H . STEIN, La mor t d e Childéric II, dans: L e Moyen-Ag e 21 (1908) , p.297-309. Comme l' a remarqué LEVISO N (MGH , SRMV , p . 565, n. 1), l'erreur d e l a deuxièm e Vi e d e sain t Oue n peu t résulter d'une extrapolation à partir de la fin mutilée de la Vie de saint Lambert, écrite vers 800, qui fait allusion à l'inhumation d e ces personnage s royau x par saint Ouen mai s sans préciser où (o n sai t que l'évêque d e Rouen a continué à fréquenter assidûmen t la cour neustrienne après sa nomination su r le siège épiscopal) . 58 Di e fränkische n Teilunge n un d Teilreich e (511-613) , dans: Spätantikes un d fränkische s Gallien . Gesammelte Schriften , Munich 1976,1, p. 176-177; ID. , Descripti o Franciae , ibid. , p. 286.

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confusions entr e homonymes , translation s - pour sauve r ce s royales sépulture s mai s il n'avai t pa s ét é suiv i pa r Karl Heinric h Krüger 59, et i l a bie n voul u s e déclare r convaincu pa r me s doutes , repri s d e Wilhelm Levison 60 : ce s tombe s prestigieuse s n'ont jamai s d û honore r l a basiliqu e d e Rouen . Le problèm e de s origine s d e Saint-Oue n s e compliqu e encor e s i l'o n vers e a u dossier un e informatio n donné e pa r l a Vit a S . Chrothildis , écrit e a u X e siècle : Clotilde »reconstruisi t depui s se s fondations u n monastèr e d'un e admirabl e beauté , qui fu t édifi é a u temps d u bienheureu x Deni s dan s u n faubour g d e la cité de Rouen , près de s murs de la ville, et fut dédi é par le même personnage apostolique a u nom de s douze apôtres le jour des kalendes de septembre, comme c'était sculpt é sur une pierre qui avai t ét é déposé e dan s l a fondation d e l'autel . Ell e y réuni t un e congrégatio n d e clercs, servan t Dieu , qu i n'étai t pa s médiocre 61.« A u Xe siècle , c e magnifiqu e monastère de s faubourg s d e Roue n n e peu t désigne r qu e Saint-Ouen ; mai s c'es t l a seule mentio n d'un e dédicac e au x Douz e Apôtre s e t l a traditio n rouennais e ignor e tout d e la mystérieuse pierre inscrite. Pour en tirer cependant parti, certains auteurs 62 ont imaginé la séquence suivante: la basilique construite par Victrice, où il avait placé des relique s »ambrosiennes« , don t celle s d e certain s apôtres , aurai t ensuit e reç u l e nom de s »Douze apôtres « pou r prendre finalement l e nom de saint Pierre seul, avant d'y accueilli r le s restes d e sain t Ouen . C e châtea u d e carte s m e paraî t bie n fragil e e t j'hésite à faire d'u n text e du Xe siècle sans grande valeur, qui n'a jamais été intégré à la tradition locale , la pierre angulair e qui assure le lien entre l a basilique de Victrice, o ù Gervais et Protai s apparaissen t e n premièr e ligne , e t cell e d e sain t Pierre , qu'aucu n document rouennai s n e fai t remonte r au-del à d u VI e siècle . Pour êtr e complet, signalon s encor e une dernière source sur laquelle Dom Dubois a attir é mo n attention : l a Vi e d e saint e Bathilde. Parmi le s basilique s comblée s d e générosités par cette reine qui fut, n e l'oublions pas, l'amie de saint Ouen, l'hagiogra phe cit e un e basiliqu e Saint-Pierre , qu'o n n e sai t o ù localiser 63: N e serait-c e pa s Saint-Pierre d e Rouen ? Saint-Pierr e d e Jumiège s s e trouv e élimin é d u fai t qu e l e paragraphe précéden t port e su r les largesses de Bathilde envers les monastères e t que la fondatio n d e Jumièges y trouv e naturellemen t s a place. Les archéologue s peuvent-il s tranche r l e déba t qu e le s source s littéraire s laissen t ouvert? On a mené deux campagnes de fouilles a u XIX e siècle. L'une fut effectué e e n 1871 par l'abbé Coche t dans l'ancien jardin du monastère, au sud de l'église abbatiale , près d u portail de s Marmousets 64 . A environ troi s mètres de profondeur, au-dessou s 59 Königsgrabkirche n de r Franken , Angelsachse n un d Langobarde n bi s zu r Mitt e de s 8 . Jahrhunderts, Munich 1971, p. 168-169. 60 MGH , SR M V, p.565, n . 1. 61 Vit a S . Chrothildis , 13 , MGH, SR M II, p.347. 62 Euge n EWIG , De r Petrus - un d Apostelkul t i m spätrömischen un d fränkischen Gallie n (voir n. 58) II, p. 34 2 e t 349 . Cf. Jean LAPORTE , Lexiko n fü r Theologie un d Kirche 9 (1964) , p . 165. 63 Vit a S . Balthildis , 9 , MGH , SR M II, p. 493: per seniores basilicas sanctorum domni Dionisii et domni Germant vel domni Medardi et sancti Petri vel domni Aniani seu et sancti Martini. Cf. Jacques DUBOIS, Saint e Bathilde, vers 625-680, rein e de France , 641-655 , fondatrice de l'abbay e d e Chelles , dans: Paris et Ile-de-France. Mémoire s publiés par la fédération des sociétés historiques et archéologiques de Pari s e t de l'Ile-de-France , 32, 1981 , p. 22-23. 64 Jean-Benoît-Désiré COCHET , Notic e su r de s sépulture s chrétienne s trouvée s e n mar s 1871 à SaintOuen d e Rouen , dans : Mémoire s d e l a Sociét é de s antiquaire s d e Normandie 28 (1869-1872 ) p.482-512.

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de tombe s plu s récentes , o n y a mis a u jou r un e dizain e d e sarcophage s d e pierr e francs, o ù l'o n a trouvé pe u d'objets . L'autr e fouille 65 eu t lie u e n 1884 à l'intérieu r même d e l'église , dan s la nef a u nivea u d e l a chaire, pour y installe r le chauffage , e t elle fut surveillé e pa r l e comte d'Estainto t e t Léo n d e Vesly . Ell e révél a des tombe s beaucoup plu s riches , don t le s plu s ancienne s recelaien t de s objet s mérovingiens , toujours dan s de s sarcophage s d e pierre . Ce s objets , connu s e t exposé s depui s longtemps mai s relativement pe u étudiés 66, méritaient un nouve l examen pour tente r de préciser leu r date : le colloque su r la Neustrie a fourni à M. Patrick Périn , l'actue l conservateur d u musé e qu i le s abrite, l'occasio n d e leur consacrer l'étud e qu i figur e ici même 67 . I l e n résult e qu e bo n nombr e de s objet s recueilli s son t datable s d u VIe siècle, ce qui paraît un argumen t décisi f e n faveur d e la tradition attribuan t à Flavius la construction d'un e basiliqu e en cet endroit. Cet édifice étai t certainement destin é à abriter s a propre sépulture , qu i entraîn a le s autres. Il reste à expliquer, encor e qu e le fait n e soi t pa s san s exemple , pourquo i ce t évêqu e n' a pa s jug é bo n d e s e fair e ensevelir, comm e c'es t généralemen t l'usage , dan s un e zon e cimétérial e utilisé e depuis l'Antiquité . Passons à la deuxième question: depuis quand y a-t-il eu des moines à Saint-Ouen? Je dout e for t qu'i l y e n ai t e u dè s l'origine . O n le s verrait interveni r a u momen t d e l'inhumation d e sain t Oue n o u d e l'élévatio n d e se s reste s pa r sain t Ansbert, deux épisodes qu i nou s son t raconté s e n détai l pa r de s biographe s bie n informés . L e premier texte , à ma connaissance, où Saint-Oue n d e Rouen soi t considéré comme un monastère es t un e chart e d e novembre 872 où l'archevêqu e Riculfu s s e dit abbas ex coenobio sancti Pétri almique Audoeni quod in suburbio metropolicae urbis quondam augustius claruit 6*. Il est suivi de peu par un diplôme de Charles le Chauve tout à fait explicite puisqu e l e souverai n s e propose d e redonne r au x moines d u monastèr e d e Saint-Pierre apôtr e les biens et les privilèges qui leur avaient autrefoi s ét é concédés 69. Cette communauté monastiqu e es t naturellement antérieur e à 842, date à laquelle les précieuses relique s d e sain t Oue n on t ét é évacuée s pa r craint e de s Normands 70 . L a charte d e Riculph e nou s appren d que , d e so n temps , le s relique s s e trouvaien t à Gasny, où l'archevêqu e all a les voir d e ses propres yeux 71. L e diplôme d e Charle s l e Chauve s e réfèr e à deu x reprises 72 à de s stipulation s d e l'évêqu e Rémi . Nou s examinerons dan s u n instan t l'œuvr e d e c e personnag e dynamiqu e qui , dè s la deuxième moiti é d u VIII e siècle , introduisi t à Roue n le s élément s essentiel s d e l a

65 Robert D'ESTAINTOT , Fouille s e t sépulture s mérovingienne s d e l'églis e Saint-Oue n d e Rouen , décembre 1884-févrie r 1885, Paris 1886, p. 6-19; Gustave PRÉVOST , Fouilles de Saint-Ouen de Rouen, ; dans: Revue d e l'an chrétien , nouvell e série , 3 (1885), p. 338-351. 66 Voir e n dernie r lieu Laurence FLAVIGNY , Trésor s de s abbaye s normandes , Roue n 1979, p. 30-39. 67 Voir p . 11,21-39. 68 Ed. Dom POMMERAYE, Histoir e d e l'abbaye royal e d e Saint-Oue n d e Rouen, Roue n 1662, p. 399. 69 Diplôme d e Charle s le Chauve , dat é du 26 mai 876, éd. G.TESSIER , n°407 , II, p. 408-409. 70 Cf. Vit a IF S . Audoeni, 46, AA SS, Aug. IV, p. 819, paragraphe ajout é aprè s la fin d e la Vie. 71 Le diplôm e d e Charles le Chauve pourrait nou s laisse r penser le contrair e (in monasterio sancti Pétri apostoli, ubipraeciosissimus conjessor Christi Audoinus corpore requiescit) mais il reprend sans doute ici une formule tout e faite : c'est Rolo n qu i fera revenir les reliques de sain t Ouen . 72 Ibid. , p. 409 et 410.

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réforme carolingienne . C e pourrait bien êtr e lui qui aurait installé à Saint-Ouen un e communauté d e moines e n la dotant d e revenu s propres 73. Saint-Godard Outre l a basiliqu e Saint-Pierr e - Saint-Ouen, i l exist e peut-êtr e un e autr e églis e funéraire a u nor d de la ville, là où la tradition place la sépulture de l'évêque Gildaredus (saint Godard) , attest é e n 511. Malheureusement, cett e traditio n es t postérieure au x invasions normandes , qu i on t brouill é le s pistes . Le s relique s d e Gildaredu s furen t transportées à Soissons entre 838 et 841, et c'est là que fut rédigée la Vita S. Gildardi, qui est un simple décalque de la Vita S. Medard i attribuée à Fortunat. Si l'on en croit la Vie de saint Godard, cet évêque aurait été inhumé in quadam basilica sanctae Mariae % quae nunc dicitur ad sanctum Gildardum 7At. Mais sain t Médar d d e Soisson s a précisément été enseveli dans une église Sainte-Marie, si bien que le patronage de Marie à Saint-Godard d e Roue n n'es t peut-êtr e qu'u n emprun t de plus à Saint-Médard d e Soissons. C'est là également qu'aurait été inhumé l'évêque Romanus, prédécesseur de saint Ouen, selon une mention bien suspecte puisqu'elle n'est pas antérieure à la fin du XIe siècl e au plus tôt 75. Du temps de l'abbé Cochet, une auge de marbre rouge, peutêtre antique, qui constituait le maître-autel de l'église Saint-Romain (celle-ci d'origin e récente), étai t considéré e comm e l e sarcophag e d e c e personnage 76. Ell e s e trouv e aujourd'hui, à peine visible , à l'intérieur d e l'aute l qu i es t a u fon d d e l a ne f latéral e gauche. Le chemin de la décadence Après l a glorieuse époqu e d e saint Ouen, qu e se passe-t-il à Rouen? Son successeu r Ansbertus, nous l'avons vu, se préoccupe de lui rendre l'hommage qui lui est dû, et les ressources pour ce faire ne semblent pa s lui avoir manqué. Mais la bataille de Tertry (687) qui marqu e l a victoire définitiv e d e l'Austrasie su r l a Neustrie es t lourd e d e conséquences pour Rouen comme pour le reste de la Normandie: c'est toujour s une ville importante, mais la richesse en part au lieu d'y affluer. Pépin II place des hommes à lu i à tous le s postes-clés . L'évêqu e Ansbertus , qu i étai t e n mêm e temp s abb é d e Fontenelle, es t dépouill é d e se s dignité s (ver s 690) et enfermé dan s le monastèr e d e Hautmont-sur-Sambre77 o ù i l mourra 78. Se s restes , rapatriés , seron t inhumé s à Fontenelle, c e qu i n'es t pa s san s significatio n pour notr e propos : i l devien t plu s important d'être abbé de Fontenelle qu'évêque de Rouen et ce n'est donc peut-être pas seulement le hasard des sources, la plupart d'origine monastique, qui nous vaut d'être mieux renseigné s su r le s grand s monastère s d e l a bass e Sein e qu e su r l a 73 Cf. Nanc y GAUTHIER , De Ratumagu s à Rouen, dans: Histoire et numismatique (voi r n. 25), p. 15-16. 74 Vita S . Gildardi , 9, éd. A.PONCELET , Anal . Bolland. 8 (1889) p. 401. 75 Vita e t miracula S. Romani (BH L 7314-7315), 16 , AA SS , Oct. X, p. 99: (Romanus) sepultus est primo (miliario) ab urbe, in oratorio quondam (sic) suo, quo in loco in honorem beau Gildardi quondam eiusdem sedis (episcopi) fundata constat ecclesia. 76 Voir n . 22, p. 124. 77 Vita S . Ansberti , 21, MGH, SRMV , p . 634. 78 Ibid. , 24, p. 635-636.

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ville épiscopale . C'es t l à désormai s qu e s e trouvent le s force s vive s d e l a chrétient é normande, richesse, culture, prestige. Le siège épiscopal de Rouen tend à devenir une annexe d e l'abbay e d e Fontenelle . Après l'intermèd e d e Grippo (o u Gripho ) e t de Rainlandus qui n'on t laiss é aucu n souvenir, l'évêch é d e Roue n es t attribu é pa r Charle s Marte l à so n paren t Hugue s (...723-730), petit-fils d e Pépi n IL C e personnag e cumul a le s siège s épiscopau x d e ^ Rouen , d e Pari s e t d e Bayeu x ave c le s abbaye s d e Fontenell e e t d e Jumièges 79. So n deuxième successeur , Grimo , fu t san s dout e plu s proch e d e l'imag e d'u n évêqu e conforme au x canon s ecclésiastique s puisqu e l e zél é Bonifac e demand a pou r lu i e t obtint d u pap e Zachari e l'insign e honneu r d u pallium 80. Sous Pépin l e Bref, les abu s recommencent. Ragenfridu s n e sembl e guèr e avoi r mérit é le s éloge s qu e l e pap e Zacharie lui décerne en 748 dans une lettre adressée également à d'autres évêques 81. Il cumulait l'abbay e d e Fontenell e e t l'évêch é d e Rouen . Le s moine s d e Fontenell e avaient tan t à s e plaindr e d e lu i qu'il s finiren t pa r obteni r s a déposition 82. I l n'e n restait pa s moins évêqu e d e Rouen. Mais , encouragés san s doute par cet exemple, les clercs de l'Eglis e d e Rouen demandèren t à leur tou r à Pépin l e Bref l a déposition d e Ragenfridus, qu i leu r fu t finalemen t accordé e e n 75583. La renaissance carolingienne Son successeu r es t l e propre frèr e d e Pépin, Rémi , qui, duran t le s quinze année s d e son épiscopat 84, mit en œuvre dans son diocèse les principaux éléments de la réform e ecclésiastique lancé e pa r u n autr e proch e d e Pépi n l e Bref , l'évêqu e d e Met z Chrodegang, e t qu i sera étendu e sou s Charlemagn e à l'ensemble d e l'Empire . L'u n des aspect s d e cett e réform e est , comm e chacu n sait , l'introductio n e n Gaul e d e l a liturgie romaine . Rém i n'hésit a pa s à faire veni r à Rouen l'u n de s chef s d e l a schola cantorum d e Rome , Symeon , puis , celui-c i ayan t d û rentre r prématurément , à envoyer ses propre s moine s à Rom e pou r y parfair e leu r formation 85. C'es t san s doute Rém i qui , su r l e modèle d e c e que Chrodegan g avai t réalis é à Metz, cré a un e communauté d e chanoines à la cathédrale de Rouen puisqu'un diplôm e de Charles le Chauve fai t allusio n au x bien s qu i leu r avaien t ét é concédé s pa r Rémi 86, lui auss i peut-être, nou s l'avon s vu , qu i établi t de s moine s à Saint-Ouen . Le s diplôme s confirmatifs d e Charles l e Chauve pour l a cathédrale et Saint-Ouen prouvent e n tou t cas qu'i l restaur a l e patrimoine d e l'Eglis e mi s à mal pa r se s prédécesseurs. I l a fai t 79 Gesta Fontanell . (voi r n.36) IV, p. 37-38. 80 Ep. Bonifati i e t Lulli , 57 et 58, MGH, Ep.III , p . 313 et 315. Les lettre s son t d u 22 juin e t du 5 novembre 744. 81 Ibid . 82 , p. 362 (1er mai 748). 82 Gesta Fontanell . (voi r n.36) VIII, p.60. 83 Ibid. , p. 62: Praenominatus autem Ragenfridus pro insolentia morum ac pravitatibus suis etiam a dericis Ratumagensibus apud Pippinum regem accusatur, anno videlicet XIII postquam regimen istius coenobii Fontinellensis amiserat. Quo eiecto de episcopatu eiusdem aecclesiae, datum est Remigio, fratri eiusdem gloriosi régis Pippini, hoc anno qui est ab incarnatione domini nostri Ibesu Christi DCCLV. 84 Ibid. , p. 63: tenuit nomen praesulis eiusdem aecclesiae annis XV. 85 Lettre d u pap e Pau l à Pépin, MGH , Ep.III , p. 553-554. 86 Diplôme délivr é entr e mars 872 et décembre 875, éd. G.TESSIER , n°399 , II, p. 386.

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partie de la confraternité d'Attigny 87. Comm e sain t Ouen un siècle plus tôt, Rémi, après so n accessio n à l'évêché , a conserv é u n rôl e politiqu e d e premie r plan : e n compagnie du duc Aucharius, il fut envoy é par Pépin en 760 négocier avec le roi des Lombards Didie r l a restitution a u pape Paul des territoires qu'i l lu i avait enlevés 88. Les ressource s financières , le s appui s politique s e t l e dynamism e personne l d e Rémi ont certainement profité à la ville de Rouen malgré le déplacement des assises de la puissance franque ver s les vallées de la Moselle et de la Meuse: Charlemagne y célèbre la Pâque en 76989 et y passe en 80090. Louis le Pieux, à son tour, y passe en 81891 e t y séjourn e e n novembr e 824, y recevan t à cette occasio n le s envoyé s d e l'empereur byzanti n e t l e patriarch e d e Venise 92. Serait-c e à cett e époqu e qu'i l faudrait place r l a constructio n d e l a crypt e d e Saint-Gervais , don t tou t l e mond e s'accorde à reconnaître l'anciennet é san s pouvoir l a dater? Malgr é la découverte, à proximité immédiate, de sarcophages qui semblent bien carolingiens (pi. I) - mais on se trouv e ic i dan s un e zon e qu i a été utilisé e comm e nécropol e san s interruptio n depuis l'Antiquit é -, il vaut mieu x retarde r jusqu'au x duc s d e Normandie l'édific e qui subsist e aujourd'hui . E n revanche, des fragment s sculpté s réemployé s dan s les murs (observations de J. L e Maho et d'A. Covè s en 1987) pourraient provenir d'u n chancel carolingien appartenan t à une construction antérieure . Rouen es t alor s u n por t important , e t qu i rapporte : u n diplôm e d e 779 9 \ exemptant l'abbay e d e Saint-Germain-des-Prés d u paiemen t d e tonlieux e n diver s endroits, cite Roue n e n premier lieu . La Vita S. Willibald^ écrite vers 778, évoque cette activité de façon concrète 94: l'Anglais Willibald, en route pour l a Terre Sainte vers 720, est parti de Hamwich, près de Southampton, et a débarqué »près de la ville qu'on appell e Rouen; l à eut lieu un marché«. Ainsi se trouve attesté e une fonctio n commerciale liée à la Seine et aux relations avec les Iles Britanniques 95. Plus tard, en 841, on a mentio n d e vingt-hui t »navire s marchand s qui , poussé s pa r l a marée , avaient ét é amené s depui s l'embouchur e d e l a Sein e jusqu' à Rouen« 96. C'es t san s doute à la tradition commerciale liée à l'activité portuaire que Rouen doit de rester un atelier monétair e a u moment o ù l'édi t d e Pitres, en 864, limite à dix le nombre de ceux-ci dans le royaume de Charles le Chauve 97. Cependant, la monnaie de Rouen n'a jamais eu la diffusion d e celle de Duurstede, par exemple. 87 MGH, Capitulari a regu m Francoru m (= Leges, sectioll), I, p. 221. 88 Ep. Pauli Pippino régi , MGH , Ep.III , p. 519-520. 89 Annales regn i Francorum , a . 768, éd. Fr. KURZE, M G H i n us . schol., Hanovre 1895, p. 28: l'année d e son avènemen t (768), Charlemagne a célébré natalem Domini in villa quae dicitur Aquis et pascha (donc e n 769) in Rodomo civitate. 90 Ibid. , a. 800, p. 110. 91 Ibid. , a. 818, p. 149. 92 Ibid. , a. 824, p. 165. 93 MGH, Dipl. Karol.I, 122, p. 170-171. 94 MGH, SSXV , 1, p.91. 95 Sur la nature des échanges, voir Lucien MUSSET , La Seine normande et le commerce maritime du IIP au XI e siècles , dans: Revue de s Société s savante s de Haute-Normandie 53 (1969) . 96 Nithard, Histoir e de s fil s d e Loui s l e Pieux , II, 6, éd. Ph . LAUER, Les Belles-Lettres , p . 56. 97 Capitularia (voi r n.85), II, p. 315, 12 : Constituimus ut in nullo loco alto in omni regno nostro moneta fiât, nisi in palatio nostro et in Quentovico ac Rotomago, quae moneta ad Quentovicum ex an tiqua consuetudine pertinet, et in Remis et in Senonis et in Parisio et in Aurelianis et in Cavälono et in Metullo et in Narbona.

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Les premiers raids vikings D'ailleurs, l e rôl e d e Roue n s'amoindri t rapidemen t a u IXe siècle . L a ville es t ma l placée dans les Etats de Charles le Chauve: le cœur de la Neustrie s'est déplacé vers le sud, entr e Seine et Loire. Surtout, la Seine, après avoir apporté la prospérité, apporte la ruine: c'est une des grandes voies d'accès des Vikings sur le continent. Lors de leur première apparition en 820, on put les repousser 98. Mais le 14 mai 841, les Normands font irruptio n à Rouen , dévastan t l a vill e pa r l e fe r e t pa r l e feu 99. Le s raid s s e succèdent désormais , interdisan t tout e vi e normale . O n évacu e le s relique s le s plu s précieuses, comm e celle s d e sain t Godar d e t d e sain t Ouen lt)0. A parti r d e 852, les Normands hivernen t mêm e su r l a Seine 101. Charle s l e Chauv e renonc e bientô t pratiquement à défendre l a Seine e n aval de Pitres. Rouen désormai s s e contente d e survivre, mais moins mal que les autres cités normandes si l'on considère qu'elle est la seule vill e qu i ai t continué à être habité e pa r ses évêque s e t qu'elle pu t mêm e offri r l'hospitalité à celui de Coutances. Elle se préparait ainsi à être choisie comme capitale par Rollon, qu i relancer a son activit é su r des base s toute s nouvelles . Une somme d'incertitudes Il est difficile d e conclure. La documentation es t si clairsemée qu'o n risque toujour s de majorer la signification de s menues information s qu'o n glan e ici ou là. Rouen es t une métropol e ecclésiastiqu e e t se s évêque s son t d e grand s personnages . Mai s qu e pouvons-nous e n conclure su r l'importance d e la ville? Nous savon s que, le 1 er avril 841, Charles l e Chauv e a réquisitionn é vingt-hui t navire s d e commerc e pou r traverser la Seine; mais nous ne savons pas si des flottilles d e ce type arrivaient toutes les semaine s o u bie n tou s le s si x mois , c e qu i interdi t d e tire r de c e renseignemen t pourtant précis quelque conclusion qu e ce soit sur l'activité portuaire. Nou s savon s que Charlemagne, que Louis le Pieux y son t passés; mais où ces grands nomades ne sont-ils pas passés? De saint Ouen à Rémi, la ville a-t-elle progressé ou régressé? O n ne sai t mêm e pa s dan s que l sen s trace r l a courbe. E t commen t s e situ e Roue n pa r rapport à Tours, à Reims, à Paris? Impossible de le déterminer. Après une étude aussi fouillée qu e possible, o n e n est réduit , comm e tro p souven t pour ce s Dark Ages , à demeurer dans une prudente expectative .

98 Annales regn i Francoru m (voi r n.87), a . 820, p. 153. 99 Annales d e Saint-Bertin, a. 841, éd. F. GRAT, J. VIEILLARD, S. CLÉMENCET, Paris 1964, p. 37: Pyratae Danorum ab Oceano euripo devecti Rotumum irruentes, rapinis ferro ignique bacchantes urbem monachos reliquumque vulgum vel cedibus vel captivitate pessumdederunt. Chronico n Fontanel lense, éd . J. LAPORTE, Mélange s (Sociét é d e l'histoir e d e Normandie) , 15 e série, Roue n 1951, p. 75: / / / / idus maii (12 mai) venerunt Nortmanni, Oscberi quoque dux. Pridie idus maii (14 mai) incensa est ab eis urbs Rotomagus; XVII kalendas iunü (1 6 mai) egressi sunt a Rotbomago. 100 Voir n.68 e t Translatio S. Gildardi , éd. PONCELET (voir n. 72), p. 402-405. 101 Chronico n Fontanell . (voir n.97), p . 89-91.

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Nancy Gauthie r ZUSAMMENFASSUNG

Bei Reichsteilunge n zwische n de n fränkische n Könige n ha t Rouen immer z u jene m Königreic h gehört , das schließlich Neustrien wurde . Die Stadt im Tal der Seine, der wichtigsten Achse in diesem Staat, nimmt ständig a n Bedeutun g zu , ha t Münzrecht un d gewinn t durc h ihr e Hafenaktivitäte n a n Reichtum . Die Tatsache , da ß 64 1 de r Bischofssit z vo n Rouen einem ehemalige n Referenda r Dagobert s L, Audoenus (Saint-Ouen) , anvertrau t wird, is t ei n Beweis fü r den hohen Status dieser Stadt, und die lange Amtszeit dieses großen Würdenträgers (641-684) verleiht ihr noch zusätzlichen Aufschwung, selbs t wenn er nicht de r Erbauer de r Basilika Saint-Pierre ist, i n der er beigesetzt wir d un d die späte r seinen Name n trägt. Auch sein Nachfolger Ansbertus zeichnet sich durch solche Großzügigkeit aus, daß ihr Ruhm an die Nachwelt gedrunge n ist. Diese glänzende Epoche, die in den Heiligenleben ausführlic h beschriebe n wird, findet leide r kein e archäologisch e Untermauerung , d a kaum Ausgrabunge n vorgenomme n wurden ; wi r wissen nur von einigen, zum Teil sehr reich ausgestatteten Gräbern , die in Saint-Gervais und Saint-Oue n entdeckt wurden . Di e Bedeutun g de r großen Klostergründunge n au f de m Land e is t gewi ß auc h Anzei chen eine r gewisse n Mittelmäßigkei t de s städtische n Lebens . Die Schlacht von Tertry (687) läutet das Ende des mächtigen Neustrien ein. Die Stadt Rouen bekommt die Auswirkungen z u spüren : sie verliert ihr politisches Gewicht ; ihre Kirchen werden von Mißhandlun gen un d Plünderunge n durc h di e Gefolgsleut e Kar l Martell s i n volle r Wuch t getroffen , un d di e Restauration de r Karolinge r unte r Remigius , de m Brude r PippinsIL , verleih t ihne n nich t wiede r s o strahlenden Glanz wi e zu Zeiten des heiligen Audoenus. Die wirtschaftliche Roll e der Stadt scheint aber, vor allem dan k de r Handelsbeziehungen z u England , weiterzubestehen . Der erste große Überfall de r Skandinavier, bei dem die Eindringlinge 84 1 die Seine herauffahren, zeig t den Beginn eine r besonder s schwere n Zei t fü r di e Stad t Rouen an.

PATRICK PÉRI N

À PROPO S DE S ORIGINE S D E SAINT-OUE N D E ROUE N Contribution d e l'archéologi e funérair e La questio n de s origine s d e Sain-Oue n d e Rouen , examiné e d u poin t d e vu e de s textes, a été clairemen t posé e ci-dessu s pa r Nanc y Gauthier , dan s s a belle étud e su r »Rouen pendan t l e Haut Moyen-Age« 1 , e t nous tenon s à la remercier d e nous avoi r confié l e soi n d'examine r c e problèm e à la lumièr e de s source s archéologiques . Lyapport des textes Comme Nanc y Gauthie r l'a montré, les textes concernant les origines de Saint-Oue n sont contradictoires . Selon la première »Vi e de saint Ouen«, écrite peu après sa mort (survenue à Clich y e n 684), l'évêque aurai t ét é enterr é dan s l e locus (édifice o u tombe?) qu'i l avai t lui-mêm e élev é e t qu i étai t dédi é a Saint-Pierre (l a titulatur e d e substitution Saint-Oue n n'étan t attesté e qu' à parti r d e 833). Selon l a deuxièm e »Vi e de saint Ouen« (débu t du IXe siècle), en revanche, la basilique Saint-Pierre aurai t ét é édifiée sou s Clotaire 1er, en 535, le locus ne pouvant êtr e alors interprété qu e comm e la reconstructio n d'u n édific e antérieu r o u l'aménagemen t d'un e tomb e dan s u n édifice préexistant . Cette second e sourc e étan t tardiv e e t comportan t à l a foi s d e tro p grande s précisions e t de s erreur s manifeste s (mentio n à Saint-Oue n d e tombe s royale s o u princières don t o n sai t qu'elle s furen t établie s ailleurs) , Madam e Gauthie r lu i a préféré l a première (l a personnalité d e saint Oue n justifian t amplemen t la construc tion pa r se s soins d'un e nouvell e église) , sans pour autan t rejete r l'éventualit é d'un e église antérieur e s i l'archéologie pouvai t l e vérifier . La problématique archéologique Seules de s fouille s scientifique s menée s dan s l e sous-so l d e l'actuell e abbatial e permettraient d e résoudr e l a questio n de s origine s d e Saint-Oue n e t d e vérifier , comme on l'a fait ailleurs 2, la succession des édifices antérieur s dont les substructions ne peuvent manquer d'avoir ét é conservées, du moins en partie. Tel n'est pas le cas ici puisqu'on n e dispos e qu e d e fouilles ancienne s e t fragmentaires qu i n'on t concerné , pour l'essentiel , qu e de s sépultures 3 . 1 Voir supra , p. 1 et ss. 2 On e n trouver a d e bon s exemple s dan s Premiers temp s chrétien s e n Gaul e méridionale , catalogu e d e Pexposition d e Lyo n (1986) et de Paris (1987). 3 Voir ci-dessous, p . 23.

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Patrick Péri n

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PLAN D E L'ÉGLIS E ABBATIAL E Outre les constructions actuellement existantes, on a fait figure r sur-c e plan: 1. Les témoins de l'église romane découverts pendant le s fouille s d e 1885: dans l a nef » si x piliers ; contre le mur du bas-côté méridional, une colonne engagée dan s un dosseret . 2. Les deux tours de la façade occidentale du XVI e siècle, démoli e en 1845 et remplacé e pa r la façade actuelle. A. MASSO N DIR.

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XI e Siècl e I" Moitié du

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Fin du XV e Siècl e • voûté entre 1492 et 1515 a Début du XVI* Siècle • voûté vers 1536 • Moderne 05

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Fig. 1 Plan d e l'églis e Saint-Oue n d e Rouen. A = Découverte d e 1838, B = Fouilles d e 1871, C = Fouilles d e 1884-1885

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À propo s de s origines d e Saint-Ouen d e Roue n

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L'examen de s trouvaille s funéraire s de s plu s ancienne s peu t cependan t apporte r des éléments de réponse quant aux origines de la basilique où fut enterré saint Ouen. Nous avon s eu l'occasion d'établi r une nette distinction parmi les églises suburbaines d e l a Gaul e mérovingienne , selo n qu'elle s furen t o u no n implantée s su r de s champs d e sépulture s remontan t à l'Antiquit é tardive , e t nou s avon s oppos é l a fondation plu s ancienn e de s première s à cell e de s secondes , plu s récente 4, le s basiliques parisienne s de s Saints-Apôtre s (Sainte-Geneviève ) e t d e Sainte-Croix-et Saint-Vincent (Saint-Germain-des-Prés ) constituan t un e bonn e illustratio n d e ce s deux cas 5. Si le s fondation s d u premie r typ e favorisèren t l a continuit é de s nécropole s préexistantes, celle s d u second , souven t due s à l'initiativ e d e l a famill e royal e mérovingienne ou à celle de grands personnages laïcs et ecclésiastiques, provoquèrent la formatio n d e nouvelle s nécropole s suburbaines , selo n u n processu s classique : souci d e repose r a u plu s prè s d e corp s Saint s o u d e relique s vénérées , mai s auss i imitation de s mode s d e l'aristocratie . L'archéologi e à même permi s d e vérifier dan s certains ca s le bien-fondé d e ce processus. C'es t ains i qu'à Saint-Germain-des-Prés , la date d e fondatio n d e la basilique d e Childeber t (558-559) correspond à celle de s tombes mérovingienne s les plus anciennes e t constitue donc un terminus post quem pour l e développemen t d e la nouvelle nécropol e parisienne . Ce mêm e raisonnemen t peu t san s doute êtr e appliqu é à Saint-Ouen o ù l'absenc e de tombes antérieure s à l'époque mérovingienne , bie n notée e n 1871 et 1884-18856, atteste qu'o n es t e n présence d'un e fondatio n d u secon d type . Le s textes suggéran t deux date s d e fondation s possible s (535 ou ver s 684), la chronologi e de s tombe s mérovingiennes le s plu s anciennes , s i ell e es t suffisammen t précise , devrai t don c permettre un e estimatio n d e l'époqu e d e constructio n d u sanctuair e primitif , à l'origine d e l a nécropole. Historique des découvertes archéologiques effectuées à Saint-Ouen Le cimetière mérovingien de Saint-Ouen nous est actuellement connu par trois séries de découverte s opérée s a u cours du siècle dernie r (Fig . 1). On mi t tou t d'abor d a u jou r e n 1838, dans l a cav e d u presbytère , un e plaque boucle de ceinture de bronze à décor natté dont le contexte de trouvaille est inconnu7 (Fig. 2). Des travau x d e nivellemen t entrepri s e n mar s 1871 dans l'»ancie n jardi n de s moines«, au droit du portail des Marmousets (au sud de l'abbatiale), furent suivis par 4 Patrick PÉRIN, Des nécropoles romaines tardives aux nécropoles du Haut Moyen Age. Remarques sur la topographie funéraire en Gaule mérovingienne et à sa périphérie, dans Cahiers archéologiques 35,1987, p. 9 et ss. 5 Patrick PÉRIN avec la collaboration de Philippe VELAY et de Laurent RENOU, Collections mérovingiennes du Musée Carnavalet, Paris, 1985 (catalogues d'Art et d'Histoire du Musée Carnavalet), p. 148 et ss. e t 268 et ss. 6 Voir infra, note s 7, 1 3 et 16. 7 Abbé COCHET , Notic e su r un cimetière chrétie n allan t du VIIe au XVe siècl e exploré à Saint-Ouen d e Rouen e n mar s 1871, Dieppe, 1872, 46p. L a découvert e d e 1838 est mentionné e p. 34-35 avec reproduction p. 34 en bas, de la plaque-boucle. Nous remercions vivement Mme Delaporte, conservateur au Musée de s Antiquités, d e nous avoi r précisé l'emplacemen t d e l'ancie n presbytère d e Saint-Ouen .

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Patrick Périn

Fig.2 Plaques-boucles e n bronz e découverte s à Saint-Oue n e n 1838 (à gauche ) e t e n 1871 (L. 7,8cm ; à droite) . Dessin s figuran t dan s l'inventair e d u Musé e de s Antiquité s d e Seine-Maritime , Roue n

Fig. 3 Vases d e terr e cuit e découvert s à Saint-Oue n e n 1871: vase à carèn e (H . 8, 5 cm) e t bouteill e (H. 1 2 cm). Archive s d u Musé e de s Antiquité s d e Sein e Maritime , Roue n

À propo s de s origine s d e Saint-Ouen d e Roue n

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l'abbé Coche t qu i reconnu t quatr e couche s d e sépultures 8 . L a plu s profond e étai t caractérisée pa r de s sarcophage s monolithique s trapézoïdaux , a u nombr e d e qua torze, don t deu x conservaien t leu r couvercl e e n légèr e bâtière 9. Quelque s objet s furent recueillis : un e plaque-boucl e d e bronz e à contou r mouvement é e t quatr e perles d'ambr e dan s u n sarcophage 10 ; un e bouteill e d e terr e cuit e rougeâtr e d e typ e antique dan s u n autre 11 ; enfin , u n vas e à carèn e à orific e étroi t à proximit é d'u n sarcophage12 (Fig . 3). L'abbé Coche t not e encor e l a mis e a u jou r dan s l a terr e d e remblai de »plaques de ceinturon e n fer«. Deux sarcophages renfermaient pa r ailleurs des fragment s d'étoffe , pou r l'un , de s reste s d e cui r e t u n bâto n d e coudrie r pou r l'autre. L e plus profond enfi n contenait , outr e des restes d'étoffe , u n bracele t de fer . Une dernièr e campagn e d e fouilles , mené e pa r l e comt e d'Estainto t e t Léo n d e Vesly, membre s d e l a Commissio n départemental e de s Antiquité s d e l a Seine Inférieure, eu t lie u d e décembr e 1884 à février 1885, à l'occasion d e l a constructio n d'un calorifère . Le s recherche s furen t effectuée s dan s la ne f mêm e d e l'abbatiale , entre les deuxièmes et cinquièmes piliers en partant du transept, et mirent au jour une centaine d e sépultures . Elle s firen t l'obje t d'u n procès-verba l relativemen t détaill é mais malheureusemen t dépourv u d e plan e t d'illustrations 13. D e c e fait, i l s'est avér é difficile d'identifie r dan s le s collection s d u Musé e de s Antiquité s un e parti e de s objets, succinctemen t décrits , e t d e toujour s parveni r à le s regroupe r tomb e pa r tombe, plusieur s inhumation s renferman t e n effe t u n mobilie r funérair e comple t e t encore e n place . Gustave A . Prévost , qu i suivi t cett e campagn e d e fouilles , e n a donné e n 1885 un compte rend u synthétique , rev u e t illustr é pa r L . d e Vesly 14. Comm e e n 1871, on nota l a présence de plusieurs couche s d'inhumation s qu i étaient toute s e n sarcopha ges. Le s quatre sarcophages de la couche supérieure renfermaient de s ecclésiastiques , l'un d'entr e eu x étan t l'abb é Rinfredu s (1126-1142), identifié pa r l'inscriptio n figurant su r un e plaqu e d e plomb . Un e autr e tomb e étai t cell e d e l'archidiacr e e t chanoine Hug o (milie u d u XI e siècle) , identifi é lu i auss i pa r un e plaqu e d e plom b inscrite. Les restes organiques conservés étaient considérables: étoffes, don t certaine s avec fil s d'or , sandales , reste s d e bâton s d e bois . La second e couch e étai t constitué e pa r de s sarcophage s d e pierr e trapézoïdaux , »plus haut s à l a têt e qu'au x pieds « e t pourvu s d e couvercle s »d e form e légèremen t 8 Ibid . voir p. 30-39 pour la »couch e mérovingienne* . 9 Bien que l'Abbé Cochet ne mentionne que huit à dix sarcophages en place, on peut en compter quatorze sur l e pla n figuran t à l a planch e III. On noter a qu e l a troisièm e couch e d e sépultures , dit e »carlovingienne« e t située juste au-dessus de la couche mérovingienne, livra six sarcophages monolithiques de pierre, dépourvus de mobilier funéraire et caractérisés par un e forme trapézoïdale, des panneaux de tête plu s élevé s qu e ceu x de s pieds, une alvéol e céphaloïd e e t des couvercle s bombés . 10 Ibid . p. 34 en haut. 11 Ibid . p. 35. 12 Ibid . p. 32. 13 Comte d'EsTAiNTOT et L. de VESLY, Procès-verbal des fouilles de Saint-Ouen de Rouen, Rouen, 1886, 26 p. Deu x plans des fouilles sont mentionnés, l'un dû à de Vesly l'autre à un certain Requier (p. 8), mais ils n'on t pa s ét é reproduits , n i annexé s a u procès-verba l manuscri t qu i es t conserv é a u Musé e de s Antiquités. O n ignor e d'autr e pa n c e qu e son t devenue s le s photographies de s fouilles qu e le comt e d'Estaintot e t L . de Vesl y firen t prendr e par M. Witz, photographe. 14 Gustave A . PRÉVOST, Fouille s d e Saint-Oue n d e Rouen, dan s Revue d e l'Art chrétien , 1885, p. 1-14, 11 fig.

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Patrick Péri n

prismatique«. Les défunts y reposaient les bras croisés sur la poitrine, habillés (restes informes d e vêtements e t de sandales), mais dépourvus de tout mobilie r funéraire . Les sarcophages de la couche inférieure, identifiée comm e »franque« e n raison de la présence de nombreux objets caractéristiques de cette époque, ne sont pas décrits mais devaient êtr e analogue s à ceux découvert s e n 1871. C'est san s dout e à cett e couche qu'il fau t rattache r troi s sarcophage s de plâtre moulé (attribués à la couche médiane), dont deux offraient de s décors de rosaces, si fréquents à l'époque mérovingienne e n régio n parisienne 15. Selo n G . Prévost , ce s tombe s n'avaien t jamai s ét é violées, ce qui explique le nombre considérable d'objets qui y furent recueillis, armes, boucles e t plaques-boucle s d e ceintur e d e fe r e t d e bronze , fibules , épingle s d e coiffure, bouclette s à usages divers , cruch e d e verre, obje t énigmatiqu e e n ivoire , suspendu à une chaînette , etc. 16. Deux sépulture s livrèren t enfi n d e nombreux fil s d'or, confirman t l e rang social à coup sûr élevé d'une parti e de s inhumés. Les fouilles de 1884-1885 mirent également au jour des substructions qu'il est bien difficile d'interpréte r e n l'absenc e d e plan . Certaine s d'entr e elles , recoupan t de s sarcophages d e l a second e couche , furent attribuée s pa r le s fouilleur s à une églis e antérieure du XIe siècle, d'un ax e parfaitement est-oues t et non déviant vers le sudouest, comme celui de l'actuelle abbatiale . Datation du mobilier funéraire recueilli à Saint-Ouen Avant d'examiner succinctemen t l a chronologie des objets mérovingiens recueillis à Saint-Ouen17, une remarque d'ordre méthodologiqu e s'impos e quan t à la précision des résultats qu'o n es t e n droi t d'attendre . Comm e o n l e sait, en effet , l a datatio n d'objets isolés - les plus fréquents à Saint-Ouen - est toujours plus large que celle de groupes d'objets issu s d'une mêm e tombe, qui peuvent fournir un e date d'inhuma tion plus précise. Il conviendra donc de s'interroger su r la »fourchette« chronologi que offerte par les objets les plus anciens, en se référant à la classification chronologi que relative et absolue qui a été mise au point pour l a Gaule du Nord-Ouest 18. 15 PÉRIN, op . cit . not e 5, p. 707 et ss .

16 La publicatio n d e PRÉVOST , op . cit . not e 8 reproduit u n fauchar d (N°3 , p . 9), une doubl e plaqu e d e châtelaine ajourée (N°4, p. 10), une plaque-boucle de bronze et sa contre-plaque à décor natté (N°6 e n haut), une plaque-boucle de bronze et sa contre-plaque à décor animalier (N°6 a u milieu), une plaqueboucle triangulair e à déco r émaill é (N° 6 e n ba s à gauche), un e boucl e oval e d e bronz e à ardillo n scutiforme cloisonné (N° 6 e n bas à droite), une cruche de verre (N°8, p. 12) et un pendentif en ivoire (N°5,p.l2). 17 II était en effet impossible de propose r une étude détaillée des trouvailles mérovingiennes de Saint-Ouen, celle-ci devan t trouver place dans une publication ultérieure où sera également présentée la confrontation entre les objets conservés, l'inventaire du Musée et les diverses publications concernant les fouilles de 1838,1871 et 1884-1885. D'ores et déjà on se référera utilement aux notices de Laurence FLAVIGNY , Saint-Ouen de Rouen, dans Trésors des abbayes normandes, 1979 (catalogue de l'exposition du Musée des Antiquités d e Seine-Maritim e e t d u Musé e de s Beaux-Art s d e Caen) , p. 29-39. Mme Flavign y y propose quelque s regroupemen t d'objet s tomb e pa r tomb e pou r le s fouillle s d e 1884-1885 (tombes n°15, 54 et 65). 18 Patrick PÉRI N ave c un e contributio n d e Ren é LEGOUX , L a datatio n de s tombe s mérovingiennes . Historique, méthodes, applications, Genève, 1980. Les résultats obtenus ont été corroborés et précisés par de s travau x ultérieurs . Voi r e n particulie r Ren é LEGOU X dan s Danie l PITON , L a nécropol e d e Nouvion-en-Ponthieu (Somme) , dans Dossiers archéologiques, historiques et culturels du Nord e t du

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Fig. 4 Saint-Ouen, fouille s d e 1871. Boucle d e ceintur e d e bronz e à bouclie r d'ardillo n cloisonn é (L . 3,5 cm)

Fig. 5 Saint-Ouen, fouilles de 1871 (?). Deux plaques-boucles de ceinture de fer damasquiné à plaque rond e (L. 8, 7 cm) e t triangulair e (L . 10, 4 cm)

Fig. 6 Saint-Ouen, fouilles d e 1884. Plaque de ceinture de bronze à décor de masques humains (L. 5,5 cm)

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Armes Selon l e procès-verba l de s fouille s d e 1884-1885, quatorze sépulture s renfermaien t une o u plusieur s armes . Toute s étaien t for t oxydée s e t u n certai n nombr e d'entr e elles n e puren t êtr e identifiée s o u l e furen t peut-êtr e mal . I l s'agissai t d e deu x fragments d e lames d'épées, si x scramasaxes, deux poignards (l'u n ave c garnitures d e fourreau e n bronze , l'autr e ave c garde) , troi s lances , un e hache , un e flèch e e t troi s couteaux. O n peu t y ajoute r u n fauchard , seul e arm e a avoi r ét é reproduite 19 . O n trouve encor e l a mentio n d e troi s arme s no n identifiée s (épées , poignard s o u couteaux) e t peut-êtr e d'u n umbo d e bouclie r o u d'u n carquois ? Faute d'objet s conservé s o u identifiables 20 o u d e dessin s le s reproduisant , l a datation d e ce s arme s n e peu t qu e demeure r asse z large . Néanmoins , cin q de s scramasaxes bénéficiaien t d'u n context e caractéristiqu e d u VI e siècle, étant associé s à des lances, une hache et des boucles de ceinture de bronze 21 . Un poignar d offrait pa r ailleurs une garde, critère également caractéristique pou r la fin d e ce siècle. Quant a u fauchard, outi l agricole qui a pu servir d'arme puisqu'o n l e rencontre parfois dan s le s tombes d e guerriers , s a datation es t ma l cernée . L'exemplair e d e Douvren d (Seine Maritime), signal é par l'abbé Cochet , étai t cependant associ é à une lanc e et pourrai t de ce fait apparteni r a u VIe siècle 22. Boucles de bronze simples Les fouille s d e 1884-1885 ont livr é douz e boucle s d e bronz e simple s qu i son t datables pou r l a plupar t d u VIe siècle 23. I l s'agi t tou t d'abor d d e quatr e boucle s d e ceintures (reconnaissable s à leu r taille ) d e form e oval e (deu x exemplaires) , polygo nale (u n exemplaire ) o u rectangulair e (u n exemplaire) , décorée s d e cannelure s dan s deux ca s e t don t troi s exemplaire s conservaien t u n ardillo n à bas e scutiform e caractéristique (l'u n d'entr e eu x offrant u n déco r cloisonn é d e pâtes de verre rouge s et vertes) (Fig.4) 24 . Quatr e petit s boucle s rectangulaire s à bord biseauté , don t troi s Pas-de-Calais, N°20,1985. - Dans l'état actuel des recherches une classification à six niveaux a pu être établie: 1.-V.480-490/V. 530-540 2.-V.530-540/V. 560-570 3. - V. 560-570/V. 580-590 4. - V. 580-590/V. 620-630 5. - V. 620-630/V. 680-690 6. - V.680-690/V. débu t d u VIIIe siècle.

19 PRÉVOST, op . cit . not e 8, p. 9.

20 On connaî t l e côt é éphémèr e du marquag e de s objet s métallique s anciennemen t découvert s e t no n restaurés. 21 On sai t qu'en Gaul e du nord les dépôts d'armes devinrent très parcimonieux au VIIe siècle, se limitant pratiquement au x épée s longue s e t aux scramasaxes. Pou r le s boucle s d e ceinture, voi r infra . 22 Corpus de s objet s domestique s e t de s arme s e n fe r d e Normandi e du Ier au XVe siècle , Caen , 1987 (Cahier de s Annale s d e Normandie , 20), n°307, p . 136. 23 PÉRIN, op . cit. not e 18; types 52 et 54 de Champagne-Ardenne, p.279; types 19 et 21 de Bulles (Oise), p.305. 24 On ne saurait faire valoir cette particularité pour dater avec une plus grande précision cette boucle, d'un type classique pour le VIe siècle. En effet, la technique du cloisonné fut d'un usage courant en Gaule du milieu d u Ve siècl e au x premières décennie s du VIIe.

 propo s de s origine s d e Saint-Oue n d e Roue n

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Fig. 7 Saint-Ouen, fouilles de 1884. Garnitures de ceinture de bronze étamé à décor de vannerie (L. plaqueboucle: 12,2cm ; L . contre-plaque : 8, 3 cm). Tombe 15 (?)

