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French Pages 883 Year 2010
Homilies of Isaac of Antioch
Syriac Studies Library
32
Sériés Editors Monica Blanchard Cari Griffïn Kristian Heal George Anton Kiraz David G.K. Taylor
The Syriac Studies Library brings back to active circulation major reference works in the field of Syriac studies, including dictionaries, grammars, text editions, manuscript catalogues, and monographs. The books were reproduced from originals at The Catholic University of America, one of the largest collections of Eastern Christianity in North America. The project is a collaboration between CUA, Beth Mardutho: The Syriac Institute, and Brigham Young University.
Homilies of Isaac of Antioch
Edited with an Introduction by
Paul Bedjan
1 2010
gorgias press
Gorgias Press LLC, 954 River Road, Piscataway, NJ, 08854, USA www.gorgiaspress.com Copyright © 2010 by Gorgias Press LLC Originally published in 1903 All rights reserved under International and Pan-American Copyright Conventions. No part of this publication may be reproduced, stored in a retrieval system or transmitted in any form or by any means, electronic, mechanical, photocopying, recording, scanning or otherwise without the prior written permission of Gorgias Press LLC. 2010
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1 ISBN 978-1-60724-870-5
Reprinted from the 1903 Paris edition.
Digitized by Brigham Young University. Printed in the United States of America.
Series Foreword
This series provides reference works in Syriac studies from original books digitized at the ICOR library of The Catholic University of America under the supervision of Monica Blanchard, ICOR's librarian. The project was carried out by Beth Mardutho: The Syriac Institute and Brigham Young University. About 675 books were digitized, most of which will appear in this series. Our aim is to present the volumes as they have been digitized, preserving images of the covers, front matter, and back matter (if any). Marks by patrons, which may shed some light on the history of the library and its users, have been retained. In some cases, even inserts have been digitized and appear here in the location where they were found. The books digitized by Brigham Young University are in color, even when the original text is not. These have been produced here in grayscale for economic reasons. The grayscale images retain original colors in the form of gray shades. The books digitized by Beth Mardutho and black on white. We are grateful to the head librarian at CUA, Adele R. Chwalek, who was kind enough to permit this project. "We are custodians, not owners of this collection," she generously said at a small gathering that celebrated the completion of the project. We are also grateful to Sidney Griffith who supported the project.
APPROBATIO SUPER IÒRIS GENERALIS CONGREGATIONIS MISSIONIS ET PUELLARUM CHARITATIS.
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UOIQUE Isaac d'Antioche ou ïsaac le Grand occupe une des premières places dans la littérature syriaque, les renseignements qui nous sont parvenus sur sa vie sont vagues et incomplets. La date de sa naissance et de sa mort est inconnue. On croit généralement qu'il naquit à Amid et qu'il étudia à Édesse sous la direction de Zénobius, le disciple de saint Éphrem; s'étant ensuite rendu à Antioche, il y reçut l'ordre de la prêtrise et mena la vie monastique dans un couvent situé près de cette ville. Suivant une notice de Zacharie le Rhéteur, ce célèbre auteur fit un voyage à Rome; c'est sans doute à l'occasion de ce voyage qu'il composa un poème sur les jeux séculaires célébrés en voir Tuliberg, Dionysii Telmahrensis Chronici liber prirnus, p. 52. Il aurait encore écrit sur la prise de Rome par Ataric en Sa vie se serait prolongée au-delà de ^59; car, suivant Gennadius, le tremblement de terre survenu à Antioche cette année-là aurait été le sujet d'une de ses poésies. On remarquera qu'entre l'année époque des jeux séculaires, et l'année ^59, date du tremblement d'Antioche, il y a un intervalle de cinquante-cinq ans. D'un autre côté, de graves contradictions sur le dogme de l'In-
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V o i c i ma réponse à
ce sujet d'après ce que j'ai appris d'hommes anciens vivaient avant moi.