Fig. 8 Saint-Ouen, fouille s d e 1884. Plaque d e ceintur e d e bronz e d e typ e »baroque « (L . 6 cm)

Fig. 9 Saint-Ouen, fouilles d e 1884. Garniture d e ceinture de bronze à décor animalier (L. plaque-boucle: 11cm; L . contre-plaque : 7, 5 cm). Tombe 54 (?)

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Patrick Péri n

possédaient encor e leu r ardillo n à bas e scutiforme , relèven t d u mêm e horizo n chronologique e t on t p u avoi r de s usage s diver s (suspensio n d e fourreau x o u d'aumonières pa r exemple). Une petite boucle ovale était atypique. Quant au x trois autres, de même forme mais un peu plus grandes (l'une étant cannelée), elles ont pu compléter d e petite s plaques-boucle s e t apparteni r d e ce fait à une époque plu s récente. Plaques-boucles de ceinture Les plaques-boucles de ceinture, de même que les fibules découvertes à Saint-Ouen, ont ét é étudiées pa r Claude Lorre n dan s s a thèse >Fibule s e t plaques-boucles e n Normandie•

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Abb. 1 Saint-Denis, Grundriß de r Ostteil e mi t Krypt a nac h Debret , 183 6

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Die Abteikirch e vo n Saint-Denis als kunstgeschichtliches Proble m

Abb. 2 Saint-Denis, Grabungsplan de s Viollet-le-Duc , 1858/5 9

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Die Abteikirch e vo n Saint-Denis als kunstgeschichtliches Proble m 15

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Abb. 4 Saint-Denis, Mittelraum de r Suger-Krypt a nac h Oste n

ihrerseits zweitverwendet . Dami t stamm t auc h da s von ihne n getragen e Tonnenge wölbe jedenfall s au s diese r Zeit ; e s ist nich t karolingisch , andererseit s unterscheide t es sich in der Mauertechnik grundlegen d vo n der Suger-Zeit. Die Durchblicke in den ansonsten geschlossene n Seitenwände n diese s Mittelraume s entspreche n i n ihre r Form besten s de r gängige n Baupraxi s de s 11. , keinesfalls derjenige n de s 9 . Jahrhunderts. Übrigen s weise n dies e Durchblick e beid e Seitenwänd e al s Zwischenwänd e eines mehrräumige n Baue s aus ; hie r lieg t als o offenkundi g ein e romanisch e Drei kammernkrypta (nich t dreischiffig e Hallenkrypta! ) vor , dere n Nebenräum e Crosb y ja auch angeschnitten hatte , deren Mittelkammer dan n schließlich i n die frühgotisch e Suger-Krypta übernomme n wurde . Von de r Hilduinkapell e ha t sic h als o aufgehen d nicht s meh r erhalten . Dennoc h meine ich , i m Grundri ß diese r Mittelkamme r de r romanische n Außenkrypt a zeich net sic h de r einstig e Hilduinba u noc h ab . Hierz u liefert e Jule s Formig e eine n wichtigen Befun d (Abb . 5): Er entdeckt e 195 2 be i Ausbruch de r i m 19 . Jahrhundert rekonstruierten Apsi s an deren Stell e die Fundamente eine r kleinen, nur etw a 2,70 m weiten Vorgängerapsis 13, welch e nac h Größ e un d Lag e nich t de m Mittelrau m de r Dreikammernkrypta, sonder n eine m entsprechende n Vorgängerba u zugewiese n werden muß . Auc h wen n Formige s Fun d nich t durc h steingerechte n Grabungspla n und Profilriss e beleg t ist , seh e ic h vorers t keine n Grund , a n seine m Fun d z u 13 FORMIG E (wi e Anm . 4 : 1960 ) S . 169 .

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Werner Jacobsen

Abb. 5 Saint-Denis, Ostabschluß de r karolingische n Abteikirche . Befund e un d Ergänzunge n nac h

Formige, 1960

Die Abteikirch e vo n Saint-Denis als kunstgeschichtliche s Proble m 15

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zweifeln. Mi r schein t ein e Deutun g diese r entdeckte n Vorgängerapsi s al s Ostab schluß de r einstige n Hilduinkapell e bi s au f weitere s glaubhaft . Da ß di e Hilduinka pelle einschiffi g war , dürfe n wi r al s a m eheste n wahrscheinlic h annehmen , auc h wenn archäologisch e Beweis e dafü r nich t vorliegen . Hatte sic h mithin Crosb y hinsichtlich der Hilduinkapelle geirrt , so stimmen auch seine Befund e zu r Ostapsis de r eigentlichen Abteikirch e (Abb . 3) nicht ganz . Dies e Apsis wa r nämlic h nich t polygona l ummantelt , wi e e r annahm . Di e polygonal e Ummantelung war vielmehr, wie sich bei späterer Öffnung de s Mauerwerks herausstellte14, ein e nachträgliche Aussteifun g eine r einst außen wie innen halbkreisförmi gen Apsi s (Abb . 5). Un d zwa r ware n dere n Außenwänd e mi t Lisene n gegliedert , dazwischen führte n tiefe , schachtartig e Fenste r zum Ringgan g der Krypta (Abb. 6). Aber auc h di e Gestaltun g diese r Krypt a konnt e geklär t werden , nachde m de r napoleonische Grufteinba u 195 3 wieder weggenommen worde n war : Reste innere n Mauerwerks bestätigte n di e Angabe n de s Viollet-le-Du c vo n eine m ringförmige n Umgang mi t querrechteckige r Raumerweiterun g i m Scheite l (Abb . 7). Der Krypta Ringgang war mit großen Steinplatten flach gedeckt, darüber fanden sich noch Reste von Wandmalere i de r aufgehenden Apsiswan d de s Chorbereiches . Der ander e Untersuchungsschwerpunk t Crosby s la g i m Westtei l de s heutige n Langhauses (Abb . 8). Hie r fan d Crosb y zwische n de n Fundamente n de s 12 . un d 13. Jahrhunderts de n Westabschlu ß eine s Vorgängerbaue s sowie , darunte r gelegen , noch älter e Mauern 15. Wenden wir uns zunächst diesen älteren Mauern zu: Erkennbar sind zwe i parallel e Nordsüdmauern , vo n dene n au f de r Nordseite zwe i weiter e parallele Mauern nach Osten abgehen , ein Befund, welcher spiegelbildlich im Süden ergänzt werden darf und damit den Westabschluß einer ältesten Basilika mit Narthex an diese r Stell e z u erkenne n gib t (Abb . 9). Wi e wei t sic h diese r Ba u nac h Oste n erstreckte un d wi e e r dor t schloß , bleib t bi s au f weitere s unbekannt . Di e bebaut e Fläche läß t sic h abe r zumindes t übe r die dich t gelegte n Gräbe r des Kircheninnere n abschätzen16. Diese ältest e Basilik a dürfe n wi r mi t Wahrscheinlichkei t al s dasjenig e Bauwer k ansprechen, welche s nac h de r Legende Genovev a u m 475 hatte errichten lassen. Zu diesem Zeitansatz paßt sehr gut der Typus des Westabschlusses, den wir von anderen zeitverwandten Bauten her kennen, etwa von der Pariser Stephanuskirche unter dem heutigen Dom (Abb . 10) oder auch noch von der einstigen Martinskirche in Autun17. Gleicherweise müsse n diese m Ba u woh l auc h di e Marmorkapitell e zugewiese n werden, die Viollet-le-Duc 185 9 gefunden hatte und die seitdem im Musée de Cluny aufbewahrt werden (Abb. II) 18 ; große Ähnlichkeiten zeigen sie in der Gestaltung des 14 Sieh e zu m folgenden : Ebd . S . 159-163. 15 I m folgende n vo r allem : CROSB Y (wi e Anm.3 : 1949) . 16 Zu r Lag e de r Gräbe r zuletzt : FLEUR Y (wi e Anm . 4: 1979/1) . 17 Sieh e zusammenfassend: Jean HUBERT, L'architecture religieus e du Haut Moyen Ag e en France, Paris 1952, Nr.30/Nr . 71 . - Zu r Stephanskirch e neuerlich : Miche l FLEURY , L a cathédrale mérovingienn e Saint-Etienne de Paris. Plan e t datation, in: Landschaft un d Geschichte . Festschrift Fran z Petri , Bon n 1970, S.211-221 . 18 Recueil généra l des monuments sculpté s e n Franc e pendan t l e Hau t Moye n Ag e (IV-X e siècles) , Bd. 1, bearb. v . Denis e FossARD/Ma y ViEiLLARD-TROÏEKOUROFF/Elisabet h CHATEL , Pari s 1978, Nr. 310-315. - Di e genau e Fundpositio n de r Stück e is t unbekannt .

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Werner Jacobse n

Abb. 6 Saint-Denis, karolingische Apsis , Außenansich t

Die Abteikirch e vo n Saint-Denis als kunstgeschichtliche s Proble m 16

Abb. 7 Saint-Denis, karolingische Apsis , Innenansich t nac h Süden , (nac h Vieillard-Troïekouroff)

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Abb. 8 Saint-Denis, Grabungsplan de r Westteile nac h Crosb y

Die Abteikirch e vo n Saint-Denis als kunstgeschichdiches Proble m

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Abb. 9 Saint-Denis, Befundplan zu m Genoveva-Ba u (im Oste n gestrichel t di e Lage der karolingischen Apsis )

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Ph. 1 Une cabane de la basse Antiquité dont le fond es t creusé jusque dans la roche, la cabane n° 15, vue de l'Est

qui se présente sou s la forme d'un e foss e oblongu e e t de taille variable mai s toujour s modeste, creusée plus o u moin s profondémen t dan s le sol, parfois seulemen t dan s la terre arable , souven t jusqu e dan s l a roche ; cett e foss e s'es t comblé e pe u à pe u a u cours d e l'occupatio n d e l a cabane . Comm e pendan t l a premièr e époque , le s couvertures devaien t êtr e faites d e matériaux périssables (chaume , bois, ombellifères , roseaux ...) et a u besoi n simplemen t renforcée s d e tuile s - sans dout e récupérée s dans le s construction s antérieure s - en certain s points , comm e l'arêt e d u toi t pa r exemple, ains i qu e pourraien t e n témoigne r le s quelque s fragment s d e tuile s demi rondes mise s a u jou r dan s certaine s cabanes . Aucu n élémen t qu i permett e d e connaître précisémen t l e mode d e constructio n de s paroi s extérieure s n' a ét é mi s e n évidence. I l est simplemen t possibl e d e s e les représenter sou s l a forme d e clayonna ges colmaté s d'argile , d e colombage s plu s o u moin s rudimentaires , d e mur s d e torchis o u d e pisé, reposant o u no n su r de minces solins de pierre, dont o n a observé ponctuellement de s traces . Les cabane s mise s a u jour , s i elle s n e diffèren t pa s dan s leur s grande s ligne s présentent u n certai n nombr e d e caractère s spécifique s qu i permetten t d e le s diffé rencier dan s l e détail . Le s plu s nombreuse s on t un e form e rectangulair e au x angle s arrondis e t son t orientée s E.-O . o u N . O.S. E. , d e faço n à mieux résiste r au x vent s dominants et donc aux intempéries (Pla n général). Leur intérieur étai t le plus souven t creusé jusque dans la roche e n place selon une profondeur variabl e pouvant atteindr e

Le villag e d e Saint-Marti n d e Trainecour t

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Ph. 2 Une caban e d e la basse Antiquit é don t l e fond es t creusé jusque dan s l a roche e t dont l'entré e étai t protégée pa r u n auven t souten u pa r troi s poteaux , l a caban e n ° 4, vue d e l'Es t

plus d e 7 0 cm (Ph . 1). Quand o n a pu l'observer , l'accè s s e manifeste sou s l a form e d'un étroi t couloi r e n pente douce , encadr é o u no n d e poteaux d e boi s qu i devaien t supporter un e sorte d'auvent, a u N. E., du côt é opposé aux pluies les plus fréquente s (Ph. 2). Les fonds d e cabane présentent, a u milieu de chacun de s petits côtés , la trace d'un potea u d e bois, plus ou moin s soigneusement équarri . Du poteau , i l ne subsist e plus que le trou ménag é pour l e recevoir e t parfois un e échancrure dan s la paroi de la fosse, destinée à le soutenir latéralement . Souvent , la disposition de s pierres de calage permet d e restituer l a section d u poteau, circulair e ou semi-circulaire , plus raremen t carrée. Le s deu x poteau x d'extrémit é étaien t destiné s à souteni r l e faîtag e e t l a charpente d'un toi t dont les pans pouvaient repose r directement su r le sol ou bien su r des parois périphériques. Fréquemment , u n poteau médian , d e taill e plus modeste e t légèrement décal é par rappor t à l'axe, assurait un meilleur soutien. Une seule cabane, de taille plus importante que toutes les autres, mais qui n'a livré que très peu de traces d'occupation, a présenté l a trace d e troi s poteau x supplémentaire s aligné s dan s l'ax e médian. Ces cabane s on t de s taille s diverses , allan t d e 1,60 X 2,10m à 2,50 X 4,70m. Quelques-unes son t flanquée s d'u n peti t appentis , destin é san s dout e à stocke r de s vivres (Ph . 3), ou d'u n auvent . L'occupatio n commenc e soi t directemen t su r la roch e fraîchement creusée , soi t su r u n remplissag e d'argil e stérile , d'épaisseu r variable , rapporté pou r régularise r l e fon d d e l a foss e e t l'assainir . Ell e donn e lie u à u n remplissage progressi f e t compact , parfoi s ponctu é d e rechargement s ponctuels , contenant de s vestiges divers (tessons de céramique, os de cuisine, objets usuels ou d e

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Claude Lorre n

Ph. 3 Une cabane de la basse Antiquité dont le fond es t creusé jusque dans la roche, flanquée d'u n appenti s perpendiculaire, la cabane n° 16, vue de l'Est. On observ e la trace d'un poteau extérieur qui servait de piédroit à l'entrée. Un auvent soutenu par des poteaux de moindre imponance, fichés seulement dans la terre végétale - et donc invisibles à ce stade de la fouille - , couvrait l'espac e entr e l a cabane et son appentis jusqu' à l'aplom b d e l'extrémit é d e c e dernier e t protégeai t l'accè s de s intempéries .

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Ph. 4 Exemple d e successio n e t d e recoupemen t d e cabane s d e type s diff é A droite, la cabane d e la basse Antiquité n° 13, dont le fond était creusé jusque dans la roche et le toit soutenu par deux poteaux médians, accompagné e d'u n peti t sil o circulaire (a u premie r plan) ; à gauche, la cabane du trè s hau t Moyen Age n° 25 dont le fond n'étai t creusé que dans la terre végétale, au toit soutenu par une série de poteaux périphériques .

Le village de Saint-Marti n d e Trainecour t

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s» Ph. 5 Une caban e du trè s haut Moyen Ag e dont le fond n'étai t creus é que dans la terre végétale, la cabane n°25, vue du Nord. Se s parois extérieures et son toi t étaient soutenus par des poteaux périphérique s disposés selo n u n pla n rectangulaire .

parure, etc.) . L e foye r s e trouv e soi t à l'extérieur , no n loi n d e l a cabane , soi t à l'intérieur e t dan s c e dernier ca s on peu t e n suivr e la trace dan s tout e l'épaisseu r d u remplissage, trace qui atteste que son emplacement es t demeuré le même tout a u long de l'occupation , qu e l e feu ai t été entretenu à même le sol o u dan s une constructio n rudimentaire d e terr e cru e pa r exemple , o u bie n dan s u n brasero . Deux de s cabane s fouillée s on t ét é remaniée s e t allongée s a u cour s d e leu r utilisation, trè s exactemen t a u mêm e emplacement . Cett e constatatio n attest e d e la meilleure faço n possibl e un e permanenc e étroit e d e l'occupatio n duran t l a bass e Antiquité e t l e très hau t Moye n Age . Ailleurs, cett e permanence d e l'occupation d e lopins plu s spécialemen t réservé s à l'habita t s e manifest e pa r de s recoupement s partiels d e cabane s successive s (Ph . 4) ou bie n pa r l'utilisatio n d e l a foss e d'un e cabane ruiné e comm e dépotoi r pa r le s occupant s d'un e nouvell e caban e immédiate ment voisine . Un typ e d e caban e différen t es t représent é pa r de s structure s don t l e fon d n'es t creusé que dans l a terre végétal e et n'entame pa s la roche en place et dont l e toit étai t soutenu pa r de s poteaux périphériques prenan t appu i directement dan s l e sol (Ph. 5). Les plan s qu e ceux-c i dessinen t a u so l son t plu s o u moin s réguliers , allan t d'un e forme oblongu e imprécis e a u rectangl e presqu e parfait , mai s leu r empris e n'es t pa s différente quan t à se s dimension s générale s d e cell e de s cabane s d e l a catégori e précédente. Il est, pour l e moment, impossibl e d'observer , dan s la longue période d'utilisatio n des constructions e n bois, une évolution sûre des modes de bâtir et des formes. Tou t au plu s peut-o n dir e qu e le s cabane s d e pla n rectangulair e o u oblong avec so l

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Claude Lorre n

intérieur recreus é et soutiens périphérique s son t le s plu s récente s e t appartiennen t toutes a u hau t Moye n Ag e alor s qu e l a plupart de s autre s peuven t êtr e datée s d e l a basse Antiquité. Néanmoins , l e plan l e plus simple , avec seulement deu x poteaux d e soutien médians , perdur e jusqu'encor e trè s tar d dan s l e VII e siècle . Ce s habitation s sont fréquemmen t accompagnée s d'aménagemen t annexes : fours , silos , grenier s o u fenils, etc . L'état d'avancemen t de s travau x n e perme t pa s encore d'avoi r un e idé e précis e d e l'organisation d u villag e e t d e l'évolutio n d e l'habita t dan s tou t l'espac e o ù l'o n a reconnu de s vestiges. Soumis aux fluctuations d e l'évolution démographique , celui-c i paraît s'êtr e déplac é lentemen t su r tou t u n finage , san s dout e à l'occasio n d e défrichements progressif s e t e n suivan t l'épuisemen t pui s l a régénératio n de s terres . Néanmoins, ce s impératif s n e semblen t pa s avoi r donn é lie u à un e occupatio n anarchique, totalemen t dispersée . S i l'on e n jug e d'aprè s l a stratigraphie d e certain s secteurs, de s lopin s on t ét é occupé s trè s longtemps , depui s l a bass e Antiquit é jusqu'au hau t Moye n Ag e e t o n voi t s' y succéde r plusieur s habitations . I l es t impossible d'être tou t à fait sû r que cette occupation a été continue; il est nonobstan t loisible d e constate r que , s'i l y a e u hiatu s temporaires , i l y a e u a u moins , su r l a longue durée , permanenc e d e l'utilisatio n d'espace s préci s à de s fin s d'habitat , certaines parcelles ayant vu sans doute s e relayer les membres d'une même famille. L a concentration d e constructions su r laquell e portent le s travaux actuel s paraît s'orga niser autour d'une place empierrée au centre de laquelle se trouvait un puits et près de laquelle o n a not é plu s spécialemen t de s trace s d'artisana t (tanneri e o u teinturerie , forge). U n chemin , égalemen t empierré , à la surfac e duque l o n observ e le s ornière s tracées pa r le s chariot s reliai t cett e concentratio n à l a voi e principal e qu i passai t à quelques centaine s d e mètre s plu s a u Su d (Pla n général) . Parmi les vestiges d'occupation recueillis , c'est la céramique commune qui domine. Un caractèr e particulier d e la céramique mise au jour dans les niveaux correspondan t à l'occupatio n de s cabane s s e manifest e dan s l e fai t qu'u n gran d nombr e d e vase s portent de s décor s réalisé s à l a molette , molett e don t le s motifs s e retrouven t auss i bien su r l a céramiqu e gallo-romain e commun e de s III e e t IVe siècle s o u su r l a céramique d'Argonne qu e sur la céramique mérovingienne du VIe siècle. Néanmoins, le contexte général, appuyé pa r le s découvertes monétaires , ne laisse aucun doute su r l'attribution chronologiqu e d e l a majorit é de s construction s e n boi s don t i l vien t d'être questio n à la fin d e l'époqu e gallo-romaine . Hormis u n certai n nombr e d'objet s relevan t d e l'outillag e agricol e o u artisana l (outils, poid s d e métie r à tisser ...) ou d'objet s usuel s comm e de s couteau x o u de s peignes pa r exemple , qu i n e peuven t êtr e daté s e n eux-même s o u n e peuven t l'êtr e que difficilement , quelque s élément s mobiliers , trè s rares , permetten t égalemen t d e confirmer l a datation général e e t celle-ci es t bien assuré e pour beaucou p d e cabanes . Dans u n context e d e non-connaissance presqu e total e d e ce que nous pouvon s nou s attendre à trouve r dan s notr e régio n pendan t l a bass e Antiquit é o u mêm e l e hau t Moyen Ag e - ignorance du e à l'absenc e d e fouill e d e référenc e - , une fibul e e n bronze pa r exemple , d e form e arqué e asymétrique , portan t u n déco r d e strie s obliques incisées , constitu e u n élémen t montran t qu e ce t habita t a bie n ét é occup é également a u Ve siècle. La forme d e cette fibule, malgré l'absence d e bras transversal , rappelle celle des fibules e n arbalète très répandues à l'époque romaine dans l'Europ e

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de l'Ouest , e t datées asse z courammen t d u Ve siècle. Des fibule s d e cette form e on t été mise s a u jour , pou r c e qui es t d e notre région , dan s l e cimetière gallo-romai n e t mérovingien d e Frénouville ; trouvée s dan s un e sépultur e orienté e O.-E. , elle s peuvent êtr e datée s d e l'extrêm e fi n d u Ve siècle , o u mêm e d u premie r tier s d u VI e . C'est a u VI e siècle (Plan par périodes, C) qu'appartien t un e cabane à cinq poteau x périphériques e t fond excav é seulement dan s la terre végétale (Plan général, n° 10). Sa datation es t assuré e pa r l a céramiqu e qu'ell e contenai t e t pa r cell e d e so n dépotoir . Les occupant s d e cett e constructio n on t e n effe t jet é leur s détritu s dan s u n fon d d e cabane (n°8) , dat é lui-mêm e d e l a bass e Antiquit é e t abandonn é alors , voisi n à quelques mètre s a u Nord . L'élémen t l e plu s remarquabl e parm i l a céramiqu e recueillie es t u n vas e carén é à pât e blanch e e t déco r à l a molett e su r l e hau t d e l a panse, caractéristiqu e d u VIe siècl e avancé . A côt é d e c e vas e e t d'autre s élément s atypiques, on not e la présence, aussi bien dan s la cabane que dans le dépotoir - et o n observe aussi des fragments d'u n mêm e récipient aux deux endroits - , d'une très fort e proportion d e céramiqu e à pâte gris e o u noire , portan t de s décor s à la molette , qu i trouvent d e trè s nombreu x parallèle s pendan t l e VIe siècle . Le seul élément attestant, pour le moment, que le type de cabane à deux poteaux, le plus répandu su r tout l e site, a perduré jusqu'à la fin d u VII e siècle est la cabane n° 17. La céramique , pe u abondant e e t n e renferman t d e tout e faço n aucu n élémen t caractéristique, n'est d'aucun secour s pour l a datation. Cett e dernière es t assurée pa r un pendenti f d e châtelain e e n bronze , pa r un e fibul e ansé e symétriqu e e t pa r un e agrafe à double crochet , toute s deu x également e n bronze, qu'on y a recueillis. Tou s ces objets trouven t de s parallèles, dans les cimetières d e l a région, à l'extrême fi n d u VII e e t mêm e a u débu t d u VIII e siècle . L'emplacement d e la caban e n°1 9 montr e qu'o n a superpos é à ce t endroi t un e construction d e pla n rectangulair e à soutien s périphérique s à un e caban e à deu x poteaux placés chacun a u milieu d u pignon, ce qui atteste, au moins ponctuellement , l'antériorité d'u n typ e pa r rappor t à l'autre. Le s cabane s n°1 8 e t 19, cette dernièr e dans so n deuxièm e état , on t ét é occupée s alor s qu e l e cimetièr e d e l'églis e Saint Martin voisin e étai t déj à utilis é e n tan t qu e tel , donc, comm e o n l e verra plu s loin , postérieurement à l a fi n d u VII e o u a u débu t d u VIII e siècle . Elle s on t livr é un e céramique commun e qu i peu t êtr e attribué e a u hau t Moye n Age . On a remarqu é qu'e n plein e périod e d'utilisatio n prépondérant e d u boi s dan s l a construction, l a pierre a continué d'êtr e utilisé e e n certai n ca s pour l a confection d e solins très rudimentaires. Néanmoins, le retour à la pierre comme matériau dominan t n'est véritablemen t attest é qu' à l a fi n d u VII e o u a u débu t d u VIII e siècl e (Pla n pa r périodes, C) . I l doi t vraisemblablemen t êtr e mi s e n relatio n ave c u n context e d e stabilité politique relative dans la région qui donna sans doute à chacun un sentimen t de sécurit é l'encouragean t à s'installe r d e faço n plu s durable , mai s auss i avec u n contexte économiqu e plu s propic e à un e vi e meilleure , d û à un e amélioratio n d u climat, à des défrichements important s e t à des progrès dan s les techniques agricole s qui ont à la fois concour u à une production accru e des grains et à un élevage pratiqué de manière plus rentable, tous ces éléments contribuant à une alimentation plu s rich e d'une populatio n e n augmentation . Il n'es t bie n sû r pa s permi s d'affirme r s i le s structure s bâtie s e n pierre s liée s à l'argile, dont nous observons aujourd'hui le s fragments, s'élevaien t ainsi jusqu'au toi t

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Ph. 6 Vestiges d'une construction mérovingienne en pierre, avec poteaux de soutien médian du toit et foyer établi a u centre su r une dall e de grès . Le sol d'occupation intérieur , ménag é e n creux par rappor t à l'extérieur, a été perturbé par l'effondremen t de s matériaux (maison situé e immédiatement a u Nor d de l a caban e n°12 , vu e d u N . O.).

ou bien si, comme lors de la première période d'occupation d u site, elles ne formaien t que de s solin s ayan t support é de s superstructure s e n pis é o u e n colombage s pa r exemple. Rien ne s'oppose véritablemen t à la première hypothèse, car on voit, encor e de no s jours , dan s l a région, de s maison s au x mur s lié s à l'argile e t monté s su r plu s d'un niveau . D e tout e façon , s i l a second e hypothès e devai t seul e êtr e retenue , i l faudrait remarque r qu'i l n'exist e pa s d e commun e mesur e entr e le s minces solin s d e certaines cabane s e t ceu x qu e le s fragment s construit s observé s pou r l a fi n d u VII e siècle e t plu s tar d représenteraient . Bie n qu'il s resten t rudimentaires , il s son t plu s larges, les pierres son t mieu x jointe s e t les constructions auxquelle s ils appartiennen t ont d e plu s grande s dimensions . Mêm e s i certain s caractère s demeuren t — poteaux médians d e soutie n d e l a charpente , matériau x d e couvertur e putrécibles , nivea u intérieur recreus é pa r rappor t à celui du so l extérieur - , il est tou t à fait éviden t qu e l'on a affaire à un tou t autr e mod e d e construction . C'est dan s u n secteu r situ é dan s la partie su d d u chantie r qu e l'on a pu mettr e e n évidence avec le plus de clarté à la fois la succession chronologique des structures et la continuité de l'occupation d e certains lopins (Plan général et plan par périodes). A cet endroit, s e trouve la cabane de la basse Antiquité n ° 8 transformée e n dépotoi r a u VI e siècle par les occupants de la cabane n° 10. Au-dessus de la cabane n° 8 et du dépotoi r qui a termin é d e l a combler , pass e l e mu r su d d'un e constructio n rectangulair e e n pierre, orientée de la même façon qu e les cabanes antérieures . Les moellons d e pierre calcaire local e qu i entren t dan s l a compositio n de s mur s son t disposé s e n lit s horizontaux. L a longueu r d e c e bâtimen t n e peu t êtr e qu e difficilemen t apprécié e étant donn é l'éta t d e destructio n trè s avanc é de s structures , comm e son t difficile s à évaluer égalemen t le s dimension s d u bâtimen t qu i lu i es t voisi n à l'Es t (Ph . 6). On

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peut toutefoi s estime r les dimensions moyenne s de s constructions d e c e type à cette époque à 7 X 3,5 m. L e so l intérieu r es t ménag é a u nivea u supérieu r d e l a roch e e n place débarrassé e d e l a terr e végétale ; i l s e trouv e alor s e n contreba s d u nivea u extérieur d u bâtiment . L e foyer es t établi, non plus à même le sol ou dan s un braser o comme dans les cabanes en bois, mais sur une ou plusieurs dalles de grès au centre de la construction. Le niveau d'occupation intérieu r de la construction évoqué e avait été maintenu dan s u n gran d éta t d e propreté e t n' a livr é qu e d'infime s fragment s d'un e céramique atypique . Mis e à par t l a successio n chronologiqu e de s structures , rie n n'aurait pu permettre d'avancer un e datation des constructions en pierre de ce secteur si l'o n n'avai t recueill i dan s l e nivea u d'occupatio n extérieu r un e fibul e ansé e symétrique e n bronz e e t un e agraf e à double croche t e n fer. Ce s objet s peuven t êtr e datés, si on le s compare a u mobilie r mi s a u jour dan s les nécropoles d e l a région, d e l'extrême fi n d u VII e o u d u débu t d u VIII e siècle . Même s i l'éta t d e destructio n de s bâtiment s e n pierr e d e cett e époqu e n e perme t que raremen t d e propose r un e restitutio n exact e d e leu r plan , o n not e presqu e systématiquement su r tou t l e site , dan s le s zone s marquée s pa r un e densit é impor tante d'ébouli s d e pierres , l a présence d'objet s appartenan t à la fin d u VII e siècl e o u au commencemen t d u siècl e suivant : fibule s ansée s symétriques , agrafe s à doubl e crochet, ardillo n d e boucle , terminaiso n d e ceinture , pendentif s o u crochet s d e châtelaine, etc . A parti r d e cett e période , l'histoir e d e l a constructio n e n pierr e su r l e sit e es t marquée par une évolution dan s le sens d'un plu s grand soin, d'une plu s grande taille et d'u n plu s gran d confort . Ainsi , a u Nor d d e l a zon e fouillée , o n a mi s a u jour , surmontant un e cabane romaine et une cabane mérovingienne, un bâtimen t e n pierre de plan rectangulaire imparfait , larg e de 5 m et long de 9,50 m, dont ne subsistent plu s que le s trois quart s enviro n d u trac é de s substruction s (Ph . 7). Cette construction, à la différenc e d e celle s qu i on t ét é évoquée s jusqu'alors , es t séparé e e n deu x pièce s distinctes pa r un mu r médian. Toujours no n fondés , les murs ou a u moins le s parties basses d e ceux-c i puisqu'o n ignore , comm e pou r le s construction s d e l a premièr e époque, quell e pouvai t êtr e l a natur e de s partie s hautes , large s d e 55 à 60 cm, son t faits d e moellon s d e calcair e loca l lié s à l'argile , disposé s e n lit s horizontaux . De s poteaux d e bois , agencé s dan s l'ax e médian , participaien t encor e a u soutie n d'un e toiture faite de matériaux périssables. Dans l'angle N. O. de la pièce occidentale, celle par laquell e s e faisai t l'accès , étai t plac é u n aménagemen t e n pierre , e n form e d e U anguleux, cal é dans l'angl e e t ouver t ver s l'intérieur, dan s lequel était établi le foyer . A côté , vers le Sud, est creusé dans la roche, au pied du mur, un sil o profond e t large d'un mètre . Le niveau intérieur de ce bâtiment est ménagé en creux par rapport a u sol extérieur e t la roche est creusée sur environ 20 cm de profondeur dan s toute l'empris e du bâtiment . Un li t de pierres tassées recouvrait celle de la cabane du VIIe siècle, mais n'a pa s empêché à cet endroit un e faiblesse d u mur qu i passait au-dessus. Par contre , le tro u d e potea u qu i soutenai t a u Nor d l e toi t d e cett e caban e a ét é recreus é e t agrandi pour recevoi r un poteau plus fort destin é cette fois à assurer pour un e part le soutien média n d e la toiture d u nouvea u bâtiment . Cett e façon d e faire témoigne , on ne peu t plu s clairement , d e l a pérennit é d e l'occupatio n su r l e lopin . Comme c'es t l e cas dans toute s le s constructions d e ce type, les habitants d e cett e maison on t mainten u l e nivea u su r leque l il s vivaient presqu e parfaitemen t propre .

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Ph. 7 Bâtiment carolingie n e n pierr e à deux pièce s distinctes , ave c poteaux d e soutie n média n d u toi t e t foyer établ i dans u n encadremen t d e pierres dan s l'angl e nor d (vu e du N . O.). Le so l d'occupatio n intérieur a été ménagé en creux par rapport au sol extérieur, au niveau supérieur de la roche en place. Cette construction d e la fin du IX E O U du tout début du X' siècle surmonte les vestiges d'une caban e gallo-romaine à fond excavé (à gauche) et ceux d'une cabane de la fin du VII e siècle mais de même type (à droite, sou s l e mur sud , à l'aplomb d'u n effondrement) .

Ce dernier n e se signale donc que par une mince salissure argileuse de la surface d e la roche. Le s vestige s céramique s y son t trè s pe u nombreux , toujour s d e mauvais e qualité e t ma l cuits , e t le s élément s d e comparaiso n manquen t dan s l a région . Quelques déduction s stratigraphique s pouvaien t fair e pense r à l'époqu e carolin gienne e t cette impressison fu t renforcé e pa r la découverte, dans la pièce ouest, d'un e obole e n argen t frappé e dan s l'atelie r d e Lisieux , qu e l'o n peu t date r de s dernière s décennies d u IX e ou d u tou t débu t d u Xe siècle. La présence de cette monnai e a , pa r ailleurs, l e mérit e d e mettr e e n évidenc e l e fai t qu e l'atelie r monétair e d e Lisieu x maintenait so n activit é alor s qu e le s Vikings infestaien t l a basse vallée d e la Sein e e t les région s environnantes . Les travau x d e fouill e n'on t pa s encor e mi s e n évidenc e l e cimetièr e antique , cimetière qui, selon les pratiques de l'époque, doi t s e trouver à quelques centaines d e mètres de l'habitat, san s doute l e long de la voie ancienne. C'est à la fin d u VII e ou a u début d u VIII e siècl e qu e l'o n commenc e à inhumer le s mort s d e l a communaut é à proximité immédiat e d e l'habitat , su r l'emplacemen t d'un e ancienn e constructio n romaine. C e secteu r d u sit e a déj à ét é fouill é e n 1913, selon le s méthode s alor s e n usage, et l'interprétation qu'o n e n peut faire aujourd'hui es t très aléatoire. En effet , l a première fouille a malheureusement priv é les structures, dégagées par de s terrassiers, de tout context e stratigraphique e t fait disparaîtr e de nombreux élément s qui auraien t favorisé l'interprétatio n chronologiqu e de s élément s bâti s juxtaposés . Ell e a néan moins donné lieu de la part du responsabl e d e la fouille d'alors à la rédaction d e notes brèves, à l'établissement d e plans sommaires, à la prise d e quelques photographie s e t

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à la conservatio n d e l'essentie l d u matérie l mobilier , tou s ce s élément s étan t d'u n secours certai n pou r l a compréhension de s vestiges 2. C'est bie n sûr une pratique courante, à l'époque qu i nous intéresse, que d'inhume r dans de s ruine s gallo-romaine s - les exemple s n e manquen t pa s - , mais i l fau t ic i mettre c e fait e n relatio n ave c la nature de s premières sépulture s e t le toponyme d u site et se demander si les murs de la ruine antique n'ont pas pu servir de substruction s ou mêm e êtr e sommairemen t retapé s - en fonctio n d e leu r éta t d e conservatio n pour établi r u n lie u d e culte , à un e époqu e o ù justement , lor s d'u n mouvemen t d e christianisation de s campagnes , le s dédicace s à sain t Marti n semblen t s e multiplie r dans la région. Si l'on regard e une carte de répartition d e ces dédicaces, on s'aperçoi t que le culte de saint Martin es t très répandu e n Normandie e t tout spécialemen t dan s le diocèse d e Bayeux. Les église s qui lui son t dédiée s apparaissen t groupée s pa r îlot s plus ou moins importants, leur dispersion géographique pouvant résulter du démem brement progressi f d e vaste s paroisse s initiales : de s chapelle s dépendante s on t p u conquérir leu r autonomie , o u bie n d e nouvelle s église s on t adopt é l a dédicac e d e l'église-mère l a plu s proche . Le s fouille s d e cimetière s e t le s observation s récente s réalisées dan s l a Plain e d e Cae n on t permi s d e s e fair e un e idé e plu s précis e d e l'époque à laquelle ce s églises ont ét é fondées. Elle s montrent e n effe t qu' à l a fin d u VII e siècl e o n cess e d'utilise r l'ancie n cimetièr e situé , selo n l'usag e antique , à l'extérieur d u villag e e t qu e l'o n commenc e à inhume r autou r d e l'églis e nouvelle ment construite a u centre du village ou a u moins dans l'aire habitée dont elle devient alors l e pôl e essentiel , l e poin t d e ralliemen t d'un e communaut é qu i affirm e ains i davantage so n unité . Le s fouille s d e nécropole s pratiquée s dan s l a régio n d e Cae n l'ont montré , c'est au VII e siècle que l'on peut placer l'abandon de s nécropoles isolées dans l a campagne e t le début d e celles groupées autou r d'un e église , église qui, on l' a noté d e façon plu s générale , prend dan s la conscience paysanne un e place centrale e t qui devient en quelqu e sort e le lieu géométriqu e d e la communauté qu i l'a érigée . L e bâtiment d e cult e pren d trè s souven t l e vocabl e d e sain t Martin . Cett e périod e d e transition es t marqué e égalemen t pa r l'utilisatio n d e sarcophage s trapézoïdau x e n pierre pou r certaine s inhumations . S i l'on fai t abstractio n de s nombreuses réutilisa tions ultérieures , cett e pratiqu e n e sembl e pa s avoi r dur é trè s longtemp s dan s la région, mai s elle est curieusement concomitant e ave c le déplacement d e la nécropol e villageoise. Le s exemple s n e manquen t pas , dan s l a région , d e nécropole s e n campagne dan s lesquelle s o n compt e a u nombr e de s dernière s sépulture s de s inhumations e n sarcophag e e t qu i son t abandonnée s à la fin d u VII e siècl e a u profi t d'un nouvea u cimetièr e établ i autou r d'un e églis e paroissiale proch e dédié e l e plu s souvent à sain t Marti n e t o ù l'o n observe , parm i le s première s sépultures , de s inhumations e n sarcophage : Frénouville , Giberville , Fleury-sur-Orne , Amfreville , Anguerny, Saint-Martin-de-Fontenay , etc . Ailleurs , san s qu'o n ai t encor e mi s e n évidence l a nécropole antérieure , o n peu t observe r de s cimetières paroissiau x autou r d'une églis e Saint-Martin, ave c emploi de sarcophages au début d e l'utilisation d e ces cimetières: Saint-Marti n d e Caen , Cully , Cormelles , Garcelles-Secqueville , etc . 2 Lucien MUSSET , L e site mérovingie n d e Saint-Martin d e Mondeville (Calvados) . Fouille s d u Capitain e G.Caillaud (1913-1917), dans: Bulletin d e l a Société de s Antiquaire s d e Normandi e 57 (1963-1964) , p.145-188.

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Période gallo-romaine : Etats de l'église:

Fig. 3 Pla n de s structures mise s a u jour e n 1978 à l'emplacement d e l'églis e Saint-Marti n e t reconstitution s axonométrique s d e celle-ci .

ETAT

Delle Saint-Martin

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V

MONDEVILLE (Calvados )

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Ph. 8 Les vestiges de l'église Saint-Martin (vus de l'Est) tels qu'ils sont réapparus en 1978. Au premier plan, les restes du sarcophag e 13, contemporain d u débu t d e l'utilisation d e la première église, placé dans une tranchée de récupération de pierres de la construction gallo-romain e antérieure et qui fut ensuit e recouvert pa r l e mu r N . E. d u chœu r d e l'églis e dan s so n deuxièm e état .

L'exemple d e Saint-Martin d e Trainecourt à Mondeville est révélateur e t montre qu e très tôt , puisqu e l e nouvea u cimetièr e n e commence , comm e o n l e verra plu s loin , qu'à l a tout e fi n d u VI P o u a u débu t d u VIII e siècl e - commencement marqu é pa r l'utilisation d e quelque s sarcophage s e n pierr e —, de trè s petite s agglomération s s e sont dotée s d'un e églis e paroissial e indépendante , ave c so n propr e cimetière , sym bole même du fait qu'ell e jouit de la plénitude de ses droits. En effet, s i l'on considèr e le nombr e d e sépulture s dan s l e cimetière , o n peu t estime r qu e l a communaut é n e devait guèr e compte r plu s d'un e quinzain e d e feux . I l apparaî t don c que , dan s quelques cas au moins, certains très petits villages n'ont pas attendu l'ultime terme d u démembrement d e circonscription s plu s vastes pour posséde r un e églis e paroissiale . La fouill e a mis a u jou r l'ensembl e de s bâtiments. O n a constaté qu e l'églis e avai t été construit e su r de s vestiges antérieur s e t remanié e a u cour s d e so n utilisation . L e premier élémen t bât i qu e l'o n a pu observe r dan s c e secteu r appartien t à une vast e construction. I l s e présentai t sou s l a form e d'un e unit é rectangulair e d e 9 m su r 7,70 m enviro n don t l e mu r nor d s e prolongeait ver s l'Est , l e mu r su d ver s l'Es t e t vers l'Oues t e t le mur oues t ver s l e Sud. Ces prolongements s e manifestaient dan s l e sol sous l a forme d e tranchée s d e vol dont l a trace se perdait, à des distances plu s o u moins grandes , dan s l'enchevêtremen t de s vestige s postérieurs , s i bie n qu'i l es t impossible d e savoi r exactemen t que l pla n pouvai t avoi r l'ensembl e d e l a construc tion (Pla n n ° 3, Ph. 8). Les murs , large s d'enviro n 85 cm, étaien t bâti s a u moye n d e pierres plate s provenan t d e l a décomposition superficiell e d u calcair e local , liées à la terre, assemblée s e n arêt e d e poisso n à partir d'un e bas e fait e d e pierres semblables ,

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mais de petit module , disposée s à plat . I l n'es t pa s possibl e d e dir e s i le s mur s s'élevaient ains i jusqu'a u toi t o u bie n s i les élément s bâti s observé s n e représenten t que le s restes d e solins ayan t souten u de s superstructures e n pisé ou e n colombages . La quantit é d e matériau x d e couvertur e solide s mi s a u jou r (quelque s fragment s d e tuiles plates ) n e paraî t pa s suffisant e pou r atteste r leu r emplo i exclusif . Diverse s constatations permettent, avec les réserves qu'impose le fait qu e les fouilles ancienne s aient priv é le s vestige s d e l a presqu e totalit é d e leu r context e stratigraphique , d'interpréter cett e construction comm e Tun e des habitations le s plus importantes , e t les plu s riche s s i l'o n e n jug e d'aprè s l e mobilie r mi s a u jou r autour , d u vicus de s I er -III c siècles . Lors d e l a réutilisatio n d e se s vestiges , c e premier élémen t d e constructio n a ét é réduit e n largeur . Pou r c e faire , o n a construi t u n mur , épai s d e 75 cm, bât i d e l a même façon, mai s à partir d'une bas e horizontale fait e d e plus grosses pierres. Celui ci étai t conservé , e n 1913, sur un e hauteu r doubl e d e cell e de s substruction s gallo romaines. I l prenai t appu i su r l e mu r occidenta l d e l a constructio n antérieur e e t recoupait le mur oriental au-delà duquel on a pu le suivre sous la trace d'une tranché e de vol; il est donc vraisemblable que la partie sud d e la précédente constructio n étai t alors abandonnée. Grâc e à l'observation de s documents de 1913 et aux données d e la nouvelle fouille , o n a pu reconstitue r l e trac é de s mur s d e c e nouvea u bâtiment , l e premier édifice de culte sur le site. Il se présentait sous la forme d'u n simpl e bâtiment , imparfaitement rectangulaire , d e 8 m su r 5 environ, orient é E.-CX , e t prolong é ver s l'Est, à son angl e S. E., par un petit élément excentré, de plan carré (2 X 1,50 m) (Pla n n°3, reconstitutio n éta t I). L'état actue l de s substruction s n e perme t pa s d'infére r l'aspect de s parties hautes, qui ont p u auss i bien êtr e construites e n pierre qu'e n pis é ou e n colombages. Par contre, l'absence d e matériaux de couverture solide s atteste la réalisation d u toi t e n chaume o u e n bardeaux. Certaine s de s premières inhumations , dans c e bâtiment e t autou r d e lui , ont ét é effectuée s dan s de s sarcophage s d e pierr e calcaire monolithes, provenant d e carrières distante s d e quelques kilomètres , mais la plupart l'on t ét é e n plein e terre . L e mobilie r recueill i (agrafe s à doubl e crochet , fibules ansée s symétriques , fibule s à plaque métallique estampé e e t verroteries, etc. ) permet d e dater ces inhumations d e l'extrême fi n du VIIe ou du début du VIII e siècle. La datation de s édifices, du fait d e leurs modifications, de s inhumations pratiquée s à l'intérieu r e t autour , e t san s doute , égalemen t e t surtout , d u fai t d e l a fouill e d u début d u siècl e qui les a privés presque entièremen t d e leur environnement stratigra phique, ne pourra jamai s être précisée d e façon sûre . Aucun élémen t archéologique ment constatabl e e n plac e n e perme t d e précise r n i le s époque s d e constructio n proprement dite , ni d e dater le s modifications e t l'abandon . Seule s de s observation s extérieures e t de s comparaison s permetten t d'avance r de s hypothèses . C'es t d e l'examen d u cimetièr e e t e n particulier d e celui des premières inhumation s qu e nou s viennent le s meilleure s information s e n matièr e d e datation . L a premièr e construc tion à ce t endroit , o n l' a signal é ci-dessus , représent e san s doute , s i l'o n e n jug e d'après se s caractéristiques , so n environnemen t e t l a céramiqu e recueilli e dan s so n emprise, un élémen t d'un e habitatio n gallo-romain e don t o n peu t place r l'utilisatio n dans le s troi s premier s siècle s d e notr e ère . L'importanc e de s vestige s e t la relativ e richesse d u matérie l recueill i dan s c e secteur , pa r rappor t a u rest e d u site , laissen t penser qu e l'on es t en présence, dan s l'hypothès e retenu e ci-dessus d'u n vicus, d e la

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maison d'u n personnag e d e niveau socia l plus important qu e celui des occupants de s autres unité s d'habitatio n dispersée s au x environ s mise s a u jou r jusqu'alors . L e fai t que cett e constructio n n'étai t plu s e n usag e à l'époqu e d u cimetièr e es t attest é clairement pa r l e fai t qu e différente s sépultures , e n particulie r l e sarcophag e 13, occupent l'emplacemen t d e certain s d e se s murs don t le s matériaux avaien t déj à ét é récupérés. L'interprétation e t l a datatio n d e l a deuxièm e construction , rectangulair e avec appendice orienta l décentré , dépenden t pou r beaucou p d e l'étud e de s inhumation s pratiquées à l'intérieur e t au x environ s immédiats . Les travaux récents ont mis en évidence dans ce secteur 373 sépultures qui viennent s'ajouter à l a quarantain e mis e a u jou r e n 1913, le cimetièr e s'étendan t surtou t a u Nord e t a u N . O. de s construction s e t couvran t un e air e de près d e 600 m2, air e qu i fut, dan s l e courant d e so n utilisation , limité e par u n foss é pe u profond . L a densit é des inhumations es t importante et , su r une épaisseur d e 50 cm environ, on a observé fréquemment jusqu' à troi s o u quatr e niveau x d e sépulture s superposée s e t le s recoupements son t nombreux . Le s fouille s ancienne s avaien t mi s a u jou r dix-hui t sarcophages trapézoïdau x monolithe s e n pierr e calcair e locale , réutilisé s plusieur s fois; les autres squelettes reposent e n pleine terre, souvent dans un encadrement plu s ou moins complet d e pierres brute s posées à chant et divers indices laissent supposer , dans certain s cas , l'utilisatio n d e coffrage s e n planches . La majorit é de s squelette s son t ceu x d'adultes , mai s o n a néanmoin s trouv é e n place 106 squelettes d'enfants , souven t trè s jeunes , don t un e grand e proportio n s e trouve dan s la zon e nor d e t N . E. d u cimetière , e n particulier l e long d e l a clôture . D'autres élément s d e squelettes d'enfant s on t ét é mis en évidence, éparpillés dans les terres d u cimetière . Cett e constatatio n attest e qu e le s inhumations d'enfant s on t ét é plus nombreuses que le nombre des squelettes en connexion permettrait de le penser. Les sépultures moin s importante s e t le s ossements plu s fragile s on t ét é détruits plu s facilement e t leur s vestige s dispersé s à l'occasio n d'inhumation s ultérieures . Le s examens anthropologique s e t le s comptages , e n cour s d e réalisation , renden t possi ble, d'ore s e t déjà , un e évaluatio n d e l a mortalité infantil e comparabl e à ce que l'o n connaît pa r ailleurs . Su r u n autr e plan , i l fau t note r qu e l a présenc e d e squelette s d'enfants es t quelqu e chos e d e nouvea u pa r rappor t à ce qu e l'o n observ e dan s le s nécropoles d e l a basse Antiquit é e t du trè s haut Moye n Ag e établies en campagne, à l'extérieur d e l'habitat , o ù il s manquen t presqu e complètement . Ell e illustr e claire ment u n changemen t profon d d e mentalité . Sauf vingt-trois corp s orientés N.-S. (dont neuf enfants) e t quinze S.-N. (don t neuf enfants), tou s le s autre s son t orienté s O.-E. , têt e à l'Ouest . A d e rare s exception s près, quelle qu e soi t leu r orientation , le s squelettes reposen t toujour s allongé s sur le dos, le s jambe s droites , le s pied s parfoi s joints . L a positio n de s bra s connaî t d e nombreuses variantes . I l est difficile d'explique r le s orientations exceptionnelles . O n peut simplemen t rappele r qu e l a fouille d e 1913 avait livr é trois sépulture s N.-S . et S.-N. e t remarquer qu e toutes le s inhumations placées de la sorte, à l'exception d'un e seule qu i recoup e un e sépultur e O.-E. , compten t parm i le s plu s profondémen t placées e t le s plu s ancienne s d e l a nécropole . O n n e peu t donne r d'explicatio n définitive. San s écarte r totalemen t l'hypothès e d e résurgence s o u d e maintie n d u paganisme dan s certain s milieux , o u cell e d e pratiques familiale s solidemen t enraci -

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nées, il faut remarque r qu e les corps orientés de cette façon, à l'exception d e ceux qui occupent l'emplacemen t d'u n mu r don t le s matériau x avaien t ét é récupéré s e t don t l'orientation conditionnai t cell e de s sépultures , son t grossièremen t dispersé s selo n deux lignes perpendiculaires a u bâtiment. L'un e d e celles-ci au moins représente un e limite d u cimetière . O n peu t alor s propose r un e explicatio n plu s technique , mai s aussi plu s simple . Ce s sépulture s auraien t ét é placée s l e lon g d e l a clôtur e d u cimetière pour utilise r au maximum l a place disponible; la limite orientale, le long de laquelle s'alignen t essentiellemen t de s squelette s d'enfants , aurai t ét é conservée , la limite occidental e aurai t ét é transgressé e lor s d'u n agrandissemen t d e la nécropol e dans cett e direction . Cett e explicatio n pragmatique , qu i pren d e n compt e l e souc i d'utiliser a u maximu m un e surfac e relativemen t réduite , serai t conforté e égalemen t par l a présence de sépultures N.-S . ou S.-N . établie s entr e de s rangées d e sépulture s orientées O.-E. , dan s le s allée s d e circulation . Il est vraisemblable qu e certaine s sépulture s a u moins étaien t signalée s e n surface . On a e n effe t retrouv é un e stèl e san s aucun e inscriptio n dan s le s reste s d'un e sépulture repoussé s le long d'une sépultur e plus récente et quatre autres gravées d'u n masque humain, semblable s à un exemplair e mis au jour e n 1913, une dans le s terre s du cimetière , un e à la têt e d'un e sépulture , un e dan s la maçonnerie d e l'agrandisse ment d e l'édific e à l'Oues t (voi r plu s loin ) e t un e dernièr e dan s le s gravat s d e démolition ayan t serv i à comble r u n puit s voisin . Toute s ce s stèle s son t taillée s e n pointe à leur extrémit é inférieur e et , mêm e s i l'on peu t émettr e l'hypothès e qu e le s pierres gravée s d'u n masqu e aien t pu avoi r à l'origine un e fonction architecturale , i l n'est pa s douteux qu e cett e particularité le s a, de toute façon , rendue s propres , dan s une éventuell e utilisatio n secondaire , à être fichée s e n terre , à la tête - seul exempl e que l'o n ai t p u observe r e n plac e - ou au x pied s de s sépulture s qu'elle s signalaient . D'autres inhumation s paraissen t avoi r été indiquées e n surface pa r une simple pierr e brute dressée, pierre que l'on retrouv e fréquemment basculé e à la tête de la sépulture. Les inhumation s habillée s son t rare s e t plutô t concentrée s à l'intérieu r de s constructions o u à leur voisinag e e t plu s spécialement , dan s c e dernie r cas , entr e l e bâtiment e n pierre e t une petit e construction e n bois située à environ 11 m de l'angl e N . O. d e c e dernier . Cett e caban e rectangulaire , d e 3 m su r 4 environ, orienté e N . O - S . E . , avai t un e ossatur e réalisé e a u moye n d e hui t poteau x e n bois , planté s jusque dan s l a roch e e n place , u n à chaqu e angle , u n a u milie u d e chaqu e côté , le s poteaux médian s de s pignon s étan t plu s fort s puisqu e destiné s à soutenir l e faîtag e (Plan général , n°18) . C e soutie n étai t renforc é pa r u n potea u intérieur , plac é dan s l'axe longitudinal , mais décalé vers l'Ouest . L e toit, à deux pans, devait êtr e couver t d'un matéria u périssable . Le s paroi s extérieure s n'on t pa s no n plu s laiss é d e trace ; elles étaient san s doute réalisées avec des clayonnages colmaté s d'argile. Les sépultu res entourent cette construction san s jamais la recouper. U n espace libre relativement important a ét é longtemp s réservé , principalemen t a u Su d e t à l'Est, e t n' a ét é qu e partiellement utilisé pour le cimetière, sans doute à la fin de l'utilisation d e ce dernier. A cause de son aspect , de sa situation, peut-être mêm e de son orientation, certains , à la lumièr e d'exemple s extérieurs , auraien t tô t fai t d e voi r dan s cett e constructio n une memoria ou un e chapell e primitive . I l aurai t ét é possibl e d'envisage r cett e hypothèse s i l a plupar t de s sépulture s le s plu s ancienne s s'étaien t trouvée s autou r d'elle e t non pa s auprè s de s élément s maçonné s à plus d e dix mètre s a u S . E. e t s i le

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fond d e cett e cabane , creus é dan s l e nivea u superficie l d u sol , e t l e comblemen t correspondant à son occupatio n n'avai t livr é une grand e mass e de déchets e t d'os d e cuisine, attestan t un e utilisatio n profane , e t de s fragment s d e céramiqu e commun e que l'o n peu t trè s vraisemblablemen t attribue r à la fi n d u trè s hau t Moye n Age . I l s'agit don c bie n d'un e unit é d'habitation placé e dans le cimetière e t occupée pendan t que celui-c i étai t e n usage . Au cour s d e la fouill e ancienne , o n a découver t e n relatio n ave c le s corp s de s fibules ansée s symétrique s e n bronze , de s fibule s ronde s à plaque métalliqu e estam pée e t verroterie s e t de s agrafe s à doubl e croche t e n bronze . Hui t seulemen t de s sépultures mise s a u jou r a u cour s de s fouille s récente s on t livr é d u mobilier : cin q adultes portaien t su r leu r vêtement , a u momen t d e leu r inhumation , d e un e à troi s agrafes à double croche t e n bronze, u n enfan t e n portait deux, un adult e une agrafe à double crochet e n fer garnie d'une plaquett e d'os, un adulte une fibule rond e à plaque métallique estampé e e t déco r d e verroteries e t une petit e fibule ansé e symétriqu e e n bronze. Les sépultures dans lesquelles on a mis au jour ces objets peuvent être datées, grâce à eux et grâce aux comparaison s qu e l'on peu t fair e dan s d'autre s cimetière s d e la régio n o ù il s apparaissen t dan s l a phas e final e d'utilisatio n de s cimetière s e n campagne et au début d e celle des cimetières auprè s d'une église . On peut les placer à l'extrême fi n d u VII e o u a u débu t d u VIII e siècle , e t c'es t a u nombr e de s plu s anciennes d u cimetièr e qu'i l fau t le s compte r ains i qu e diverse s sépulture s qu i contenaient de s élément s semblable s mise s a u jou r e n 1913 dans l a construction . A ces objet s trè s caractéristique s d e cett e périod e dan s la région , i l fau t ajoute r deu x fibules. L'un e mis e a u jou r dan s l'u n de s deu x ossuaire s d e l a nécropole , es t fait e d'une platin e e n fe r oval e portan t de s verroteries , quatr e rouges , deu x vertes , un e bleue au centre. La seconde, trouvée dans les déblais de la fouille ancienne , circulaire, est e n o r e t port e de s verroterie s rouge s dessinan t un e croi x autou r d'u n cercl e d e perles, cantonnée d e filigranes . S i l'on s'e n tien t à l'observation e t à la comparaiso n des caractère s d e ce s deu x objets , ce s dernier s peuven t êtr e attribué s a u VII e siècl e finissant o u même au VIII e siècle. Les objets mis au jour dans le cimetière s'accorden t bien avec ceux que l'on a découverts dans différentes construction s en pierre mises en évidence sur le site et attestent l a contemporanéité d e ces maisons et du cimetière . L a pratique d e l'inhumation habillé e cesse , dans la région, à l'extrême fi n d u VII e ou a u début d u VIII e siècle , s i bie n qu e le s sépulture s postérieure s n e présenten t pa s d e mobilier e t n e peuven t don c connaîtr e d e datatio n autr e qu e relative . Grâc e à l a concordance de s éléments , i l es t don c trè s légitim e d e considére r qu e l e cimetièr e étudié a dû commence r d'êtr e utilis é a u plu s tô t à l a fin d u VII e siècle . Comme on l' a écrit plus haut, la fixation dan s le temps de la construction e n pierre de plan rectangulaire à appendice oriental excentré bâtie sur d'anciennes ruine s galloromaines dépen d d e l'interprétatio n qu'o n e n fait . I l fau t pou r cel a s e pose r l a question d e savoi r leque l d u lie u d e cult e - attesté pa r l a microtoponymi e - ou d u cimetière a attiré l'autre . L'occupatio n d u villag e paraît continu e depui s l e début d e notre èr e a u moin s e t i l es t trè s vraisemblabl e qu e nou s avon s affair e à u n mêm e groupe humain . Le s habitant s on t d'abor d inhum é leur s morts , selo n le s usage s d e l'Antiquité, à l'extérieu r d e l'habitat , san s dout e l e lon g d e l a voi e ancienn e tout e proche, e n u n endroi t qu i n' a pa s encor e ét é repéré . Subitement , à l a fi n d u VII e siècle, il s commencen t à inhume r e n u n lie u nouvea u don t l'éta t d'avancemen t de s

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travaux n'autoris e pa s encor e à dir e s'i l es t situ é à proprement parle r a u centr e d u village, mai s don t l a caractéristiqu e essentiell e es t qu'i l s e trouv e à cett e époqu e entouré d'unité s d'habitation . C'es t un e raiso n nouvell e qu i a , san s aucu n doute , entraîné c e déplacemen t e t forc e es t d e constater , s i l'o n tien t compt e autan t d e l'environnement généra l qu e d u context e particulier, qu e le seul événement nouvea u qui ai t p u interveni r es t l'édificatio n d'u n bâtimen t d e cult e chrétien . Dan s l e ca s présent, où i l y a transfert d e nécropole e t non pa s superposition d'u n lie u d e culte à une nécropol e préexistante , c e n e peu t êtr e qu' à parti r d u momen t o ù le s habitant s ont construi t un e églis e au cœu r d e leur village qu'ils ont enterr é leur s morts dedan s et autour , sou s l a protection d u sain t auque l ell e était dédiée. L e petit bâtimen t qu e l'on observe , à l a ne f rectangulair e e t a u chœu r excentré , qu i réutilis e le s substruc tions d'un e constructio n préexistant e don t le s ruine s devaien t empêche r l a mis e e n culture d e son emprise et qui paraît construi t à l'économie, serai t le premier oratoir e chrétien su r le site, établi sous le vocable de saint Martin à la fin d u VII e ou a u débu t du VIII e siècle. Les sépultures le s plus anciennes , dont fon t parti e les inhumations e n sarcophage, on t ét é groupée s a u contac t e t a u voisinag e immédia t d e c e nouve l oratoire, notammen t e n directio n d'un e caban e à poteaux d e soutie n périphérique s signalée ci-dessus. En fonctio n d e son environnement, d e sa relation quasi-organiqu e avec l'églis e e t d e s a datation , cett e dernièr e peu t trè s vraisemblablemen t êtr e interprétée comme l'habitat d u desservant. On trouv e l'illustration d e la pérennité de cette pratique, en débordan t d u cadr e chronologique impart i à la présente note , dans la présence, au XII e siècle, auprès d u chœu r d e la dernière église, d'une construction , bâtie su r de s sépulture s antérieure s e t cett e fois-c i e n pierre , accosté e d'u n bâtimen t abritant u n gran d silo . En effet, le s éléments attestant le s relations étroite s d e celle-ci avec l'église laissen t pe u d e doute s quan t à son interprétatio n comm e u n presbytèr e accosté d e l a grang e à dîme . Si, depui s longtemps , o n a bie n vu , dan s leur s grande s lignes , le s progrè s d e l a christianisation e n Normandie , o n manqu e d'élément s pou r date r le s étape s d e s a progression, notammen t a u nivea u l e plu s élémentaire , celu i d e l a paroiss e rurale . Pour suivr e ce s étapes , i l fau t examine r le s modalité s d'érectio n de s église s rurales , aussi bien pour c e qui es t de leur emplacement qu e de leur datation. D e nombreuse s études ont montré la diversité des cas, mais, dans la région, les constructions d'église s semblent avoi r eu lieu le plus souven t dans les grands domaines, puis dans les bourg s ruraux o u vici. O n rencontr e également , dan s la Plaine de Caen, le cas particulier d e l'église isolée en pleine campagne, au bord d'un e voi e ancienne, au point d e jonctio n de plusieur s domaine s d e petite étendue . L e principa l initiateu r d e ce s créations es t l'évêque; d'autre s son t l e fai t d e monastère s o u d e grand s propriétaire s laïcs , mai s peuvent auss i avoi r été le fait d e la population de s vici ou d e plus petites aggloméra tions agissan t communautairement . Par ailleurs , l'exame n de s objet s mi s a u jou r dan s le s nécropole s d e l a régio n a montré que , jusqu' à l a fi n d u VI e o u a u débu t d u VII e siècle , la Normandi e occidentale était peu soumis e aux influences venue s de l'Est. Loi n du centr e de l'Eta t mérovingien don t l'expansio n n e s e dirigeai t pa s volontier s ver s l'Oues t e t faisan t vraisemblablement parti e d'u n ensembl e plu s vaste , plus tar d érig é e n duch é dè s l e VIIe siècle , dont o n trouverai t l'origin e dan s l e Tractus armoricanus, ell e entretenai t plutôt de s relation s maritime s avec le s côte s d e la Me r d u Nord , l e Su d d e

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l'Angleterre o u l e Nord d e la Gaule. C'est a u VII e siècle, et surtout pendant se s trois premiers quarts , qu e l a Neustrie , un e entit é nouvelle , assur e s a prédominance. So n centre d e gravit é es t plutô t situ é dan s l'Oues t d e l a Gaul e e t Roue n souven t s a capitale. Cett e mêm e périod e connaît , e n matièr e religieuse , de s changement s capi taux: l'ingérenc e su r c e point, e t notammen t su r l a bass e Seine , d e nobles franc s d e l'entourage royal , la prise en main d u corp s épiscopa l par u n milie u directement iss u de l a cour e t l a multiplicatio n d e fondations monastique s dan s l e diocèse d e Rouen . Dans c e dernier , o ù de s société s païenne s subsistaien t notoirement , l'évangélisatio n des campagnes n'étai t guèr e avancée, l'organisation ecclésiastiqu e rurale, fruit pour sa plus grand e par t d e l'actio n missionnair e de s moines , ne semblan t pa s antérieur e a u VII e siècle. Cette actio n plus générale , manifeste dan s les régions a u Nord d e la Seine pour lesquelle s ell e contribu a à mettre fi n à leur isolemen t politiqu e e t religieux , fu t encouragée politiquement e t économiquement pa r la haute aristocratie et l'entourag e royal d'o ù proviennen t alor s d e grand s fondateur s e t de remarquable s évêques . On peu t considére r qu e d'autres région s ont connu une évolution semblabl e car le VII e siècle voit l'essor d e la prédication e t de la vie religieuse dans des secteurs reculés où subsistai t u n paganism e o u bie n o ù l a fo i nouvell e étai t encor e inconnue . L a Normandie occidentale , comm e o n l' a vu plus haut , est , dans le s premiers temp s d u haut Moye n Age , un e régio n excentrique , isolé e e t d e pe u d'intérê t économique , stratégique et politique. Néanmoins, au VII e siècle, alors que le centre de gravité de la politique mérovingienn e s e déplace vers l'Ouest, o n voit apparaître, dans les tombe s de l a région , de s objet s provenan t d u centr e d u royaum e e t c'es t auss i à la fin d e c e même siècl e qu e s e produit l'abando n de s nécropole s isolée s e n campagn e a u profi t de cimetière s nouveau x don t le s sépulture s s e groupen t autou r d'un e église . L a croyance populaire amène un renouveau du culte des saints, au premier rang desquels vient sain t Martin , e t de s reliques . L e cult e d e sain t Marti n triomph e dan s l a deuxième moiti é d u VI e siècl e et dan s l a première moiti é d u VIIe et, oublié pou r u n temps, connaît u n nouvel essor à la charnière du VII e et du VIII e siècle. On l'a montr é plus haut , grâc e a u mobilie r funérair e recueill i dan s le s premières tombe s d e Saint Martin d e Trainecour t mai s auss i grâc e à d'autres nombreu x exemples , c'est à cette dernière périod e - correspondant à la deuxième phas e d e dévotio n à saint Marti n que paraissen t apparteni r toute s le s église s d e l a régio n qu i lu i son t dédiée s e t à propos desquelle s o n a p u effectue r de s observation s archéologiques . Dan s cett e optique, l'organisatio n de s paroisse s rurale s don t le s église s placées sou s c e vocabl e sont l e centr e peu t êtr e daté e d e l a fi n d u VIIe o u d u débu t d u VIIIe siècle . En étudian t l e mobilie r funéraire , o n a observ é u n retar d d e l a Normandi e occidentale pa r rappor t a u centr e d u royaum e mérovingien ; c e mêm e retar d s e manifeste e n matièr e d e christianisation . L'exame n d e c e mobilie r montr e u n semblant d'uniformisatio n dan s les trois premiers quart s d u VII e siècle, puis, à la fi n de ce siècle, un nouve l isolemen t de la région ou plutôt, comme l'atteste l a dispersion de certain s type s d'objets , comm e pa r exempl e le s plaques-boucle s triangulaire s e n bronze à dix bossettes , une nouvelle participation d e celle-ci à cette entité héritée d e l'Antiquité, difficil e à cerner mai s alor s san s doute organisé e e n duché indépendant , qui couvre approximativement l'entr e Sein e et Loire avec pour ville principale, sino n pour capitale , L e Mans . A cett e époque , dan s l e mobilie r funérair e régional , s e manifestent bie n sû r de s caractère s spécifiquemen t locau x mai s auss i un e sort e d e

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Ph. 9 Les vestiges de l'église Saint-Marti n (vu s de l'Ouest) tel s qu'ils sont réapparus e n 1978. Au premie r plan, on not e que l'extrémité N . O. de l'église, allongée dans son deuxième état, et le mur S. O. d'u n possible auvent de façade présentent un matériau de construction et un appareil différents d e ceux du premier état .

communauté ave c celu i de s région s située s a u Nor d d e l a Loire , e t de s influence s venues d'Aquitaine ; dan s ce t ordr e d'idée , l'adoptio n d u sarcophag e e n pierre , chronologiquement concomitante , sembl e bie n êtr e égalemen t l e fruit d'un e inspira tion venue du Sud. Dans u n tel contexte, Le Mans relevant de surcroît de la province ecclésiastique de Tours, il n'est pa s surprenan t qu e l e culte de sain t Martin ai t conn u un gran d succè s dan s l a région . L e mouvemen t d e christianisatio n de s campagnes , amorcé lor s d e l a prééminence d e l a Neustrie, s e serait ains i trouvé parachevé , dan s un cadr e régiona l indépendant , pa r de s courant s venu s d u Sud . L'église Saint-Marti n d e Trainecour t a ét é fortemen t modifié e à un e époqu e indéterminée, mais de toute façon postérieur e au x premières inhumations puisqu e les nouveaux murs , construit s cett e fois e n lits de moellons horizontau x lié s à l'argile e t dont certaines parties au moins devaient être soigneusement parementées, recouvren t des sépulture s e t contiennent , remployée s comm e matériau x d e constructio n de s stèles funéraires, de s pierres d e taille portant de s graffiti o u u n fragmen t d e colonne , par exemple (Ph. 9). En réutilisant pour une part les substructions antérieures comm e fondations, o n a allongé la construction ver s l'Est e t vers l'Ouest e t on l' a élargi e car ses murs, moins épai s (60 à 70 cm), ont ét é élevés en retrai t vers l'extérieur. Dan s so n deuxième état , l'oratoir e présent e l e plan classiqu e d'un e petit e églis e simple à la nef rectangulaire d e 11,5 0 m su r 5 et a u chœu r plu s étroit , larg e d e 3,5 0 m e t lon g d'environ 5 m (Pla n n°3 , reconstitutio n éta t II). Le rétrécissemen t d e l a ne f a ét é considérablement renforc é pou r souteni r u n ar c triompha l ou , plu s simplemen t e t plus certainement , un e poutr e portan t l a partie haut e d u mu r pignon . Le s mur s d u chœur étaient , par contre, fondés pe u profondément; l'élévatio n d e celui-ci, moindr e par rappor t à cell e d e l a nef , n e nécessitai t probablemen t pa s qu'i l soi t auss i solidement ancr é dan s l e sol . Son extrémit é Es t a été détruit e à un poin t te l qu'i l n' a pas ét é possibl e d e savoi r s'i l s e terminai t pa r un e absid e semi-circulair e o u bie n -

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hypothèse plus vraisemblable si l'on e n juge par l'aspect généra l de cette constructio n - par u n mu r droit . U n certai n nombr e d'observation s permetten t d'envisage r l a présence d'un e port e dan s l'angl e N . O. d u chœur . On a mis a u jour , accol é à l'angle S . O. d e l'église et dans le prolongement d u mu r sud d e celle-ci , u n tronço n d e mu r fond é pe u profondément , lon g d e 3 m environ . Bien qu'o n n'ai t pa s not é d e traces d'u n pendan t symétrique , so n explicatio n l a plus satisfaisante paraî t êtr e cell e d u soutie n d'u n auven t destin é à protéger de s pluie s e t des vents dominants l'entré e principal e de l'église dans laquelle on pénétrait, semble t-il, e n descendan t un e march e o u deux . Les éléments don t o n dispos e pour s e représenter l'aspec t extérieu r d e cette églis e sont peu nombreux. L'aspec t rustiqu e d e la réalisation des murs pourrait fair e doute r qu'ils s e soient élevé s ains i jusqu'a u toi t e t i l est loisibl e d e penser , comm e pou r le s constructions antérieures , qu e le s substruction s qu e l'o n a pu observe r n e son t qu e les base s d e solin s d e pierr e ayan t souten u de s superstructure s e n pis é o u e n colombages. Toutefois , l a comparaiso n ave c de s construction s actuelles , l a grand e masse de pierres entassées su r le site et la non-reconnaissance d e traces d e pisé ou d e torchis, sans exclure totalement la seconde, rend trè s plausible la première hypothèse. Les nombreu x fragment s d'ardoise s verte s mi s a u jou r auss i bie n su r l'empris e d u bâtiment, notamment à l'emplacement d u chœur, que dans un puits voisin comblé de gravats provenant d e s a démolition attesten t qu'a u moin s dan s son dernier éta t et au moins partiellement , la couverture d e l'églis e a été réalisé e a u moye n d'u n matéria u solide provenan t probablemen t d e carrière s située s dan s l e Nor d d u Cotentin . Si l'on except e troi s éclat s d e vitrail, l'un d e couleur bleu e et deux vert fonc é plu s épais, et quelques pierre s gravée s o u inscrite s trouvé s e n 1913, les autres témoin s d e l'aspect extérieu r d e l'église s e composent d e fragments architecturau x diver s qu i n e sont pa s d'u n gran d secour s pou r un e chronologi e précise . Ce s fragment s n'on t d'ailleurs pas été découverts e n relation direct e avec la construction, mai s ont ét é mis au jour , pou r leu r plu s gran d nombre , dan s l e comblemen t d'u n puit s voisi n d e l'église au S. E., bouché après l'abandon d u site. Ce remplissage, au sein duquel on ne note pa s d e céramiqu e postérieur e a u XII e siècle , es t constitu é essentiellemen t d e gravats provenant d e la démolition de l'église, mais il est archéologiquement impossi ble de fair e la distinctio n entr e c e qui aurai t p u apparteni r à la première églis e et c e qui provient d e l a seconde, même si l'on conçoi t bie n que les éléments provenant d e cette dernièr e doiven t êtr e e n tout e logiqu e numériquemen t plu s abondants . D e nombreuses pierre s d e taill e e n calcair e d e Cae n attesten t qu e certaine s portion s d u bâtiment, le s ouverture s o u le s chaînage s d'angl e a u moins , devaien t êtr e plu s soigneusement appareillée s qu e le s vestiges subsistan t de s murs pourraien t l e laisser croire. Beaucoup d e ces pierres portent de s graffiti divers : figurations incompréhen sibles, croix simples , croi x pattées , ancrées o u au x extrémité s bouletées , lettres, arcs et flèches , représentation s architecturales , marelle s d e taille s diverses , etc . U n peti t claveau, hau t d e 1 8 cm e t larg e e n so n centr e d'enviro n 1 5 cm, marqu é d e ligne s rayonnantes dessinan t comm e troi s claveau x plu s étroits , montr e qu e de s fenêtres , larges intérieuremen t d'enviro n 2 2 cm, étaien t voûtée s e t sommairemen t ornées . Plusieurs fragment s d e colonnes , a u nombr e desquel s o n distingu e deu x types , on t été mi s a u jour . U n seu l tronço n représent e le s soutien s d e sectio n circulaire , rubrique à laquelle o n peu t rattache r un e bas e de colonne trè s rudimentaire , haut d e

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30 cm e t d'un diamètr e de 28 , qui présent e un e parti e bass e tronconique , gravé e d e lignes à une autre très proche mise au jour sur le site de l'église Saint-Martin d e Caen, contemporaine, quan t à s a création , d e cell e d e Mondeville . L e deuxièm e typ e d e colonne es t représent é pa r d e nombreu x tronçon s e t a u moin s si x bases . I l s'agit d e colonnes d e sectio n octogonale , large s d e 1 8 cm, prenan t naissanc e su r un e bas e parallélépipédique, l'octogon e étan t obten u e n abattan t le s arêtes d u parallélépipèd e initial. Le s chanfrein s rejoignen t l a bas e soi t pa r l'intermédiair e d'un e petit e surfac e oblique, soi t pa r celu i d'u n moti f e n form e d e bourgeon plu s ou moin s allongé . De s colonnes d e sectio n octogonal e peuven t êtr e observée s dan s l a crypt e d e Saint Germain d'Auxerr e o u bie n dan s cell e d e Saint-Avi t d'Orléans . U n tailloi r portan t un déco r fai t d'un e lign e brisé e dan s u n cartouch e e n saillie , mis au jour no n loi n d e l'église, peut également être comparé, si l'on fai t abstractio n de sa rusticité, à ceux des cryptes d e Saint-Avit e t de Saint-Aigna n d'Orléan s qu e l'on a pu date r d u IXe ou d u début d u Xe siècle . Comm e o n l' a déj à dit , l a fouill e ancienn e nou s a priv é d u contexte stratigraphique d e l'oratoire e t nous contraint donc , à notre corps défendan t et tout en en reconnaissant le s limites, à une démarche comparative d e la sorte. Si l'on veut pousser celle-c i encore plus loin, on doi t signaler que l'appareil qu i caractérise la construction d e l a deuxièm e églis e (lit s d e moellon s horizontaux ) s e différenci e d e celui de s construction s antérieure s (»plaquettes « disposée s e n arêt e d e poisson) . L a première constructio n civil e d u sit e dan s l a réalisatio n d e laquell e ce t apparei l apparaît es t une maison qu e l'on a décrite plus haut et qui a pu êtr e datée, grâce à une obole d'argen t mis e a u jour dan s so n so l d'occupation intérieur , d e l a fin d u IXe o u du tou t débu t d u Xe siècle . E n renouvelan t l'avertissemen t concernan t l a méfianc e que l'o n doi t avoi r pou r un e tell e approche , o n n e peu t manque r néanmoin s d'êtr e frappé pa r l a concordanc e chronologiqu e manifesté e pa r le s quelque s observation s archéologiques qu'i l a encore été possible de faire sur les vestiges de l'église, l'exame n des fragment s architecturau x e t l a comparaiso n de s technique s d e construction . Si l'on considèr e l e matériel homogèn e trouv é parm i le s déchets provenan t d e s a démolition, on peut penser que l'église a été abandonnée - et peut-être systématique ment détruit e - au XII e siècle , siècl e à l a fi n duque l étai t fondé e l'églis e d u villag e voisin d e Grentheville . Cett e fondation , peut-êtr e effectué e dan s u n cadr e plu s général d e réorganisatio n d u domaine , a sans dout e entraîn é l a déchéance d e l'églis e Saint-Martin e n tant qu'église paroissiale, favorisé u n regroupemen t d e population e t peut-être u n transfer t tota l d u peti t group e qu i pouvai t vivr e encor e autou r d'elle . En effet , l'histoir e d u villag e d e Trainecour t n e s e résou t pa s à un e occupatio n pendant l e Bas-Empir e e t l e hau t Moye n Age . Commencé e à l'aub e d e l a proto histoire, ell e s e poursui t jusqu' à l a fi n d u XII e siècl e e t l'observatio n de s vestige s qu'elle a suscité s paraî t d'u n gran d intérê t pou r l a connaissanc e d e l'histoir e d u peuplement e t d e l'occupatio n d u so l dan s l a région . E n c e qu i concern e l e propo s présent, dan s l e cadr e chronologiqu e imparti , o n peu t retenir , parm i le s point s marquants, l a continuité d e l'occupatio n d'u n finag e e t même , sans dout e a u nivea u de l a famille , cell e d e lopin s privilégié s pou r l'établissemen t de s habitats , e t l a pérennité global e de s mode s d e bâti r favorisé e pa r l'utilisatio n d e matériau x d e construction semblables , d e provenance strictemen t locale , et affecté e davantag e pa r les condition s économique s qu e pa r le s événement s historiques . O n peu t reteni r également qu e c e sit e offr e l a possibilité d'un e étud e d'ensembl e d'un e population ,

Le village d e Saint-Martin de Trainecour t

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d'un poin t de vue anthropologique d'abord, mai s aussi dans ses occupations, dans ses croyances, dan s se s rites , e t s e révèl e êtr e u n jalo n intéressan t pou r l a connaissanc e des progrès d e l a christianisation de s campagne s dan s l a région. Bie n qu e so n étud e soit loin d'êtr e terminée , i l montre d'ore s e t déj à , à l'évidence - et cette observatio n est confirmée pa r un certai n nombr e d e vérifications ponctuelle s au x environs - , que les termes qui ont marqu é l a vie des populations dan s les terroirs reculé s n'ont rie n à voir avec les échéances historiques e t politiques traditionnellement retenue s et que les grands changement s s e son t produit s à la fin d u III e e t à la fi n d u VII e siècle 3.

3 Depuis l a rédactio n d e l a présent e note , d e nouveau x travau x d e fouilles , effectué s entr e janvie r e t septembre 1987 à 500 m environ de l'emplacement d e l'église Saint-Martin, ont mis en évidence, en un secteur désign é pa r l e toponym e le s Train s d e Court , le s vestige s d e maison s e t d e bâtiment s d'exploitation e n pierre, habitation s individuelle s e t ferme s plu s complexe s disposée s d e chaqu e côt é d'un chemi n empierré . Ce s construction s on t livr é u n mobilie r archéologiqu e qu e l'o n peu t date r du XIIe a u XVe siècle . Elle s corresponden t trè s vraisemblablemen t a u hamea u don t le s texte s laissaien t supposer l'existenc e (voi r ci-dessus ) e t attesten t qu e l'ancie n finag e d e Trainecour t a continué d'êtr e occupé jusqu'a u XVe siècl e a u moins , mêm e aprè s l a déchéanc e d e l'églis e Saint-Martin , l e group e humain qui y vivai t dépendan t alor s d e la paroisse d e Grentheville .

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Claude Lorre n ZUSAMMENFASSUNG

Mondeville lieg t südlic h de s Sudtgebiete s vo n Cae n (Calvados ) i m Ornetal . I m Süden diese r Gemeind e und an den Grenzen zu den Nachbargemeinden Grenthevill e und Cormelles, auf der Hochebene, werden seit 197 7 Ausgrabungen vorgenommen. Z u beiden Seiten einer alten Straße ist man hierbei auf Überrest e aus de r Spätbronzezei t (III) bis hi n zu m 15.Jahrhunder t gestoßen . Bislan g wurd e nu r ei n Tei l des Ausgrabungsgeländes erforscht , abe r man kann sich bereits im groben einen Eindruck von der Größe des bewohnten Gebiete s un d der Entwicklung seine r Besiedlung verschaffen. Be i den Ausgrabungen wurde n Spuren der Besiedlung zu verschiedenen Epochen in einem über 20 ha großen Gebiet zutage befördert, das die Parzelle n vo n Saint-Martin, Haut Saint-Martin, Trainecourt un d Les Hoguettes umfaßt . I n de r Mikrotoponymie finde n wi r zweifellos , wen n auc h heut e getrennt , de n alte n Name n de s Dorfe s (Trainecourt) un d de n Weihename n de r Kirche (Saint-Martin). Diese Trennun g erga b sich höchstwahr scheinlich durc h di e Aufteilung de s Gebiete s vo n Trainecourt unte r dre i nachbarschaftliche Gemeinden , nachdem di e Kirch e vo n Saint-Martin zu End e de s 12 . Jahrhunderts ih r Statut als Pfarrkirche verlor . Im gesamte n Ausgrabungsgebie t wurde n meh r ode r wenige r gu t erhalten e Überrest e eine r kleine n Agrarsiedlung gefunden , dere n geschichtlich e Entwicklun g sic h an Veränderungen de r Bauweise ablese n läßt. Di e Verwendun g vo n Steine n is t charakteristisc h fü r die erst e Siedlungsperiode . Di e Baute n ware n zerstreut um eine große, polygonale Kultstätt e errichtet, und diese Feststellung, sowie die Nähe der alten Straße, sprich t dafür , daß wir e s mit eine m vicus bescheidene r Bedeutun g z u tu n haben. Angesicht s de r aufgefundenen Grabbeigabe n läß t sic h di e Blütezei t diese r Siedlun g zwische n de m Begin n unsere r Är a und de m End e de s 3.Jahrhunderts einordnen . Vielleicht wurd e die Wohnsiedlung zeitweilig aufgegeben, jedenfalls muß sie wirtschaftlich star k unter den erste n große n Invasione n gelitte n haben ; i n de r Folgezei t entsteh t a n diese m Or t ei n Dor f au s Holzhütten mi t vertieftem Boden . Während mehr als vier Jahrhunderten, vom Ende des 3. bis zum End e des 7 . Jahrhunderts, wir d Hol z al s Baumaterial verwandt , jedoc h ohn e da ß der Wandel de r historische n oder wirtschaftliche n Verhältniss e wesentlich e Veränderunge n de r Gewohnheite n ode r Techniken nac h sich gezoge n hätte . Auch während der Periode, in der Holz al s Baumaterial vorherrscht, läßt sich feststellen, daß weiterhin Steine als rudimentäres Füllmateria l fü r Balkenzwischenräum e verwand t werden . Abe r erst zu End e des 7., Anfang des 8. Jahrhunderts haben wir Beweise dafür, daß Steinkonstruktionen wieder überwiegen. Die Häuser sin d ehe r klein , habe n eine n rechteckige n Grundri ß un d entspreche n de n alte n Gewohnheiten : dieselbe geographische Ausrichtun g wie die Hütten, derselbe vertiefte Bode n i m Innenraum, Holzpfeile r zur Deckenabstützung . Di e Häuse r entstehe n of t a n ebe n de r Stelle , w o frühe r ein e Hütt e stan d un d verfügen übe r fest e Einrichtunge n (Schachtspeicher , gemauert e Feuerstelle) , di e vo n eine m gewisse n Komfort zeugen . Sie sind aber, genau wie die neu e Bauweise, zweifellos auc h ein Beweis für ein relatives Stabilitäts- un d Sicherheitsgefüh l de r Bewohner , di e sic h vermutlic h eine r bessere n Wirtschaftslag e erfreuen. Diese r Eindruck wir d dadurc h verstärkt, daß die Häuser über das ganze Mittelalter hin imme r größer werden; ab dem 9. Jahrhundert stellt man fest, daß der Einheitswohnraum in zwei Räume getrennt wird, di e zu unterschiedliche n Zwecke n genutz t werden . Zu End e de s 7. , Anfan g de s 8 . Jahrhunderts bau t ma n auc h innerhal b de s Dorfes , au f alte n gallisch römischen Unterbauten , di e zu m Tei l wiede r mitverwand t werden , ein e Kirch e au s Stein , di e de m hl. Martin geweih t wir d un d i n dere n Umkrei s di e verstorbene n Einwohne r bestatte t werden . Meh r als 400 Gräber wurde n u m di e Kirch e heru m un d vo r alle m i m Norde n un d Nordoste n davo n gefunden . Zuerst wurden die Toten einfach direkt im Erdreich begraben oder in monolithischen Kalksteinsarkopha gen beigesetzt, die aus einigen Kilometer n entfernt liegenden Steinbrüchen stammten . Die dari n gefunde nen Grabbeigabe n (Spange n mi t doppelte m Widerhaken , symmetrisc h mi t Böge n versehen e Fibulae , runde Fibulae, deren Metallplatten mit Prägearbeiten und Glassteinchen verziert sind) ermöglichen es , sie auf di e letzte n Jahr e de s 7 . ode r de n Anfan g de s 8 . Jahrhunderts z u datieren . Au f dies e Weis e is t e s ebenfalls möglich , de n Zeitpunk t de r Verlegun g de r Nekropol e de r Siedlun g i n di e Näh e ihre r neue n Kultstätte z u bestimmen . Die Geschicht e de s Dorfe s Trainecour t beschränk t sic h abe r nich t au f di e Besiedlun g währen d de r Spätantike un d des Frühmittelalters. Ih r Beginn lieg t weit zurüc k i n der Frühgeschichte und verläuft bi s ins 15.Jahrhundert . Di e Erforschun g ihre r Überrest e schein t fü r un s sowoh l i m Hinblic k au f di e Bewohner wi e au f di e Besiedlung de s Bodens i n diese r Gegen d vo n größte m Interess e z u sein .

WALTER JANSSEN

N E U S T R I E N AL S P R O B L E M DE R A R C H Ä O L O G I E

Nachlese zu r Soirée am 9. Oktober 198 5 Geistesgeschichte, politisch e Geschichte , Geschicht e de r Institutionen , Geschicht e der Kirchen und Klöster , Kuns t und intellektuelles Lebe n - dies e Themen bestimm ten den ersten Teil des Internationalen CoUoquium s über Neustrien. Die Exkursio n am 8. Oktober 198 5 nachmittags un d die Vorträge a m 9. Oktober leiteten i n höchs t willkommener Weis e z u de n archäologische n Beiträge n zu m Débat archéologiqu e am Abend de s gleiche n Tage s über . An diese m Aben d erinnerte n di e Sitzungspräsidente n Miche l Colardell e un d Walter Janssen daran , da ß sic h da s gesamt e politische , intellektuell e un d religiös e Leben Neustriens au f bestimmte n ökonomischen , sozialen und kulturellen Voraussetzungen aufbauten . Dies e fundamentale n Bedingunge n geistige r Existenz gründe n sich letzthin au f ökonomische un d kulturelle Vorbedingungen , di e vor allem durch die neueren Forschunge n de r Archäologie de s Mittelalters besse r erkennbar gewor den sind . I n erfreuliche r Weis e dokumentiere n Tagungsprogram m un d Ausstel lungskatalog »Neustrien « di e wachsende Bedeutun g der archäologischen Forschun g im Rahme n de r Frühgeschicht e Neustriens . Möge n di e Texte, di e illuminierte n Handschriften, di e Kirchenarchitektur, di e Skriptorien der Klöster und Abteien und vieles ander e di e gehoben e un d höchst e Kultu r diese r Epoch e un d diese s Raume s repräsentieren, s o bedar f dies e Sehweis e zugleic h auc h der Präsentation de s Gegen bildes, welche s di e materiellen , ökonomische n un d soziale n Phänomen e sichtba r macht, die das Leben de r breiten Massen, aber auch des Adels und der Geistlichkeit transparent macht . Ei n Beispie l mög e verdeutlichen , wa s hie r gemeint ist . We n di e Kostbarkeit un d Ästheti k neustrische r Kunstwerk e erfreut , de r mu ß sic h zugleic h fragen lassen , au f welche n sozial-ökonomische n un d materielle n Voraussetzunge n diese Leistunge n de r Baukuns t ode r de s Kunsthandwerk s beruhten . I n diese m Bereich finde t de r Archäologe sei n Wirkungsfeld. E r fragt nac h de r Beschaffenhei t der Siedlungen, der Produktionsstätten un d Lagerstätten der gewerblich-handwerk lichen Produktion, de r Herkunft vo n Produkte n un d Erzeugnissen. De n Archäolo gen müssen auc h die Formen der materiellen Existen z interessieren : Haus un d Hof , Werkzeuge und Gerät, die Alltagskultur in Stadt, Land, Burg, Kloster oder Produktionsbezirk schlechthin . De r Aufhellun g de r materiellen Kultu r de s Mittelalter s i m weitesten Sinn e fühl t sic h de r Mittelalter-Archäologe verpflichtet . Über die Soirée vom 9. Oktober 198 5 hinaus hat sich das Colloquium »Neustrien « in bemerkenswerte r Weis e diese m Problemkrei s i m Ausstellungskatalog angenom men. Fas t 10 0 Seiten sin d i m Katalo g de m Bereic h de s Alltagsleben s un d de r materiellen Kultu r Neustrien s gewidmet . Mi t diese m Antei l vo n eine m Fünfte l de s

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Walter Janssen

Gesamtumfanges de s Katalog s könne n di e Mittelalter-Archäologe n zufriede n sein , behandeln doc h die hier versammelten Beiträg e nahezu alle drängenden Grundfrage n der Archäologi e de s Mittelalters . Das International e Colloquiu m »Neustrien « behandelt e Neustrie n i n de r Zei t zwischen etw a 650-850. In dies e Epoche fäll t fü r de n Archäologe n ei n tiefgreifende r Wandel seine r primäre n Quellen . U m etw a 70 0 ende t auc h i n Neustrie n di e sogenannte Reihengräberzivilisation. De r reich e archäologische Fundstoff de r Grab beigaben entfäll t fas t abrup t al s di e wichtigst e Quell e zu r Rekonstruktio n viele r Bereiche der lebenden Kultur . Di e Sitt e der Grabbeigabe n erlisch t innerhalb verhält nismäßig weniger Jahrzehnte fas t völlig . Der Archäolog e mu ß sic h für di e Zeit nac h etwa 70 0 n.Chr . u m ander e Quellengattunge n bemühen : Städtisch e un d ländlich e Siedlungen, Wehranlagen, Rest e profaner un d kirchlicher Bauten, Stätten handwerk lich-gewerblicher Produktion , Werkzeu g un d Gerät , Hau s un d Ho f un d ihr e Inventare, Königshöfe, Pfalzen , Kirche n und Klöster , Wege und Straßen, Fluren un d anderes meh r vermöge n de n Ausfal l de r merowingerzeitliche n Grabfund e bi s z u einem gewisse n Grad e z u kompensieren . Mi t de r vorzugsweis e archäologische n Erforschung diese r neue n Quellengattunge n is t soebe n i n de n verschiedene n euro päischen Länder n begonne n worden . Im Vergleich z u Deutschlan d verfüg t Frankreic h übe r eine n nahez u unerschöpfli chen Bestan d a n Fundplätze n un d Monumenten , de r de m Mittelalter-Archäologe n zur Verfügung steht . Dieser archäologischen Fundplätz e nehmen sic h bisher verhält nismäßig wenig e Forsche r an . S o gleicht Frankreic h auc h heut e noc h eine m große n Weinberg, i n de m bishe r nu r wenig e Arbeite r täti g waren . Die Vorträge der archäologischen Soirée am 9. Oktober 198 5 zeigten indessen, da ß die französisch e Mittelalter-Archäologi e au f de m beste n Weg e ist , all e Teilgebiet e der Archäologi e de s Mittelalter s i n Neustrie n mi t große m Erfol g z u erforschen . Die sei t etliche n Jahre n vo n Claud e Lorre n durchgeführte n Grabunge n i n SaintMartin de Mondevill e bezeichne n de n chronologische n Rahmen , i n de m sic h di e französische Siedlungsarchäologi e bewegt : E r reich t vo n de r römische n Period e (Ende 3.Jh. ) bi s in s Mittelalte r (13.Jh.) . Wi e au f de m Bode n de r ehemalige n römischen Provinze n a n Rhein un d Dona u trit t auc h hier da s Problem der römisch fränkischen Kontinuitä t auf . Außerde m biete t Mondevill e di e nu r selte n gegeben e Chance eine s Vergleich s vo n Grab - un d Siedlungsfunde n a n eine m Ort ; den n di e Grabungen Lorren s förderten , auße r de n Siedlungsreste n un d de r Kirche , ei n Gräberfeld de r Reihengräberzei t zutage , vo n de m End e 198 5 37 3 Bestattungen ausgegraben waren . Sie lieferten auße r de n Grabausstattunge n reiche s anthropologi sches Material , da s inzwische n fachgerech t bearbeite t wurde . Die Grabun g vo n Mondevill e charakterisier t ohn e Zweifel eine n höchs t erfolgrei chen un d moderne n Ansat z innerhal b de r europäische n frühmittelalterliche n Sied lungsarchäologie . Siedlungsarchäologie bleib t stet s eingespannt zwische n de n Probleme n de s einzelnen Grabungsobjekt s un d de n Erfordernisse n regionale r Betrachtungsweise . De n Siedlungsfragen i n regionale m Rahme n wa r de r Vortra g vo n Pierr e Demolo n übe r »Villes et villages a u nord-es t de l'ancienne Neustrie d u VIe au IXe siècle« gewidmet. Demolon kan n sic h einem regionale n Them a umso fachkundige r zuwenden , al s er di e Probleme de s Einzelfalles selbs t mehrfach mi t große m Geschic k gelös t hat. Seine 1972

Neustrien al s Problem de r Archäologi e

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erschienene Monographi e übe r Brebières führte z u eine r Revolutio n de r frühmittel alterlichen Siedlungsarchäologi e i n Frankreich . Inzwische n is t Demolo n erneu t mi t hervorragenden Forschunge n hervorgetreten , etw a al s Leite r de r Ausgrabunge n i n Douai, die fü r di e französisch e Stadtarchäologi e vo n herausragende r Bedeutun g geworden sind . Die besonderen Erfolg e diese r Untersuchungen spiegel n sic h u.a. i m Nachweis fränkische r Zuzügle r i m frühe n 8 . Jahrhundert, di e dor t au f de n Gräber feldern z u identifizieren sind , übrigens mit einem höchst bemerkenswerten Antei l an Kindergräbern. J.-F. Baratins Untersuchungen de r Gräberfelde r vo n Taver s (Loire ) entspreche n insofern neueste r Forschungsrichtung , al s ih m di e Gräberfelde r al s Primärquelle n zur Lösun g siedlungsarchäologische r Fragestellunge n dienen . E s is t erfreulic h z u erfahren, da ß auc h di e französisch e Frühmittelalter-Forschun g beginnt , vo n de r traditionell kunsthistorisch-typologische n Auswertun g vo n Grabbeigabe n Abschie d zu nehmen un d sic h dem Aussagewert der Grabinventare für di e Siedlungsgeschicht e zuzuwenden. O.Meyers stadtarchäologisch e Forschunge n i n Saint-Denis erregen sei t etliche n Jahren große s Aufsehen , un d zwa r i n zweierle i Hinsicht : zu m eine n wege n de r klaren stadtarchäologische n Konzeption , di e vo n Meye r entwickel t un d be i seine n Grabungen verfolg t wurde ; zu m andere n durc h di e hervorragenden Ergebnisse , di e Meyer bishe r erziele n konnte . E s gelan g Meyer, di e Interesse n de r Stadtarchäologi e im Gestrüp p administrative r Kompetenze n un d de r Zwäng e de s METRO-Bau s s o fest z u etablieren , da ß selbs t groß e Flächengrabunge n a n verschiedene n Stelle n i n Saint-Denis möglich wurden . Di e Ergebnisse diese r stadtarchäologischen Forschun gen sin d heut e bereit s z.T . i m Museu m vo n Saint-Denis zu sehen . Manche s Einzelergebnis diese r Grabunge n wir d Wissenschaftsgeschicht e machen , z.B . di e Entdeckung eines wohlerhaltenen hölzerne n Schwellbalkens mit Nut, der die Kenntnis de s Stabbau s i m Saint-Denis des 11./ l 2. Jahrhunderts einwandfre i bezeugt . Genug de r Details . I m Gesamtablau f de s Kolloquium s »Neustrien « bildet e de r débat archéologiqu e der Soirée am 9. Oktober 198 5 eine unverzichtbare Chanc e fü r die Archäologie , ihre n Beitra g zu r frühe n Geschicht e Neustrien s darzustellen . K.F.Werner un d H.Atsm a bleib t z u danke n dafür , da ß si e den Archäologe n dies e originelle Möglichkei t zu r Selbstdarstellun g eröffne t haben .

DISCOURS D E CLÔTUR E par LUCIEN MUSSE T

Pendant quatre jours nous venons d'examiner la Neustrie sous tous ses aspects, entre le VIIe e t le IXe siècle . Aucun, me semble-t-il , n' a été laissé dans l'ombre. E t il faut encore que je vous e n parle, sous couleur de conclure... Mais comment évoque r en une demi-heur e tan t de problème s divers ? je me bornera i don c à présenter d'abor d quelques brève s considération s complémentaires , considération s inspirées , a u Nor mand qu e je suis , par le fait qu e notre colloqu e s'es t tenu à Rouen. Pui s je tenterai, sans l a compétenc e universell e qu'i l faudrai t pou r l e fair e ave c justice , d e survole r l'apport d e ce s journées e t de l'exposition remarquabl e qui se tient en même temps. Enfin j e laissera i l e cœu r parle r pou r remercie r ceu x auxquel s nou s devon s cett e double réussite . Nous avon s tou s ét é témoin s d e l'effor t qu'i l fau t pou r reconstitue r c e qu e fu t l e passé de la Neustrie avan t 850. Encore est-il certain que les résultats obtenus sont et resteront toujour s relativemen t médiocre s quan d o n les compare à ce que l'on peu t atteindre e n Austrasi e o u dan s le s pays rhénan s pa r exemple. Le s Vikings , nou s l e savons tous , son t l a cause principal e d e cett e disparité . L a part de patrimoin e écri t provenant d e Neustrie qu i fut sauvé e lor s de la tourmente es t extrêmement réduite . Les »Gest a Sanctoru m Patru m Fontanellensi s coenobii « nou s informen t d u rich e contenu de la bibliothèque de Saint-Wandrille au début du IXe siècle: en subsiste-t-il un seu l manuscrit ? I l fau t d'extraordinaire s hasard s pour qu e l'o n entrevoi e c e qu i concerne d'autre s monastères : ainsi l'existence à Jumièges de cet antiphonaire qu i se retrouva à Saint-Gall au témoignage d e Notker le Bègue et qui fut au départ de tout un renouvellement d e l'enseignemen t musical , o u celle , a u Mont-Saint-Michel , d e manuscrits »antiques « contenan t le s vie s d e sain t Benoî t e t d e se s disciple s qu i servirent à Eude s d e Glanfeui l (mai s c e qu'i l préten d n'es t pa s à l'abr i d e tout e suspicion!), o u mieu x encor e la présence, dan s l'obscur e abbay e de Deux-Jumeaux , d'un copist e qui , ver s 833, transcrivait l e bréviair e d'Alari c su r un palimpsest e de s poésies de saint Prosper - c'est finalement l e seul manuscrit neustrien (au sens étroit) qui soi t ven u jusqu' à nous 1. Ne concluons donc pas, de l'existence de taches blanches si étendues sur nos cartes de la culture neustrienne, à l'inculture générale de cette région. Certes, les contemporains eux-mêmes n e lui faisaient pas toujours une excellente réputation: à Lisieux, le fameux évêqu e e t compilateu r Frécul f s e plaignai t ver s 822-829, dans un e lettr e à Raban Maur , d e l'indigence extrêm e d e son diocès e e n livres d e toute s sortes ; mais cela sen t bie n u n pe u l'excus e e t l e ponci f littéraires : d e telle s affirmation s n e 1 Saint-Gall: lettr e d e Notker l e Bègue à Liutwar d d e Verceil, (éd . MABILLON , AA.SS.O.S.B.) , saec . V, p. 18, texte écri t vers 884-887, l'exode d e Jumièges étan t sans doute des années 866-870; -Mont-SaintMichel, AA.SS., Jan., I, p. 1051-1052; le fait serai t d e 863; -Deux-Jumeaux, Bibl . Nat. , ms . lat.4413.