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Il y eut, portant ce nom d'Isaac, trois
auteurs qui ont écrit en langue
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araméenne:
deux orthodoxes et un hérétique chalcédonien.» «Le Éphrem
premier était d ' A m i d ; pendant que
A u temps de
il fut un disciple de saint
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cette
ville.
cet Isaac se rendit à
R o m e pour y voir le Capitole qui était alors ouvert. son retour,
il s'arrêta quelque
mis en prison.
A
temps à Byzance où il fut
Il fut fait aussi prêtre de l'église d ' A m i d ,
après qu'il fut revenu dans cette ville.»
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« L e second était également prêtre, de l'église d'Edesse. Il se fit connaître au temps de l'empereur Zénon. Il se rendit à A n t i o c h e à l'époque de Pierre-le- Foulon, lorsque les nestoriens ^ N V y f o Jà] M
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IX
AVANT-PROPOS.
également Isaac à l'époque du concile de Chalcédoîne: «En l'année 763 —^52 de notre ère) dit-elle, florissait l'écrivain et archimandrite, Mar Isaac«» (*), voir l'édition Hallier, n° LXVIL De la notice de Michel on est tenté de conclure que Isaac d'Antioche, monophysite jusqu'au concile de Chalcédoine, aurait ensuite adhéré aux décisions de ce concile et serait devenu catholique. Cette hypothèse expliquerait comment une partie des homélies d'Isaac reflète la doctrine monophysite, tandisque l'autre partie ne renferme rien de contraire au dogme catholique. Mais cette hypothèse est battue en brèche par le fait que l'homélie sur le perroquet qui trahit un monophysite, est de beaucoup postérieure au concile de Chalcédoine. Mieux vaut donc s'en tenir à la tradition rapportée par Jacques d'Édesse, mais avec cette restriction que la mention du troisième Isaac faite par Jacques est erronée ou inutile. Des homélies mises sous le nom d'Isaac, celles qui sont conformes au dogme catholique ont dû être composées par Isaac, disciple d'Ephrem; les autres qui ont un caractère monophysite sont sorties de la plume d'Isaac d'Antioche. Quoiqu'il en soit, la grande majorité des homélies appartient certainement à Isaac d'Antioche, surnommé le Grand, dont l'insigne notoriété éclipsa ses homonymes. On voit combien la biographie d'Isaac d'Antioche ou Isaac le Grand est encore remplie d'incertitudes, comme le ¿.»•tao JiLjjcâo ¿¿ÓJS
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AVANT-PROPOS.
X
remarque M. Nestle dans la Realencyklopàdie f . protestant. Théologie, 3 e éd., VII,
Isaac d'Antioche a été, d'un autre côté, confondu avec Isaac de Ninive. Les écrits en prose sur l'ascétisme, attribués à Isaac d'Antioche (Bickell, S. Isaaci Antiocheni, opera omnia, I, p. VIII), sont plutôt d'Isaac de Ninive. Les homélies poétiques d'Isaac sont nombreuses et parfois très étendues. Au XI e siècle, le patriarche jacobite Jean Barchouchan avait commencé à réunir ces homélies en un recueil, mais ce recueil a été interrompu par la mort du compilateur survenue en J073, voir Barhebrœus, Chron. eccl. I, Isaac de Ninive, à qui notre manuscrit de Mossoul et celui d'Ourmiah attribuent à tort les premières homélies de cette publication ('), était d'abord un moine du célèbre couvent de Beth-Abé; il fut ensuite sacré évêque par Georges, patriarche nestorien de 660 à 680. Cinq mois après avoir pris possession de son siège, il abdiqua pour se retirer dans les montagnes de Beth-Houzaï. Plus tard il revint au monastère de Raban Schabor, et il y termina ! sa longue vie. Il a écrit sur la vie monastique, etc. (Voir notre «Liber Fundatorum», p. 508). Abdicho de Soba, dans ! son catalogue, dit de cet auteur: *è> x i ^ ? iû>o } f i ±>o . ^ b ? (Notre ms.). : Ainsi ces deux sources authentiques ne font aucune mention des homélies métriques que nous donnons ici. Au contraire, nous trouvons dans ces homélies des preuves (i) I e Dictionnaire dt la langue chaldïenne, publié en \8 tandisque Isaac de Ninive fut sacré évêque dans le VII e siècle; 3° notre auteur parle de Beth-Hor et d'Edesse comme étant son pays (p. 59^, 596, 597); il place les scènes qu'ils imagine sur l'Euphrate, et non sur le Tigre (p. $77, 503); il lance ses anathèmes contre Ninive et contre les chaldéens (p. 668, 826—837), ce que naturellement l'évêque du pays n'aurait pas fait. D'après la conclusion du manuscrit n° de la Vaticane, qui a été copié en { 2 J 0 sur celui de Jean Barchouchan et qui contient les 60 premières homélies que nous publions, toute cette collection est inscrite sous le /