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sauraient être prises au pied de la lettre 2 . Le bon prélat aurait souhaité se trouver plu s près de s centre s intellectuel s d u mond e carolingien ... Restons don c trè s prudents , e n tou t c e qu i touch e l e territoir e deven u normand . Bien de s contraste s qu i apparaissen t dan s l a documentatio n don t nou s disposon s actuellement son t probablemen t illusoires . L a régio n a p u joue r u n rôl e charnièr e dans l'introductio n de s influence s monastique s insulaires : mai s d u monastèr e d e jeunes filles noble s venue s d'Angleterre qu e Bède signale au VII e siècle aux Andelys, le no m seu l a ét é transmi s jusqu' à nous 3 . E t commen t juge r d e l a place , dan s l a réception de s idées columbaniennes, d u monastèr e qu e Potentinus , disciple d u sain t irlandais, fonda trè s tôt dan s le suburbanum de Coutances? Il n'est même pas localisé avec certitude4 . Tout parallèl e équitable avec Chelles ou les monastères de la Brie que Bède me t su r l e mêm e pie d qu e le s Andelys , es t à exclure. Il en va de même des essais »statistiques« qu e l'on es t tenté de faire sur la fréquenc e des diplôme s royau x décerné s à telle s institution s d e l a Neustri e à l a suit e d e C.Brühl: dans le s hasard s d e l a fuit e général e de s religieu x devan t le s Vikings, bie n peu on t p u sauvegarde r de s pièce s d'archives . On t ains i pér i e n totalit é le s dossier s diplomatiques d e tou s le s évêché s normand s sau f Roue n (ave c l'abbay e annex e d e Saint-Ouen), celui-c i trè s limité , sauv é e n parti e grâce à un repl i organis é à Condé sur-Aisne 5 . Pou r le s abbayes , rie n d e leur s archive s n' a survéc u su r place : tou s le s documents conservé s qu i le s concernen t proviennen t soi t d'archive s étrangère s à la province (comm e Saint-Germain-des-Prés o u Saint-Maur-des-Fossés) , soi t de pièces évacuées e t rapatriée s e n copie s au x Xe e t XI e siècles , a u tota l bie n pe u d e choses . Même les vies des saints locaux n'ont p u survivr e su r place: presque toutes semblen t avoir ét é préservée s dan s le s lieu x d e repl i de s relique s correspondantes . Deu x o u trois sanctuaire s seulemen t paraissen t avoi r organis é de s évacuation s méthodiques : Fontenelle, la cathédrale e t Saint-Oue n d e Rouen , à un moindr e degr é la cathédral e des Sées . Ailleurs l e désarroi généra l a laissé tou t périr . Ainsi, san s parle r de s laïcs , don t nou s ignoron s tout , l'Eglis e d e Normandi e n' a gardé qu'un e par t infim e d e se s document s écrits , c e qu i limit e singulièremen t le s possibilités d e travai l d e l'historie n moderne . Seconde considération: Rouen , capital e de la Normandie, a été l'un de s principau x centres d e l a Neustrie. Dan s quell e mesur e l e jeune Etat normand , quan d i l a pris l a succession de s souverain s carolingiens , a-t-i l revendiqu é o u accept é l'héritag e neus trien? C'es t un e question difficile , car , au Xe siècle, où cet héritage était proche, où il aurait p u avoi r un e significatio n concrète , le s territoire s normand s on t à pe u prè s cessé d'écrire . L a renaissance , qu i fu t trè s lente , d e l'act e écri t e t d e l a littératur e écrite, n'y début e qu e dan s l e dernier tier s d u siècle . Au x XI e e t XII e siècles , où le s textes deviennen t relativemen t abondants , l a notio n d e Neustri e n' a plu s qu'u n 2 M.G.H., Epistola e Aev i Karolini , III, p. 392. 3 Bède, Historia Ecclesiastica , III, 8, éd. COLGRAV E e t MYNORS , p . 238. 4 Vita Columbani , éd . B . KRUSCH, M.G.H. , SS . rer . Merov. , IV, p. 94. L'identification d e c e sit e colombanien ave c Orval , Manche , cant . Montmartin-sur-Mer , n'es t qu'un e hypothès e qu e j'a i proposée e n 1966: Congrès archéologiqu e d e France , CXXIV , Cotenti n e t Avranchin , 1966, p. 328-329. 5 Les archives de la Seine-Maritime garden t encore les originaux d'une chart e de Parchevêque Riculf e t de deux diplômes de Charles le Chauve, toutes pièces récapitulatives rédigées dans les années proches de 870, sans dout e e n vue d'un e prochain e évacuation .

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intérêt historiqu e lointain : o n l'évoqu e don c rarement , à pein e plu s qu e cell e d e »seconde Lyonnaise « qu i avai t encor e un e petite portée dan s le domaine ecclésiasti que e t qui est , par exemple , mentionnée dan s l a curieuse introduction historiqu e d u cartulaire d u Mont-Saint-Michel 6 . Après l'a n mil , Neustria n'es t l e plu s souven t qu'u n artific e d e style , u n moye n d'éviter un e longu e périphras e pou r désigne r le s pay s d e l a futur e Normandi e antérieurement à 911 : ainsi che z Orderi c Vita l Rollo ... qui primus Neustriam sibi subjugavit, quae nunc a Normannis nomen optinuit 7. L'usag e n'es t pa s propr e au x historiens, i l se rencontre dè s le XI e siècl e dans certain s acte s diplomatiques: ains i la charte d e fondatio n d e l a collégial e d'Auch y (ver s 1055-1065) parle d'Aumal e in extremis partibus Normannie, que antiquitus Neustria vocabatur*, e t auss i che z le s hagiographes: fuit in Neustria quae nunc Normannia vocatur di t l e narrateu r de s miracles d e l a Vierg e a u Bec 9. Le s exemple s d e cett e pratiqu e abondent . Est-c e un e simple impression ? Il s paraissent encor e plus courant s hor s d e Normandie qu e dan s le duch é lui-même , notammen t d u côt é d e la Flandre : Hariul f aim e à parle r de s Neustrienses qui et Northmanni, à situe r E u in solo Neustriae, e t dan s l e Libe r Floridus. Lambert d e Sain t Orne r évoqu e lui aussi la Neustria donné e à Rollon et ex illo tempore vocata est Northmannia 10. Le s authentique s Normand s n'on t pa s alor s été particulièremen t fier s d e l'héritag e neustrien , semble-t-il . On sai t quell e extraordinair e fortun e cett e équatio n commod e Neustria = Normandie, a conn u dan s l a suit e che z le s érudits , e t mêm e parfoi s che z le s historien s modernes. O n sai t peut-êtr e moin s qu e certain s auteur s médiévaux , entraîné s pa r l'habitude, on t rétro-activemen t utilis é c e term e commod e pou r désigne r l a futur e Normandie dè s l'époque romaine 11. Rares sont ceux qui ont eu une idée relativement claire de c e qu'avait ét é l'authentique Neustrie , cell e qu e nous venon s d'étudier . E n tête d e ceux-ci , inscrivon s Guillaum e d e Jumiège s qu i savai t bie n qu e la Neustri e allait, a u milie u d u IX e siècle , jusqu' à Orléan s e t Paris 12 - ce Guillaum e qu i es t d'ailleurs l'un de s rares historiens à ne pas utiliser l'équation Neustri e = Normandie. Il représent e l'exceptio n qu i confirm e l a règle . Ces observations aident sans doute à comprendre que les princes normands n'aien t guère song é à fair e usag e d e c e qui devenai t u n concep t d'antiquaires . Il s n'on t pa s repris à leur compte le nom de Neustrie pour lu i insuffler un e signification politique . Quand leur s ancien s seigneurs , les Robertiens, devinrent roi s e n 987, ils auraient p u songer non seulemen t à prendre le titre ducal ce qu'ils ont fait publiquement dès 1007 au plu s tard , comm e l' a démontr é K . F. Werner - , mais encor e à revendiquer leur s droits su r tout e l'ancienn e Neustrie . C e fut , a u plus , un e tentatio n fugitiv e e t san s 6 Provincia Lugdonensis secunda, quae nunc dkitur Normannia, Cartul . d u Mont-Saint-Miche l Bibl . Avranches, ms.210 , p . 10 r°. 7 Orderic Vital , éd . M. CHIBNALL, V, p. 24. 8 Ed. L . MUSSET, dan s Bull . Soc . Antiq. Normandi e 55 (1959-1960) , p. 32, app, II. 9 Miraculum quo beata Mari a subveni t WÏllelm o Crispin o seniori , éd . GILES , Beat i Lanfranc i opéra , Oxford 1944, t.I, p . 341. 10 Hariulf, éd . F. LOT, p. 187,246 et 255; -Lambert de Saint-Omer, éd. L. DELISLE , Notices et extraits..., XXXVIII, 1906, p. 771. 11 Tel Orderi c Vital , éd . CHIBNALL , III, p. 46 et 48 (concerne l e Bas-Empire). 12 Guillaume de Jumièges, éd. J. MARX , p. 12 (faits de 852 environ). Notons que Dudon de Saint-Quentin semble égalemen t s'absteni r d'utilise r Neustria pour désigner la future Normandie .

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conséquences: u n diplôm e d e Richard II pour l e Mont-Saint-Michel , conserv é e n original jusqu'e n 1944, attribue à c e princ e l e titr e d e Ricardus Dei dispositione princeps et marchio totius Neustriae provinciae en 100913. L e ca s rest a uniqu e e t même les textes littéraires les plus enthousiastes des deux siècles suivants n'ont à peu près jamais repris cette prétention à leur compte, alors qu'ils n'ont garde d'oublier les revendications normande s su r l a Bretagne voisine . C'es t tou t a u plus s i j'a i relevé dans un texte tardif, des Miracles de Thomas Becket, l'expression de comes Neustriae pour désigne r Rober t l e Magnifique (o u Rober t Courteheuse , l e passage n'es t pa s clair)14. La Neustrie, est, si j'ose dire, tombée aux oubliettes, en dépit de la passion d'antiquaires d e certains auteurs , comme Etienne de Rouen, qu i aimai t souligner à tout propos le caractère danois des Normands au temps de Henri II Plantagenêt: cela correspondait mieu x à l'idéologie régionale. Même le s textes, asse z nombreu x dè s l a fi n d u Xe siècle , qu i soulignen t qu e la Normandie es t u n regnum - et beaucou p son t de s diplôme s ducau x - ne songen t jamais à revendiquer pou r ell e la succession d e l'ancienne Neustrie : il s parlent d u Normannorum regnum, d e l a monarchia regni Normannorum, jamai s d u regnum Neustriae15. La notion a tout à fait cess é de présenter un potentiel politiqu e utile. Bien sûr, en même temps que Neustria ont disparu la plupart de ses synonymes du IXe siècle : o n n e parl e plu s d e Transsequani o u d'Ultrasequanenses, terme s qu e Flodoard appliquai t encor e en 960 à Hugues l e Grand e t au x siens. Cependant ic i l'effacement de s ancienne s formule s fu t peut-êtr e moin s complet : quelque s texte s normands d u XIe e t XIIe siècle s insisten t su r l a situation citra Sequanam ou ultra Sequanam d e certaine s localités , notammen t à l'intérieu r d e grande s seigneurie s foncières comme celles de l'abbaye de Montivilliers, de Raoul Fils Anzeré, de Raoul de Conche s o u d'Odo n Stigan d d e Mézidon. I l s'agi t plutô t d'un e commodit é d e langage qu e d'un e vrai e survivanc e d'un e notio n ancienne . E n réalité , l'un e de s principales innovations de l'Etat normand, face aux traditions franques, fu t précisément d'effacer cett e ancienne limite de la Seine: d'Eu jusqu' à Jersey, la Normandie ducale fut profondémen t unitaire . J'aime à répéter qu e la première Normandi e fu t comm e un Janus à double face , l'une franque e t l'autre Scandinave. C'est sans nul doute vrai de ses institutions et de sa classe dirigeante . Ce n'est certainemen t pa s vrai de sa géographie politique: elle s'est coulée dans le moule de la province ecclésiastique de Rouen, à quelques détails près (Vexin français e n moins, Passais en plus), et non dans celui de la Neustrie, et elle n'a pas davantage, aussi à quelques détails près (d'éphémères circonscriptions du Nord d u Cotentin) , pris modèl e su r l e monde Scandinave . La Normandie es t une innovation qu e n e prolong e e n rie n le s cadre s territoriau x de s VIIe, VIII e e t IXe siècles. Si le duché ressemble un peu à certains missatica (par exemple à ceux de 802 et de 853), c'est parce que, dans les deux cas, on a tenu compte, pour tracer des limites, de la province dessinée au Bas-Empire d'abord pa r l'Etat e t bientôt par l'Eglise.

13 M.FAUROUX, Recuei l de s Actes de s duc s d e Normandie 911-1066, Caen 1961, n°12, p. 85. 14 Miracula S. Thomae, éd. ROBERTSON, Materials for the History of Thomas Becket, Londres 1875,1.1, p. 82. 15 M.FAUROUX, ouvr . cité, n°s61 (1030), 7 4 (1027-1035), 9 2 (1038).

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Mais trêv e d e discour s normand s e t revenon s au x thème s authentiquemen t neus triens, à ceux qu i viennent d'êtr e examiné s dan s notre colloque , e t aussi à ceux qui , sans être uniquement neustriens , y on t bénéficié d e regards nouveaux. Commen t n e pas nous féliciter, par exemple, que notre réunion ait servi de cadre à cette si brillante réévaluation d u règne de Charlemagne qu e nous a présentée R. H. Bautier? Elle fera date, j'e n sui s sûr , dan s l'historiographi e de s Carolingiens : l a Neustri e n' y a contribué qu e pa r so n absence , presqu e complète , su r l'itinérair e d u roi . E t l a présentation d e notre »Francie « pa r K. F. Werner a aussi ét é une occasion d e mieux comprendre c e qu e fu t l'autr e Francie , cell e de Cologn e d u Rhin d'abord, d u Mai n ensuite. L'étud e de s maires d u palais apparenté s à Erchinoald e t à Ebroïn par Mme Heidrich nou s a fai t mieu x saisi r pourquoi , e n Austrasi e d'abord , le s Pippinide s avaient réussi. L'absence, soulignée par R. Kaiser, des »républiques épiscopales« dan s le domain e de s Robertien s e t de s Normand s nou s a aidé à comprendre c e qu'elle s étaient dan s d'autre s régions . Mêm e négatives , le s référence s à la Neustrie s e son t presque toujour s révélée s féconde s pou r l'intelligenc e d u mond e fran c dan s so n ensemble. A l'intérieu r d e l a Neustrie, deu x o u troi s zone s son t apparue s privilégiées: celle qui va en gros de Compiègne à Paris - la Basse Seine (à cause des »Gest a sanctoru m patrum Fontanellensi s coenobii« ) - ; le Maine enfin ( à cause des »Actus pontificum Cenomannis i n urb e degentium « e t des »Gest a Aldrici«). Hors d e ces secteurs , qui pourrait risquer ces cartes denses, démonstratives e t convaincantes qu e Mme Weidemann a p u dresse r devan t nou s pour l e Maine ? Commen t analyse r ailleur s le s rapports changeant s du pouvoi r e t d'un e grand e communaut é religieus e ave c l a finesse don t J. Semmler a su fair e preuv e pour Saint-Denis ? En revanch e à Rouen, cœu r d e la Neustrie, Mm e N. Gauthier a dû déployer un e dextérité insign e pour saisi r quelque s trait s d e l a physionomie d e l a ville mérovin gienne e t carolingienn e à partir , presque , d u néant , tan t son t mince s le s donnée s qu'on peut extraire des sources écrites ou des observations archéologiques. Bienheureux ceux qui, comme J. Le Maho à Boscherville, ont pu saisir sur quelques centaines de mètre s carrés , l'histoire , auss i surprenant e qu e passionnante , d e plu s d'u n millénaire de vie religieuse. C'est, n'en doutons guère, à ceux qui pourront suivre son exemple, qu'appartiendron t désormai s le s clef s d e nos problèmes . Tout nou s avai t fai t pressentir , dè s l a leço n introductiv e d e M . Werner, que le s questions d e géographie historique que pose la Neustrie ne se trancheraient pas sans difficultés. I l a fallu l a doct e habilet é d e Miche l Rouch e pou r fair e voi r clairemen t quelles avaien t ét é les limites s i fluctuantes d e cet ensemble territorial - et je ne jure pas que , san s l'excellen t peti t atla s qu'i l a joint a u catalogu e d e l'exposition , nou s aurions reten u toute s ce s vissicitudes ? A propo s de s confin s occidentaux , ver s l e Maine e t l a Haut e Bretagne , J . P. Brunterc'h a propos é un e foul e d'hypothèse s neuves, pénétrantes et séduisantes, que la recherche des années à venir devra d'abord vérifier, notamment en ce qui concerne le thème, toujours si controversé, de la nature des »centaines « (mai s i l faudr a alor s tenir auss i compte d e celles d u Cotentin) . Evoquer le s art s e t l a vie intellectuell e dan s l'espace neustrie n n e pouvait s e fair e qu'en s'aidan t d'abor d d e recensement s exhaustifs , pui s e n jetan t de s regard s complémentaires su r le s région s voisines , enfi n e n n e reculan t pa s devan t de s hypothèses hardies capables de féconder l a mince documentation qui subsiste. C'es t

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ce qu e s'efforcèren t d e réaliser , ave c u n éga l succès , le s orateur s d e l a journé e d e Mercredi. Nou s e n retirâme s de s joies intellectuelle s trè s vives , en mêm e temp s qu e nous étaient offerts de s plaisirs visuels de premier ordre quand Mme Mütherich traitait des manuscrit s enluminé s e t Mm e Gabori t d e l'orfèvreri e e t de s ivoires , à l'aide d e splendides clichés. En matière intellectuelle, les synthèses restent difficiles: tout le talent de P. Riche n'a pu pallie r à l a médiocrit é de s production s écrite s dan s c e qu e nou s avion s conven u d'appeler la »Neustri e croupion « de s temp s carolingiens , mai s le s grande s ligne s d e l'évolution, e t notammen t un e meilleur e distinctio n de s »deu x renaissance s carolin giennes« apparaissen t bie n maintenant. A . Dierkens, quoique peut-être moins icono claste qu'il ne voulait le paraître, a troublé la quiétude intellectuelle de ceux qui abusent de notions simplifiées su r le monachisme insulaire, les influences anglaise s ou la »règle mixte«. J. Vezin a dressé une géographi e presqu e définitiv e de s scriptoria et d e leur s produits qui sera le substrat indispensable de toute nouvelle recherche en la matière. Et J. Fontaine, ave c le brio e t la pénétration qu e tous lu i connaissent, a tenté de jeter u n pont entr e l'étud e de s forme s littéraire s e t l'histoire ; i l nous fai t entrevoi r de s terre s encore inconnues, mais aussi prometteuses qu e celle qu'aperçut Colomb , je veux dire les permanence s d'un e littératur e d e cour , nourri e d e rite s hérité s d e Rom e e t renouvelée pa r de s contacts ave c Byzance . Enfi n C . Heitz, reprenan t quelque s une s des observations qu e l'o n avai t faite s l a veille su r l e terrain, a montré l'ampleu r de s programmes architecturau x d e la Neustrie carolingienne ; il a mis en évidenc e qu'ell e avait ét é une terre d'innovations , peut-êtr e mêm e cell e où s'étai t élaboré e l a formul e définitive du monastère bénédictin, ordonné autour du cloître et de la salle capitulaire.

Plus loin des moines, des évêques, des grands e t des rois se tiennent les archéologue s de terrain . Comm e W.Janssen le di t e n ouvran t l e »déba t archéologique « d u mercredi soir , i l fallai t descendr e de s chose s d e l'espri t e t de s oeuvre s d'ar t au x humbles réalité s d e la vi e quotidienn e qu e l'histoir e pa r le s textes , à cett e époque , atteint difficilement . Pa r cett e voi e nou s fûme s introduit s à quelque s une s de s questions majeure s d e l'histoir e social e d u hau t moye n âge : continuit é d e l'habita t rural, influenc e de s sanctuaire s su r l e peuplement, naissanc e de s villes . Saint-Martin d e Trainecourt, à Mondeville (Calvados ) es t jusqu'ici, quan t a u site , la meilleure illustration d'un e extraordinair e continuit é villageoise . La fouille me t e n face de trois faits importants e t nouveaux: l'oscillation entr e la construction e n pierre - qui domin e à l'époque romain e e t aprè s l e VII e siècle - et celle en boi s e t fascines , caractéristique de s I V - V I e siècles ; - l'organisation d'u n habita t trè s ancie n autou r d'un sanctuair e san s dout e paroissia l cré e ver s l a charnière de s VII e e t VIII e siècles ; enfin, d e manière plus inattendue, une augmentation général e de la taille des hommes vers l e IXe siècle , san s dout e e n conséquenc e d'u n progrè s d e l'alimentation . C'es t aussi un e continuit é qu'enregistr e J . F. Baratin à Tavers (Loiret ) mai s ave c u n lége r glissement d e l a nécropol e e t de s site s habités , e t d e plu s u n fai t exceptionne l qu i éclaire la hiérarchie sociale: ce mausolée familial d u Bas-Empire, bientôt christianisé , qui a évoqué pour mo i le s récentes révélation s de s fouilles d u cimetière de Dorches ter e n Dorset .

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Les exposés d e P . Demolon su r le s fouilles d e Doua i e t d e O . Meyer su r celle s d e Saint-Denis metten t e n contac t ave c de s milieu x plu s complexes . L e premie r a démontré commen t l a densificatio n d'u n habita t rural , poursuivi e d u VII e a u XI e siècle, pouvai t débouche r su r la naissanc e d'un e vill e quan d un e autorit é politiqu e forte s'e n mêlait . L e secon d a montr é l a complexit é d u context e ecclésiastiqu e d e l'abbaye français e pa r excellence . Mais à Saint-Denis l'étude de s textes es t encore e n mesure d'apporte r de s contributions majeure s e t toute s nouvelle s à nos connaissan ces, comm e l e documen t exceptionne l récemmen t mi s a u jou r e t comment é pa r W. Jacobsen. Les problèmes économique s n e peuvent s e poser clairemen t qu'à l'aid e d e source s diplomatiques, archéologique s e t numismatiques , comm e l'on t mi s e n lumièr e le s orateurs d e notr e dernièr e journée ; mai s ce s diverse s approche s n'autorisen t encor e que de s conclusion s limitées . C e n'es t pa s ic i l e lie u d e reprendr e de s discussion s souvent animées , suscitée s pa r l'extrêm e difficult é d'interpréte r de s texte s l e plu s souvent laconiques , comm e ceu x de s acte s privés examiné s pa r G . Despy. Les thèse s qu e Mm e Magnou-Nortie r présent e inlassablemen t depui s quelque s années ont, c'est déjà certain, renouvelé la problématique de l'histoire d u haut moye n âge su r u n poin t essentiel , à savoi r l'existenc e d'un e fiscalit é publiqu e vivant e e t presque générale . A mo n avi s cett e doctrin e mérit e désormai s d'êtr e pris e e n considération e t d e stimule r le s recherches . Ell e rejoin t curieusemen t de s constata tions qu e j'avai s faites personnellemen t quelque s siècle s plus tard , au x origine s d e la Normandie ducale . Moins provocant, moins iconoclaste, J. P. Devroey a aussi renou velé un sujet qu e chacun croyait bien connu: l'illustre polyptyque d e l'abbé Irminon . Ici l a codicologi e e t l a paléographi e on t ouver t de s voie s nouvelle s à l'histoir e économique d u hau t moye n âge . L a maîtris e d e ce t expos é laisser a à tou s se s auditeurs u n trè s vi f souvenir . Nu l dout e qu'i l n e fass e date . Dan s so n domain e également, D . Lohrmann a bouleversé des certitudes que l'on croyai t acquises depui s un demi-siècle : c e n'es t pa s d u XI e siècl e qu e daten t e n no s région s le s première s grandes »conquêtes « d u moulin à eau, mais bien, au plus tard, de l'ère carolingienne . Pour notr e génération , la monnai e mérovingienn e c'es t J . Lafaurie, e t J. Lafaurie c'est - entre autre s chose s - la monnai e mérovingienne . Nu l mieu x qu e lu i n' a su interroger avec profit pou r l'historie n ce s médiocres rondelle s d e métal ou donne r à leur accumulatio n e n trésor s de s interprétation s plu s éloquentes . Aujourd'hu i elle s ont mêm e serv i à démontrer qu'i l avai t bie n exist é une Neustrie . C e que , pour finir S. Lebecq es t ven u confirmer , carte s e n mains , dan s l e domain e de s échange s maritimes qu i prolong e celu i d e se s cher s Frisons . Ces journée s neustrienne s s e son t déroulée s d'un e manièr e exceptionnellemen t favorable, nous en sommes tous conscients. Un peu parce que le ciel nous a aidés - en faisant pleuvoi r quan d i l fallai t nou s reteni r dan s l a sall e de s communications , e n éclaircissant l'horizon quan d nous devions excursionner. Mais surtout parce que tou t le mond e y a contribué . D'abor d l'Institu t Historiqu e Allemand , qu i a e u l'idé e première, les moyens de l'exécuter, l e talent de la faire fructifier, surtou t grâce à MM. Werner et Atsma. Pui s l a ville de Roue n qui , dès le premier jour , nou s a accueillis à bras ouverts . L e départemen t d e l a Seine-Maritim e e t se s musées , qu i grâc e à M. P. Périn, son t à l'origine d e cette magnifique expositio n qu i nous a tant appris . Le

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Consortium de s Sociétés Savantes qui nous a prêté sa si commode salle de réunion. Et, finalement chacun d'entre les participants, ceux qui ont apporté leur contribution par de savantes communications, dont le niveau fut excellen t (je peux le dire, je n'en ai pas fait!), et ceux qui n'ont fai t qu e mettre leur convivialité, leur bonne humeur , leur gentilless e a u service de tous. Les Monuments historique s qui nou s ont ouver t les ruines de Jumièges. Dom Letellier, qui nous a guidés à Saint-Wandrille. Je n'en citerai pas d'autres: la liste serait interminable.. . Etudier la Neustrie de 650 à 850, cela tenait un peu de la gageure, d'autant plus que l'introduction d e M . K. F. Werner laissait d'emblé e apercevoi r - avec bie n d e l a sagesse - combien ce nom trè s simple avait recouvert d e réalités changeantes et mal connues au cours de ces deux siècles. Eh bien, la gageure a été tenue, et le succès fut complet.

BIBLIOGRAPHIE

La bibliographie suivant e recens e le s plu s importante s publication s utilisée s pou r le s contribution s contenues dan s ces deux volumes. Ell e ne prétend pa s être exhaustive. Ell e a été essentiellement établi e à partir de s liste s bibliographique s d e livre s fournie s pa r le s auteur s eux-mêmes . L e directeu r d e l a publication s'es t donc efforcé d e vérifier le s indications bibliographiques, d e les unifier e t éventuellemen t de les compléter . Actes de s VIe Journée s d'archéologi e mérovin gienne. Rennes , 1984. (Bulletin d e liaiso n d e l'association français e d'archéologi e mérovin gienne 8). ADDYMAN (Pete r V.), Saxon Southampton: a town and international port of th e 8* to 10^ Century, dans JANKUHN et al. , (éd.) , Vor- un d Frühfor men 1 , p. 218-228. ADHÉMAR (J.) , Le s influence s antique s dan s l'ar t du Moye n Ag e Français . Londres , 1939. ADHÉMAR (J.) , L e tréso r d'argenteri e donn é pa r saint Didier aux églises d'Auxerre, dans La revue archéologique, 6 e série, 4, 1934 , p. 44-54. AFFELDT (Werner) , Untersuchunge n zu r Königs erhebung Pippins . Da s Papsttu m un d di e Begründung de s karolingische n Königtum s i m Jahre 751 , dans Frühmittelalterliche Studie n 14 , 1980, p . 95-187. AGACHE (Roger) , L a Somme pré-romain e et romaine d'après le s prospections aérienne s à basse altitude. Amiens , 1978. ANGENENDT (Arnold) , Das geistlich e Bündni s de r Papste mit den Karolingern (754-796), dans Historisches Jahrbuch 100 , 1980 , p. 1-94. ANGENENDT (Arnold) , Kaiserherrschaf t un d Königstaufe. Kaiser , König e un d Päpst e al s geistliche Patron e i n de r abendländische n Mis sionsgeschichte. Berli n et New York , 1984 . (Arbeiten zur Frühmittelalterforschung de r Universität Münste r 15) . ANTON (Han s Hubert), Studien zu den Klosterprivilegien de r Päpste i m frühen Mittelalter . Berli n et Ne w York , 1975 . (Beiträg e zu r Geschicht e und Quellenkund e de s Mittelalter s 4). ANTON (Han s Hubert) , Trie r im frühe n Mittelal ter. Paderborn, München, Wien et Zürich, 1987. (Quellen un d Forschunge n au s dem Gebie t der Geschichte N . F. 9) . ATSMA (Hartmut) , Le fond s des chartes mérovin giennes de Saint-Denis. Rapport sur une recherche e n cours , dan s Pari s e t Ile-de-France . Mé moires publié s pa r l a Fédératio n de s société s historiques et archéologiques de Paris et de l'Ilede-France 32, 1981 , p. 259-272.

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TABLE DE S CARTES ET DES PLANS La Neustrie La Neustrie après 650 La Neustrie d e Chilpéric II (715-721) Les partages de 741, 742, 747 Les partages de 768-771 Les partages de 806, 817 , 829, 831 Les partages de 837, 839 , 843 Les Missatica en 802 Les Missatica en 825-827 Les Missatica en 853

I, I, I, I, I, I, I, I, I,

11 (carte 1) 12 (carte 2) 14 (carte 3) 15 (carte 4) 16 (carte 5) 17 (carte 6) 19 (carte 7) 20 (carte 8) 21 (carte 9)

Le duché du Maine et la marche de Bretagne Centenae, condita e et vicariae du VIIIe aux X7X P siècle s Les centaines attestée s au x VIIIe et IXe siècles Les condita e attestée s aux VIIIe et IXe siècles Les vicariae au x IXe et X7XP siècle s

I, I, I, I,

123 124 125 126

(fig. (fig. (fig. (fig.

4) 5) 6) 7)

Table des cartes et des plans Les possessions de l'église du Mans du VIP au IXe siècle Les possessions de l'église épiscopal e d u Man s vers 592 Les possessions d e l'église épiscopal e d u Mans a u milieu du VIIe siècle Les possessions ecclésiastique s dan s l'évêché du Mans a u milieu du VIIe siècle Les lieux d e provenanc e de s participant s d u synod e du Mans (a . 683) Les possessions d e l'égHs e épiscopal e d u Mans, d'après l a liste des possessions rédigé e a u débu t d u VIIIe siècl e Les possessions d e l'églis e du Man s a u début d u VIIIe siècle: Anciens propriétaire s Petits domaine s appartenan t à l'égHse du Mans a u début du VHP siècl e Petits domaine s appartenan t à l'égHse d u Man s a u début d u VIIIe siècle : Ancien s propriétaire s Ensemble de s possession s d e l'églis e du Mans a u début du VIIIe siècle Les possessions d e l'égHse d u Man s e n 771 Les possession s d e l'églis e du Man s entre 771 et 784 Les possessions d e l'égHs e d u Man s vers 838/840 Les possessions d e l'égHs e du Man s vers 857/863

I, 181 I, 182 I, 186 I, 187 I, 190 1,191

(carte (carte (carte (carte (carte (carte

Monastères et abbés en Neustrie L'ordo palati i e n Neustrie dan s la première moiti é d u IXe siècle Les abbé s du VIIe siècl e Les abbé s du VIIIe siècl e Les abbés d u IXe siècl e Les grande s abbaye s neustrienne s e t l a mer

I, 337 I, 338 I, 339 I» 340 I» 425

(carte 1) (carte 2) (carte 3) (carte 4) (fig. 4)

Les possessions de Saint-Denis en 7H Pagi occidentau x LocaHtés de ChL A 595

II, 135 (cartes 1 et 1 bis) II, 141-142 (cartes 2 et 3)

Les domaines de Saint-Germain-des-Prés Implantation d u domain e d e St-Germain-des-Pré s Les domaine s d'aprè s l e polyptyque d e l'abb é Irmino n Les »fonctions « d u domain e (IX7X P siècles ) Mansi e t redevance s Redevances (1 et 2) Services (1 et 2)

I, 463 I, 464 I, 465 I, 512 I, 513 1,517

Normands en Neustrie Normands, se l et monnai e

I, 122 (fig. 3)

Pons et villes Ports d e me r e n Neustri e Quentovic dan s son environnemen t Rouen, plan s d e la viUe au XVIIe siècle s e t de 1738

1,413 (fig. 2) 1,418 (fig. 3) II, 4-5 (fig. 1-2)

Monnaies Répartition de s ateHers d'origine de s pièces découverte s à Glisy

I, 407 (fig. 1)

Marbres et carrières Marbres e t carrière s e n Bourgogne a u haut Moye n Âg e

II, 213 (fig. 3)

I, 162 (carte 1) I, 164 (carte 2) I, 165 (carte 3) I, 170 (carte 4) I, 178 (carte 5) I, 179 (carte 6) I, 180 (carte 7) 8) 9) 10) 11) 12) 13)

(carte 1) (cartes 2 à 4) (carte 5) (fig. 1) (fig. 2), 515 (fig. 3) (fig. 4), 519 (fig. 5)

504

Table des cartes et de s plans

Plans d'Églises Auxerre, St-Germai n H Corvey a n der Weser Flavigny, St-Pierr e Fulda GrandHeu, St-PhiHbert Halberstadt, cathédrale Lorsch Mainz, St . Alba n Paris, St-Étienne Roma, St-Pierr e Roma, Vieux-St-Pierr e Rouen, St-Ouen Saint-Denis

Saint-Maurice d'Agaune Saint-Riquier Saint-Wandrille Salzburg, cathédrale Sankt Galle n SeHgenstadt

, 20 3 (fig. 17 ) II, 205 (fig . 19 ) II, 204 (fig . 18 ) II» 182 (fig . 27 ) II, 201 (fig . 15 ) II, 205 (flg . 20 ) II, 179 (fig. 25 ) II, 183 (fig. 28 ) II, 164 (fig. 10 ) II, 200 (fig . 14 ) II, 178 (fig . 23 ) II, 22 (fig . 1 ) II, 154-156 (fig . 1-3) , 158 (fig . 5) , 16 3 (fig. 9) , 171-173 (fig . 18-20) , 176 (fig. 22) , 19 8 (fig . 11 ) II, 199 (fig. 13 ) II, 195 (fig. 8) , 19 7 (fig. 10 ) II, 192 (fig . 6 ) II, 181 (fig . 26 ) II, 194 (fig. 7 ) II, 179 (fig. 25 )

Extraits de la »Carte de Cassini*, feuilles n°* 1, 3, 5 , 26, 28, 41, 46, 61, 63 Corbon - Boissy-Maugi s I, 370 (fig. 1 ) Meung, St-Pierr e I, 372 (fig. 2 ) Emans I, 375 (fig. 3 ) Secqueval I, 377 (fig . 4 ) Villemeux I, 378 (fig . 5 ) Villa supr a Mare I, 381 (fig . 6 ) Détournement du Croul d I, 385 (fig. 7 ) Détournement de la Corbie I, 388 (fig . 8 ) Moulins de St-Bertin sur l'Aa I, 392 (fig. 9 ) Fisc d'Annapes I, 394 (fig. 10 ) Cadastraùon romaine Traces de cadastration dans la Centaine de Laillé Les terroir s cadastré s au x alentours de Renne s

I, 120 (fig. 1 ) II, 121 (fig. 2)

Les chartes royales Les destinataire s des diplôme s expédié s au nom des roi s mérovingiens Les bénificiaire s de s actes falsifié s a u nom de s rois mérovingiens

I, 529 (carte 1) I, 531 (carte 2)

TABLE DES MANUSCRITS CITES

Abbeville (Somme, F), BibHothèqu e municipal e 4 II, 398 Amiens (Somme , F) , BibHothèqu e municipal e 6-7,9,11-12 11,327,329,31 5 18 II, 324, 330 (fig.5) 87 II, 343 88 II, 343, 404 220 II, 341 II, 346 223 426 II, 343 Autun (Saône-et-Loire , F) , BibHothèqu e munici pale 20 II, 407 Avranches (Manche , F) , BibHothèque municipal e 48 II, 397 Bamberg (Bayern , D), StaatsbibHothe k B. 11.10 II, 402 can. 12 I, 573, 578 , 58 0 Patr. 86 (B.V. 13) II, 315 Berlin (RDA) , Deutsch e StaatsbibHothe k Hamilton 55 3 II, 418 Phillipps 1667 II, 419-420 BerHn (D), StaatsbibHothek Preußischer Kulturbesitz Lat. fol. 416 II, 308 Theol. lat . fo l 58 II, 334, 337 (fig.10) Theol. lat . fol . 877 II, 412 Bern (CH), Burgerbibliothek , BibHothèqu e d e l a Bourgeoisie d e Bern e 207 II, 403 219 II, 419 599 II, 419-420 611 11,41 1 756, n° 76 II, 419 Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais , F) , BibHothè que municipal e 18 II, 345 44 II, 317 58 II, 418-419 74 II, 419 106 (127 ) fragm. II, 419 Bruxelles (B) , BibHothèqu e royal e Alber t Ier Ko ninkhjke Bibhothee k Alber t I. 9641 11,400,41 7 9850-52, fol. 117 r II, 314, 321, 322 (fig. 1) 10127-44 II, 400 IL 1069 II, 399 IL 2572 II, 398 11.4856 11,400,41 7

Cambrai (Nord , F) , BibHothèque municipal e 164 11,31 7 300 11,313,41 1 386 II, 206 (fig. 21) 470 II, 400 679 11,317,40 0 Cambridge (GB) , Corpu s Christi Colleg e Library 197 B II, 423, 426 334 II, 418 Cambridge (GB) , Gonvill e an d Caiu s College Library 820 (K) II, 407 Cambridge (GB) , Magdale n College Library MS Pepys 2981, 1 II, 315 Cambridge (GB) , Universit y Librar y Kk. 5.16 II, 399, 403 Cava dei Terren i (I), Badia Bible II, 312 Den Haa g (NL), Rijksmuseum Meermanno-West reeianum e n Museum van het Boe k 10. A. 1 II, 401 Dublin (IRL) , Trinity College Library 57 (A. IV.5 ) II, 424 Durham (GB) , Cathédra l Library A. 11.17 II, 388, 397 , 399 , 423 , 425 , 427 Düsseldorf (Nordrhein-Westfalen , D), Landesund Stadtbibliothe k A.14 II, 418 Epinal (Vosges , F) , BibHothèque municipal e 72 (7 ) H, 405 149 (68) II, 405 Firenze (I), Bibhoteca Medicea-Laurenzian a Plut. XLV . 15 II, 405 Plut. LXV . 1 II, 319-320, 32 4 Orosius II, 319-320, 32 4 Freiburg-im-Breisgau (Baden-Württemberg , D), Universitätsbibliothek Cod. 70 2 II, 423, 426 Fulda (Hessen, D), LandesbibHothek Cod. Bonif . 2 II, 415 D1 II, 311 Gent (Ost-Viaanderen , B) , St-Bavon, Archives de la Cathédral e Évangéliaire II, 329 Gent (Ost-Viaanderen , B) , Bibliothee k va n d e Rijksuniversiteit te Gent 310 II, 423, 429

506

Table de s manuscrits cité s

Gotha (RDA) , LandesbibHothe k Cod. Mbr . I. 18 II, 423, 428 Cod. Mbr . I. 75 II, 406-407, 41 0 Harburg übe r Donauwörth (Baden-Württemberg , D), Schlo ß Harburg , Fürstlic h Oettingen-Waller stein'sche Bibliothe k Cod. I.2.4°. 2 II, 402, 423, 426-42 7 Karlsruhe (Baden-Württemberg , D) , Badisch e Landesbibliothek Aug. 23 8 II, 197 Fragm. Aug . 13 3 II, 417 339 II, 407 Kassel (Hessen , D) , Gesamthochschul-BibHothe k Philol. fol. 2 II, 420 Köln (Nordrhein-Westfalen , D) , Dombibliothe k fragment s.a. II, 418 67 II, 406-407 212 II, 321 213 II, 423, 426-42 7 Köln (Nordrhein-Westfalen, D ) , Historische s Archiv GB Kaste n B n° 24+1234-124 11,41 1 Laon (Aisne, F) , BibHothèque municipal e 40 II, 418 67 II, 345 328 II, 345 333 II, 345 Leiden (NL), BibHothee k der Rijksuniversiteit Bibl. Publ . Lat.5 2 11,401,417 Bibl. Publ . Lat . II, 421 67D Bibl. Publ . Lat . II, 400, 421 67F Voss lat. F.4 II, 416 Voss lat. F.26 II, 315, 400 Voss lat. F.61 II, 416 Voss lat. F.73 II, 329, 33 1 Voss lat. F.8 4 II, 345 Voss lat. F.8 6 II, 345 Leningrad (URSS) , BibHothèqu e publiqu e Sal tykov-Chtchedrin F.v.1.2 II, 341, 416 F.v.1.3 11,342,401,416 F.v.1.5 II, 342 F.v.1.6 II, 315, 341-34 2 F.v.1.18 II, 420 O.v.I.l II, 397 O.v.1.2 II, 340 O.v.1.3 II, 309, 34 0 Q.v.I.6-10 II, 309 Q.v.1.13 II, 321,323(fig.2),417 Q.v.1.14 II, 340 Q.v.1.15 II, 342, 403, 413 Q.v.1.18 II, 403, 420 Q.v.XIV.l II, 401

Leon (E), Archivio CatedraHcio. Lex Romana Visigothorum 15 II, 326 London (GB), British Library Add. 11878 11,41 1 Add. 29276 II, 412 Cotton CaHgul a II, 408, 421 A.XV Cotton Nero D. IV II , 424 Cotton Oth o C.V. II, 423 Cotton Tiberiu s A.XV II, 419 Egerton 2831 II, 405 Harley 61 II, 409 Harley 2788 II, 398 Harley 2793 II, 329, 332 (fig. 6) Harley 3063 II, 404 Harley 5041 11,341,40 8 Luxembourg (L) , BibHothèque national e 68 II, 428 Maaseick (Limburg, B), ÉgHs e d e Ste-Catherine , Trésor Évangiles s.n . II, 423, 429 Merseburg (RDA), Bibliothek des Domkapitels 105 II, 316, 419 MontpelHer (Hérault, F) , Bibliothèqu e d e la Ville 3 II, 406-407 MontpelHer (Hérault, F), BibHothèque universitaire 409 II, 314 München (Bayern , D), Bayerische StaatsbibHothek Clm 6224 II, 319 Clm 14087 II, 415 Clm 14123 II, 414 Orléans (Loiret , F), BibHothèque municipal e 15 II, 345 19 II, 308 192 II, 308 Oxford (GB) , Bodieian Librar y Douce 1 II, 407 Douce 140 II, 421 Douce 176 II, 324, 325 (fig. 3), 406-407 Laud mise. 126 II, 406-407, 411, 415 Paris (F), BibHothèque d e l'Arsenal 599 II, 398 Paris (F), BibHothèque national e lat. 1 II, 331, 336 (fig. 9) lat. 2 II, 334 lat. 152 11,407-408,41 0 lat. 256 II, 320 lat. 266 II, 331, 335 (fig. 8) lat. 1784 11,42 1 lat. 1820 11,42 0 lat. 1853 11,400,42 1 lat. 1959 II, 419, 421

Table des manuscrits cites lat. 2034 II, 421 lat. 2110 II, 406-407, 410 lat. 2164 II, 345 lat. 2195 II, 313 lat. 2630 11,309 lat. 2706 II, 406-407, 410 lat. 2717 II, 345 lat. 3836 II, 417 lat. 3837 II, 311 lat. 4403A II, 341 lat. 4413 II, 314 lat. 4808, f. 121 II, 407 lat. 4995 I, 569, 572 lat. 6413 II, 407 lat. 7560 11,401 lat. 8067 II, 346 lat. 8071 II, 421 lat. 8093 II, 346 lat. 8850 II, 398 lat. 9377 II, 416 lat. 9380 11,311 lat. 9382 II, 423, 427 lat. 9389 II, 321, 399, 423-426 lat. 9488 II, 421 lat. 9520 11,403 lat. 9525 II, 429 lat. 9527 II, 402, 423, 428 lat. 9528 II, 422, 428 lat. 9529, ff. 1-2 II, 423, 428-429 lat. 9530 II, 423, 429 lat. 9538 II, 423, 428 lat. 9555, f.l II, 428 lat. 9561 II, 419 lat. 9565 II, 423, 429 lat. 10399 II, 402, 407, 423, 428 lat. 10400 II, 407, 423 lat. 10837, ff. 2-41 II, 423, 427 lat. 11326 II, 308 lat. 11514 II, 331, 333 (fig. 7) lat. 11529-30 II, 343 lat. 11611 11,346 lat. 11627 II, 341, 343 lat. 11635 II, 343 lat. 11681 II, 343, 403 lat. 11907 II, 273 (fig. 13) lat. 11947 II, 308 lat. 11995 II, 346 lat. 12048 11,313,327,411 lat. 12097 II, 309, 340, 342 lat. 12124 II, 345 lat. 12132 II, 309 lat. 12134 II, 343 lat. 12135 II, 343 lat. 12155 II, 343 lat. 12161 II, 340-341 lat. 12168 II, 324

lat. 12190 II, 309, 340 lat. 12205 II, 309, 340 lat. 12207 II, 407 lat. 12217 11,344 lat. 12238 II, 407 lat. 12239 II, 341, 343 lat. 12240 II, 343, 406-407 lat. 12241 II, 343 lat. 12243 II, 407 lat. 12274 II, 343 lat. 12275 II, 343 lat. 12284 II, 343 lat 12292 II, 343, 346 lat. 12598 II, 400, 421 lat. 12711 II, 47, 204 lat. 13025 II, 316, 343 lat. 13027 II, 346 lat. 13028 II, 341 lat. 13046 II, 342, 413 lat. 13047 II, 420 lat. 13174 II, 315 lat. 13347 II, 341 lat. 13349 II, 341 lat. 13351 II, 343 lat. 13359 II, 315, 345 lat. 13373 II, 343-344 lat. 13386 II, 400, 417 lat. 13756 II, 420 lat. 13955 II, 346 lat. 14086 II, 341, 416 lat. 14087 II, 316, 343 lat. 15679 11,311 lat. 17177 II, 417 lat. 17371 II, 312 lat. 17451 II, 403 lat. 17654 II, 406-408, 410 lat. 17655 II, 315, 340, 415, 420 lat. 17959 II, 403, 413 II, 316, 321, 398 n. a. lat. 1203 11,311 n. a. lat. 1557 II, 420 n. a. lat. 1587 11,309 n. a. lat. 1592 II, 420 n. a. lat. 1619 n. a. lat. 2061 II, 340 II, 309, 408 n. a. lat. 2334 n. a. lat. 2654 II, 310 Poitiers (Vienne, F), BibHothèque municipale II, 315 17(65) Puy, Le (Haute-Loire, F), Cathédrale, trésor Bible s. n. II, 312 Regensburg (Bayern,, D ) , Gräflich Walderdorfl BibHothek fragment s.n. II, 412 Reims (Marne, F), BibHothèque municipale II, 345 373 II, 402 426

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Table de s manuscrits cité s

Roma (I), BibHoteca Nazional e 1572 (Sess . 12 ) II, 419 Roma (I), Biblioteca ValHceUiana B. 6 2 11,41 1 Rouen (Seine-Maritime, F), BibHothèqu e munici pale 524 (I. 49) II, 314 »Livre d'ivoire« II, 266 (fig. 7), 26 7 Sainte-Claude (Jura , F), Bibliothèque municipal e 1 II, 344 Samt-Omer (Pas-de-Calais , F) , BibHothèqu e municipale 257 II, 419 267 II, 402 279 II, 419 392 bis, fol. B II, 419 Sankt Galle n (CH), Stifts-BibHothe k 254 II, 402 257 II, 402 728 1,580 876 II, 403 1394 II, 424 1396 II, 405 Spangenberg (Hessen , D), PfarrbibHothe k Servius s.n . II, 401 Stuttgart (Baden-Württemberg, D), Württembergische Landesbibliothe k Bibl. fol . 12 a-c II, 423, 428 Bibl. fol . 23 II, 312, 331 HB XIV.l II, 423, 429 Tours (Indre-et-Loire, F), BibHothèque municipale 22 II, 405 Trier (Rheinland-Pfalz, D), Dombibliothek 134 II, 320 Trier (Rheinland-Pfalz, D), Domschatz 61 II, 423, 428 Trier (Rheinland-Pfalz, D), StadtbibHothe k 22 II, 398 31 II, 331 Troyes (Aube , F) , BibHothèque municipal e 504 II, 320

Vaticano, Città del, BibHoteca ApostoHca Vaticana lat. 266 II, 344 lat. 340 II, 404, 41 7 lat. 630 II, 347 lat. 1512 II, 405 lat. 3225 11,33 1 lat. 3256 II, 308 lat. 3861 II, 416 lat. 3867 II, 308 Pal. lat . 216 II, 417 Pal. lat . 235 II, 401, 423 Pal. lat . 493 II, 408 Pal. lat . 554 II, 403 Reg. lat. 11 11,326,40 8 Reg. lat. 151 II, 345 Reg. lat. 257 II, 326-327, 408 , 411 Reg. lat. 316 II, 326-327, 32 8 (fig. 4), 406-408,41 1 Reg. lat. 317 11,326,41 1 Reg. lat. 1209 II, 423, 42 9 Verona (I), BibHoteca Capitolar e XL (38) 11,41 1 LU (50) II, 400 Wien (A), Hofburg, Geistlich e Schatzkamme r Évangiles II, 398 Wien (Â), Österreichische NationalbibHothek lat. 277 II, 421 lat, 1861 11,39 8 lat. 15298(1511) 11,39 7 Weimar (RDA), Staatsarchiv, Sammlun g des Freiherrn Carl von Hardenber g n° 1 II, 420 Wolfenbüttel (Niedersachsen , D) , Herzo g Augus t Bibliothek Heimst. 45 5 II, 418 Weissenb. 99 II, 416 Würzburg (Bayern , D) , Universitätsbibliothe k M.p.th. f . 2 8 II, 414 M.p.th.f. 64 a II, 416 M.p.th.f.79 II, 415 M.p.th.q. la II, 414

INDEX

L'index suivant recense sous une forme cumulative des noms de lieux, de personnes et de matières qui ont été sélectionné s pa r les auteur s de s article s eux-mêmes. Cett e circonstanc e expHqu e pourquoi Ü ne peu t être considéré comme exhaustif e t homogène. L'éditeu r s'est efforcé d e compléter et d'unifier le s données qui ont ét é mises à sa disposition. Aa, rivière I, 389-391, 39 2 (et fig. 9), 395 Aachen (Nordrhein-Westfalen , D), palai s I, 4849, 51 , 56 , 62 , 541 , 544, 547-548 , 550 , 552-554, 556; II, 185, 221, 270, 32 9 Abancourt (Oise , F) , Ambricocurte II, 140 Abbécourt (Oise , F) , Ambricocurte II, 140 AbiUy (Indre-et-Loire , F) , vicaria I, 107-108 Ableiges (Aisne , F ) II, 240 Aboul Abbas , éléphan t offer t à Charlemagn e pa r Haroun al-Rachi d 11,313 Abrunculus, évêqu e d e Trier II, 61 abside II, 153, 159 , 169 , 174 , 17 7 Abthadus, référendaire I, 239 Ac-, voi r auss i Agacanthe II, 210 Acbertus, missus I, 239 accola I, 273 Acharius, Achaire, évêqu e d e Noyon I, 325 Acigné (IDe-et-Vilaine , F ) I, 36 Actardus, évêqu e d e Nantes I, 155 actes: authencité 1,549; véracité d'un a. 1,585; a. privés I, 584-585; a. public s I, 584.- Voir cancellarius, chancellerie , charte s Actium, bataüle II, 355 actor I, 315 Actulius, référendair e I, 239 Actus Cenomanensium e t Gest a Aldric i I, 278, 282-283, 287 , 292-293 , 300 , 318 Adadramnus, voi r Aladramnu s Adalbertus, abb é de Ferrières I, 332 Adalbertus, come s I, 239 Adalgarius, come s e t missu s I, 239 Adal(h)ardus, archevêqu e d e Tours I, 157 Adal(h)ardus, abb é d e Corbi e I, 314-317, 332 335, 350 , 358, 387; II, 301-302, 343-34 4 Adal(h)ardus, sénéchal , comt e d e Tours , abb é laïc de St-Martin de Tours e t probablement de Marmoutier I, 58-59, 23 9 Adalhardus, Hadalhardus, comes et missus I, 239 Adalhardus, come s palati i I, 239 Adal(h)elmus, vassu s dominicu s I, 239 Adalleodus, abb é de Barisi s I, 332 Adal(l)eus, vicariu s I, 239 Adalricus, abb é de St-Vaas t d'Arras I, 331

Adalricus, come s I, 240 Adaltrudis, fill e d e Berchariu s I, 224 Adalung, abb é d e Lorsch II, 317 Adela, abbess e d e Pfalze l I, 524, 528; II, 415 administration I, 547, 566 , 581 Admonitio generaH s (a. 789) I, 350, 353 Ado, advocatu s I, 240 Ado, frèr e d'Audoenus , fondateu r d u monastèr e de Jouarr e I, 198-199, 201 ; II, 187, 374 , 376 , 409 Adolphe, comes, abbé laïc de Saint-Bertin II, 286287 Adrebercthus, come s I, 240 Adroaldus, vir inluster I, 275 Adrulfus, advocatu s I, 240 Adsulto, voi r Seu x Adventius, évêqu e d e Metz II, 70 adventus, cérémoni e d e 1' II, 349-350, 357-36 0 advocatus I, 240, 252 , 254-255, 25 8 Aega, maire du palais de Neustrie I, 220; II, 380381, 38 6 Aegidius, magiste r militu m II, 53 iElfric d e Cernel 1,438 Aerdiinberthus, référendair e I, 242 ^thelbert, ro i d e Ken t I, 409; II, 395 jEthelburh, belle-fill e d'Anna , ro i d'East-AngH a II, 409 Aetius, magiste r militum e n Gaule I, 37 Ag-, voi r aussi AcAgatheus, comt e d e Nantes e t de Rennes , vocatus episcopus d e Nantes , Renne s e t probablemen t Coutances e t Chartre s I, 8, 41,15 0 Agaune, voir Saint-Mauric e Agelfredus, abb é d e Saint-Aman d I, 332 agens I, 288, 293, 298, 300-301, 304 Ageradus, évêqu e d e Chartres I, 41,151; II, 115116 Agilbertus, AigHbertus , évêqu e d u Man s I, 148, 168-169, 17 7 Agilbertus, évêqu e d e Pari s I, 199, 326 ; II, 117, 189, 23 8 (fig. 11), 239 , 255 , 297-298 , 377 , 385 , 393, 395 , 409-410, 41 2 Ag(h)ilberthus, Aglybertus , nuntius , notarius , référendaire I, 241

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Index

Agilus, abb é de Rebai s I, 198-199, 207, 215, 32 5 Ag(h)ilus, Aiglus , référendair e I, 241 Agiulfus, abb é d e Saint-Denis I, 326; II, 100 Ag(o)bardus, archevêqu e d e Lyo n I, 50 Ag(o)bertus, comes , ostiariu s I, 239 agrafe, à double croche t II, 451 agrarium I, 286-287, 290 , 294 , 481 , 492, 494 Agrestius, moin e d e Luxeui l II, 375, 377-379 , 388, 39 3 Aguliacinsis, Anguliacensis , pagu s minor, vicaria 1,108 Agusta, voi r Oust-Mares t Aidus, Aidan , évêqu e irlandai s II, 383, 385 Aig-, voi r auss i AgiAiga, épous e d'Autharius , mèr e d e l'évêqu e d e Rouen, Oue n I, 198 aigle d'argent dor é II, 265 (fig. 5) Aigobertus, menestarialis , référendair e I, 241 Aigulfus, come s palati i I, 241 Ailerân d e Clonar d II, 402 Ainmarus, Heimar , évêqu e d'Auxerr e I, 10, 15 2 Aire (Pas-de-Calais, F ) I, 149 Aisne, rivière I, 132, 136 , 14 0 Aladramnus, Adadramnus , Aleran , comt e d e Rennes (?), comte de Troyes e t de Barcelona I, 75 Alanus, Alain Barbe Torte, duc de s Bretons 1 , 8 5 Albaldus, abb é d e St-Florent-le-Viei l I, 331 Albericus, évêqu e d e Cambrai II, 317, 400, 402 Albertus, abbé d e Marmoutie r I, 97 Albertus, comes I, 332 Alcuinus, abb é d e St-Marti n d e Tours I, 46, 97 , 322-323, 333-343, 419, 428-429, 431; II, 70, 301, 310, 329 , 343-344 , 359 , 399 , 402 , 404-405, 408 , 429, 43 1 Aldeneyk (Limburg, B), monastèr e II, 428-429.Abbesses, voir HerUndis , Reglindi s Aldhelmus, abb é d e Malmesbury II, 403 Aldricus, évêqu e d u Man s I, 56, 59 , 61 , 77 , 99 , 101, 156 , 185 , 189 , 333 ; II, 304.- Gesta Aldrici , voir Actus Cenomanensium Aldricus, abbé d e Ferrières I, 332, 334 Aldulphe, ro i d'East-AngH a II, 382 Alençon (Orne , F) , centaine, vicaria I, 96, 98 Aleran, voi r Aladramnu s Alet (Ille-et-Vilaine, F) , cité, diocèse, pagus 1,35, 47-49, 68 , 81 , 83-84 , 88. - Évêques I, 30; évêques nommémen t désignés , voi r Helogar , Her mar.- Voir Porhoë t Alfred l e Grand , roi de s Anglo-Saxon s I, 436 Alsace, pagus , ducatu s I, 195 Altmarus, sénécha l d e l'impératrice I, 61 Amalbertus, abb é d e Saint-Deni s II, 94 Amalbertus, du x I, 241 Amalbertus, comte d e Noyon I, 242 Amalbertus, Amalbercthus, seniscalcus 1,209,242

Amalbertus, fils d e Geremarus , abb é d e St-Ger mer-de-Fly I, 201 Amal(h)ardus, abb é de Hornbac h I, 46 Amal(h)arius, évêqu e d e Trier II, 69 Amalricus, Amaury, comt e d e Nante s I, 73, 82 Amandus, abb é d e Saint-Aman d I, 324, 326 ; II, 308, 38 8 Amatus, Amé , évêqu e d e Sio n I, 326 Amaury, voi r Amalricu s Amblaincourt (Oise , F) , Ambricocurte H , 140 Amblève (Liège , B) , bataill e (a . 716) I, 535 Amboise (Indre-et-Loire , F) , vicaria I, 108 Ambricocurte, voi r Abancourt , Abbécourt , Am blaincourt Ambrosius, évêqu e d e Milan o II, 58 Amé, voir Amatu s Amelius, évêqu e d e Pari s II, 80 Amiens (Somme , F) , cité , diocèse , pagu s (Amié nois) I, 7, 30, 137 , 156 , 246, 327, 405-406, 412, 420-421,432,438-439, 552 , 574; II, 276.- Comte, voi r Eckhardus. - Évêques , voi r Georgius , Jesses Amito, vocatus episcopu s d e Nantes I, 41 Ammianus Marcellinus, historien lati n II, 357, 360, 401 Anastasius, empereu r II, 279 Anatolius, voir Pseudo-A . Ancre, rivièr e I, 387 Andagrisma, abbess e d'Oroê r I, 207 Andelot (Haute-Marne , F) , traité d* II, 63 Andelys, Le s (Eure , F) , monastèr e II, 382, 395 , 409, 47 2 angaria I, 302 Angelomus, moin e d e Luxeuil II, 419 Angers (Maine-et-Loire , F) , cité , diocèse , pagu s (Anjou) 1,10,31,33-35,39-42,57,60,65,72-74, 76-77, 79 , 82-83 , 86 , 89-92 , 109-110 , 113 , 134 , 137-138, 150 , 153-155 , 258 , 262 , 331 , 537, 544, 552; II, 210, 221, 241-242, 245 , 248 , 253 , 361.Palais I, 135, 138. - Comtes, voi r Foulque s l e Bon, Foulque s Nerra , Lamber t I, Lambert II, Nuno.- Évêque, voir Dodo.- ÉgHses et monastères: Cathédral e I, 64; St-Aubin I, 61, 71-73 ; St-Jean-Baptiste, pui s St-Lézi n I, 46, 48 ; StMartin II, 216; chancel II, 252 (fig. 21); StPierre, ancienn e églis e épiscopal e II, 250 (fig. 20); St-Serge-et-St-Bach 1,82,91, 330.- Manuscrits II, 311.- Musée Saint-Jea n II, 242 (fig. 13), 243 (fig. 15), 245 (fig. 16), 250 (fig. 20).- Voir Formulaires Angilbaldus, référendair e I, 241 Angilbertus, abb é d e Saint-Riquie r I, 332; II, 193, 197 , 277, 279 , 292, 31 5 Angilber(c)tus, Anglibertus, Angelbertus, palatinis atque regaHbus negotiis impHcitu s I, 241 *Angilber(c)tus, AngHbercthus , come s I, 241

Index Angleterre, Grande-Bretagne 1,406,408-409,414415, 420 , 424 , 427-430 , 432 , 434, 438 ; II, 461.Roi, voir Richar d Anglo-Saxons I, 408-409, 415, 430-432, 434, 438; 11,67 Angoulême (Charente , F ) I, 544 AnguHacensis, voir Aguliacinsi s Anjou, pagus, voir Anger s Anna, ro i d'East-Angh a II, 382, 409 Annappes (Nord, F), fisc, villa I, 350,393,394 (et fig. 10), 395-39 7 Annegray (Haute-Saône , F) , monastère II, 410 annona I, 287, 31 6 ansänge, voir métrologi e Ansauvilliers (Oise , F) , Ansinovillare II, 143 Ansbertus, Ansebercthus , référendaire , abb é d e Saint-Wandrille, pui s évêqu e d e Roue n I, 152, 207, 211, 242, 327; II, 11, 15-16 , 156 , 299 Anschiddus, sacebar o I, 242 Ans(e)flidis, épous e d e Waratto I, 223-224, 228 Ansegisus, abb é d e Saint-Wandrill e I, 333-335, 574; II, 10, 12 , 191,193,260, 276,287,314,367 368.- Collectio Ansegis i I, 574, 57 7 Ans(h)elmus, come s palati i I, 242 Ansinovillare, voi r ÂnsauviUers , AssainvilHer s Ansoaldus, évêqu e d e Poitiers I, 214 Ansoaldus, comes palati i I, 242 antéfixe II, 243 (fig. 15) antéglise II, 196 Antonius, Antoine le Grand, patriarche des cénobites 1,214 amnistions I, 200 Apollo, dieu gre c II, 355 Aponius, commentateu r II, 419 aqueduc I, 384, 390, 39 7 Aquitaine 1,38,43-45,50-51,56,63,65-66,68,77, 80,82,134,528,530,537, 544-545,551,557,568 , 571 ; II, 57,62,65,461.- Ducs, voir Bego, Hunaldus, Waifarius.- Rois, voir Carolus, Ludowicus, Pippinus Arbogastes, évêqu e d e Strasbourg II, 54 Arbogastus, comes, évêque de Chartres (?) II, 5354,61 Arbon (CH) , castru m I, 39 arcarius 1,233,258-259 Areas, voir Arguel , Arques , Arques-la-Bataill e archéologie II, 21,433-434; a. de l'habitat II, 468; a. funéraire H , 21 ; a. médiévale II, 467-469; a. mérovingienne II, 468; a. urbaine , voi r Saint Denis archevêque, archevêch é II, 59-60, 62 , 65-66 , 68 69, 71. - Voir évêques , évêch é archives, chartriers I, 138-139 Arcy-sur-Cure (Yonne , F ) II, 232 Ardin-en-Poitou (Deux-Sèvres , F) , vill a I, 147149, 287, 300-30 5

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Aregonde, voir Arnegundi s Arelaunus, forêt d e Brotonne (Seine-Maritime , F), palais I, 135, 13 8 Argenteuil (Val-d'Oise , F ) II, 90, 11 3 ss., 121, 232.- Abbesse, voir Theodrada Arghilus, référendaire , domesticu s I, 242 Arguel (Somme , F), Areas II, 143 arianisme II, 66 Aricus, abbé d e Tours II, 405 Aridius, abb é de Limoge s II, 62 Arigius, grafio I, 242 aristocratie: bénéficiaire s d e donation s royale s I, 138, 141, - Voir noblesse, optimas , procere s Arles, voir synode s armée 1,32,34-37,40,42,44,49-50,57,66, 77, 79, 80,84 Armentières (Aisne , F ) II, 235 Armorique I, 405, 430 Arn(e)gundis, Aregonde, reine, épouse de Clotaire Ier II , 82, 152 , 226 Arno Ier, abbé de Saint-Amand, évêque de Salzburg I, 53, 332; II, 317, 32 9 Arnulfus, évêque de Metz 1,200,203; II, 64,420.Familled'A. 1,207,215 Aroinus, juge I, 242 Arques (Pas-de-Calais , F) , Areas I, 389, 397 ; II, 143 Arques-la-Bataille (Seine-Maritime , F) , Areas II, 143 Arras (Pas-de-Calais, F) I, 7,426,541 ; II, 221.- StVaast, monastère 1,329-331,333, 335,411,426 , 541; II, 260, 263, 284, 301, 304, 316-317; abbés, voir Adalricus, Ercuinus, Hadulfe, Hatta, Rado, Wido »Ars Bonifacii* II, 402-403 »Ars Tatuini« 11,401-403 Artiliaco, voir Autigny, Till y artisanat, artisans 1,155,483-484; production artisanale II, 468 Artois, moulins I, 389-393, 39 6 Arzon (Morbihan , F) I, 62 ascétisme I, 206; voir auss i monachisme , règle s monastiques Asilendus, sacebar o I, 242 AssainvilHers (Somme , F) , Ansinovillare II, 143 Athanasius, Athanase l e Grand, patriarche II, 5457, 400 Atho, ostiariu s I, 240 Attalus, référendair e I, 240 Attigny (Ardennes, F), fisc, palais 1,275,281,541542, 544-545 , 547 , 552-553, 557. - Confraternité d'A. 11,18 auctoritas I, 211; a. publica 1,58 6 Aud-, voi r auss i Od*Audobert(h)us, Autbertus , come s I, 240 Audacharius, prieur d e Cormery I, 334

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Autcharius, Audegarius , Autgarius, vassus, dux e t marchio I, 240; II, 18 Autharius, époux d'Aiga, père de l'évêque de Rouen, Oue n I, 198-199, 201, 203, 206; II, 374 Audelandus, abb é d e St-Marti n d e Tours I, 330 Audomarus, évêque de Thérouanne I, 325 ; II, 415 Audoramnus, come s palati i I, 240-241 Audoenus, Dado, Ouen, référendaire , pui s évêque de Roue n I, 146, 150 , 195-216 , 325-326 ; II, 815, 19 , 21, 23, 38, 261 , 267, 297, 299 , 372 , 374 , 376,380-381,391 Audulfus, sénéchal, préfet du regnum de Bavière I, 46, 48-49, 53-54 , 81 Audulfus, Odulfus , comes , pui s abb é d e Saint Josse 1,241,334 Augan (Morbihan , F) , condita I, 88 augmentum II, 152, 16 7 Augustinus, évêque d'Hipp o Regiu s II, 400 Augustinus, évêque d e Canterbur y II, 395 Augustus, Camé e dit e d ' II, 268 (fig. 8) Augy, voi r Saint-Léopardin-d'Aug y Aurigny, îl e proch e d u Cotenti n I, 437 Aurilianus, grafi o I, 242-243 aurum pagense I, 287 Auspicius, évêqu e de Toul II, 54, 60 Austrapius, du x I, 33 Austrasie, regnu m I, 52, 136 , 142 , 200, 214, 528, 530, 533 , 535-563 , 567-568; II, 62-64, 66-67 Austro(h)aldus, centenariu s I, 243 Austrulfus, abb é d e Saint-Wandrill e I, 330 Authie, rivièr e I, 395 Autigny (Seine-Maritime , F) , Artiliaco H , 143 Autun (Saône-et-Loire , F ) I, 58, 214.- St-Martin, église II, 159.- Évêque, voi r Leodegariu s Auxerre (Yonne, F) I, 3-4,10,38, 63; II, 232,257, 275, 290.- St-Germain, monastère I, 64; II, 203 (fig. 17), 207 , 221 , 389 , 464. - Évêques, voi r Ainmarus, Desiderius , Germanus , Herifridus , Savaricus Auzainville (Eure-et-Loir , F ) I, 38, 7 2 Avars, peuple II, 355-356, 36 2 Avenay (Marne , F) , monastère I, 358 Averdon (Loir-et-Cher , F) , vicaria I, 92-93 Avesnes-Chaussoy (Somme , F) , Avisnas II, 143 Avesnes-en-Bray (Seine-Maritime , F), Avisnas II, 143 Avessac (Loire-Atlantique , F ) I, 61 Avezé (Sarthe , F ) 1,43 Avignon (Vaucluse , F) , marche I, 31 Avisnas, voi r Avesnes-Chaussoy , Avesnes-en Bray, Belle-Avesne s Avitus, évêqu e d e Vienne H , 61-62 Avitus, inscriptio n a u nom d ' II, 314 Avranches (Manche , F) , cité , diocèse , pagu s (Av ranchin) I, 8, 33, 39, 76, 79,136,138, 537, 572.Évêque, voir Ragnetramnu s

Bacivum subterior et superior, voir Bézu-Saint-Éloi Badegisel, évêqu e d u Man s I, 146, 14 8 Bain-sur-Oust (Ille-et-Vilaine , F ) I, 36.- Condita plebs 1,84, 11 4 Bainus, évêqu e d e Thérouanne I, 327-328 Bald-, voir auss i BaudBaldericus, du c d u Friul i I, 55 Baldinus, come s I, 243 ballade 11,356 Ballon (Ille-et-Vilaine , F ) I, 69, 71 Balthildis, Bathilde, reine, épous e d e Clovi s II I , 40, 150 , 156 , 167 , 171 , 204 , 208 , 211-212 , 214 , 326-327, 332 , 409; II, 8-9, 14 , 85 ss., 339, 371393, 408 , 41 2 Banthelu (Val-d'Oise , F ) II, 239 Banzlegbus, Bestagigbei, comes et Saxoniae patriae marchio, vassallus I, 235, 24 3 Barcelona (E), comt e d e B. , voi r Alera n Barisis (Aisne , F ) I, 333.- Abbé, voi r Adalleodu s Bartholomaeus, Barthélémy , archevêqu e d e Tour s I, 156 basilicae seniore s I, 208; II, 85-86 Basinus, évêqu e d e Trier II, 64, 411 Basenus, grafi o I, 209, 24 3 bateaux I, 411-412, 415, 421-422, 435-43 7 Bath(GB) 11,410 Baudacharius, defenso r civitatis de Paris I, 243 Baudinus, évêqu e d e Tours I, 145 Baugulfus, fideli s d e Pépi n I, 243 Baulon (IUe-et-Vilaine , F) , vicaria I, 88 Bavai (Nord , F ) 11,435 Bavarois, voi r lex Bavière, regnum , ducatu s I, 46, 53-54 , 536-537 , 550-551.- Ducs, voir Odilo, Tassüo III.- Préfets, voir Audulfus , Geroldu s Bavo, vassaUus d e Loui s l e Pieux I, 243 Bayeux (Calvados , F ) cité, diocèse , pagu s (Bessin ) I, 8, 31, 34, 37, 77, 82,92,137-138,152,329,537 , 574; II, 10-17.- Évêque, voi r Johannes Beauce (Ille-et-Vilaine , F ) I, 372, 37 9 Beaufay (Sarthe , F) , vicaria I, 99 Beauvais (Oise, F), cité, diocèse, pagus (Beauvaisis) I, 7, 30 , 132 , 137 , 139 , 156 , 158-159 , 258 , 261 , " 574. - Évêque, voi r Od o Bécherel (Ille-et-Vilaine , F ) I, 35 Béconcelle (Yvelines, F) 1,508, 510-511,514,516 , 518, 52 1 Beda, Bèd e l e Vénérable , historie n I, 414, 421 , 429; II, 378, 402-404, 409 , 426 Beffa, référendair e I, 243 Bego, du c d'Aquitain e I, 68-69 Bego, comt e d e Paris , voir Big o Belcinac, Belacinacum, sur l'ancienne île de la Seine près de Caudebec-en-Caux (Seine-Maritime , F), monastère II, 9 Belle-Avesnes (Somme , F) , Avisnas II, 143

Index Bellême (Orne, F), pagus minor 1,87,97.- Vicaria castri 1,96-97 Benedictus, abb é d'Anian e I, 48, 323 , 325 , 331 , 334-335; II, 107-108 Benedictus d e Norci a II, 9, 365-366. - Voir auss i monachisme, règle s monastique s Benedictus, abb é de Saint-Maur-des-Fossés I, 56 Benedictus Biscop, abbé de St-Pierre-et-de-St-Paul à Canterbury II, 395, 412, 425 Benedictus, seniscalcu s I, 243 bénéfices tenu s d u ro i I, 140 Benignus, abbé de Saint-Wandrille I, 328-329; H, 286 Benoît, voi r Benedictu s Bénouville (Calvados , F ) I, 409 Beppolenus, du x Francoru m I, 31-35, 4 0 Beranecurte, voi r Brécourt , Brignancour t Berarius II, évêque d u Man s I, 172, 175 Berarius, Beracharius , Berardus , Beonradus , abb é d'Echtemach, pui s évêqu e de Sens , puis évêqu e du Mans I, 40, 167 , 171 , 277, 282 Bercharius, Berchaire, maire du palais 1,218,223224,228,535; 11,89-90,119-12 0 Berengarius, come s e t missus I, 243 Bernéan (Morbihan , F) , fisc I, 55 Berneval-le-Grand (Seine-Maritime , F) , Brittene valle II, 144 Bernhardus, ro i d'Itali e I, 551 Bernhardus d e Septimanie , chambrier I, 49-50 Bernhardus, comt e d u Poitou, marquis I, 66, 68 Bernuinus, vassus dominicu s d e Loui s le Pieux I, 243 Berny-Rivière (Aisne , F), palais I, 135, 541, 545 Bero, comes palati i I, 243 Beroaldus, référendair e I, 243 Bertha, épous e du roi ^thelbert d e Kent II, 395 Berthadus, vassallus I, 243 Bertharius, évêque d e Chartre s I, 151 Bertharius, Bertecarius, come s palatii I, 244 Bertharius, come s dan s l e Main e (Sée z ?) I, 244, 274, 32 9 Bert(ec)hramnus, Bertrand, évêque du Mans 1,34, 39, 77, 166 , 171 , 203, 278, 36 9 Bertrudis, Berthetrudis, épous e d e Clotair e II 11,13 Bertila, abbesse d e CheUe s I, 207; II, 377, 383 , 409-410 Bertila, abbesse d e Mareuil I, 326 Bertinus, abb é d e Sithi u I, 325, 327 Bert(h)oaldus, abb é de Saint-Denis I, 329-330 Bertoaldus, come s palatii I, 244 Bertrada, épouse de Pépin III 1, 332,536,540,545, 547; 11,26 5 Bertricus, come s palati i I, 244 Bertulf, évêqu e d e Trier II, 68, 70-7 1 Berulfus, du x 1,33-34

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Beslé (Loire-Atlantique, F ) I, 74, 78 Bessin, pagus, voir Bayeu x Betz-le-Chatêau (Indre-et-Loire, F), vicaria 1,108 Béville-le-Comte (Eure-et-Loir , F ) I, 38, 56 Bèze (Côte-d'Or , F) , St-Pierre I, 528, 550 Bézu-la-Forêt (Eure , F), palais I, 135, 138-13 9 Bézu-Saint-Éloi (Eure , F) , Bacivu m subterio r e t superior II, 143 Biesheim (Haut-Rhin , F ) II, 235 Bièvre, affluen t d e la Seine I, 383, 511, 521 Bigo, Bego , comte d e Pari s I, 237, 24 4 Birka(S) 1,417 Bitry (Nièvre , F ) 1,511 Biaise, affluen t d e l'Eure I, 377, 396 Blaison, ruissea u I, 68-69 Blanzy (Saône-et-Loire , F ) I, 545 Blatcharius, référendair e I, 244 Bléré (Indre-et-Loire, F) , vicaria I, 108 Blésois, pagus, voir Bloi s BHchildis, BiHhild, reine, épouse de Childéric II I , 195; 11,1 3 BHchildis, épouse de Rorico, comte du Maine 1,55 BHdegarius, optemas I, 244 Blois (Loir-et-Cher, F) I, 5,18, 58,85,137 , 267. Pagus (Blésois ) I, 83, 92-93, 96, 113 , 553.- N.D. [-de-Bourgmoye n (?)], monastère I, 41; II, 104-105,115-116.- Comtes, voir Eudes Ier, Guülaume, Robert l e Fort , Thibaud l e Tricheur Bobbio (I), monastère I, 324 Bobo, évêqu e de Valence I, 150 Bobo, Bubo , du x e n Frise I, 244 Bobolenus, référendair e I, 39-40 Bocé (Maine-et-Loire , F) , fisc I, 57 Bodalcha, voir Bouafle s Bodo, vassallus I, 244 Bodornello, voi r Bornel bois, voir constructio n Boissy-Maugis (Orne , F) , domaine d e l'abbaye d e St-Germain-des-Prés I, 370 (et fig. 1), 454-455, 508, 510-511, 514, 516, 518, 520 Bologna (I) 1,567 Bonifatius, archevêqu e de Mainz I, 325, 330-331, 429, 540 , 545 ; II, 17, 296, 342 , 395 , 409, 412413,415-416,419,421,429,431-432.- Voir aussi »Ars Bonifatii« Bonifatius Ier, pape II, 59 Bonneuil-sur-Marne (Val-de-Marne , F) , palais I, 135 Bonneval (Eure-et-Loir , F ) I, 37 bonnier, voi r bunuarius, métrologi e Bornel (Oise , F) , Bodornello II, 144 Boso, abb é d e Corbi e I, 335 Bosse, L a (Eure, F) , Pocio II, 147 Bosse, L a (Seine-Maritime, F) , Pocio II, 147 Bouafles (Eure , F), Bodalch a II, 144 Bouafles (Seine-Maritime , F) , Rodalcha II, 147

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Index

Bouin (Vendée , F) , vicus I, 65, 12 2 Boulangerie, cana l à Corbie I, 386, 388-38 9 Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais , F) I, 408,412417, 420-421 , 435, 43 7 Bourbon-l'Archambault (Allier , F) , vicaria I, 83 Bourges (Cher , F) , cité, diocèse , pagu s (Berry) I, 33, 65 , 83, 324, 528.- Évêque, voi r Sulpiciu s Bourgmoyen, voi r Bloi s Bourgogne, regnu m I, 33, 40, 52, 57-58,134,198, 200, 205 , 213 , 528 , 530 , 536 , 544 , 549 , 555 , 568; II, 63,212-213.- Duc, voir Hildebrandus.Roi, voi r Gondebau d Bouville (Eure-et-Loir , F ) I, 96 Bovilo, fideli s d e Pépin I, 244 Braico, fidelis d e Pépi n I, 244 Brebières (Pas-de-Calais , F ) II, 436, 46 9 Brécourt (Eure , F), Beranecurte II, 143 Brény (Aisne , F) , stèle d e B. I, 240 (fig. 12) Bretagne, marche , Brittannoru m lime s I, 29-31, 33-34, 36, 38-39, 42, 44,46,49-52, 55, 57, 61,63, 74, 76 , 78 , 80 , 537 , 547 , 551 , 557 ; II, 420.Regnum I, 29, 31-32, 38, 43, 48-50, 52-57 , 6164, 66 , 68 , 71 , 73-74 , 77, 81 , 85 , 134 , 202, 566567.- Rois de s Bretons , voi r Erispoé , Judicaël , Murman.- Duc s de s Bretons , voi r Alai n Barb e Torte, Nominoé, Salomon. - Marquis , préfets de la marche , voi r Gui , Hervé , Lamber t Ier, Lambert II, Landbertus, Renau d d'Herbauge , Ro land.- Comtes, marquis, préfets d e la marche I, 29.- Comtes d e Bretagne, voi r Conan II, Landbertus, Nomino é Bretons I, 137-138; II, 358.- Raids breton s I, 137-138 Breuil-sur-Lys (B ) I, 326 breviatio, brevi s I, 310, 31 4 Brevium exempl a I, 132 Brie, pagus II, 8, 409 Brignancourt (Val-d'Oise, F), Beranecurte II, 143 Brioux-sur-Boutonne (Deux-Sèvres , F) , pagu s I, 84 briques II, 216, 218 , 219 (fig. 9-10) Brissarthe (Maine-et-Loire, F) , centaine I, 35, 7879 Brittannorum limes , voir Bretagn e Brittenevalle, voi r Berneval-le-Gran d Britto, évêqu e d e Trier II, 58, 61 Brix (Manche , F ) II, 287 broyage, servic e d e I, 392 Bruc-sur-Aff (Ille-et-Vilaine , F) , vicaria I, 88 Brûlon (Sarthe , F) , condita, vicaria I, 99 Brunichildis, Brunehaut , reine , épous e d e Sigiber t Ier I , 5, 199 , 205; II, 3, 7 , 6 3 Bruyères-le-Châtel (Essonne , F) , monastèr e II, 103,116-117,277 Buccelenus, optema s I, 244-245 Budic, comte d e Cornouaill e I, 94

bunuarius, bonnier I, 467-503 Burchardus, évêque de Würzburg 1,331 ; II, 414415 Burginda, poèm e d e II, 419 Burgundio, népo s d e FéHx , évêqu e d e Nante s I, 146 Burgundofara, Fare , abbess e d e Faremoutier s I, 203; 11,374-37 5 Burgundofaro, Faron , référendaire , évêqu e d e Meaux I, 198 (famille), 207; II, 324-326, 374 , 376, 41 2 buticularius I, 265 cabane, voir constructio n e n boi s cadastre romain , voi r Laillé , Renne s Caen (Calvados, F) 1,37; H, 439,464.-Plaine de Caen 11,453 Caesarius, évêqu e d'Arle s II, 414, 42 1 Cahors (Lot , F), évêché I, 524, 528.- Évêque, voir Desiderius Cailly (Seine-Maritime , F ) II, 1 calcatio hostis , rituel triomphal II, 355, 360 C(h)aletricus, évêqu e d e Chartres , sarcophag e II, 231 (fig.4) Cambrai (Nord, F) 1,1-2,7,18,153,158-159,552, 574; II, 277, 279 , 31 7 (manuscrits), 400, 435. Églises e t monastères : St-Géry-du-Mont-des Boeufs, oratoire , pui s monastère II, 435.- Evêché 1,526; évêques, voir Albericus, Géry, Halitchaire, Hildoard. - Apocalypse , dit e d e C . II, 206 (fig. 21) Cambron-Saint-Vincent (Hainaut , B) , Cambrio ne II, 144 Campigneulles (Pas-de-Calais , F ) I, 426 Canao, fil s d e Waroc I, 32 cancellarius I, 586; c. publiai s I, 588 Canche, rivière I, 395 Candes-Saint-Martin (Indre-et-Loire , F ) II, 276 Canones Hibernense s II, 400, 40 2 canonica I, 481, 492 Canterbury (GB ) I, 421, 429.- Évêques, voir Augustinus, Benedictus, Tatuinu s Capitula episcoporu m II, 71-72 capitulaires I, 347sqq., 573, 581 Capitulaires nommément cités: C. de latronibus I, 577.- C. de Pîtres (a. 862, a. 864) 1,571,575.- C. de Quierz y (a . 873) I, 577.- C. d e Quierz y (a . 877) I, 67, 575, 577.-C. de Soissons (a. 744) I, 568,-C.deviUis I, 397, 576.-C. in pago Cenomannico (a. 800) I, 575, 577, 580-581.- C. ItaHcum (a . 801) I, 576.- C. Karol i Magn i I, 577.C. legi addita (a. 816) I, 570.- C. legi Ribuariae additum I, 577.- C. legibus additum (a. 803) I, 569, 578. - C. missoru m (a . 803) I, 569.- C. missorum (a. 821) I, 570,575,577,579-580.- C. missorum generale (a. 802) I, 572, 580-581.- C.

Indexz missorum Silvacens e (a . 853) I, 574.- C. missorum speciaHa (a. 829) 1,572,580-581- C. missorum Wormatiense (a . 829) I, 579 caput 1,294,296,300 Carausius, usurpateu r d e l'Empir e romai n II, 6 Carentan (Manche , F) I, 95 Carentoir (Morbihan, F), condita plebs I, 84,114115.-Vicaria I, 114-116 carmen triumphale II, 349-362.- Voir parodi e carnaticum I, 309 Carolingiens, dynastie , famill e de s C. I, 131,133, 135, 137 , 140-141 ; II, 61, 64, 68, 18 5 Carolomannus, fil s d e Charle s Martel , mair e d u palais, puis roi 1,13,227,536; 11,125-126,41 4 Carolomannus, fil s d e Pépi n III, roi I, 13, 540 , 543-545,550; II, 180, 197,26 5 Carolus, Charlemagne, roi, puis empereur 1,7,13, 43,47-48,53-54, 76,113,132,151,153,156,283 , 288, 293-294 , 306 , 308 , 322 , 331-334 , 350 , 356 , 362, 383 , 385 , 411-412, 417 , 428 , 430-431, 434436, 524-525 , 527 , 537 , 539 , 543-545 , 547-550 , 552, 566, 568, 572, 574-575, 581; II, 17-19, 4143, 64 , 68,125-127, 131 , 133, 152,177,183-184 , 193, 197 , 260, 263, 265, 269-270, 279, 284, 287288, 291 , 301, 327, 329 , 331 , 359, 430. - Bibliothèque de Ch . II, 399, 403.- Écran de Ch . II, 269 (fig. 9), 29 1 (fig. 24).- Denier a u no m d e Ch. II, 41-42, 437 (fig. 5) Carolus, Charle s II, le Chauve, roi, puis empereur I, 1, 6-9 , 30 , 38 , 44-45 , 63-74 , 77-82 , 113 , 154 155, 158 , 189 , 288, 296, 306 , 332, 334, 349, 353, 405, 422 , 426-427, 434 , 537 , 554 , 557, 566 , 568, 571-572,574-575,581; II, 15,17-19,41,70,131132, 260 , 267 , 270, 273 , 275, 279, 284, 288-289, 292, 331 , 334.- Autel d e Ch . à Saint-Denis II, 290 (fig. 23).- Bibliothèque d e Ch . I, 571.Croix d e Ch. II, 289 (fig. 22) Carolus, Charle s III, le Gros , roi , pui s empereu r I, 539 Carolus, Charle s III, le Simple, ro i I, 113 Carolus, Charles , l e Jeune, ro i e n Neustrie, fus d e Charlemagne I, 13, 43-45, 537, 547, 54 9 Carolus, Charles, roi de Provence, fils de Lothaire Ier 11,35 9 Carolus, Charles , fil s de Pépi n Ier, roi d'Aquitain e I, 82, 57 1 Carolus, Charle s Martel, mair e du palais I, 8, 10 , 41-42,152, 222, 226-228,283, 327 , 329-330, 332, 535-536, 540 , 543, 550; II, 17, 64, 91 sqq., 125, 128,136,226,342,422 carpentarius I, 484 carreaux II, 220 (fig. 11 ), 241 -242,245 ; c. de terrecuite II, 242 (fig. 13) carrières II, 210, 21 3 carropera I, 290, 48 2 Cassel (Nord , F ) 11,435

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Cassiodorus, bibhothèque (Vivarium) II, 308-309 castrum, casteUum I, 36, 39, 68, 81, 85-86, 89, 96, 110 Cato, candida t à l'évêché d e Tours I, 145 Catullus, poète lati n II, 360 caucio I, 287, 297, 300 , 302 Ceaucé (Orne , F), condita I, 99 Celle-les-Bordes (Yvelines , F ) I, 508, 510, 51 6 Celle-Saint-Cloud, L a (YveHnes , F ) I, 508, 510 511,514,518,521 cens, voi r census censuaHs 1,312-314,318 census, cens 1,148-149,151, 280,286-288,300, 494 centena, centaine 1,34-35,37,39,78-79, 82-83 , 89, 92-99,106-107,123-124 (fig. 4-5), 460-461,475.Voir centenariu s centenarius, centenie r I, 231-232, 243 , 250 , 256 , 260, 266.- Voir centena Centula, voir Saint-Riquie r centuriatio I, 35, 37-38, 120-12 1 Ceolfrid, abb é de Jarrow II, 426 céramique: I, 414, 429-432 ; II, 24 (fig. 3), 448 449, 456-45 9 céréales 1,422,431-432 César, voir Jules Césa r Cha-, voi r auss i HaChaddo, defensor du Mans I, 251 Chadoloaldus, Chaldeloaldus, comes palatii 1,251 Chagnericus, fideli s d e Pépin I, 252 Chagnericus, nobili s I, 198-199, 201 , 203 , 206 , 208; II, 374-375 Chagnoaldus, évêqu e d e Lao n II, 374-375 ChaUlevelt (Aisne , F ) II, 235 Chaino, abb é de Saint-Denis II, 89-90 Chainulfus, comt e d e Meaux I, 252 Chalbedo, legatu s I, 244, 252 Chaldebercthus, Haltebertus , référendair e I, 252 Chalmont (Seine-et-Marne , F ) I, 4 Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire , F ) I, 58, 34 6 sqq., 553 ; II, 60.-St-Marcel II, 390.-Évêque, voir Did o Châlons-du-Maine (Mayenne , F ) I, 83 Châlons-sur-Marne (Marne , F), diocèse I, 3, 7,9 10, 13 4 Chambeliay (Maine-et-Loire , F ) I, 73 ChambHois, pagus, voir Chambl y Chambly (Oise , F) , pagu s (ChambHois ) I, 137, 232, 234 , 236, 246, 265. - Comte, voir Ebrulfu s Chambourg-sur-Indre (Indre-et-Loire , F) , vica ria I, 108-109.- Condita I, 108-109, 11 1 Champagne I, 544.- Duc, voi r Waimarus Chanceaux-sur-Choisüle (Indre-et-Loire, F), vicaria I, 108-109 chancel, plaques d e ch. II, 252 (et fig. 21), 253 chancellerie I, 555.- Voir actes , cancellarius , chartes

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Index

Channay-sur-Lathan (Indre-et-Loire , F) , condit a I, 89-90.-Vicaria 1,89-90 chants d e louange s II, 350 chapiteaux II, 159,165 (fig. 11-12), 166,169, 209, 211-212 (fig. 1-2), 214 (fig. 4), 244, 246-247 (fig. 17-18), 248 , 249-25 0 (fig. 19-20), 253 , 254-25 5 (fig. 22-23) Chardericus, abb é de Saint-Deni s II, 104, 11 9 Chardoinus, siniscalcu s I, 252 Charibertus, ro i I, 33, 409 Charibertus, comes I, 252 charisme I, 208; ch. de victoire II, 349, 360 Charivius, évêqu e d u Man s I, 174, 176 , 18 8 Charles, voir Carolu s Charmont-en-Beauce (Loiret , F) , palais I, 51 Charny (Seine-et-Marne , F) , Coconiaco II, 144 Charroux (Vienne , F) , St-Sauveur , monastèr e I, 64-65 chartes 1,138-139,549, 583-593. - Voir actes, cancellarius, chancelleri e Chartres (Eure-et-Loir , F) , cité , diocèse , pagu s (Chartrain) 1,8,18,37-39,56,67,78,82,85,94, 134, 137 , 146 , 150-151 , 156 , 158 , 251, 533, 557, 572, 580; II, 263-264, 284.- Comtes, voir Gunfridus, Thibaud.- Évêques, voir Agatheus (vocatus episcopus ?), Ageradus, Arbogastus, Bertharius, C(h)aletricus , Leobinus , Malardus , Odo. ÉgHses: Cathédral e II, 231 (fig. 4); St-Martinau-Val, Hospice de ySt-Brice II, 231 (fig. 4), 247 (fig. 18), 248 Chasseneuil-du-Poiteau (Vienne , F ) I, 546, 551 Châteaudun (Eure-et-Loir , F ) I, 37, 85 , 96 ; II, 248.- Condita I, 96.- Pagus (Dunois) 1,96,113, 137, 553. - Musée d e Ch . II, 210 Chatou (Yvelines , F) , palais I, 135 Chauconin (Seine-et-Marne , F) , Coconiac o II, 144 Chaunay (Eure-et-Loir , F) , centaine I, 37, 9 4 chaussures II, 28-29 Chauvigné (IUe-et-Vilaine , F ) I, 76 Chavannes (YveHnes, F) 1,508,510, 514,516,51 8 Chazé-sur-Argos (Maine-et-Loire , F ) I, 76 Che-, voir auss i HelCheHdonius, marty r II, 352 CheHdonius, évêqu e d e Besançon II, 59 Chelles (Oise , F ) II, 235, 236 (fig. 9) Chelles (Seine-et-Marne , F) , palais , monastèr e I, 195, 208 , 211-212 , 326 , 332 , 552 ; II, 187, 228, 235, 261 , 263 , 279, 284 , 301-303, 313 , 320, 324, 326-327, 332 , 372 , 377 , 382-385 , 390 , 393 , 395, 406-412,415,429,432, 552. - Palais 1,133,135.Abbesses, voir Bertila, Gisela.- Calice de Ch. II, 261 (fig. 1) Chênehutte (Maine-et-Loire , F), vicaria 1,86, 89 90 chevaux, voi r monture s

Cheverny (Loir-et-Cher , F) , condita I, 93 ChÜ-, voir auss i HilChüdebertus Ier, roi I, 35, 146 ; II, 23, 226, 287 Childebertus II, roi 1,34,280; 11,6 3 Childebemis III, roi I, 40, 147 , 274 , 278-279 , 527; 11,90-9 1 Childericus Ier, roi I, 147 Childericus II, roi 1,2,147,195,214-215,301,327; II, 13 Childericus III, roi I, 147, 536 , 538 , 568-56 9 Chülardus, abbé de Saint-Deni s II, 91-92 Chillo, come s I, 253 Chilpericus Ier, roi I, 31, 33-34 , 143 , 146-147 , 434; 11, 3 Chilpericus II, roi I, 10, 18 , 45 , 134 , 278 , 296 , 527; 11,9 1 Chinon (Indre-et-Loire , F ) I, 85.- Vicaria I, 86, 108-110, 112. - Vicaria castr i I, 85-86, 110,11 2 Chlod-, voi r auss i (H)ludChlotb-, voi r auss i (H)lothC(h)loth(ach)arius, Clotair e Ier, roi I, 6, 35 , 146 148, 195 , 286; II, 13, 21, 63, 82 , 226 C(h)loth(ach)arius, Clotaire II, roi 1,5-7,9,30-31, 34, 39 , 147-148 , 159 , 199 , 205 , 212 , 216 , 286 , 527; II, 63, 100-101 , 261 C(h)loth(ach)arius, Clotaire III, roi 1,40,149,209, 327; 11,88 , 113,38 3 Chlodomeris, ro i I, 145 C(h)lodovechus, Clovi s Ier, roi I, 1, 3 , 134 , 144 , 147, 527 , 530 ; II, 62, 166 , 226, 228, 279, 290 C(h)lodovechus, Clovi s II, roi I, 3-4, 7,146, 209 , 273,410; II, 8,81-83,85-86,100,103,380,383, 386, 389 , 391-392, 40 8 C(h)lodovechus, Clovi s III, roi II, 87, 261 C(h)lodoinus, référendair e I, 253 C(h)lodio, missu s I, 253 C(h)lodoswinda, fill e d e Sigibert Ier II , 65-66 C(h)lodulfus, évêqu e d e Metz II, 64 Choisy-au-Bac (Oise , F) , palais I, 545, 54 7 Chosroès, Coup e dit e de II, 267 Chouzy-sur-Cisse (Loir-et-Cher , F ) I, 58 Chramlinus, évêqu e d'Embrun I, 215; II, 88-89 Chramnelenus, du x I, 215 Christ, voi r Jésus-Christ christianisation de s campagne s II, 453, 460-461 , 465 Chro-, voi r auss i RoChrod(o)baldus, come s palati i I, 254 Chrod(e)bertus, évêqu e d e Pari s I, 204, 208 , 211; 11,39 1 Chrod(e)bertus, évêque de Tours 1,204; 11,299 300 Chrod(e)ber(c)t(h)us, Chrodoberthus, référendaire 1,254 Chrod(e)bertus, Hrotbertus , référendaire , maior domus sacr i palatii I, 254

Index Chrod(o)bertus, come s palati i I, 254 Chrodecarius, moine à Saint-Denis, abbé II, 103104,116-118 Chrodegangus, référendaire , pui s évêqu e d e Met z I, 254; II, 12, 17 , 365 Chrodegarius, duc du Maine 1,8,41,173,235,237, 255 Chrodegarius, Hrotgarius , come s dan s l e Main e I, 8, 41 , 235, 237, 25 5 C(h)rodechildis, Clothilde , inlustri s de o devot a I, 277, 28 2 C(h)rodechildis, Chrothildis , Clothilde , reine , épouse d e Clovi s Ier I , 145; II, 14, 226 , 230 , 383 Chrodmarus, sacebar o I, 255 Chrodmundus, grafi o I, 255 Chrodoara, fondatric e du monastèr e d'Ama y II, 235 Chrod(o)inus, référendair e I, 255 Chrodoinus, praepositu s à Saint-Denis II, 110 Chug-, voi r auss i HugChugobertus, Hociobercthus , siniscalcus , come s palatii I, 256 Chunbaldus, centenariu s I, 256 Chunebertus, grafi o I, 256 Chunradus, Chuonradus , Cunradus , frère de l'impératrice Judith I, 50, 256-25 7 Cicéron, rhéteu r II, 410 cimetières II, 435, 452-453, 455-460,465; c. habités II, 459-460; transfert d e c. 11,459-460 Cingal (Calvados , F) , centain e I, 37, 92. - Vicaria 1,92 Ciply (Hainaut , B) , palais I, 135 civitas, cité , comitatu s I, 209-210; II, 53-54.Voir diocèse, évêch é Civitas Osismoru m (Bretagne , F ) I, 134 Claudianus, poèt e lati n II, 356 Claudius, évêque d e Torino II, 345 claustrum, cloîtr e II, 191-193,207 Clemens, pape I, 330 clergé, communaut é du II, 67 Clermont, voi r synode s Clichy, voir synode s Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine , F ) I, 135 CHppiacum, palais I, 135, 202; II, 11, 83 Coconiaco, voi r Charny , Chauconin , Coign y codicologie II, 397-398, 41 9 Coeiestinus, abb é de Mont-Blandin I, 324 Coglès (Ille-et-Vilaine , F), pagus minor I, 87,106 Coigny (Seine-et-Marne , F) , Coconiaco II, 144 CoUectio Ansegisi , voi r Ansegisu s colonica 1,278,294-295 colonne II, 166, 16 9 colons I, 577 Columbanus, abb é d e Luxeui l I, 151, 198 , 201 , 203, 205-206 , 208 , 213 , 215-216, 324 , 412, 422,