nom d'Isaac disciple de Zénobius, disciple de s. Ephrem. Nous trouvons absolument les mêmes homélies, en même nombre, dans le même ordre et sous les mêmes titres dans le manuscrit \77 de la Bibliothèque royale de Berlin ('), qui a été écrit en l'année J580; les 60 homélies sont attribuées au même auteur. Notre manuscrit de Mossoul contient les mêmes homélies, mais non dans le même ordre; nous avons été obligé de le suivre. L'homélie sur le perroquet y a été ajoutée, mais en partie seulement Le lecteur pourra voir dans Assémani, B. O. t. I, (*) est
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AVANT-PROPOS.
XII
2(7—229, les réflexions que celui-ci fait sur les homélies, nous y ajoutons les nôtres, Dans la plupart de ces homélies le style, le ton, les idées et la doctrine dénotent que celles-ci sont sorties de la même plume, sauf un très petit nombre qui semblent présenter une rédaction un peu différente. L'auteur principal de cette collection s'est occupé d'une manière particulière de l'exhortation, de la morale, de la vie religieuse et des abus qui existaient de son temps; il n'a touché au dogme qu'occasionnellement, si l'on excepte les homélies qui traitent principalement des mystères de la s'e Trinité et de l'Incarnation. Mar îsaac semble s'être imposé la tâche de donner des exhortations à ses lecteurs, comme on le voit dans les pages 25, 56, 239, ^25, | 622, 6 < * e t c . ; il y a deux passages qui paraissent indiquer que l'auteur occupait une certaine place dans la hiérarchie ecclésiastique, celle d'archimandrite peut-être (p. ^50, 7(2). Nous nous permettrons de faire remarquer ici que notre auteur, en attaquant les abus pour les corriger, les a trop généralisés, et qu'il a traité les égarés d'une manière trop violente; c'est un devoir pour nous d'en prévenir le lecteur d'une façon générale, sans nous astreindre à relever tous les passages où l'écrivain a trop forcé la note dans les reproches qu'il leur adresse. Une certaine modération dans ses appréciations, comme dans le choix de ses expressions, inspirée par la prudence, aurait été plus sage et plus utile. S'il a une très haute idée des religieux qu'il appelle des dieux en chair (p. 8J, 5^8), c'est pour aggraver davantage leurs torts en les accusant souvent et sans ménagement de simonie, d'avarice, d'in-
{
XIII
AVANT-PROPOS.
fidélité à leurs vœux. S'il veut exalter l'efficacité de la • pénitence et de la bonté divine, il use de comparaisons peu flatteuses pour les médecins qui soignent des malades. S'il s'applique à relever la grandeur de la miséricorde de : Dieu, tout en admettant dans plusieurs endroits le culte et l'intercession des saints, et la sublime mission des prophètes, il les traite, surtout ces derniers, comme des hommes sans pitié! S'il parle de la vocation religieuse que chacun doit suivre malgré l'opposition non légitimée des parents, il met un langage peu respectueux dans la bouche des fils qui s'adressent à leur père. S'il se permet de soulever des questions scabreuses sur les mystères que l'esprit humain ne comprend que très difficilement, dans les objections qu'il place sur les lèvres de l'homme il critique, de la manière la plus dangereuse, la Providence de Dieu et sa justice; et dans ses réponses, il est trop bref et trop faible. Nous signalerons aussi quelques-unes des théories de notre auteur qui ne nous paraissent pas exactes: il ne considère le jeûne comme valable que du moment où l'on commence à souffrir de la faim (p. 370—372); cependant toute privation quelconque est considérée comme un jeune méritoire; 2° peut-on mériter et démériter après la mort? L'auteur semble l'insinuer (p. 366—368) surtout à cause de l'intention interprétative, ce qui est évidemment une erreur. Voici ce qu'il aura sans doute voulu dire: lorsque, avant de mourir, on a sciemment posé une cause bonne ou mauvaise en prévoyant du moins confusément les effets qu'elle produira dans l'avenir, on en reçoit la récompense ou le châtiment après la mort; 3° ïsaac enseigne que le
AVANT-PROPOS.