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431; II, 8-9, 297 , 367 , 371-393. - Voir auss i monachisme, règle s monastique s Columella 11,401 Comblessac (lUe-et-Vilaine , F) , vicaria I, 88 Combs-la-Ville (Seine-et-Marne , F ) I, 426, 433 , 508, 510 , 516, 518 comes I, 231-268; c. palati i I, 231-268; élection I, 167.- Voir comitatus, grafio , pagu s comitatus, comt é I, 131, 134-137 , 139-140 , 159 ; terres I, 140.- Voir civitas, comes, pagu s Commemoratio missi s data I, 573-575, 577 , 58 1 commerce, commerçant s I, 64-65, 122 , 346-347 , 483.- Voir douanes, esclaves, livres, sarcophages, tonlieu, vi n Compiègne (Oise , F) , palais I, 7, 50-51 , 57 , 133 , 135, 542 , 546, 552-554 , 557 , 569-571 , 575, 580581; 11,260,268,28 7 Conan II, comte d e Bretagne I, 107 conçues, voi r synode s Condé-sur-Aisne (Aisne , F ) II, 472 condita: I, 82-84, 87-91 , 93 , 95-96 , 99-104 , 107 109,111-113, 115-117,12 3 (fig. 4), 125 (fig. 6); c. plebs I, 84, 88-89, 114-117 , 123 , 12 5 Condren (Aisne , F ) I, 325 Confirmatio Cisalpinoru m apu d Pontigone m (a , 876) 1,56 8 confiscation d e biens I, 570-571, 581-582 Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines , F ) I, 423 conlaboratus I, 307-308 Connerré (Sarthe, F), condita 1,99.-Vicaria 1,99 conprovinciales I, 209 conscriptio I, 590 consensus I, 566, 568-57 0 consiliarius 1,204,211 consilium I, 569 Constabilis, jug e I, 245 Constantinople I, 330; II, 277 Constantinus Ier, empereur I, 143; II, 6, 27 7 Constantius II, empereur II, 57 construction e n boi s II, 442-449, 458-459 ; c. e n pierre II, 442,449-452,455-456,460-464 ; matériaux de constructio n e t d e couverture II, 442, 444, 455-456 , 463-46 4 conventus I, 566 conviva régis I, 199 Convoion, abb é d e Redo n I, 51, 56 , 58 , 62 ; II, 289 Coray (Finistère , F ) I, 48.-Vicaria 1,94 Corbeny (Marne , F) I, 541, 544, 54 5 Corbie (Somme , F) , St-Pierre-et-St-Paul , mona stère I, 71, 314-317, 322 , 326-330, 332-334, 355, 386-388, 390 , 397 , 405 , 438 , 527-528 , 542 ; II, 104-105, 207 , 284, 298-301, 307 , 309 , 313, 315316, 318 , 320-321 , 324, 326 , 329 , 372 , 384-385 , 389, 392 , 401 , 403-404 , 412-418 , 432. - Abbés, voir Adal(h)ardus , Grimo , Hado , Hadoard ,

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Leut(c)harius, Maurdramnus , Odo , Paschasiu s Radbertus, Sébastianus, Theodefridus , Wal a Corbie, rivièr e I, 386-387, 388 (fig. 8), 389, 397. Voir Boulangeri e Corbon (Orne , F) , pagus (Corbonais ) I, 80, 83.Centa I, 83, 97-98.- Comte, voi r Herv é Corbon-Boissy-Maugis (Orne , F ) I, 370 (fig. 1) corbus I, 316 Cormery (Indre-et-Loire , F) , St-Paul , monastèr e 1,55-56,59,65,334,358,360.- Abbé, voir Jacobus Cormes (Sarthe , F) , condita I, 99.- Vicaria I, 99 Cornouaille, régio n bretonn e I, 48, 94. - Comte, voir Budi c Corps-Nuds (IUe-et-Vilaine , F) , vicus I, 32 Corseul (Côtes-du-Nord , F ) I, 36 corvée 1,575-576,580 Corvey-an-der- Weser (Nordrhein-Westfalen , D) I, 506; II, 196 (fig. 9), 205 , (fig.19), 207 Coschinus, abbé de Jumièges et de Saint-Riquier I, 329 Coudray I, 508, 510, 51 6 Couëron (Loire-et-Atlantique , F) , condita I, 103 Couesnon, fleuv e I, 134 Cournon (Morbihan , F) I, 36 Coutances (Manche , F) , cité , diocèse , pagu s (Co tentin) I, 8, 34, 82, 95-96,138, 537, 572; II, 19, 472.- Évêques, voi r Agatheus , Frodomundus , Salomon Craon (Maine-et-Loire , F) , condita I, 90-91.- StClément, monastère 1,47.- Abbesse, voir Doda Cré (Sarthe , F) , condita I, 90-91.-Vicaria 1,90 Crécy-en-Ponthieu (Somme , F) , palais I, 135 Creil (Oise , F ) 1,423 Cressonière, L a (Seine-Maritime , F) , Crisonaria s II, 144 Crisonarias, voi r L a Cressonnièr e Crispus, césa r II, 6 cristal II, 273-274 (fig. 13-14) Croix, l a vrai e II, 287.- Sainte Croi x II, 361; reliques II, 353, 361 ; trophée de la Sainte Croix II, 351-352 croix, voir Charle s l e Chauve, Elo i Croix-Caluyau (Nord , F) , Crux II, 144 Crondall(GB) 1,414 Crould, Crodoaldu s flumen , rivièr e artificiell e I, 384, 38 5 (et fig . 7), 388 , 39 0 cruche, d e verre II, 36 (fig. 15) Crux, voi r Croix-Caluya u cryptes circulaires II, 151,153,157,159,169,175, 177, 197-198,20 7 Cugnon (Luxembourg , B) , monastère II, 67 Cunault (Maine-et-Loire , F) , St-Maxenceul , monastère I, 70 curages, corbées I, 384, 38 8 curialis, curiale s I, 155, 300, 304 , 306 curtis 1,274,277,287

custos saltuu m villarumqu e regaliu m I, 273 Cuthbertus, évêqu e d e Lindisfarn e II, 402 Cynefrid, abb é d e Gillin g II, 426 CyriUus, évêqu e d e Trie r II, 60-61 Dado, Audoenus, évêque de Rouen, voir Audoenus Dado, fideli s d e Pépi n I, 245 Dagobertus Ier, roi 1,1, 3-4,7,39-40,45,146,148 , 150-151, 159 , 198 , 202-203 , 206-209 , 216 , 273 , 286-287, 294 , 324-325 , 409 , 423 , 524 , 527-528 , 532; II, 63, 82-83 , 99-100 , 152 , 226 , 261 , 264266, 275 , 374, 376, 380, 393.- Fermail de D. II, 265 (fig. 5).- Sceptre de D. II, 266 (fig. 6).- Gesta Dagoberti I, 135 Dagobertus II, roi 1,25,195,215,277,274; 11,13 , 388 Dagobertus III, roi I, 274 Dagobertus, référendair e I, 245 Dagobertus, vassus dominicus de Louis le Pieux I, 245 Damasus, pap e II, 58 dapifer I, 155 David, scrib e 11,313,411 decanus I, 461 décima I, 315, 494 defensor civitatis I, 243, 251 Defensor, moin e à Ligugé II, 342-343 delegare I, 282-283 deniers au nom de Charlemagne, voir Charlemagne Denis, voi r Dionysiu s Dentelin, duch é I, 30 Deochtricus, du x e n Ponthie u I, 245 Derval (Loire-et-Atlantique , F) , condit a I, 103 description de biens I, 280-281, 290, 310, 583, 590 591 Desiderius, évêqu e d'Auxerr e II, 275-276 Desiderius, évêqu e d e Cahor s I, 203-204, 210 , 524; 11,6 4 Desiderius, ro i de s Lombard s II, 18 Deux-Jumeaux (Calvados , F) , monastère H , 212, 241,314,471 Deventer (NL) , Calic e d e II, 277 diacre II, 71-72 Diddo, fideli s d e Pépi n I, 245 Didier, voi r Desideriu s Dido, évêqu e d e Chalon-sur-Saôn e I, 150 Dido, évêqu e d e Poitier s I, 147; II, 388 Dijon (Côte-d'Or , F) , mouHns I, 371 dimanche I, 353 Dinifius, évêqu e d e Tours I, 145 diocèse 1,132,134-138; II, 70.-Voir aussi civitas, évêché Dionysius, Denis , martyr , évêqu e d e Pari s I, 541; II, 14, 76-79, 152 , 198 , 265, 270-271, 279 Diso, vassus dominicu s d e Loui s l e Pieu x I, 245 districtus I, 159

Index Dives, rivière I, 544 Divette, affluent de l'Oise I, 393, 395, 54 4 Divisio imperi i (a . 839 ) I, 567 divisio inter episcopatum et comitatum 1,153-154, 157, 15 9 Divisio regn i (a . 831 ) I, 567 Divisio regnoru m (a , 806 ) I, 568 Doda, abbess e d e St-Clément de Crao n I, 47 Dodo, évêqu e d'Angers , missus I, 73, 83 Dodo, abb é de Fleur y II, 311 Dol-de-Bretagne (lUe-et-Vilaine, F), diocèse 1,30, 39.- Évêques, voir Samson , Wicohe n Dolus-le-Sec (Indre-et-Loire , F) , vicari a I, 110111 domesticus I, 231-268, 27 3 dominatio I, 275, 283 , 299, 306, 31 8 dominium I, 285, 299 , 306 , 318 dominus, vir magnificus 1,289,291,299-300,302, 472 Domnola, fill e d e Victor, évêqu e de Rennes I, 40 Domnolée, territoir e d e l'Armorique I, 39 Domnolus, évêqu e d u Mans I, 146, 16 6 Domnolus, vassallu s d e Loui s le Pieux I, 244 dona annuali a I, 153, 284 Donatus, comt e d e Melun , missu s I, 245 Donatus, grammairie n II, 402, 40 5 Dorestad, voi r Duursted e Dormelles (Seine-et-Marne , F ) I, 30 Douai (Nord , F ) II, 436, 469 douanes I, 406, 412,418-419,421,428, 435. - Voir aussi tonlie u Doué-la Fontain e (Maine-et-Loire , F) , palai s I, 135, 138 , 552.- Vicaria I, 91 Douvre (Sarthe , F), forêt I, 79 Douzy (Ardennes , F) I, 546.- Voir synode s Dover (GB ) 1,416 doyenné II, 71-72.- Voir auss i diacr e Drauscius, évêqu e d e Soisson s II, 379, 392 Dreux (Eure-et-Loir , F) , comté I, 137 Droctoaldus, Dructoaldus, référendaire, comes palatii 1,245 Drogo, évêqu e d e Met z I, 553 Drogo, dux , fil s d e Pépi n II I , 10, 224-226, 236 , 245-246,329; II, 119-120 Drogo, fideli s d e Pépi n e n 753 I, 246 Drogo, fu s d'Alai n Barb e Torte I, 85 Drogo, sacramentair e d e II, 12 droit romai n I, 586-587, 589-590 , 59 2 droits I, 581; d. administratif s I, 151; d. fiscau x I, 148, 150 , 153-154 , 158-159 ; d. matrimoniau x I, 569-570, 580; d. miHtaires I, 158; d. de monnaie I, 159.- Voir résistanc e ducatus regni , voi r regnu m Ducé (Ille-et-Vilaine , F ) I, 76 Duclair (Seine-Maritime , F ) II, 210, 248 Dunois, pagus , voir Châteaudu n

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Düren (Nordrhein-Westfalen , D) I, 542, 544-546 Durham (GB) , calHgraphi e dite de II, 424 Duurstede (NL) , port 1,65,406,417,436; 11,1 8 dux 1,31-34,40-42,53-55,64,66,68-70,73,75,78, 81, 232, 240-242, 244-246, 252-253, 255, 266; d. Francorum I, 31, 37, 85 ; élection I, 167 Eada, inscription e n rune s d ' II, 295 Ebbo, archevêqu e d e Reim s I, 329, 574, 580-58 1 Ebbo, évêqu e d e Sens I, 152 Ebergiselus, évêqu e d e Köln I, 326 Eberhardus, du c d e Friul i II, 260, 270, 277 , 287, 408 Eberhardus, Evrardus , vassus dominicus I, 428 Ebolenus, tribu n (?) I, 39 Ebracharius, du x I, 32-33 Ebroaldocurte, voi r Evricourt , Vrocour t Ebroinus, évêque de Poitiers, archichapelain 1,6061,63 Ebroinus, maire du palais 1,3,9,18,152,209-214, 216-224, 228, 279, 328, 385; II, 8-9, 87-89,121, 391-393 Ebruinus, vassus dominicus I, 246 Ebrulfus, Hebrulfus, grafio dans le pagus de Chambly 1,236,246,257 Ec-, Eg-, voi r auss i Ac-, AgEcaussines (Hainaut , B) , Scanda II, 148 Eccardus, comte d e Mâcon II, 260, 270, 276 Eckhardus, Hechiardus , comte d'Amien s I, 246 échevins, voir scabinus , scabin i Echternach (L) , monastèr e II, 67, 320-321 , 399 , 402, 422-429 , 432, 590.-Abbé, voir Willibro d écluse 1,394-395 écoles 11,300-304 écritures, types d' II, 413, 416; é. »a-z * II, 418; é, »a-b« II, 400,403,407,417; é. »b« 11,406-408, 431; é. »eN « II, 413, 416 ; minuscule caroH ne II, 430; minuscule d e religieuse s II, 406407; »N-uncial« II, 406-408, 431. - Voir auss i manuscrits, scriptorium , Maurdramnu s Edern (Finistère , F), vicaria I, 94 Egbert de Rath Melsig i II, 422 Egbert, roi d e Ken t I, 421 Egbertus, pénitentie l d ' H , 403 Eggebardus, comes I, 246 Egibertus, vassus dominicus I, 246 Eginhardus 1,332-333; 11,17 7 églises bénéficiaire s d e donation s royale s I, 138, 140-141 ; biens eccl. »sécularisés« 1,133; é. locales 138; é. mérovingienne s II, 49-51; é. royale s I, 145, 150 , 158-15 9 Einkerikus, abb é I, 335 élections, voi r comes, dux, évêque s Eleutherius, presbyter, compagnon de s. Denis I, 541; II, 198 EHgius, Eloi, évêqu e d e Noyo n I, 146,149, 196 -

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Index

197, 200-201 , 204 , 209 , 233 , 246 , 327 ; II, 82, 112, 260-262 , 265 , 267-268 , 284 , 288 , 292 , 372, 380-381, 384 , 391. - Croix, dit e de s. E . II, 262 (fig. 2), 288 (fig. 21) Elle, rivière I, 48 Elnone, voi r Saint-Amand-les-Eau x éloges d e villes II, 357 Eloi, voir EHgiu s Eloquius, abb é de Lagny-sur-Marn e I, 325 Emans, villa prè s d'E. I, 375 (et fig . 3) Emericus, domesticu s I, 247 Emerulfus, maiordomu s sacr i palatii I, 246 Emerus, évêqu e d e Trier II, 61 Emeterius, marty r II, 352 Emma, comtess e d e Poitou , fill e d e Thibau d l e Tricheur, comt e d e Bloi s I, 110 empereur, voi r imperato r Enghiscardus, vassus dominicu s I, 246 Ennodius, du x I, 33-34 Eonardus, référendair e I, 246 Eorconberht, ro i de Ken t I, 382, 409 Eorcongota, fiU e du ro i Eorconberh t d e Ken t II, 409 Epernay (Marne , F) , voir synode s Épinay-sur-Orge (Essonne , F ) I, 508, 510-511 , 514, 516,51 8 Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis , F ) I, 497 Er-, voir auss i HerErcambertana, inlustri s matron a I, 277, 282 Erchenradus Ier, évêque d e Pari s II, 112 Ercheu (Somme , F) II, 235 Erchinoaldus, maire du palais 1,209,211,217-224, 227, 273-274 , 324 ; II, 339, 381 , 386-387 Erchinradus, évêqu e d e Pari s I, 61 Erconaldus, gravi o I, 246 Ercuinus, abb é de St-Vaast d'Arras I, 329 ergastulum I, 213 Ericus, Hericus , vassu s dominicu s I, 67, 79-80 , 252 Erembertus, vicedominu s d e Gent I, 247 Erispoé, roi des Bretons, fils de Nominoé 1,6,45, 68-69, 74 , 78 , 15 5 Erkembo(l)dus, abb é d e Saint-Bertin, puis évêqu e de Thérouanne I, 327, 32 9 Erlebaldus, abb é de Reichena u II, 183 Erm-, voi r auss i IrmErmecharius, optema s I, 247 Ermedramnus, siniscalcus , référendair e I, 247 Ermenaldus, come s palati i I, 247 Ermenfridus, optema s I, 247 Ermenricus, domesticu s I, 247 Ermenricus, domesticus , optemas I, 247 Ermenteus, grafio , come s I, 234, 247, 251, 260 Ermentrudis, abbesse d'Hasnon, fille de Charles le Chauve 11,270 Ermentrudis, abbess e d e Jouarre II, 239

Ermentrudis, reine , épous e d e Charle s l e Chauv e I, 59, 33 2 Erminethrudis, Testamen t d ' II, 275, 286 Ermont (Val-d'Oise , F ) II, 228 Ernée, rivière 76 Escaut, fleuv e I, 132, 394-395 esclaves, commerce des I, 344,346, 353,421,433 ; serfs d e l'égHse I, 575-577.- Voir servu s Esmans (Seine-et-Marne , F ) I, 508, 510-511, 514, 516, 518 , 52 0 Espagne, marche d'E. I, 38, 75 ; II, 221 Estinnes, Le s (Hainaut , B) , auj. Estinnes-au-Mont et Estinnes-au-Val (Hainaut , B), palais I, 135.Voir synode s Esvres (Indre-et-Loire , F) , condi u I, 109, 111. Vicaria 1,84,111 Étampes (Essonne , F) , pagu s (Étampois ) I, 134, 137, 57 2 Étaples (Pas-de-Calais , F ) I, 414 Ethelberga, abbess e d e Faremoutier s II, 382 Ethérie, abbess e d e N.-D. d e Soisson s II, 377 Etienne, voi r Stephanu s Etrepagny (Eure , F) , palais I, 135, 13 8 Ettherius, come s I, 248 Etto, évêqu e e n Flandre I, 324 Eucharius, évêqu e d e Trier II, 60, 7 0 Eucherius, évêqu e d e Lyo n II, 400 Eucherius, évêqu e d'Orléan s I, 151 Eucherius, pèr e de l'évêque d e Noyon, EHgiu s I, 201 Eudes, voir Od o Eufronius, évêqu e d e Tours I, 145 Eumerius Ier, Eumelius, évêqu e d e Nante s I, 146 Eumerius II, évêque d e Nantes I, 146 Euphrates, évêqu e d e Köln II, 55 Eure, rivièr e I, 379, 39 6 Eusebia, abbess e d'Ama y I, 326 Eustasius, abb é d e Luxeui l I, 325; II, 375, 41 5 évêque(s), évêch é I, 132, 134-138 , 197 , 209-221 ; Élections 1,145-146,150, 158, - »Bischofsstaat « I, 150, 197 ; II, 64.- Iurisdic(t)io II, 80, 8 3 ss., 94 ss., 97.- Potestas II, 80, 84-85, 86 , 89 , 102 103,121.- Recrutement 1,146.- Siège épiscopal, II, 54-58,62.- Seigneurie épiscopale 1,144,154, 158 evindicatio II, 125-126 Evrard, voir Eberhardu s Evrecy (Calvados , F ) II, 241 Evreux (Eure , F), diocèse I, 8, 39, 138 , 537, 572.Évêque, voi r Gervol d Evricourt (Oise , F) , Ebroaldocurt e II, 144 Evurtius, Euverte , évêqu e d'Orléan s II, 275 exactio I, 287 exempla chrétiens I, 203 exemption 11,67,94 ss.;e. d'impôts 1,147.-Voir aussi immunit é

Index Exmes (Orne, F ) I, 37, 572.-Pagus (Hiémois) I, 34, 37 , 43 , 77, 82 , 96-98.- Voir Séez faber 1,48 3 factus 1,293,295,499-500 faida I, 148 Falaise (Calvados , F ) I, 37 Famars (Nord, F) , pagus I, 137 familia: 1,316,317, 506,576 ; famüles, groupes I, 205-207 Fardulfus, abb é d e Saint-Denis I, 47 Fare, voi r Burgundofar a Faremoutiers (Seine-et-Marne , F) , monastèr e I, 326-332; II, 372, 374-378 , 380-384 , 390 , 393 , 395, 409 , 411-412.- Abbesses, voi r Burgundofa ra, Ethelberga , Rothildis , Sédrid e Faro, évêqu e d e Meaux , voir Burgundofar o Fastrada, reine, épouse de Charlemagne 1,332,551 Fécamp (Seine-Maritime , F) , monastèr e I, 208209, 214 , 220 , 410 , 419 ; II, 9, 313-31 4 fehcitas 11,349,358,361 Félix, évêqu e d e Nante s I, 146 Félix, évêqu e de Quimpe r I, 58 FéHx, évêqu e d e Trie r II, 58, 62 fenêtre II, 159 fer 1,367,371 Ferrara Ier I , 567 Ferrières (Loiret , F) , monastèr e I, 323, 332-334, 411, 414 , 422-423 , 427-428 , 526 , 528. - Abbés, voir Adalbertus , Aldricus, Lupus , Sigulfu s Fesques (Seine-Maritime , F) , Fiscera II, 145 Fiacrius, ermit e e n Bri e I, 324 Fibicius, évêqu e d e Trier II, 61 fibules II, 34 (fig. 12-13), 448-449, 451 fideHs 1,231-268 fides publica I, 586 Filleul, évêqu e d e Rouen, voir Flaviu s finage 11,440,448,464 Firenze (I), BargeUo II, 282.- Museo Nazionale , Palazzo de l Bargell o II, 282 (fig. 18) firrnitas I, 81, 85 fisc, fiscus: f. I, 34-35,37-38,51,55-57,60-62, 76 , 82,129-142,148,275,281,306,575-577.- Administration fiscal e byzantin e I, 140.- Cellae I, 133.- Dissolution I, 131, 140-141. - Donations 131, 138 , 140 , 141. - Forestes I, 133.- Homines fiscalini I, 151, 575-577.- Implantation I, 130, 136-140.-Nature 1,140-142.- Revenus fiscaux I, 151,154-155.- Voir mansus, tribunaux, tribunus, villa Fiscera, voi r Fesque s Flabellum, di t d e Tournus I, 282 (fig. 18) Flagé (Manche , F ) 1,76 Flandre I, 65 Flaochad, mair e du palais I, 213, 217, 221 Flavigny (Côte-d'Or , F) , monastèr e I, 356; II, 204 (fig. 18), 207, 221, 403-404

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Flavius, Filleul, évêqu e d e Rouen II, 13-15 Flégès, Le s (Ille-et-Vilaine, F ) I, 76 Fleury (Manche , F), centaine I, 95 Fleury-sur-Loire, voi r Saint-Benoît-sur-Loir e Flexanville, affluen t d e la Seine I, 376 foderum 1,283 Foillanus, Feuillen, abbé de Fosses 1,325; 11,386 , 388 Fol-, voir auss i FulFolcuinus, chroniqueu r I, 389, 52 7 Folquinus, sert au palais sous Charlemagne 1,248 fonctionnaires, domaine s des I, 133, 137 , 14 0 Fontaine-Bonneleau (Oise , F), villa royale I, 132 Fontaine-les-Luxeuil (Haute-Saône , F), monastère II, 410 Fontenelle, voi r Saint-Wandrill e Fontenoy-en-Puisaye (Yonne , F) I, 4, 63, 67; II, 355, 36 2 forensis I, 295 forestarius I, 274, 296.- Voir fis c forestes, voi r fisc Forêt Charbonnièr e I, 1-2, 6 , 9, 1 8 forma censuali s I, 281 formulae, formulaire s I, 345 ss., 586-589 Formulaires, nommément cités: F. d'Angers 1,68, 282, 284 , 289-290 , 297-299 , 34 5 ss., 370.- F. imperiales I, 540.- F . de Marculf I, 203, 276, 287,292,298-299.- F. de Tours 1,284,298-299, 368, 37 0 fortifications 1,159.- Voir castrum, firrnitas, guerche, haia , oppidum, tou r Fortunatus, voir Venantius Fortunatu s Fosses (Namur, B) II, 386-388.- Abbé, voir Feuillen franchise fiscal e I, 148 Francia, Francie , regnu m I, 535-563, 576 , 586.- F. occidentalis I, 131, 142 ; II, 68, 70-71. - F. orientalis I, 12; II, 70 Franco Ier, évêque d u Mans I, 185 Franco II, évêque d u Mans I, 55 Franco, abb é I, 331 Franco, vassus dominicu s I, 248 Franconie I, 544 FrancourviHe (Eure-et-Loir , F ) I, 37-38 Francs, peuple II, 53, 63, 71.-Francs rhénans II, 60,61 Frankfurt (Hessen , D) I, 75-76, 550 , 552 , 554. Fisc I, 76.- Voir synode s Frechulfus, évêqu e d e Lisieu x II, 471 Fredebaldus, vassal I, 248 Frédégaire, chroniqueu r I, 202 Fredegundis, Frédégonde, reine, épouse de Chilpéric Ier I, 31-32, 34, 38-40, 212 Fredericus II, empereur II, 270 Freising (Bayern , D) 1,542 Frénouville (Calvados , F) I, 409

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Index

Fréteval (Loir-et-Cher , F ) I, 37 Fridugisus, abb é d e St-Marti n d e Tours I, 113, 332-333; 11,310,33 1 Frise, Frison s I, 415, 431-432 , 434 , 438-439; II, 422.- Duc, voi r Bub o frise, d e terre-cuit e II, 242 (fig. 14) Fritzlar (Hessen , D) II, 395 Friuli Ier, marche de F. I, 55.- Voir Baudri, Eberhard Frodaldus, comt e d e Vannes, voir Hrodoldu s Frodomundus, évêqu e d e Coutance s I, 41; II, 299 Frohen (Somme, F) I, 324 Fronsac I, 544 frontières I, 30, 45, 51 , 54, 71 , 75-76 , 8 1 Fulbertus, comte I, 58, 248 Fulcherius, évêqu e d e Nantes I, 158 Fulco, Foulque s l e Bon , comt e d'Anjo u I, 85 Fulco, Foulque s Nerra , comt e d'Anjo u I, 92 Fulco, vassu s dominicus , comes palati i I, 248 Fulda (Hessen, D), monastère 1,542-544; 11,95 , 395,421.- Basüiqu e de l'abbé Ratgarius II, 177, 180-181,182 (fig. 27), 183.- Abbés, voirRabanus Maurus, Ratgariu s Fulgarius, fideli s d e Pépin I, 248 Fulradus, abbé de Saint-Denis 1,43, 329,331,541, 550; II,94ss., 112, 121,125-149,184,300,41 5 Fulradus, abb é de Saint-Quenti n I, 332 Ful(c)radus, Folcradus , vassus dominicu s I, 248 functio, functione s publica e I, 287, 290 , 455-46 2 fundus 1,291 Fûmes, voir Iserae Portus Furseus, Fursy , abb é d e Lagny-sur-Marn e I, 324; 11,385-38 7 Gabriel, saint , archang e II, 295-296 Gaël (Jlle-et-Vilaine, F), St-Méen-et-St-Judicaël I, 47 Gaerinus, voir Warinu s Gagny (Seine-Saint-Denis, F) 1,508,510-511,514, 516, 51 8 Gallia Belgic a I, 139; II, 68-69 Gallicanum, Missale II, 327 Gamacherie, L a (YveHnes, F), Gamapi o II, 145 Gamaches-en-Vexin (Eure , F) , Gamapio II, 145 Gamapio, voir Gamaches-en-Vexin , L a Gamacherie, Gambai s Gambais (YveHnes , F), Gamapio II, 145 Garefredus, Garifredus , grafio , come s I, 249 Garnier, voir Warnarius, Wernhariu s Gascogne I, 40, 42-4 3 Gasny (Eure , F ) II, 15 Gaugericus, Géry, évêque de Cambrai II, 66, 435 Gaule H , 53-69, 72 , 321, 461 Gausbertus, comes I, 73

Gauz(o)helmus, probablement comte de Meaux I, 237, 249, 253 Gauz(io)lenus, Gauzlin, évêque du Mans 1,41,43, 176, 18 3 Gauzlinus, évêqu e d e Pari s I, 158 Gauzlinus, abb é d e St-Mau r de Glanfeui l I, 71 Gauzlinus, vassus dominicu s I, 63 Gebuinus, come s palatii , come s I, 249 Geilo, abb é de Corbie II, 284 Gelasius Ier, pape, décre t II, 327; sacramentaire 11,411-412 Gellis, voir Jaux Gellone (Hérault , F) , monastère II, 327, 36 6 Genesius, évêqu e d e Lyon I, 210, 326 ; II, 391 Genesius, presbyter d e Paris II, 79 Geneviève, voi r Genovef a Genillé (Indre-et-Loire , F) , vicaria I, 111 Gennes (Maine-et-Loire , F ) I, 86 Genova (I), »sacro catino « II, 276 Genovefa, Geneviève , saint e I, 553; II, 79-80, 152, 159 , 226, 42 0 Gent (Ost-Viaanderen , B) I, 247, 322 ; II, 272.Port, abbaye s I, 410-411.- Comté I, 137.Mont-Blandin, monastèr e I, 329, 331. - Abbés, voir Coelestinus , Scoranu s Gentilly (Val-de-Marne, F), palais 1,135, 541-54 2 Gény (Aisne , F ) 11,235 Geoffroi, voi r Godefredu s Georgius, martyr II, 287 Georgius, évêqu e d'Amiens II, 430 Gerbaldus, référendair e I, 249 Geremarus, abbé de Saint-Germer-de-Flay 1,201, 207 Geremarus, consiliari s du ro i Dagobert Ier, puis abbé de St-Germer de Fly I, 201, 207, 242, 249 Gergny-sur-Oise (Aisne , F ) I, 325 Ger(h)ardus, Ga(i)rehardus , G(h)aerardus , Geri chardus, come s d e Pari s I, 234-237, 244 , 248249, 25 8 Germanus, abb é d e Granfelde n II, 64, 67 Germanus, évêqu e d'Auxerr e II, 59, 61, 66, 14 6 Germanus, évêque de Paris 1,146,541, 553; II, 80, 226 Germigny-des-Prés (Loiret , F ) II, 212, 214-21 5 (fig. 5-6), 216, 221 , 253-256 (fig. 22-25) G(h)ermundus, vassallu s I, 249 Geroaldus, abb é d e FonteneU e I, 417-419, 427 428, 430 , 43 7 Geroldus, préfet de la marche de l'Est I, 53-54, 75 Geroldus, préfe t d u regnu m d e Bavière I, 53-54 Geroldus, jug e I, 249 Gersvinda, reine , épous e d e Charlemagne I, 551 Gertrudis, abbesse de Nivelles I, 325-326 ; II, 386, 393 Gerungus, summu s sacr i palatii ostiariu s I, 249 Gervasius, martyr, compagno n d e Protai s II, 14

Index Gervoldus, abbé de Saint-Wandrille , évêque d'Evreux I, 332-333; II, 301, 314 Géry, évêqu e de Cambrai, voir Gaugericus gesta municipali a I, 590 Giberville (Calvados , F ) I, 409 G(h)iboinus, grafi o I, 249-250 Gildaredus, évêque de Rouen II, 16-19 Gillerie, L a (Vendée, F ) I, 65 Gilles, Mess e d e saint, tablea u à Saint-Deni s II, 288 (fig. 21), 29 0 (fig. 23), 291-292 Gilling, monastèr e II, 426.- Abbé, voi r Cynefri d Gisela, Gisèle, abbesse de Chelles et de Ste-Marie de Soissons, soeu r d e Charlemagn e I, 332, 540 , 550; 11,313,404,40 8 Gislefridus, centenariu s I, 250 Gislehar(i)us, fidelis, vassallus de Louis le Pieux I, 250 G(h)islemarus, mair e du palai s I, 215, 218 , 223 224, 228 , 279 ; II, 89 G(h)islemarus, come s palatii I, 250 G(h)islemarus, chanceHe r d e l'abbay e d e St-Ger main-des-Prés II, 46-47 G(h)islemarus, détien t injustemen t l e domain e d'Avezé I, 43 Gisloldus, jug e I, 250 gîte roya l I, 131, 13 3 Glanfeuil, monastère , voir Saint-Maur-sur-Loir e Glisy (Somme , F ) I, 405-407, 43 8 Glons (B ) 11,235 Goar, ermit e I, 553 Gobanus, Gobain, prêtre, martyr près de Lao n I, 324 Godebaldus, abb é de Saint-Denis 1,329-330; II, 92-93 Godebertus, missu s I, 250 Godefredus, Geoffroy, fil s de Rorgon du Maine I, 78 Godescalcus, scrib e II, 321, 346 Godfridus, ro i de s Danoi s I, 75 Godinus, grafi o I, 250 Godinus, optema s I, 250 Godo, Gond , neve u d e s . Wandrille II, 308, 314 Gonferius, voi r Gunferiu s Gorges (Manche , F ) I, 95 Gorze (MoseUe , F) , monastère I, 359 Gouézec (Finistère , F) , vicaria I, 94-95 Gourdon, CaHc e de II, 276 grafio, gravi o I, 210, 231-268. - Voir comes , co mitatus, pagu s Grandchamps-des-Fontaines (Loire-Atlantique , F), vicari a I, 103 Grande-Bretagne, voi r Angleterre , Ile s Britan niques Grandlieu (Loire-Atlantique , F) , St-Philibert, mo nastère II, 201-202 (fig. 15-16), 221, 248 Gregorius, Grégoir e Ier, pape II, 419

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Gregorius, Grégoir e III, pape I, 330 Gregorius, Grégoir e IV, pape II, 347 Gregorius, Grégoire, évêque de Tours, historien I, 143, 146 , 148 , 210, 280 , 368, 422, 434; II, 3, 7, 10-11, 16 , 19 , 76 , 152 , 246, 340 , 354, 420 Gregorius, Grégoire , évêqu e d'Utrech t II, 415 Grentheville (Calvados, F) H , 439-440,464.- Églises et monastères: St-Martin II, 440.- St-Rémi, église II, 440 Grifo, évêqu e d e Roue n I, 152; II, 17 Grifo, fil s d e Charles Martel , du x I, 8-10, 13,18 , 42-43, 45 , 183 , 221, 227, 250, 536-537; II, 136137 Grifo, Grippo , préfe t d e Quentovi c I, 414, 419 , 428, 43 7 Gripho, juge I, 250 Grimbercthus, come s palati i I, 250 Grimfridus, CaHce , dite d e II, 285 (fig. 20), 286 Grimo, abb é de Corbie, évêque de Rouen I, 329330; II, 17, 342, 413-41 4 Grimoaldus Ier, maire d u palai s I, 214, 223 224; II, 13, 64, 67, 388 Grimoaldus II, maire du palais 1,10,224-226,228, 276, 325 , 535-536 ; II, 13, 90 Gripho, Grippo , voi r Grif o Guer (Morbihan , F) , condit a pleb s I, 84, 88. Vicaria I, 88 Guérande (Loire-Atlantique , F ) I, 5-6 guerches I, 39, 80-81 Guerche, L a (Côte-du-Nord, F ) I, 81 Guerche-de-Bretagne, L a (Jlle-et-Vilaine, F) I, 80 Guerche-sur-1'Aubois (Cher , F) I, 80 Guérin, comt e d e Mâcon, voir Warinus Gueures (Seine-Maritime , F) , Wariaco II, 149 Gui, Guy , voi r Wido Guierche, L a (Sarthe, F ) I, 80 Guignen (Ille-et-Vilaine , F) , vicaria I, 88 Guillaume, voi r Wilhelmu s Guipry (jUe-et-Vilaine , F) , vicaria I, 88-89 Guiri (Eure , F) , Wariaco II, 149 Guiry-en-Vexin (Val-d'Oise , F ) H , 241 Gui-, voi r auss i WulGundacher, come s sou s Charlemagn e I, 251 Gundobadus, ro i d e Bourgogne I, 3-4 Gunferius, Gonfle r I, 68-69 Gun(t)fridus, comt e d e Chartres I, 62, 78 , 251 Gunthardus, comt e dan s le Vermandois I, 251 Guntharius, évêqu e d e Tours I, 145 Guntharius, Guntecharius, comes 1,234-236,251, 260 Gundolaïcus I, 330 Gunthram, Gontran , ro i I, 31-34, 530; II, 63 Gundoaldus, évêqu e d e Meaux II, 375 Gundoinus, du x I, 215 Gunduinus, référendair e (?), optemas I, 251 Gunzo, vassu s dominicus I, 251

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Index

Ha-, voi r auss i C o habitât, rura l II, 439-465 Hadalhardus, comes e t missus , voir Adalhardu s Hado, abb é d e Corbi e II, 342 Hadoardus, abb é d e Corbi e II, 304, 345-34 6 Hadoinus, évêqu e du Mans I, 101-102 Hadrianus Ier, pape I, 331 Hadrianus II, pape II, 292 Hadrianus, compagnon de l'archevêque de Canterbury, Théodor e II, 412 Hadulfus, abb é de St-Vaas t d'Arras I, 329 Hagano, évêqu e de Chartre s I, 158 Hagino, fidelis d e Pépi n I, 251 hagiographie II, 57 haia I, 81, 85 Haimannus, come s I, 252 Haimo, du x e n Ponthie u I, 252 Haimoinus, advocatu s I, 252 Hainaut, pagu s I, 137 Haithabu (Schleswig-Holstein, D) I, 417 Halberstadt (R.D.A), cathédral e II, 205 (fig. 20), 207 Haldetrudis, épous e d e Clotair e II, 13 Halitcharius, évêqu e d e Cambra i II, 277 Haltebertus, nobih s I, 199 Ham (Manche , F ) 11,299 Hamwih, voi r Southampto n Har-, voi r auss i ArHarduinus, come s I, 25 Harduinus, scrib e I, 333; II, 301, 314 Hariold, ro i de s Danoi s I, 75 Hariulfus, chroniqueu r I, 426 Harrach, Diptyqu e di t d' II, 279 Hartmannus, missu s I, 252 Hatta, abb é d e St-Vaas t d'Arra s I, 329 Hautmont (Nord, F), monastère 1,327-328; II, 16 Heüwich, Helvida, épouse de Louis le Pieux, mère de Judith I, 332 Heimar, évêqu e d'Auxerre , voi r Ainmaru s Helisachar, abb é d e Saint-Riquie r e t d e St-Marti n de Trier 1,333-334; 11,345-34 7 Helmgaudus, Cheimgaudus , come s palatii , come s de Meau x I, 235, 237, 249 , 253 Helogar, évêqu e d'Ale t I, 47-48 Helvida, voi r Heilwich Henricus II, roi, puis empereur I, 159, 524 Her-, voir auss i ErHerardus, archevêqu e d e Tours I, 72 Herardus, copropriétaire de l'abbaye de Hornbach 1,57 Herbauge, pagus 1,66,68-69.- Comtes, voir Hervé, Raino , Renau d hereditas I, 472 Herembertus, vassallu s I, 79, 246-24 7 Hereswith, sœu r d e l'abbess e HUd e d e Whitby , religieuse à Chelles II, 409

Heribertus, come s I, 252 Herifridus, évêqu e d'Auxerr e I, 78 Herlemundus, évêqu e d u Mans I, 41, 172-17 3 Herlemundus, qu i excerc e l e pouvoi r épiscopa l à côté d e l'évêqu e Gauziolenu s du Mans I, 172, 183 Herhndis, abbess e d'Aldeney k II, 428-429 Herloinus, come s I, 253 Hermelandus, abb é d'Indre I, 328 Hermor, évêqu e d'Ale t I, 58 HérouviUette (Calvados , F ) I, 409 Hersfeld (Hessen , D), monastère II, 395 Herstal (Liège , B), palais 1,43, 542 , 544-547, 550, 552 Herveus, Hervé , comt e d e Mortagn e (Corbonais ) 1,83 Herveus, Hervé , comt e d e Nante s e t d'Herbauge , marquis d e la Marche de Bretagn e I, 68-70, 77 Herveus, Hervé, fils de Roger, comte du Maine I, 41-43 Hibernia, voi r Irland e Hieronymus, Jérôme, saint, docteur de l'ÉgHse I, 204; 11,321,401,408,417,42 0 Hil-, voi r auss i ChilHilarius, évêqu e d'Arle s II, 59 Hilarius, évêqu e d e Poitiers II, 66, 351 , 355, 361 Hilbodus, abb é de Noirmoutie r I, 70 Hilda, abbess e d e Whitb y II, 382-383, 385 , 393, 409 Hildebrandus, come s I, 304 Hildebrandus, come s d e Melu n (?), dux e n Bour gogne 1,253 Hildegardis, reine, épouse de Charlemagne 1,547, 551 Hildegarius, fideH s d e Pépin I, 253 Hildemannus, vassallu s d e Loui s l e Pieux I, 253 Hildoardus, évêqu e d e Cambra i II, 317 Hilduinus Ier, abbé de Saint-Denis 1,332-334,452, 456; II, 108-111, 114 , 131-132 , 152 , 15 7 Hilduinus II, abbé de St-Denis 1,332-333,452-454 Hincmarus, archevêque de Reims 1,333 ; II, 68-71, 260, 27 3 (et fig. 16), 286, 29 0 Hociobercthus, voi r Chugobertus Hodingus, évêqu e d u Mans I, 184 homines, boni h. 1,289, 292, 294, 304; h. fiscakni, voir fis c Honau, monastèr e I, 542 Honfleur (Calvados , F) I, 410 Honnecourt-sur-Escaut, mouHns à eau 1,394,397 honor, translati o honori s I, 143 Horatius, ode s d ' II, 350, 360, 36 2 Hornbach (Rheinland-Pfalz, D), monastère 1,4647, 57 , 76. - Abbés, voi r Amalardus, Wyrandu s Hornoy-le-Bourg (Somme , F) , Horona II, 145 Horona, voi r Hornoy-le-Bour g hostilitium, hostilens e I, 283, 302, 382, 467-50 3

Index Hrodoldus, Frodaldus , comte de Vannes I, 47 Hrupdingus, come s I, 334 Hubertus, abbé de St-Martin de Tours (? ) I, 78 Hug-, voir auss i ChugHugo, Hugues l'abb é I, 81 Hugo, Hugues, archevêqu e de Rouen, Bayeux e t Paris, abbé de Saint-Wandrille, de Jumièges et de Saint-Denis I, 152, 176 , 322, 329-33 1 Hugo, Hugues, abb é de Saint-Quentin et d e St Bertin, fils de Charlemagn e I, 332 Hugo, Hugues Capet, dux Francorum, puis roi I, 85 Hugo, Hugues l e Grand, du x Francoru m I, 85 Hugo Ier, Hugues, comt e du Main e I, 100 Hugo, Hugues, comte de Tours, missus 1,236,256 Hugo, Hugues, vassus dominicu s I, 256 Huisne, affluent de la Sarthe I, 371 Huisseau-sur-Cosson (Loir-et-Cher , F), vicaria I, 93 Huisseau-sur-Mauves (Loiret, F) , vicaria I, 104105 Humbertus, vicarius I, 256 Hun-, voi r auss i ChunHunaldus, Hunaud , duc d'Aquitain e I, 536, 544 Hun(n)aldus, vicariu s dans le ChambHois I, 256 Hungarius, come s I, 256

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Ingomarus, comes dans le pagus de Thérouanne I, 257 Ingrandes-de-Touraine (Indre-et-Loire , F) , vica ria 1,112 Ingreus, scribe II, 315 inhumation, habillé e II, 458-459, 461 inluster, voir matrona inluster, vir inluster Innocentius, évêqu e d u Mans I, 99-100 inquirere, inquisiti o I, 279-280 intailles II, 269 (fig. 9), 275 (fig. 15) inventaires de s biens, voir Saint-Deni s ioci militare s II, 350, 356 Ionathan, come s I, 257 Irlande, Hibernia I, 408, 412, 422, 430-432, 439 Irm-, voi r auss i ErmIrmina, abbess e d'Oeren I, 524; II, 422 Irmino, abbé de St-Germain-des-Prés 1,289,369370, 396 , 443 , 455-456 , 467-504 , 507 , 522 ; II, 312.- Voir polyptyque , St-Germain-des-Pré s Isaac, vassus dominicu s I, 63, 257 Isebertus, sacebaro I, 257 Iserae Portus, Fûmes (?) I, 411 Isidorus, voir Pseudo-I . Isidorus d e SeviUa II, 400, 415, 417, 41 9 Isle-Adam, IT . (Val d'Oise, F ) II, 286 ItaHe 1,50,58,75,554-555,566-568; 11,5 8 Itherius, abb é de St-Martin d e Tours I, 331-334 itinéraire royal 1,130-131,133 iudex, iudices I, 148, 484, 567 iunior 1,148,287,293,297,300-305,308,314,318 ius fiscaHs censura e I, 149; i. proprietariu m I, 282, 290. - Voir droits , iudex, juridiction iussio I, 586 Ivo, Yves , évêque d e Sées I, 97 ivoire II, 259-265, 26 6 (fig. 7), 267-27 8 (fig. 16), 279-283, 283 (fig. 19), 284-292

Ile-Bouchard,P (Indre-et-Loire , F) , vicari a castr i 1,86,108,111-112 îles Britanniques II, 18,319, 324.- Voir Angleterre immunité 1,147-150,153,158-159; 11,85,87,91 , 114, 118 , 120-121 ; i. ecclésiastiqu e I, 457-458; privilèges d * i. I, 167-168.- Voir exemptio n imperator 1,557; II, 356,360-362; i. céleste II, 352; i. feli x II, 358; i. vainqueu r II, 349-350, 355 356, 361-36 2 Imperium Romanum, Renovatio II, 177, 349,361 imposte II, 256 (fig. 23) Jacobus, abb é de Cormery I, 55 impôts 1,151,455-459,507-522.-VoirhostiHtium, Jacobus, abbé de Glanfeui l I, 334 Jamblychus, évêqu e d e Trier II, 60-61, 6 5 tributum indominicatum I, 471 jarretières II, 28 Indre (Loire-Adantique , F) , St-Pierre-et-St-Paul , Jarrow (GB), monastère II, 425.- Abbé, voir Ceolmonastère I, 68, 211, 328.- Abbé, voir Hermefrid land Jaux (Oise , F) , GelH s II, 145 Jauzé (Sarthe , F), foret I, 79 inferenda I, 148, 287, 293 , 300 Ingelbertus, abbé de St-Pierre-des-Fossés 1,55-56 Javron-les-Chapelles (Mayenne , F) , condit a I, 100.- Pagus minor I, 87, 100. - Vicaria I, 100 Ingelheim (Rheinland-Pfalz , D), palai s I, 51-53, Jengland-Beslé (Jlle-et-Vilaine , F ) I, 74, 78 56,61,64,550,552 Ingeltrudis, épouse d'Odo, comt e d'Orléans I, 59 Jeremias, fils d e Charle s Martel I, 332-333 Jérôme, voir Hieronymu s ingenuus, ingenui I, 201, 299, 310-31 2 Ingilfridus, abb é d e St-Jean-Baptist e d'Anger s I, Jérusalem 11,12,359,361 Jesses, évêqu e d'Amiens II, 315, 344 48-49 Jésus-Christ II, 351, 355 , 359-361. - Imitatio I, ingium I, 482 205.- J.-Ch. à Jérusalem II, 359, 361 ; J.-Ch. Ingobertus, comt e d e Paris I, 257 imperator II, 353.-Triomphe du Christ 11,278 Ingobertus, come s palatii I, 257 (fig. 16), 351-352, 361 Ingobertus, comes , missu s I, 257

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Index

Jeufosse, île , près d e Mantes I, 423 Johannes, apôtre II, 281 (fig. 17) Johannes VIII, pape II, 97 Johannes, évêque d e Bayeu x II, 10 Johannes Scottus Eriugena , théologie n II, 304, 346, 382 , 385, 409 Jonas, évêque d'Orléans II, 157, 302 Jonas de Bobbi o I, 198, 206; II, 373-377, 38 0 Josephus, abb é I, 331 Josephus, évêqu e d u Mans I, 185 Josse, voir Judocus Jouarre (Seine-et-Marne , F) , monastèr e I, 199, 212-213, 326 ; II, 187-188, 190 , 210-212 , 216 , 218, 222-223 , 225 , 237-239 , 260 , 270, 300 , 326, 372, 374 , 376-377 , 381 , 383 , 385 , 390 , 409-412, 432.- Crypte II, 188 (fig. 1-2), 19 0 (fig. 3), 211 (fig. 2), 218 (fig. 8), 222-223 (fig. 13-14), 238 (fig. 11).- Abbesse, voirThéodechildis.- Voir scriptorium Joué-1'Abbé, voi r Joué-en-Charni e journal, voir métrologi e Jouy (Eure-et-Loir , F) , vicaria I, 94 Joué-en-Charnie (Sarthe , F ) o u Joué-1'Abbé (Sar the, F ) I, 100 Jouy-en-Josas (YveHnes , F ) I, 508, 510-511 , 514 , 516, 51 8 Jublains (Mayenne, F ) I, cité 39.- Condita I, 83, 100.- Parochia I, 100-101.- Vicaria I, 100 Judicaël, re x Brittanorum I, 40, 201 Judith, impératrice, épouse de Louis le Pieux 1,50, 63, 332 ; II, 284 Judoenus, Josse, ermite e n Ponthieu I, 325 jugement d e Dieu I, 579 Juhel Bérenger , comt e d e Renne s I, 85 Juifs 1,434 Juilley (Manche , F ) 1,76 Jules Césa r 1,406-408; 11,350,35 6 Julianus, empereur H , 360 JuHanus, évêque d e Toledo II, 402 JuHe, intaiUe de II, 269 (fig. 9) Jumièges (Seine-Maritime, F), St-Pierre, église, monastère 1,152, 208, 211, 213,273,281,324, 326, 328-329, 346, 380, 409-411, 439; II, 6,9,14,17, 189,191,192 (fig.5), 260,303-305,308,313,471.Abbés, voir Coschinus , Hugues , PhiHber t juridiction 1,159, 566 , 574, 578-580 ; j. comtal e I, 148, 577 , 579-58 0 Justinien Ier, empereur II, 65-66 Justinien II, empereur I, 149 Justus d'Urge l II, 411 Juvardeil (Maine-et-Loire , F ) I, 74 Karl, voir Carolu s Karlmann, voir Carolomanu s Kaupang I, 417 Kelgenas, vicaria I, 95

Kembs (Haut-Rhin , F ) I, 590 Kent (GB ) I, 409, 4 2 9 m , 430 Kerry (IRL) 1,431 Klingenmünster (Rheinland-Pfalz , D), monastèr e 1,526 Köln (Nordrhein-Westfalen , D) I, 215, 329 , 528; II, 8,55,68,183,406.- Cathédrale II, 183.Évêques, voi r Ebregisèle , Euphrates. - Voi r synodes KorneJimünster (Nordrhein-Westfalen , D) I, 588 Kremsmünster (A) II, 286 Labosse (Oise , F) , Poci o II, 147 Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne , F ) I, 324; II, 386, 408. - Abbés, voi r Eloque, Furs y Laillé (Ille-et-Vilaine , F) , centain e I, 35-36, 106 107.- Cadastration I, 120 (fig. 1).- Vicaria I, 106-107 Lamb-, voi r Land-, LantLand(e)bertus, Lantbertus, Lambert, abbé de SaintWandrille, pui s évêqu e d e Lyo n I, 207, 254 , 257-258, 32 7 Land(e)bertus, évêqu e d e Maastrich t I, 200, 330; 11,9 2 Land(e)bertus, abb é (fi n VIIe s.) II, 118 Landbertus, Lambert Ier, comte de Nantes et d'Anjou, préfet de la marche de Bretagne 1,46,50-51, 55, 57-61 , 67 , 75-76 , 25 8 Landbertus, Lambert II, comte de Nantes et d'Anjou, abb é laï c d e St-Aubi n d'Anger s e t d e Ste Colombe de Sens, dux, marquis de la marche de Bretagne I, 67-74, 77, 80 , 82, 258, 26 7 Landévennec (Finistère , F) , monastère I, 48, 85.Abbé, voi r Matmono c Lando, abb é de Saint-Wandrill e I, 329 Land(e)ramnus, Landra n Ier, archevêque d e Tours 1,56 Land(e)ramnus, Landra n II, archevêque d e Tours I, 71-72 Land(e)ricus, Landry, évêque de Paris I, 208; II, 85-86 Landricus, siniscalcu s I, 258 Langon (Ille-et-Vilaine , F ) I, 36 Langres (Haute-Marne , F ) I, 157, 550 , 553-55 4 Laon (Aisne, F) II, 64,270,284,304,324,326,418, 432.- Diocèse I, 2-3, 9-10 , 13 , 134 , 536 , 543 547.- N.-D., monastèr e I, 50.- Évêque, voi r Chagnoald Lauconis silv a I, 195 Laurentius, moin e d e Saint-Wandrille I, 330 Laurentius, scrib e II, 427 laus perennis, voir Saint-Deni s Lavardin (Loir-et-Cher, F), condita 1,83-84,101.Parochia I, 84, 10 1 lectionnaire II, 365 Léger, voir Leodegariu s

Index 52 législation I, 343 ss., 547, 566 , 569 , 580-58 1 Legitimus, advocatu s I, 258 Leo Ier, pape II, 59 Leo III, pape I, 113 Leobardus, moine de Tours, scribe II, 310 Leobinus, évêque de Chartres I, 146 Leod-, Leud-, Leut-, voir auss i LiutLe(o)tbaudus, centenariu s I, 35 Leodebertus, évêque d'Orléan s I, 151 Leudeberctus, domesticu s I, 258 Leuthfredus, fideH s d e Pépin I, 258 Leodegarius, Léodegaire, Léger , évêqu e d'Autun I, 152, 210, 212, 214, 328; II, 88, 118 , 388, 392 Leuthardus, comte de Paris I, 236, 240, 249, 258 Leut(c)harius, abbé de Corbi e II, 315-316, 34 2 Leutharius, neveu de l'abbesse de Jouarre Theodechildis 11,409-41 0 Leutrudis, épouse d'Ebroï n I, 218-219, 222 , 224, 228 Leutsinda, épouse d'Erchinoald I, 218, 220 , 224, 228 Leontius II, évêque de Bordeau x II, 80-81 Leontius, évêque de Trier II, 59, 61, 65 Lérins (Alpes-Maritimes, F), monastère II, 59-61, 390 lètes, colon s I, 36, 3 8 Leudesius, mair e du palais I, 217-220, 228 Leuhan (Finistère , F) , vicaria I, 94 Lex Baiuuariorum, lo i I, 286, 294 Lex Liutprandi régi s I, 567 Lex romana I, 282, 284 Lézigné (Maine-et-Loire , F ) I, 74 Liber de diversi s quaestiunculi s II, 398 Liber pontificaHs II, 366, 40 0 Hber traditionum I, 590 Hbertas des monastère s I, 207 Liège ( Liège, B ) I, 136, 545 ; II, 406 Lienvin, pagu s I, 572 Lignerolles (Seine-et-Marne, F), Linariolas II, 145 Lillebonne (Seine-Maritime , F ) I, 408, 42 4 Limoges (Haute-Vienne , F ) II, 62.- Cité, diocèse, pagus (Limousin ) I, 51 Linariolas, voi r Lignerolles , Livry-sur-Sein e Lindisfarne (GB ) II, 245.- ÉvangéHaires II, 424 Lion-en-Beauce (Loiret , F) , vicaria I, 104 lisières II, 159 Lisieux (Calvados, F) 11,452,471.-Diocèse 1,8, 136, 138 , 537. - Évêque, voir Fréchulfu s liturgie impérial e II, 359 Liu-, voi r auss i LeoLiutgardis, reine , épous e d e Charlemagn e I, 547, 551 Liutwinus, évêqu e d e Trier II, 64 Hvres, commerce d e 1. I, 427, 431 Livry-sur-Seine (Seine-et-Marne , F) , Linariola s II, 145

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Lobbes (Hainaut , B) , monastèr e I, 520, 526. Moulins I, 389 locellus 1,591.-Voir vill a Loches (Indre-et-Loire) , moulin s I, 371.- Vicaria I, 112 Lognes (Seine-et-Marne , F ) I, 195 Loir, rivièr e I, 91, 96, 369 , 37 9 Loire, fleuve I, 30, 35,40, 42-45, 55, 57-58, 62-70, 77-78, 80-84 , 134 , 213 , 368 , 371-372 , 396 , 521, 566, 568 , 575 ; II, 19, 209, 362, 461-462.- Inter Ligerim e t Sequana m I, 566-567, 581. - Voir Seine Loire (Maine-et-Loire , F ) I, 76 London (GB) I, 429, 432 , 437 , 439. - Britis h Museum II, 274 (et fig . 14), 276. - National GaUery II, 288 (et fig . 21), 290 (fig. 23) Longjumeau (Essonne , F ) II, 242 (et fig. 14) Longlier (L) , villa I, 537, 544-54 5 Lorges (Loir-et-Cher , F ) II, 244 Lorsch (Hessen , D), monastèr e II, 179 (fig. 25), 180,189, 19 0 (fig. 4), 317, 399, 403.- Abbé, voir Adalung.- Voi r annale s Lotharingie I, 129, 195 ; H, 69-70 (H)lotharius, Lothaire Ier, roi, puis empereur, fils de Louis le Pieux I, 8, 45, 50-51, 56-58, 60-61, 63, 67, 69, 74, 76, 79, 81,422, 537,551, 554-556; II, 270, 279, 355, 357-35 9 (H)lotharius, Lothair e II, roi II, 292 (H)lotharius, Lothaire , sacristai n d e Saint-Aman d II, 317 Loudun (Vienne , F) , vicaria I, 110 Loup, voir Lupu s Lucrèce, poète lati n II, 360, 401 (H)ludowicus, Loui s l e Pieux , roi , pui s empereu r 1,5-7,13,38,44,48-63,65,67,71,75-79,81,151, 153-154,156,304,332,334-335,348 ss., 362,391, 417, 435-436 , 443 , 537 , 539 , 542 , 547 , 549-551 , 555-557, 566, 570, 574-575, 577-581; II, 18-19, 68, 71 , 107-110 , 113-114 , 260 , 284, 290, 359 (H)ludowicus, Louis II, le Germanique, roi I, 5556, 58 , 69, 74 , 554-556; II, 70, 357 (H)ludowicus, Loui s IV, l'Enfant, ro i I, 151 (H)ludowicus, Louis II, le Bègue, roi 1,44-45, 78 , 157,557,571 (H)ludowicus, Loui s III, roi I, 405 (H)ludowicus, Loui s V, roi I, 134 (H)ludowicus, Loui s VIII, roi II, 7 (H)ludowicus, Louis , fils d e Rorico , archichance Her I, 63 Lugdunensis, provinc e romaine , p . ecclésiastique , voir Lyonnais e Lupus, évêqu e d e Troyes II, 53, 59-61, 6 6 Lupus, Loup , abb é d e Ferrière s I, 332, 334-335 , 422-423, 427, 429; II, 273, 292, 302, 345-34 6 Lusanger (Loire-Atlantique , F) , condi u I, 103104.- Vicaria I, 104

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Index

Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône , F ) I, 198, 212 , 219, 323 , 325-326, 333 ; II, 8, 67, 276, 320-321, 372, 375-377 , 379-380 , 385 , 390-391 , 393 , 410 , 415-416.- Abbés, voir Anségise, Colomban, Eustase, Walbert Luynes, voir Maill é Luzarches (Val-d'Oise, F) , palais 1,135,385-386, 397 Lyon (Rhône , F ) I, 65, 346 ; II, 320-321.- Évêques, voi r Ag(o)baodus , Eucherius , Genesius , Lambertus Lyonnaise, province(s ) romaine(s) , p . ecclésiasti que^): II e « Lyonnaise I, 129, 131 , 133 , 136 139; II, 473; voir Rouen. - IIP ™ Lyonnaise I, 129, 131 , 133-134 , 136 , 139 ; voir Tours. - IV 6™ Lyonnaise I, 129, 134 , 136-137 , 139 ; voir Sen s Lys, affluen t d e l'Escaut I, 395-396 Maastricht (NL ) I, 405-406.- Évêque, voi r Land(e)bertus Macerias, voi r Le s Mazoires , Mézières-en-Vexin , Mézières-sur-Seine Machy, Machie l (Somme , F) , Nialcha II, 146 maçonnerie, techniqu e d e la m. II, 157, 17 4 Macq, affluen t d e la Ly s I, 396 Madalberta, nonne , scrib e II, 313, 411 Madelandus, siniscalcus I, 209, 258 Mad(h)elgaudus, comt e de Beauvais (?), missus I, 258 Mad(e)lulfus, grafio , domesticu s I, 259 Madrie, pagus (Méresais) I, 43,137, 263-264,53 7 Magamfredus, Maganfredus, Magenfridus, Megenfridus, arcarius , dispensator thesaurorum regaHs palatii 1,258 Maganarius, Magenharius, Meginharius , comt e d e Sens, du x Austriae, arcariu s I, 259 Maginarius, abb é de Saint-Deni s I, 331 Maginarius, comt e d e Sens I, 259 Magnecarius, optema s I, 259 Magnericus, êvequ e d e Trier II, 62-63, 66 Magnoaldus, abb é de Tussonevalle II, 118-119 MaUlé, aujourd'hui Luyne s (Indre-et-Loire, F), vicaria I, 112-114 Maine, pagus, duché, voir L e Mans Maine, rivière, affluen t d e l a Loire I, 33.- Petite Maine, affluen t d e la Sèvre nantaise I, 68-69 Mainville-la-JeuHn (Eure-et-Loir , F ) I, 38 Mainz (Rheinland-Pfalz , D) 1,544-545,554; II, 68, 264. - St-Alban II, 181, 18 3 (fig. 28).- Évêque, voir Bonifac e maior domus I, 141, 217-229, 273, 485 maison, voi r constructio n Maisons-sur-Seine I, 508, 510, 518, 521 Malardus, évêqu e d e Chartre s I, 150-151 Màlay-le-Petit, voi r synode s maUus I, 157, 586, 588 , 59 2

mancipium I, 295, 297-299, 306 , 312 manopera I, 507 Mans, Le (Sarthe, F) I, 8, 30,39,41-43,56,66-67 , 71, 73 , 77-80 , 146-147 , 149-152 , 156 , 161-193 , 232, 235 , 244, 251-253, 255 , 263, 369, 384, 537, 552, 572 , 576 , 580 ; II, 11, 284 , 290 , 304 , 461462.- Cité, diocèse, pagus (Maine), duché 1,2931,33,40,42-46,55-56, 58-59,61,63,67 , 77-80 , 82-83, 99-102, 132,134,137-138 , 149 , 524, 527528, 532-533, 537, 544, 554.- Comtes, voir Gui, Hrotgarius, Hugue s Ier, Roger, Rorgon. - Ducs , voir Radbert (?), Roger.- Évêques 1,82 ; évêques nommément désignés, voir AigHbert, Aldric, Badegisel, Beraire Ier, Beraire II, Bertrand, Domnolus, Franco Ier, Franco II, Gauziolenus, Hadoin, Herlemond, Innocent , Mérole , Turibe. - Église s et monastères : Cathédral e I, 79; St-Aubin I, 60; St-Martin I, 369; St-Ouen I, 60; St-Vincent I, 56, 60.- Voir Actus Cenomanensium mansus, mansellus 1,136, 289-297, 467-503 , 508511,591 ; m. absus 1,296; m. ad ipsum aspicientes I, 591; m. indominicatu s I, 591; m. lidili s I, 593; m. paraveradoru m I, 480; m. serviH s 1,476,480-481,486-487.- Voir fisc, terra dominicale Mantes-la-JoHe (Yvelines , F ) I, 376, 39 6 manuscrits II, 299, 301. - École franco-saxon ne II, 300-304.- École d'Ad a II, 398.- Style franco-saxon II, 430.- Style »nord-ostfràn kisch« II, 406.- Voir Angers , Cambrai , Vitruv e Mappae clavicul a I, 398 Mappinius, évêqu e d e Reims II, 62-63 marbre II, 209-212, 213 (fig. 3) Marca, voir Marques (Seine-Maritime, F), Marques (Somme, F ) marchands, mercatores , négotiatore s I, 417, 422424, 430-439.- Voir commerc e marchés I, 154-155 Marcilly (Seine-et-Marne , F) , NartiHaco II, 146 Marculf, voir formulaire s Marescana, centen a I, 95 MareuÜ (Loir-et-Cher, F), monastère 1,326.- Abbesse, voir Bertila Marie, sainte , mèr e d e Jésus II, 280 (fig. 17), 359 Marileif, médeci n d e Chilpéric Ier I , 371-372 Marmoutier (Indre-et-Loire, F) , monastère I, 5859, 69-70,136,195, 207 , 318, 374, 332, 334; II, 248.- Abbés, voir Adalard (abbé laïc), Rainaldus, Ragenaldus, Theoto, Vivianu s Marne, rivière, affluent de la Seine 1,136,195,207, 374 MaroiUes (Nord, F ) II, 91, 279 Marques (Seine-Maritime, F) , Marca II, 145 Marques (Somme , F) , Marc a II, 145 marquis I, 64, 66, 68 , 75

Index Marseille (Bouches-du-Rhône, F ) I, 346, 358 , 542.-St-Victor II, 212, 216.-Port, douane II, 90-91.- Évêque, voir Théodor e Marso, come s palati i I, 259 Martinus Ier, pape I, 209 Martinus, évêque de Tours 1,541 ; II, 58,66,276, 453-461 Martinus Scotus , théologie n II, 304 martyrologe II, 365-367 Martyrologium Hieronymianu m II, 365-366 martyrs II, 353.- Triomphe de s m. II, 352, 361 Marus, évêqu e de Trier II, 61-62 mascaret I, 422 Masciaco, voir Messie , Mess y Maternus, évêqu e de Trier (?) II, 70 Matfridus, comt e d'Orléan s I, 50, 57, 59 , 76 Mathilde de Flandre, épouse de Guillaume, duc de Normandie I, 95 Matmonoc, abb é de Landévenne c I, 48 matrona inluster I, 277, 282.- Voir Ercambertana Matthäus, Matthieu, évangéHst e II, 295-296 Mauges, pagus I, 69 Mauldre, affluen t d e la Seine I, 376 Maule (Yvelines , F ) I, 508, 510 , 514 , 516 , 518 , 521; 11,24 0 Maurdramnus, abb é d e Corbi e II, 301, 315-316 , 329, 342-343 , 403 Mauricius, marty r I, 541 Mauricius, évêqu e d e Trier II, 59, 61, 65 Maurilio, domesticu s I, 259 MauriHo, sacebar o I, 259 Maurontisclusa (su r la Sensée) I, 395 Maurontus, abb é de Breui l I, 326 Maurontus, notarius d e Clovi s II I , 259 Mauve, rivière I, 372 Maximianus, évêqu e d e Trier II, 61, 65 Maximinus, évêqu e d e Trier II, 54-57, 61 Mayenne, rivière I, 76 Mazé (Maine-et-Loire , F) , condita I, 91 Mazoires, Le s (Saône-et-Loire , F) , Maceria s II, 145 Meaux (Seine-et-Marne , F) , cité , diocèse , pagu s (Meldois) I, 4-5, 7 , 10 , 134 , 198 , 206, 234, 237, 249, 252 , 536 ; II, 327, 411-412. - Comte, voi r Gauzohelmus.- Évêques , voi r Burgundofaro , Faro, Gondoal d Medardus, évêqu e d e Noyon , d e Soisson s e t d e Vermand II, 16, 66, 226, 35 4 médiatisation d u comte I, 149-150 Meersen (NL) , trait é d e II, 70 Melay (Maine-et-Loire , F ) II, 244, 245 (fig. 16) Mélesse (IUe-et-Vilaine , F ) I, 36 Melle (Deux-Sèvres, F ) I, 65 Melun (Seine-et-Marne, F) 1,4,134,137,245,260, 572; II, 7.- Comtes, voir Hildebrandus, Neve longus

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Membrolle-sur-ChoisiUe, L a (Indre-et-Loire , F) , vicaria I, 112 Ménéac (Morbihan , F) , vicaria I, 69 mense conventuell e I, 443, 456 Mer du Nor d I, 405-440; II, 460 Mercie, Merci a (GB ) I, 429-430; II, 430.- Roi, voir Off a Méresais, pagus I, 137.- Voir Madri e Mérey (Eure , F ) 1,572 Merolus, évêqu e d u Man s I, 100, 18 4 Meroveus, fil s d e Chilpéri c Ier II , 3 Mérovingiens, dynastie, famiUe des M. I, 25,135136; 11,61-6 3 Messac (Ille-et-Vilaine , F ) I, 68 Messie (Oise , F) , Masciaco II, 146 Messy (Seine-et-Marne , F) , Masciaco II, 146 mesures I, 154, 35 0 ss. méuux, commerc e de s m. I, 414, 427, 433 métope d e terre-cuit e II, 245 (et fig . 16) métrologie I, 399.- Voir ansänge, bunuarius, jour nal, muid, perche , sestré e Metz (Moselle , F ) I, 2, 13 , 536, 552; II, 17, 70. Évêques, archevêques, voir Adventius, Arnulfus, Chrodegangus, Clodulfus , Drogo. - Église s e t monastères: Cathédral e II, 366; St-Pierre au x Nonnains II, 216; St-Arnoul I, 547.- Voir synodes Meung-sur-Loire (Loiret , F) , St-Pierr e I, 372.Vicaria I, 104-105.- Carte I, 372 (fig. 2) Meuvy-en-Champagne (Sarthe , F), condita 1,101 Mézières-en-Vexin (Eure , F), Macerias II, 145 Mézières-sur-Seine (YveHnes , F) , Maceria s II, 145 Michael, archange II, 295 Michael II, empereur II, 277 Mico, abb é de Saint-Aman d II, 303 Micy (Loiret, F), St-Mesmin, monastère 1,64; II, 302 Mienne-Marboué (Eure-et-Loir , F) , villa II, 210, 221, 24 8 Milano (I), St-Ambroise II, 292.- Évêque, voi r Ambroise Miletus, évêqu e d e Trier II, 61 miHtia épiscopale I, 153; m. Christi II, 353 Milo, évêque de Reims et de Trier 1,151, 329; II, 64 Milo, fideli s d e Pépi n 1,259 ministerialis I, 155, 241, 259 minuscule, voi r écriture s Miracula Niniae II, 402 Missale Francoru m II, 411 Missale GalHcanu m II, 411 mission II, 59-60 missus, missi 1,52-53,56,75,78,83,148,156,198, 231-268, 292 , 300 , 304, 547 , 566 , 569 , 572-577 , 579-581.- Missatica I, 567-568, 572-574 , 580 -

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Index

581; II, 68.- Tribunal missa-tiqu e I, 157.Voir Commemoratio m . data , nuntiu s mobiHer funéraire II, 24,459,461,468; m. Hturgique 11,216 Moda, épous e d'Authar i I, 199 Modeg(h)iselus, come s I, 260 Modegisilus, comte d e Nantes I, 260 Modestus, évêqu e de Trier II, 61 modulons II, 243 modius (muid ) I, 391, 399 Modoaldus, évêqu e d e Trier II, 63-64, 66-6 7 Modolenus, centenariu s I, 260 Mohan (Morbihan , F) , vicaria I, 89 Moinville-le-Bourreau (Eure-et-Loir , F ) I, 38 Moinville-la-Jeulin (Eure-et-Loir , F ) I, 38 Molac (Morbihan , F ) I, 78.- Condita I, 115.Conditaplebs I, 84, 11 5 Mombolus, discipl e d e Furs y I, 325 monachisme 1,197, 205; m. bénédictin II, 67; m. de Colomba n I, 204-205, 216 ; II, 67; m. di t »iro-fränkisch« I, 204, 206-208, 210; m. dans la vallée du Rhôn e II, 65.- »République de s moines« I, 331.- Voir règle s monastique s monarchia regni , voir regnu m Monceau-le-Neuf (Aisne , F ) II, 235 Monceau-le-Vieux (Aisne , F ) II, 235 Moncontour (Vienne , F ) I, 544 Mondevüle, voir Saint-Martin-de-Mondevill e Mondsee (A) , monastère II, 314 Monnaie (Indre-et-Loire , F) , vicaria I, 112 monnaie, monnayag e I, 151, 405-406 , 412 , 414 415,419,432,434,436-439; m. carolingienne II, 41-42; m. épiscopa l I, 151; réforme d e m . I, 349 ss.; trésors I, 65, 12 2 monothéletisme I, 209 Mont-Blandin, monastère , voir Gent Mont-Saint-Michel (Manche , F), monastère I, 76, 78, 406; II, 313, 471, 473-474 Montargis (Loiret, F) II, 233.- Musée Girodet II, 233 (fig. 6) Monte Cassin o (I), monastère I, 333 Montgermont (Ille-et-Vilaine , F ) I, 36 Montier-en-Der (Haute-Marne , F) , monastèr e I, 358-359 MontivilHers (Seine-Maritime , F) , monastèr e I, 208 -209 , 32 4 Montlouis-sur-Loire (Indre-et-Loire , F) , condi ta I, 112.-Vicaria I, 112-113 Montmacq (Oise , F) , palais I, 135 Montréal (Gers, F), villa romaine II, 165 (fig. 12), 166 Montreuil-sur-Mer (Pas-de-Calais , F) 1,417,427, 439 montures I, 32, 34, 77-7 8 Morek (Flandr e orientale, B) , fisc I, 132 Morienval (Oise , F ) 11,279

Morsang-sur-Seine I, 508, 510 , 514 , 516 Mortagne-au-Perche (Orne , F ) I, 83.- Voir Corban Mortain (Manche, F) II, 298.- Coffret d e Mortain II, 295-296 mosaïques II, 212, 214 (fig. 5), 222 (fig. 12) Moselle, rivière II, 398-399 Mougyon (Indre-et-Loire , F) , vicari a I, 86, 112 113 moulins I, 344; m. à eau I, 367-404 Mours, cella d e Saint-Deni s II, 107-109 Moutier-Grandval (CH) , monastèr e I, 542 Muid (Loiret , F) , vicaria I, 105 muid, voir métrologi e Mulcien, pagu s I, 137.- Voir Meau x Mummolenus, évêqu e d e Noyo n I, 325, 32 7 Mummolus, come s I, 234, 260 Murman, re x Brittanorum I, 52, 7 5 Namatius, évêqu e d'Orléans I, 34 Nanterre (Hauts-de-Seine , F ) II, 227 Nantes (Loire-Atlantique, F ) I, 5, 8-9, 32, 36, 39, 47, 52 , 68-69 , 72-74 , 77, 85 , 146 , 150 , 152 , 155, 158, 258, 260 , 262, 412, 422, 431, 434, 552 ; II, 210,212,214,216,218,231,241,248,251.- Cité, diocèse, pagus (Nantais) I, 32,51-52,57,61,63, 66-69, 71 , 73-74, 76-77, 82-83, 85,103-104,134, 136,138.- Comtes I, 74,76,82 ; comtes nommément cités , voi r Amalricus , Agatheus , Hervé , Lambert Ier, Lambert H, Landbertus, Modegisilus, Rainaldus , Ricouin. - Évêques , voir Actard , Agatheus, Amito , Burgundio , Eumerius , Felix , Foucher, Nonnichus , Nunechius. - Églises : Ca thédrale II,214(fig.4);St-Simihe n II,219(fig . 9 et 10).- Musée Thomas Dobrée et Musée d'Archéologie II, 212, 214 (fig. 4), 219 (fig. 9 et 10) Nanteuil-le-Haudouin (Oise , F ) I, 135 Nandharius, abb é d e Saint-Bertin II, 317 Nantharius, vassus dominicu s I, 260 Nantharius, régisseu r d u fisc d e Francfort I, 76 Nanthildis, reine , épous e d e Dagobert Ier I , 4, 213; 11,82,289,38 1 narthex II, 159, 166 , 16 9 NartiHaco, voir Marcilly, Natizy , Saint-Saturni n Natizy (Seine-et-Marne , F) , NartiHaco II, 146 Naveil (Loir-et-Cher , F) , condit a I, 117 navigation II, 210.- Voir bateau x Neaufles-Saint-Martin (Eure , F), Nialcha II, 146 nécrologe II, 365 nécropoles II, 23 ss. nef transversal e II, 153, 169-170 , 174-175 , 17 7 Néry (Oise , F) , bataill e (a. 719) I, 41, 535 Neuf château (Luxembourg, B ) I, 13 Neustrie, regnu m I, 199-200, 204 , 207-208 , 210 211, 216 , 527-528 , 530 , 533 , 535-563 , 566 , 568 , 575; 11,63,46 1

Index Neuville-Garnier (Oise, F) , Villanova II, 148 Neuville-sur-Sarthe (Sarthe , F ) I, 79 Neuvy-au-Houlme (Orne, F), centaine I, 35, 98 Neuvy-la-Champagne (Sarthe , F), condita I, 101 Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire, F), vicaria I, 114 Nevers (Nièvre, F ) I, 64, 421-422 , 431 , 434 , 542; 11,230-23 1 Newcasde(GB) 11,23 7 Nialcha, voir Machiel/Machy, Neaufles-Saint Martin Nibelungus, Nevelongus , come s d e Melu n (? ) I, 235, 253 , 260 Nibulfus, fideH s de Pépin III I , 260 Nicetius, évêque de Trier II, 62-63, 65-6 6 Nijmegen (NL ) I, 51, 546, 550, 552, 554 Nîmes, voi r synode s Nithadus, fideli s d e Pépin III I , 260 Nithardus, comes , abbé de Saint-Riquier, historien 1,241,260,422 Nivelles (Brabant, B), Ste-Gertrude, monastère I, 25; II, 187, 385-388 , 420. - Abbesse , voir Gertrudis Niventis, voir Nogent-le-Sec, Nojeon-en-Vexi n noblesse I, 207, 217-219, 223, 226-228, 574; n. de la cou r (Neustrie-Bourgogne) I, 208-209; n . sénatoriale II, 66-67; opposition de la n . e n Austrasie I, 199 ; »Sendungsbewußtsein « I, 207.- Voir aristocratie, optimates, procer(es ) Nogent (Val-d'Oise , F) , palai s I, 135, 508 , 510 511,516,518 Nogent-le-Phaye (Eure-et-Loir , F) , fisc I, 37 Nogent-le-Sec (Eure , F) , Niventis II, 146 Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne , F) , palai s I, 135 Noirmoutier (Vendée , F) , St-PhiHbert , monastèr e I, 64, 68, 70, 81,211, 214,324,430-431.- Abbés, voir Philibert , Hilbo d Nojeon-en-Vexin (Eure , F), Niventis II, 146 Nomedius, abbé de St-Médard de Soissons II, 314, 321 Nominoé, missu s d e l'empereur Loui s le Pieux en Bretagne, duc des Bretons I, 6, 8, 52-54, 57-58, 61-62, 66-69 , 71-74 , 77-78 , 55 4 Nonnechius Ier, évêque d e Nantes I, 146 Nonnechius II, évêque d e Nantes I, 146 Norboldus, jug e I, 260 Nordebercthus, Nordobercthus, optemas, référendaire I, 234-236, 245 , 251, 260 Normandie II, 460-461,473-474.- Duc, voir Rollo Normands, Scandinaves , Vikings I, 65-66, 68-70, 77, 81, 85, 122,137-138 , 383, 423, 434, 436, 439, 547, 556-557 , 571 , 575; II, 19, 50-51, 471 Noron-FAbbaye (Calvados, F), centaine (?) 1,106 Northumberland (GB ) I, 429-430; II, 401, 425, 430.- Roi, voi r Oswald Nortrinsis, centen a I, 37, 10 6

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notarius, notair e I, 241, 259, 586 , 590, 59 2 notitia I, 589-590, 59 2 Notitia GalHaru m II, 68 Notker le Bègue , moine d e Sankt Gallen II, 471 Nouvion (Somme , F ) I, 409; II, 241 Novalèze (I) I , 542 Novempopulana, provinc e romain e I, 207 Noyon (Oise , F) , cité , diocèse , pagu s (Noyon nais) I, 7, 13 , 130 , 146 , 153-154 , 158-159 , 242, 325, 327, 543, 545, 552, 574; II, 299.- Évêques, voir Acharius, EHgius, Medardus, MummoHnu s Nully (Haute-Marne, F) 1,508-510,514,516,518, 520 Numerianus, évêque d e Trier II, 64, 67 Nuno, comt e d'Anjo u I, 35, 76 , 260-26 1 nuntius I, 202, 241, 259.- Voir aussi missu s Nürnberg (Bayern , D) II, 263 obole 11,452 Octave Auguste , empereu r romai n II*, 355 Od-, voir auss i AudOdÜo, duc d e Bavière I, 536 Ödland, abbé de Saint-Bertin I, 389-390, 39 7 Odo-, voi r auss i UodoOdo, Eudes, abbé de Corbie, puis évêque de Beauvais II, 346 Odo, Eudes, fils de Rothlindis, évêque de Chartres II, 263 Odo, Eudes , abb é de Glanfeui l II, 471 Odo, Eudes, ro i I, 93; II, 272, 276 Odo, Eudes , comt e d'Anjo u e t abb é laï c d e St Aubin d'Anger s I, 73 Odo Ier, Eudes, comte de Blois et de Tours 1,110 Odo, Eudes , comte d'Orléan s I, 50, 57-5 8 Odorricus, vassus dominicus I, 261 Odulfus, voi r Audulfu s Oeren, voi r Trier Offa, roi de Mercie 1,331,333,428,430,434; II, 430 Ogmirus, come s I, 261 Oise, rivièr e I, 30, 132 , 136 , 140 , 394-39 5 Oizé (Sarthe , F) , condita I, 99, 10 1 Orner, évêqu e d e Thérouanne, voi r Audomaru s Ommatius, évêqu e d e Tours I, 145 Oneux (Somme , F) , éghse II, 196 opéra I, 275 (carraria), 286, 294-295 , 299 , 30 2 (légitima), 304 (publica ) oppidum I, 39, 49, 73 , 77, 10 5 optemas, optemates 1,244, 247, 250-251,259-260, 263-264, 266; o. aulae I, 198, 201'.- Voir aristocratie, noblesse, procer(es ) oratio pr o re publica II, 358 Orcellensis, vicari a I, 105 Ordericus VitaH s II, 10 orfèvrerie 11,259-292

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Index

Orge, rivière I, 511, 521 Origenes II, 418 Orléans (Loiret , F) , cité , diocèse , pagu s (Orléan nais) 1,3-4,9-10,18,45-46,50-51,58,63,65,104106, 134-135 , 137 , 139-140 , 151 , 154-155 , 158 , 266, 405 , 422 , 434-435 , 536 , 537 , 542-543 , 547 , 552-553; II, 221, 231 , 243-244 , 253-254 , 256 , 275, 287 , 301-302, 359 , 464.- Quinte d;Orléans , vicaria I, 104, 106. - Palais I, 135.- Éghses e t monastères: St-Aignan II, 389; Ste-Croix II, 221-222 (fig. 12). - Orléans-Bourgogne, regnu m II, 63.- Évêques, voir Eucherius, Euverte, Jonas, Leodebertus, Namatius, Savaricus, Theodulfus.Comtes, voi r Odo , Matfrid , Uodo. - Musé e historique e t archéologiqu e d e l'Orléanai s II, 255 (fig. 23), 256 (fig. 24-25 Orville (Pas-de-Calais , F) , palais I, 135 Osbertus, missu s I, 83 ostiarius I, 239-240, 249 , 26 2 Oswald, roi d e Northumberland II, 409 Otlinga Saxonia , comté I, 34, 37, 80, 82, 106, 13 7 ouare, a u sen s d e »célébre r pubHquemen t par une ovation« II, 360 Ouchamps (Loir-et-Cher , F) , centaine I, 83, 93 Oust, rivièr e I, 32 Oust-Marest (Somme , F), Agusta II, 140 Ovon, moin e d e Saint-Wandrille, scrib e II, 314 Oxford (GB) , Bodieia n Librar y II, 276, 278-27 9

82.-Évêché II, 80-81,112.-Évêques 11,78-81, 97,102-103,117-118; évêques nommément cités, voir Agilbert , Amelius , Chrodbert , Denis , Er chenrad Ier, Erchinrad, Gaucelin, Germain, Hugo, Landry , Sigebrand , Sigobrand , Turnoald.Comtes 11,88,90,93,118; comtes nommément, voir Bigo, Gaerinus, Gerardus, Grifo, Grimoald, Ingobertus, Nummolus , Stephanus. - ÉgHse s e t monastères: Cathédrale St-Étienn e I, 286, 541, 553; II, 47, 159 , 16 4 (fig. 10), 226 , 286 ; StsApôtres II, 23; Ste-Croix-et-St-Vincent, voi r St-Germain-des-Prés; Ste-Genevièv e II, 23, 228,230 (et fig. 3), 232,243,249,251 ; St-Germain l'Auxerrois II, 46, 23 2 (fig. 5); St-Germain-leVieux II, 46-47; St-Gervais I, 286; II, 232, 234, 286 ; St-JuHen-le-Pauvre II, 227; St-Laurent II, 227; St-Marcel II, 227-228, 230 , 232 , 235 (et fig . 8); St-Martin-des-Champs II, 286; St-Maurice 1,541 ; St-Pierre de Montmartre II, 232, 234, 243, 245-246 (et fig. 17), 248, 257; StSéverin II, 234 (et fig . 7); St-Victor II, 239.BibHothèque national e II, 262, 26 8 (et fig . 8), 269 (fig. 9), 271 (et fig. 11), 273, 280-281 (et fig. 17), 291 (et fig. 24). - Musée Carnavalet II, 229 (fig. 1-2), 23 5 (fig. 8).- Musée d e l'Hôte l d e Cluny II, 159,165 (fig. 11), 210,211 (fig. 1),23 2 (fig. 5), 23 4 (fig. 7).- Musée du Louvr e II, 249 (fig. 19), 27 1 (et fig . 10), 28 3 (et fig . 19).- Voir Saint-Germain-des-Prés, synode s

Pactum Hludowici cum Paschal i pontifice (a . 817) 1,56 7 Paderborn (Nordrhein-Westfalen, D) 1,546,552.Cathédrale II, 177, 181 , 183 pagenses 1,148,287-288,297,300-306,318.- Voir pagus pagus I, 287, 289, 293, 300 , 304; pagus minor I, 84, 87 , 97 , 100-102 , 105-108. - Voir comes , co mitatus, pagense s palais 1,129-133,135,138-141; p. ruraux 1,131132; p. urbain s I, 131; »Pfalzenforschung « I, 129 Palaiseau (Essonne, F), fisc, palais, villa 1,135,374, 380, 383 , 508 , 510, 514 , 516 , 518 palinodie tragiqu e II, 357 Pancé (Ille-et-Vilaine , F) , vicaria I, 107 panégyrique II, 349, 356 , 35 8 panneau d e plâtre II, 229 (fig. 1) paravereda I, 288, 302, 30 4 Paris (F), civitas, cité, comté, diocèse, évêché, pagus (Parisis) I, 4, 7 , 9-10 , 13 , 18 , 45-46, 49-51 , 81 , 132, 134 , 136-137 , 140 , 146 , 152-154 , 158 , 204 , 216, 234 , 236-237 , 243-244 , 248-251 , 257-258 , 260, 264 , 329 , 417, 420, 423, 434-436, 439 , 505522, 536 , 543 , 547 , 552-554 , 567 , 569 , 572 , 575; II, 17, 45-51 , 78-80 , 82 , 88 , 90 , 112 , 320, 406,412,432.-Palais 1,135.-Sedes regia 11,81 -

parodie, d u carme n triumphale II, 350 pars, porci o I, 274-275, 277-27 8 partages du royaume, voir divisi o parure, objet s d e p . II, 28 Paschasius Radbertus , abb é d e Corbie , théologie n 1,335; 11,304,344-34 7 pascuarium I, 286, 290, 29 5 pastio I, 507 patène II, 271 (fig. 10) Patricius, apôtr e d e l'Irland e II, 387 Patricliacus (Avranchin , F ) I, 79 patronus I, 209 Paulinus, évêqu e d e Nola II, 401 Paulinus, évêqu e d e Trier II, 57, 61 Paulus Ier, pape II, 18 Paulus, diaconus II, 403 Paulus, ermite I, 214 Paulus, comes e n Gaule II, 63 Pavia(I) 1,546 Pavilly (Seine-Maritime , F) , monastèr e I, 208, 324; 11, 9 pax unita I, 216 pêche, pêcherie s I, 410-411, 437 pecuHaris I, 291 peinture mural e II, 159 Pelagius, théologien II, 400; pélagianisme II, 59 pèlerins I, 428, 43 0

Index Pellevoisin (Indre, F ) II, 244 pénitence I, 205-206 Pental (Loire-Atlantique, F ) II, 212 Pépin, voir Pippinu s peraequatio 1,294,296-297 Perche, comt é I, 77, 368-369 , 371 , 373, 383 perche, voi r métrologi e peregrinatio I, 205-206 Périgueux I, 544 Péronne (Somme , F) , monastèr e I, 324; II, 298, 339, 382 , 385-388, 408 , 413.- Abbé, voir Ulta n persolvere, voi r solver e Perveus, vicaria I, 105 Petit-Musée, L e (Oise, F) , Pittitovillare II, 147 petitio II, 125 ss. Pétronius, écrivai n latin II, 402 Pfalzel (Rheinland-Pfalz, D), monastèr e II, 67, 415.- Abbesse, voir Adel a phare I, 414 PhiHbertus, Fikbert, abbé de Jumièges 1,200,207, 211, 213 , 324, 326, 328 ; II, 9, 189 , 298, 308 PhiHppus, presbyter II, 400, 404, 41 6 Pictus, voi r Pître s pierre, voir constructio n Pierre, apôtr e II, 355 pietas I, 196 Pieux, Le s (Manche , F ) I, 95 Pippinus, Pépin Ier, roi d'Aquitaine I, 7-8, 45, 5051, 55-56 , 58 , 60, 63, 77, 360 , 567 Pippinus, Pépi n II, roi d'Aquitain e I, 63, 66, 69, 82, 57 1 Pippinus, Pépin , ro i d'ItaH e I, 567-568; II, 355356, 36 2 Pippinus, Pépi n II, dit de Herstal, mair e du palais I, 4, 8-9,41, 82,141,152-153, 215, 220, 222-228, 274, 330 , 535; II, 8, 16-17 , 90-91 , 114 , 422 Pippinus, Pépin III, dit le Bref, maire du palais, puis roi I, 5, 8,10,13,42-43,153,227,277, 331-332 , 348, 356 , 424 , 435 , 536-545 , 550 , 568-570 ; II, 17-18, 93, 125-130 , 134-149 , 152 , 177, 180 , 184, 197, 226, 265, 300, 327 , 41 4 Pippinus, comes , san s dout e d e Beauvais I, 261 Pipriac (Ille-et- Vüaine, F), vicaria I, 89 Pisciaco, voir Piss y Pissy (Somme , F), Pisciaco II, 146 Pithiviers (Loiret , F) , vicaria I, 106 Pîtres (Eure , F) , Pictu s II, 146.- Édit d e P . (a . 864) I, 79, 81 , 288 , 349 , 351 , 353 , 355 , 361 , 419; 11,18-1 9 Pittitovillare, voi r L e Petit-Muss e Placet (Ille-et-Vilaine , F ) I, 62.- Condita pleb s I, 84, 11 5 placitum I, 566, 568, 572 Plaisir, monastèr e II, 112 plaques-boucles, boucles, garniture de ceinture II, 24 (fig. 2), 25-26,27 (fig. 4-6), 28,29-30 (fig. 7-11)

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plâtre 11,212 Plectrudis, épous e d e Pépi n III, 224, 53 5 Plélan-le-Grand (Ille-et-Vilaine , F) , vicaria I, 89 Pleucadeuc (Morbihan , F) , condi u pleb s I, 84, 114-116 Plinius, poète lati n II, 401 Plonéour-Lanvern (Finistère , F), vicaria I, 94 Plozévet (Finistère , F) , vicaria I, 94 Pocio, voir Labosse , L a Bosse (Eure , F), La Bosse (Seine-Maritime, F ) poids I, 350 ss. point d'interrogatio n II, 313, 317 Poissy (Yvelines , F) I, 572 Poitiers (Vienne , F) , cité , diocèse , pagu s (Poitou ) I, 31, 33-34 , 63 , 69 , 84 , 86 , 109-110 , 213 , 542 ; II, 57, 217 , 221. - Comtes, voi r Bernard , Ran noux Ier; comtesse, voi r Emma . - Évêque, voi r Ansoaldus, Didon, Ebroïn, Hilaire, Venace Fortunat.- Ste-Radegonde , monastèr e I, 50, 527. Hypogée de s Dune s II, 216, 217 (fig. 7), 221 polygone II, 167, 169-17 0 polyptyque I, 285, 292, 350 ss„ 357 ss., 441-465, 467-503, 59 2 Polyptyque d'Irmino n 1,285,292,424; 11,303 ; voir aussi Irmin o pompa triumphali s II, 349 Pompeius Trojus , poète lati n H , 401 Pont-Audemer (Eure , F ) I, 382-383 Pont-de-Ruan (Indre-et-Loire , F) , vicaria I, 114 Ponthieu, pagus I, 245, 252, 414, 439.- Duc, voi r Deochtricus, Haim o Ponthion (Marne , F) , palais I, 544, 56 8 Pontigné (Maine-et-Loire , F ) I, 57 Pontlevoy (Loir-et-Cher , F), condita 1,93.- Vicaria I, 93 porcio, voir pars Porhoët, pagu s I, 49, 55-56, 78 , 81 , 83, 88.- Voir Alet.- Comte , voi r Rorgo n Porphyre, philosoph e II, 401 Port-Bail (Cotentin , F ) 1,411 poruil II, 174 portio villae I, 591 Portitoe, vassu s dominicu s I, 79 portus II, 436 possessio I, 592.- Voir villa possessores I, 285 Potentinus, Abbas , discipl e d e s . Colomba n II, 472 potestas I, 151.-Voir évêque s praedium, voi r villa praefatio I, 204 praefectus, préfe t d'un e march e I, 46-47, 50-53 , 55, 74-75 ; p. d'u n regnu m I, 46, 53-5 4 Praetextatus, évêqu e d e Roue n 1,147, 21 2 Praxedis, saint e II, 420 precaria II, 89-90; p. verbo régis I, 183

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Index

presbytère II, 460 Preuilly-sur-Claise (Indre-et-Loire , F ) I, 81 Primasius, évêqu e d'Adrumèt e II, 421 Prime, offic e d e II, 365, 368 principatus I, 150 Pripiac (Ille-et-Vilaine , F) , vicaria I, 89 PriscilHanus, évêqu e d'Avil a II, 58 privilèges d e douane s I, 355 ss..- Voi r élections , immunité Priziac (Morbihan , F) I, 48 procer(es) palati i I, 206; p. regn i I, 198, 200. Voir aristocratie , noblesse , optima s procession de s rameau x II, 359, 361 Proculus, évêqu e d e Tours I, 145 proprietas I, 592 prosolvere, voi r solver e Protadius, mair e d u palais I, 217 Protasius, martyr, compagno n d e Gervais II, 14 protection royal e I, 153, 158 Provence I, 536-537, 56 8 Proville (Nord , F ) II, 436 province: p . ecclésiastiqu e I, 134-137, 139 ; p. royale I, 142 Provincia I, 568 Provins (Seine-et-Marne , F ) I, 572 Prudentius II, 352-356, 36 1 Prüm (Rheinland-Pfalz, D), St-Sauveur, monastère I, 82, 91, 138, 506, 541-542; II, 67.- Abbé, voir Regino Pseudo-Anatolius II, 402 Pseudo-Dositheus II, 400 Pseudo-Isidorus II, 68-69, 71 Ptolémées, Coupe dite des II, 271-272 (fig. 11-12) publicus I, 281-282, 284-285, 289 , 299, 301 , 318 Pugnitus, prêtre d u monastère d e St-Deni s I, 57 Pyrénées II, 210 Quasnacinsis, condit a I, 95-96 Quentovic (Pas-de-Calais, F), près d'Amiens, port, I, 65-66, 405 , 412-417 , 41 8 (et fig . 3), 419-421, 426-430, 432-436 , 437 (et fig. 5), 438-439, 57 5 Quierzy (Aisne, F), palais 1,44,49,62, 75,81,133 , 135, 536, 541, 545-546, 550, 552-553, 557, 567. Voir capitulaire s Quillebeuf-sur-Seine (Eure , F ) I, 508, 510-511 , 516, 51 8 Quimper (Finistère, F), diocèse 1,134, 552. - Évêque, voi r FéHx Quinçay (Côte-d'Or , F ) I, 324 (H)rabanus Maurus, abbé de Fulda 1,332 ; 11,47 1 Radbaldus, sacebar o I, 261 Rad(o)bertus, maire du palais en Bourgogne (?) I, 199, 209 , 220-22 1 Rad(o)bertus, du x I, 40, 168 , 21 3 Radbertus, come s palati i I, 261

Radbertus, come s I, 261 Radbodus, archevêque de Trier 1,151 ; II, 68,7071, 27 3 Ratgarius, abb é d e Fulda II, 177 Radegundis, reine , épous e d e Clotair e Ier I , 524 Ratharius, Rathier , comt e d e Roue n I, 261, 277 , 283, 33 0 Rathramnus, théologien à Corbie II, 304, 345-346 Rado, abb é de St-Vaas t d'Arra s I, 332 Rado, maio r domu s e n Austrasi e I, 199 Rado, frèr e d'Audoi n I, 198, 209 Rado, référendaire , evt . identiqu e à Rado , frèr e d'Audoin I, 261 Radulfus, comt e d e Roue n I, 210, 261 , 273 Radulfus, come s I, 261 Radulfus, vassu s dominicu s I, 262 Rag(e)neberta, nièc e d e l a reine Nanthilde I, 213 Rag(e)nebertus, nobih s I, 213 Ragnobertus, fil s d e Radobert , mair e d u palai s I, 221 Ragenfredus, Raginfredus , abb é de Saint-Wandril le, archevêqu e d e Roue n 1,330; 11,1 7 Raganfredus, Rainfroi , mair e d u palai s I, 10, 13 , 41, 42 , 222, 226, 228, 262, 327-328; II, 91 Raganardus, diacre de St-Martin d e Tours 1,112113 Ragenardus, scrib e II, 314 Ra(g)inarius, Regenarius , Rainier , évêqu e d e Vannes 1,51,57 Ragnesindus I, 526-527 Ragnetramnus, évêqu e d'Avranche s I, 213 Ragenarius, vassus dominicu s I, 262 Ragenaldus, Renaud , abb é d e Marmoutie r I, 6970, 33 4 Ragydrudis, Code x d e II, 415 Rainaldus, Renaud, comte d'Herbauge e t de Nantes, dux , marqui s d e l a march e d e Bretagne , fils (?) de Renau d I, 63-64, 66-70 , 72 , 77-78 , 81, 26 2 Ragnoaldus, optemas I, 262 Rainfroi, voi r Raganfredu s Rainlandus, évêqu e d e Rouen II, 17 Raino, comte d'Herbauge, fils (?) de Renaud, comte d'Herbauge 1,70 Ramnulfus, Rannou x Ier, comte d e Poito u I, 70 Rance, fleuve I, 36 Rannée (lUe-et-Vilaine , F ) I, 80 Raoul, voir Radulfu s Rath Melsigi (IRL ) II, 422, 425-42 6 Rauchingus, fideh s d e Pépin III I , 262 Raucho, Rauho, Raulco, comes près de Paris (?) I, 262 Rausedo, voi r Rosay, Rosay-sur-Lieur é Ravenna(I) 11,212 Rayganbaldus, come s I, 261-262 Rebais (Seine-et-Marne, F), monastère 1,149,206-

Index 207,324-326; II, 9,297,372,374,376-377,390391, 409 , 411. - Abbé, voir Agilu s Rebetz (Oise , F) , Rosbacio II, 147 reboare II, 360 redditus I, 290 redevances I, 507, 52 2 Redon (Ille-et-Vilaine, F) 1,36; 11,260,277,284 , 286, 290. - St-Sauveur I, 36, 51-54 , 58 , 61-62 , 138.- Fisc I, 51.- Abbé, voi r Convoio n Redwald, ro i d'East-AngH a I, 409 referendarius, référendair e I, 199, 20 2 -203 , 211, 231-268 reformatio carolingienne II, 355 regalia I, 293 Regensburg (Bayern, D) I, 550.- St-Emmeran, monastère II, 181 Regino, abb é d e Prüm, historien II, 72 Règle d e s . Benoî t I, 333; II, 107-111, 340 Règle d e s . Chrodegan g II, 365-367 Règle d e s . Colomba n II, 375-378, 380 , 403, 410 Reglindis, abbess e d'Aldeney k II, 428-429 regnum, régna 1,1, 9, 29, 40,42-46, 49-50, 52-55, 61,63,74, 77, 80,82,129,132,139,141,143,199200, 216, 21 9 Regula magistri II, 340 Regula mixta II, 103-104, 372-373, 376, 379, 385, 388 Reichenau (Baden-Württemberg, D) 1,61,66 ; II, 358, 362 , 403. - MittelzeU, église abbatial e II, 183.- Abbés, voir Erlebaldus, Wald o »Reichsgut«, voir fisc, fiscu s »Reichskirchensystem« I, 159 Reims (Marne , F ) I, 2-3, 9-10 , 25 , 65 , 134 , 158 , 210,358,417,420,536,544; II, 60-61,68,70-72, 221, 227 , 260 , 273 , 277 , 284 , 286 , 290 , 414. Résidence, capital e II, 62-63, 65.- Province ecclésiastique (Belgique II*™) 1,129,134,136-137, 139-140.- St-Rémi, monastèr e I, 359-360, 453 , 520.- Évêques, archevêques , voi r Ebbo , Hinc mar, Mappinius, Müo, Rémi, Rigober t religiosité I, 205 reHquaires II, 39 (fig. 16), 264 (fig. 4) reHure, plats de II, 278 (fig. 16), 280-281 (fig. 17) Remaclus, abb é d e SoHgna c e t d e Stablo-Malmé dy 11,290 Remedius, fideH s d e Pépin III I , 262 Remigius, évêqu e d e Reim s I, 144, 153 ; II, 66, 260, 273 , 277, 279 , 284, 286, 29 0 Remigius, évêqu e d e Rouen II, 15, 17-1 9 Remiremont (Vosges , F) , monastèr e I, 552; II, 67, 377, 380 , 388 remplois II, 209 Renac (Ille-et-Vilaine, F) 1,62.- Condita plebs I, 84,116 Renaix (Ost-Vlaanderen , B) , monastère I, 329 Renaud, voi r Rainaldus