XIV
roi est sous la loi de ses prédécesseurs (p. 423). Comme principe, une autorité égale à celle qui l'a précédée doit sans doute observer les lois établies par cette dernière; i mais elle a aussi le droit d'en dispenser, de les changer, et même de les abroger; il explique très bien la liberté de l'homme (p. ^62—^63) et celle des anges (p. ^65), mais il est inexact en parlant de celle des démons (p. ^62—^63). L'homme est libre sa vie durant; les anges ont été libres jusqu'à la fin de l'épreuve qui a fixé d'une manière irrévocable leur sort, en confirmant les bons dans le bien, et les rebelles dans le mal. L a liberté de mériter et de démériter n'existe plus ni pour les uns, ni pour les autres. L'amour du bien chez les anges comme la malice chez les démons est un état permanent; 5° il prétend que les juifs ne connaissaient pas le jugement dernier (p. 6*2); cependant, suivant eux, l'Ancien Testament fait mention de la résurrection et du jugement ; et, en ce qui concerne le Nouveau Testament, aucun juif n'a contredit N.-S. ni les Apôtres qui en ont parlé de la manière la plus claire. Du reste, l'auteur semble se contredire, (voir p. 77*, 776); 6° il avance que s. Pierre ne connaissait pas bien N . - S . H lorsqu'il l'a renié (p. 6*9); cependant il l'avait reconnu publiquement par une révélation spéciale, comme Messie et fils de Dieu (S. Matth. *7); 7" comme nous l'avons dit plus haut, il y a une erreur formelle contre le dogme des deux natures en N.-S. dans les homélies 59 et 6* (p. 7 2 * - 7 * 7 ) , qui dénotent évidemment un auteur monophysite. On ne doit pas s'étonner que dans cette homélie Eutychès soit .¿Lxas
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XV
AVANT-PROPOS.
condamné au même titre que Nestorius, car les monophysites d'Égypte, comme les Jacobites syriens, repoussaient formellement les eutychéens qui confessaient que le corps de J.-C. était céleste, consubstantiel à la divinité et non consubstantiel à l'humanité. En tous cas, les homélies 62, 63 et 6 et factus est maledictum j«or> etc. (p. 796, 1. quoique tirée très probablement de la lettre de s. Athanase à Kpictète, évèque de Corinthe, que nous avons fait photographier au Musée Britannique, cette comparaison, disons-nous, est inexacte. N.-S. s'est fait homme réellement, tandisqu'il n'a pris sur lui que moralement le péché et la malédiction que nous avions méritée. Voici un autre genre de détails qui peut avoir pour le lecteur un certain intérêt instructif et historique. L'auteur parle: des petites heures, prime, tierce, sexte et none (p. 67); 2° des guerres avec leurs conséquences désastreuses, (p. —^80, 587—6\2); 3° de l'usage de répandre de
AVANT-PROPOS.
XVI
l'huile sur les flots de la mer pour faire cesser la tempête (p. 360), ce qui nous paraît être une superstition;
des
juges de l'Orient, qui sont aujourd'hui tombés encore plus bas que ceux dont notre auteur parle fp. 2© A v ? (p. 8^9); [2° il cite la
XVII
manière
AVANT-PROPOS.
peu douce
dont les instituteurs de son temps
traitaient leurs élèves (p. 7 5 6 — 7 5 7 ) ;
J3° il fait allusion
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