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Renelle, ruissea u II, 2, 10-1 1 Rennes (Me-et-Vüaine, F) 1,8-9,32,34,36,39,49, 73-74, 77, 150 , 152 , 537 , 552. - Cité, diocèse , pagus (Rennais) I, 31-32, 34-36, 47, 49, 52, 63, 74, 76 , 82-83 , 106-107 , 134 , 138. - Comtes, voi r Aleran, Juhel Béranger.- Évêques, voir Agatheus, Amito (?), Domnola, Victor , Victrice.- Terroir s cadastrés au x alentours d e R. I, 121 (fig. 2) Renovatio Roman i imperi i II, 177 répubHque épiscopal e I, 144, 150-152 , 159. - Voir évêques, évêché , Orléan s res exquisiu, inexquisita , quaesit a I, 275, 278-281 Retz, vicari a I, 74 Reville (Seine-Maritime , F ) I, 409 Rezé (Loire-Atlantique , F ) II, 218 Rhein, fleuve I, 75, 136 ; II, 68, 398-39 9 Rhuys (Morbihan , F) , presqu'île I, 62 Richard Ier, roi d'Angleterr e I, 156 Richard II, duc d e Normandi e II, 474 Richardus, comt e d e Roue n I, 262 Richardus, ostiariu s I, 262 Richarius, abb é d e Saint-Riquie r I, 325 Richbodus, évêqu e d e Trier II, 69-70 Richboto, abb é d e Saint-Riquier I, 332 Richüdis, intaiUe au nom d e II, 273, 275 (fig. 15) Rictrudis, monial e à Marchiennes I, 326 Ric(o)winus, comte de Nantes I, 51, 55,61,63, 77 Rihuuinus, come s I, 263 Riculfus, archevêqu e d e Roue n II, 15 Riga (URSS ) 1,290,312 Righinus, référendair e I, 262; voir aussi Sighinu s Rigobertus, évêqu e d e Reims I, 358; II, 64 Rigobertus, palatinus come s I, 262 Rigulfos, référendair e I, 263 Ripherus, come s I, 263 Ripon(GB) 11,422 Risle, rivière I, 382-383 »Rivière froide« , victoir e d e l a II, 356 Ro-, voi r aussi ChroRobec, ruissea u II, 1-3, 6 , 13 , 17 Robert, voi r Rotbertu s (H)roccolfus, Hrocculfus , Hruocculfus , come s d e Tournai, missu s I, 253-254 (H)rodadus, prêtre , scrib e II, 345 Rodalcha, voir Bouafle s Robert Ier, comte e t marquis, pui s roi I, 93 Robert le Fort, comte et marquis, missus I, 83, 92 Robert, préfe t d e la marche d e l'Est I, 75 Rotbertus, vassu s dominicus I, 254 (H)r(u)otbertus, comes , missus I, 254 Rotbertus, advocatu s I, 254 Rodulfus, vassu s dominicu s I, 79 (H)rodulfus, frèr e d e l'impératric e Judith I, 50 (H)ruodulfus, Rodulfus , come s I, 255-256 Rothfeld (Haut-Rhin, F ) I, 56, 59-6 0 (H)r(u)otfridus, missu s I, 254, 574

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Index

Rodegarius, Hrodgarius , Rotgarius , advocatu s I, 255 Ruotgerus, évêqu e d e Trier II, 68, 70-7 2 R(u)othadus, évêqu e d e Soisson s I, 574 Rothardus, Chrodardus , comes I, 255 Rothildis, fill e d e Charle s l e Chauv e I, 100 R(u)othildis, fuie de Charlemagne, abbesse de Faremoutiers I, 332 (H)r(u)odandus, praefectu s Brittanic i limiti s praefectus I, 8, 46, 25 5 RotHndis, mèr e d e l'évêqu e d e Chartre s Od o II, 263 RotheHnus, régisseu r d u fisc d e Boc é I, 57 Rotrudis, fill e d e Charlemagn e I, 49 rogatio I, 586 Roksem (Flandre-Maritimie , B ) I, 395 Rolleboise (YveHnes , F), Rosbacio II, 148 Rollo, duc d e Normandi e II, 19, 47 3 Roma(I) 1,542,568,574-575; 11,13,17,54,197 198, 200 , 267 , 287 , 292 , 327. - Papes II, 58-60, 68, 125 ; papes nommémen t désignés , voi r Clemens, Damasus , Gregorius Ier, Gregorius II, Gregorius III, Hadrianus, Johannes VIII, Leo Ier, Leo III, Martinus I/exer, Paulus, Siricius.- Églises: St-Pierr e II, 200 (fig. 14); Vieux-St-Pierre II, 177,178 (fig. 23), 181.- Latran, bibhothèque II, 308-309.- Voir synode s Romanus, évêqu e d e Roue n II, 2-3, 1 6 Rorico, Rorgo , comt e e n Porhoët , pui s comt e du Maine I, 49, 55-56, 59-61 , 75 , 81 , 185 , 263 Rosay (Seine-Maritime , F) , Rausedo II, 147 Rosay-sur-Lieuré (Eure , F), Raused o II, 147 Rosbacio, voi r Rebetz , Rollebois e Rosne, affluen t d e la Seine I, 385 Rosny-sur-Seine (YveHnes , F) II, 227 Roucy (Aisne , F ) I, 74 Rouen (Seine-Maritime , F) , cité , évêché , pagu s (Roumois) 1,7,9,30,66,137,146,150-152,195, 208, 210 , 215, 261, 405, 408, 412 , 419-420, 422, 429, 432 , 434 , 437 , 439 , 536 , 547 , 552 , 574 575; II, 1-20, 221 , 260, 266-267 , 299-300 , 461, 472.-Province (Lyonnaise II*™) 1,138-139; II, 474.- Évêques, archevêques 1,42; évêques nommément cités, voir Actardus, Ansbertus, Audoenus, Filleul , Gildaredus , Grifo, Grimo , Grippo, Hugo, Praetextatus , Ragenfridus , Rainlandus , Remigius, Riculfus , Victrice. - Comte , voi r Radulf.- Église s e t monastères : Baptistèr e II, 10.- Cathédrale N.-D . II, 6, 9-10 ; St-Amand, monastère II, 6-7; Sts-Apôtres, éghs e II, 14; St-Cande-le-Vieux, égHs e II, 3-4; St-Étienne, éghse II, 9-10; St-Gervais II, 7, 8 (fig. 3), 18 , 236; St-Godard (primitivement Ste-Mari e ?) II, 16;St-Maclou 11,6; St-Martin 11,3,10-11; StOuen (primitivemen t St-Pierre ) I, 195; II, 7, 11-16,18,21,22 (fig. 1), 23,25-26,35,37-39,314,

472; St-PhiHbert fi , 6; St-Pierre 11,24-26,35; voir auss i St-Ouen. - St-Romai n II, 16; SteMarie, voi r N.-D . e t St-Godard. - Musé e de s Antiquités d e Seine-Maritim e II, 24 (fig. 2-3), 28.- AteHer monéuir e II, 41 (et fig.) , 42.Palais I, 135, 138. - Turris Alvredi II, 6 Rougé (Loire-Atlantique , F) , condiu I, 104 Roumois, voi r Roue n Ruffiac (Morbihan , F) , condi u pleb s I, 84, 116 117 Rumaldus, comes de Madrie sous Charlemagne I, 263 Rumaldus, come s I, 263 Rusticus, évêqu e d e Trier II, 61 Rusticus, diaconus , compagno n d e s . Deni s I, 541; II, 198 Ruthwell (GB) 11,237 rythme d e march e II, 351 Sabaudus, évêqu e d e Trier II, 63 sacebaro I, 232, 242, 255, 257 , 259 , 261 sacerdotium I, 143 Saciaco, voir Sacy-le-Gran d o u Sacy-le-Peti t Sacy-le-Grand (Oise , F) , Saciaco II, 148 Sacy-le-Petit (Oise , F) , Saciaco II, 148 Saethryth, fille d'Anna , ro i d'East-AngH a II, 409 Saint-Amand-les-Eaux (Nord , F) , Elnone , mona stère 1,324,332,411,431,520; 11,287,299 , 301, 304 , 307, 317 , 334, 420.- Abbés, voir Agelfredus, Amandus , Arn, Mico Saint-Benoît-sur-Loire (Loiret, F) 1,157,372; II, 151, 237 , 302 , 308 , 311 , 320, 403 , 410.- Fleurysur-Loire, monastèr e I, 45, 64, 15 7 Saint-Bertin, monastère , voi r Saint-Ome r Saint-Calais (Sarthe , F) , monastèr e I, 43, 58 , 61, 83-84,101,166,169,173,175,183,527-528,532533, 542. - Abbé, voi r Sigebal d Saint-Cyr-en-Talmon (Vendée , F ) I, 65 Saint-Denis (Seine-Saint-Denis , F) , basiHque, mo nastère I, 43, 47, 51, 57, 82, 138 , 149 , 202, 207, 209, 276-279 , 318 , 326 , 329, 331, 333, 355, 390, 397, 405 , 410-411 , 422-423 , 430-438 , 524-528 , 532-533, 536 , 540-543 , 545-547 , 550 , 552 , 553 554; II, 75-186, 197-199 , 210-212 , 216 , 259 , 262-265, 267 , 276 , 279 , 284 , 288-292 , 300 , 302 , 307-308, 312-313 , 315 , 389 , 391-392 , 416 , 429 , 469.- Basilique (architecture, fouines): plans II, 154-155 (fig. 1-2), 15 8 (fig. 5), 16 3 (fig. 9), 171173 (fig. 18-20), 17 6 (fig. 22), 19 8 (fig. 11); crypte II, 154 (fig. 1), 156-157 (fig. 3-4), 163 (fig. 9); abside II, 158 (fig. 5), 160-16 1 (fig. 6-7); fouilles II, 155-156 (fig. 2-3), 15 8 (fig. 5), 162163 (fig. 8-9), 167-16 9 (fig. 14-17), 171-17 3 (fig. 18-20), 17 5 (fig. 21), 19 8 (fig. 11); décor monumental II, 165 (fig. 11), 16 6 (fig. 13), 16 9 (fig. 17), 19 9 (fig. 12), 211 (fig. 1).- Trésor: Autel d e

Index Charles le Chauv e II, 290 (fig . 23) ; Camée d'Auguste II, 268 (fig. 8); Cristal grav é d'un e crucifixion II, 274 (fig. 14); Croix de s. Eloi II, 262 (fig. 2), 288 (fig. 21); FermaU de Dagobert II, 265 (fig. 5); Navette de Saint-Denis II, 262 (fig. 3) ; Patène de serpentine II, 271 (fig. 10).- Abbés II, 94-95, 98, 101 , 103; abbés nommément cités, voir Agiulf , Amalbert , Berthoaldus , Chaino , Chardericus, Chillardus , Chrodecarius , Diony sius, Fardulf, Fulrad, Godebaldus, Godobaldus , Hilduin Ier, Hugues, Maginarius , Suger , Tur noaldus, Waldo, Wandeberctus.- Vie spirituelle: clerus, congregatio, custodes, fratres II, 83, 97103; règle canonial e II, 105-110.- Offices: laus perennis II, 83, 100, 102-103 ; office bénédicti n II, 106-107; office romai n II, 103, 106-107 . Réformes II, 102, 105-111. - Mensa monacho rum II, 110-111, 120. - Privilèges commerciau x II, 88, 90 , 93 ; p. d'électio n II, 92; p. épisco paux II, 85-86,89,91-92; p. d'exemption 11,94 ss.; p . d'exemptio n d'impôt s II, 88, 90 , 93 ; p. d'immunité II, 85-87, 91 ; protection royale II, 86-87.- Archives mérovingiennes e t carolingiennes II, 130.- Inventaire d e bien s II, 130-133.Curage d u Croul d I, 384, 388. - MouHns I, 384.- Musée du Carmel II, 469 Saint-Dié (Vosges , F), monastère II, 67, 390 Saint-Evroult, monastèr e II, 313 Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire , F) , mona stère I, 64 Saint-Florentin (Yonne , F ) I, 4 Saint-Germain-de-Secqueval (YveHnes , F) I, 508, 510, 514 , 516 , 51 8 St-Germain-des-Prés, anc . Ste-Croix-et-St-Vin cent, égHse, monastère 1,138,195,260,277,279, 283,287,290,309,332,356,358,362 ss., 412,417, 424-426, 428 , 433 , 435 , 441-465 , 467-505 , 507 , 518, 520-522 , 536 , 543 , 547 , 552-554 , 567 , 569 , 572,575; II, 13,18,23,226,229 (fig. 1 et2), 230, 232-233, 243, 249 (et fig. 19), 251, 260,287, 290 , 301, 303 , 308, 312, 331, 365; domaines, moulins I, 369-371, 373-384, 391 , 399-404.- Abbés, voir Hilduin II, Irmino Saint-Germain-en-Laye (YveHnes , F) , Musé e de s Antiquités nationale s II, 236 (fig. 9), 23 7 (fig. 10), 24 0 (fig. 12) Saint-Germer-de-Fly (Oise , F ) I, 210, 328-329 , 333.- Abbé, voi r Geremaru s Saint Güles, Messe de, tablea u II, 290 (fig. 23) Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine , F ) I, 36 Saint-Josse (Pas-de-Calais , F) , monastèr e I, 334, 414, 416 , 423 , 426-429 , 433. - Abbé, voi r Au dulfus Saint-Léopardin-d'Augy (Allier , F ) I, 83 Saint-Malo (Ille-et-Vilaine , F ) I, 47 Saint-Martin de Mondeville (Calvados, F) II, 241,

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439-440, 468-469.- Haut Saint-Martin II, 440.Église II, 453, 460-465. - Cimetière II, 440, 449.- DeUe Saint-Marti n II, 439-440.- Dell e Saint-Martin e s CastelHer s II, 440.- Fouilles II, 441 (fig. 1), 443 (fig. 2), 444-447 (ph. 1-5), 450 (ph. 6), 452 (ph. 7), 454 (fig. 3), 455 (ph. 8), 462 (ph. 9) Saint-Martin d e Tours , voir Tours Saint-Martin d e Trainecourt , voi r Saint-Marti n d e Mondeville Saint-Martin-du-Tertre (Yonne , F ) II, 241 Saint-Mathurin (Maine-et-Loire, F) II, 243 (et fig. Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne , F), anc. StPierre-des-Fossés, monastèr e I, 55, 138 , 356 , 358, 361 , 397 , 435 , 520 , 528 , 533 ; II, 420.Abbés, voir Benoît , Ingelber t Saint-Maur-sur-Loire (Maine-et-Loire , F) , St Maur de Glanfeuil, monastèr e I, 55, 60-61, 71, 78, 334.- Abbés, voir Gauzlin , Jacobus Saint-Maurice d'Agaun e (CH) , monastèr e II, 83, 152, 180-181 , 198 , 19 9 (fig. 13), 390 Saint-Médard d e Soissons , voir Soisson s Saint-Médard-sur-flle (Ille-e t Vilaine , F) , vicari a 1,107 Saint-Méen-et-St-Judicaël d e Gaël, voir Gaël Saint-Mesmin-de-Micy, voi r Mic y Saint-Nazaire (Loire-Atlantique , F ) I, 5 Saint-Omer (Pas-de-Calais , F) , St-Bertin , Sithiu , vüla, monastère I, 274-276, 279, 283, 296, 310314, 326 , 329 , 332-333 , 389-395 , 397 , 409 , 426 , 435, 458 , 520 , 528 , 533, 547, 552 , 588; II, 235, 260, 263 , 284, 286-287, 298, 317 , 334, 389, 392, 415, 419 , 432. - Abbés, voi r Adolphe , Bertin , Hüduin, Hugo, Nandharius, Ödland.- Annales, dites d e Saint-Berti n I, 423 Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis , F) , voi r CHppia cum Saint-PhiHbert-de-Grandlieu, voi r GrandHe u Saint-Piat (Eure-et-Loir , F ) II, 251 Saint-Pierre-des-Fossés, voi r Saint-Maur-des Fossés Saint-Pierre-et-Saint-Paul d'Indre , voir Indre Saint-Rambert-en-Bugey (Ain , F) , monastèr e I, 333 Saint-Riquier (Somme , F), Centula, basilique , monastère 1,329,332-333,358,397 (moulins), 405, 420,426, 547; II, 181,185,193,195 (fig. 8), 196 (fig. 10), 197 , 212, 221, 257, 260, 277 , 279, 284, 286, 290, 292, 298, 303, 315, 345, 401-404, 406.Abbés, voir Agilbert, Angilbert, Coschinus, HeHsachar, Nithard, Richboto , Riquie r Saint-Saëns (Seine-Maritime, F), monastère I, 329 Saint-Samson-de-la-Roque (Eure , F) , sarcopha ge II, 237 (fig. 10) Saint-Samson-sur-Risle (Eure , F) II, 241

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Index

Saint-Saturnin (Seine-et-Marne , F) , NartiHaco II, 146 Saint-Siviard (Sarthe , F ) I, 83 Saint-Trond, Saint-Truide n (Limburg , B), mona stère 11,277,286,290 Saint-Vaast d'Arras , voi r Arras Saint-Valéry-sur-Somme (Somme , F) , monastèr e I, 50, 409 , 55 2 Saint-WandriUe (Seine-Maritime , F) , Fontenelle , monastère I, 138, 152 , 208-209 , 211 , 273-274 , 277, 282-283 , 313 , 317, 322 , 324 , 326-330, 332 333, 359 , 373 , 409-411, 420, 422 , 427, 430 , 438, 528, 573; II, 9,12, 16-17 , 191 , 192 (fig. 6), 193, 241, 260 , 267 , 276-277 , 279 , 284-287 , 290 , 300, 303, 314 , 365-368 , 403 , 471-472. - Abbés, voi r Amand, Anségise, Austrulfus, Bénigne, Gervold, Hugues, Lando , Raginfredus , Tuetindus , Wan drille, Wandon , Wandregesil , Wido , Witlaïc Moulins 1,373.-Cénacle d e St-W. 11,192-193, 198.- Gesta abbatu m FontaneUensiu m I, 138, 527; 11,366,36 8 Salaberga, abbess e à Laon II, 418 Salaco, comes I, 263 Salaman, vassus dominicus I, 263 saHnes, voir se l salle capitulair e II, 366-368 Salomon, évêqu e d e Coutances I, 41 Salomon, duc des Bretons I, 78-79; 286-287, 289, 292 Salonne, cell a d e Saint-Denis II, 96 Salzburg (A) II, 317.- Cathédrale II, 180, 18 1 (fig. 26).- Évêque, voir Arn Samoussy (Aisne , F) , palais I, 13, 541, 544-54 5 Samson, évêqu e d e Dol-de-Bretagne I, 39 sanctitas I, 207 Sandwih (GB ) I, 416, 432, 437 Sankt Galle n (CH), monastèr e I, 39, 542 , 590 ; II, 194 (fig. 7), 221 , 471. - Plan d e St . G . I, 397; II, 191, 193 , 19 4 (fig. 7), 207 Saosnes (Sarthe , F) , condit a I, 101-102.- Pagus minor (Saosnois) I, 87,101-102.-Terra 1,101102.- Vicaria I, 101-102 Saran (Loiret, F ) II, 244 sarcophages II, 8 (fig. 3), 23-24, 18 8 (fig. 2), 212, 216, 21 8 (fig. 8), 225-23 7 (fig. 2-10), 251 , 257, 453.- Commerce d e s . I, 421, 431 Sarroardus, optema s I, 263 Sarthe, affluen t d e l a Loire I, 369-370 Satis, ancie n affluen t d e l'Escau t I, 395 Saumur (Maine-et-Loire , F ) I, 86.- St-Florent, monastère 1,86,95.-Vicaria 1,86,91.-Vicaria castri I, 86, 92 Saunay (Indre-et-Loire , F) , vicaria I, 114 Savaricus, évêque d'Auxerr e I, 10 Savaricus, évêque d'Orléan s I, 151-152 Savenay (Loire-et-Atlantique , F) , condiu I, 104

Saxe 1,536-537,547 Saxons, voi r Angleterre , Anglo-Saxons , Bayeux , îles Britannique s Saxy, palais I, 547, 55 2 scabinus, scabin i I, 304, 547, 578-58 0 Scanda, voi r Ecaussine s Scandinaves, voir Normand s Scarpe, affluen t d e l'Escaut I, 396 Sceaux-en-Gatinais, sarcophag e II, 233 (fig. 6) Schuttern (Baden-Württemberg , D), monastèr e 1,524 Scoranus, abb é de Mont-Blandi n I, 331 scribes, voir David, Godescalc, Hardouin, Ingreus, Laurentius, Léobard , Madalberu , Ovon , Ragenardus, Thomas, Virgiliu s scriptorium, scriptoria 1,588-589,592; II, 301-303 sculpture II, 209-258; voir acanthe , chapiteaux , corinthien, décor , lisière s Scupilio, recto r d e St-Vaas t d'Arras I, 329 Scupilio, spatariu s I, 263 Sebastianus, abb é de Corbi e I, 329 Secqueval, villa près de Mantes-la-Jofie 1,376-377 (et fig . 4) sedes regia I, 200; II, 81-82 Sédride, abbess e d e Faremoutier s II, 382 Sées (Orne , F) , cité , diocèse , pagu s I, 8, 83 , 137 138, 537. - Voir Exmes. - Centain e I, 99.- Évêque, voir Yve s Seine, fleuve 1,30,35,40,43-45,55, 57,62-63,65 67, 78 , 80-84, 132 , 136 , 139 , 207, 209 , 213, 374, 384, 511 , 521, 566-567 , 575 ; II, 1-3, 7 , 10 , 18 19.- Embouchure I, 380-383. - Basse-Seine I, 544 sel, saline s I, 64, 122 , 410, 421, 435 Sélestat (Bas-Rhin , F ) I, 546 Seligenstadt (Hessen, D), monastèr e II, 177, 17 9 (fig. 24) Sellentois, pagus , voir SenHs Selles-sur-Cher (Loir-et-Cher, F) II, 212,235,246 Seltz (Bas-Rhin , F ) I, 545 Sélune, rivière I, 76 senescalcus, siniscalcu s I, 239, 242-243 , 247, 252, 258-259 Senlis (Oise, F), cité, diocèse, pagus (SeUentois) I, 41, 132 , 137 , 156 , 547, 574 ; II, 273 Sens (Yonne, F ) 1,3-4,10,37,134,157; 11,268 , 287,414.- Province ecclésiastique (Lyonnaise IV/ exe) I, 134, 136-137 , 139-140. - Évêques, voi r Beornrad, Ebbon , Wulfran. - Abbé , voi r Lam bert IL- Comtes, voir Maganarius, Maginarius.Églises e t monastères: Ste-Colombe I, 72, 549550; St-Pierre-le-Vif I, 549; II, 389; StRémi 1,334 Sensée, affluen t d e l'Escau t I, 395 Septimanie I, 154, 537 , 56 8 sépulture 11,453,456-461

Index Serans (Oise, F) , Sigrancio II, 148 Serdika, voir synode s service, servitium régi s I, 153, 197, 200, 284, 286, 294-295, 301 , 304-305 , 308 , 311 , 507-511 , 518 , 520-522; s. d'hébergement 1,153 ; s. militaire I, 456-462; s. regaha 1,284,302,306.- Voir broyage, gîte . Servius, grammairie n II, 401, 417 servus I, 286, 290 , 295 , 297 , 299 , 306 , 311 , 482, 495.- Voir esclave s sestrée, voir métrologi e Seux (Somme , F) , Adsulto II, 140 Severa, abbesse de St-Symphorien de Trier, soeur de Modoald 11,67 Severus, évêqu e d e Trier II, 59-61, 6 5 Sézanne (Marne , F ) I, 326 Sidonius ApolHnaris, évêque de Clermont-Ferran d II, 53, 60-6 1 Sigebaldus, abb é de St-Calai s I, 43, 101 Sygobaldus, référendair e d e Childebert III I , 263 Sigebert d e Gembloux , chroniqueu r e t hagiogra phe 11,427 Sigobertus, reclus I, 329-330 Sigibertus, roi de s Burgonde s II, 152 Sigibertus Ier, roi I, 33; II, 7, 13 , 63, 226 Sigibertus II, roi I, 2-3 Sigibertus III, roi I, 324, 524 , 527; II, 64 Sigebertus, roi d'East-AngH a I, 409 Sigobrandus, évêqu e d e Pari s 1,211; 11,38 4 Sigefredus, come s I, 263 Sigofredus, Rigofredus, Rigofridus, grafio, puis comes palati i I, 263-264 Sighinus, référendaire , voi r Righinu s Sigelaus, cler c d e St-Marti n de Tours I, 112-113 Sigolenus, optema s I, 264 Sigo, abb é de St-Florent d e Saumur I, 95 Sigrancio, voir Seran s Sigulfus, abb é de Ferrière s I, 332 Sinzig (Rheinland-Pfalz, D) I, 542 Sion (Gers , F) I, 326.- Évêque, voi r Am é Siricius, pape II, 58 Sirmium (Yu) , palais impérial II, 58 Sithiu, voir Saint-Ome r Sivinus, sert au palais royal sous Clovis II et Clotaire III 1,264 Sixt-sur-Aff (Ille-et-Vilaine , F) , condit a pleb s I, 84, 11 7 Sligo(IRL) 1,431 socle d e fondatio n II, 166 (fig. 13), 167 , 17 5 (fig. 21) Sodicolas, voir Sottoleu x Soissons (Aisne , F) , cité , diocèse , pagu s (Soisson nais) I, 6-7, 10 , 13 , 41 , 91, 132 , 137 , 198 , 212, 332, 536 , 543 , 545 , 568-569 , 574 ; II, 16, 226 , 248,251,279,284,292. - Palais 1,135.- Évêques, voir Drauscius, Hüduin II, Médard, Nomedius ,

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Ruothad.- Abbesses , voir Ethérie, Gisela.- Églises e t monastères : N.-D . I, 212, 222, 332 ; II, 314,377,379-390,392; St-Médard 1,56,82,138, 332-333, 397 , 571 ; II, 16, 314 , 354 , 372 , 389 , 392.- Bataille de S. (a. 718) II, 91.- Voir capitulaires, synode s Solesmes (Nord , F) , Solemnio II, 148 solvere 1,290,292,306 Somme, fleuve I, 130, 195 , 386-387, 39 5 Sonzay (Indre-et-Loire , F) , vicaria I, 114 Sottoleux (Somme , F), Sodicolas II, 148 Sougé-le-Ganelon (Sarthe , F), condita 1,102.- Vicaria I, 102 Southampton (GB) , Hamwi h I, 417, 429 , 432 , 437-438; II, 18 Spangenburg, bibliothèqu e II, 401 spatarius I, 263 Speyer (Rheinland-Pfalz, D), évêch é I, 528 splendor I, 201 Sublo-et-Malmédy (Suvelot ) (Liège , B) , monast ère I, 277, 527-528 , 530, 533, 589; II, 67, 290.Abbé, voir Remacl e Subulus, centenariu s I, 35 Statius II, 401 status 1,291,297-298 Suvelot, voi r Sublo-et-Malméd y stèles II, 238 (fig. 11), 239, 24 0 (fig. 12), 241 Stenay (Meuse , F) , monastère I, 195; II, 13 Stephanus, Etienne , protomarty r I, 541 Stephanus, Etienn e II, pape I, 540; II, 129-130, 152 Stephanus, Etienne , abb é d'Obazine II, 368 Stephanus, Etienne , comt e d e Pari s I, 237, 244 , 248, 264, 569 , 578 Stefanus, Etienne, recto r civitatis de Tours I, 149 stipulatio I, 587 Strasbourg (Bas-Rhin , F ) I, 417, 526. - Évêque, voir Arbogas t strophes: II, 351, 361 ; s. alcaïque s II, 360; s. sapphiques H , 350,360; s. triomphales II, 351, 354-362 stuc II, 212, 256 (fig. 25) suburbium I, 155 Sucé-sur-Erdre (Loire-Adantique , F) , vicari a I, 104 Suetonius, historie n II, 349-350, 401 Suèvres (Loir-et-Cher , F) , vicaria I, 93; II, 248 Suger, abb é de Saint-Denis II, 114-115, 153 , 157, 174,263,265,270,289 Suidbertus, missionnair e II, 422 Sulpicius, évêqu e d e Bourge s I, 528 summa I, 482, 492 Sussex (GB) 1,437 Suttun Hoo (GB ) 1,409,415 Swanahilde, Sonnechilde , concubin e d e Charle s Martel I, 10

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Index

Syagrius, magister miHtum I, 1; II, 53, 16 6 Symeon, che f d e la schola cantorum de Rome II, 17 synodes 1,353; 11,59,65,69,7 1 Synodes nommémen t cités : Arles (a. 353) II, 57.Attigny (a . 870) II, 70.- Clermont (a . 535) II, 70.- CHchy (a . 626/627) H, 66.- Clichy (a . 637) II, 376.-Douzy (a . 871) II, 70.-Epernay (a. 846) 1,72.- Estinnes, Les (a. 744) 1,330 ; II, 414.- Frankfur t (a. 794) I, 349, 357. - Köl n (a. 346) II,54-57.-Malay-le-Petit(a.677) 1,215.Metz (a . 893) II, 71.- Nîmes (a . 394/396) II, 58.- Orléans (a . 549) II, 65.- Paris (a. 552) II, 65.- Paris (a . 829) I, 351, 353. - Rom a (a. 382) II, 58.- Serdika II, 55-57.- Soissons (a . 744) II, 414.-Torino (a . 398) II, 58.-Toul (a . 550) II, 63, 65. - Trier (a . 386) II, 55-56, 58. Trier (a . 927/929) II, 71.-Whitby (a . 664) II, 378, 385,412.- Concilium Germanicu m (a. 742/ 743) 11,41 4

Tabers 11,469 Tacite, historie n lati n II, 401 Talou, pagus , voir Thérouann e Tarentaise, province romain e II, 68 Taros (Loire , F ) II, 469 Tassilo III, duc de Bavière 1,53,541,547; 11,28 6 Tatuinus, archevêqu e d e Canterbury II, 402 uvernes I, 155 Tavers (Loire, F ) 11,469 Te Deum (a u sens figuré ) II, 356 Tegernsee (Bayern, D), monastère I, 542; II, 366 terra, terre: t. censualis, censalis 1,287-288,313; t. dominicale o u publiqu e I, 286, 295-296 , 310 , 312; t. tributari a I, 287 terre cuite II, 24 (fig. 3), 220 (fig. 11), 242 (fig. 13) Terre Saint e II, 218 Terrigia, mèr e d e s . Elo i I, 201 territorium I, 276, 280 Tertry-sur-Somme (Somme , F) , bataüle I, 9, 18 , 22,152,223,535; 11,16,89,38 7 testamentum I, 592 tétramètre trochaïque catalectiqu e II, 350 thelonarius episcop i I, 155; voir tonHeu Theodorus, archevêqu e d e Canterbur y II, 412 Theodorus, évêqu e d e MarseiHe II, 63 Theodorus, évêque de Mopsuestia II, 404,417-418 Theodorus, évêqu e d e Tarse I, 421, 429; II, 237 Theodorus, évêqu e de Tours I, 145 Theudebaldus, ro i II, 62 Theo(de)baldus, Thibau d l e Tricheur , comt e d e Blois, vicomt e d e Tours I, 85-86, 109-110 ; famille I, 158 Theudbaldus, Theutbaldus , come s (attest é e n 775) 1,26 4

Theudobertus, Théodeber t Ier, roi II, 62 Theudobertus II, roi I, 6-7, 30 , 146 , 199 ; II, 63, 374 Theudebertus, fideHs de Pépin III I , 264 Theotbertus, comt e d e Madrie I, 264-265 Tetbertus, référendaire I, 264 Theutboldus, come s (attest é e n 781) I, 264 Theudechildis, Théodechilde , abbess e d e Jouar re 1,207,213; II, 187,188(etfig. 1),218(fig.8), 239,377,385,409-410 Theodefridus, Théoffroy , abb é d e Corbi e I, 327 Theudefredus, vir potens I, 213 Teutfridus, vassu s dominicu s I, 265 Theodegariovillare, voi r Thury-sous-Clermon t Theutgaudus, évêqu e d e Trier II, 68-69 *Theutgildus, Tetgüdus, comes I, 265 Teutgislus, domesticus et custos saltuum silvarumque regaliu m I, 265 Theoto, abbé de St-Martin de Tours et de Marmoutier, archichanceHe r I, 58-59, 332-33 3 *Theodo, Teoto , vassu s dominicus I, 265 *Theodo, Teoto, come s I, 265 Theotolo, archevêqu e d e Tours I, 72, 10 9 Theodrada, abbess e d'Argenteui l II, 113-114 Theodrada, abbess e d e N.-D. d e Soisson s I, 332 Theodericus, clericu s I, 107 Theudericus Ier, Thierry, ro i II, 62 Theudericus, Thierr y II, roi I, 5-6, 30 , 146 , 15 1 Theudericus, Thierry III, roi 1,150-151,210,215, 275-277, 279 , 295 , 327 , 527 ; II, 88, 11 8 Theudericus, Thierr y IV, roi I, 147; II, 92 Theodericus, come s I, 265 Theudericus, fideH s d e Pépin III I , 265 Theudericus, compagno n du vassu s dominicus , Eric 1,67 Teutsindus, abbé de St-Martin de Tours et de SaintWandrille 1,330 *Theodoaldus, Theudaldus , Theodoldus , comt e (sans doute de Chambly ) I, 265 Theodulfus, abb é d u Man s I, 146; II, 275, 301, 311,359-362 Theodulfus, évêqu e d'Orléan s H , 275, 301 , 311, 359-362 Thérouanne (Pas-de-Calais, F) I, 7,139,242,255257, 259, 261, 266, 325, 327, 392, 574; II, 435.Pagus (Talou ) I, 137, 263 , 410. - Comtes, voi r Ingomarus, Uualbertus. - Évêques , voi r Audo marus, Bainus, Erkembod e Theux (Liège , B) , palais 1,552 Thiais (Val-de-Marne, F) 1,508,510-511,514,516, 518 Thimerais I, 379, 382 , 396 Thionville (Moselle , F), palais I, 58, 69, 541,545547, 55 2 Thomas, scrib e II, 428 Thouarcé (Maine-et-Loire , F) , vicaria I, 92

Index 54 Thouars (Deux-Sèvres, F) , pagus mino r (Thouar sais) I, 84 Thourie (Ille-et-Vilaine , F) , condita I, 107 Thury-sur-Clermont (Oise, F) , Theodegariovillare 11,14 8 Tiffauges (Vendée, F) , pagus I, 68-69 TiUy (Eure , F) , ArtiHaco II, 143 Tinténiac (Ille-et-Vilaine, F ) I, 36 Tite-Live 11,34 9 tombes à l'intérieur des églises II, 159 Tongeren-Maastricht (Limburg , B) I, 2 tonkeu I, 64, 79,122,151,154-156, 421 , 423, 426, 435, 439.- Voir douanes, vectigalia Torino (I), voir synode s Toul (Meurthe-et-Moselle, F ) II, 60, 67.- Évêque, voir Auspicius. - Voi r synode s Toulouse (Haute-Garonne , F ) II, 221 tour, voi r turri s Tournai (Calvados , F) II, 435 Tournai (Hainaut , B) I, 1, 7 , 132 , 139 , 156 , 158 , 253; 11,28 7 Tournus (Saône-et-Loire , F ) II, 282 (fig. 18), 284 Tours (Indre-et-Loire , F) , cité , diocèse , pagu s (Touraine) I, 5, 8 , 18 , 31, 33-34, 37, 40, 45, 56, 65, 69 , 79 , 83 , 107-114 , 134 , 138 , 145 , 148-151, 154, 156-157 , 210 , 215, 256, 361 , 369, 537, 547, 552, 574-575 ; II, 221, 260, 276 , 287 , 302 , 304, 329,331,389,400,405,462.- Province ecclésiastique I, 134, 137-138 ; voir auss i Lyonnaise. Comtes, vicomtes, voir Adalard, Eudes Ier, Thibaud le Tricheur, Vivien.- Évêques, archevêques I, 40, 42 , 72 ; évêques, archevêque s nommé ment désignés, voir Adaldus, Barthélémy, Baudinus, Chrodbert , Dinifius , Eufronius , Grégoire , Guntharius, Hérard , Hugo , Landra n Ier, Landran II, Martin, Ommatius, Proculus, Theodorus, Théotolon, Ursmar.- Église s e t monastères: Cathédrale I, 31; St-Martin 1,31,58-59,64-65, 69, 81,138,271,294,309,322,330, 332-334,359 , 330, 389 , 431 , 457-458 , 537 , 541 , 552 , 588 589; II, 216,243,248,256.-Manuscrits 11,307, 309-310.- Voir bibHothèques, formulaire s Tractus Aremoricanu s II, 460 Trainecourt, Trennecourt, Trains de Court (Calvados, F) , St-Marti n II, 439-440, 461-462 , 464. Voir Saint-Marti n d e Mondevill e traités voir Andelot , Meersen , Verdu n Trans (Mayenne, F ) I, 83 Tregor I, 39 Trégourez (Finistère , F) , vicaria I, 95 trésor monétaire I, 65, 12 2 tribunal missatiqu e I, 157 tribunus fisc i I, 38-39 tribu tum, tributa I, 151, 286-287 Trier (Rheinland-Pfalz, D) I, 149, 151 , 524, 528, 536; II, 53-72,273,320.- Évêques, archevêques,

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voir Abrunculus, Amalar, Basin, Bertulf, Britto, Cyrillus, Emerus, Eucharius, Félix, Fibicius, HéHsachar, Jamblychus, Leontius, Liutwin, Magnerich, Marus, Maternus, Mauricius, Maximianus, Maximin, Miletus, Milo , Modestus , Modoald , Nicetius, Numerian , Paulinus , Radbod , Rich bod, Ruotger , Rusticus , Sabaudus , Severus , Theutgaud, Valerius , Volusianus , Wiomad. ÉgHses et monastères: églises II, 53-72; St-Maximin, monastère H , 67; Oeren, St-Irminen II, 67; St-Symphorien II, 67.- Voir synode s Trinité II, 359 triomphalisme théodosie n II, 351 triomphe des martyrs II, 352,361; t. du Christ II, 278 (fig. 16), 351-352, 36 1 Troandus, Troannus, come s I, 265 Troantus, come s palati i I, 265 Troyes (Aube , F ) I, 3, 9-10. - St-Loup, monast ère I, 332.- Comte, voi r Aleran. - Évêque , voir Loup Tubersent (Pas-de-Calais , F ) I, 426-427, 435-43 6 Turibe, évêqu e du Mans I, 101 Turnoaldus, évêqu e d e Paris , abb é d e Saint Denis 1,327,329; 11,91-9 2 turris I, 85-86; II, 174; triturrium II, 193, 196197, 20 7 TussonevaUe, monastèr e II, 90, 103-104 , 117 121.- Abbé, voi r Magnoaldu s Ulmar, prêtr e I, 94 Ultan, abbé de Fosses et de Péronne 1,325; II, 386 Ultrasequanenses II, 474 Ultrogotha, reine , épouse de Childebert Ier I , 101 (H)unrocus, come s dan s le Terrois, missus I, 257 Uodo, Hodo , Odo , buticularius , comt e d'Orlé ans 1,235,265-266 Ursmarus, archevêqu e d e Tours I, 71-72 Ussy-sur-Marne (Seine-et-Marne ) I, 198 Usuard, moin e d e Saint-Germain-des-Pré s II, 312, 36 5 usure, usura , hierum I, 351-352, 354 Utrecht (NL) II, 422.- Évêque, voi r Grégoir e Vaas (Sarthe, F), condiu I, 102.- Vicaria I, 102 vaisselle II, 29 Valenciennes (Nord , F) , palais I, 133, 135, 545 Valentinianus III, empereur II, 59 Valerius, évêqu e d e Trier II, 60, 7 0 Valerius, abb é de Leuconna y I, 326-327 Valerius Flaccus , poète lati n II, 401 vallus, machine à récolter I, 368, 38 7 Vannes (Morbihan , F ) I, 5-6, 8 , 32 , 43 , 77 , 267 , 552.- Cité, diocèse, pagus (Vannetais ) I, 30-32, 39,47,51-52,55-57,62,69,76,78,81,83-84,114117, 134 , 136-138. - Comtes, voir Frodald , Gui , Hrodold, Uido. - Évêque , voir Rainie r

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Index

Vareilles (Yonne , F ) I, 334 Varize (Eure-et-Loir, F) , vicaria I, 96 vassaUus, vassu s I, 231-268; v. dominicu s I, 63, 79-80, 231-26 8 Vaucouleurs, affluen t d e la Seine I, 376 Vaudreuil, L e (Eure, F) , palais I, 135, 13 8 vectigalia I, 419 Vedastus, évêqu e d'Arra s I, 541 Venantius Fortunatus , évêqu e d e Poitiers , poè te II, 16, 80, 212, 354, 361 Vendel (IUe-et-Vilaine , F) , pagu s minor (Vendelais) I, 87, 10 7 Vendôme (Loir-et-Cher, F) 1,37,74.- Pagus (Vendômois) I, 177 Venezia (I), St-Marc II, 18, 276 ver novu m II, 358 Ver-sur-PAunette (Oise , F) , palai s I, 135, 276 , 542, 547 , 55 2 Verberie (Oise , F) , palais I, 43, 50, 135 , 536, 542 Verdun (Meuse , F ) I, 1, 18 , 22.- Traité d e V. I , 557 Vermandois, pagus 1,130,137,249,251.- Comtes, voir Garifredus , Gunthardu s Verneuil-sur-Avre (Eure , F) , Vern o II, 148 Vernon (Eure , F) , Verno II, 148 Verrières I, 508, 510-511 , 514, 516 , 51 8 Vertou (Loire-Adantique , F) , St-Marti n II, 218, 241 Verzenay (Marne , F) I, 7, 54 6 Vêtus Latin a II, 331 Vexin, pagus 1,137,266.- Comte, voir Uualtharius vicaria I, 74, 79-80, 82-83, 86-96,98-116,123 (fig. 4), 126 (fig. 7), 461 ; v. castri 1,84-86,92,97,107108, 110-112 , 123,12 6 vice dominus, vidame I, 148, 292 vicomte I, 461 victoires, célébration de s II, 349 Victor III, évêque d e Coir e I, 153 Victor, évêqu e d e Rennes I, 40 Victricius, évêqu e d e Rouen II, 9, 14 , 362 victrix II, 361 vicus II, 442, 456, 460; vicus pubHcus I, 289 vidame, voi r vice dominus VidimacHs I, 32 Vidriaco, voir Wiry-au-Mon t vieillard vénérable, typ e d u I, 216 Vienne (Isère , F) 1,346,526,528; II, 360.-Évêque, voir Avi t Vierville (Calvados , F) I, 409 Vieux (Calvados , F) 1,37,39 Vieux-Rouen-sur-Bresle (Seine-Maritime , F) , Ro deno II, 147 Vièvre, forê t I, 382 Vignes, Le s (YveHnes, F), Vinias II, 149 Vignes, Le s (Eure-et-Loir, F) , Vinias II, 149 Vikings, voir Normand s

Vilaine, fleuv e I, 31-32, 34, 36, 68 , 78,13 4 villa, villar e I, 130, 136 , 139 , 141 , 273-285 , 290 , 306-318, 467-503 , 591. - Voir fisc , mansus , op pidum villa gallo-romain e I, 386-387 Villa supr a mare , prè s d e Pont-Audeme r I, 381 (fig. 6) village II, 435-436, 439-465, 468-46 9 Villanova, voir Neuville-Garnie r (Oise , F) , Ville neuve-en-Chevrie (Yvelines , F ) Villemeux-sur-Eure (Eure-et-Loir , F) , domaine de St-Germain-des-Prés I, 374, 376-377 , 37 8 (et fig. 5), 379, 382-383,426, 433,460-461, 508, 510511,514,516,518,521 ViUemomble (Seine-Saint-Denis , F ) II, 227 Villeneuve-en-Chevrie (YveHnes, F), ViUanova II, 148 Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne , F ) I, 508,510-511,514,518 vin, commerc e du v. I, 422-424, 431-432, 43 9 Vincent d e Lérins , théologien II, 400, 417 Vinchy (Nord , F ) 1,41,329,535 Vinias, voi r Le s Vigne s (Eure-et-Loir , F) , Le s Vignes (YveHnes , F) Vinyedorum, marc a I, 31 vir inluster I, 197, 275, 277, 279 , 282, 283 vir magnificus, voi r dominus vir potens I, 213 vir sanctus I, 195 vir venerabüis I, 197 Virgilius, poèt e lati n II, 358, 360-36 1 VirgiHus, Fergil, scrib e II, 427 vitraü II, 463 Vitré (iHe-et-Vüaine, F), vicaria castr i I, 106-107 Vitruvius, manuscrit s I, 397; II, 401 Vitry-en-Artois (Pas-de-Calais , F ) I, 135 Vivarium, voir Cassiodor e Vivianus, comte de Tours et abbé laïc de St-Martin de Tours I, 69-70, 78 , 82 , 334; II, 331 Vivianus, comes , pèr e d u comt e Vivie n d e Tour s (?) 1,26 8 Vivoin (Sarthe , F) , condita 1,102 Vlattern (Rheinland-Pfalz, D) I, 63 voies romaine s I, 36-37, 39 , 51 , 69, 120-12 1 VoJusianus, évêqu e d e Trier II, 61-62 Vorges (Aisne , F ) 11,240 Vrocourt (Oise , F) , Ebroaldocurte II, 144 Vron (Somme , F ) I, 409 Wademarus, vir inluster I, 277 Waifarius, du c d'Aquitaine I, 43 Waimarus, du x de Champagn e I, 9 Wala, abb é d e Corbi e I, 266, 332 , 388 ; II, 345, 347 Walahfrid Strabo , écrivain fran c II, 358, 362 Waldebertus, abbé de Luxeui l II, 375-377, 37 9

Index Wal(de)bertus, come s dans le pagus de Thérouanne 1,266,275 Wal(de)bertus, juge 1,266 Wal(de)fredus, come s I, 63 Walt(c)harius, fideli s d e Pépin III I , 266 Waltharius, come s dans le Vexin I, 266 Waldo, abbé de Reichenau e t de Samt-Denis , évêque de Pavi a II, 105 Waldramnus, référendaire I, 266 Waldramnus, optema s I, 266 Waldramnus, tribunu s I, 39 Wandalbertus, come s du x I, 266 Wandeberctus, abbé de Saint-Denis I, 326 Wando, abbé de Saint-WandriU e I, 328-329; II, 314, 366 , 40 4 Wandregisilus, abbé de Saint-Wandrill e I, 203, 207,211,323,325-328; 11, 9 Waningus, comes palati i I, 209, 214, 266 Waraldus, come s palati i I, 266 Waratto, maire du palais I, 209-210, 215-218,220, 222-225, 227-228 , 266-267, 279 ; II, 89 Wariaco, voir Gueures, Guir i Warinus, Gaerinus , comte de Pari s I, 209, 212 , 248; 11,88-89,11 8 Warinus, Werinus, Guérin, comte de Macon 1,50 Warnacharius Ier, maire du palais I, 218 Warnacharius II, maire du palais I, 218 Warnarius, frère de Lamber t II I , 73 Warno, come s palati i I, 267 Waroc(h)us, comes I, 31-34 Washington (USA) , Dumbarto n Oak s Museu m II, 285 (fig . 20 ) Wazfredus, come s I, 63 Wearmouth (GB ) 11,42 5 Wendelgerus, centenariu s I, 266 Werden (Nordrhein-Westfalen , D), monastèr e I, 506, 589-59 0 Werimfredus 1,26 7 Wernharius, Garnier , vir nobiHs I, 46 Wessex (GB ) I, 429-430; II, 430 »Westwerk« II, 159, 166-167 , 170 , 191 , 196 , 207 Whitby (GB), moine de W. II, 402.- Voir synodes Wi-y voir auss i WyWichingus, missu s I, 267 Wicohen, archevêque de Dol-de-Bretagne I, 86 Witbaldus, vassus dominicu s I, 268 Witboldus, abbé de St-Serg e d'Angers I, 330 Witcharius, abbé I, 75 Witlaicus, abbé de Saint-Wandrille 1,330 ; 11,31 4 Wido, abbé de Saint- Wandrüle et de St-Vaast d'Arras 1,330 ; 11,276,31 4 Wido, comte de Vannes et du Maine I, 47, 56, 5860, 67 , 75 , 267 Wido, préfet de la marche de Breugn e I, 46, 74, 258, 267, 33 3

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Wido, juge 1,267 Wido, praepositus 1,109-11 0 Widrachadus, Widrehadus , référendaire I, 267 Wigbaldus, abbé 11,430 Wicbertus, Witbertus, come s palati i I, 268 WilHbaldus, évêque d'Eichstätt 1,429 ; 11,18,29 6 Willibrodus, abbé d'Echtemach , évêqu e d'Ut recht 1,432; 11,296,365,422,426,42 9 Wilecharius, référendaire I, 267 WiHacharius, comes I, 33 Wilfridus, évêqu e du Yor k I, 414, 429 , 437 ; II, 385, 388 , 393 , 395, 422 Wilhelmus, Guillaume , du c d e Normandi e I, 95; II, 153, 17 4 Wilhelmus, comte de Blois I, 58, 235, 265,267-268 Willesuinda, reHgieus e à Faremoutiers II, 409 Winchester (GB ) I, 429, 438 Wine, évêqu e d e Wessex II, 409 Wynnebaldus, abb é de Heidenheim I, 429 Winegisus, jug e I, 268 Wineramnus, référendair e I, 268 Winitmarus, vassu s dominicus I, 268 Winnoc, moin e à Wormhoudt I, 325 Wintrio, du x d e Champagn e I, 3 Wiomadus, évêqu e d e Trier I, 151 Wyrundus, abb é d e Hornbach I, 76 Wiry-au-Mont (Somme , F) , Viadriaco II, 148 Wissembourg (Bas-Rhin , F) , monastèr e I, 359; II, 366, 416 Worms (Rheinland-Pfalz , D) I, 63, 81, 528, 542 543, 545-546. - Voir capitulair e Worworet, missu s d e Nominoé I, 58 Wuldebertus, moin e à Saint-Wandriïle I, 330 Wultbertus, sert au palais royal sous Dagobert Ier et Clovis II 1,268 Wulfhardus, diacr e d e Saint-Marti n d e Tours I, 112-113 Wulfhardus II, abbé de Saint-Marti n d e Tours I, 113 Wulfardus, vassallu s d e Loui s le Pieux I, 268 Wulfarius, fideli s d e Pépi n III I , 268 Wulfoaldus, mair e du palais I, 219, 224, 327 Wulfoaldus, come s I, 215 Wulframnus, évêqu e d e Sens I, 328, 432 Wulmarus, abb é de Same r I, 325 Wuruili, vassus dominicu s I, 79 Würzburg (Bayern, D) 1,544; 11,395,414,415. Évêque, voir Burchar d Yerre, affluent d e la Seine I, 376; H, 425 Yonne, affluen t d e l a Seine I, 375 Yves, voir Iv o Zacharias, pape I, 331; II, 17, 12 9 Zeelande (NL ) I, 432,383, 547, 55 6